29/05/2013

Le Président Ali Bongo Ondimba , invité spécial de la BAD

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Marrakech, le 28 mai 2013 – Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, est arrivé ce mardi 28 mai 2013 à Marrakech pour prendre part aux Assemblées annuelles du groupe de la Banque africaine de développement (BAD). Invité spécial de cette réunion économique majeure du calendrier international, le chef de l’Etat prendra la parole jeudi 30 mai lors de l’ouverture officielle et interviendra ensuite à l’occasion de l’atelier sur le commerce illicite d’espèces de la faune sauvage. La délégation gabonaise comprend notamment les ministres de l’Economie, du Pétrole, de l’Industrie et de la Promotion des investissemen

Le président Ali Bongo Ondimba séjourne dans la ville ocre du royaume chérifien pour la 48èmeAssemblée annuelle de la Banque africaine de développement et la 39ème Assemblée du Fonds africain de développement (FAD) qui se tiennent du 27 au 31 mai sur le thème de la “transformation structurelle de l’Afrique”. Seul invité spécial de rang présidentiel de ces Assemblées, avec le président rwandais Paul Kagamé qui sera l’hôte des réunions au sommet de la BAD en 2014, le chef de l’Etat entend promouvoir devant l’élite mondiale de la finance et du développement les vertus du Gabon en route vers l’Emergence, en pleine adéquation avec les conclusions du rapport annuel de la BAD.


Transformation structurelle et économie verte


Pour la Banque, la transformation des économies africaines implique de diversifier et d’étendre les sources de la croissance et les opportunités, de manière à favoriser une productivité accrue pour le développement économique durable et inclusif. « Le défi politique majeur pour l'Afrique aujourd'hui est de trouver les moyens d’élargir l'accès aux opportunités économiques pour une population en expansion, les groupes les plus vulnérables y compris », indiquent les experts de l’institution multilatérale régionale, laquelle comprend 77 pays-membres dont 53 pays africains. « L'Afrique a besoin d’une transformation structurelle pour se propulser vers une croissance inclusive », souligne encore le rapport, qui cite les taux élevés de chômage et de sous-emploi chez les jeunes et les femmes en particulier, comme l'une des principales difficultés auxquelles le continent est confronté aujourd'hui. « Le coeur de notre message est le suivant : l'Afrique doit accélérer sa transformation structurelle en dopant le potentiel de sa jeunesse, en investissant dans la science, les technologies et l'innovation, en accélérant le rythme de l'intégration économique, en passant à une économie verte, et en soutenant les entreprises du secteur privé ».


Pour une croissance durable


Fort de sa position d’invité spécial des Assemblées de Marrakech, le président Ali Bongo Ondimba s’entretiendra avec le président du Groupe de la BAD, Donald Kaberuka, au sujet de la nouvelle stratégie décennale (2013-2022) qui met l’accent sur la qualité et le caractère durable de la croissance. « Une ambition de transformation réalisable », indique M. Kaberuka. Une stratégie qui s’attache aussi – et c’est une nouveauté – au renforcement de la résilience au changement climatique et à la gestion durable des ressources naturelles.

Au coeur du débat économique mondial, en phase avec les enjeux du moment, le Gabon représenté par le Premier Citoyen prendra toute sa place dans le devenir de cette Afrique qui peut se métamorphoser en tirant parti de son immense potentiel dans les domaines fléchés par la BAD :

° Infrastructures - les besoins de l’Afrique en financement des infrastructures – 390 milliards de dollars environ à moyen terme, surtout pour l'énergie – s’élèvent à des milliers de milliards de dollars sur un plus long terme.

° Les ressources naturelles - les industries extractives des ressources naturelles en Afrique contribueront annuellement pour plus de 30 milliards de dollars aux recettes publiques au cours des vingt prochaines années, selon les estimations.

° Démographie - les jeunes constituent la majorité du milliard d’habitants en Afrique. Pour convertir cette “explosion de la jeunesse” en “dividende démographique”, il faudra investir, à grande échelle et comme jamais auparavant, dans les compétences et la création de perspectives professionnelles.

