31/10/2012

Gabon: 2,7 milliards ont été octroyés cette année à l’Office pharmaceutique national pour l’achat de médicaments.

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Libreville le 31 octobre 2012 : 2,7 milliards ont été octroyés cette année  à l’Office  pharmaceutique national pour l’achat de médicaments. Ce budget en nette augmentation par rapport aux années précédentes participe de l’ambition  du Président de la République de doter les structures sanitaires publiques  de médicaments en nombre suffisant afin de couvrir les besoins et assurer la prise en charge des malades.

Pour palier les dysfonctionnements à l’origine de la pénurie des médicaments dans les services publics de santé, l’Office pharmaceutique national, principale centrale d’achat de médicaments et de matériel médical essentiels au Gabon, a vu sa dotation budgétaire pour l’achat des médicaments passer de 1,3 milliard en 2011 à 2,7 milliards de franc CFA en 2012. 

 

Ce renforcement des dotations en médicaments de l’Office  vise d’une part à répondre efficacement aux besoins des 650  structures sanitaires publiques, et d’autre part, à  pérenniser   la politique de distribution gratuite du médicament sur l’ensemble du territoire.



L’Office réformé pour une plus grande efficacité

 

Le décret  de novembre 2011 portant réorganisation de l’Office pharmaceutique national renforce  désormais  son rôle de centrale d’achat des médicaments, tout en lui accordant  la personnalité juridique ainsi que l’autonomie de gestion administrative et financière.

Dans le même temps, la structure de l’OPN est passée d’une simple direction à une direction générale, donc plus étoffée, pour satisfaire aux exigences  des nouvelles missions qui lui sont assignées. Une nouvelle équipe, constituée de jeunes cadres compétents, a été désignée pour accompagner cette entité  stratégique dans la mise en œuvre de la politique sanitaire du pays.

 

L’Office garantira la disponibilité des médicaments et des dispositifs médicaux essentiels dans les structures sanitaires, veillera au respect des normes de qualité, contrôlera étroitement  le suivi de la qualité des médicaments et assurera la formation continue du personnel gestionnaire des médicaments.

 

L’office Pharmaceutique National a pour objectif final une meilleure distribution des médicaments sur l’ensemble du territoire gabonais afin d’assurer l’accès aux médicaments à bas prix pour tous. L’intention est que l’Office puisse à terme alimenter à hauteur de  80% les structures de santé publiques.

L’office pharmaceutique national  est aussi chargé de la gestion des stocks liés aux programmes de distribution d’antirétroviraux et de traitement de la tuberculose. En fonction des budgets, ressources et recommandations qui lui sont donnés, l’office achète et distribue les traitements dans les centres.

Afin de créer une structure viable et pour améliorer l’approvisionnement, l’Office souhaite que la gratuité des médicaments devienne une exception. Le prix des médicaments restera faible et inférieur à celui pratiqué par les centrales d’achat privées mais permettra de créer un fonds de roulement pour assurer les commandes et la distribution. Il s’agit pour l’Office de dépendre moins des budgets de l’Etat et de gagner en autonomie et en efficacité.

 

Politique sanitaire et sociale  du Chef de l’Etat



L’accès aux soins de qualité pour tous, la bonne gestion des prestations sociales et l’amélioration du niveau de vie sont autant de projets portés par la politique de développement du Président de la République.

Les principaux hôpitaux du pays ont été rénovés ou sont en cours de rénovation, des centres hospitaliers spécialisés ont été construits, des réformes pharmaceutiques sont en cours et l’assurance maladie s’est élargie  à 600 000 bénéficiaires.

Le « Plan Santé et protection sociale » consiste à restructurer les services hospitaliers publics, améliorer la qualité des soins, renforcer  l’accès aux soins spécialisés, garantir la bonne distribution des médicaments et  assurer la prise en charge des malades.L’Office, instrument stratégique dans la réalisation de ce plan, devrait ainsi  voir son budget d’achat de médicaments pour l’année 2013 porté à 3 milliards de franc CFA.


Fin


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com


La politique du Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org


 

 

29/10/2012

LES RAISONS D’INVESTIR AU GABON

 

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Le Gabon dispose de plusieurs atouts propices à l’Investissement

 

Un succès économique reconnu

Une économie en pleine croissance : + 6,7% en 2011, elle devrait rester à un niveau comparable en 2012

Des finances publiques solides

Un endettement public en baisse régulière

Un environnement propice aux affaires

Une réforme complète de la gestion des finances et des services publics

Un renforcement de la bonne gouvernance

Des créations de lois pour favoriser l’investissement, comme la loi sur les partenariats public/privé

Un Centre de développement des entreprises (CDE),avec guichet unique, pour faciliter les démarches et accompagner les investisseurs

Une politique visant à favoriser l’exploitation et la valorisation locales des ressources

Un système bancaire fiable et dynamique

Un emplacement stratégique en Afrique

Une stabilité politique et sociale

Un accès à un marché sous-régional et régional de 120 millions de consommateurs

Une porte d’entrée de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC)

Un immense potentiel naturel à exploiter

3,7 milliards de barils de pétrole et 39 milliards de m3 gaz naturel en réserve

900 sites potentiels d’exploitation minérale (1 milliard de tonnes de fer ; 5,3 millions de tonnes de manganèse)

12,5 millions d’hectares de forêt et 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables

13 parcs nationaux

 

Un important programme de développement d’infrastructures

12,3 milliards USD d’investissements sur 5 ans dédiés aux infrastructures pour:

Améliorer le transport

Augmenter la production locale d’électricité verte et hydraulique

Créer des zones économiques spéciales

Renforcer la place de l’économie numérique (8e au classement africain de l’indice de développement des TIC en 2010)

Construction de 5000 à 7000 logements par an

Une fiscalité attractive et des mesures incitatives

De nombreux avantages pour les nouvelles entreprises :

Une exonération de l’impôt sur les sociétés pour le premier exercice bénéficiaire sur les 3 premiers exercices pour les entreprises éligibles aux codes spécifiques (Mines, Agriculture, Bois)

Un abattement de 50% pour le 2ème exercice bénéficiaire

Des avantages fiscaux importants dans les Zones Economiques Spéciales :

Exonération fiscale de la taxe sur les bénéfices / revenus pendant 10 ans. Au delà, taux d’imposition de 10% pendant 5 ans

Exonération totale de la TVA

Exonération des taxes douanières sur l’importation des équipements/machines et des pièces détachées

Liberté de rapatriement des fonds

Flexibilité pour le recrutement de main d’oeuvre étrangère

Exonération de la taxe sur la prestation

Baisse de 50% sur les factures d’électricité

Exonération des taxes retenues à la source

Les ventes faites à d’autres entreprises dans la SEZ seront considérées comme des exportations

Exonération de la taxe foncière sur les propriétés bâties et non bâties

Liberté d’effectuer dans/depuis la ZES des transferts de fonds via des institutions financières

 


GUIDE DE L’INVESTISSEUR

 

 

Créer une entreprise 

Depuis début 2012, les démarches de création d’entreprises se font auprès du Guichet Unique du Centre de Développement des Entreprises (CDE). Les opérateurs doivent se présenter à ce guichet munis de tous les actes constitutifs de la société et des documents requis. Ces actes, rédigés de préférence par un conseil juridique doivent faire l’objet d’un dépôt auprès d’un notaire.

Formes juridiques des sociétés

Les différentes formes juridiques reconnues par l’Acte Uniforme relatif au Droit des sociétés commerciales et du GIE de l’OHADA sont la Société en Nom Collectif (SNC), la Société en Commandite Simple (SCS), la Société à Responsabilité Limitée (SARL), la Société Anonyme (SA) et le Groupement d’Intérêt Economique (GIE).

Règles Comptables

Le plan comptable en vigueur est le plan OHADA qui ne s’applique toutefois pas à certains secteurs d’activités tels que :

- Les assurances, le code CIMA (Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurance),

- Les banques et établissement financiers: Code COBAC (Commission Bancaire de l’Afrique Centrale)

 

Banques et financements

En dehors des différents organismes bancaires locaux, les grandes institutions financières internationales sont présentes au Gabon. Le FODEX (par exemple), est un fond qui finance ou aide au financement des PME gabonaise à majorité gabonaise.

Salaires et charges sociales

Le revenu minimum mensuel est de 150 000 F CFA (hors employés de maison et personnel des collectivités locales). La sécurité sociale est gérée par un organisme public dénommé Caisse Nationale de Sécurité Sociales (CNSS). Les cotisations sont assises sur un plafond annuel de 18.000.000 F CFA au taux global de 22,60% dont 20,1% à la charge de l’employeur. A ces cotisations, il convient d’ajouter le Fond National pour l’Habitat (FNH) dont le taux est de 2% calculé sur les mêmes bases que les cotisations sociales. 

Un autre organisme, la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS), est chargé de l’assurance maladie obligatoire pour tous les habitants du Gabon et du versement des prestations familiales aux économiquement faibles. Son financement est essentiellement assuré par une redevance de 10% sur le chiffre d’affaires des opérateurs téléphoniques, Redevance Obligatoire pour l’Assurance Maladie (ROAM) et par une taxe de 1,5% sur les transferts d’argent.

 

Fiscalité

La fiscalité gabonaise est réglementée par le Code Général des Impôts (CGI), la Charte des Investissements, et le Code des Douanes. A la réglementation de droit commun, il convient d’ajouter des dispositions spécifiques prévues au profit de certains secteurs d’activités comme les mines (Code Minier), l’exploitation forestière (Code Forestier), le tourisme (Loi sur les Investissements touristiques) et les Zones Economiques Spéciales (Mandji et Nkok). Il existe aussi un régime fiscal de faveur pour les sociétés mères gabonaises et filiales gabonaises.

Les principaux impôts

 

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LES RESSOURCES UTILES

 

• Le Centre de Développement des Entreprises (anciennement APIP)

La création du CDE est une des réformes dans l’amélioration du climat des affaires entreprise par le Président. Le CDE dispose d’un guichet unique dont la mission fondamentale est de faciliter l’accomplissement des formalités administratives nécessaires à la création des entreprises.

Aujourd’hui, il faut environ 10 jours pour créer son entreprise au Gabon contre 58 jours* avant la création du CDE. A terme, ce délai sera ramené à 48h. (*Doing business Gabon – 2011)

Contact : Mme Mélissa Linda Tsitsi Fatou, chef de service

Guichet Unique : +241 06 26 47 26

Centre de Développement des Entreprises CDE Okala, BP13740 Libreville – Gabon

La Chambre de Commerce, d’Agriculture, d’Industrie, des Mines et de l’Artisanat du Gabon :

La Chambre de Commerce et d’Industrie est destinée à appuyer les entreprises dans leurs démarches quotidiennes, questions administratives et recherches.

Contact :

M. Pierre BITEGHE, Directeur Général

+241 72 20 64/+241 04 35 87 62 / E-mail : chambredecommercedugabon@yahoo.fr

L’Agence de Promotion des Investissements et des Exportations (APIEX)

La création de cette nouvelle structure doit renforcer le cadre juridique et commercial des exportations de produits gabonais sur les marchés internationaux.

Les missions de l’APIEX s’articulent autour des principes suivants : Favoriser et inciter l’investissement direct étranger, informer, conseiller et orienter les investisseurs, accompagner et soutenir les entreprises exportatrices, et faciliter la mise en relation entre les producteurs et les acheteurs.

Contact : Tel : +241 04 58 24 24 / 04 58 25 25

Email : contact@apiex.ga

Site apiex.ga


 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26/10/2012

L’inestimable contribution de Sylvia Bongo Ondimba

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Actuelle Première dame gabonaise, Mme Sylvia Bongo Ondimba a réussi à faire, en trois ans de pouvoir de son illustre époux, oeuvre utile au profit de ses compatriotes et des citoyens les plus fragilisés du monde.

Dans ce cadre précis et sur le plan national, Mme Sylvia Bongo Ondimba s’est d’abord investie dans la promotion sociale des frappées physiquement et moralement par le coup du sort.

A cet égard, tout a commencé par l’organisation d’une inédite caravane qui a amené l’épouse du chef de l’Etat à parcourir, par voie terrestre, le trajet Libreville- Franceville.

Ce en sillonnant largement les localités tant rurales qu’urbaines des provinces de l’Estuaire, de l’Ogooué- Ivindo, de l’Ogooué-Lolo et du Haut-Ogooué.

L’occasion pour la Première dame de s’enquérir des préoccupations vitales et légitimes de ses compatriotes du Gabon profond, de partager un tant soit peu leur quotidien ainsi que de les doter des équipements élémentaires propices à un meilleur exercice des activités agricoles, de pêche et d’élevage.

Une caravane qui a profondément marqué les esprits des populations visitées qui n’ont pas manqué de s’émouvoir l’extraordinaire sens d’humilité, de sociabilité et de solidarité dont a fait preuve Mme Sylvia Bongo Ondimba tout au long des étapes parcourues.

Celle-ci ayant même réussi à convaincre son illustre époux, le président Ali Bongo Ondimba, de refaire avec elle le même itinéraire et de constater de visu les réalités vivantes du Gabon profond.

Puis, sur la base du constat établi lors de ces deux caravanes, Mme Sylvia Bongo Ondimba s’est donné pour objectif : l’amélioration relative des conditions de vie des personnes handicapées ainsi que des femmes et des jeunes les plus fragiles face à la vie quotidienne et aux épidémies sanitaires.

Aussi, pour ce qui est des handicapés physiques, la Première dame les gratifient, au fur et à mesure, d’innombrables matériels roulants voire des fauteuils électriques manuels et scooters.

Le tout assorti des modules de formation permettant aux personnes handicapées d’entretenir et de conserver durablement ces salutaires dotations matérielles.

Lesquelles leur offrent la possibilité de se mouvoir plus aisément, de mieux vaquer à leurs occupations quotidiennes et de se promouvoir davantage sur les plans tant social, économique que financier.

Quant aux compatriotes plus exposées aux risques de maladie, Mme Sylvia Bongo Ondimba et sa fondation éponyme se sont investies dans l’organisation des caravanes médicales.

Lesquelles sont destinées à doter les personnes moins nanties des trousses médicales familiales pour la protection sanitaire des enfants et des mères. Ce, contre les risques d’accouchement et les maladies telles que le paludisme et autres.

De plus et lors de ces caravanes, sont menées de vastes campagnes de sensibilisation permettant aux populations gabonaises de mieux se prémunir des pandémies telles que le Sida et toutes les autres maladies sexuellement transmissibles.

Et sur ce plan, le sommet a été atteint, dans cette lutte contre le VIH Sida, lors du déroulement de la CAN Orange de 2012 que le Gabon co-organisait avec la République soeur de Guinée.

Au demeurant, rappelons à l’occasion que soucieuse, de la promotion socio-économique et financière des femmes gabonaises entreprenantes et volontaristes, la Première Dame, par l’entremise de sa fondation Sylvia Bongo Ondimba, a réussi à mettre en place un inédit et salutaire système de microcrédits.

Ce, en partenariat avec la banque nationale BGFI et en vue du financement des activités économiques de toutes ces femmes qui veulent s’investir dans les affaires, entretenir correctement leurs familles respectives et contribuer positivement au développement du Gabon.

Et pour avoir osé dans ce domaine, Mme Sylvia Bongo Ondimba a favorisé l’émergence d’une classe de femmes gabonaises qui s’épanouissent actuellement sur le plans social, économique et financier.

Au niveau international et parallèlement aux multiples et fructueuses actions que mène son présidentiel époux Ali Bongo Ondimba, la Première dame gabonaise n’y est pas restée en marge.

Aussi, parmi ces « faits d’armes » les plus significatifs, on citera, entre autres, celui d’avoir su et pu initier la résolution, appuyée par l’Etat gabonais et adoptée par l’ONU, instituant la célébration d’une Journée internationale consacrée à la veuve et par incidence, à l’orphelin.

De même que l’on notera la Convention négociée fructueusement par Mme Sylvia Bongo Ondimba et signée au Royaume du Maroc entre la Fondation Sylvia Bongo Ondimba et l’Association Lalala Selma. Ce, en vue d’une meilleure lutte contre les divers cancers.

A noter que dans ce Royaume chérifien, la Première dame gabonaise a pris une part très active aux travaux de l’Organisation des Premières dames africaines.

Des travaux qui ont débouchés sur l’élaboration et la mise en oeuvre des stratégies propices à promouvoir davantage les conditions idoines d’accession des femmes africaines à l’exercice des activités économiques et à leur autonomisation socioéconomiques et financières.

Et cerise sur le gâteau, c’est grâce à l’entregent de Mme Sylvia Bongo Ondimba et de sa fondation éponyme que le Gabon a pu abriter, à Libreville en juin 2012, la toute première édition du forum international intitulé « Dialogue for act ion Africa ».

Des mémorables assises ayant permis à plusieurs élites internationales d’entrevoir et dégager des stratégies propices à l’émancipation intégrale des femmes et filles africaines.

