30/09/2013

Ali Bongo Ondimba aux Nations Unies: sécurité, développement durable et gouvernance économique

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New York, lundi 30 septembre 2013 – Allocution devant l’Assemblée générale des Nations Unies, rencontres avec plusieurs chefs d’État, séance de travail avec le secrétaire général Ban Ki-moon, intervention à la réunion annuelle de Clinton Global Initiative, présidence de la réunion de haut niveau Gabon-Allemagne sur le commerce illicite des espèces menacées, signature du Traité sur le commerce des armes : au cours d’une dense semaine diplomatique à New York, Ali Bongo Ondimba a fait entendre la voix du Gabon sur les questions internationales et les problèmes africains.


OMD – les bons résultats du Gabon

Alors que tant de crises entravent le développement de l’Afrique, le président gabonais s’est félicité des progrès « considérables » accomplis dans son pays par rapport aux Objectifs du Millénaire pour le développement (réduction de la pauvreté, de la mortalité infantile et maternelle, sécurisation alimentaire). Classé par son Indice de développement humain (IDH-PNUD) au premier rang continental devant quarante-trois pays d’Afrique subsaharienne, le Gabon enregistre des progrès socio-économiques confirmés par différents indicateurs et appuyés par plusieurs réformes structurantes : mise en place d’une assurance santé universelle, plafonnement des prix des produits de première nécessité et dynamisation de l’agriculture, alignement de l’éducation et de l’entreprise.

Une stratégie qui correspond aux recommandations du rapport OMD2013 de la Commission économique pour l’Afrique, selon lesquelles « l’Afrique doit s’engager à poursuivre un processus de développement qui soit inclusif, porteur de réformes, qui favorise la hausse des revenus et crée des emplois décents, améliore la qualité des services sociaux et l’accès à ceux-ci, diminue les inégalités et promet la résilience au climat ». Disposant d’un des dix meilleurs taux d’alphabétisation du continent (97,7%), étant parmi les huit pays africains à afficher la parité des sexes dans la scolarisation primaire, étant dans le peloton de tête pour la réduction de la mortalité maternelle et le pourcentage des accouchements assistés, enregistrant la plus forte baisse des émissions de CO² par habitant, classé dans le groupe des quatre pays les plus performants dans l’intégration du développement durable aux programmes nationaux et affichant – depuis 1990 – le plus faible indice de la faim d’Afrique subsaharienne, le Gabon fait figure de bon élève des OMD.

À propos des stratégies d’évaluation, dans le contexte de l’agenda 2015, le président gabonais souligne qu’il serait important de mieux évaluer et suivre les progrès des pays en matière d’action durable. « Le Gabon propose un Indice de développement durable qui combinerait l’Indice de développement humain et l’empreinte écologique des pays ».


Problèmes internationaux et commerce des armes

Le président gabonais s’est posé en ardent défenseur de la prévention des conflits. Et d’évoquer une « utilisation inacceptable d’armes chimiques » en Syrie, pays pour lequel le Gabon soutient « tous les efforts diplomatiques en faveur d’un processus politique », appelant sur un plan global à la « destruction de tous les arsenaux chimiques dans le monde ». Devant l’organe délibérant des Nations Unies, Ali Bongo Ondimba a encore salué la reprise des pourparlers Palestine-Israël, réitéré sa position en faveur de la levée de l’embargo contre Cuba, souligné « l’évolution politique positive » au Mali, appelé « l’ensemble des pays des Grands Lacs à soutenir les efforts de l’ONU » en RDC et invité à la « mobilisation » pour la constitution des effectifs de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique. Sur ces questions africaines en particulier, Ali Bongo Ondimba a pu échanger avec le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon et le Secrétaire d’État britannique en charge des Affaires africaines Mark Simmonds.

Le 25 septembre 2013, le même jour que les États-Unis d’Amérique, le président Bongo Ondimba a apposé la signature du Gabon au Traité sur le commerce des armes, engageant son pays à respecter une réglementation internationale contraignante.


Nouvelles menaces – piratage et braconnage

Alors qu’au sud émergent de nouvelles puissances, bien décidées, à l’image du Gabon, à forger des économies diversifiées génératrices de mieux-être pour les populations, l’Afrique affronte des menaces inédites et non-conventionnelles. « Elle ne peut faire face toute seule », a martelé Ali Bongo Ondimba qui s’est félicité de voir le Conseil de Sécurité se pencher sur les actes de piraterie et les vols à main armée dans le Golfe de Guinée. « Le Gabon est disposé à apporter sa contribution aux mesures adoptées en juin 2013 au sommet régional de Yaoundé ».

Menace encore, pour la biodiversité, la vie rurale, la sécurité collective : le braconnage, qualifié de « défi écologique et économique » et de « crime transnational ». Pour le chef de l’État, qui a présidé jeudi 26 septembre une réunion de haut niveau Gabon-Allemagne sur le commerce illicite des espèces sauvages, « les Nations Unies doivent intégrer cette question dans la coopération avec l’Union africaine » en rejoignant les efforts du Gabon pour la création d’un fonds spécial de renforcement des capacités africaines dans les crises environnementales. Car le commerce illicite est un fléau « africain » aux conséquences mondiales pesant annuellement quelque 25 milliards de dollars, une menace directe contre la stabilité des états et de leurs frontières, le transport maritime, la paix sociale. Se tournant vers le Secrétaire général des Nations Unies, Ali Bongo Ondimba a souhaité, au nom du Gabon et de l’Allemagne, la nomination d’un Envoyé spécial de l’ONU pour le crime contre la vie sauvage et indiqué que son pays étant candidat à l’accueil d’une future conférence mondiale sur le trafic des espèces.

Intervenant un peu plus tôt à la réunion annuelle de l’ONG Clinton Global Initiative, Ali Bongo Ondimba a rappelé que l’Afrique avait perdu 75% de ses troupeaux d’éléphants de forêt durant la dernière décennie et annoncé que l’Agence des parcs nationaux du Gabon travaillait, sous ses instructions, à constituer une Initiative de maintien de la paix environnementale en Afrique. Ce programme, dont une ébauche fut l’envoi d’experts gabonais auprès des conservateurs du sanctuaire de Dzanga Sangha en Centrafrique, a d’ores et déjà reçu une contribution de 2 millions de dollars de la fondation Howard G. Buffett.


Gouvernance économique et sociale - 200 millions de dollars pour l’emploi des jeunes

Soucieux de favoriser l’action des financements innovants pour « la transformation de nos économies en vue d’une croissance durable et inclusive », le président Ali Bongo Ondimba porte à l’attention des États Membres son choix de créer Train My Generation, un fonds destiné à la formation des jeunes et auquel les pays de la CEMAC (Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad) vont chacun offrir un financement fondateur de 10 millions USD. Initié par le Gabon en clôture du New York Forum Africa 2013, il devrait atteindre les 200 millions USD avec le soutien du secteur privé et des institutions financières internationales. Audité selon les standards les plus exigeants, ce dispositif permettra la création d’une cinquantaine de centres d’apprentissage, pour 100.000 jeunes candidats à l’insertion professionnelle dans les secteurs porteurs du tourisme, de l’agriculture et des services.

L’avenir post-2015 des nouveaux objectifs mondiaux étant à la promotion d’une gouvernance responsable et transparente, Ali Bongo Ondimba a rappelé devant l’Assemblée générale que son pays œuvrait à la consolidation de ces facteurs « avec toutes les forces vives de la nation » et annoncé la candidature du Gabon à la présidence du Conseil des droits de l’homme pour l’exercice 2014.


FIN


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28/09/2013

Bien être des enfants sourds et muets: Préoccupation majeure de Sylvia Bongo Ondimba

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Déterminée à être la voix des « sans voix », Sylvia Bongo Ondimba à travers sa fondation pour la famille est engagée auprès de l’école nationale pour enfants déficients auditifs ( ENEDA ) afin d’offrir aux enfants issus de cet établissement un avenir plein d’espoir. A cet effet , plusieurs actions ont été menées par la Première Dame du Gabon afin d’accompagner ces derniers dans leur épanouissement.


Acteur de la société civile gabonaise, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba ( FSBO ) pour la famille http://www.fondationsylviabongoondimba.org/ est une jeune structure à caractère humanitaire et social. Depuis 2011, cette fondation, reconnue d’utilité publique, œuvre en faveur des vulnérables au Gabon . Notamment en faveur des enfants déficients auditifs admis au sein de l’Ecole Nationale des Enfants Déficients Auditifs ( ENEDA ). En faveur aussi des femmes démunies, de la veuve et de l’orphelin et de biens d’autres cas sociaux. Par ses actions et programmes, la fondation souhaite permettre aux personnes vivant avec un handicap d’être, à travers des actions associatives collectives, les acteurs du changement pour leur intégration économique et sociale au sein de la société gabonaise.