° Promouvoir l'agriculture - le secteur agricole emploie la grande majorité de la population africaine. Il contribue directement à la chaîne de valeur agro-industrielle, nourrit les zones urbaines, en plus d’être une source de l'épargne des ménages à des fins d’investissement.

° Le secteur privé - avec le développement des économies africaines, le secteur privé, qui représente 90 % de l'emploi informel, prendra encore plus d’ampleur, en particulier dans l'industrie.

° Urbanisation - les villes africaines, qui concentraient 40 % de la population du continent en 2010 – un chiffre qui devrait atteindre 50 % en une génération, et 65 % d'ici 2060 – sont, de plus en plus, les moteurs de la demande de consommation et, partant, de la croissance économique.

° Gouvernance et climat de l'investissement – une amélioration de la gouvernance et de meilleures politiques macro-économiques – réduction de la dette, faible inflation et taux de change stables – sont indispensables, si l’on veut favoriser la compétitivité économique.

° L'innovation technologique – l’investissement dans les TIC (technologies de l’information et de la communication) en particulier – a considérablement amélioré l'accès du public à l'information, stimulant ainsi une économie du savoir et des approches novatrices en matière de micro-finance et de mobilisation des producteurs ruraux.


La révolution de l’information


Sur le plan de la communication, le Gabon apporte sa voix à la nécessaire intégration régionale de l’information en dépêchant aux Assemblées de la BAD une équipe complète de Gabonews. Le media web-tv, associé à Sahara Media et à la radio marocaine Medi1, diffuse en direct la session Questions d’Afrique depuis son pavillon installé au village des médias, voisinant les grands diffuseurs internationaux. Une première pour un organe de presse gabonais dans le cadre des réunions de la Banque africaine de développement.

En mars 2013, la Banque a lancé sa plate-forme Open Data pour le Gabon, portant à quarante le nombre de pays africains connectés. Cette initiative vise à accroître de façon substantielle l’accès à des données de qualité, nécessaires à la gestion et au suivi des résultats de développement. « Elle révolutionnera la diffusion des indicateurs, se félicite la BAD, faisant en sorte que le continent participe pleinement à l’économie mondiale de l’information ».

Engagée depuis longtemps au Gabon, la Banque africaine de développement finance à hauteur de plusieurs centaines de millions de dollars des projets routiers de désenclavement. Le projet PR1, rappelle-t-on, fût en son temps le plus important prêt jamais accordé par la BAD à un pays-membre dans le secteur des transports. La BAD a publié un document de stratégie-pays Gabon 2011-2015 en août 2011 qui détaille le positionnement et les programmes de la Banque dans le pays.


FIN

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11/05/2013

Ali Bongo Ondimba : La perpétuité pour les fétichistes sanguinaires

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Libreville, le 11 mai 2013 – Le président Ali Bongo Ondimba s’est adressé aux milliers de participants de la marche contre les crimes rituels, arrivés au terme d’un parcours de 6 km devant le palais présidentiel. Renforcement de la présence et des moyens de la Police, accélération du cours de la justice – « notre rempart à tous » -, appel à une modification du Code pénal pour qu’auteurs, complices et commanditaires soient promis à la prison à perpétuité sans remise de peine : le chef de l’État dit ‘stop’, « les barbares ne gagneront pas, les barbares de l’emporteront pas».


Le peuple du Gabon était dans la rue ce samedi pour une mobilisation sans précédent, un cri collectif de dégoût devant l’irrationnel, pour exprimer sa révolte face à aux assassinats atroces qui forment la chronique d’une terreur nationale. Parti du rond-point de la Démocratie, le cortège extrêmement dense, tantôt recueilli, tantôt bruyant de colère, a rejoint le bord de mer pour se diriger ensuite vers le palais présidentiel où une estrade avait été dressée. Là, debout, droit, tendu par la détermination et porté par l’énergie de tous, Ali Bongo Ondimba a prononcé des mots pour l’histoire : « Votre mobilisation est un cri de colère et de douleur, en même temps qu’un formidable espoir. Espoir dans notre capacité à nous indigner et à dire ‘Non’. Espoir dans notre capacité à relever la tête et à dire ‘Stop’. Il n’y aura pour les assassins, comme pour les commanditaires, aucune forme de clémence. Nous devons bouter l’impunité hors de nos mentalités et hors de notre pays ».


