15/10/2012
Gabon: Ali Bongo Ondimba , un homme pressé au seul service du peuple
Le mardi 16 octobre 2012 , le Président de la République Gabonaise , Ali Bongo Ondimba , totalisera trois ans à la tête de Gabon. Il a été élu pour un mandat de 7 ans , et depuis qu'il a pris les rênes du pays, il agit en homme pressé.
C'est ainsi qu'il s'est lancé dans une dynamique de réformes qui n'ont épargné aucun secteur, sinon presque . Conscient du poids de l'héritage de ses prédécesseurs, qu'il ne doit pas assumer tout seul, il s'est mis dans une posture d'homme de rupture. Aussi bien dans le choix des objectifs que dans la manière de les atteindre.
Dans ce cadre , le numéro un gabonais a défini clairement son ambition : faire du Gabon un pays émergent. Mais cela ne se fera pas dans le désordre, plutôt en respectant un canevas bien précis. Lequel se résume à trois axes : Gabon vert, Gabon industriel et Gabon des services. Le tout se faisant avec en tête le triptyque " Paix - Développement - Partage " dans lequel chacun devrait se reconnaître...
Depuis bientôt trois ans , le Gabon vit au rythme des réformes et des projets de développement , preuves incontestables de la volonté de changement qui caractérise son nouveau président. Des chantiers sont visibles, de nouveaux textes sont initiés, etc .
Pendant que certains applaudissent et encouragent, d'autres minimisent, contestent et font parfois dans la mauvaise foi. Politique politicienne et aigreur semblent perdurer.
En trois ans seulement de magistrature, Ali Bongo Ondimba a réussi un pari impensable : remettre le Gabon au travail, supprimer les privilèges, tordre le cou aux mauvaises habitudes, restaurer l'autorité de l'Etat, privilégier l'intérêt général, bref oser proclamer la révolution dans notre pays. Une révolution au sens propre comme au sens figuré du terme avec pour finalité faire du Gabon un pays émergent.
Frappé par une sorte d'apathie au sortir de la présidentielle de 2005 jusqu'à celle d'août 2009, le pays tournait au ralenti. L'autorité de l'Etat était trop souvent bafouée ; la corruption avait atteint un niveau inacceptable ; la justice sur la-quelle comptent les citoyens pour se mettre à l'abris des " puissants " s'était désintégrée ; en somme le pays était en train de " foutre le camp ".
Feu le Président Omar Bongo Ondimba l'avait d'ailleurs reconnu en 2007 , dans son discours bilan de ses 40 ans de pouvoir et avait dénoncé cette dérive qui menaçait les fondements de la Nation.
Nombreux était nos compatriotes qui ne croyaient plus à la résurrection de notre pays . Et ne pouvaient pas parier sur la capacité d'Ali Bongo Ondimba à refonder la Nation . Tout le monde s'était tromper.
En trois ans , il a prouvé aux Gabonais que " lui , c'est lui " et que , bien qu'assumant l'héritage du passé il était capable de changer la vie avec sa vision : celle de faire du Gabon une nation forte, prospère et solidaire dont la fondation repose sur l'unité et le travail.
Après l'avoir vu à l'oeuvre , bien des gabonais regrette aujourd'hui de ne pas l'avoir eu un peu plus tôt, lui , Ali à la barre du navire Gabon. Il les aurait déjà menés vers des horizons prometteurs.
A preuve , malgré les tempêtes , le navire avance avec sérénité. Et notre pays , qui a accumulé un grand retard sur le plan de son développement économique et social retrouve peu à peu ses marques et sa crédibilité.
Le pays se construit . Les chantiers ne se comptent plus . les investisseurs se bousculent pour trouver une place . Des signes qui ne trompent pas .
Notre pays a retrouvé sa santé d'antan qui faisait notre fierté.
Autre révolution , celle qui bouscule le fondement même de la société gabonaise. Dans le passé, pour accéder aux lumières de la République , il fallait être un homme du sérail , fils à papa, disposer de passe-droits. Désormais , dans le public ou dans le privé , le système Ali9 a institué la " méritocratie ".
Désormais l'appartenance aux castes et aux clans n'est plus la condition de distinction sociale. A l'éducation nationale , l'école devient véritablement républicaine. Les mêmes critères d'octroi de la bourse de l'Etat sont appliqués à tous, fils de riche comme de pauvre.
Devenir un propriétaire n'est bientôt plus un mythe pour des milliers de compatriotes. L'assurance maladie universelle accessible à tous suscite l'admiration de toute l'Afrique. L'Etat de droit qui se consolide ne va pas sans l'établissement de règles et le respect de celles-ci.
Un nouveau vent souffle et nous débarrasse de nos incertitudes d'hier pour nous fixer un cap : le Gabon sera un Etat de droit. La promesse est faite .
Il y aura des audits sur l'utilisation des fonds alloués pour l'organisation des fêtes tournantes. Tous ceux qui seront coupables de détournements de l'argent des contribuables gabonais iront purement et simplement en prison. La fin de l'impunité , n'est-ce-pas là aussi une révolution.
Les multiples chantiers ouverts sur tous les fronts et les mesures sociales au bénéfice du plus grand nombre depuis deux ans par le Président Ali Bongo Ondimba sont des signes encourageants et suscitent espoir. Tout le monde est unanime pour reconnaître que leur aboutissement contribuera à améliorer considérablement le quotidien des citoyens et le visage du Gabon.
Il revient au Chef de l'Etat de maintenir la pression , pour vaincre les forces d'inerties encore tapies dans la haute administration , et d'user aussi de l'arme de la sanction , afin que le train de l'émergence arrive à l'heure.
MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA
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Commentaires
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Écrit par : assurance auto | 29/08/2012
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