 A ce propos, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba ( FSBO ) pour la famille s’est engagée à apporter sa pierre à l’édifice pour aider à la réhabilitation de l’ENEDA ; au renforcement des capacités de son personnel mais aussi et surtout pour la reconnaissance du talent des enfants déficients auditifs ; leur accès à la scolarité et leur intégration dans la société. Ainsi , à travers un projet innovant d’accès a des activités de créativité, la FSBO souhaite mettre un accent particulier sur l’importance de l’accès à l’éducation, à travers un enseignement spécifique et adapté pour ces enfants.


Au nombre des actions menées par la Fondation, nous citerons : trois semaines d’intervention comprenant des ateliers de création artistique pour les élèves , la formation à des pédagogies adaptées pour les enseignants, la réalisation d’un cour métrage , la réhabilitation d’une salle de psychomotricité et l’aménagement d’une salle de médiathèque.


De nombreux dons ont également été faits, notamment des ouvrages et DVD adaptés en Langues des Signes Américaine et Langue des Signes Française, des ouvrages pédagogiques, du matériel pour activités de créativité et de psychomotricité. A souligner le don d’un minibus qui permet aujourd’hui aux encadreurs d’organiser des sorties pédagogiques durant l’année scolaire. En outre, un voyage scolaire et de découverte en France pour 4 élèves a été offert par la Fondation.


Enfin, en mai dernier , la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille a encadré et accompagné un groupe d’élèves de l’ENEDA dans la réalisation d’un court métrage qui a été présenté à la cinquième édition du festival «  Sourds Métrages «  de Nancy. Ce court métrage a remporté le prix du «  meilleur scénario » devant une assistance émerveillé par autant de sensibilité et de créativité . Grace à ce talent de ces jeunes gabonais, les images ont su remplacer les mots.


C’est pour faire changer le regard de la société gabonaise envers les personnes vivant avec un handicap , que la Fondation s’est fixé comme objectif de rappeler sans cesse que ces enfants ont les mêmes droits que tous les autres et notamment le droit à l’éducation, à la culture et aux loisirs. Mettre en lumière les talents et compétences de ces enfants , qui ne sont pas tout à fait comme les autres, mais qui peuvent se révéler, s’épanouir et faire preuve de ressources formidables à partir du moment où ils bénéficient d’une pédagogie adaptée, reste le combat de la Fondation.


Notons que la visite effectuée à l’ENEDA le 13 novembre 2012 par la Première Dame du Gabon Sylvia Bongo Ondimba a constitué l’élément déclencheur d’une série d’actions au bénéfice des élèves de cette structure. https://www.facebook.com/media/set/?set=a.101511538180945... 

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Jacques Basile Makosso , Directeur de l’ENEDA : « Après de multiples actions engagées à l’endroit des handicapés moteurs avec notamment la distribution de très nombreux fauteuils et scooters , sur l’ensemble du territoire, aujourd’hui c’est autour de l’ENEDA de bénéficier d’une série d’actions de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille. Parmi ces actions, on peut citer, entre autres, la réalisation des ateliers d’art thérapie, la dotation d’une salle de psychomotricité, d’une salle multimédia enrichie d’une salle de lettres et d’une salle de projection vidéo pour apprentissage. Notons également des dons en matériel didactique, le don d’un minibus pour nos activités socio-éducatives, le financement pour l’épanouissement de ces enfants d’un court métrage intitulé «  la maison de la vie » et qui a été réalisé par nos élèves, qui sont très doués. Ce court métrage nous a valu une participation au Festival du Sourd Métrage de Nancy, où nous avons obtenu le prix du meilleur scénario. A ces actions s’ajoute le plaidoyer de la Première Dame auprès du Chef de l’Etat pour l’amélioration des conditions éducatives des élèves sourds du Gabon.

A cet effet, il faut noter que la question de l’éducation des déficients auditifs est désormais au cœur des préoccupations du Président de la République Ali Bongo Ondimba , car depuis peu, le Ministre de l’Education Nationale a pris un arrêté mettant an place un groupe de travail réunissant ledit ministère et le ministère de la Famille et des Affaires sociales. Ce groupe travail pour l’amélioration des conditions d’éducation des sourds et malentendants du Gabon. Il a élaboré un plan d’action, fixant des actions à entreprendre à court terme et qui devra éminemment être validé par qui de droit. Pour toutes ces innovations, permettez-moi de dire qu’à côté du Gabon vert, du Gabon industriel et du Gabon des services, il y a le Gabon social. … »

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27/09/2013

Commerce illégal d’espèces protégées : Ali Bongo Ondimba interpelle la communauté internationale

 

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New York, le 26 septembre 2013 – Ali Bongo Ondimba interpelle la communauté internationale sur l’urgence de s’unir pour combattre le crime contre la faune et la flore et réitère l’engagement du Gabon dans la lutte contre ce fléau dans le cadre de la Réunion annuelle de la Clinton Global Initiative (CGI) et la discussion de haut niveau sur le braconnage et le trafic d’espèces protégées.

Lors de son discours à la CGI, le Chef de l’Etat - qui avait déjà annoncé, en mai dernier, à Marrakech son soutien à la Campagne BAD/WWF contre le commerce illicite d’espèces sauvages et appelé à la création d’un fonds panafricain pour répondre aux crises environnementales - a décliné les initiatives mises en œuvre, sous son impulsion, par l’Agence Nationale des Parcs Nationaux (ANPN) qui travaille en étroite collaboration avec ses homologues du continent africain dans « le but de fédérer nos experts en matière de faune et de monter une initiative africaine de maintien de la paix environnementale ».

Au cours des prochaines années, ce sont des millions de dollars qui seront consacrés à ce projet d’envergure continentale qui a déjà reçu une promesse de subvention de 2 millions USD sur deux ans de la Fondation Howard G. Buffet.

Lors d’une discussion de haut niveau sur le « braconnage et commerce illicite d’espèces sauvages: une criminalité aux dimensions multiples et un défi croissant pour la communauté internationale », co-animé avec le Dr Guido Westerwelle, ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d’Allemagne, le Président de la République a exhorté le Secrétaire général de l’ONU « de nommer un envoyé spécial pour les crimes de la faune et de la flore, qui sera chargé de superviser la réponse mondiale à ce problème urgent ».

Soucieux de voir l’Organisation des Nations Unies jouer un rôle majeur dans la lutte contre le braconnage orchestré par des réseaux mafieux transnationaux mieux équipés et plus agressifs, Ali bongo Ondimba propose que le Gabon accueille une conférence mondiale sur le braconnage.

 

FIN

 

Pour découvrir le Gabon différemment : www.legabon.org


Allocution du Président Ali Bongo Ondimba


§   Excellences,

§   M. le secrétaire général adjoint,

§   Ministres,

§   Ambassadeurs,

§   Représentants des ONG et de la société civile,

 Distingués Invités,

§   Mesdames et Messieurs,


L’Allemagne et le Gabon sont honorés de votre présence à cet événement parallèle de haut niveau sur un sujet de préoccupation commun.

Comme vous en êtes bien conscients, le trafic illégal de la faune et de la flore, de poisson, de bois de construction et autres produits à base de plantes est devenu l’un des cinq premiers réseaux de commerce illégal au monde, représentant potentiellement 25 milliards de dollars par an.

Au cours des dernières décennies, nous avons vu les gangs organisés et les réseaux criminels devenir de plus en plus agressifs dans leur quête de cornes de rhinocéros, d’ivoire et autre produits de la nature. Aujourd'hui, bon nombre de nos gardes-forestiers sont désormais engagés dans des combats armés d’un niveau équivalent à ceux observés par les forces spéciales en Afghanistan.


Le commerce illégal de la faune et de la flore déstabilise des nations entières et entrave la croissance des économies locales. Les armées rebelles négocient des cornes de rhino et de l’ivoire, et les navires pirates pillent nos pêcheries, entraînant l’insécurité en haute mer.

Ce problème concerne désormais plus que l’environnement et la biodiversité. Ce commerce illégal constitue maintenant un crime transnational et il est en passe de devenir une menace pour la paix et la sécurité sur notre continent.

C’est pourquoi ce problème mérite une attention mondiale.


Au cours de notre très récent mandat au Conseil de sécurité, le Gabon s’est grandement intéressé aux questions de crime transnational et des nouvelles menaces pesant sur la paix et la sécurité.

Nous saluons également l’Allemagne, qui a porté la question des liens entre environnement et sécurité à l’attention du Conseil. L’Allemagne et le Gabon ont récemment éveillé la conscience du Conseil concernant le problème du trafic de la faune et de la flore.

Comme je l’ai fait il y a tout juste un peu plus d’une heure dans le cadre de la Clinton Global Initiative, je souhaiterais ici demander une action concertée de la communauté internationale dans son ensemble afin de s’attaquer à ce problème. Les pays d’origine, de transit et de commercialisation doivent tous travailler ensemble.


Aucun d’entre nous ne peut résoudre ce problème tout seul – cela dépasse amplement une simple question de maintien de l’ordre national. Comme pour le trafic de drogue et la traite humaine, nous faisons face à des réseaux internationaux bien organisés.