La responsabilité et l’action


Organisée par l’Association de lutte contre les crimes rituels et les communautés religieuses, autorisée in fine par le ministère de l’Intérieur, la marche a mêlé les pas et les chants de tous les Gabonais unis dans un choeur triste et indigné. Trop de vies volées, de corps dépecés, d’organes humains prélevés. Le supplice doit prendre fin : « Les barbares ne l’emporteront pas » a prévenu le président de la République. Un langage de fermeté au diapason du discours de condamnation tenu l’avant-veille par l’archevêque de Libreville – « ces crimes honteux et crapuleux » - et par le président du Conseil supérieur des affaires islamiques – « ces pratiques relevant d’un autre âge », tous deux associés à la marche populaire comme également Sylvia Bongo Ondimba, la première dame engagée « à titre personnel, libre et sincère dans un combat pour les générations futures, pour préserver la dignité humaine ». Lutter, mais comment ? Premier axe, la sécurité. Le président gabonais souligne que « la peur de l’uniforme doit à nouveau gagner les esprits malfaisants. La Police doit être plus présente dans les quartiers ». « Nous devons également faire évoluer notre législation. Je demande par conséquent au Parlement de mettre à la disposition du Gouvernement tout l’arsenal législatif nécessaire, et de procéder aux ajustements budgétaires qui s’imposent, pour une plus grande efficacité de nos forces de police et de gendarmerie ».


Une justice équitable


Plus que jamais attentif aux inquiétudes du corps social, à ce sentiment « que la justice est sourde à la douleur, que la justice ne frappe et ne punit que les voleurs de poules », Ali Bongo Ondimba dit haut et fort « cela ne peut plus continuer ». « Car la justice doit être notre rempart à tous », le miroir de l’égalité que l’on soit riche ou pauvre, sans géométrie variable. Et de demander au Parlement « de doter les juridictions de moyens budgétaires conséquents, et de faire en sorte que les délais d’enquête et de jugement soient raccourcis ». Pour les auteurs de crimes de sang à but fétichiste, « aucune circonstance atténuante, aucune forme de clémence ».


La perpétuité sans remise de peine


Appelant enfin ses compatriotes à s’unir pour vaincre la peur et combattre les criminels, auteurs et commanditaires, prenant la mesure de l’effroi national, le chef de l’État demande au Gouvernement et au Parlement de procéder, avant la fin de la session des lois en cours, à la modification des dispositions du code pénal. « Les auteurs des crimes de sang avec prélèvement d’organes devront encourir la condamnation à perpétuité, sans aucune possibilité de remise de peine. Ces mêmes peines seront appliquées aux complices et aux commanditaires éventuels».


FIN

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06/05/2013

PREMIER MARATHON INTERNATIONAL DU GABON

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Libreville, Lundi 06 mai 2013 - Le Gabon, pays situé à l'ouest de l'Afrique équatoriale, véritable écrin de la biodiversité végétale et animale, vous invite à découvrir tout le charme de Libreville, sa capitale, à travers une course unique, le Marathon du Gabon.

Cette compétition sera organisée durant le week-end des 30 novembre et 1er décembre 2013.

Manifestation dédiée à toute la famille, il proposera cinq courses au coeur de la capitale du pays : courses Enfants (1 à 3 km), La Gabonaise (5 km), 10 km, Semi-Marathon et Marathon. 5 000 participants et plus de 20 000 spectateurs y sont attendus.


Un événement éco-conscient


La forêt gabonaise étant le deuxième poumon vert de la planète, le Marathon International du Gabon se doit d’être un événement éco-conscient. Valeur qui a trouvé spontanément un écho chez Olam, notre partenaire officiel.

Une charte écologique pour les coureurs et les organisateurs sera mise en place afin de limiter l'impact environnemental d'une telle compétition.

