18/07/2013
Gabon: Suspendu de Facebook pour avoir publié un article sur les homosexuels
Décidément le lobby homosexuel tourne à plein régime et est impitoyable sur facebook , je viens de l’apprendre à mes dépens .
Après avoir publié l’article " Le Gabon ne sera jamais un pays de pédé ... oufff !!! " la sanction ne s'est pas fait attendre , non seulement le post a été supprimé , mais mon compte facebook a été bloqué pour 12H. Il m'est désormais impossible de publier quoi que soit avant minuit (heure du Gabon).
Quand on sait qu’une bonne partie des employés Facebook aux usa sont homosexuels , pire , les modérateurs francophones gérant facebook Afrique sont pour la plus part des pédés , on comprend aisément le diktat qu’ils veulent nous imposer : Africains Pédé-vous les uns les autres.
A ceux-là je dis : l’Afrique ne sera jamais votre jouet homosexuel , encore moins le Gabon. Nous vous combattrons éternellement ...
LE GABON NE SERA JAMAIS UN PAYS DE PÉDÉ . AMEN !!!!
Ci-joint l'article incriminé :
Le Gabon ne sera jamais un pays de pédé ... oufff !!!
Coup dur pour les gays de Gabao ! Non seulement il n’y a pas de place à une légalisation du mariage gay, de plus la loi se donne de gros muscles pour combattre le phénomène dans notre pays.
Avant le vote de la loi, la Garde des Sceaux a haussé le ton devant les membres de la chambre des députés. Face aux honorables ébaudis, Ida Reteno Assonouet a complètement ruiné l’espérance des homos : « Il est inadmissible que l’on puisse ratifier un texte qui légalise le mariage entre deux hommes car c’est une abomination qui ne rentre pas dans les moeurs de notre société. Un tel texte ne pourra jamais être ratifié pour ne pas polluer notre société. » Sous-entendu : les “pollueurs” doivent être pris en charge par les éboueurs à destination de la… décharge publique !
L’homosexualité est au centre de moult débats. Avec la mondialisation, certains ont vu pointer la menace. De fait, depuis quelques années des langues fourchues n’ont eu de cesse de colporter la mauvaise ou bonne nouvelle, c’est selon. D’autant que certains font un lien entre cette pratique sexuelle et l’existence des loges maçonniques et rosicruciennes. Ajouté à cela l’effet de mode : ce qui se fait en France a forcément des émules en terre gabonaise. Ef fet de mode aussi, ce qui s’est récemment passé au Sénégal.
Pendant le discours de Barack Obama, l’Américain a fait allusion à cette question délicatissime que son homologue Macky Sall est parvenu – ouf ! − à désamorcer telle une grenade. Parler de pédés et de gouines à Dakar, c’est provoquer un stunami en terre d’islam ! Il en est de même de Gabao, d’ailleurs. L’on se souvient de la sortie, il y a quelques mois, du pasteur Mbadinga. L’air grave et les propos prémonitoires, il semblait que l’homme de Dieu sortait d’une visitation. Une prédication accompagnait une campagne thématique à travers la capitale pour mettre en garde contre cette « infâmie ».
Dans tous les cas de figure, cette « chose » est la pire qui se puisse officilialiser sur cette terre d’Afrique. Dès lors, nombreux étaient persuadés que les autorités préparaient la légalisation du phénomène gay. Dans les chaumières, on ne parlait plus que de ça. Ça, c’est que le bon Gabon se préparait à franchir le rubicon. Et pourquoi pas du moment que dans la jet-set, on désigne avec une facilité déconcertante autant d’homos que de gouines. Pis, on attribue aux uns et aux autres leurs compagnes.
Dans les boîtes de nuit, les restaurants, les bistrots, partout, on sait qui est qui. C’est la « femme » de. L’expression fait florès. De la sorte, il y a des hommes pour les hommes ; également, il y a des femmes pour les femmes… Ah, Libreville et son mercado de potins ! Du coup, la vieille loi a été secouée comme un cocotier !
Toutes les pratiques assimilées au satanisme y passent : pédophilie, inceste, exhibition sexuelle, proxénitisme… En somme, il s’agit d’un arsenal juridique en vue de faire face à toutes les situations imaginables et relevant de ce répertoire maudit.
De quoi combler d’aise dame Honorine Nzet Biteghé qui n’a eu de cesse de batailler sur les droits de la gent féminine. La ministre de la Famille est tellement obnubilée par une ritualisation de certains droits qu’elle a oublié que ceux-ci sont acquis. La femme, au Gabon, n’est pas objet, mais sujet de droit. Il suffit de (re)lire la Constitution. Si la femme n’assume pas son statut, elle demeurera l’objet de la meute d’obscurantistes.
D’un autre point de vue, la modification de certaines dispositions portant Code pénal est un renforcement de ce statut. Longtemps, nous avons glausé sur les violences faites à nos compagnes. C’est devenu un sport pour lequel le mâle fait plus que mal. Pourquoi la loi du silence a-t-elle prospéré, bien que nous ne soyions pas à la fin de la maltraitance ? A cause de la peur.
Pour comprendre l’état psychologique dans lequel vit la femme, prenons le cas des enfants soumis à la bastille permanente. Naturellement, l’enfant craint la gifle et la chicote ! Voilà ce que les mâles de Gabao – phénomène congénitalement bantu et africain – ont fait depuis des sècles. La femme a été infantilisée.
Fin.
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