Au nom du Gabon et de nos co-présidents, l’Allemagne, j’en appelle au Secrétaire général de l’ONU de nommer un envoyé spécial pour les crimes de la faune et de la flore, qui sera chargé de superviser la réponse mondiale à ce problème urgent.

Nous considérons que l’ONU doit jouer un rôle directeur qui pourrait se traduire par l’organisation d’une conférence mondiale, et le Gabon est disposé à accueillir un tel sommet au moment jugé importun.


Par ailleurs, une résolution de l’Assemblée générale des Nations unies sur cette question pourrait être adoptée suite à un débat plénier de haut niveau.

Pendant ce temps, le Gabon collabore avec d’autres nations africaines pour développer une réponse continentale au crime de la faune et de la flore. Je remercie et salue mes frères présidents africains, pour leur participation à cet événement.

Je m’entretiendrai avec mes collègues africains au sujet de la nécessité d’une initiative africaine de haut niveau impliquant l’Union africaine et d’autres organisations régionales.


Cette stratégie africaine devrait être supervisée par les hommes et les femmes qui se battent sur le terrain pour défendre la faune et la flore. J’ai chargé le directeur de l’Agence des parcs nationaux du Gabon de collaborer avec ses homologues à travers tout le continent afin de développer des équipes de maintien de la paix environnementale constituées des agences appropriées, et pouvant être mobilisées rapidement chaque fois qu’une crise pour la faune et la flore se développe.

Nous avons testé ce concept avec succès en Centrafrique, à la demande du président DJOTODIA, et j’ai la conviction que cette approche sera extrêmement efficace.

 

Merci à vous, Excellences, Mesdames et Messieurs, pour trouver le temps de discuter de cette importante question au cours de cette semaine chargée. Dans l’attente de vos opinions et d’une collaboration avec vous afin d’apporter le pouvoir de l’ONU à notre combat contre le crime de la faune et de la flore.


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ONU : Le Président Ali Bongo Ondimba , diplomate et écolo

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Le Président Gabonais Ali Bongo Ondimba s’est entretenue , en marge de la 68ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies, avec le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki Moon, entre autres sur la situation sécuritaire en Afrique centrale peu avant de signer un traité sur la circulation des armes dans cette région.


Au cœur de  la discussion entre le Président gabonais et le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki Moon, outre les questions multilatérales Gabon-ONU, la situation sécuritaire en République centrafricaine a occupé une place de choix.


Le Gabon qui abrite le Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale se retrouve par ailleurs fortement impliqué dans la pacification de la RCA, comme il l’est dans bien d’autres pays, notamment de la sous-région  Afrique centrale. Et cela est devenu une tradition d’Omar Bongo à Ali Bongo Ondimba.


Un contingent Gabonais est, à cet effet , actuellement à Bangui au sein de la Force multinationale des Etats de l’Afrique centrale ( FOMAC) voué au maintien de la paix en Centrafrique.


Ali Bongo Ondimba a, lors de cet entretien, réaffirmé son soutien à la transition en cours en Centrafrique. Une transition falicitée par le Gabon entre autres pays membres de la CEEAC. La veille, lors de son discours à la tribune des Nations Unies le président Gabonais a émis le vœu que les protagonistes centrafricains adhèrent strictement au cadre de cette transition. A ce propos , l’ONU appui tous les efforts déployés en vue du retour à la paix et à la sécurité en RCA.


Dans ce même cadre, Ali Bongo Ondimba s’est tour à tour entretenu avec le président de l’Assemblée générale des Nations Unies,  John William Ashe, et le ministre britannique chargé de l’Afrique, Marc Simmonds.


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Le président a par ailleurs signé le traité sur la circulation des armes en Afrique centrale pour signifier l’engagement du Gabon dans la lutte contre la circulation des armes. Ce traité est le premier instrument juridique contraignant pour l’ensemble de la communauté internationale.


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En effet , la circulation des armes notamment légères en Afrique centrale a une incidence sur la protection de la faune sauvage, à travers le braconnage, devenu  un véritable fléau dans la sous région. Cette question sera d’ailleurs au centre des préoccupations du Chef de l’Etat gabonais .


En effet , Ali Bongo Ondimba a prononcé un discours sur le braconnage à la prestigieuse Fondation Clinton, qui lance un débat sur le trafic illicite des animaux sauvages , avant de prendre part à un autre débat co-organisé au siège des Nations Unies par le Gabon  et l’Allemagne , sur les mêmes questions.


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La veille à l’ouverture du débat général à l’Assemblée générale des Nations Unies consacré à l’agenda post 2015 des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) ainsi qu’aux crises et conflits qui préoccupent la communauté internationale, le Président Ali Bongo Ondimba a clamé l’urgence d’une réflexion féconde sur la poursuite des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) n’ayant pas été atteints en y ajoutant les problèmes de l’énergie, de l’accès à l’eau potable , de l’agriculture durable qui accable l’Afrique.



 

 

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25/09/2013

ONU 68ème Session: DISCOURS DU PRESIDENT ALI BONGO ONDIMBA

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Excellence Monsieur le Président,

• Excellences Mesdames et Messieurs les Chefs d'Etat et de Gouvernement,

• Excellence Monsieur le Secrétaire Général,

• Mesdames et Messieurs,


Je suis honoré de prendre la parole, au nom du Gabon, à cette Soixante-huitième Session ordinaire de notre Assemblée.


• Monsieur le Président,

Je vous félicite chaleureusement pour votre élection à la présidence de cette session. Soyez assuré du soutien du Gabon.

Je salue le travail remarquable de votre prédécesseur, S.E.M. VUK Jeremic, qui a présidé la 67ème Session.

Je réitère notre confiance dans l'action multiforme du Secrétaire général, S.E.M BAN KI-Moon, et les importantes réformes organisationnelles qu'il met en œuvre.

Je voudrais à nouveau féliciter leurs Excellences Messieurs Ibrahim Boubacar KEïTA, de la République du Mali et Hassan ROHANI de la République Islamique d'Iran, pour leur élection.


• Monsieur le Président,

Notre Session s'ouvre dans un contexte marqué par l'attaque terroriste contre un centre commercial de Nairobi, au Kenya, faisant de nombreuses victimes innocentes, y compris des enfants. Cet acte est intolérable et j'exprime ici la plus ferme condamnation de mon pays contre ses auteurs.

J'adresse au nom de mon pays, ainsi qu'au mien propre, nos profondes condoléances aux familles des victimes et au Peuple kenyan. Le Gabon assure le Gouvernement kenyan de son soutien dans cette épreuve.

L'Afrique qui devient une cible du terrorisme doit bénéficier de tout l'appui solidaire de la communauté internationale dans ses efforts de lutte contre cette menace.


• Monsieur le Président,

La pauvreté nourrit les extrémismes à travers le monde et la lutte contre la pauvreté doit rester au cœur de nos politiques. Nos Peuples, en particulier nos jeunes, demandent de nous, plus de progrès socio-économique. Aussi, je me réjouis que cette importante session nous permette de planter le décor de l'Agenda du développement post 2015 et de réfléchir sur ce qui reste à accomplir des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).

Les OMD ont constitué un pacte de solidarité mondial pour le progrès socio-économique de nos pays. Je voudrais ici souligner que le Gabon a accompli des progrès considérables dans la réduction de la pauvreté,la sécurité alimentaire et l'éducation. Nous avons considérablement réduit la mortalité infantile et maternelle, la prévalence du VIH/SIDA, de même que la létalité du paludisme. Enfin, nous avons renforcé la participation des femmes à la vie politique et économique du pays.

En dépit des efforts fournis par nos Etats, force est de reconnaître que certains OMD ne se réaliseront pas comme prévu, surtout en raison des engagements non-tenus, et de la diminution des financements.

De ce retard, le Gabon tire deux principaux enseignements: l'importance de renforcer la gouvernance; et la nécessité d'efforts supplémentaires dans l'éducation et la santé pour rendre la croissance plus équitable et inclusive.


• Monsieur le Président,

A l'entame de notre réflexion sur l'Agenda du Développement post 2015, je tiens à relever que le Gabon souhaite un Agenda post 2015 qui:

• Accorde une attention aux priorités de l'Afrique;

• Intègre les OMD non réalisés dans les futurs Objectifs du Développement Durable (ODD) ;

• Et qui prend en compte des questions spécifiques telles que l'énergie, l'accès à l'eau potable, l'agriculture durable.

Par ailleurs, nous souhaitons un agenda reposant sur un cadre de financement prévisible, qui associe les financements publics et privés, ainsi que les financements innovants et les partenariats globaux.

Cet agenda doit stimuler l'investissement direct et améliorer notre part du commerce international. Il doit favoriser la transformation de nos économies, en vue d'une croissance durable et inclusive.

Cette optique m'a amené, en tant que Président en exercice de la Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale, à proposer à mes pairs, qui l'ont accepté, la création d'un Fonds à hauteur de deux cent millions US $ (200.000.000) pour la formation et l'emploi des jeunes, dénommé «Train my Generation ». L'objectif de cette initiative est de favoriser le rôle des jeunes dans le développement de nos pays.

