18/07/2013

Gabon: Suspendu de Facebook pour avoir publié un article sur les homosexuels

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Décidément le lobby homosexuel tourne à plein régime et est impitoyable sur facebook , je viens de l’apprendre à mes dépens . 

Après avoir publié l’article " Le Gabon ne sera jamais un pays de pédé ... oufff !!! " la sanction ne s'est pas fait attendre , non seulement le post a été supprimé , mais mon compte facebook a été bloqué pour 12H. Il m'est désormais impossible de publier quoi que soit avant minuit (heure du Gabon).

Quand on sait qu’une bonne partie des employés Facebook aux usa sont homosexuels , pire , les modérateurs francophones gérant facebook Afrique sont pour la plus part des pédés , on comprend aisément le diktat qu’ils veulent nous imposer : Africains Pédé-vous les uns les autres.

A ceux-là je dis : l’Afrique ne sera jamais votre jouet homosexuel , encore moins le Gabon. Nous vous combattrons éternellement ...

LE GABON NE SERA JAMAIS UN PAYS DE PÉDÉ . AMEN !!!!


Ci-joint l'article incriminé : 

Le Gabon ne sera jamais un pays de pédé ... oufff !!!

Coup dur pour les gays de Gabao ! Non seulement il n’y a pas de place à une légalisation du mariage gay, de plus la loi se donne de gros muscles pour combattre le phénomène dans notre pays.

Avant le vote de la loi, la Garde des Sceaux a haussé le ton devant les membres de la chambre des députés. Face aux honorables ébaudis, Ida Reteno Assonouet a complètement ruiné l’espérance des homos : « Il est inadmissible que l’on puisse ratifier un texte qui légalise le mariage entre deux hommes car c’est une abomination qui ne rentre pas dans les moeurs de notre société. Un tel texte ne pourra jamais être ratifié pour ne pas polluer notre société. » Sous-entendu : les “pollueurs” doivent être pris en charge par les éboueurs à destination de la… décharge publique !

L’homosexualité est au centre de moult débats. Avec la mondialisation, certains ont vu pointer la menace. De fait, depuis quelques années des langues fourchues n’ont eu de cesse de colporter la mauvaise ou bonne nouvelle, c’est selon. D’autant que certains font un lien entre cette pratique sexuelle et l’existence des loges maçonniques et rosicruciennes. Ajouté à cela l’effet de mode : ce qui se fait en France a forcément des émules en terre gabonaise. Ef fet de mode aussi, ce qui s’est récemment passé au Sénégal.

Pendant le discours de Barack Obama, l’Américain a fait allusion à cette question délicatissime que son homologue Macky Sall est parvenu – ouf ! − à désamorcer telle une grenade. Parler de pédés et de gouines à Dakar, c’est provoquer un stunami en terre d’islam ! Il en est de même de Gabao, d’ailleurs. L’on se souvient de la sortie, il y a quelques mois, du pasteur Mbadinga. L’air grave et les propos prémonitoires, il semblait que l’homme de Dieu sortait d’une visitation. Une prédication accompagnait une campagne thématique à travers la capitale pour mettre en garde contre cette « infâmie ».

Dans tous les cas de figure, cette « chose » est la pire qui se puisse officilialiser sur cette terre d’Afrique. Dès lors, nombreux étaient persuadés que les autorités préparaient la légalisation du phénomène gay. Dans les chaumières, on ne parlait plus que de ça. Ça, c’est que le bon Gabon se préparait à franchir le rubicon. Et pourquoi pas du moment que dans la jet-set, on désigne avec une facilité déconcertante autant d’homos que de gouines. Pis, on attribue aux uns et aux autres leurs compagnes.

Dans les boîtes de nuit, les restaurants, les bistrots, partout, on sait qui est qui. C’est la « femme » de. L’expression fait florès. De la sorte, il y a des hommes pour les hommes ; également, il y a des femmes pour les femmes… Ah, Libreville et son mercado de potins ! Du coup, la vieille loi a été secouée comme un cocotier !

Toutes les pratiques assimilées au satanisme y passent : pédophilie, inceste, exhibition sexuelle, proxénitisme… En somme, il s’agit d’un arsenal juridique en vue de faire face à toutes les situations imaginables et relevant de ce répertoire maudit.

De quoi combler d’aise dame Honorine Nzet Biteghé qui n’a eu de cesse de batailler sur les droits de la gent féminine. La ministre de la Famille est tellement obnubilée par une ritualisation de certains droits qu’elle a oublié que ceux-ci sont acquis. La femme, au Gabon, n’est pas objet, mais sujet de droit. Il suffit de (re)lire la Constitution. Si la femme n’assume pas son statut, elle demeurera l’objet de la meute d’obscurantistes.

D’un autre point de vue, la modification de certaines dispositions portant Code pénal est un renforcement de ce statut. Longtemps, nous avons glausé sur les violences faites à nos compagnes. C’est devenu un sport pour lequel le mâle fait plus que mal. Pourquoi la loi du silence a-t-elle prospéré, bien que nous ne soyions pas à la fin de la maltraitance ? A cause de la peur.

Pour comprendre l’état psychologique dans lequel vit la femme, prenons le cas des enfants soumis à la bastille permanente. Naturellement, l’enfant craint la gifle et la chicote ! Voilà ce que les mâles de Gabao – phénomène congénitalement bantu et africain – ont fait depuis des sècles. La femme a été infantilisée.

Fin.



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08/07/2013

CENTENAIRE SCHWEITZER: LA DECLARATION DE LAMBARENE

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Libreville, le 7 juillet 2013 – Le président Ali Bongo Ondimba ainsi que 350 médecins et chercheurs de renommée internationale réunis à Libreville dans le cadre du symposium du Centenaire de l’hôpital Albert Schweitzer - parmi lesquels 4 prix Nobel – adoptent la « Déclaration de Lambaréné » en clôture de la conférence internationale ; un texte de mobilisation contre la Triple Epidémie. « Albert Schweitzer, c’est une histoire gabonaise ! », lance le Chef de l’Etat.