Le premier Marathon International du Gabon, qui bénéficiera d’une importante campagne de promotion nationale et internationale, proposera un Village Marathon, un espace VIP, un espace dédié aux entreprises, un chapiteau avec physiothérapeutes, des animations, concerts…

« Deux jours qui s’inscrivent d’ores et déjà comme un rendez-vous sportif incontournable pour tous et qui représentent une opportunité pour les entreprises de renforcer leur communication interne et d’inviter leurs clients, fournisseurs et partenaires », déclarent les organisateurs du Marathon International du Gabon.

Un événement unique dans un environnement unique !


Renseignements et informations complémentaires sur le site :

www.marathondugabon.com


FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : www.gabonexperiences.com


La politique du Gabon Émergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

 le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org

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Sylvia Bongo Ondimba: Éliminons la transmission du VIH de la mère à l’enfant !

 

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Dans le cadre de ses Initiatives pour les Femmes, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille, lance une campagne de sensibilisation sur le thème FEMMES CONTRE le SIDA.


Cette campagne d’envergure, basée sur l’objectif 2015 de l’ UNICEF « Atteindre l’élimination quasi totale de la transmission du virus des mères à leurs bébés », débute avec la journée internationale des sages-femmes et se terminera le jour de la Fête des Mères.

 

Aujourd’hui au Gabon, près de 3,100 enfants âgés de 0 à 14 ans vivent avec le virus du SIDA du fait de la transmission par la mère séropositive. La moitié d’entre eux n’atteindra pas l’âge de deux ans sans soins. Or, des solutions efficaces existent pour éliminer cette contamination.


Au Gabon, le dépistage et la prise en charge de la femme enceinte séropositive sont gratuits.

 

Ce sont ces messages que la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille souhaite diffuser de la manière la plus large possible à travers tout le pays.


Durant trois semaines,cette campagne de sensibilisation sera déclinée sur plusieurs supports (affichage urbain, insertions presse, spots TV, opération SMS) et accompagnéede distributions de matériels médicaux à Libreville comme à l’intérieur du pays.


Cette campagne reprend l’esprit de la précédente, CAN SANS SIDA. En effet, selon une étude menée après l’événement, cette dernière a connu un très grand succès puisque 88,5% des personnes interviewées en ont entendu parler et 79,5% en gardent une opinion positive.

 

Ensemble, nous devons redoubler d’efforts dans l’élimination de la transmission de la mère à l’enfant.


Pour obtenir des résultats significatifs, nous devons accentuer l’information et la prévention parmi la population en âge de procréer, systématiser le dépistage, favoriser l’accouchement dans les maternités, améliorer l’accompagnement des communautés les plus isolées et vulnérables et lutter contre toutes formes de stigmatisation et de discrimination.

 

Depuis deux ans, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille s’engage dans la lutte pour la réduction de la mortalité maternelle et infantile, notamment par le biais de son programme Tous Unis pour la Santé de la Mère et de l’Enfant (TUSME) qui a permis de former 139 personnels soignants à travers le pays.

 

Certes, beaucoup de progrès restent à faire, mais nous devons continuer à nous mobiliser, sans réserve, pour que nos enfants naissent et vivent sans SIDA.

 

 

 

Des informations supplémentaires sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba sont disponibles au lien suivant : 

 

www.fondationsylviabongoondimba.org



 

 

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03/05/2013

Communiqué final du conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2013

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L’intérêt de ces assises vise invariablement et irrévocablement la concrétisation de grands desseins prescrits dans le Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE) dont les principaux se résument par :

 

·       le développement harmonieux et durable de notre pays, créant ainsi la richesse ;

 

·       l’amélioration des conditions de vie des populations, tout en réduisant la pauvreté et les inégalités sociales dans la paix, la sérénité, la concorde et la justice ;

 

·       le rayonnement de notre pays qui doit demeurer attrayant et digne d’envie.

 

Le Conseil des Ministres s’est réjoui de l’engagement manifeste des femmes pour les activités agricoles dans le cadre de la célébration de la Journée Nationale de la Femme dont le thème portait sur  « L’Agriculture ».