A la lumière donc de tout ce qui précède, il est clair qu’en femme d’action et bonne opératrice économique qu’elle a toujours été, Mme Sylvia Bongo Ondimba a donné une nouvelle dimension au noble statut de Première dame d’un Etat.

Inscrivant désormais ainsi son nom dans le prestigieux registre de ces mémorables femmes qui ont confirmé élogieusement le sens de l’adage prédisant que « derrière un grand homme, oeuvre inévitablement et positivement une merveilleuse dame au grand coeur ».

Coup de chapeau donc à Maman Sylvia dont le dévouement, la perspicacité et l’humanisme nous réservent encore d’innombrables et merveilleuses surprises.


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25/10/2012

UN GABON BILINGUE : POUR BOOSTER LES LEVIERS DE L’ÉMERGENCE

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Dans sa conférence de presse hebdomadaire, le Porte-parole de la Présidence de la République, M. Alain-Claude Billié-Bi-Nzé, a annoncé la décision des autorités gabonaises d’adopter l’anglais comme deuxième langue de travail.

Le Gabon intègre de fait le club très réduit de pays africains bilingues.

Quelques jours seulement après cette déclaration, le Président de la République, Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, était reçu à Kigali, par son homologue rwandais, Paul Kagamé. Celui-ci est, du reste, considéré à ce jour comme le chantre du bilinguisme en Afrique francophone.

Ces deux événements concomitants témoignent de la ferme volonté de notre pays de s’engager plus avant dans sa recherche d’un environnement linguistique plus large et plus prometteur, capable de servir de levier à la mise en place d’une société et d’une économie du futur imaginée par le Président de la République Ali Bongo Ondimba, dans un Gabon émergent, à la hauteur des enjeux du 21ème siècle.

Dans l’annonce qui a été faite, il ne s’agit pas d’abandonner l’usage de la langue française, il s’agit de lui adjoindre l’emploi de la langue anglaise, considérée à ce jour, comme la deuxième langue la plus parlée au monde après le mandarin, en usage en Chine, qui compte plus d’un milliard de locuteurs.

Placée en neuvième position, la langue française se présente, pour sa part, comme l’un des principaux liens entre les divers groupes linguistiques du Gabon, puis comme élément moteur de communication entre les Gabonais et le monde extérieur.

Il apparait évident, et tous les Gabonais le comprennent et l’y encouragent, que le Président de la République ambitionne de se donner les moyens de son époque.

Son programme politique et social, qui est résumé dans le slogan « Gabon émergent », lui impose de trouver des outils de travail modernes et contextuels. La langue de travail constitue de ce fait, un important levier dont il faut se servir.

Dans le Gabon émergent souhaité par le Président Ali Bongo Ondimba, il est important que chacun exprime librement son point de vue, sans restriction ni entrave, et s’approprie celui des autres dans les mêmes conditions, sans intermédiaire.

Or, dans la situation actuelle, les hauts fonctionnaires invités dans des forums de haut niveau, éprouvent de réelles difficultés à prendre part aux travaux lorsque ceux-ci sont déclinés dans une autre langue que le français ; de même, la plupart des étudiants gabonais consacrent leur première année à se perfectionner en anglais dès qu’ils sont appelés à poursuivre leurs études dans un pays anglophone.

C’est, par exemple, leur menu en Afrique du Sud ou au Ghana, où séjournent d’importants contingents d’étudiants gabonais.

Depuis près de trois ans de pouvoir, le Président tisse inlassablement des partenariats avec des opérateurs économiques de tous les horizons, les invitant à s’implanter au Gabon.

Certains d’entre eux, jusque-là éloignés par des barrières linguistiques, voudront maintenant franchir le pas en venant investir massivement dans notre pays, chose qu’ils ne pouvaient pas jusque-là à cause, justement, de la barrière que constituait le mono linguisme.

L’usage de l’anglais va contribuer désormais à lever la restriction injuste érigée à l’encontre du Gabon, en raison de ce système obtus de communication, dans le domaine du flux des capitaux.

Le défaut de locuteurs anglais dans des emplois de type primaire explique en partie cette situation ; il empêche notamment des embauches massives de personnels locaux.

Le tourisme, principalement l’hôtellerie, en souffre cruellement alors que certains autres secteurs, comme celui du pétrole par exemple, ressentent cette insuffisance de façon mineure, car l’usage de l’anglais y est souvent exigé comme un des principaux critères d’embauche.

On perçoit, dès lors, toute la valeur qui s’attache à l’usage de l’anglais comme langue de travail. L’anglais est désigné généralement comme la langue idéale du commerce et des sciences.

Le cas du Cambodge est patent à cet égard. Pays francophone, la fin des guerres dans la région (le Vietnam contre les Etats-Unis, par exemple) a suscité un engouement formidable des investisseurs anglo-saxons dans les économies voisines du Cambodge, de telle sorte que ses ressortissants, locuteurs français à l’origine, s’adonnèrent massivement à l’apprentissage de l’anglais pour décrocher un emploi dans ces pays avoisinants, majoritairement d’expression anglophone.

Aujourd’hui, l’économie cambodgienne est davantage tournée vers un emploi massif de locuteurs anglais. On la dit dynamique et en forte croissance, comme l’ensemble des économies de cette région du monde.

De même en France, la totalité des chercheurs s’expriment et publient en anglais ; les hommes politiques français, pour se faire entendre en Angleterre ou aux Etats-Unis, doivent s’escrimer pour tenir une conversation dans la langue de Shakespeare, de telle sorte que la presse française s’inquiétait déjà de ce phénomène il y a plus de dix ans.

Nous-mêmes, avions au Gabon, un francophile avéré, en la personne de feu Omar Bongo Ondimba, qui a pris part à tous les sommets de l’O.I.F. (Organisation Internationale de la Francophonie) et défendu chaque fois que possible, le développement de la langue française dans notre pays.

Cependant, il n’a jamais empêché la pénétration de l’anglais au sein de notre système éducatif. Au contraire, une multitude d’écoles privées bilingues sont sorties de terre et plusieurs d’entre elles ont pignon sur rue aujourd’hui dans notre pays. Tandis que dans les établissements publics, l’enseignement de l’anglais se poursuivait mais demeurait à un niveau largement en dessous de la moyenne.

Un pays voisin, le Cameroun, est foncièrement bilingue depuis son indépendance. Le dynamisme de ce pays dans la sous-région de l’Afrique centrale est très connu ; il est sans doute la conséquence de cette double culture française et anglaise.

On le voit, l’usage de l’anglais apporte un plus extraordinaire ; et, comme dit l’adage, il vaut mieux en effet disposer d’un 4X4 et ne pas avoir à s’en servir, que de ne pas en avoir du tout au moment où on en a besoin.

Les opportunités d’emplois au moment où le Gabon s’engage résolument sur la voie de développement, la facilité pour les étudiants et les hommes d’affaires ou les hommes politiques de se documenter ou de communiquer dans des instances de haut niveau, apportent la perspective d’un réel recul des frontières de la communication mono linguistique. Il s’instaurera alors avec l’autre, de nouveaux rapports de fraternité et d’amitié chers au Chef de l’Etat.

Les investisseurs s’intéresseront véritablement à notre économie et le Gabon boostera, assurément, son décollage vers l’émergence.


22/10/2012

Ali Bongo Ondimba au Forum mondial de l’énergie 2012 : L’énergie durable et la responsabilité climatique

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Doubaï, le 22 octobre 2012 –Le président de la République gabonaise, chef de l’État, Ali Bongo Ondimba a pris la parole lundi 22 octobre 2012 à la tribune du Forum mondial de l’énergie, qui s’est ouvert à Dubaï sous le haut patronage de Cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, le Vice-président et Premier ministre des Émirats arabes unis, pays siège de l’Agence internationale des énergies renouvelables.


Devant un aréopage de chefs d’État et de gouvernement, de chercheurs de renommée internationale, de leaders d’opinion et de grands patrons, le président gabonais a prononcé un plaidoyer mobilisateur et engagé pour la sécurité énergétique africaine, dans l’objectif d’atteindre - comme le souhaitent les Nations Unies - l’accès universel à l’énergie en 2030.  

L’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé l'année 2012, Année internationale de l'énergie durable pour tous. Prenant la pleine mesure des défis du temps, au diapason des exigences énergétiques, Ali Bongo Ondimba a tenu à souligner à quel point « l’investissement dans le secteur de l’énergie est un point-clé de la vision du Gabon émergent ». Mieux encore, « l’accès facilité au réseau a un impact direct et immédiat sur la qualité de l’éducation, grâce aux apports des nouvelles technologies du web, mais aussi sur l’industrie, effaçant le cliché d’une Afrique source de matières premières vouées à être transformées en d’autres endroits de la planète ». « Nous nous battons pour parvenir à assurer un accès électrique à 100% des Gabonais en 2016 ; et ce sera une énergie 100% propre, renouvelable à 80 % ».



Mix énergétique gabonais 2020 : 100% propre, dont 80%  renouvelable


Au Gabon, la production d’électricité par les énergies renouvelables passera donc de 40% en 2010 à 80% en 2016, ceci grâce au développement de l’hydroélectricité, un secteur porté par 2,4 milliards de dollars d’investissements.

A cette échéance, l’ensemble de la production d’électricité au Gabon reposera sur 100% d’« énergie propre », produite uniquement par l’hydroélectricité et le gaz, en substitution complète aux centrales thermiques utilisant des combustibles pétroliers.

« Nous nous inscrivons pleinement dans les objectifs dessinés par les Nations Unies d’une énergie durable pour tous », souligne Ali Bongo Ondimba.

D’après une étude qu’a fait mener le Programme des Nations Unies pour l’environnement, les investissements effectués à l’échelle mondiale dans les énergies renouvelables ont atteint le chiffre record de 211 milliards en 2010, et, pour la première fois, la moitié de ces investissements ont été réalisés dans des pays en développement.



Trois objectifs mondiaux 2030

Invité à prononcer le discours inaugural au nom du Secrétaire général de l’ONU, Wu Hongbo, Secrétaire général adjoint des Nations Unies pour les affaires économiques et sociales a rappelé les trois objectifs principaux de l’agenda mondial de l’énergie 2030 : l’accès universel aux services énergétiques modernes ; le doublement du taux d’amélioration de l’efficacité énergétique; une augmentation de 50 % de l’utilisation des énergies renouvelables dans le monde.

« Pour vaincre la pauvreté et sauver la planète, indiquait Ban Ki-moon dans la Déclaration de principes sur l’énergie pour tous présentée en novembre 2011, nous pouvons et devons assurer une énergie durable pour tous à l’horizon 2030. Pour y parvenir, tous les pays et tous les secteurs devront s’employer à donner forme aux politiques et aux investissements requis pour dessiner de meilleures perspectives énergétiques. Les pays en développement qui, pour la plupart, connaissent une croissance rapide et à grande échelle, peuvent faire l’impasse sur les solutions énergétiques classiques et passer directement à des solutions plus propres capables de favoriser la croissance et le développement économique et social. »



Une personne sur cinq privée d’électricité

Dans les pays en développement, plus de trois milliards de personnes sont tributaires de la biomasse traditionnelle et du charbon pour cuisiner et se chauffer (95% vivent en Afrique ou en Asie).

Un milliard et demi (un Terrien sur cinq) ne disposent pas de l’électricité et, même lorsque des services énergétiques modernes sont disponibles, ils sont trop coûteux pour des millions de personnes connaissant des difficultés économiques.

Les « pauvres de l'énergie », selon l’expression de l’ONU, subissent les conséquences sanitaires de la combustion inefficace de combustibles solides dans des bâtiments mal ventilés (2 millions de décès par an), ainsi que les conséquences économiques de la productivité insuffisante des activités lucratives.

En l'absence d'un accès adéquat à l'énergie, ni les hôpitaux, ni les écoles ne peuvent fonctionner correctement. De même, l'accès à l'eau potable et l'assainissement sont dépendants d'une capacité de pompage efficace.



Un appel à la responsabilité climatique

Les modes actuels de production et de consommation d'énergie non durable menacent l'environnement à l'échelle locale et mondiale. Les émissions de la combustion fossile sont la cause principale du changement climatique, de la pollution de l'air urbain et de l'acidification des sols et de l'eau.

La réduction des émissions de carbone liées à la consommation d'énergie est une priorité. L’économie mondiale devant doubler de taille au cours des vingt prochaines années, la consommation mondiale de l'énergie augmentera également de manière significative si l'approvisionnement énergétique, la conversion et l'utilisation continuent d'être inefficaces.

Pour le président gabonais, « la réduction des gaz à effet de serre est inévitable pour assurer un futur aux générations qui viennent ». Et d’inviter à la mobilisation générale : « Parce que l’avenir de la planète est en jeu, la prochaine conférence de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (ndlr – Doha, novembre 2012) doit conduire à un nouvel engagement ».  Kyoto est dans tous les esprits à Doubaï.



Passage obligé

 

Devant la vingtaine de chefs d’État présents au Forum mondial, le président Bongo Ondimba a martelé : « Les énergies durables ne constituent ni un luxe, ni même une option, tant elles représentent le passage obligé vers l’avenir, pour espérer construire un futur viable pour l’ensemble de l’humanité ». 

Rappelant les trois grands piliers de son action, le Gabon vert, le Gabon industriel et le Gabon des services, le chef de l’État, qui s’exprimait en anglais, a apporté son plein soutien aux efforts de la communauté internationale en faveur de l’universalisation des bénéfices de l’énergie, sans manquer de souligner la détermination environnementale qui est celle du peuple gabonais.



FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com


La politique du Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org


 

Gabon: Tournée républicaine, une expérience inédite au contact du pays profond

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Depuis sa prestation de serment et sa prise officielle de fonction intervenues le 16 octobre 2009, l’un des souvenirs les plus vivaces que les Gabonais gardent de l’action du président Ali Bongo Ondimba est sans nul doute sa mémorable tournée républicaine et interprovinciale effectuée à travers le territoire national.

Une tournée au cours de laquelle le chef de l’Etat tenait d’abord à exprimer directement ses remerciements à l’ensemble des populations gabonaises qui lui ont majoritairement accordé leurs suffrages lors de la présidentielle anticipée d’août 2009.

Ensuite, le président Ali Bongo Ondimba saisissait l’opportunité de cette tournée pour s’enquérir des préoccupations tant légitimes que spécifiques de ces compatriotes et de débattre avec eux des moyens de répondre positivement à ces préoccupations.

Aussi, à la faveur de ce périple à travers les différents chefs-lieux de départements et capitales provinciales que compte le Gabon, le président de la République a mis un accent particulier sur la nécessité pour les populations gabonaises de consolider la paix, l’unité nationale et la cohésion sociale.

De même que ces populations doivent cultiver les vertus de l’amour du prochain, du travail bien fait, du civisme, du patriotisme ainsi que du respect des règles de l’Etat de droit et des principes de la démocratie plurielle.

Tout comme le N° 1 gabonais a invité les Gabonais à mieux s’impliquer dans la création des petites et moyennes entreprises ainsi qu’à la construction du pays. Ce, afin de renforcer les conditions idoines de production des richesses nationales, de croissance économique et de développement de la nation.

Dans ce cadre précis et déterminé à apporter des solutions aux problèmes que connaissent les diverses couches sociales des différentes provinces du pays et s’agissant des autorités administratives et sécuritaires locales, le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba a fait oeuvre utile.

Ce, en renforçant les capacités opérationnelles de ces autorités locales et cela, par des dotations conséquentes en matériel de travail et en moyens roulants. Des dotations assorties de la réhabilitation des cités administratives et casernes des forces locales de défense et de sécurité.

Ce qui permet maintenant aux services administratifs et militaires concernés de couvrir leurs rayons d’action, de vivre plus décemment et d’accomplir efficacement leurs missions régaliennes respectives.

Concernant les populations de centres urbains, le chef de l’Etat les a gratifiées d’un certain nombre de projets liés à la réhabilitation, la modernisation et la consolidation des infrastructures scolaires, sanitaires, sportives, routières, aéroportuaires, énergétiques et hydrauliques.

Idem pour ce qui est des infrastructures commerciales, de communication et des télécommunications. Toutes des infrastructures qui embellissent les capitales provinciales et chefs-lieux des départements.

Tout comme dans leur réalisation et entretien, lesdites infrastructures procurent des emplois, augmentent ainsi les revenus des populations locales et améliorent considérablement les conditions de vie dans les localités concernées.

Pour ce qui est des populations rurales, le chef de l’Etat a ordonné la réfection et la densification des réseaux routiers départementaux ainsi que la poursuite accélérée du programme national d’hydraulique villageoise et la vulgarisation de l’énergie solaire.

Permettant ainsi à ces populations de produire davantage, de mieux écouler leurs produits et d’améliorer leurs conditions de vie dans les villages ou regroupements de villages.