Dans le même esprit, lors du 5éme TICAD, j'ai proposé à mes pairs que, d'ici 2020, l'Afrique puisse transformer ses matières premières avant de les exporter. Par cette approche le Gabon transforme déjà 40% de son bois localement, doublant ainsi l'emploi dans cette filière.

Dans le contexte de l'Agenda 2015, il sera important de mieux évaluer et suivre les progrès des pays. A cet effet, le Gabon propose un Indice de développement durable qui combinerait l'Indice de Développement Humain (IDH) et l'empreinte écologique des pays.


• Monsieur le Président,

Notre quête du développement durable nécessite inévitablement un accord contraignant sur le climat. Nos meilleurs experts mondiaux ne cessent d'attirer notre attention sur le réchauffement de la planète. L'existence même de certains Etats est menacée. Force est de constater que nous restons encore prisonniers de nos intérêts et du dimato-scepticisme.

Le Gabon, pour sa part, assume ses responsabilités, en mettant en place des mesures telles que notre Plan d'affectation des terres ou notre Plan climat.

Pouvons-nous progresser vers un accord post-Kyoto en 2015, par des mesures fortes et courageuses, dans l'intérêt de nos générations futures ? Cette question doit nous interpeller davantage. C'est pourquoi je soutiens l'initiative du Secrétaire général d'organiser en 2014 un sommet sur le climat.


• Monsieur le Président,

A côté du climat, la biodiversité est menacée par le braconnage et le commerce illicite des espèces protégées. Les éléphants et les rhinocéros sont plus menacés à cause du commerce illicite de leur ivoire et de leur corne.

Ce phénomène devient un défi écologique et économique; un crime transnational; et une menace à la sécurité de nos Etats.

C'est ainsi qu'avec l'Allemagne et d'autres Etats,nous avons initié une réflexion sur cette question. En marge de nos travaux, nous tiendrons, le 26 septembre, ici aux Nations Unies, un événement parallèle avec pour objectif la mobilisation sur cette question.

Nous serions honorés de votre présence et de vos contributions au cours de cette discussion.

J'appelle les Nations Unies à intégrer cette question dans la coopération avec l'Union Africaine. En mai dernier à Marrakech, j'ai proposé la création, au sein de la Banque Africaine de Développement, d'un fonds spécial qui aiderait au renforcement des capacités africaines et à d'autres actions.


• Monsieur le Président,

Le développement durable doit en définitive aller de pair avec la bonne gouvernance, l'égalité et l'accès à la justice, la protection des droits de l'Homme et la démocratie.

Au Gabon, nous œuvrons ardemment à la consolidation de ces facteurs, avec toutes les forces vives de la nation. Nous avons désormais introduit la gestion des données biométriques, pour renforcer la transparence des élections, et consolider ainsi la démocratie.

En outre, notre mandat actuel au Conseil des Droits de l'Homme répond à nos engagements, notamment en ce qui concerne la promotion et la protection des droits des femmes et des enfants.

En cette année anniversaire de la Déclaration de Vienne, le Gabon s'impliquera dans la promotion des droits économiques, sociaux et culturels, ainsi que la lutte contre le racisme, la haine et la violence dans le monde.

C'est fort de ces engagements que le Gabon est candidat à la Présidence du Conseil des droits de l'Homme pour l'exercice 2014.


• Monsieur le Président,

L'Afrique suscite plus d'espoir sur son avenir. Mais pour qu'il se réalise sur tout le continent l'Afrique doit pouvoir résoudre les crises qui entravent son développement. Permettez-moi d'évoquer certaines situations de crises :

En République Démocratique du Congo, le Gabon reste préoccupé par les affrontements dans l'Est du pays dont les femmes et les enfants payent un lourd tribut.

Nous saluons les efforts additionnels déployés par l'ONU en vue de l'application de la Résolution 2098 du Conseil de Sécurité, et des engagements pris par les partis à l'Accord cadre. L'ensemble des pays des Grands Lacs devrait soutenir les efforts de l'ONU.

Nous encourageons aussi les efforts que le Gouvernement met en œuvre en vue de la tenue des prochaines élections.

En République Centrafricaine, le Gabon soutient la transition à laquelle nous avons œuvrée avec les Etats de la CEEAC. Il est souhaitable que les différents protagonistes adhèrent strictement au cadre de la transition.

Toutefois, je reste préoccupé par la situation humanitaire et sécuritaire, y compris la reprise des activités de la LRA.

Par ailleurs, je me félicite de l'action de l'Union Africaine pour la mise en place la MISCA, qui prendra le relais de la MICOPAX. Le Gabon appelle à une mobilisation pour la constitution des effectifs de cette mission. Je sais gré aux pays comme la France qui soutiennent les efforts de la sous-région pour ramener la paix en RCA.

Au Mali, au temps fort de la crise, le Gabon a répondu à l'appel de l'Union Africaine, et contribué au fonds mis en place pour soutenir ses efforts dans ce pays.

Nous saluons l'évolution politique positive du pays, marquée par la bonne tenue de l'élection présidentielle, et le choix du Peuple malien sur la personne de Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEïTA. Je voudrais lui réitérer tous mes vœux de réussite; et j'appelle la communauté internationale à soutenir la reconstruction du Mali.

Pour ce qui est du Sahara occidental, le Gabon se félicite des efforts de dialogue et de négociations déployés par notre organisation.

Mon pays tient à réitérer son soutien à l'initiative marocaine qui nous paraît être une proposition courageuse et réaliste susceptible d'aboutir à un règlement durable.

Nous appelons les différentes parties à se retrouver autour de compromis constructifs et dynamiques, dont les résultats seront bénéfiques à l'unité de l'Afrique.


• Monsieur le Président,

L'Afrique doit pouvoir répondre aux nouvelles menaces à la paix et à la sécurité que sont le crime transnational, le trafic et la circulation illicite des armes légères ainsi que la piraterie dans le Golfe de Guinée à laquelle la côte atlantique africaine fait face aujourd'hui.

Nous avons adopté une stratégie de lutte contre cette menace, suite au Sommet que les Etats de l'Afrique de l'Ouest et du Centre ont tenu en juin dernier à Yaoundé. Le Gabon est disposé à apporter sa contribution aux mesures adoptées lors de ce Sommet. Je me félicite d'ailleurs de l'attention que le Conseil de Sécurité porte sur l'examen de ce problème, notamment à travers sa Résolution 2018.

L'Afrique ne peut faire face toute seule à tous ces défis à la paix et à la sécurité. Ses efforts doivent être soutenus davantage, car la déstabilisation de l'Afrique aura des implications pour d'autres régions.

Je remercie nos partenaires, notamment la France, le Japon, l'Allemagne, les Etats Unis, les Nations Unies et l'Union européenne pour leurs contributions significatives dans cet effort.

Il est important que l'ONU continue de renforcer sa coopération avec les organisations régionales africaines face à ces nouvelles menaces. Par ailleurs, nous devons veiller à l'application du Traité sur le commerce des armes classiques, premier instrument juridique contraignant que l'Assemblée générale a adopté en mai dernier.


• Monsieur le Président,

Dans un monde toujours secoué par des tensions et des crises, nous devons continuer à œuvrer pour que notre organisation remplisse mieux son mandat en matière de paix, de sécurité internationale. L'accent doit être mis notamment sur la prévention des conflits, tout en soutenant les efforts de résolution pacifique de ceux qui surgissent.

La crise en Syrie a déjà causé de nombreuses victimes, et a connu une escalade avec l'utilisation inacceptable d'armes chimiques.

Nous condamnons fermement l'utilisation de ces armes, et le Gabon appelle à la destruction de tous les arsenaux chimiques dans le monde. Aux fins de l'enquête que mènent les inspecteurs des Nations Unies en Syrie, nous demandons aux parties de coopérer pleinement. Par ailleurs, le Gabon soutient tous les efforts diplomatiques en faveur d'un processus politique permettant une sortie de crise. Le Conseil de Sécurité devrait prendre des mesures au cas où ses efforts seraient entravés.

S'agissant de la Palestine et Israël, la perspective de la reprise des pourparlers, sous l'impulsion des Etats Unis, mérite d'être saluée. Le Gabon soutient toujours la vision largement partagée de deux Etats viables, Israël et la Palestine, vivant dans la sécurité et le respect mutuel, à l'intérieur de frontières reconnues.

Quant à l'embargo contre Cuba, le Gabon réitère sa position en faveur de sa levée, en raison de son impact négatif sur le bien-être de la population.


Monsieur le Président,

Nous avons l'obligation de transformer nos institutions internationales afin de les rendre plus aptes à répondre aux défis actuels. La réforme du Conseil de Sécurité, le renforcement du rôle et de l'autorité de l'Assemblée générale, la réforme du Conseil économique et social, sont tous souhaitables.

Assumer cette obligation, dans l'esprit de notre charte, est essentiel pour notre avenir commun. Assurer cet avenir appelle notre responsabilité partagée, qui même différenciée, doit nous amener à agir dans le sens du bien-être de l'humanité.