« La Triple Epidémie (paludisme, VIH, tuberculose) est la première cause de morbi-mortalité dans les pays d’Afrique sub-saharienne. Elle décime les forces vives de ces pays », peut-on lire dès les premières lignes de la Déclaration. Signataires anonymes ou connus, des participants au symposium au Président lui-même, tous constatent « qu’il existe de grands espoirs de solution globale, dans l’esprit d’Albert Schweitzer du ‘Respect de la Vie’ ».

« Voilà qui interpelle les scientifiques, mais aussi tous les acteurs de la vie publique » a souligné le Chef de l’Etat dans son discours de clôture. « Notre système de santé doit acquérir la culture du résultat. Ici au Gabon, nous poursuivrons nos efforts pour garantir à chacun les meilleurs soins, en particulier pour les mères et leurs enfants ».

« Une coordination des initiatives s’impose. Nous comptons et nous compterons sur nos propres moyens, mais aussi sur les partenaires internationaux. Ainsi de l’e-santé, pour l’intégration des technologies les plus sophistiquées dans les actes de soins ».

« Albert Schweitzer, c’est une histoire gabonaise : notre détermination à poursuivre cette oeuvre exceptionnelle est renforcée », lance en guide d’au-revoir le président Ali Bongo Ondimba. « Vous faites tous partie de la famille Schweitzer ».

Parmi les engagements de la Déclaration de Lambaréné figurent les trois points suivants :

- La définition et l’application d’une politique globale transfrontalière contre la Triple Epidémie, soutenue par les états africains, qui identifiera et fera la promotion de solutions efficaces et prouvées.

- Une nouvelle filière de formation continue au bénéfice des personnels de santé et des populations.

- Le renforcement de la recherche africaine et internationale afin de contribuer au développement de solutions nouvelles.

Dans le cadre de la Déclaration, plusieurs task forces sont créées, qui devront élaborer de solutions qui seront présentées lors du prochain Albert Schweitzer Global Health Science Symposium.


A LA HAUTEUR DU GRAND DOCTEUR


Pour inscrire son développement dans la lignée de l’humanisme schweitzérien, adaptant les programmes de santé publique aux besoins sans cesse grandissant des populations, le Gabon construit un avenir sanitaire cohérent et technologiquement adapté. « Notre plan santé vise à doter le Gabon à l’horizon 2016 d’un système de santé performant et accessible, souligne Ali Bongo Ondimba. Des réformes institutionnelles sont en cours pour le renforcement de la gouvernance sanitaire et des conditions d’équilibre entre l’offre et la demande de soins de santé ». Illustration avec le Centre international universitaire de recherche et de santé inauguré en ce début juillet 2013 à Lambaréné comme un modèle de coopération scientifique sans frontières. Commentaire de Sir Roy Anderson, directeur du London Centre for Neglected Tropical Deseases : « L’important est de voir à l’oeuvre l’engagement des plus hautes autorités nationales, car en santé publique, tout est affaire de décision politique et de bonnes relations entre les ministères de la Santé et des Finances ».

La structure en gestation doit associer les soins cliniques, les campagnes de santé publique, la formation des personnels et la recherche appliquée dans un complexe multipolaire unique sur le continent, juste témoignage d’une volonté politique de faire le lien entre un passé entré dans la légende et un avenir partagé. Ainsi se trouvent placés en synergie le campus administratif du Centre international universitaire, l’hôpital public régional Georges Rawiri et les laboratoires du Centre de recherches médicales de Lambaréné basé dans l’enceinte de l’hôpital Schweitzer. Une salle polyvalente destinée à accueillir des conférences scientifiques complète l’ensemble. L’initiative de l’État gabonais vient à point, là encore, honorer la mémoire du Nobel alsacien dont le legs est avant tout un message d’humanité. Son biographe, Augustin Emane, rappellera aux conférenciers du symposium combien le succès schweitzérien consiste à avoir été « le miroir des attentes des patients gabonais ».


LAMBARENE, COEUR DE LA RECHERCHE AFRICAINE ET PRIX SCHWEITZER


Ambitionnant de prendre toute sa part dans la fructueuse « économie de la science et de la médecine », le Gabon implante dans la ville du Grand docteur une institution multipolaire à vocation panafricaine. « Des vocations ont pu être suscitées, indique le président gabonais, et nous aimerions que les métiers scientifiques et la recherche soient mieux valorisés. J’estime personnellement qu’être chercheur, scientifique, est le plus beau métier du monde, même s’il est souvent ingrat, parfois peu reconnu, et qu’il s’exerce dans l’anonymat ». « J’ai donc décidé de créer le prix International Albert SCHWEITZER qui s’inspire de l’esprit schweitzérien et qui sera décerné chaque année. Doté de 250 000 dollars américains, je laisse aux scientifiques eux-mêmes le soin d’en déterminer les critères et autres modalités d’attribution. »

C’est ainsi qu’un Haut conseil scientifique, créé dans la foulée, aura pour vocation d’assurer la coordination entre la Fondation internationale Albert SCHWEITZER, le Centre International Universitaire de Recherche et de Santé et l’Hôpital SCHWEITZER et de proposer les candidatures au Prix SCHWEITZER.

La démarche fait écho au rôle scientifique éminent joué par le Gabon, et ce depuis longtemps, comme l’a souligné à la tribune du symposium le professeur Stephen Morse de Columbia University. Ainsi, il y a quelque vingt-cinq ans, deux chimpanzés infectés par des virus de l'immunodéficience simienne furent identifiés par le Centre international de recherches médicales de Franceville : ces deux virus se révélèrent apparentés au HIV-1. La longue marche des laboratoires contre le fléau du Sida pouvait commencer.


PALUDISME : LA CIBLE PRIORITAIRE


Lors d’une session extrêmement suivie par les délégués du symposium, le moustique occupa la vedette. Interrogations à propos de l’approche non-pharmacologique de la prévention, innovations dans le domaine des médicaments et des vaccins, coordination de la stratégie de prévention contre la triple épidémie (palu-Hiv-tuberculose) : les enjeux majeurs de la santé en Afrique se sont trouvés au centre des débats. Avec comme point focal des inquiétudes et des urgences, ce paludisme tueur en série du continent. Les moustiquaires imprégnées ? « Elles ont sauvé 1 milliard de personnes durant la dernière décennie », indique le Dr Bart Knols de la société néerlandaise In²Care. Mais l’anophèle développe des résistances, forçant les industriels à modifier régulièrement les enduits répulsifs sur les textiles. Alors pourquoi ne pas envisager, à grande échelle, d’éradiquer les moustiques comme le firent les Égyptiens au sortir de la Seconde guerre mondiale, à l’aide de 4000 personnes durant 18 mois ? Ou encore pourquoi ne pas poursuivre les travaux sur le génome du moustique, dans l’objectif à quatre ans, comme le détaille le professeur Gregory Lanzaro de l’Université de Californie-Davis, de le rendre stérile ?