De même qu’à travers les grands projets économiques et industriels initiés et annoncés par le président Ali Bongo Ondimba tout au long de cette mémorable tournée républicaine, les 9 provinces visitées connaîtront désormais un formidable essor socio-économiques.

Et les populations locales disposent dorénavant davantage d’opportunités pour mieux se promouvoir économiquement, financièrement et socialement.

Quant aux jeunes des provinces, ceux-ci ont été invités par le président de la République à s’adonner principalement à leurs études.

Ce d’autant plus qu’avec la consolidation Tournée républicaine : des infrastructures scolaires et la délocalisation de plusieurs grandes écoles à l’intérieur du pays, ces jeunes ne souffriront plus du dépaysement et seront formés en phase avec les réalités économiques du pays.

Sur un tout autre plan, le chef de l’Etat a demandé à ces mêmes jeunes a insi qu’aux adultes de se préserver du Sida et autres maladies sexuellement transmissibles qui font actuellement rage au Gabon et dans le monde entier.

C’est dire donc que cette tournée républicaine et interprovinciale a été très riche en enseignements et en projets initiés au profit de l’ensemble des populations des 9 provinces du pays.

D’où l’enthousiasme débordant des populations gabonaises et l’accueil délirant qu’elles ont réservé au président Ali Bongo Ondimba tout au long de cette tournée. Surtout que celle-ci a été ponctuée, dans chaque province, par la tenue d’un Conseil des ministres délocalisé.

Lequel, présidé par le chef de l’Etat lui même, confirmait les décisions prises à chaque chef-lieu de département et ce, pour le mieux-être des Gabonaises et Gabonais.

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Gabon: Trois premières années de pouvoir d'Ali Bongo, point de vue de la Coalition de la Société civile gabonaise

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Intervenant dans le cadre de la commémoration des trois premières années de pouvoir du président de la République, chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, La Coalition de la société civile gabonaise, par la voix de son porte-parole Dr Guy René Mombo Lembomba , donne son point de vue.

Lorsqu’on fait le bilan global de l’action menée par le Président de la République au cours de ces trois premières années de mandat, il nous apparait prometteur au vu des premiers pas accomplis dont une appréciation plus appliquée est désormais rendu possible grâce à la production récente du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE) présenté lors de son adresse aux deux chambres du parlement réunis en congrès, outil important que les Gabonais devront consulter.

Plus concrètement, les objectifs visés par son projet de société nous semblent en phase de démarrage aux plans socio-économique et même dans le cadre du fonctionnement général de l’Etat gangrené depuis plusieurs décennies par des pratiques peu orthodoxes auxquelles des solutions inédites sont appliquées.

Quelques exemples : Au plan du fonctionnement général de l’Etat, nous en voulons pour preuve sans pour autant être exhaustif La création des agences ; La mise en sommeil du Ministère de l’habitat ; Le renouvellement massif des cadres de l’administration, le cabinet du Président de la République n’étant pas en reste.

Sur le plan socio-économique et politique La réalisation de l’épine dorsale de l’Economie en construction à travers l’avancée effective des chantiers routiers ; L’amorce des travaux importants dans d’autres secteurs tels les barrages hydroélectriques

L’ouverture du centre de formations aux métiers du pétrol à Port Gentil et l’école des mines et de la métallurgie de Moanda ; Les mesures de révision à la baisse de la mercuriale pour lutter contre la vie chère devenue galopante depuis quelques années etc.

Sur le plan politique L’introduction des données biométriques dans le processus électoral ; L’organisation réussie de la ténue des élections législatives en 2011, pour laquelle la société civile a été partie prenante comme observateur.

 

Dr Guy René Mombo Lembomba 

Porte-parole de la Coalition de la société civile gabonaise.


Gabon: BILAN à mi-mandat du Président Ali Bongo par Regis IMMONGAULT

 

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AU PLAN POLITIQUE

C’est sans conteste le principal point fort de la politique du Chef de l’Etat au cours de ces trois années qu’il préside aux destinées au Gabon.

Un volontarisme avéré, une ambition et une détermination de faire du Gabon un pays émergent clairement affichée et un plan stratégique pour y parvenir élaboré avec précision et mis en oeuvre avec méthode.


SUR LE FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS

La stabilité des institutions constitutionnelles a été renforcée avec le renouvellement des membres de la Cour Constitutionnelle, du CNC et du CES.

Un accent particulier a également été accordé au renforcement de l’Etat de droit. Le Président de la République a instruit notamment la justice de mettre fin aux crimes rituels en instaurant des tribunaux spéciaux. Dans l’ensemble, il a oeuvré pour une justice libre et impartiale.


SUR LA DEMOCRATIE

Depuis 2009, le Gabon s’est attelé à organiser toutes les élections dans les délais constitutionnels. Toutefois, la transparence électorale étant le principal tendon d’Achille du système démocratique posant clairement le problème de la légitimité des élus et augmentant ainsi la défiance de la population vis-à-vis des responsables politiques, le Président de la République a instruit le Gouvernement à introduire la biométrie dans le système électoral.

Dans le cadre du dialogue avec les forces vives de la nation, le Président a instauré le forum de la jeunesse pour former l’élite de demain et associé la classe politique sur les questions d’intérêt national tels que le conflit territorial de l’île Mbanié, l’introduction de la biométrie dans le processus électoral et très prochainement sur la CEMAC dont le Gabon assure la présidence actuelle.

Tout récemment, le Chef de l’Etat a annoncé la réactivation du Conseil National de la Démocratie et modifier son fonctionnement pour servir de cadre au dialogue entre la majorité, l’opposition et la société civile.


SUR LA DIPLOMATIE

Longtemps orientée vers la résolution des conflits sous-régionaux, le Président a imprimé sa marque à la diplomatie gabonaise en consolidant les acquis et en l’orientant vers une diplomatie d’affaires.

De même, il a pris clairement le leadership continental sur la protection de l’environnement et le changement climatique. Le Président a d’ailleurs été désigné porte parole de la position africaine sur la biodiversité lors du sommet de Rio+20.

Le Gabon a obtenu en trois ans des succès retentissants avec l’obtention de la place de membre non permanent au Conseil de sécurité des Nations Unies en récompense de son engagement en faveur de la paix et de la solidarité entre les peuples. A l’initiative de la première dame, le Gabon a également obtenu du système des nations unies la célébration de la « Journée internationale de la veuve et de l’orphelin ».

Au niveau continental, bien que le Gabon ait perdu la présidence de la commission de l’UA malgré une implication personnelle et un soutien indéfectible à la candidature de Jean PING, le Président a été porté à la tête de la CEMAC par ses pairs.


SUR LE GOUVERNEMENT

Traditionnellement basé sur une géopolitique en faveur des ressortissants de la province de l’Estuaire, le Président de la République a maintenu la dynamique de changement entamée depuis 2009, en nommant un Premier Ministre issu d’une province autre que l’Estuaire à la tête du Gouvernement.

Le Président de la République a mis fin aux équipes gouvernementales pléthoriques, réservé une place plus importante aux femmes et aux technocrates et a restreint les membres des cabinets ministériels. Le Gouvernement est désormais soumis à un système d’évaluation et à un code de déontologie.

L’initiative prise par le Président de la République d’instaurer les conseils de ministres délocalisés ainsi que des opérations ponctuelles telles que « la caravane Gabon profond » ont permis au gouvernement de mieux s’imprégner des préoccupations de nos compatriotes et d’agir en conséquence.


LA GOUVERNANCE ET LA MORALISATION DE LA VIE PUBLIQUE

Bien que les résultats de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite n’aient pas encore produit les effets attendus et les indicateurs de gouvernance restent perfectibles, le Président a engagé une vaste reforme de l’Etat et de la moralisation de la vie publique.

Dans le cadre de la gestion des finances publiques, plusieurs audits ont été lancés dont les plus emblématiques sont l’audit de la fonction publique, l’audit de la dette intérieure, l’audit du secteur pétrolier, l’audit de la SEEG, l’audit des fêtes tournantes, etc. qui ont permis de connaître l’état des secteurs concernés, établir les responsabilités et mettre en place des mesures correctives.

Un système de la journée continue a été instauré afin d’améliorer la performance de l’Administration, trouver un meilleur équilibrage entre vie professionnelle et vie privée, permettre un meilleur suivi parental pour l’éducation des enfants et favoriser le développement de la pratique des loisirs et des activités sportives.

Pour améliorer la gouvernance du secteur parapublic, le Président a décidé du plafonnement des salaires des dirigeants afin de mettre un terme à la gabegie qui prévalait dans ces entreprises.

Un certain nombre d’agences ont été également créées pour renforcer l’efficacité de l’Etat dans la réalisation des projets et limiter ainsi le phénomène d’éléphants blancs en palliant les faiblesses des administrations notamment dans la maitrise d’oeuvre, le suivi et le contrôle des travaux.

Dans le cadre de la moralisation de la vie publique, le Président a décidé de la fermeture des débits de boissons à partir de 22h, de l’interdiction de servir de l’alcool aux mineurs, de la fermeture des débits de boisson à côté des établissements scolaires et a instruit les agents de sécurité d’adopter un comportement exemplaire pour restaurer l’autorité de l’Etat.


AU PLAN ECONOMIQUE

Au plan économique, des mesures courageuses ont été prises pour transformer le tissu économique et asseoir les conditions d’une croissance forte et durable.

Dès sa prise de pouvoir, le Président a pris deux mesures phares : l’interdiction d’exportation des grumes et le torchage du gaz dans l’industrie pétrolière.

Les effets sont désormais visibles avec l’accélération de l’industrialisation de la filière bois et les projets de développement de la pétrochimie et de la production électrique à partir du gaz.

Des reformes structurelles visant à libérer la croissance ont été prises, notamment dans le cadre des Zones économiques à régime privilégié (ZERP) pour favoriser le développement des partenariats stratégiques.

Dans ce domaine, le Président a initié personnellement un partenariat stratégique d’envergure internationale avec le groupe OLAM dont le coût est d’environ 2,5 milliards USD et concerne 5 projets agro-forestiers dans la ZES de Nkok et le développement de la ZES de l’Ile Mandji.

Il s’agit d’un vaste projet ayant un impact sur le PIB, la diversification de l’économie, la création d’emplois et la réduction de la pauvreté.

L’activité du Chef de l’Etat sur la scène internationale a contribué à l’amélioration de l’attractivité du Gabon pour les investissements. Ainsi, sur la période 2010-2012, le Gabon a ainsi attiré plus de 4 milliards de $ d’IDE et plusieurs entreprises majors font confiance au Gabon.

Dans le domaine des infrastructures pour soutenir la croissance économique et améliorer les conditions de vie des populations, sous l’impulsion du Président, le Gabon a construit plus de routes en 3 ans qu’au cours de 10 dernières années.

D’autres infrastructures de base sont réalisées ou en cours de réalisation, notamment dans le secteur de l’énergie avec la construction des centrales thermiques à gaz, des barrages hydroélectriques et des réseaux interconnectés, pour fournir une énergie abondante, propre et à moindre coût.

De même, le Président de la République a décidé de mettre un terme aux problèmes d’adduction d’eau, en particulier à Libreville avec le projet de construction de la 3e conduite entre Ntoum et Libreville et d’une nouvelle station de potabilisation Ntoum 7.

Grâce à ces réformes, le taux de croissance de l’économie ne cesse de progresser en dépit de la crise mondiale, avec une nette accélération de la croissance du secteur hors pétrole qui a atteint 11,7% en 2011.

Les performances macroéconomiques du Gabon et les indicateurs d’attractivité sont sur une trajectoire positive. Ainsi, la note souveraine du Gabon a été révisée à la hausse par l’Agence Fitch Ratings passant de BB- à BB.

Le Gabon est désormais la 9ème économie la plus compétitive d’Afrique selon le dernier rapport du Forum Economique Mondial, il occupe le 10ème rang en Afrique dans le classement du risque pays de la COFACE et la 1ere place dans la zone CEMAC.


AU PLAN SOCIAL

Si le principal point noir du bilan du Président de la République au plan social reste la question de l’accès au logement (où un effort de rattrapage est entrain d’être réalisé par le Gouvernement) et dans une moindre mesure celle du transport urbain, c’est également dans ce domaine qu’il y a plusieurs motifs de satisfaction.

Le fonctionnement de plus en plus optimal de la CNAMGS apporte un véritable soulagement dans la prise en charge des malades, en particulier des gabonais économiquement faibles.

Plusieurs mesures à caractère social ont également été prises en faveur de certaines catégories de la population.

Les bourses des étudiants ont été revalorisées, le Président a révisé à la hausse la prime de transport, harmoniser l’aide au logement pour les agents de l’Etat et instaurer un revenu minimum à 150 000 fcfa.

A l’initiative de la première dame, de nombreuses actions de lutte contre le VIH SIDA ont été renforcées se traduisant par une baisse relative du taux de prévalence.

De même, grâce à la fondation Sylvia Bongo Ondimba, un nombre important d’handicapés et des personnes à mobilité réduite ont acquis des fauteuils automatiques de dernière génération.

Dans le domaine sanitaire, la construction du CHU d’Angondjè, la restauration du CHU de Libreville, la mise en chantier de l’HPO d’Owendo, le démarrage du projet du CHU international Albert Schweitzer de Lambaréné, sont également à mettre à l’actif du Président de la République qui souhaite mettre à la disposition des populations une offre de soin de rang international.

Concernant le pouvoir d’achat, outre les décisions antérieures visant à contenir le prix des produits de première nécessité, le Président vient de décider de la suspension de la TVA et des droits de douanes pour six mois sur les denrées alimentaires pour faire face à la flambée des prix.


AU PLAN SPORTIF ET CULTUREL

Sur le plan sportif, le Président de la République ainsi que la première dame sont les premiers supporters des sportifs et des équipes nationales. Sous leur impulsion, le Gabon a obtenu des succès sportifs de haut niveau.

L’organisation de la CAN Orange 2012 a été un succès sportif à mettre à l’actif du Chef de l’Etat.

L’équipe fanion des panthères a atteint les ¼ de finale de la coupe d’Afrique des nations, les catégories inférieures affichent une réussite inédite ;

les moins de 20 ans ont été sacrés champions d’Afrique de leur catégorie et ont participé pour la première fois aux jeux olympiques de Londres ;

les moins de 17 ans sont qualifiés pour la coupe d’Afrique « Alger 2013 » de leur catégorie. Ainsi, pour maintenir ce niveau de performance et passer un nouveau cap, le Président de la République a décidé de l’instauration à partir de cette année d’un championnat professionnel de football.

Au plan individuel, l’athlétisme écrit des belles pages de l’histoire du Gabon dans cette discipline avec la sprinteuse Ruddy Zang Milama soutenue par la fondation Sylvia Bongo et qui est devenue championne d’Afrique du 100 m aux derniers jeux africains à Cotonou ;

Les succès sportifs du Gabon largement imputables au soutien sans faille du Président de la République ont été couronnés à Londres lors des jeux olympiques grâce au taekwondo, avec la première médaille remportée par notre compatriote Anthony OBAME.


Régis Immongault

Ministre des Mines et de l’Energie

 

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19/10/2012

Gabon: Conférence de presse du porte-parole de la présidence de la République, Alain Claude Bilié By Nzé

 

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ORDRE DU JOUR

 

I/- le president de la republique au xiv ème SOMMET DE LA FRANCOPHONIE A KINSHASA EN RDC : DU 13 AU 14 OCTOBRE 2012

 

II/- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AUX JOURNEES EUROPEENNES DE DEVELOPPEMENT A BRUXELLES AU ROYAUME DE Belgique : LES 16 ET 17 OCTOBRE 2012

 

 

Annonce :

PARTICIPATION DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU SOMMET MONDIAL DE L’ENERGIE DURABLE A DUBAI LE 22 OCTOBRE 2012

 

 

I/- Sommet de la Francophonie à KINSHASA EN RDC : du 13 au 14 octobre 2012

 

Le Président de la République, Chef de l’Etat a pris part au 14ème  Sommet de la Francophonie qui s’est tenu à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, les 13 et 14 octobre 2012.

 

Ce sommet a réuni les Chefs d’Etat et de gouvernements des pays membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).  

 

Il avait pour thème:« Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à la gouvernance mondiale ».

 

La journée du 13 octobre a été consacrée à la phase protocolaire marquée, entre autres, par la cérémonie d’ouverture, les discours des délégations et la passation des pouvoirs entre la Suisse et la RDC qui a assuré la présidence du sommet. 

 

La journée du 14 octobre était principalement réservée aux communications sur les thèmes suivants :

 

1.     Langue française, diversité culturelle et éducation

 

2.     Enjeux environnementaux et économiques

 

3.     L’Afrique dans la Francophonie et dans la gouvernance mondiale

 

4.     Gouvernance démocratique et droits de l’homme

 

Ces communications ont été suivies de celles de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie et des Etats associés.