Fort de ces convictions, le Gabon restera engagé au sein de notre organisation, pour continuer à œuvrer en faveur de la paix et du développement, qui est aussi au cœur de la vision que j'ai proposée pour l'avenir de mon pays; un avenir que je souhaite pour tous.


Je vous remercie.




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24/09/2013

ONU 68ème session : Ali Bongo Ondimba à la tribune aujourd'hui

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Le président de la République Gabonaise , Ali Bongo Ondimba prononce ce mardi 24 septembre 2013 un important discours à la tribune de la 68ème session de l'assemblée générale de l'organisation des Nations Unies , devant plus d’une centaine de chefs d’État et de gouvernement attendus à cette session annuelle.

Comme lors des précédentes sessions onusiennes, l'intervention d'Ali Bongo Ondimba portera sur la position du Gabon sur plusieurs défis mondiaux.

Il y a le défi ayant un rapport avec le thème retenu cette année : « le programme de développement de l’après 2015 : plantons le décor ».

Cette thématique vise une plus grande mobilisation de l’ensemble des pays membres de l’organisation onusienne pour aborder le tournant décisif, alors que s’achemine la date butoir des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) que s’étaient assignés la communauté internationale.

Si l’on s’accorde au plan diplomatique mondial sur le fait que le dossier syrien reste le plus brûlant, il demeure, néanmoins, que la montée de nouveaux périls (le terrorisme, la piraterie maritime, les trafics illicites d’armes, le braconnage, etc.) ainsi que le développement durable qui focalisent chaque jour davantage les États membres de l’Onu, devront aussi constituer la trame du discours d’Ali Bongo Ondimba.

En marge des travaux, le chef de l’État gabonais s’exprimera, jeudi matin, devant la Fondation Clinton que préside l’ancien président américain Bill Clinton sur le braconnage.

Le Gabon signera un traité sur la circulation des armes en Afrique centrale, et co-présidera avec l’Allemagne une rencontre spéciale sur le trafic illicite des espèces protégées.


Au programme de cette 68ème Assemblée générale de l'ONU

 

193 pays réunis à New York

Traditionnellement ouverte au mois de septembre, cette session ordinaire se termine à la fin du mois de décembre et peut même, dans certains cas particuliers, être prolongée plus longtemps en fonction des circonstances.

Cette année, et comme lors de chaque ouverture de session, de nombreux chefs d’Etat et de gouvernement feront le déplacement pour les traditionnels discours d’introduction.

Quatre-vingt-neuf chefs d’Etat et 42 chefs de gouvernement sont annoncés au débat général de l’Assemblée générale des Nations Unies qui se tiendra du 24 septembre au 1er octobre. Il s’agira d’un débat à un niveau particulièrement élevé.

En plus des chefs d’Etats et de gouvernements, les délégations de 61 pays représentés au rang de ministres seront également attendues ce jour d’ouverture.


Handicap et développement

Cette année, c’est sous la présidence de John William Ashe, ambassadeur aux Nations Unies pour Antigua-et-Barbuda que s’ouvrira cette nouvelle session dont le programme a été précisé.

Les membres de l’Assemblée générale de l’ONU avaient au préalable adopter leur programme de travail le 19 septembre avant d’examiner les 175 questions actuellement inscrites à l’ordre du jour de cette année. Trois réunions de haut niveau viendront également ponctuer cette session.

Le 23 septembre, en marge du débat général, une réunion s'est tenue autour du thème du handicap et du développement.

« Les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) représentent un effort concerté pour s'attaquer à la pauvreté mondiale. Pourtant, il y a un écart frappant dans les objectifs actuels et leur inclusion des personnes handicapées. Environ 1 milliard de personnes dans le monde vivent avec une déficience et sont encore exclus de l'accès équitable aux systèmes juridiques, à l'éducation, au travail, à la santé et à l'aide sociale. ll en résulte que les personnes handicapées souffrent davantage de la pauvreté. », rappellent les Nations Unies.

La réunion s'est traduit par un document final indiquant les mesures précises à prendre pour faire converger la Convention relative aux droits des personnes handicapées et des objectifs du Millénaire pour le développement et d'autres accords internationaux relatifs à l'intégration des personnes handicapées , selon un communiqué diffusé par l’Assemblée générale des Nations Unies : http://www.un.org/News/fr-press/docs/2013/AG11420.doc.htm


La fin du nucléaire dans le monde

Le 26 septembre, toujours en marge du débat général, se déroulera une réunion de haut niveau portant sur le désarmement nucléaire. Cette réunion, décidée l’année dernière, devrait mettre en ordre les termes du désarmement nucléaire mondial.

« En décidant d'organiser une réunion de haut niveau, les États Membres ont souligné l'importance d’œuvrer à l’édification d’un monde plus sûr pour tous et d’instaurer la paix et la sécurité dans un monde exempt d’armes nucléaires. Convaincue que le désarmement nucléaire et l’élimination complète des armes nucléaires sont indispensables pour écarter le risque de guerre nucléaire, l'Assemblée générale a rappelé que dans la Déclaration du Millénaire, les chefs d'État et de gouvernement avaient décidé de travailler à l’élimination des armes de destruction massive, notamment les armes nucléaires, et de n’écarter aucune solution possible pour parvenir à cet objectif, notamment en ce qui concerne la convocation éventuelle d’une conférence internationale pour définir les moyens d’éliminer les dangers nucléaires », déclarait ainsi Vuk Jeremic, Président de la 67e session de l'Assemblée générale, le 13 mai dernier.


Mondialisation et politiques migratoires

Enfin, troisième rendez-vous important, un dialogue de haut niveau sur les migrations internationales et le développement, qui se déroulera les 3 et 4 octobre.

Un thème important pour les Nations Unies qui rappellent qu’en 2013, « le nombre de migrants internationaux a atteint les 232 millions dans le monde. La migration peut apporter des bénéfices substantiels, mais elle peut aussi avoir des conséquences négatives. Les économies tant développées qu’en développement ont besoin de migrants pour répondre à la demande de travailleurs ayant différents niveaux de qualification ».

« Les preuves s’accumulent qu’avec de bonnes politiques d’orientation, les communautés de migrants et les diasporas peuvent énormément contribuer au développement de leurs pays tant d’origine que de destination, par le biais d’envois de fonds, d’échanges commerciaux, d’investissements, de création d’entreprises ou par le transfert de technologies, de compétences et de savoirs. Mais en même temps, il existe une crainte réelle que l’émigration de travailleurs qualifiés ne freine la réalisation d’objectifs de développement tels que les Objectifs du Millénaire pour le développement, surtout dans les petits pays en développement », explique encore l’ONU qui souhaite que ces différents enjeux soient véritablement au cœur d’un débat fédérateur des intérêts de tous les membres de l’Assemblée générale.


Finalement, durant cette session ordinaire seront également élus les cinq membres non permanents du Conseil de sécurité le 12 octobre, des 18 membres du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) le 30 octobre, et des membres du Conseil des droits de l’homme le 12 novembre.



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23/09/2013

Conseil des Ministres du mercredi 18 Sept. 2013‏ : Suite et fin des nominations ...

 

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MINISTÈRE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE  CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

 

DIRECTION GÉNÉRALE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE

 

DIRECTION GÉNÉRALE

 

-        Directeur Général : M. Jean Fidèle KOUMBA, confirmé

-        Directeur Général Adjoint : M. Joseph DOUBY, confirmé.

 

DIRECTION DE LA FORMATION INITIALE

-        Directeur : Mme Delphine MBAZOGHO ép. NDJAMBE, confirmée.

 

-        Directeur Adjoint : M. Pachelli NGAWIN MBOULOU, confirmé.

 

DIRECTION DE LA FORMATION CONTINUE

 

-        Directeur : M. François BOUKANGOU, confirmé.

 

-        Directeur  Adjoint : M. Jean Pierre MAPANGOU, confirmé.

 

DIRECTION DE L’ORIENTATION ET DE LA VIE SCOLAIRE

 

-        Directeur : M. Lucien EKOME BEKALE, confirmé.

 

DIRECTION DES ETUDES, DE LA PROGRAMMATION ET DES STATISTIQUES

-        Directeur : M. Gérald Achille NZENG MENIE, confirmé.

 

 

CENTRES DE FORMATION ET DE PERFECTIONNEMENT PROFESSIONNEL

 

CFPP BASILE ONDIMBA

 

-        Directeur : M. Emile MOUGAMBA MBOUMBA, confirmé.

 

CFPP NKEMBO

 

-        Directeur : M. LETZOUMOU Dieudonné, confirmé.

 

CFPP CIADFOR

 

-        Directeur : M. Jean Benoit NZIENGUI, confirmé.

CFPP Fidèle ANDJOUA ONDIMBA

 

-        Directeur : M. Armand ESSONO ABA’A, confirmé.

 

CFPP Valentin MIHINDOU MI NZAMBA

 

-        Directeur : M. Mathurin LEHOUMBOU, confirmé.