C’est à Lambaréné que la science se trouve au plus près du danger, et au plus près de lui tordre le cou. Car c’est au Centre d’études et de recherches médicales (CERMEL), nouvellement rapproché de l’émergent Centre international universitaire de recherche et de santé, que les blouses blanches abordent la phase des tests la plus avancée pour le RTSS, ce candidat-vaccin présenté dimanche au symposium par le Dr Robert Ménard de l’Institut Pasteur. Une « trouvaille » sur laquelle planchent les experts du labo « Schweitzer » : diagnostic rapide et spécifique de l’infection à Plasmodium falciparum, recherche des facteurs de risques de sévérité, développement de deux candidats vaccins RTSS et le GMZ-2 dont la mise sur le marché va contribuer à réduire de manière considérable la létalité palustre.


SOLIDARITE MONDIALE


La mondialisation de la solidarité est une nouvelle réalité du 21e siècle : Philippe Douste-Blazy, ancien ministre français des Affaires étrangères, médecin de son état, préside aux destinées de UNITAID, l’organisme qui vient d’engager des fonds à hauteur de 77 millions de dollars afin de rendre un nouveau traitement antirétroviral accessible à des centaines de milliers de personnes vivant avec le VIH dans les pays en développement. Il est venu à Lambaréné, « comme médecin, pour rendre hommage au premier médecin sans frontières », mais aussi « comme créateur d’UNITAID, pour inviter le Gabon à participer officiellement au système de la taxe sur les billets d’avion ». Rappelons qu’UNITAID a été créé en 2006 par les gouvernements du Brésil, du Chili, de la France, de la Norvège et du Royaume-Uni sous le nom de « Facilité internationale d’achat de médicaments ». Aujourd’hui, UNITAID compte un nombre toujours plus grand de membres à la fois du Nord et du Sud, parmi lesquels Chypre, la République de Corée, l’Espagne, le Luxembourg et la Fondation Bill & Melinda Gates, aux côtés du Cameroun, du Congo, de la Guinée, de Madagascar, du Mali, de Maurice et du Niger. Bientôt le Gabon ? Le président Ali Bongo Ondimba a prêté une oreille extrêmement attentive au vibrant appel de Douste-Blazy. Plus de la moitié des ressources d’UNITAID proviennent d’une taxe modique prélevée sur les billets d’avion dans plusieurs pays : « les 400 passagers de l’avion que m’a conduit à Libreville, a lancé le président d’UNITAID, ont cotisé de manière totalement indolore, et sans le savoir, afin de sauver, chacun, trois enfant !! ».


FIN

La politique du Gabon Émergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

 le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org


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CENTENAIRE SCHWEITZER: LES DEFIS DES 100 PROCHAINES ANNEES

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Libreville, le 7 juillet 2013 – Le président gabonais – hôte du Centenaire de l’hôpital Albert Schweitzer - accueillait ce week-end à Lambaréné et à Libreville plus de 350 médecins et chercheurs de renommée internationale, parmi lesquels 4 prix Nobel, mais aussi la directrice générale de l’UNESCO, le directeur exécutif d’ONUSIDA et le président du Conseil d’administration d’UNITAID. À cette occasion, Ali Bongo Ondimba a souligné les mérites du Plan Santé du Gabon, valorisé par la création du Centre international universitaire de recherche et de santé de Lambaréné et annoncé la création du prix international Albert Schweitzer.

Alors que se terminaient, ce dimanche 7 juillet, les manoeuvres conduites par le Service de santé militaire au bénéfice des populations de Lambaréné, Makouké, Ngomo, Bifoun et Ndjolé ( mobilisation de 301 médecins spécialistes, généralistes, techniciens supérieurs et logisticiens, pour des consultations/prescriptions gratuites ), un exercice inspecté par le Chef de l’Etat jeudi 4 juillet, c’est au Palais présidentiel puis à l’École d’application du Service de santé militaire que le Centenaire a été célébré, discuté, argumenté par un aréopage de sommités scientifiques.

Dans une allocution d’accueil, le président Ali Bongo Ondimba a salué Schweitzer, « ce destin exceptionnel, cette histoire exceptionnelle imprégnée d’une pensée éthique qui invite ses contemporains à pratiquer une philosophie du respect de la vie, cette oeuvre toujours vivante bâtie autour d’un modeste dispensaire devenu progressivement un village-hôpital, fait de bois, de tôles et de torchis, généreusement ouvert à tous les patients ». « Un hôpital, insiste le président de la République, dans lequel il luttera sans répit contre la souffrance, la détresse et l’affliction jusqu’au crépuscule de sa vie ». « Albert Schweitzer a le Gabon au coeur de son histoire. Le Gabon a Schweitzer dans son coeur ».


A LA HAUTEUR DU GRAND DOCTEUR


Pour inscrire son développement dans la lignée de l’humanisme schweitzérien, adaptant les programmes de santé publique aux besoins sans cesse grandissant des populations, le Gabon construit un avenir sanitaire cohérent et technologiquement adapté. « Notre plan santé vise à doter le Gabon à l’horizon 2016 d’un système de santé performant et accessible, souligne Ali Bongo Ondimba. Des réformes institutionnelles sont en cours pour le renforcement de la gouvernance sanitaire et des conditions d’équilibre entre l’offre et la demande de soins de santé ».

Illustration avec le Centre international universitaire de recherche et de santé inauguré en ce début juillet 2013 à Lambaréné comme un modèle de coopération scientifique sans frontières. Commentaire de Sir Roy Anderson, directeur du London Centre for Neglected Tropical Deseases : « L’important est de voir à l’oeuvre l’engagement des plus hautes autorités nationales, car en santé publique, tout est affaire de décision politique et de bonnes relations entre les ministères de la Santé et des Finances ».