 

Les chefs d’Etat et de gouvernement francophones réunis au sommet de Kinshasa ont adopté 5 résolutions à l’issue de leurs travaux. Il s’agit de :

·         Résolution pour appeler la communauté internationale au renforcement de la lutte contre la piraterie maritime dans le golfe de Guinée ;

 

·         Résolution sur la bonne gouvernance dans les industries extractives ;

 

 

·         Résolution sur les situations de crise, de sortie de crise et de consolidation de la paix dans l’espace francophone ;

 

·         Résolution sur la situation au Mali ;

 

·         Résolution sur la situation en République Démocratique du Congo.

 

Toutes ces résolutions ont été adoptées à l’unanimité des délégations présentes, à l’exception de celle relative à la situation en RDC qui a donné lieu à la réserve du Rwanda,  à cause de l’éventuelle responsabilité de ce pays dans l’instabilité qui prévaut à l’Est de la RDC.

 

Dans la recherche d’une sortie de crise, les chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de l’OIF ont invité la RDC et le Rwanda à poursuivre et développer le dialogue afin de renforcer la confiance nécessaire à l’instauration et à la consolidation de la paix.

 

Au terme de leurs travaux, les chefs d’Etat et de gouvernement des pays ayant le français en partage ont adopté une déclaration commune qui fixe les grandes priorités de la coopération multilatérale francophone pour les deux années à venir et qui se rapportent aux sous-thèmes du sommet énoncés plus haut.

 

Il est à noter que le 14ème sommet de la Francophonie a rappelé aux pays francophones l’intérêt de promouvoir la langue qu’ils ont en partage sans toutefois s’opposer à la promotion de la diversité des expressions culturelles et linguistiques.

 

Ce rappel vient donc mettre un terme à la polémique entretenue par une certaine opposition sur le renforcement de l’apprentissage de l’anglais au Gabon et révéler, s’il en était encore besoin, la clairvoyance du Chef de l’Etat, dans ses choix politiques.

 

Le prochain sommet de la francophonie aura lieu, en 2014, au Sénégal.

 

II/- 7ème Edition des Journées Européennes de Développement à Bruxelles au ROYAUME DE Belgique: les 16 et 17 octobre 2012

 

Le Président Ali BONGO ONDIMBA, a séjourné à Bruxelles en Belgique, les 16 et 17 octobre 2012, sur invitation de la présidence du Conseil de l’Union Européenne, où il a pris part à la septième édition des Journées Européennes de Développement.

 

D’autres leaders africains, en l’occurrence, les présidents Thomas Yayi Boni du Bénin, Macky Sall du Sénégal, Joyce Banda du Malawi et Armando Guebuza du Mozambique y ont aussi été invités.

 

On y a également noté la présence de plusieurs personnalités des organisations internationales et de la société civile.

 

La Commission Européenne était présente à travers son Président, Monsieur Manuel Barroso qu’accompagnaient le Commissaire au Développement et le Commissaire au Commerce.

 

Les Journées Européennes du Développement sont une tribune annuelle de rencontres et d’échanges entre tous les acteurs du développement sur les grandes questions qui préoccupent le monde.

 

Le thème retenu pour l’édition de cette année était « La croissance inclusive et durable » sous-tendu par les thématiques suivantes :

-         Agriculture durable, sécurité alimentaire et résilience ;

-         Engagement du secteur privé dans le développement ;

-         Responsabilisation des populations pour une croissance inclusive.

 

L’édition 2012 des Journées Européennes a enregistré la participation de près de 6000 personnes et plus de 1500 organisations régionales, sous-régionales et non gouvernementales.

 

Au cours de ce séjour belge, le Président Ali Bongo ONDIMBA a prononcé deux discours dont l’un au siège de la Commission Européenne et l’autre au siège du Groupe Afrique-Caraïbes-Pacifique.

 

A la Commission Européenne, le Président Ali BONGO ONDIMBA a présenté les actions abouties, celles en cours ainsi que les projets que le Gabon compte réaliser dans sa course vers l’émergence.

 

Le Chef de l’Etat a interpellé les gouvernements de l’Union Européenne en ces termes « Je suis venu ici pour rencontrer des gens, pour écouter et discuter des idées, et partager ma vision avec vous, en particulier ma vision d’un Gabon Emergent au cœur d’une Afrique qui travaille dur afin de réaliser son potentiel.

 

Je vous invite à porter un autre regard sur l’Afrique. Nous devons cesser de regarder l’Afrique sur le plan de ses ressources naturelles uniquement, mais plutôt la voir comme un continent en mouvement, avec une jeunesse ambitieuse, une classe moyenne qui enregistre la plus rapide croissante que n’importe où dans le monde et plus que tout une économie dynamique avec un taux de croissance moyen supérieur à 5%. »

 

Il a notamment, dans la filière bois, fait le bilan des réformes engagées, lesquelles ont permis en trois ans, avec la transformation locale du bois, de voir les unités de transformation accroître de 40% et le nombre d’emplois augmenter de plus de 80% dans ce secteur.

 

Le Chef de l’Etat a donc souhaité que les mesures restrictives en cours en Europe ne viennent pas freiner la commercialisation de nos produits.

 

Aussi, a-t-il estimé nécessaire, en raison des efforts supplémentaires qui doivent être faits dans le développement des infrastructures de transports, des télécommunications et des énergies propres, que les acteurs européens saisissent les nouvelles opportunités que leur offre le nouveau cadre des affaires pour pouvoir investir au Gabon. Le Gabon offre aujourd’hui une meilleure protection des investissements étrangers sur son sol et c’est à ce titre, que 4,5 milliards de dollars d’investissements directs asiatiques ont pu être sécurisés.

 

Le Président de la République a en outre présenté à l’assistance les efforts des autorités gabonaises en matière de bonne gouvernance démocratique par l’introduction de la biométrie dans notre système électoral.

 

 

Il a par ailleurs présenté les efforts du Gabon dans sa lutte contre la corruption, en rappelant que le Gabon a mis en place une Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite chargée d’éradiquer cette activité immorale, en vue de créer un environnement plus favorable au développement du secteur privé.

 

Le Chef de l’Etat a rappelé aux chefs de gouvernements européens qu’ils devraient travailler de concert avec les pays africains sur ce fléau, car les responsabilités sont partagées de parts et d’autres.

 

Il a également fait un plaidoyer en faveur de la protection de l’environnement, en tant que  bien commun de l’humanité, par l’application stricte des différents protocoles en la matière.

 

Il a  par conséquent, appelé les décideurs mondiaux à ratifier le protocole de Nagoya qui intervient après celui de Kyoto.

 

A ce jour, seuls 6 pays dont le Gabon, ont ratifié ce protocole alors que son entrée en vigueur exige qu’il soit ratifié par 92 pays.

 

Devant les ambassadeurs de l’ACP, le Président de la République a décliné sa vision de faire du Gabon un pays émergent à l’horizon 2025.

 

Aussi, a t-il rappelé l’engagement de son pays  à œuvrer pour l’intensification des relations entre l’ACP et l’Union Européenne ainsi que pour le respect des accords intervenus entre ces deux entités.

 

Dans la foulée des journées, le Chef de l’Etat a eu des entretiens avec certaines personnalités responsables des institutions européennes notamment :

-      le Président de la Commission Européenne, Monsieur José Manuel BARROSO;

 

-      le Président du Parlement Européen, Monsieur Louis MICHEL;

 

-      le Vice-président de la Banque Européenne d’Investissement, Monsieur Pim Van BALLEKOM;

 

-      le Commissaire Européen au Développement, Monsieur Andris PIEBALGS.

 

Les échanges entre le Président Ali BONGO ONDIMBA et ces hautes personnalités ont porté, entre autres, sur la nécessité du renforcement et du raffermissement de la coopération entre l’Union Européenne et notre pays ainsi que sur les opportunités d’affaires que le Gabon peut offrir à l’espace européen.

 

Dans le cadre bilatéral, le Président Ali BONGO ONDIMBA s’est entretenu avec son homologue, le Président Joyce Banda du Malawi.

 

En outre, le Chef de l’Etat a visité le Musée Royal d’Afrique Centrale. Ce musée créé en 1898, renferme un riche patrimoine de la sous-région d’Afrique Centrale.



BONNE GOUVERNANCE : LE GABON AFFICHE DE BONS RESULTATS

 

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Libreville, le 19 octobre 2012 :   D’après le nouveau rapport 2012 de l’Indice Mo Ibrahim, le Gabon est le premier pays d’Afrique centrale en matière de bonne gouvernance et le 22e à l’échelle continentale.

Ces  bons résultats, reconnus par le principal  Indice d’évaluation de  gouvernance sur le continent, sont à mettre à l’actif des autorités du pays dont le Président Ali Bongo Ondimba engagé, depuis son arrivée en 2009 à la tête du Gabon, dans une politique ambitieuse de faire du Gabon un pays émergent à l’horizon 2025. 

Selon l’Indice de la bonne gouvernance africaine, le Gabon a enregistré cette année un score de 53,6/100  contre  50,4 en 2011.  Ce qui le classe ,au sein de  la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, en première position  devant le Cameroun (37e), la Guinée Equatoriale (45e), la République centrafricaine (48e), et le Tchad (51e).

Selon cette même  étude, le score du Gabon est supérieur à la moyenne régionale (40 points) et au dessus de la moyenne continentale (51 points).  

Le pays, depuis 2006,  ne cesse d’améliorer ses performances  dans plusieurs secteurs, notamment en  « Sécurité individuelle » où, d’après l’Indice,  il occupe le 7e rang en Afrique.

Le Gabon gagne aussi deux places dans la catégorie « Développement économique durable », partant du  35ème  rang en 2011 à 32ème dans le classement de cette année, soit une progression  de +9,5 depuis 2006.

Concernant le « Développement humain », le pays remporte  un point.  Classé 16ème l’année dernière, il est   désormais 15ème, soit une progression de +5,0 depuis 2006.


 

Des résultats liés à d’importantes  reformes structurelles

 

Des  réformes majeures ont été lancées pour améliorer l’environnement des affaires au Gabon et rendre le Gabon plus attractif et plus compétitif pour les investisseurs étrangers : la restructuration de la Chambre de commerce.

Celle-ci devient un bureau d’information apte à donner des renseignements sur l’économie nationale et de mettre des investisseurs étrangers en rapport avec des opérateurs économiques gabonais.

L’APIP (Agence de Promotion des Investissements Privés) a aussi été restructurée. L’APIP connue désormais sous  l’appellation de  Centre de Développement des Entreprises est un guichet unique opérationnel et efficace, non seulement  pour des investisseurs étrangers mais aussi dans la réduction de la durée de création d’une entreprise.

L’Agence de Promotion des Investissements et des Exportations - APIEX : cette nouvelle structure doit renforcer le cadre juridique et commercial des exportations des produits gabonais sur le marché international.

Les missions de l’APIEX s’articulent autour des principes suivants : favoriser et inciter l’investissement direct étranger, informer, conseiller et orienter les investisseurs, accompagner et soutenir les entreprises exportatrices, renforcer les capacités d’exportation et promouvoir le dialogue export des entreprises auprès de la cible étrangère.

Afin d’assainir l’environnement des affaires, les autorités ont également entrepris :

-          La restructuration du cadre budgétaire ( LOLF : loi organique relative à la loi des finances )

         La création du Fonds Gabonais d’Investissement Stratégique

-          La création de la Caisse de Dépôts et de Consignation

         L’actualisation des codes des secteurs phares.

-          La création de plan directeurs pour les activités nouvelles.

         Une loi sur les partenariats publics privés.


Pour s’assurer de la bonne marche et du suivi des grands chantiers, l’Etat a mis en place des agences dont l’Agence Nationale des Grands Travaux chargée de la coordination de tous les projets d’infrastructures. Elle assiste l’Etat dans l’identification, la programmation et le suivi des grands projets de travaux publics.

En parallèle, le gouvernement s’est approprié de nouvelles  valeurs et des normes de conduite pour soutenir toute cette nouvelle vision portée à développer véritablement le Gabon.

Le Gabon depuis la mise en œuvre de toutes ces reformes bénéficie de la confiance des investisseurs. Plusieurs contrats, portant sur des projets structurants, d’un montant de plus de 4 milliards de dollars, ont été signés depuis 2010 dans les secteurs du bois, de l’agriculture et des infrastructures.

En avril 2012, l’agence Fitch a ainsi revu la perspective du Gabon à « positive » et confirmé sa notation « BB», preuve que les agences de notation reconnaissent la volonté de reformes du pays et la stratégie économique mise en place

Crée en 2007, l’Indice Mo Ibrahim constitue le recueil le plus complet de données quantitatives conduisant à une évaluation annuelle de la performance en matière de gouvernance dans chaque pays.



FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com

 

La politique du Gabon Emergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org

 

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18/10/2012

Journées Européennes du Développement Le Gabon Émergent décliné devant l`Europe

 

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Dans le cadre de la 7ème édition des Journées Européennes de Développement,  la première participation du Chef de l’Etat, sur invitation du Président de la Commission Européenne, José Manuel Barosso, a confirmé l`arrivée sur la scène internationale d`une nouvelle génération de dirigeants africains, désireux de repenser et de redéfinir les relations entre l’Europe et l`Afrique et avec un nouveau discours.

« Je voudrais aussi profiter de cette circonstance solennelle pour dire que le monde entier et le Gabon en particulier célèbrent l’année prochaine l’œuvre d’un autre prix Nobel de la paix, le Docteur Albert Schweitzer, réellement européen avant l’heure. »

« A l’occasion de cette célébration, je souhaite vous inviter à Lambaréné pour participer à cet événement qui a pour objet de montrer que l’esprit humanitaire initié par le docteur Schweitzer est toujours vivant. »


Ce sont en ces termes  que le Président Ali BONGO ONDIMBA a commencé
son discours qui a été essentiellement axé sur la Déclinaison des ambitions du Gabon Emergent afin de positionner le Gabon comme une des économies africaines les plus compétitives grâce à la mise en œuvre d’une stratégie globale et cohérente à savoir,  le Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), qui comporte trois axes stratégiques : le Gabon Vert, le Gabon Industriel et le Gabon des services.

Pour le Chef de l`Etat qui inaugurait ainsi son premier face a  face avec l’Europe des  institutions, l’émergence devra également se refléter à travers la qualité des Institutions, la consolidation de l’Etat de Droit, la lutte contre la corruption, le respect de la Démocratie, l’amélioration de l’environnement des affaires.


« Changeons de regard sur l’Afrique »

La présence du Président Gabonais à cette rencontre, s’est inscrite dans une perspective d’échange et de partage avec ses pairs de ses ambitions pour une Afrique meilleure. Il en a profité pour repréciser sa vision du Gabon Emergent, au cœur d’une Afrique qui ne ménage aucun effort pour décupler ses potentiels.

A cet effet, il a estimé que le moment était venu de regarder l’Afrique sous des prismes plus objectifs et que désormais l’Europe et l’Afrique doivent construire le futur sur de nouvelles bases.

Pour lui, il s’agit désormais de percevoir le continent africain comme un espace en mouvement, avec une jeunesse ambitieuse, une classe moyenne affichant la plus forte croissance partout dans le monde et une économie de plus en plus dynamique, avec un taux de croissance moyenne de plus de 5%.


Des exemples concrets de mutations en cours au Gabon.


« A titre d’exemple, avant 2009, plus de la moitié de la ressource forestière
exploitée était vouée au gaspillage.  La mise en place d’un processus de transformation et de valorisation locale permet désormais d’inverser la tendance pour atteindre une utilisation maximale. » 
C’est ce qu’a indiqué le Président Ali BONGO ONDIMBA, avant de poursuivre que trois années ont permis d’accroitre de 40% le nombre d’unités de transformation du bois et d’augmenter de 80% le nombre d’emplois créés dans la filière.

Il ajoute ensuite que le Gabon a pu sécuriser, en deux ans, près de 4,5 milliards de dollars d’investissements directs étrangers en provenance du sud-est asiatique, ce qui apparait comme le gage d’une confiance retrouvée.


 

Créer des pôles économiques dynamiques

Le développement, selon le Chef de l’Etat Gabonais, ne peut être atteint sans le renforcement des capacités, un effort considérable de mise à niveau de sorte à permettre de développer davantage d’infrastructures de base dans les domaines des transports, des télécommunications et des énergies propres.

Quant aux partenaires européens, leur intervention est principalement attendue sur le plan du secteur privé, afin de bénéficier de la mise en place des opportunités offertes en Afrique par la conception de nouveaux cadres d’affaires pour investir dans ces secteurs structurants de notre économie.