 

A cet effet, le Conseil des Ministres s’est félicité de la détermination des plus hautes autorités de l’Etat dans la mise en œuvre des mesures d’accompagnement et d’encouragement pour le retour à la terre, terre nourricière, afin de contribuer à la sécurité alimentaire pour que le Gabon Vert devienne une réalité.

 

Dans le même sillage et répondant à une invitation officielle de Sa Majesté Le Roi Mohamed VI du Maroc,  Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a effectué une visite de travail au Maroc dans la ville de Meknès, terreau par excellence de la culture oléicole et la production d’huile d’olive aux fins de prendre part au Salon International de l’Agriculture du Maroc (SIAM).

 

A cette occasion, notre pays le Gabon a fait montre d’une originalité typique, dans le cadre du Salon International de l’Agriculture du Maroc (SIAM),  par l’étalage de ses richesses dans un pavillon qui lui a été réservé.

 

Aussi, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a-t-il décliné son ambition découlant du pilier Gabon Vert pour la valorisation du potentiel agricole adapté aux besoins de nos populations et a fait la promotion de nos terres fertiles et du marché gabonais porteur, ouvert et offert aux Investisseurs Marocains.

 

Le Plan Stratégique Sectoriel de l’Agriculture, perçu unanimement par les acteurs essentiellement féminins et Investisseurs Marocains du monde agricole comme une feuille de route sur la base de laquelle le Gabon et le Maroc peuvent asseoir et bâtir une Coopération Sud-Sud, s’appuyant sur le Plan Maroc Vert dont le pragmatisme, le réalisme et la réussite sont incontestables.

 

Le « prix du mérite » dénommé Ali BONGO ONDIMBA a été décerné au Président de la République Gabonaise pour la qualité de l’ambition déclinée dans le    Plan Sectoriel de l’Agriculture et le programme Gabon Bleu.

 

Sur un tout autre plan et sur invitation du Président en exercice de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, Son Excellence Idriss DEBI ITNO, le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président en exercice de la Communauté Monétaire des Etats d’Afrique Centrale, a pris part à un Sommet des Chefs d’Etat de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) à Ndjaména au Tchad.

 

A l’issue des travaux, le Conseil National de Transition (CNT), dispose de la plénitude du pouvoir législatif. Il est chargé de préparer le projet de Constitution à soumettre au suffrage populaire.

 

Les Chefs d’Etat et de Gouvernement réitèrent leur totale confiance au Comité de Suivi de l’Accord de Libreville sous l’égide de Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République du Congo.

 

Le Sommet a adopté une feuille de route relative à la composition et au fonctionnement du Conseil National de Transition (CNT) et un document comportant des éléments pour l’élaboration d’une autre feuille de route pour la transition en République Centrafricaine (RCA).

 

 

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE

 

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGEE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE

 

Le Conseil des Ministres a marqué son accord aux demandes d’agréments de leurs Excellences :

 

·       Monsieur Hisham Fathy Mohamed MOSTAFA, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Arabe d’Egypte près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;

 

·       Monsieur Ram MANOHAR, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République de l’Inde près la République Gabonaise, avec résidence à Kinshasa en République Démocratique du Congo ;

 

·       Monsieur Arvind MAHESHWARI, en qualité de Consul Honoraire du Gabon à Mumbai en Inde.

 

MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE, DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE

 

Madame le Ministre a informé le Conseil des Ministres, qui en a pris note, de la célébration de la Journée Mondiale de la Liberté de la Presse, du 02 au 03 Mai 2013, à l’Auditorium Maison Georges RAWIRI, sous le thème : « Parler sans crainte – assurer la liberté d’expression dans tous les médias ».

 

MINISTERE DES EAUX ET FORETS

 

Le Conseil des Ministres a marqué son accord au Ministre pour la célébration,  du 11 au 12 Mai 2013, de la « Journée Mondiale des Oiseaux Migrateurs » sous le thème : «  Travailler en réseau pour les oiseaux migrateurs ».

 

MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES

 

Le Conseil des Ministres a approuvé la célébration dans la province de l’Estuaire, de la fête des mères, qui aura lieu le Dimanche 26 Mai 2013.

 

L’édition de cette année a pour thème : « La mère face aux défis actuels de notre société, cas des mères chefs de famille et économiquement faibles ».