La structure en gestation doit associer les soins cliniques, les campagnes de santé publique, la formation des personnels et la recherche appliquée dans un complexe multipolaire unique sur le continent, juste témoignage d’une volonté politique de faire le lien entre un passé entré dans la légende et un avenir partagé. Ainsi se trouvent placés en synergie le campus administratif du Centre international universitaire, l’hôpital public régional Georges Rawiri et les laboratoires du Centre de recherches médicales de Lambaréné basé dans l’enceinte de l’hôpital Schweitzer. Une salle polyvalente destinée à accueillir des conférences scientifiques complète l’ensemble. L’initiative de l’État gabonais vient à point, là encore, honorer la mémoire du Nobel alsacien dont le legs est avant tout un message d’humanité. Son biographe, Augustin Emane, rappellera aux conférenciers du symposium combien le succès schweitzérien consiste à avoir été « le miroir des attentes des patients gabonais ».


LAMBARENE, COEUR DE LA RECHERCHE AFRICAINE ET PRIX SCHWEITZER


Ambitionnant de prendre toute sa part dans la fructueuse « économie de la science et de la médecine », le Gabon implante dans la ville du Grand docteur une institution multipolaire à vocation panafricaine. « Des vocations ont pu être suscitées, indique le président gabonais, et nous aimerions que les métiers scientifiques et la recherche soient mieux valorisés. J’estime personnellement qu’être chercheur, scientifique, est le plus beau métier du monde, même s’il est souvent ingrat, parfois peu reconnu, et qu’il s’exerce dans l’anonymat ».

« J’ai donc décidé de créer le prix International Albert SCHWEITZER qui s’inspire de l’esprit schweitzérien et qui sera décerné chaque année. Doté de 250 000 dollars américains, je laisse aux scientifiques eux-mêmes le soin d’en déterminer les critères et autres modalités d’attribution. »

C’est ainsi qu’un Haut conseil scientifique, créé dans la foulée, aura pour vocation d’assurer la coordination entre la Fondation internationale Albert SCHWEITZER, le Centre International Universitaire de Recherche et de Santé et l’Hôpital SCHWEITZER et de proposer les candidatures au Prix SCHWEITZER.

La démarche fait écho au rôle scientifique éminent joué par le Gabon, et ce depuis longtemps, comme l’a souligné à la tribune du symposium le professeur Stephen Morse de Columbia University. Ainsi, il y a quelque vingt-cinq ans, deux chimpanzés infectés par des virus de l'immunodéficience simienne furent identifiés par le Centre international de recherches médicales de Franceville : ces deux virus se révélèrent apparentés au HIV-1. La longue marche des laboratoires contre le fléau du Sida pouvait commencer.


PALUDISME : LA CIBLE PRIORITAIRE


Lors d’une session extrêmement suivie par les délégués du symposium, le moustique occupa la vedette. Interrogations à propos de l’approche non-pharmacologique de la prévention, innovations dans le domaine des médicaments et des vaccins, coordination de la stratégie de prévention contre la triple épidémie (paluHiv-tuberculose) : les enjeux majeurs de la santé en Afrique se sont trouvés au centre des débats. Avec comme point focal des inquiétudes et des urgences, ce paludisme tueur en série du continent. Les moustiquaires imprégnées ? « Elles ont sauvé 1 milliard de personnes durant la dernière décennie », indique le Dr Bart Knols de la société néerlandaise In²Care.

Mais l’anophèle développe des résistances, forçant les industriels à modifier régulièrement les enduits répulsifs sur les textiles. Alors pourquoi ne pas envisager, à grande échelle, d’éradiquer les moustiques comme le firent les Égyptiens au sortir de la Seconde guerre mondiale, à l’aide de 4000 personnes durant 18 mois ? Ou encore pourquoi ne pas poursuivre les travaux sur le génome du moustique, dans l’objectif à quatre ans, comme le détaille le professeur Gregory Lanzaro de l’Université de Californie-Davis, de le rendre stérile ?

C’est à Lambaréné que la science se trouve au plus près du danger, et au plus près de lui tordre le cou. Car c’est au Centre d’études et de recherches médicales (CERMEL), nouvellement rapproché de l’émergent Centre international universitaire de recherche et de santé, que les blouses blanches abordent la phase des tests la plus avancée pour le RTSS, ce candidat-vaccin présenté dimanche au symposium par le Dr Robert Ménard de l’Institut Pasteur.

Une « trouvaille » sur laquelle planchent les experts du labo « Schweitzer » : diagnostic rapide et spécifique de l’infection à Plasmodium falciparum, recherche des facteurs de risques de sévérité, développement de deux candidats vaccins RTSS et le GMZ-2 dont la mise sur le marché va contribuer à réduire de manière considérable la létalité palustre.


SOLIDARITE MONDIALE


La mondialisation de la solidarité est une nouvelle réalité du 21e siècle : Philippe Douste-Blazy, ancien ministre français des Affaires étrangères, médecin de son état, préside aux destinées de UNITAID, l’organisme qui vient d’engager des fonds à hauteur de 77 millions de dollars afin de rendre un nouveau traitement antirétroviral accessible à des centaines de milliers de personnes vivant avec le VIH dans les pays en développement. Il est venu à Lambaréné, « comme médecin, pour rendre hommage au premier médecin sans frontières », mais aussi « comme créateur d’UNITAID, pour inviter le Gabon à participer officiellement au système de la taxe sur les billets d’avion ».

Rappelons qu’UNITAID a été créé en 2006 par les gouvernements du Brésil, du Chili, de la France, de la Norvège et du Royaume-Uni sous le nom de « Facilité internationale d’achat de médicaments ». Aujourd’hui, UNITAID compte un nombre toujours plus grand de membres à la fois du Nord et du Sud, parmi lesquels Chypre, la République de Corée, l’Espagne, le Luxembourg et la Fondation Bill & Melinda Gates, aux côtés du Cameroun, du Congo, de la Guinée, de Madagascar, du Mali, de Maurice et du Niger. Bientôt le Gabon ?