 

Un accent mis sur le Capital Humain

L’émergence du Gabon ne saurait se réaliser sans un capital humain de qualité basé sur une éducation à même de former les compétences indispensables au développement, c’est à dire l’adéquation formation-emploi, rappelant que le projet de la cité verte de l’éducation positionnera le Gabon comme pôle régional de référence dans la formation supérieure. Le Président Gabonais indique aussi que depuis 3 ans, une politique ambitieuse de soutien à la formation permet déjà à 60% des étudiants de bénéficier d’une bourse d’étude. Il en profite pour lancer un appel aux pays européens afin qu’ils assouplissent leurs législations pour l’accueil des étudiants et stagiaires africains dans leurs universités et grandes écoles.


 

La bonne Gouvernance, une nécessité 

Facteur de choix dans l’attractivité d’un pays, la bonne gouvernance se révèle critique dans les choix des investisseurs, et a été mise au cœur de la stratégie de création et de redistribution des richesses au Gabon.

En effet, l’aspiration des peuples à plus de justice, d’équité, de démocratie, de respect des droits de l’homme et de lutte contre la corruption doit être prise en compte dans toutes les politiques publiques tant au niveau national que dans la coopération et, partant, entre le Gabon et l’Union Européenne.


La Biométrie, gage d’élections fiables

A propos de la gouvernance démocratique, le Président Ali Bongo Ondimba a indiqué que son pays s’est engagé, par une Loi votée au parlement, à introduire les technologies biométriques dans l’identification des électeurs pour la constitution d’un fichier électoral de plus en plus fiable afin d’aboutir à des élections plus transparentes pour éviter toute contestation. Il poursuit en soulignant que le Gabon dispose, de l’une des lois électorales les plus strictes au monde, fruit d’une active concertation entre la majorité, le gouvernement et l’opposition. Elle garantit à chaque candidat et à chaque parti politique, une présence effective dans tous les niveaux de décision et d’organisation du processus électoral.

 

 

Positionnement du Gabon sur les questions de développement durable

Conscient des atouts naturels de son pays, le Président Gabonais s’est également engagé à faire jouer au Gabon son rôle face aux défis environnementaux auxquels la planète doit faire face, à savoir le changement climatique et l’érosion de la biodiversité.

Pour atteindre ces objectifs, le gouvernement gabonais  a pris un certain nombre de mesures parmi lesquelles : la création d’un Ministère de l’Economie chargé du développement durable pour une meilleure intégration de la dimension environnementale dans toutes les politiques publiques de développement ; l’adoption par le Conseil des Ministres d’un projet de loi d’orientation sur le développement durable dont l’objectif principal est de cadrer l’action des différents acteurs de la société gabonaise ; la mise en œuvre d’un plan d’affectation des terres qui permettra d’éviter les conflits d’usage et d’optimiser au mieux nos atouts naturels ; la création d’une station d’acquisition d’images satellitaires pour la surveillance environnementale au Gabon, mais aussi pour plus d’une vingtaine de pays africains.

De même lors de la dernière conférence de Durban sur le changement climatique, le Gabon a présenté sa stratégie nationale de lutte contre le changement climatique avec pour objectifs de réduire de manière significative ses émissions de gaz à effet de serre par une meilleure utilisation des gaz torchés, et par une gestion plus rationnelle de son patrimoine forestier.

Autant d’efforts consentis au profit de l’humanité tout entière et qui doivent être soutenus par un engagement plus ambitieux et opérationnel des pays européens à la veille de la fin de la première période d’engagement du protocole de Kyoto. A Nagoya au Japon, le Gabon a eu l’honneur de porter la voix de l’Afrique en matière de lutte contre l’érosion de la biodiversité, étant ainsi le premier pays à avoir ratifié le protocole de Nagoya. A ce jour, seuls 6 pays l’ont fait sur les 92 nécessaires pour l’entrée en vigueur de ce protocole.

Le Président Ali BONGO ONDIMBA en a donc profité pour demander aux pays membres de l’Union Européenne qui ne l’ont pas encore fait, de le ratifier à leur tour.  Une invitation qui a suscité l’applaudissement de toute l’Assemblée.



FIN

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La politique du Gabon Emergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

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ACP Bruxelles: Plaidoyer du Président ALI BONGO ONDIMBA pour un engagement commun et une solidarité plus accrue.

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Dans le cadre de la 7ème édition des Journées Européennes de Développement, le Président Ali BONGO ONDIMBA a été convié à une séance de travail avec l’assemblée des ACP.

Ce fut pour le Numéro 1 Gabonais l’occasion de repréciser sa vision pour le Gabon, avec les perspectives de développement attendues des mutations amorcées et à venir.

Appréciant et louant les actions menées par ses pairs dans le sens de l’amélioration du mieux-être de leurs concitoyens respectifs, le Président Ali BONGO ONDIMBA a rappelé que cette dynamique cadre davantage avec les nouvelles exigences socio - politiques et économiques contemporaines.

Insistant sur le développement de secteurs clés tels que la santé, l’éducation, le logement, l’eau, l’électricité, le transport et les télécommunications, le Chef de l’Etat Gabonais a renouvelé les nobles ambitions nourries pour son pays, résolument engagé dans la mise en œuvre du Plan Stratégique du Gabon Emergent qui concentre la vision du pays à l’horizon 2025.

Après avoir déploré les insuffisances de l’économie de rente le Président Ali BONGO ONDIMBA a évoqué la nécessité d’un changement de paradigme, pour impacter positivement les secteurs sociaux, en l’occurrence, la santé, la sécurité alimentaire, le logement et le développement des infrastructures.

L’ambition de l’émergence, est de positionner le Gabon comme une des économies africaines les plus compétitives grâce à la mise en œuvre d’une stratégie globale et cohérente.

Pour le Président de la République, l’émergence devra également se refléter à travers la qualité des Institutions, la consolidation de l’Etat de Droit, la lutte contre la corruption, le respect de la Démocratie, l’amélioration de l’environnement des affaires.

Ce dispositif d`ensemble contribue au positionnement de choix du Gabon sur la scène régionale et internationale.

Pour matérialiser cette vision ainsi décrite, le Gabon a aussi besoin du concours des pays amis, notamment de ceux du Groupe ACP et de l’Union Européenne avec lesquels une coopération ancienne est entretenue et sous-tendue par les Accords de Yaoundé, Lomé et Cotonou.

A cet effet, le Président Ali BONGO ONDIMBA a lancé un appel au nécessaire renforcement de la solidarité au sein du Groupe ACP, pour mieux faire face aux défis multiformes auxquels nous sommes tous confrontés.

Vers une solidarité plus probante

La nécessité d’un renforcement des liens de solidarité entre Etats membre apparait, pour le Président Ali Bongo Ondimba comme un nécessaire préalable à l’atteinte des ambitions communes et partagées.

Il a donc indiqué que le septième Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement ACP qui se tiendra très prochainement en Guinée Equatoriale, donnerait l’occasion de réaffirmer cet état d’esprit et d’exprimer plus fortement la foi dans la capacité de ce Groupe à tirer le meilleur profit de son partenariat avec l’Union Européenne en définissant des orientations encore plus prévoyantes et innovantes.

Pour finir, le Chef de l`Etat a indiqué que « …dans un monde sans cesse en mouvement, le Gabon évolue, les ACP évoluent, l’Europe doit aussi évoluer dans son approche et garder toute sa place à nos côtés dans un esprit de solidarité. »


FIN

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La politique du Gabon Emergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

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16/10/2012

Gabon: Sylvia Bongo Ondimba prend part au XIVème sommet de la Francophonie à Kinshasa

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Libreville, le 16 octobre 2012 - A l’occasion du 14ième sommet de la Francophonie qui s’est tenu les 13 et 14 octobre 2012, la Première Dame du Gabon a assisté aux différentes cérémonies officielles aux côtés du Président de la République, Chef de l’Etat.

Le Samedi 13 octobre, Madame Sylvia BONGO ONDIMBA a participé à la cérémonie d’ouverture du sommet marquée par la présence d’une quinzaine de chefs d’Etat des pays membres de la Francophonie et des représentants des organisations internationales.

Au cours de cette cérémonie, ces officiels sont intervenus sur des questions de développement, de paix, d’éducation et des femmes qui intéressent la Première Dame dans le cadre de ses actions.

Aussi, la Première Dame a pris part au déjeuner des Premières Dames à l’invitation de Madame Olive KABILA, Epouse de Chef d’Etat de la République Démocratique du Congo (RDC).

Ce moment particulièrement riche en échanges lui a permis de s’imprégner de l’évolution des actions que mènent ses consœurs dans leurs pays et de présenter les initiatives de sa Fondation auprès des populations fragilisées au Gabon.

Ce cadre de rencontre plus informel a réuni les Premières Dames du Cameroun et du Burundi.

En marge des manifestations officielles, Madame Sylvia BONGO ONDIMBA a effectué la visite de l’Académie des Beaux Arts de Kinshasa le samedi 13 octobre.

Créée en 1943, cet institut d’enseignement des arts visuels et des arts appliqués a formé de nombreux artistes, dont des Gabonais, dans les domaines artistiques de la céramique, la décoration intérieure, la peinture et la sculpture.

De plus, la Première Dame s’est déplacée sur un site hébergeant des chimpanzés nains (bonobos en langue locale) qui est situé dans la banlieue sud de la capitale congolaise.

Ce site compte aujourd’hui plus de cinquante bonobos et une équipe de vétérinaires.

Le bonodo qui vit exclusivement dans les forêts pluviales de la République Démocratique du Congo figure sur la liste rouge de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) des espèces menacées.


FIN

 

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Des informations supplémentaires sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba sont disponibles aux liens suivants :

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

https://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/15535...

- Contacts Communication : presse@fondationsbo.org


15/10/2012

Gabon: Ali Bongo Ondimba , un homme pressé au seul service du peuple

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Le mardi 16 octobre 2012 , le Président de la République Gabonaise , Ali Bongo Ondimba , totalisera trois ans à la tête de Gabon. Il a été élu pour un mandat de 7 ans , et depuis qu'il a pris les rênes du pays, il agit en homme pressé.

C'est ainsi qu'il s'est lancé dans une dynamique de réformes qui n'ont épargné aucun secteur, sinon presque . Conscient du poids de l'héritage de ses prédécesseurs, qu'il ne doit pas assumer tout seul, il s'est mis dans une posture d'homme de rupture. Aussi bien dans le choix des objectifs que dans la manière de les atteindre.

Dans ce cadre , le numéro un gabonais a défini clairement son ambition : faire du Gabon un pays émergent. Mais cela ne se fera pas dans le désordre, plutôt en respectant un canevas bien précis. Lequel se résume à trois axes : Gabon vert, Gabon industriel et Gabon des services. Le tout se faisant avec en tête le triptyque " Paix - Développement - Partage " dans lequel chacun devrait se reconnaître...

Depuis bientôt trois ans , le Gabon vit au rythme des réformes et des projets de développement , preuves incontestables de la volonté de changement qui caractérise son nouveau président. Des chantiers sont visibles, de nouveaux textes sont initiés, etc .

Pendant que certains applaudissent et encouragent, d'autres minimisent, contestent et font parfois dans la mauvaise foi. Politique politicienne et aigreur semblent perdurer.

En trois ans seulement de magistrature, Ali Bongo Ondimba a réussi un pari impensable : remettre le Gabon au travail, supprimer les privilèges, tordre le cou aux mauvaises habitudes, restaurer l'autorité de l'Etat, privilégier l'intérêt général, bref oser proclamer la révolution dans notre pays. Une révolution au sens propre comme au sens figuré du terme avec pour finalité faire du Gabon un pays émergent.

Frappé par une sorte d'apathie au sortir de la présidentielle de 2005 jusqu'à celle d'août 2009, le pays tournait au ralenti. L'autorité de l'Etat était trop souvent bafouée ; la corruption avait atteint un niveau inacceptable ; la justice sur la-quelle comptent les citoyens pour se mettre à l'abris des " puissants " s'était désintégrée ; en somme le pays était en train de " foutre le camp ".

Feu le Président Omar Bongo Ondimba l'avait d'ailleurs reconnu en 2007 , dans son discours bilan de ses 40 ans de pouvoir et avait dénoncé cette dérive qui menaçait les fondements de la Nation.

Nombreux était nos compatriotes qui ne croyaient plus à la résurrection de notre pays . Et ne pouvaient pas parier sur la capacité d'Ali Bongo Ondimba à refonder la Nation . Tout le monde s'était tromper.

En trois ans , il a prouvé aux Gabonais que " lui , c'est lui " et que , bien qu'assumant l'héritage du passé il était capable de changer la vie avec sa vision : celle de faire du Gabon une nation forte, prospère et solidaire dont la fondation repose sur l'unité et le travail.

Après l'avoir vu à l'oeuvre , bien des gabonais regrette aujourd'hui de ne pas l'avoir eu un peu plus tôt, lui , Ali à la barre du navire Gabon. Il les aurait déjà menés vers des horizons prometteurs.

A preuve , malgré les tempêtes , le navire avance avec sérénité. Et notre pays , qui a accumulé un grand retard sur le plan de son développement économique et social retrouve peu à peu ses marques et sa crédibilité.

Le pays se construit . Les chantiers ne se comptent plus . les investisseurs se bousculent pour trouver une place . Des signes qui ne trompent pas .

Notre pays a retrouvé sa santé d'antan qui faisait notre fierté.

Autre révolution , celle qui bouscule le fondement même de la société gabonaise. Dans le passé, pour accéder aux lumières de la République , il fallait être un homme du sérail , fils à papa, disposer de passe-droits. Désormais , dans le public ou dans le privé , le système Ali9 a institué la " méritocratie ".

Désormais l'appartenance aux castes et aux clans n'est plus la condition de distinction sociale. A l'éducation nationale , l'école devient véritablement républicaine. Les mêmes critères d'octroi de la bourse de l'Etat sont appliqués à tous, fils de riche comme de pauvre.

Devenir un propriétaire n'est bientôt plus un mythe pour des milliers de compatriotes. L'assurance maladie universelle accessible à tous suscite l'admiration de toute l'Afrique. L'Etat de droit qui se consolide ne va pas sans l'établissement de règles et le respect de celles-ci.

Un nouveau vent souffle et nous débarrasse de nos incertitudes d'hier pour nous fixer un cap : le Gabon sera un Etat de droit. La promesse est faite .

Il y aura des audits sur l'utilisation des fonds alloués pour l'organisation des fêtes tournantes. Tous ceux qui seront coupables de détournements de l'argent des contribuables gabonais iront purement et simplement en prison. La fin de l'impunité , n'est-ce-pas là aussi une révolution.

Les multiples chantiers ouverts sur tous les fronts et les mesures sociales au bénéfice du plus grand nombre depuis deux ans par le Président Ali Bongo Ondimba sont des signes encourageants et suscitent espoir. Tout le monde est unanime pour reconnaître que leur aboutissement contribuera à améliorer considérablement le quotidien des citoyens et le visage du Gabon.

Il revient au Chef de l'Etat de maintenir la pression , pour vaincre les forces d'inerties encore tapies dans la haute administration , et d'user aussi de l'arme de la sanction , afin que le train de l'émergence arrive à l'heure.

 

MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA 


14/10/2012

Gabon: Ali Bongo Ondimba réaffirme l’importance de la paix, du développement économique durable et de la préservation de l’environnement

 

 

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Kinshasa, le 14 octobre 2012 – A Kinshasa depuis 2 jours, pour participer au XIVe Sommet de la Francophonie, dont le thème cette année est « Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à la gouvernance mondiale », le Président gabonais Ali Bongo Ondimba a réaffirmé l’importance de la paix, du développement économique durable et de la préservation de l’environnement pour construire l’avenir de l’Afrique mais aussi la nécessité de réformer la gouvernance internationale.

Au cours des travaux sur les « Enjeux environnementaux et économiques » qui se sont tenus ce dimanche 14 octobre, le Président Gabonais s’est exprimé sur la nécessité de trouver des solutions pour faire en sorte que, conflit, pauvreté et dégradation de l’environnement, des problématiques majeurs en Afrique, se transforment en un cercle vertueux de paix, développement économique durable et préservation de l’environnement.

Reprenant les propos de son homologue béninois Yayi Boni, Ali Bongo Ondimba, a déclaré que « l’Afrique a besoin de paix pour se développer » et pour envisager un « avenir qui repose sur des atouts économiques et environnementaux considérables ».

Mais, il est aussi nécessaire de « bâtir des économies robustes, fondées sur une meilleure valorisation des ressources naturelles, sur une plus grande résilience à la volatilité des prix des matières premières, sur une diversification des activités économiques et des partenariats et sur des ressources humaines bien formées ». « La lutte contre le chômage de la jeunesse doit en être le moteur ». a t il ajouté.

De plus, pour le chef d’Etat gabonais, une comptabilité entre les économies africaines et les contraintes environnementales majeures, auxquelles la planète doit faire face, à savoir le changement climatique, l’érosion de la biodiversité et la dégradation des sols, est primordiale.