 

A cet effet, les activités prévues sont les suivantes :

 

·       une causerie/débat sur le thème de la journée ;

 

·       un renforcement de capacités matérielles des mères chefs de famille économiquement faibles.

 

 

AU TITRE DES MISSIONS – SEMINAIRES – CONFERENCES :

 

MINISTERE DES EAUX ET FORETS

 

Le Ministre a sollicité et obtenu du Conseil des Ministres, l’accord pour la tenue à Libreville de deux (2) ateliers dont l’objectif global est la présentation  du Plan d’Actions National de Lutte contre l’Exploitation  Forestière Illégale  dans les Provinces du Woleu-Ntem et de l’Ogooué Ivindo,  notamment à Oyem et à Makokou. Ces deux (2) rencontres seront précédées par un atelier national sur le lancement du Plan d’Actions National de Lutte contre l’Exploitation Forestière Illégale, le 15 Juin 2013, à Libreville.

 

 

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement.

 

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

 

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

 

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

CABINET DU MINISTRE

 

-        Conseiller Chargé de la Protection de l’Enfance, de la Planification Stratégique et de la Prospective en Matière de Ressources Humaines : Mme AÏLA NGOUONI Maryse, née DUBOZE.

 

-        Conseiller Chargé des Questions Administratives : M. BOULOUPI Jean Julien.

 

M. MOUNDZIEOUD KOUMBA Louis Claude, précédemment conseiller en Communication  est remis à la disposition de son administration d’origine.

 

 

MINISTERE DE LA SANTE

 

CABINET DU MINISTRE

 

-        Conseiller Chargé de la Qualité des Soins et des Questions Médicales : Dr ANTCHOUEY épouse AMBOURHOUET BIGMANN Anne Marie Françoise, précédemment Directeur des Affaires Médicales au Centre Hospitalier Universitaire d’Angondjé.

 

DIRECTION GENERALE DE LA SANTE

 

-        Directeur Général Adjoint 1 de la Santé : Dr NGOMO Jean Juste, précédemment Directeur de la Réglementation et de la Qualité des Soins, en remplacement du Professeur NGUEMA MVE Raymond.

 

-        Directeur Général Adjoint 2 de la Santé : M. ROTIMBO Alain Charles.

 

-        Directeur de la Réglementation et de la Qualité des Soins : Dr ONDO EYENE Catherine, précédemment Inspecteur Général Adjoint de la Santé.

 

DIRECTIONS REGIONALES DE SANTE

 

-        Directeur Régional de Santé Libreville/ Owendo : Dr NZENGUE Antoine, en remplacement du Dr ANTIMI Jonasse Solange épouse NDEMBI.

 

-        Directeur Régional de Santé du Moyen Ogooué : M. NGOMBI Gilbert.

 

-        Directeur Régional de Santé de la Ngounié : Dr MAKAYA Nigel.

 

-        Directeur Régional de Santé de la Nyanga : M. NSANG SALLA Louis.

 

-        Directeur Régional de Santé de l’Ogooué-  Maritime : Dr BEKALE ELOQUET Pamphile.

 

-        Directeur Régional de Santé du Woleu-Ntem : Dr GUIKOUMBI René.

 

CENTRES DE SANTE

 

Médecins Chefs des Centres de Santé :

 

-        Centre de Santé de Nzeng-Ayong : Dr BESSAYI FOUMANGOYE Pierre, en remplacement du Dr MBOUGHE NDONG Françoise.

 

-        Centre de Santé de la Peyrie : Dr OGOULIGUENDE Gisèle épouse MIBINZOU, en remplacement du Dr MAKAYA Nigel Igor.

 

-        Centre de Santé d’Awendjé : Dr MBOUGHE NDONG Françoise, précédemment en service au centre de Santé de Nzeng-Ayong.

 

-        Centre de Santé Communautaire d’Owendo : Dr ALLOGNON MAHOUTONDJI Christian, en remplacement du Dr BOUBINDJI Armel.