Le président Ali Bongo Ondimba a prêté une oreille extrêmement attentive au vibrant appel de Douste-Blazy. Plus de la moitié des ressources d’UNITAID proviennent d’une taxe modique prélevée sur les billets d’avion dans plusieurs pays : « les 400 passagers de l’avion que m’a conduit à Libreville, a lancé le président d’UNITAID, ont cotisé de manière totalement indolore, et sans le savoir, afin de sauver, chacun, trois enfant !! ».


FIN


La politique du Gabon Émergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

 le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org


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06/07/2013

Communiqué final du conseil des ministres du vendredi 05 Juillet 2013

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A l’ouverture des travaux, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a rappelé, pour que nul n’en ignore et que tout un chacun en prenne conscience, les préceptes qui suivent :

Le principe de séparations de pouvoirs, de distinction d’institutions constitue le fondement de toute démocratie. Il s’agit des pouvoirs législatifs, exécutif, judiciaire ; leur principe de séparation et la distinction des institutions afférentes relèvent d’une logique républicaine. Aucune structure, aucun groupe d’individus ne saurait abuser de son pouvoir sans que le contrôle des autres pouvoirs, des autres institutions ne s’impose. Le but invariable, en dépit de nos différences positives demeure l’intérêt supérieur de notre pays, du peuple gabonais.

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a exhorté le Conseil des Ministres à s’approprier pour les transmettre en tout temps, en tout lieu, les valeurs de patriotisme, de responsabilité et de respect des Institutions.

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA rappelle à l’ensemble de la Communauté Universitaire Nationale que l’Etat de droit offre le libre exercice des droits et libertés fondamentales tels que l’éducation déclinée dans l’objectif stratégique n° 6 du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE).

De même que le droit de grève doit être exercé dans le respect des dispositions légales en vigueur, le Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et Technique, de la Formation Professionnelle et de la Recherche Scientifique, Chargé de la Culture, de la Jeunesse et des Sports a rendu compte au Conseil des Ministres de la situation des étudiants ayant été empêchés par les troubles perpétrés à l’Université Omar BONGO, de déposer leur dossier et de les acheminer dans les délais prescrits à l’Agence Nationale des Bourses et Stages du Gabon.

Le Conseil des Ministres en a pris acte et assimile cette fâcheuse et préjudiciable situation à un cas de force majeure.

Aussi, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a-t-il instruit le Gouvernement de mettre tout en œuvre afin que les étudiants en situation de réussite concernés puissent bénéficier de leurs droits à la bourse.

Le Conseil des Ministres demande aux étudiants concernés de se présenter auprès des services compétents de l’Université Omar BONGO et de l’Agence Nationale des Bourses du Gabon (ANBG) aux fins de déposer leurs dossiers, dans un délai de quinze (15) jours ouvrables, pour compter de la présente communication.

Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, illustre propagandiste de sa Vision pour notre pays et son peuple, s’est rendu tour à tour :

· en Italie ;

· au Cameroun ;

· en Tanzanie.

A Rome en Italie, devant un grand auditoire réuni pour la 38ème session de la Conférence de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture, dont le thème était axé sur les « Systèmes alimentaires durables au service de la sécurité alimentaire et de la nutrition » ; Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a exposé avec brio et conviction, sa Vision de développement pour le Gabon à travers les piliers « Gabon Vert, Gabon Industriel, Gabon des Services ».

Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA s’est ensuite appesanti sur l’objectif stratégique n° 11 : « Valoriser le potentiel agricole et garantir la sécurité alimentaire ».

A cette occasion, le Directeur Général de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) a fort apprécié la stratégie de développement impulsée au Gabon, stratégie jugée compréhensible, pragmatique, menée par un leadership politique réel.

A titre de rappel, le Gabon, par son Porte-Parole du Gouvernement, a annoncé, le 18 Juin 2013, la création d’une Agence Gabonaise de Sécurité Alimentaire.

Par la suite et sur invitation de Monsieur le Président de la République de Tanzanie, Son Excellence Jakaya MRISHO KIKWETE, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a pris part à une importante rencontre placée sous l’égide du Commonwealth sur le thème « Dialogue de partenariat intelligent » axée sur « les voies et moyens d’une meilleure exploitation de la technologie dans la transformation socio-économique de l‘Afrique ».

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a profité de cette tribune pour affirmer que le Gabon-Emergent, qu’il souhaite de tous ses vœux, est un pays pleinement inséré dans les réseaux mondiaux.

En outre, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a été sollicité pour la mise en place d’une nouvelle Vision de croissance basée sur la technologie et l’innovation comme levier de transformation dans le secteur socio-économique.

Les deux (2) Chefs d’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA et Son Excellence Jakaya MRISHO KIKWETE ont reconnu que la fracture numérique ne doit pas constituer un frein à l’Emergence socio-économique.

Les Présidents de la République Gabonaise et de la République de Tanzanie ont de concert souhaité un renforcement de relations diplomatiques et économiques.

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a également pris part, aux côtés de ses pairs, à un Sommet dédié à la lutte contre la piraterie maritime dans le Golfe de Guinée.

Au terme de ces assises, il a été créé un centre inter régional de coordination basé à Yaoundé. Cet organe spécifique permettra de collecter les indicateurs et autres données pour mieux cerner les problèmes aux fins d’enrayer ce fléau.

Sur un tout autre plan, à l’initiative des Nations Unies, la Commission ONUSIDA et la revue médicale « The Lancet » ont organisé une grande réunion coprésidée par Madame la Présidente du Malawi Joyce BANDA, Madame la Présidente de la Commission de l’Union Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma et monsieur Peter PROT, Directeur de l’école d’hygiène et de médecine tropicale de Londres.

Notre pays a été honoré par la participation de la Première Dame du Gabon, Madame Sylvia BONGO ONDIMBA, en qualité de Commissaire Membre.

Devant un groupe d’experts de divers horizons, la Première Dame a livré la Vision ainsi que les initiatives de sa Fondation Eponyme pour, d’une part, soulager les souffrances des malades et contribuer à mettre fin à la pandémie du VIH/SIDA ; et d’autre part, moderniser l’architecture globale de la lutte contre ladite pandémie pour une santé mondiale plus équitable, efficace et durable.


AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES


MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE


Monsieur le Ministre a présenté au Conseil des Ministres qui les a approuvés, deux (2) projets de loi pris en application des dispositions de l’article 114 de la Constitution. Il s’agit :

1. du projet de loi autorisant la ratification de la Convention entre la République Gabonaise et la République de Corée, en vue d’éviter la double imposition et de prévenir l’évasion fiscale en matière d’impôts sur le revenu ;

2. du projet de loi autorisant la ratification de l’Accord de Coopération Touristique signé entre le Gouvernement de la République Gabonaise et le Gouvernement de la République de Turquie, le 25 Mars 2011, à Libreville.


MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE


Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté deux (2) projets de décrets :

· le projet de décret modifiant certaines dispositions du décret n° 1500/PR/MHUEDD du 29 décembre 2011 portant création et organisation de l’Agence Nationale de l’Urbanisme, des Travaux Topographiques et du Cadastre ;

· le projet de décret modifiant et supprimant certaines dispositions du décret n° 257/PR/MECIT du 19 juin 2012 réglementant les cessions et locations des terres domaniales.

Au titre du premier projet de texte, les articles 4 et 9 du décret n° 1500/PR/MHUEDD du 29 décembre 2011, susvisé sont modifiés et se lisent désormais ainsi qu’il suit :

« Article 4 nouveau : l’Agence a pour mission la mise en œuvre, pour le compte de l’Etat, des collectivités locales et des tiers, de l’aménagement d’espaces constructibles urbains et ruraux, la création de parcellaires, en vue de la cession des lots, l’établissement des actes de cession, la remise des titres de propriété établis par la Conservation de la Propriété Foncière et des Hypothèques aux acquéreurs, et la gestion des terrains et propriétés bâties de l’Etat. L’Agence Nationale de l’Urbanisme, des Travaux Topographiques et du Cadastre peut recevoir des pouvoirs publics toute autre mission relevant de sa compétence. »

Le second projet de décret quant à lui modifie et supprime certaines dispositions du décret n° 257/PR/MECIT du 19 Juin 2012 réglementant les cessions et locations des terres domaniales.

Aussi les articles 31 et 32 du décret susvisé sont modifiés et se lisent désormais comme suit :

« Article 31 nouveau : l’Agence Nationale de l’Urbanisme, des Travaux Topographiques et du Cadastre établit les actes de cession ou de concession de bail et les transmet sans délai à la Direction Provinciale des impôts territorialement compétente pour enregistrement. »

« Article 32 nouveau : l’Agence Nationale de l’Urbanisme, des travaux Topographiques et du Cadastre transmet le dossier à la conservation de la propriété foncière ou de transcription de l’emphytéose. Ce dossier comprend :

· l’acte de cession ;

· l’état civil du requérant ;

· le plan de bornage de la parcelle ;

· un état des lieux éventuel des constructions ;

· une évaluation des immobilisations bâties et non bâties.

Par ailleurs, l’article 33 du décret n° 257/PR/MECIT du 19 Juin 2012 règlementant les cessions et locations de terres domaniales est supprimé.


MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE, DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE


Monsieur le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a adopté, un projet de décret approuvant les statuts de la Société de Patrimoine des Infrastructures Numériques conformément aux dispositions de la loi n° 20/2006 du 03 Janvier 2006.

La Société de Patrimoine des Infrastructures Numériques a pour missions :

· de définir et de gérer ses participations dans le secteur des télécommunications et de l’Economie Numérique au nom et pour le compte de l’Etat ;

· d’entreprendre sur le territoire national ou à l’étranger, seule ou en association, toute activité liée au secteur des télécommunications et de l’Economie Numérique.


MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS


Monsieur le Ministre a présenté au Conseil des Ministres qui l’a adopté, le projet de décret portant réorganisation de l’Agence Nationale des Bourses du Gabon, établissement public à caractère administratif doté de la personnalité juridique et jouissant de l’autonomie de gestion administrative placée sous la tutelle technique du Ministre de l’Enseignement Supérieur.

En effet, la réorganisation de l’Agence Nationale des Bourses du Gabon consacrée par le présent décret, porte sur la redéfinition des missions et des organes de cet établissement public.

A ce titre, l’Agence Nationale des Bourses du Gabon, en abrégé ANBG, a pour missions :

· d’examiner les demandes de bourses de toute nature ;

· de valider et contrôler le paiement des états de bourses accordés aux élèves de l’enseignement secondaire scolarisés au Gabon ;

· d’orienter au Gabon et à l’étranger les étudiants de nationalité gabonaise vers les universités, les grandes écoles et les instituts de formation professionnelle en fonction des orientations arrêtées par le Gouvernement et des aptitudes des étudiants ;

· d’attribuer et rétablir aux étudiants les bourses nationales ou de coopération sur le territoire gabonais et à l’étranger ;

· de gérer et contrôler l’ensemble des bourses accordées aux étudiants au Gabon et à l’étranger ;

· de gérer les titres de transport des étudiants bénéficiaires d’une bourse ;

· de conclure tout partenariat avec toute personne physique ou morale étrangère ou gabonaise afin de promouvoir les orientations du Gouvernement en matière d’éducation et de formation des étudiants.

L’Agence Nationale des Bourses du Gabon (ANBG) comprend :

· le Conseil d’Administration ;

· la Commission Technique ;

· la Direction Générale ;

· l’Agence Comptable.


MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION


Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a entériné le projet de décret portant création des arrondissements dans les communes d’Akanda, de Ntoum et d’Owendo et fixant leurs limites et leurs sièges.

Au sens du présent texte, la Commune d’Akanda est subdivisée en deux (2) arrondissements :

· le 1er arrondissement dont le siège est établi au Cap estérias, comprend le territoire naguère de la commune du Cap-Estérias, une grande partie du département du Cap, le 1er Campement et l’Ile Mbanié ;

· le 2ème arrondissement, constitué des quartiers Sablière, Angondjè et Avorbam, a pour siège Angondjè.