 

CFPP MAKOKOU

 

-        Directeur : M. Jean Claude MBOUISSY, en remplacement de Jean Christian OGANDAGA TCHIPANDI, mis à la disposition de la Direction Générale de la Formation Professionnelle.

 

CFPP KOULAMOUTOU

 

-        Directeur : M. Claude NZAHO, en remplacement de M. Jean Claude MBOUISSY.

 

CFPP PORT-GENTIL

 

-        Directeur : M. BIVEGUE-BI-ONDO, confirmé.

 

CFPP OYEM

 

-        Directeur : M. Bruno MATSANGA, confirmé.

 

 

 

DIRECTION DES EXAMENS ET CONCOURS DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE

 

-        Directeur, Administrateur de la Cellule Baccalauréat Technologique : M. Georges MONDJO, confirmé.

 

-        Directeur Adjoint, chargé des Examens et Concours de l’Enseignement Technique et Professionnel : Mme Solange BANDOUKOU, précédemment Chef de Service des Examens et Concours du Tertiaire ; en remplacement de M. Michel MBOUMOUNOU, remis à la disposition de l’Inspection Générale des Services.

 

-        Directeur Adjoint, chargé des Examens et Concours de la Formation Professionnelle : M. Gaston MINTSA MI MVE, Professeur du Second Degré Technique, en remplacement de M. MENGUE ME NDONG Dieudonné, remis à la disposition de l’Inspection Général des Services.

 

INSTITUT DE TECHNOLOGIE D’OWENDO

 

-        Directeur  Général : M. MOUITY Christian Didier, Enseignant Chercheur à l’ENSET, confirmé.


-        Chargés d’études :

·       Mme Françoise ZANG NDONG, Professeur Second Degré Technique ;

·       M. Jean-Pierre MABIKA, Attaché des Services Economiques et Financiers ;

·       M. Albert NGOUNGOU, Professeur Second Degré Technique ;

·       M. Dieudonné MENGUE ME NDONG, précédemment Directeur Adjoint chargé des Examens et Concours de l’Enseignement Technique.

 

-        Secrétaire Général : M. ZEIH Jean de Dieu, Administrateur Civil.

 

-        Directeur des Etudes des Filières Industrielles : M. NZIGOU Jean Joseph, Inspecteur Pédagogique du Second Degré Technique, confirmé.

 

-        Directeur  des Etudes des Filières Tertiaires : Mme DEMOUSSA Brigitte, Inspecteur Pédagogique du Second Degré Technique, confirmé.

 

-        Directeur des Etudes chargé de la Gestion Technique, des Relations Extérieures et de la Coopération : M. REMBANGOUET Yves-Christian, Inspecteur Pédagogique du Second Degré Technique, confirmé.

 

-        Directeur des Etudes chargé du Développement scientifique des enseignements : M. OTHA VOULA Frédéric, Inspecteur Pédagogique du Second Degré Technique, confirmé.

 

-        Directeur des Etudes chargé de la Formation Continue : M. NSI Stéphane, Professeur du Second Degré Technique, confirmé.

 

-        Directeur des Etudes chargé de la Recherche et des Innovations : M. MPEMBA CISSE Lyse, Inspecteur Vie Scolaire.

 

-        Directeur des Etudes chargé de la Scolarité : M. MBAMA YELESSET César, Inspecteur Pédagogique du Second Degré Technique.

 

Chefs de départements

 

-        Chef de Département Assistant Manager et Action de Communication Commerciale : M. MAKAKOU Gaétan, Professeur du Second Degré Technique.

 

-        Chef de Département Gestion des Ressources Humaines : M. ITSOUKIGA Alain, confirmé.

 

-        Chef de Département Comptabilité Gestion : Mme TSOGHOU Huguette, confirmée.

 

-        Chef de Département Informatique de Gestion : M. MBONGO Ivan Lionnel, confirmé.

 

-        Chef de Département Transport Logistique : M. MANGARAH Claude, confirmé.

 

-        Chef de Département Bâtiment : M. NDONG ESSONO Jean, confirmé.

 

-        Chef de Département Maintenance Industrielle : M. NDAGHA Gaëtan, confirmé.

 

-        Chef de Département Electrotechnique : M. MBOULA David, confirmé.

 

-        Chef de Département Informatique et Réseau : M. NDZILA Ulrich, confirmé.

 

-        Chef de Département Système Constructif Bois : M. MOUSSAVOU MOMBO Paul, confirmé.

 

-        Chef de Département Enseignement Général : M. ONDO Jean Pierre, confirmé.

 

-        Chef de Département Mécanique Automobile : M. MAPANGOU Jean Pierre,  Inspecteur pédagogique.

 

-        Chef de Département Construction métallique : M. SANDOUGOU Jules, Professeur de Second Degré Technique.

 

 

DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET PROFESSIONNEL

 

-        Directeur Général : M. Jean Blaise ALLOGO, confirmé.

 

-        Directeur Général Adjoint : M. Fidèle MATA, confirmé.

 

-        Chargés d’études :

·       M. Jacques KOUMBA, confirmé ;

·       M. Fabrice ONDO EKO, Ingénieur Informatique ;

·       Mme Annie Hermine Jacqueline FANGUINOVENY ROBABY ;

·       M. Nicaise EDZANG NGUEMA, Professeur d’enseignement du second degré technique, en remplacement de BELLO FALILOU.

 

DIRECTION DES ETUDES, DE LA PROGRAMMATION ET DES STATISTIQUES

-        Directeur : M. Sosthène ONDO EKOUMA, confirmé.

 

DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE

-        Directeur : M. Jules ANOUMBA, en remplacement de  Joseph NZAMBA GUIGUILI.

 

DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL

-        Directeur : M. Sylvestre MOMBO, confirmé.

 

DIRECTION DE L’ORIENTATION ET DE LA VIE SCOLAIRE

-        Directeur : Mme Huguette MAKANGA IWENGA, confirmée.

 

 

ETABLISSEMENTS D’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET PROFESSIONNEL

 

Proviseurs

 

-        Lycée Technique National Omar BONGO (Libreville) : M. Pierre BOUSSOUGOU, Confirmé.

 

-        Lycée Technique de Libreville (futur Bikélé) : M.  Sylvain  OTANKIRI, Confirmé.

 

-        Lycée Technique de Ntoum : Mme Diane Lidwine MOUENDOU Ep. NGANGUILA, Confirmée.

 

-        Lycée Technique Fulbert BONGOTHA (Moanda) : Mme Eliane MOUTSINGA, Confirmée.

 

-        Lycée Technique Agathe OBENDJE (Franceville) : Mme  Emérencienne MILENDZI NDOGOU, Précédemment Directeur des Études  Formation Continue, en remplacement de M. Jean Noël KEDY ONGODA, remis à la disposition de la DGETP.

 

-        Lycée Technique de Léconi : M. Dieudonné KOMBI, Confirmé.

 

-        Lycée Technique de Fougamou : M. Patrick Emery ESSONGUE, Confirmé.

 

-        Lycée Technique NYONDA MAKITA (Mouila) : M. Isidore MOMBO, Confirmé.

 

-        Lycée Technique Alexandre BIANGUE (Tchibanga) : M. Serge OBAME MEVIANE, Confirmé.

 

-        Lycée Technique Jean Fidèle OTANDO (Port-Gentil) : M. Abel MABICKA, Confirmé.

 

-        Lycée Technique Bernard OBIANG (Oyem) : M. Jean Louis MOUIRI, Confirmé.

 

-        Ecole Nationale de Commerce (Port-Gentil) : M. Emile BOUASSA MAVOUNGOU, Confirmé.

 

Directeurs des Etudes Formation Initiale

 

-         Lycée Technique Nationale Omar BONGO

·       Cycle Technologique Industriel : Mme Nathalie GODJOU épouse  IKAMBA, Confirmé.

·       Cycle Technologique Tertiaire : M. Armand Ghislain LIELE, Confirmé.

·       Cycle Professionnel : M. Patricien BIGNOUMBA, Confirmé.

 

-         Lycée Technique de Libreville (futur Bikélé) : M. Stoffel Martial OTOUANG ZOGO, Professeur Second Degré Technique, précédemment Chef de Travaux au LTNOB, en remplacement de  Ghislain Médard MBA, remis à la disposition de la DGETP.

 

-         Lycée Technique de Ntoum : M. Ignace NSEME NTOUTOUME, Professeur de Second Degré Technique, en remplacement de M. Patrick IBOUANGA, remis à la disposition de la DGETP.

 

-         Lycée Technique Fulbert BONGOTHA (Moanda) : M. Ignace Martin OYOUGOU, Confirmé.

 

-         Lycée Technique Agathe OBENDJE (Franceville) : M. Gervais EBANG TOUNG, Confirmé.

 

-         Lycée Technique de Léconi : M. Vincent de Paul OBANGA, Confirmé.

 

-         Lycée Technique de Fougamou :M. Bernard BEKA NDONG, Professeur de Second Degré Général, en remplacement de Serge NDIMINA BOUGUEROU, admis en stage.