 

-        Centre de Santé de Lalala : Dr ATSAME EBANG, précédemment en service au Centre Hospitalier Régional de Port-Gentil, en remplacement du Dr MINTO’O NTOUGOU Ernest Junior.

 

-        Centre de Santé Maternelle et Infantile d’Akébé : Dr TSOUBOU MAGAMBOU Diane, précédemment en service au Centre de Santé de Louis.

 

 

-        Centre de Traitement Ambulatoire-CHUL : Dr NSI Alexandrine Sylvie.

 

-        Centre de Santé  Urbain de Makokou : Dr BITEGHE Bernard.

 

CENTRES MEDICAUX

 

Médecins Chefs des Centres Médicaux :

 

-        Centre Médical de Léconi : Dr NZAMBA NZAMBA Luc.

 

-        Centre Médical de Moanda : Dr MOUPIGA Priscille.

 

-        Centre Médical de Fougamou : Dr MBIKOU Achille.

 

-        Centre Médical de Ndendé : Dr DYATT-A-MAYOMBO Kévin Cédric.

 

-        Centre Médical de Mimongo : Dr DAFFE Modibo.

 

-        Centre Médical de Mitzic : Dr MALANDA Jean Pierre.

 

-        Centre Médical de Minvoul : Dr IBIATSI Dieudonné.

 

PROGRAMMES NATIONAUX

 

Programme National de Lutte Contre le Paludisme

 

-        Directeur : Dr SAFIOU Abdoul Razack, Médecin en Santé Publique, en remplacement du Dr NZENGUE Etienne.

 

Programme National de Santé Maternelle et Infantile

 

-        Directeur : Dr ANTIMI Jonasse Solange épouse NDEMBI, précédemment Directeur de la Région Sanitaire Libreville/Owendo, en remplacement du Dr Yolande NZAME épouse VIERIN.

 

INSPECTIONS GENERALES

 

INSPECTION GENERALE DES SERVICES

 

-        Inspecteurs :

 

·       Mme NZENZE Antoinette.

 

MM.

 

·       ATSOUGOU Jean Baptiste ;

·       NZIKOKO LOBA Jean ;

·       OYONE BEKALE Etienne.

 

INSPECTION GENERALE DE LA SANTE

 

-        Inspecteur Général : Professeur NGUEMA MVE Raymond, précédemment Directeur Général Adjoint 1 de la Santé.

 

-        Inspecteur Général Adjoint : Dr NZIENGUI MAKITA Daniel, précédemment Directeur Régional de la Santé, en remplacement du Dr ONDO EYENE Catherine.

 

 

-        Inspecteurs Centraux, Chefs de Division :

 

·       Dr BINGOURE Jean Martin, Chef de Division Médecine.

 

·       Dr  BIDONA Bernadette, Chef de Division Pharmacie.

 

·       Dr ABEKE Marc, Pharmacien, Chef de Division Laboratoire.

 

·       Mme NGOLET Chantal épouse BOUHOUAMA, Chef de Division Formation.

 

·       Mme DJEKELE NKOLO Octavie épouse RAOUF, Chef de Division Réglementation et Législation.

 

·       M. SAMEDI Gilbert, Chef de Division Génie Sanitaire et Hygiène Publique.

 

-        Inspecteurs Centraux :

 

·       Dr MENDENE MOZOGO Joseph ;

·       Dr BIYOGHO OBAME Grégoire ;

·       Mme ADA ENI Denis épouse LORIOT ;

·       Dr SOSSA SIMAWANGO.

 

INSPECTIONS REGIONALES DE SANTE

 

-        Inspecteur de la Région Sanitaire de l’Estuaire : Dr ABOGHE MENGOME Damas.

 

-        Inspecteur de la Région Sanitaire du Sud-Est (Haut-Ogooué) : M. ECKEMBE KOUMANGOYE Mathurin.

 

-        Inspecteur de la Région Sanitaire du Sud (Nyanga) : M. MOMBO DITSOGA Jean Grégoire, précédemment Directeur Général Adjoint des Ressources Humaines.

 

-        Inspecteur de la Région Sanitaire de l’Ogooué-Maritime : M. MPIGA Alain.