Quant à la Commune de Ntoum, elle comprend désormais trois (3) arrondissements :

· le 1er arrondissement, qui abrite le siège de la commune et du 1er arrondissement, s’étend de la rivière Méyang jusqu’au PK 35 de Libreville, situé entre les villages Nkoltang et Okolassi ;

· le 2ème arrondissement dont le siège est fixé à Ayeme Plaine, englobe les villages Nkoltang, Ayeme Plaine, Bissobinam et Essassa, en excluant la zone économique spéciale de Nkok ;

· le 3ème arrondissement ayant pour siège Bikélé, hérite en partie du territoire de l’ancien district d’Ikoy-Tsini et s’étend jusqu’au PK 12 de la commune de Libreville.

Enfin, la commune d’Owendo a vu l’extension de son périmètre scindée en en deux (2) arrondissements :

· le 1er arrondissement qui est situé à l’ouest, englobe la zone industrielle et le port d’Owendo. Son siège est fixé à Nomba Domaine ;

· le 2ème arrondissement situé à l’Est avec pour siège Akournam 2, englobe l’ensemble des quartiers Akournam, Ewoumié ainsi que toute la zone en pleine urbanisation.


MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFFAIRES SOCIALES


Sur présentation de Madame le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret fixant les Statuts du Fonds National d’Aide Sociale, en abrégé « FNAS ».

Pris en application du décret n° 0252/PR/MFAS du 19 Juin 2012, le présent texte dispose que le Fonds National d’Aide Sociale est un établissement public à caractère administratif, doté de la personnalité juridique et jouissant de l’autonomie de gestion administrative et financière.

Placé sous la tutelle technique du Ministre en charge de la Famille et des Affaires Sociales, le Fonds National d’Aide Sociale a pour mission d’assurer, à titre exclusif, la collecte, la centralisation et l’attribution de l’aide sociale.


MINISTERE DU PETROLE, DE L’ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES


Monsieur le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui les approuvés, quatre (4) projets de décrets. Il s’agit du :

· projet de décret portant création et organisation de la Direction Générale de la Production et de l’Aval Pétrolier ;

· projet de décret portant création, attributions et organisation de la Direction Générale de l’Exploration et du Développement du Domaine des Hydrocarbures ;

· projet de décret portant attributions et organisation de la Direction Générale de l’Energie ;

· projet de décret portant attributions et organisation de la Direction Générale des Ressources Hydrauliques.

Le premier projet de décret porte création et organisation de la Direction Générale de la Production et de l’Aval Pétrolier (DGPAP), dont l’objet principal est la mise œuvre de la politique de valorisation, de transformation et de distribution des hydrocarbures de l’Etat.

Il indique que la création de cette nouvelle direction générale rentre dans le cadre de la réorganisation du secteur des hydrocarbures, en vue de participer plus efficacement à la réalisation des objectifs du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE) qui préconisent l’amélioration de la gouvernance du secteur ainsi que l’optimisation des recettes pétrolières.

En ce qui concerne le deuxième projet de décret qui porte création, attributions et organisation de la Direction Générale de l’Exploration et du Développement du Domaine des Hydrocarbures, il obéit à l’exigence de spécialisation des activités dans un domaine où, les connaissances et les techniques évoluent très vite. Ainsi structuré, cet effort de spécialisation permettra à l’Etat de mieux se concentrer chacune sur les missions qui leur seront assignées.

Quant au troisième projet de décret, il porte attributions et organisation de la Direction Générale de l’Energie, entité chargée de mettre en œuvre la politique de l’Etat, et de définir les stratégies en matière de production, de transport, de distribution, de commercialisation de l’Energie et vise aussi la clarification des missions du Ministère par rapport à l’Agence de Régulation du secteur de l’Eau Potable et de l’Energie Electrique, dont le rôle est de veiller au bon fonctionnement du secteur en tant qu’organe indépendant.

Enfin, le quatrième projet de décret porte attributions et organisation de la Direction Générale des Ressources Hydrauliques, qui a pour mission essentielle la mise en œuvre de la politique de l’Etat dans ce secteur. Aussi, traite t-il de la définition des stratégies à proposer au Gouvernement en matière de production, de transport, de distribution et de commercialisation des ressources hydrauliques.


EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE


MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFFAIRES SOCIALES


Le Conseil des Ministres a approuvé la création de deux (2) organes, afin d’apporter plus de lisibilité et de visibilité sur l’aide sociale accordée par l’Etat, dans le régime de mise en œuvre de ladite aide et de protection des droits de la famille.

Il s’agit d’une part, de l’Observatoire National de Protection des Droits de la Famille (ONPDF) et d’autre part, du Fonds National d’Aide Sociale (FNAS).

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement. La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.


Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :


MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS


AGENCE NATIONALE DES BOURSES DU GABON (ANBG)

- Directeur Général Adjoint : M. LECKOGO-ECKUNDA, en remplacement de M. Dieudonné KIELA.


BUREAU GABONAIS DU DROIT D’AUTEUR ET DES DROITS VOISINS (BUGADA DIRECTION GENERALE

- Directeur Général : M. OBAME ELLA Maximin, précédemment conseiller Juridique du Ministre de la Famille et des Affaires Sociales.


UNIVERSITE DES SCIENCES DE LA SANTE FACULTE DE MEDCINE

- Doyen de la Faculté de Médecine : Professeur NDJOYI MBIGUINO Angélique, précédemment Assesseur Chargée de la pédagogie, en remplacement du Professeur NGAKA NSAFU Dieudonné.

- Assesseur Chargé de la Pédagogie : Professeur KOUNA Philomène, précédemment Assesseur Chargée de la Recherche, en remplacement du Professeur NDJOYI MBINGUINO Angélique.

- Assesseur Chargé de la Recherche : Professeur AKENDENGUE Blandine, en remplacement du Professeur KOUNA Philomène.


CENTRE NATIONAL DES ŒUVRES UNIVERSITAIRES (CNOU) DIRECTION GENERALE

- Directeur Général : M. Albert NGUIA, Professeur du Second Degré Général, précédemment Secrétaire Général Adjoint de la Faculté de Médecine, en remplacement de M. DJILA Aubert.

Tous les autres responsables sont remis à la disposition de leurs administrations d’origine. Il s’agit de : - Mmes

· AKWE Thérèse ;

· EDOU Catherine ;

- MM. · Pamphile NGAELA ;

· BOUNDZAGA Marcellin ;

· MAKAYA MAKAYA François ;

· TCHIKOUNZI Charles.