 

-         Lycée Technique NYONDA MAKITA (Mouila) : M. Emile NZATSI, Professeur de Second Degré Général, précédemment Chef de Travaux.

 

-         Lycée Technique Alexandre BIANGUE (Tchibanga) : M. Jean Joseph SIMBA, Confirmé.

 

-         Lycée Technique Jean Fidèle OTANDO (Port-Gentil) : M. Rodrigue EYI BIBANG, Confirmé.

 

-         Lycée Technique Bernard OBIANG (Oyem) : M. Aimé Armand NDOUTOUME NDONG, Confirmé.

 

-         Ecole Nationale de Commerce (Port-Gentil) : M. Gervais MOUANDA NGONDET, Confirmé.

 

Directeurs des Etudes Vie Scolaire

 

-         Lycée Technique National Omar BONGO :

·       M. Fernand BOUROBOU, Confirmé ;

·       Sylvie LENGOGHA épouse MAYOYAS, Confirmée ;

·       Nicole NTSAME MVE épouse FINK, Confirmée ;

·       Martial NGOUALIS, Confirmé ;

·       Jonas Pépin MOULOUNGUI, Confirmé ;

·       Séraphine BOUYI.

 

-         Lycée Technique de Libreville (futur Bikélé) : Jean Aubin BAKOUANZA, confirmé.

 

-         Lycée Technique de Ntoum : M. Ambroise NDONG NKOGO, confirmé.

 

-         Lycée Technique Fulbert BONGOTHA (Moanda) : Mme Stéphanie BABONGUI NZOVI.

 

-         Lycée Technique Agathe OBENDJE (Franceville) : M. Jean Pierre MONGOTO, confirmé.

 

-         Lycée Technique de Léconi : M. Kisito OTOGO ALLOGO, confirmé.

 

-         Lycée Technique de Fougamou : M. Patrice MOUNGUENGUI, confirmé.

 

-         Lycée Technique NYONDA MAKITA (Mouila) : Serge Patrick MOUITY, Professeur du Second degré Général, en remplacement de Charles MOUBEYI.

 

-         Lycée Technique Alexandre BIANGUE (Tchibanga) : Anicet Claude MONDJO.

 

-         Lycée Technique Jean Fidèle OTANDO (Port-Gentil) : M. Achille BATCHI, Professeur Second Degré Technique.

 

-         Lycée Technique Bernard OBIANG (Oyem) :M. OBIANG MENDOME Moïse, Professeur Second Degré  Technique.

 

-         Ecole Nationale de Commerce (Port-Gentil) :Mme Denise Noëlle BARRAULT, confirmée.

 

Directeurs des Etudes FORMATION CONTINUE

 

-         Lycée Technique Nationale Omar BONGO : Mme  Murielle NGOWET VANDJI, confirmée.

 

-         Lycée Technique de Libreville (futur Bikélé) : M. Simon Pierre ZOGO MENDOU, confirmé.

 

-         Lycée Technique de Ntoum : M. Jean Lopez MAMBOUKOU, Professeur Second Degré Général,  précédemment Chef de  travaux.

 

-         Lycée Technique Fulbert BONGOTHA (Moanda) : M. Stopel NDONDA, Conseiller pédagogique.

 

-         Lycée Technique Agathe OBENDJE (Franceville) : Mme Liliane ADA OVONO, Professeur Adjoint Second Degré Technique, en remplacement de Mme Emérentienne MILENZI.

 

-         Lycée Technique de Fougamou : M. Jean Bernard MOUELLE PONGUI, confirmé.

 

-         Lycée Technique NYONDA MAKITA (Mouila) : Mme Clémence GUIVINDOU DIAYI, confirmé.

 

-         Lycée Technique Alexandre BIANGUE (Tchibanga) : M. Jean Léon MOUKOUMBI, confirmé.

 

-         Lycée Technique Jean Fidèle OTANDO (Port-Gentil) :M. Eugène MOUSSAVOU, confirmé.

 

-         Lycée Technique Bernard OBIANG (Oyem) :M. Georges MOUDIBA, confirmé.

 

-         Ecole Nationale de Commerce (Port-Gentil) :M. Serge Bruno ABESSOLO ELLA, confirmé.

 

DIRECTION GENERALE DE L’INSERTION ET DE LA REINSERTION SOCIALE

 

DIRECTION GENERALE

 

-         Directeur Général : Mme Louise Marie SOUMAHO née SONATE, confirmée.

 

-         Directeur Général Adjoint : M. Joseph Landry DZEMBO, confirmé.

 

-         Chargés d’Etudes :

·       Mme Zoé Virginie KILI SOUHAGHA épouse NDJIAMABISSA ;

·       M. P.F. NZE NDONG ;

·       M. François NGOULOU.

 

DIRECTION DE L’INSERTION PROFESSIONNELLE

 

-         Directeur : M. Théophile NGOUNZALA NGOUBILI, confirmé.

 

-         Directeur Adjoint : Mme Pétronille MOUSSAVOU, confirmée.

DIRECTION DE LA REINSERTION

 

-         Directeur : M. Francis MBOULOU BEYEME,  confirmé.

 

-         Directeur Adjoint : Mme Clémence NEMBA OUGNOUNZA épouse MOUBAGOU, confirmée.

 

DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES OPERATEURS ECONOMIQUES ET LES PARTENAIRES AU DEVELOPPEMENT

 

-         Directeur : M. René MEZUI, confirmé.

 

-         Directeur Adjoint : Mme Arielle Aurore AMBENGAT, confirmée.

 

DIRECTION D’APPUI A L’INFORMATION ET A L’ORIENTATION

 

-         Directeur : M. Yvon Désiré LEKOUMA, confirmé.

 

-         Directeur Adjoint : Amédée MBOUMBA MACKAYA, confirmé.

 

 

DIRECTION NATIONALE DE L’ENSEIGNEMENT PRIVE CATHOLIQUE

 

DIRECTION

-        Directeur National : M. Paulin Dieudonné EDOU AKOE, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

-        Directrice des Ressources Humaines : Mme Sophie SAULNEROND, Professeur du Second Degré Général, Confirmée ;

 

-        Directeur du Premier Degré : M. Jean Michel PENDI, Inspecteur Pédagogique, Confirmé ;

 

-        Directeur du Second Degré : M. Maxime DIKABA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

-        Directrice des Affaires financières : Mme Jeannette MFEGUE NZAME, confirmée ;

 

INSPECTION

 

-        Inspecteur Central : Mme Gisèle GNAMA, en remplacement de Mme Germaine NKARE.

 

 

ECOLE NORMALE CATHOLIQUE DES INSTITUTEURS (ENIC)

 

-        Directeur Général : M. Jean Robert EBOULIA, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. Henri Paul KOUSSOU MOMBO, décédé ;

 

-        Directeur des Etudes : Mme Brigitte MALOLA, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. Jean Robert EBOULIA, appelé à d’autres fonctions ;

 

-        Directeur du Perfectionnement : M. Jean Jérôme NDOUTOUME NGUEMA, Professeur Adjoint d’Enseignement Normal, en remplacement de Mme Brigitte MALOLA, appelé à d’autres fonctions ;

 

-        Directeur de la Recherche et des Stages : M. Deschanel OYONO BEKALE, Professeur Adjoint d’Enseignement Normal, confirmé ;


 

PROVISEURS

 

INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION

-        Proviseur : Mme Nadine Patricia ANGUILE, Professeur du Second Degré Général, Confirmée ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE

 

-        Proviseur : M. Max PAMBOU MIHINDOU, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN

 

-        Proviseur   : M. Patrice FANG EKORE, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de Mme Gisèle NYAMA, appelée à d’autres fonctions ;

 

LYCEE BESSIEUX

 

-        Proviseur   : Mme Flavienne ANGUE ELLA, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. Patrice FANG EKORE ;

 

LYCEE ET COLLEGE CALANSANZ

 

-        Proviseur : M. Luis Martin NIETO, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE MGR JEAN BAPTISTE ADIWA DE LAMBARENE

 

-        Proviseur : M. Jean Philippe ENGOGA OBAME, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de Mme Brigitte NTSAME MVE ;

COLLEGE ET LYCEE MGR RAPONDA WALKER DE PORT GENTIL

 

-        Proviseur : M. Gaston BOUSSOUGOU BOUASSA, Professeur Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE MGR JEAN JEROME ADAM FRANCEVILLE

 

-        Proviseur : M. Bruno BIVIGOU, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIDE DE MOANDA

 

-        Proviseur   : M. Martin MBOMA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE DE KOULA MOUTOU

 

-        Proviseur : M. Laurent LENDAMBA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL MOUILA

-        Proviseur   : M. Célestin PONDZI BAYAH ; Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE DE MOUILA

 

-        Proviseur : M. Dieudonné GOUMBA, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. Joseph MASSALA ;

 

COLLEGE ET LYCEE HORIZONS TCHIBANGA

 

-        Proviseur : M. Junior MBOUMBA KOUMBA, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. Dieudonné GOUMBA ;