« La faible empreinte écologique des pays africains membres de la Francophonie, constitue une opportunité de faire de l’espace francophone un exemple de développement durable ». Mais pour cela, les pays doivent bénéficier des savoirs et technologies pour un développement sobre en émission de gaz à effet de serre.

Le chef de l’Etat gabonais a ensuite ajouté que « l’Afrique a besoin d’une gouvernance environnementale mondiale qui soit opérationnelle et à la hauteur des enjeux ». Pour lui, il est important de réformer cette gouvernance internationale.

En effet, « la multiplicité des agences et des programmes ne permet pas d’atteindre la coordination et l’efficacité indispensable à la mise en œuvre des décisions internationales ». De plus, il existe  un « manque de volonté politique au regard des lourdes menaces qui pèsent sur l’avenir de la planète, qui ne permet pas de changer les trajectoires actuelles ; pour preuve, le Monde s’inquiète de l’érosion galopante de la biodiversité indispensable à la vie, mais à ce jour, seuls 6 Etats ont ratifié le protocole de Nagoya », dont le Gabon. Enfin, parce que « la question des biens communs de l’Humanité, doit pouvoir trouver des réponses à la hauteur des inquiétudes et des aspirations des peuples à se développer ».

Le président a conclu son intervention en ajoutant qu’ « une Francophonie dynamique et audacieuse doit pouvoir permettre de contribuer à assainir la gouvernance environnementale mondiale actuelle pour en améliorer les performances».

Les chefs d’Etats et de gouvernements présents ont salué l’intervention du président gabonais qui renforce la déclaration de Kinshasa, adoptée à l’unanimité au terme de ces deux journées de travaux.

Ce XIVe Sommet de la Francophonie a été marqué par un consensus autour de toutes les questions à l’ordre du jour. La Francophonie s'est globalement engagée à soutenir l'Afrique dans tous les domaines, dans sa déclaration de Kinshasa en 60 points, résumant les engagements des 57 pays membres et 20 observateurs. De plus, tout comme le Président gabonais lors de son intervention à la 67e Assemblée Générale des Nations Unies de septembre dernier, l’organisation internationale de la francophonie a de nouveau plaidé pour " l'indispensable réforme du Conseil de sécurité " afin d’y " donner aux pays africains toute leur place ".

Le prochain sommet se tiendra en 2014 à Dakar, au Sénégal.

 

FIN

Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com

 


 

La politique du Gabon Emergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org

 

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Gabon: Le président Ali Bongo Ondimba pose la première pierre de l’École des Mines

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Moanda, le 12 octobre 2012 – S.E. Ali Bongo Ondimba, président de la République Gabonaise, chef de l’État, a posé la première pierre de l’École des Mines et de la Métallurgie de Moanda (Haut-Ogooué), vendredi 12 octobre 2012 en fin de matinée.

Accueilli sous un chaud soleil par les populations et les groupes de danseurs traditionnels, l’hélicoptère présidentiel s’est posé à 10h45 sur la terre rouge des hauts plateaux moandais.

Le chef de l’État a été rejoint pour cette cérémonie - premier événement des célébrations du cinquantenaire de la Comilog – par le Premier ministre, le ministre de l’Industrie et des Mines, le gouverneur de la province, des parlementaires ainsi que l’ambassadeur de France et les représentants des organismes de coopération.

Véritable école d’application d’envergure régionale destinée à former des techniciens supérieurs et des ingénieurs, l’EMMM recrutera dès septembre 2015 à Bac+2 pour conduire les étudiants à un niveau de licence professionnelle/technicien supérieur et à Bac+4 pour atteindre un niveau de maîtrise professionnelle/ingénieur, le tout dans des spécialités variées, de la géologie à la minéralurgie, de l’hydrométallurgie à la pyrométallurgie.

La première promotion de techniciens sera diplômée fin 2016 et la première promotion d’ingénieurs sera diplômée en juin 2017.

Audacieux projet du cabinet librevillois Maïssa-Architectures, l’établissement se présente pour l’heure sous la forme d’une maquette d’écrin minéral, tout en transparence et en découpes nettes et obliques, traversé de murs rideaux à ossature de bois.

Une création tendue vers la forêt environnante dans les courbes draineront les eaux de pluie et dégageront des volumes intérieurs naturellement ventilés par l’emprisonnement de l’air chaud dans des plénums.

L’École des mines et de la métallurgie de Moanda est un projet important qui s'insère dans la politique du " Gabon émergent " initiée par le président Ali Bongo Ondimba et qui répond à la volonté des autorités gabonaises de développer les compétences de ses cadres nationaux dans un secteur minier appelé à se développer.

À l’horizon 2020, le Gabon « doit devenir un pôle métallurgique avec un tissu de PME-PMI », indiquait en 2011 le président de la République. Le campus de l’EMMM, bénéficiera du savoir-faire du pôle Mines de Nancy qui pilotera un consortium composé de l’École nationale supérieure de géologie de Nancy, l’École des mines de Nancy, l’Université de Lorraine, l’École des mines de Paris, l’École des mines d’Alès, et l’Université de Montpellier II.

Comme l’a souligné, dans son allocution, le ministre de l’Industrie et des Mines Régis Immongault Tatangani, « l’avenir est dans la transformation du minerai au Gabon, afin de développer une chaîne de valeur autour d’une grappe d’entreprises sous-traitantes locales ».

Avant de poursuivre, à l’adresse de la Comilog : « Moanda hébergera un pôle de compétitivité où entreront en synergie les technologies extractives, l’ingénierie financière et l’espace cognitif ; pour cela, il nous faut des entreprises citoyennes qui prennent en compte le développement social et les codes environnementaux. »

Prenant la parole devant le président Bongo Ondimba, le PDG du groupe français Eramet-Comilog, Patrick Buffet, a souligné la nécessité de poursuivre « l’œuvre et l’esprit des bâtisseurs » à l’origine de la mise en exploitation du gisement de manganèse de Moanda il y a exactement cinquante ans.

« Comilog – qui demeure un des premiers employeurs du pays - va connaître une mutation et se tourner plus que jamais vers le futur, avec cette école exceptionnelle et le Complexe Métallurgique de Moanda (C2M) », dont le chantier a pu être visité par Ali Bongo Ondimba lors de cette même journée.

Concrétisation du vœu de feu le président Omar Bongo Ondimba de transformer localement les matières premières, ce site déployé sur 50 ha et opéré par 400 postes de travail produira à la fin 2013 quelque 65 000 tonnes de silicomanganèse et 20 000 tonnes de manganèse métal. Objectif : faire de Comilog un « leader mondial gabonais ».


FIN

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La politique du Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

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12/10/2012

Gabon: Le Président Ali Bongo Ondimba sur le front de la lutte contre la vie chère

 

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Libreville, le 11 octobre 2012 – Le Président Ali Bongo Ondimba s’est rendu aujourd’hui dans des quartiers populaires de Libreville pour constater personnellement si ses directives de lutte contre la vie chère étaient appliquées. Face à des manquements, il a dénoncé le comportement de certains commerçants du secteur de la distribution et a appelé les consommateurs à la vigilance.

Engagé pour l’amélioration concrète des conditions de vie de ses concitoyens, le chef de l’Etat s’est rendu en premier lieu au Port Môle dans un supermarché San Gel et un magasin de ventes de gros. 

En s’entretenant avec des consommateurs présents, il a pu constater que plusieurs produits alimentaires (viandes, surgelés) enregistraient une baisse sensible entre 10 et 15 %. Une baisse des prix rendue également visible par le système de double étiquetage mis en place et qui répond à la demande de l’Etat pour que les commerçants et distributeurs s’inscrivent dans une démarche transparente et responsable contre la vie chère.

Face aux questions du Président, des commerçants ont également expliqué que les prix de certaines catégories d’aliment, tels les produits laitiers, ne baissaient pas car bénéficiant déjà depuis près d’un an d’une mesure d’accompagnement de la part de l’Etat.

Le chef de l’Etat a ensuite effectué une visite dans le quartier de Mont-Boët où il a inspecté un magasin de ventes au détail et des étals où il a du constaté une situation différente. Les commerçants et les acheteurs avec lesquels le Président s’est entretenu n’ont pas pour leur part constaté de baisse et l’ont expliqué par le fait que certains intermédiaires ne répercutent pas la baisse dont ils bénéficient à leur niveau.

« Lorsque que l’Etat prend des mesures sociales pour aider nos concitoyens, il n’est pas normal que des commerçants véreux gagnent sur le dos de l’Etat et des Gabonais», a déclaré le Président Ali Bongo Ondimba qui a appelé les associations de consommateurs à mettre en place des équipes pour vérifier sur le terrain la bonne application des mesures gouvernementales.

 

Des mesures concrètes pour lutter contre la vie chère

 

Le 6 septembre dernier, le Conseil des Ministres a pris la décision de suspendre les droits de douanes et la TVA, pour une durée de quatre mois à compter de septembre sur neuf groupes de produits. Il s’agit d’assurer une baisse effective des prix du poisson (frais et salé),de la viande (bovine et porcine), de la volaille (poule, poulet et dinde), du riz , du lait (poudre et concentré), des conserves de légumes (petits pois et tomates concentrées), des fruits et légumes, des pâtes alimentaires (spaghettis et macaronis), et des conserves de poisson (sardines et maquereaux).

Les coûts supportés par l'Etat gabonais à travers cette suspension sont de l'ordre de 11 milliards de FCFA. Ce coût constitue une aide à l’importateur qui a pour obligation de répercuter ce gain sur ses prix : il s’agit donc d’une subvention indirecte au consommateur de l’ordre de 2,75 milliards FCFA par mois.


Cette mesure s’inscrit dans un corpus d’actions convergentes tourné vers un seul et même objectif : faire la guerre à la vie chère.

 

* L’Etat a signé le 15 aout dernier, deux arrêtés gouvernementaux qui mettent en place un plafonnement des prix de 64 produits de consommation courante.

* Le Gouvernement a maintenu la subvention sur le prix de la farine pour éviter l’envolée des prix des produits tels que le pain. A cet égard, plus de cinq milliards quatre cent millions de francs CFA ont été alloués en 2011, pour six milliards trois cent millions de francs CFA attendus pour cette année, à la SMAG. Soit près de douze (12) milliards de francs CFA en deux ans.

* Un mécanisme de compensation a été mis en œuvre pour assurer au consommateur un prix raisonnable des produits tels que le riz blanc ou les produits laitiers. Le coût de cette mesure est évalué à près de 37 milliards de FCFA depuis sa mise en œuvre.

* Un taux de TVA réduit à 10 % a été appliqué sur de nombreux produits, en particulier le carburant destiné à la pêche. Ce qui revient à subventionner le gasoil à concurrence de deux milliards et demi de francs CFA par an.

* Une réduction de 15 % de la contribution spéciale sur le mètre cube d’eau, la réduction de 2,5% de la contribution spéciale sur le kilowatt/heure d’électricité, la réduction du prix du gaz butane à 5450 FCFA et la réduction de la redevance compteur sur les factures de consommation d’électricité.

FIN

 

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La politique du Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

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11/10/2012

Gabon: Conférence de presse du Porte Parole de la Présidence de la République , Alain Claude Bilie By Nzé

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                      CONFERENCE DE PRESSE DU JEUDI 11 OCTOBRE 2012

                                                  ORDRE DU JOUR

I/- LES PRECISIONS SUR LE DEBAT RELATIF A L’INTRODUCTION DE L’ANGLAIS COMME DEUXIEME LANGUE AU GABON

II/- LA VISITE DE TRAVAIL ET D’AMITIE DU CHEF DE L’ETAT AU RWANDA

III/- AGENDA DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

A/- Sommet de la Francophonie à KINSHAHSA EN RDC : du 13 -14 octobre 2012

B/- Journées Européennes de Développement à Bruxelles au ROYAUME DE Belgique : les 16 et 17 octobre

C/- Visite inopinée du Chef de l’Etat dans certains centres commerciaux

D/-participation du Chef de l’Etat au cinquantième anniversaire de COMILOG

IV/- QUESTIONS DE SECURITE, D’HYGIENE ET DE SANTE PUBLIQUE 


I/- LES PRECISIONS SUR LE DEBAT RELATIF A L’INTRODUCTION DE L’ANGLAIS COMME DEUXIEME LANGUE AU GABON

Au cours de notre dernière conférence de presse, j’ai annoncé que le Président de la République se rendrait à KIGALI au RWANDA du 5 au 6 octobre 2012.

Au lendemain de cette annonce, grande a été notre surprise d’apprendre par des médias surtout français que le GABON allait adopter l’Anglais comme deuxième langue et sortir progressivement de la Francophonie.

A ce sujet, il est à relever l’acharnement systématique et sans fondement de certains médias français à l’encontre du Gabon à l’occasion des choix politiques opérés par ce pays souverain.

Il est également à rappeler que le GABON compte parmi les Etats fondateurs de l’Agence de Coopération Culturelle et Technique (ACCT), ancêtre de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

Le Gabon abrite le siège sous-régional de cette organisation pour l’Afrique Centrale, l’Océan indien et une partie de l’Afrique Australe.

Le Gabon a toujours pris part à tous les sommets de la Francophonie et entend y rester et affirmer sa place parmi les pays leaders de la langue française.

Sur les soixante quinze (75) Etats membres de l’OIF, le Gabon fait partie du groupe des trente deux (32) Etats qui ont adopté le Français comme langue officielle de travail. La constitution gabonaise l’a consacré en son article 2.

En outre, le Gabon de par sa multitude de langues locales utilise le Français comme langue d’échange dans la vie courante. C’est fort de toutes ces réalités que le Gabon ne saurait se soustraire, comme le prétend une certaine presse, de l’usage de la langue française.

Il est également à noter que le Gabon et la France ont adopté le principe des équivalences de plein droit de leurs diplômes. Il faut donc pour cela que les enseignements dispensés au Gabon soient arrimés à ceux donnés en France.

La France a pris de l’avance sur l’enseignement de l’Anglais, il est normal que le Gabon lui emboîte le pas. L’OIF, il faut le rappeler, poursuit entre autres buts la promotion de la diversité culturelle et linguistique.

Cette diversité doit se vivre par l’ouverture aux autres et aux autres langues. Tel est le choix fait par les hautes autorités gabonaises en introduisant l’enseignement de l’Anglais à partir du pré-primaire.

Ce choix délibéré résulte d’une consultation, les Etats Généraux de l’Education convoqués par le Président de la République dont les résolutions ont abouti au vote de la loi n°21/2011 du 14 février 2012 portant orientation générale de l’éducation, de la formation et de la recherche.

En son article 6, cette loi stipule que : « Les curricula, les offres de formation, les infrastructures et les équipements d’enseignement et de formation, doivent, à cet effet, permettre, selon les niveaux, l’appropriation des connaissances et des compétences en matière :

- de formation à la citoyenneté sociale, sociétale, civique et environnementale ;

- de langues locales ;

- de Français ;

- d’Anglais dès le pré-primaire ;

- d’une deuxième langue étrangère dès la sixième, au choix entre l’espagnol, l’arabe, l’allemand, le mandarin, le kiswahili, le russe ou le portugais ;

- des sciences et technologies ;

- des disciplines d’éveil ;

- des technologies de l’information et de la communication ;

- d’activités socio-éducatives et sportives ».

Sur la scène internationale, la maîtrise de plusieurs langues, dont l’anglais, est un atout indéniable dans le cadre des échanges dans un monde de plus en plus globalisant.

Cette réalité est vivante dans l’espace francophone où nombre de pays s’expriment dans des langues autres que le français lors des grandes rencontres internationales comme ce fut le cas, en septembre 2011, au cours du débat général de la 66ième session de l’Assemblée Générale des Nations Unies.

En effet, sur 72 pays membres de l’OIF présents à ces assises, 21 se sont exprimés exclusivement en Anglais, 5 partiellement en français et 21 autres dans des langues tierces.

Seulement 22 Etats dont le GABON se sont exprimés entièrement en français, marquant ainsi leur attachement à la langue française et à la Francophonie.

L’usage d’une autre langue n’a jamais posé de problème au sein de la famille francophone car l’OIF admet comme membres des pays dont la langue officielle n’est pas le français.

C’est le cas du Vietnam, membre de l’OIF depuis 1970 et qui a pour langue officielle le vietnamien. Ce sont aussi les cas de la Géorgie et du Ghana qui ont respectivement pour langues officielles le géorgien et l’anglais.

En résumé Le Gabon a pris une loi qui introduit l’enseignement de l’anglais dès le pré-primaire, il est normal, pour cela, que nous examinons des modèles qui existent en la matière de par le monde.

En outre, le Président de la République a décidé de diversifier nos partenaires au développement et ceci passe par la maîtrise des langues les plus parlées dans le monde.


II/- LA VISITE DE TRAVAIL ET D’AMITIE DU CHEF DE L’ETAT AU RWANDA 2012

Le Président de la République gabonaise, Ali BONGO ONDIMBA, a effectué une visite officielle de travail et d’amitié, du 5 au 6 octobre dernier à KIGALI au RWANDA, sur invitation de son homologue Paul KAGAME.