MINISTERE DES EAUX ET FORÊTS


DIRECTION GENERALE DE LA FAUNE ET DES AIRES PROTEGEES

- Directeur Général : M. NGAVOUSSA Emile.

- Directeur Général Adjoint 1 : M. BODINGA Félicien, précédemment Directeur Général Adjoint à la Direction Générale des Ecosystèmes Aquatiques.

- Directeur Général Adjoint 2 : M. KOUELY Damas, précédemment Chef de Département de la Faune et Aires Protégées.


DIRECTION GENERALE DES ECOSYSTEMES AQUATIQUES

- Directeur Général : Mme AYITO Marie, confirmée.

- Directeur Général Adjoint 1 : M. BOUSSOUGOU Roger, précédemment Directeur Général Adjoint 2 à la Direction Générale de la Faune et Aires Protégées.

- Directeur Général Adjoint 2 : M. NHA MENDOME Paul Henri, précédemment Directeur du Développement des Forêts.


ETABLISSEMENTS SOUS TUTELLE DIRECTION GENERALE DE L’ECOLE NATIONALE DES EAUX ET FORÊTS

- Directeur Général : M. NZIENGUI Marcellin, confirmé.

- Directeur Général Adjoint : M. MIKISSA Jean Bruno, confirmé.

- Secrétaire Général : M. MOUNDZEGOU Jean Claude, en remplacement de M. NGOTAT NGOSSANGAT Clément.


AGENCE D’EXECUTION DES ACTIVITES DE LA FILIERE FORÊT-BOIS

- Directeur Général : M. NGAVOURA Pierre, confirmé.

- Secrétaire Particulière : Mme MASSOUKOU Elise, confirmée.

- Conseiller Technique : M. MBOUMA Valentin, confirmé.

- Conseiller Juridique : M. RAYIVIRE Jean Félix, confirmé.


FONDS FORESTIER NATIONAL

- Directeur Général : M. YANDA Jean François.

- Secrétaire Particulière du Directeur Général : Mme MATAMBA Ida, confirmée.

- Conseiller Technique : M. NKOLA EDOWIZA Guy Landry, confirmé.

- Conseiller Chargé de la Communication et de la Formation : Mme OBONO ALLOGHO Yolande, confirmée.

- Conseiller Economique et Financier : Mme KABANGOYE Tina Maryse.


MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE


DIRECTION GENERALE DES SERVICES DU TRESOR

AGENCE COMPTABLE DE L’AGENCE NATIONALE DES GRANDS TRAVAUX

- Agent Comptable : M. ASSOMO Evy Dan Pacôme, en remplacement de Mme BAGHEGHE Gilberte épouse NDOMBA.

AGENCE COMPTABLE DE L’AGENCE GABONAISE DE LA SECURITE ALIMENTAIRE

- Agent Comptable : Mme BAGHEGHE Gilberte épouse NDOMBA.

AGENCE COMPTABLE DE L’AGENCE NATIONALE DES BOURSES DU GABON

- Agent Comptable : M. PAMBO Crésant, en remplacement de M. NGOTIENI-ODOUA Nicaise.


FIN.


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05/07/2013

Centenaire d'Albert Schweitzer : Ali Bongo Ondimba sur les sites des manœuvres médico-militaires

 

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Lambaréné, jeudi 4 juillet 2013 – Le Président de la République, Ali Bongo Ondimba s’est rendu ce matin au Lycée Jean-Baptiste Adiwa de Lambaréné où se déroulent des manœuvres médico-militaires dans le cadre des cérémonies commémorant le Centenaire de l’arrivée du docteur Albert Schweitzer.

Depuis le mardi 3 juillet les ministères de la Défense Nationale et de la Santé organisent un exercice médical de grande ampleur au profit des populations du Moyen-Ogooué. 

Huit stands ont été érigés sur le site du lycée Jean-Baptiste d’Adiwa à Lambaréné pour présenter les compétences phares du Service de Santé des Armées : actions d’éducation pour la santé, vaccination, dépistage (diabète, tuberculose, …), médecine générale et spécialités médico-chirurgicales telles que la stomatologie, la chirurgie, la gynécologie, la dermatologie, la pédiatrie,…

Des moyens humains et matériels conséquents ont été déployés dans le cadre de cet exercice : cinq sites mettant en œuvre quatre équipes terrestres et cinq équipes fluviales à Lambaréné, Makouké, Ngomo, Bifoun et Ndjolé. Au total, ce sont 301 médecins spécialistes, généralistes, techniciens supérieurs et logisticiens qui ont été mobilisés pour présenter leur savoir-faire et offrir des soins gratuits aux populations.

Chaque année, une caravane médicale regroupant les principales spécialités du Service de santé militaire parcourt durant une semaine une province du Gabon pour procurer aux populations des zones rurales un accès gratuit à des soins de qualité.

Les manœuvres de cette année s’achèveront ce dimanche 7 juillet avec l’organisation à L’Ecole d’application de Santé militaire de Libreville du Symposium international sur la santé, les maladies infectieuses et l’aide humanitaire réunissant des sommités du monde scientifique et médical. 

Le chef de l’Etat a également visité le musée Albert Schweitzer situé dans l’enceinte de l’hôpital du prix Nobel de la paix 1952. Il inaugurera, ce samedi 6 juillet, le nouveau Centre International Universitaire de Recherche et de Santé, entièrement subventionné par l’Etat. 

Ce centre, qui ambitionne de constituer un pôle d’excellence international, a pour mission première de comprendre les maladies infectieuses endémiques grâce à la recherche, mais aussi d’améliorer les traitements, les soins médicaux curatifs et préventifs. 

Les cérémonies marquant l’arrivée il y a 100 ans du fondateur de l’hôpital Albert Schweitzer se dérouleront du 6 au 7 juillet 2013 conjointement à Lambaréné et à Libreville.



FIN

Pour découvrir le Gabon différemment : www.gabonexperiences.com

La politique du Gabon Émergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

v  le Gabon Vert pour valoriser durablement le  formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

v  le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

v  le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org


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