 

-        Inspecteur de la Région Sanitaire du Nord (Woleu-Ntem) : M. ABESSOLO MENGUE Prosper.

 

 

CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE LIBREVILLE

 

DIRECTION GENERALE

 

-        Directeur Général Adjoint 1 : M. ANGOUE NKOGHE David Nestor.

 

-        Directeur Général Adjoint 2 : Dr MAKAYA Augustine Paulette, précédemment Directeur des Affaires Médicales du CHUL, en remplacement de Mme MOUNGUENGUI Gisèle.

 

-        Directeur des Affaires Médicales : Mme MOUANGUE Gertrude épouse MINSO.

 

-        Directeur Technique : M. IBANDOU Ludovic.

 

CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE D’ANGONDJE

 

INSTITUT DE CANCEROLOGIE

 

-        Directeur : Professeur BELEMBAOGO Ernest.

 

HOPITAL UNIVERSITAIRE D’ANGONDJE

 

DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES

 

-        Directeur : Mme OVONO BETOE Chantal.

 

DIRECTION DES AFFAIRES MEDICALES

 

-        Directeur : Professeur ATEGBO Simon.

 

CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE D’OWENDO

 

DIRECTION GENERALE

 

-        Directeur Général : M. MATSOUPA Aimé Christian.

 

-        Directeur Général Adjoint : Professeur MWANYOMBET OMPOUNGA Lucien.

 

-        Directeur des Affaires Médicales : Dr MAMBANA Clément.

 

-        Directeur des Ressources Humaines : Mme ELAGA Joséphine.

 

 

HOPITAL DE LA COOPERATION SINO-GABONAISE DE LIBREVILLE

 

-        Directeur Général : Mme MOUNGUENGUI Gisèle, précédemment Directeur Général Adjoint 2 du Centre Hospitalier Universitaire de Libreville, en remplacement de M. MBOUMBA Paul Timothée II.

 

HOPITAL SPECIALISE DE NKEMBO

 

-        Directeur  Administratif et Financier : M. BOUSSAMBA MABIKA Jean Marie.

 

SERVICE D’AIDE MEDICALE D’URGENCE

 

-        Directeur : Dr SOAMI Vladimir.

 

INSTITUT NATIONAL DE FORMATION ET D’ACTION SOCIALE ET SANITAIRE

 

-        Directeur Général : M. KEBA MOUKOUMI Anasthase, en remplacement de M. ASSONGO Léonard.

 

-        Secrétaire Général : M. EGNINA NDOMBI Dieudonné.

 

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL AMISSA BONGO DE FRANCEVILLE

 

-        Directeur des Affaires Médicales : Dr MOTELE TSIBA Jean.

 

-        Directeur des Soins Infirmiers : Mme NTSAME Flavienne.

 

 

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL GEORGES RAWIRI DE LAMBARENE

 

-        Directeur Général : M. MBOUMBA Paul Timothée II, précédemment Directeur de l’Hopital de la Coopération Sino-Gabonaise de Libreville, en remplacement de M. MOMBO MOUNGUENGUE Edouard.

 

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL DE MOUILA

 

-        Directeur des Affaires Médicales : Dr NZENGUE-A-KASSA  Youssouf.

 

-        Directeur des Soins Infirmiers : Mme NDZOUBA Julienne.

 

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL DE TCHIBANGA

 

-        Directeur Général : M. BOUNANG POMBA Yves Armand.

 

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL DE MAKOKOU

 

-        Directeur Général : M. BOUDAMA MADIYA Bernard.

 

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL PAUL MOUKAMBI DE KOULA-MOUTOU

 

-        Directeur des Affaires Médicales : Dr EDOU Apollinaire.

 

-        Directeur des Soins Infirmiers : Mme MOUMBANGOU Félicité.

 

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL D’OYEM

 

-        Directeur Général : M. MOMBO MOUNGUENGUE Edouard, précédemment Directeur du Centre Hospitalier Régional Georges RAWIRI de Lambaréné, en remplacement de M. OYONO BEKALE Etienne.

 

-        Directeur des Affaires Médicales : Dr NGUEMA MENIE.

 

                                       FIN.

 

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