Les présidents gabonais et rwandais ont mis à profit ce séjour pour réchauffer et raffermir des liens de coopération qui unissent nos pays depuis les années 70.

Ils ont à cet effet passé en revue les différents accords signés entre le Gabon et le Rwanda. Il s’agit de :

- l’accord général de coopération signé le 30 septembre 1976 à Libreville ;

- l’accord relatif à la libre circulation des personnes, des biens, à l’emploi et à l’établissement signé le 30 septembre 1976 à Libreville ;

- l’accord commercial signé le 30 septembre 1976 à Libreville ;

- l’accord de coopération culturelle signé le 30 septembre 1976 à Libreville ;

- l’accord relatif au transport aérien signé le 30 septembre 1976 à Libreville ;

- l’accord inter universitaire entre l’Université des Sciences de Masuku et l’Université du Rwanda signé à Kigali le 03 août 1989 ;

- l’accord de coopération inter universités entre l’UOB et l’Université du Rwanda signé à Kigali le 03 août 1989 ;

- l’accord relatif au transport aérien signé à Kigali le 19 mai 2011 ;

- l’accord relatif à l’exemption des visas pour les détenteurs des passeports diplomatiques, officiels ou de service signé à Kigali le 19 mai 2011 ;

- l’accord entre l’Agence de Promotion des Investissements du Gabon et l’Office pour la Promotion du Développement du Rwanda signé à Kigali le 19 mai 2011.


III/- AGENDA DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE


A/- Sommet de la Francophonie à KINSHAHSA EN RDC : du 13 -14 octobre 2012

Le Sommet de Kinshasa qui aura lieu les 13 et 14 octobre 2012, marque la XIVème Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernements des pays ayant le français en partage.

Le thème de ce sommet est : « Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à/dans la gouvernance mondiale ». Le Chef de l’Etat gabonais prendra part à ces assises.

Selon le programme officiel, la journée du 13 octobre sera consacrée à la phase protocolaire marquée, entre autres, par la cérémonie d’ouverture et la passation des pouvoirs entre la Suisse et la RDC qui préside le sommet.

La journée du 14 octobre est principalement réservée aux communications sur les thèmes suivants :

1. Langue française, diversité culturelle et éducation

2. Enjeux environnementaux et économiques

3. L’Afrique dans la Francophonie et dans la gouvernance mondiale

Ces communications seront suivies de celles de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie et des Etats associés.


B/- Journées Européennes de Développement à Bruxelles au ROYAUME DE Belgique : les 16 et 17 octobre


CONTEXTE

Les Journées Européennes de Développement 2012 sont des forums internationaux d’affaires sur la coopération pour le développement.

Elles sont l’occasion, pour un grand nombre de décideurs du monde de débattre et d’émettre des recommandations, proposer des modèles innovants et des approches nouvelles de partenariat public privé, susceptibles de contribuer à la création d’opportunités économiques pour les pays en voie de développement.

Ces journées sont nées de la volonté de la Commission Européenne de voir accroitre l’impact de sa politique de développement.

Ainsi, en 2011, la Commission Européenne met en place des mécanismes devant lui permettre de remplir les objectifs suivants en faveur des Etats en voie de développement :

- Accroître la compétitivité du secteur privé en renforçant la capacité institutionnelle et économique;

- Mener un plaidoyer en faveur d’un cadre législatif de réformes régulatrices et sa mise en œuvre – impliquant le recours aux technologies de l’information comme support de croissance dans tous les secteurs ;

- Faciliter l’accès aux affaires et services financiers et promouvoir les politiques industrielles innovantes.


ENJEUX

Pour cette édition 2012, on note particulièrement la participation de décideurs africains de la nouvelle génération, dont le Président Ali BONGO ONDIMBA du Gabon et le Président Macky SALL du Sénégal.

Ceci est un signal fort qui marque l’ambition de ces hommes d’Etat à participer pleinement à la croissance du secteur privé du continent africain et à rappeler le positionnement stratégique de ce continent sur l’échiquier économique mondial hautement représenté à cette occasion.

Les leaders africains vont donc à l’occasion identifier les moyens par lesquels l’aide européenne au développement peut aider à la promotion du secteur privé et à la création d’un environnement d’affaires plus propice en Afrique, pour mieux lutter contre la pauvreté dans le continent.

C/- Visite inopinée du Chef de l’Etat dans certains centres commerciaux.

Dans le but de trouver une solution idoine à la flambée des prix observée dans notre pays depuis un certain temps, le Gouvernement a opté pour le plafonnement des prix d’une soixante-dizaine de produits de première nécessité.

Un mois plus tard, le Président de la République a procédé ce matin à une visite inopinée de certains établissements commerciaux massivement fréquentés par les gabonais (SAN GEL, CKDO GEANT, etc.).

Cette visite avait pour objectif de constater l’effectivité de la baisse des prix de certains produits de grande consommation sur le terrain après les mesures prises par l’Etat gabonais.

Il faut rappeler que le Chef de l’Etat, dans le souci permanent de créer des conditions de vies meilleures à tous les gabonais, sans distinction de couches sociales, a voulu par cette descente de terrain, toucher du doigt la situation réelle sur le marché.

Le constat est acceptable mais, nous le savons tous, dans notre pays la problématique de la baisse et du respect des prix homologués est toujours nourrie par deux difficultés : le respect des mesures par les commerçants et la probité de certains agents contrôleurs qui ne font pas souvent correctement leur travail.

Le Ministère du Commerce, par sa Direction Générale de la Concurrence et de la Consommation devrait effectivement veiller au respect des prix homologués.

D/-Participation du Chef de l’Etat au cinquantième anniversaire de COMILOG

Le Président de la République, son Excellence Ali BONGO ONDIMBA se rendra prochainement à Moanda où la Compagnie Minière de l’Ogooué (COMILOG) fêtera ses 50 ans de présence au Gabon. Le Chef de l’Etat mettra à profit son séjour pour se rendre compte de l’état d’avancement des travaux de l’Ecole des mines.


IV/- Questions de sécurité, d’hygiène et de santé publique

A/-Destruction d’un stock de munitions

L’armée gabonaise a procédé le lundi 8 octobre dernier à la destruction de stocks de munitions dans à AYEME sur la Nationale. Cette opération prévue de longue date s’est déroulée en présence de certains personnels de l’Ambassade de France.

L’objectif de cette opération basée sur les principes de précaution, de prévention et de prudence visait à débarrasser les stocks des munitions hors d’usage et donc susceptibles de représenter un danger potentiel.

Rappelons que le principe de précaution, emprunté au domaine de l’environnement et de la santé vise les risques dont ni l’ampleur, ni la probabilité d’occurrence ne peuvent être calculés avec certitude.

Le principe de prévention vise les risques avérés, ceux dont l’existence est démontrée ou connue sans toutefois qu’on puisse estimer la fréquence d’occurrence.

Enfin, le principe de prudence vise quant à lui des risques avérés dont on peut estimer la fréquence d’occurrence.

C’est donc dans un souci de sécurisation des installations que cette action a été menée sur plusieurs éléments notamment :

- 387 fusils

- Des roquettes

- RPC 7

- Des obus de mortiers et d’engins blindés

- Des bombes

- Des munitions de petits calibres

Par ce type d’opérations qui entre dans le cadre de la gestion des stocks des munitions et autres types d’armements, il va sans dire que l’Etat Gabonais accorde la plus haute importance à la sécurité des biens et des personnes vivant sur son territoire.

B/- Hygiène et santé publique: état d’insalubrité de Libreville

Avec la rentrée scolaire, la circulation des personnes et des véhicules a repris activement dans les rues de Libreville. Malheureusement, tout le monde a pu se rendre compte de l’état d’insalubrité dans lequel se trouvent la majorité des quartiers de Libreville.

Le Chef de l’Etat, scandalisé par cet état de décrépitude de la ville au regard des tas d’immondices qui jonchent les rues de notre capitale, a tenu à marquer son indignation face à cette situation de délabrement de la ville d’une part, et dénonce avec la plus grande fermeté l’incapacité des différents acteurs du dossier à trouver des solutions pérennes afin de garantir l’assainissement de la ville.

Il est vrai que ce dossier relève du gouvernement, de l’Hôtel de ville de Libreville et des partenaires privés commis à l’enlèvement des déchets ménagers.

Toutefois, au regard de la gravité de la situation, car l’état d’insalubrité régnant, ajouté au retour des pluies en cette période de rentrée scolaire, augmentent de façon critique le risque de maladies, le Président Ali BONGO ONDIMBA qui a pour mission de protéger l’intégrité du territoire, mais également la santé des populations, interpelle les différents acteurs du dossier de l’assainissement de la ville afin qu’ils prennent leurs responsabilités, chacun en ce qui le concerne, en vue de trouver dans les meilleurs délais des solutions à ce problème de santé publique.

A l’heure où le Gabon s’active dans la réalisation des projets de sa nouvelle politique urbaine, dans la lignée du Gabon Emergent visant à offrir un cadre de vie décent à tous les gabonais, le Chef de l’Etat réitère sa préoccupation de voir la ville de Libreville débarrassée une fois pour toutes de ces déchets ménagers qui ternissent la beauté de notre capitale et démontre l’incapacité des acteurs en charge du dossier de mener à bien les missions pour lesquelles ils ont été désignés.


05/10/2012

Gabon: Un Conseiller du Président échappe de nouveau à une tentative d'assassinat à son domicile

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Après avoir échapper de justesse à un assassinat par Franck Nguéma , DG de TV+ ( chaine nazi-fasciste d'André Mba Obame):

http://legabonemergent.nordblogs.com/archive/2012/09/29/g... , 

le Conseiller du Président Raphael Ntoutoume Nkoghe échappe de nouveau à une nouvelle tentative d'assassinat , cette fois , à son domicile. 

En effet , cette nuit du jeudi 4 au vendredi 5 octobre 2012 , un commando de barbouzes engagoulés et armés jusqu'aux dents ont pénétrés dans le domicile du Conseiller du Président Raphael Ntoutoume Nkoghe .

N'ayant pu pénétrer dans la maison , les barbouzes ont massacrés sauvagemment tous les animaux qui étaient élévés dans le poulailler du jardin , en guise d'intimidations et de mise en garde.

Des évènements comme celui-ci où des gens cagoulés viennent faire des massacres, prouvent bien qu’il y a de grandes violences programmés par les chefs du gang nazi-fasciste de l'ex UN.

Un mode opératoire qui laissent clairement apparaître les méthodes de la gestapo familiers à nos nouveaux opposants moutouki. 

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Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du Jeudi 04 Octobre 2012

 

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A l’entame des travaux, le Conseil des Ministres a salué la vaillance et la détermination de l’Homme d’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA qui, fidèle à la dynamique effectivement impulsée, pour la concrétisation du programme national « l’Avenir en Confiance » sillonne inlassablement les continents, affirmant son attachement indéfectible à l’Etat de droit, au respect des Institutions, au bien être des populations et au développement de notre pays. 

En effet, dans le cadre de l’intense actualité diplomatique, qu’il déploie depuis son accession à la magistrature suprême, le Président de la République Chef de l’Etat, s’est tour à tour rendu aux Etats-Unis d’Amérique et à Cuba. 

A New York, le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris une part effective à la 67è Assemblée Générale des Nations Unies. 

Face aux défis auxquels fait face la Communauté Internationale, le Président de la République Chef de l’Etat du haut de la tribune des Nations Unies a prôné la coopération entre les Etats ainsi que la prise en compte des aspirations légitimes et existentielles des peuples. 

Le Président de la République Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBAa réaffirmé la volonté politique du Gabon à œuvrer pour la démocratie, le respect des droits de l’homme, le dialogue politique dans le respect somme toute évident et indispensable des Institutions en place et des lois en vigueur. 

Le Président de la République Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA,a réaffirmé à cette occasion son engagement à explorer toutes les pistes qui peuvent contribuer au maintien de la paix, don précieux légué par Son Illustre Prédécesseur au Gabon ; et à rechercher nos dénominateurs communs et nos différences positives, en vue de l’affirmation de la souveraineté des Etats. 

Pour le Président de la République, Chef de l’Etat, l’enracinement de l’Etat de Droit repose sur une justice indépendante, impartiale, permettant de garantir la paix sociale et la sécurité. 

Le Président de la République, Chef de l’Etat n’a pas manqué de faire savoir que la priorité majeure demeure la satisfaction légitime des aspirations existentielles et universelles des populations. 

La présence du Président de la République Chef de l’Etat à la 67è Assemblée Générale des Nations Unies démontre, sil en était encore besoin, l’intérêt qu’il accorde à une démocratie multilatérale à la faveur d’une tribune qui réunit la plupart des pays du monde. 

En marge des travaux, le Président de la République Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, qui poursuit irréversiblement une politique de diversification de l’économie, a profité de son séjour à New York pour faire la promotion des opportunités d’investissement dans notre cher pays. 

Par ailleurs, le Président de la République Chef de l’Etat a accordé une audience au Secrétaire Exécutif de l’ONUSIDA. Au cours de cet échange, Monsieur SIDIBE, a présenté un bilan de la résolution 1983 et émis le vœu de voir le Président de la République prendre le leadership de cette résolution historique sur le thème : « Impact de la pandémie du VIH/SIDA sur la paix et la sécurité internationale ». 

A cet effet, le Président de la République Chef de l’Etat a marqué son accord pour l’organisation d’une conférence à Libreville, rappelant la nécessité impérieuse d’apporter une réponse internationale pour enrayer la propagation du VIH/SIDA à travers le monde, notamment lors des conflits armés. 

A la Havane, le Président de la République Chef de l’Etat, Son Excellence Raoul CASTRO et Son Homologue Ali BONGO ONDIMBA, ont échangé sur les récentes réformes engagées dans leurs pays respectifs. Les deux homologues ont exprimé la nécessité d’améliorer et d’intensifier leurs relations bilatérales. 

Dans cette optique, un partenariat sur le plan sanitaire a été enrichi et formalisé, en vue de l’éradication de certaines pandémies. Une convention relative au renforcement et à la dynamisation de la brigade médicale cubaine composée de nombreux médecins et pharmaciens déjà présents dans des unités sanitaires depuis le premier accord datant de l’année 2004, convention portant également sur les bourses de formation, a été signée. 

Ces séjours du Président de la République Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, permettent ainsi d’amplifier le rôle et la place de notre pays au sein des organismes internationaux notamment ceux du système des Nations Unies, et de consolider les liens de coopération avec nos différents partenaires, conformément à l’axe numéro 4 de notre programme de Société « l’Avenir en Confiance ».

 

AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES

 

MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

 

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté les trois (3) projets de textes suivants : 

· le projet de loi instituant la Charte Culturelle en République Gabonaise ; 

· le projet de décret portant modification de certaines dispositions du décret n° 000453/PR/MCAEP du 23 Mai 2006 fixant la tarification des redevances des droits d’auteur ; 

· le projet de décret portant attributions, organisation et fonctionnement de l’Agence Nationale de Promotion Artistique et Culturelle. 

Pris en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, le premier texte dispose que la culture et le droit à la culture font partie intégrante des droits de l’Homme, et que la coexistence des cultures et le vouloir vivre ensemble sont le creuset de l’unité nationale. 

S’agissant du deuxième texte, il modifie respectivement les articles 3, 4, 7, 13 et 15 du décret n° 000453/PR/MCAEP du 23 Mai 2006 susvisé. 

Aussi, se lisent-ils désormais ainsi qu’il suit : 

« Article 3 nouveau : Tarif A2 : Ce tarif est relatif à l’utilisation des œuvres de l’esprit dans la réalisation et la diffusion d’éléments publicitaires sonores et/ou visuels au moyen des panneaux et véhicules publicitaires. 

La conception d’éléments publicitaires utilisant les œuvres de l’esprit est obligatoirement assujettie à une licence délivrée par le Bureau Gabonais des Droits d’Auteur et des Droits Voisins (BUGADA). 

Tarif C : Ce tarif est relatif à l’édition d’œuvres littéraires et assimilés. 

Un timbre fourni par le BUGADA doit être fixé de façon visible sur les phonogrammes et les vidéogrammes. 

Les distributeurs sont tenus, avant tout dédouanement de marchandise, de se prémunir d’une quittance du BUGADA ». 

« Article 4 nouveau : Les redevances des droits d’auteur et des droits voisins sont versées dans un compte ouvert au nom du BUGADA au Trésor Public ». 

« Article 7 nouveau : Toute reproduction mécanique est subordonnée au paiement préalable au BUGADA d’un droit appelé : droit mécanique » 

« Article 13 nouveau : L’exploitation ou l’utilisation en public d’une œuvre littéraire, scientifique ou artistique protégée aux termes de la loi n° 1/87 du 29/7/1987 instituant la protection du droit d’auteur et des droits voisins en République Gabonaise est soumise à l’autorisation du BUGADA. 

Cette autorisation est délivrée après la demande d’exploitation formulée par le requérant et l’acquittement par ce dernier des redevances des droits d’auteur y relatives ». 

« Article 15 nouveau : La perception des redevances des droits d’auteur et des droits voisins est effectuée par le BUGADA. 

Toutefois, les services compétents chargés de la perception peuvent avoir recours aux autres services de l’Etat ». 

Le troisième texte, quant à lui, vient combler un vide juridique existant aussi bien dans la structure que dans les missions dévolues à l’Agence Nationale de Promotion Artistique et Culturelle (ANPAC). 

Pour son fonctionnement, l’ANPAC est composée : 

· d’un Conseil d’Administration ;

· d’une Direction Générale comprenant quatre (4) Directions et douze (12) Services. 

 

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION 

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui les a adoptés, un projet de loi et un projet de décret : 

· projet de loi portant modification de certaines dispositions de la loi 7/96 du 12 Mars 1996 portant dispositions communes à toutes les élections politiques ; 

· projet de décret déterminant les mentions obligatoires devant figurer sur la carte d’électeur. 

S’agissant du projet de loi, les modifications apportées résultent de l’application de la biométrie dans notre système électoral et concernent essentiellement : 

· la définition des termes « enrôlement » et « inscription » ; 

· la durée de l’enrôlement ; 

· la réduction des délais de réclamation et de recours ; 

· les autorités compétentes pour la confection de la liste électorale ; 

· la nature des données à collecter lors de l’enrôlement ; 

· la juridiction compétente : le Conseil d’Etat à la place des tribunaux administratifs. 

Au terme de cette loi, les dispositions des articles 37, 38, 39, 40, 45, 46, 48, 50, 115, 116, 117 et 118 de la loi 7/96 susvisée se lisent désormais comme suit : 

« Article 37 nouveau : Au sens de la présente loi, on entend par : 

- enrôlement : l’opération de collecte des données relatives à l’état-civil et aux données à caractère biométrique des citoyens en vue de leur inscription sur la liste électorale ; 

- inscription : l’opération qui consiste à enregistrer sur la liste électorale les citoyens remplissant les conditions pour être électeur. 

Chaque électeur s’enrôle dans une seule circonscription électorale et dans un seul centre de vote. 

Lors de son enrôlement, il est procédé au recueil et à l’enregistrement de son identité. L’identité comporte les informations relatives à l’état-civil et à celles permettant l’identification, notamment la photographie et les empreintes digitales. 

Les conditions et modalités d’application des dispositions relatives à l’identification sont fixées par voie réglementaire.

La liste électorale est permanente. Elle est établie par le Ministère de l’Intérieur sur la base des données personnelles sus-mentionnées collectées par les autorités administratives compétentes dont la liste sera fixée par voie réglementaire, avec la participation des représentants de la Commission Electorale Nationale Autonome et Permanente. 

Cette liste fait l’objet d’une révision annuelle avec la participation des représentants de la Commission Electorale Nationale Autonome et Permanente. 

La durée de l’enrôlement est de quarante cinq jours. Celle-ci peut faire l’objet d’une prorogation dont la durée est fixée par arrêté du Ministre chargé de l’Intérieur. Cette prorogation ne peut excéder quinze (15) jours. 

Pour l’accomplissement des formalités précitées, des commissions d’enrôlement sont mises en place dans chaque province par le Gouverneur. Elles comprennent, outre les représentants de l’Administration, ceux désignés par la Commission Electorale Nationale Autonome et Permanente. 

Les compétences et modalités de fonctionnement de ces commissions sont fixées par voie réglementaire. 

En cas d’élection présidentielle anticipée, la période d’enrôlement est fixée par voie réglementaire. Des commissions d’enrôlement sont mises en place à cet effet dans chaque mission diplomatique et consulaire du Gabon par le Chef de la mission. 

En cas d’élection partielle des députés, des sénateurs ou des membres des conseils locaux, la liste de la dernière élection politique tient lieu de liste du scrutin considéré, sous réserve des corrections nécessaires ». 

« Article 38 nouveau : les électeurs décédés sont radiés de la liste électorale aussitôt que l’acte de décès a été dressé. Tout électeur a le droit d’exiger cette radiation ». 

« Article 39 nouveau : Toutes les réclamations sont inscrites par ordre chronologique sur un registre après présentation du récépissé d’enrôlement. 

Il est procédé à l’authentification du récépissé d’enrôlement de l’électeur par l’autorité administrative dont dépend la commission d’enrôlement concernée. 

Les réclamations doivent être formulées auprès de l’autorité administrative locale dans un délai de quarante-huit heures à compter de la date d’affichage de la liste électorale provisoire. 

L’autorité administrative locale saisie, transmet les réclamations au Ministre chargé de l’Intérieur dans un délai de quarante-huit heures. 

Le Ministre chargé de l’Intérieur statue sur les réclamations qui lui sont présentées dans un délai de trois (3) jours à compter de sa saisine. 

La décision du Ministre chargé de l’Intérieur est notifiée à l’intéressé dans un délai de trois (3) jours. 

En cas d’élection présidentielle anticipée, les délais de réclamation sont fixés par voie réglementaire ». 

« Article 40 nouveau : L’électeur qui conteste la décision du Ministre chargé de l’Intérieur peut exercer un recours devant le Conseil d’Etat, conformément aux dispositions des articles 115 à 118 de la présente loi. 

Le Conseil d’Etat connaît également des recours des personnes résidant à l’étranger ». 

« Article 45 nouveau : L’enrôlement d’un citoyen donne lieu à la délivrance d’un récépissé d’enrôlement ». 

« Article 46 nouveau : Doivent figurer sur la liste électorale : le numéro d’ordre, le code électeur, l’identifiant unique, le nom patronymique, le nom d’épouse s’il y a lieu, les prénoms, la profession, le domicile ou la résidence, la date et le lieu de naissance et la photographie de l’électeur ». 

« Article 48 nouveau : Sont inscrits sur la liste électorale d’une circonscription ou d’une section électorale, les citoyens gabonais des deux sexes remplissant les conditions suivantes : 

- avoir dix huit (18) ans révolus ; 

- jouir de ses droits civils ; 

- être né dans la circonscription électorale ou, avoir un domicile ou une résidence notoirement connue depuis douze (12) mois, ou y posséder des intérêts économiques notoirement connus ou des intérêts familiaux régulièrement entretenus.

L’enrôlement se fait sur présentation : 

Pour les citoyens gabonais d’origine :

- d’un acte de naissance légalisé ou d’un jugement supplétif et de la carte nationale d’identité s’il y a lieu.

Pour les citoyens gabonais naturalisés :

- d’un décret de naturalisation et un certificat d’authenticité délivré par la Présidence de la République ou d’un jugement de naturalisation et un certificat de conformité délivré par la juridiction compétente.

Pour les citoyens gabonais nés à l’étranger

- d’un acte de naissance dressé par l’autorité diplomatique ou consulaire gabonaise habilité, ou d’un acte de naissance transcrit par une commune gabonaise.

Au moment de l’enrôlement, sont relevés, le nom patronymique, le nom d’épouse, s’il y a lieu, les prénoms, la date et le lieu de naissance, le domicile ou la résidence, la profession, l’adresse, le centre de vote et les données biométriques nécessaires à l’identification de l’électeur. 

« Article 50 nouveau : Nul ne peut être enrôlé dans plusieurs centres de vote. En cas d’enrôlements multiples, l’électeur est maintenu d’office sur la liste électorale de son premier enrôlement. » 

« Article 115 nouveau : Tout auteur d’une réclamation concernant l’enrôlement qui conteste la décision intervenue peut, conformément aux dispositions des articles 39 et 40 de la présente loi, exercer un recours devant le Conseil d’Etat dans un délai de huit (8) jours à compter de celle-ci. » 

« Article 116 nouveau : Le Conseil d’Etat saisi d’un recours notifie la requête aux parties intéressées dès réception et statue dans les cinq jours, après communication de la date de l’audience à toutes les parties au plus tard quarante huit (48) heures avant sa tenue. » 

« Article 117 nouveau : En cas de doute sur la nationalité de l’auteur de la demande d’enregistrement sur une liste électorale ou dans le cas d’une question préjudicielle touchant l’état des personnes, le Conseil d’Etat est seul compétent pour recevoir la requête en contestation. Il renvoie les parties devant le tribunal compétent, à charge pour elles de justifier de leur diligence dans un délai de huit (8) jours. » 

« Article 118 nouveau : Le Conseil d’Etat statue en premier et dernier ressort. Les règles de procédure applicables sont celles prévues par la présente loi et celles prévues par le code civil et le Code des juridictions administratives. 

Toutefois, le recours du contentieux électoral n’est pas soumis au recours administratif préalable. » 

Quant au projet de décret, pris en application des dispositions de l’article 53 de la loi n° 7/96 du 12 Mars 1996 portant dispositions communes à toutes les élections, il détermine les mentions obligatoires devant figurer sur la carte d’électeur à savoir la photographie, la profession, l’identifiant unique. Aussi, dispose-t-il de ce que la carte d’électeur comporte les mentions suivantes : 

Au recto à droite :

- la dénomination de l’Etat ;

- la devise de la République ;

- les armoiries de la République ;

- l’emblème de la République ;

- le timbre du Ministère de l’Intérieur ; 

Au recto à gauche :

- les cases relatives au scrutin ;

- les recommandations relatives à l’utilisation de la carte d’électeur ; 

Au verso à droite, les données suivantes concernant le titulaire :

      - la photographie ;

      - les noms et prénoms du titulaire ;

      - la date et le lieu de naissance ;

      - la profession ;

      - le domicile ou la résidence ;

      - la signature ; 

Au verso à gauche :

- la province ;

- le centre de vote ;

- le bureau de vote ;

- le code électeur ;

- l’identifiant unique ;

- la date d’établissement de la carte d’électeur ;

- la signature et le cachet du Ministre chargé de l’Intérieur.

 

MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE

 

Suite à la présentation conjointe du Ministre de l’Economie et du Ministre du Budget, le Conseil des Ministres a approuvé le projet de loi déterminant les ressources et les charges de l’Etat pour l’année 2013. 

Pris en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, ledit projet de loi fixe les ressources et les charges de l’Etat pour l’année 2013 à trois mille cent quarante et un milliards deux cent millions (3.141.200.000.000) F CFA qui se décomposent comme suit : 

POUR LES RESSOURCES : 

· les ressources propres sont évaluées à deux mille six cent trente deux milliards cinq cent millions (2.632.500.000.000) FCFA et les ressources d’emprunt à cinq cent huit milliards sept cent millions (508.700.000.000) F CFA ; 

· les ressources propres se décomposent en recettes pétrolières estimées à mille quatre cent quarante deux milliards quatre cent millions (1.442.400.000.000) F CFA ; 

· les recettes hors-pétrole quant à elles sont arrêtées à mille cent quatre vingt dix milliards cent millions (1.190.100.000.000) F CFA. 

S’AGISSANT DES CHARGES : 

· dépenses de fonctionnement s’élèvent à mille trois cent trente neuf milliards sept cent millions (1.339.700.000.000) FCFA ; 

· charges de la dette publique sont arrêtées à cinq cent huit milliards cinq cent quatre vingt douze millions quatre cent vingt neuf mille cent cinquante huit (508.592.429.158) FCFA ; 

· dépenses d’investissement s’élèvent à mille soixante huit milliards cinq cent millions (1.068.500.000.000) FCFA ; 

· Prêts – Avances et Dépôts pour deux cent vingt quatre milliards quatre cent sept millions cinq cent quatre vingt cinq mille trois cent quarante sept (224.407.585.347) FCFA. 

Ce projet de loi s’inscrit dans le sens de la poursuite de la mise en œuvre du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE)qui traduit la volonté du Président de la République, Chef de l’Etat d’accélérer la transformation de notre économie en vue de relever la croissance, renforcer le secteur social et faire du Gabon un pays Emergent à l’horizon 2025. 

 

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE

 

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE

 

Le Conseil des Ministres a marqué son accord à la demande d’accréditation de Monsieur Comlan Alain GODONOU, en qualité de Directeur du Bureau Régional de l’UNESCO à Libreville.

 

MINISTERE DE LA SANTE

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui en a pris acte, la liste nationale des médicaments et dispositifs médicaux essentiels en Dénomination Commune Internationale (DCI). 

Cette liste, cadre de référence pour les médicaments destinés aux structures sanitaires du pays, tient compte des priorités de santé publique, des avancées technologiques, pharmaceutiques et thérapeutiques. 

 

MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

Le Conseil des Ministres a approuvé le déroulement de la 8ème édition de la « Tropicale Amissa BONGO », du 14 au 20 Janvier 2013 comportant sept (7) étapes.

De plus, le Conseil des Ministres a autorisé le Ministre à procéder à la signature du projet de partenariat entre le Gouvernement de la République Gabonaise et l’Université de l’Orégon (USA) et à organiser, du 05 au 13 Novembre 2012, à Libreville, le 16ème Concours d’Agrégation de Médecine humaine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine vétérinaire et productions animales.

 

MINISTERE DES EAUX ET FORÊTS 

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvée, la Stratégie Nationale et le Plan d’actions de gestion du conflit homme – faune dans notre pays. 

Elaborée avec l’appui de l’Organisation Mondiale pour l’Alimentation (FAO), cette stratégie vise à long terme à atténuer les conflits homme – faune en vue de concilier la conservation de la faune sauvage et la sécurité alimentaire à l’horizon 2018. Elle s’articule autour de huit (8) axes suivants : 

1- gérer de façon efficiente les animaux responsables des conflits homme – faune ; 

2- promouvoir les pratiques adaptées de protection des cultures contre les animaux à problème ; 

3- renforcer les capacités techniques des parties prenantes dans la gestion des conflits homme – faune ; 

4- diminuer la compétition entre l’homme et la faune sauvage pour les ressources naturelles ; 

5- gérer efficacement les espaces agraires pour atténuer la prédation des cultures et favoriser l’intensification de la production agricole ; 

6- intégrer la conservation de la faune dans la dynamique sociale et économique des communautés locales ; 

7- élaborer les plans d’affectation de terres pour prévenir les conflits ; 

8- renforcer le cadre législatif règlementaire et institutionnel sur les conflits homme – faune.

 

MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES 

Le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour la célébration, le 15 Octobre 2012 à Bifoun, de la Journée Mondiale de la Femme avec pour thème « l’autonomisation de la femme rurale ». 

Au cours de cette journée, les activités suivantes seront organisées : 

· l’octroi de matériel agricole ;

· une causerie débat sur les droits de la femme ;

· l’organisation d’une foire exposition/vente des produits agricoles.

 

MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DES MINES

Le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour la tenue à Libreville, du 14 au 17 Octobre 2012, des travaux de la première Conférence « Education, Science et Technologie pour le Développement en Afrique (ESTDA) », ainsi que du Séminaire sur la « Normalisation – Développement – Coopération Internationale ». 

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement. 

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

 

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

 

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

 

SECRETARIAT GENERAL

- Conseillers du Président de la République :

MM.

· Jean Aimé IKAPI IKAPI ;

· Paul BANGA.

 

- Chargés de Missions du Président de la République

· Mme Sylvie REGONDO MOYAYE ;

· M. Alain Guy MODI MISSAMBA.

 

PRESSE PRESIDENTIELLE

- Attache de Presse du Président de la République : M. Maurice BIKOUYA.

- Secrétaire Particulière du Directeur Général de la Presse Présidentielle : Mme Mariange Euphrasie OYILA 

 

MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT

 

CABINET DU MINISTRE DELEGUE

- Secrétaire Particulière du Ministre Délégué : Mme Brigitte MBOUROU OLYMPIO, en remplacement de Madame OZENGA Irène, remise à la disposition de son administration d’origine. 

- Secrétaire de Cabinet : Mme Emilienne ZIZA épouse MEVIANE. 

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Livia Bernadette ETENO EKOUME, en remplacement de Mme Brigitte OLYMPIO MBOUROU. 

- Chargé d’Etudes : Mlle Corine NTOUTOUME OWONE, Ingénieur des Travaux de l’Aménagement du Territoire et de Gestion Urbaine, en remplacement de Mme Astrid BELA épouse OUANGO, remise à la disposition de son Administration d’origine. 

 

MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DES MINES

 

CABINET DU MINISTRE

 

- Chargée d’Etudes : M. KONDONDO ALHADJI Noé Mesmin.

- Secrétaire du Directeur de Cabinet : Mme Marie Louise Natacha RABENKOGO ANTCHANDIE.

- Chargés de Mission :

MM.

· Aimé Noël NYANGALA LIBAGNI, confirmé

· Chrysost LIKOUMANDZAMBI, confirmé.

 

 FIN.