 

COLLGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO LASTOURVILLE

 

-        Proviseur : M. Adrien MAPAGA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE FRANOIS XAVIER NDONG OYEM

 

-        Proviseur : Mme Brigitte NTSAME MVE, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. Philippe ENGONGA OBAME ;

 

COLLEGE ET LYCEE JESUS MARIE BITAM

 

-        Proviseur : M. Félix OBYANG MBA, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. François X MEYE M’OBIANG ;

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES MAKOKOU

 

-        Proviseur : M. Marcus ONDO MINKO, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

PRINCIPAUX

 

COLLEGE BESSIEUX

 

-        Principal   : M Joseph MASSALA, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. Bienvenu BOULINGUI ;

 

COLLEGE JEAN MARIE VIANNEY DE LIBREVILLE

 

-        Principal : M. Thomas OKOUE ASSOUMOU, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE SAINT FELICIEN DIBWANGUI

 

-        Principal : M. Bienvenu BOULINGUI, Professeur Adjoint du Second Degré Général, en remplacement de M. MBATCHI LOEMBBE, appelé à d’autres fonctions ;

 

COLLEGE SAINT JEAN MINVOUL

 

-        Principal : M. Jean Baptiste MBA MOTO, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. Paul MEFE ME NANG ;

 

COLLEGE SAINT JOSEPH MITZIK

 

-        Principal : M. Paul MEFE ME NANG, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. OBYANG MBA ;

 

CENSEURS PEDAGOGIQUES DU 2nd CYCLE

 

INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION

 

-        Censeur 2nd cycle   : M. Célestin NGUEMA OYAME ; Professeur du Second Degré Général,  Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE

 

-        Censeur 2nd Cycle : M. Joseph Aimé OVONO EDZANG, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de Mme Flavienne ANGUE ELLA.

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN

 

-        Censeur du 2nd Cycle : Sylvain NGUEMA EDZANG, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

LYCEE BESSIEUX

-        Censeur du 2nd Cycle : M. Fidèle EYA MINKO, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE CALASANZ

 

-        Censeur du 2nd Cycle   : M. Michel MADOUNGOU, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE MGR JEAN BAPTISTE ADIWA DE LAMBARENE

 

-        Censeur du 2nd Cycle   : M. Rufin MBATCHI LOEMBE, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. Joseph Aimé OVONO EDZANG ;

 

COLLEGE ET LYCEE MGR RAPONDA WALKER PORT GENTIL

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. Christian MISSOUMA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE MGR JEAN JEROME ADAM FRANCEVILLE

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. Constant OTOUNGA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE DE MOANDA

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. Célestin MBORY, Professeur du Second Degré Général, Confirmé.

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE KOULA MOUTOU

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. Jean Paulin ALLOGO OBAME, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL DE MOUILA

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. Jean Pascal NDOUGA TSIENDI, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE DE MOUILLA

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. Paul MBOUMBA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE HORIZONS DE TCHIBANGA

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. Jean Aimé FOULA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO DE LASTOURVILLE

 

-        Censeur du 2nd Cycle : Mme Gertrude SINDZI NGONANDIMBOU, Professeur du Second Degré Général, Professeur du Second Degré Général, Confirmée ;

 

 

COLLEGE ET LYCEE FRANCOIS XAVIER NDONG

 

-        Censeur du 2nd Cycle   : M. Paulin OBOU’OU EYENGA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE JESUS MARIE DE BITAM

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. Paulin OVONO NGAME, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. MBA MOTO, appelé à d’autres fonctions ;

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES DE MAKOKOU

 

-        Censeur du 2nd Cycle : Mme Bernadette BOBANGA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

CENSEURS PEDAGOGIQUE DU 1er CYCLE

 

INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION LIBREVILLE

 

-        Censeur 1er Cycle : Mme Irène Olga ANCHANDIE ISSAMBI, Professeur du Second Degré Général, Confirmée ;

 

 

COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE LIBREVILLE

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Samuel F. BISSIELOU BISSIELOU, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN LIBREVILLE

 

-        Censeur 1er Cycle : Mme Odette ESSONGUE épouse NKOROUNA, Professeur du Second Degré Général, Confirmée ;

 

COLLEGE ET LYCEE CALASANZ LIBREVILLE

 

-        Censeur1er Cycle : Mme Monique MEDZA ME MVE, Professeur Adjoint du Second Degré, Confirmée ;

 

COLLEGE ET LYCEE MGR JEAN BAPTISTE ADIWA DE LAMBARENE

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Irénée OBIANG ELLA, Professeur Adjoint du Second Degré, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE MGR RAPONDA WALKER DE PORT GENTIL

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Jean François METOUGHE, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE MGR JEAN JEROME ADAM DE FRANCEVILLE

 

-        Censeur 1er Cycle : M. MEZU M’ONDO, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE DE MOANDA

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Bertrand MOUKALA, Professeur du Second Degré Général ;

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE DE KOULA MOUTOU

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Wavet Alfred Placide MBONGO, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL DE MOUILA

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Dieudonné MOULENGUE, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE DE MOUILA

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Paulin OBIANG NGUEMA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

 

COLLEGE ET LYCEE HORIZONS TCHIBANGA

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Jean de Dieu MBADINGA MIHINDOU, Professeur du Second Degré General, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO DE LASTOURVILLE

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Anselme Charles MATSEGUE, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE FRANCOIS XAVIER NDONG OYEM

 

-        Censeur 1er Cycle : M. François Xavier MEYE M’OBIANG, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. Jean Paulin OVONO NGAME ;

 

COLLEGE ET LYCEE JESUS MARIE DE BITAM

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Louis Marie NZE, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES DE MAKOKOU

 

-        Censeur 1er Cycle : M. Jean Jacques NDOMANA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

CENSEURS DE VIE SCOLAIRE

 

INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION

 

-        Censeur de Vie Scolaire 1er Cycle : Mme Emmanuelle NTSAME NDONG, Professeur du Second Degré Général ;

 

-        Censeur de Vie Scolaire 2nd Cycle : Mme Maria Léonor TCHIBINDA MENDES SECA, Professeur du Second Degré Général, Confirmée ;

 

 

COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE DE LIBREVILLE

 

-        Censeur de Vie Scolaire 1er Cycle : M. Cyprien NDONG ONDO, Attaché de Planification et d’Orientation Scolaire ;

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. Florentin BIBANG NDOUTOUME, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN

 

-        Censeur de Vie Scolaire 1er Cycle : Mme Anne Marie NTSAME NTEME, Professeur du Second Degré Général, Confirmée ;

 

-        Censeur de Vie Scolaire du 2nd Cycle : Mme Marie Flore NDZIAGNA épouse DICKA, Professeur Adjoint du Second Degré, Confirmée ;

 

LYCEE BESSIEUX

 

-        Censeur de Vie Scolaire : Mme Marie Scholastique  MEZUI ME NGUEMA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

-        Censeur de Vie Scolaire : MAMADOU NGOUANGA épouse MFA : Attachée de Planification et d’Orientation Scolaire ;

 

COLLEGE ET LYCEE MGR JEAN BAPTISTE ADIWA LAMBARENE

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M Aimé MAPANGOU, Professeur Adjoint d’Enseignement Normal, en remplacement de M. Erasme NDONGO ;

 

COLLEGE ET LYCEE MGR RAPONDA WALKER PORT GENTIL

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M. Jean Marcel EDZANG MVE, Professeur adjoint du Second Degré, confirmé

 

COLLEGE ET LYCEE MGR JEAN JEROME ADAM FRANCEVILLE

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M. Ghislain MAVIOGA MAVOUROULOU, Professeur du Second Degré Général ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE DE MOANDA

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M. Erasme NDONGO ;

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE DE KOULA MOUTOU

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M. Denis OBIANG MINKO, Professeur du Second Degré Général ;

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL DE MOUILA

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M. Jean Bernard BOULINGUI, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE DE MOUILA

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M. Gabriel NZENGUE, Inspecteur Pédagogique ;

 

COLLEGE ET LYCEE HORIZONS DE TCHIBANGA

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M. Nicaise BOUROBOU, Professeur Adjoint du Second Degré, en remplacement de M. Toussaint MBOKO MOUKAGNI,

 

COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO LASTOURVILLE

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M. Raphaël NZENGUE, Confirmé ;

 

COLLEGE ET LYCEE FRANCOIS XAVIER NDONG OYEM

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M. Jacques Tassault MINTSA, Professeur Adjoint du Second Degré, en remplacement de m ; Denis OBIANG MINKO ;

 

COLLEGE ET LYCEE JESUS MARIE BITAM

 

-        Censeur 1er Cycle : Guy Patrick OVONO OVONO, Professeur Adjoint d’Enseignement Normal ;

 

-        Censeur 2nd Cycle : M. Roland Paul MINKO ANGO, Professeur du Second Degré Général ;

 

COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES DE MAKOKOU

 

-        Censeur de Vie Scolaire : M. Dieudonné ESSOUMA ESSOUMA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

 

 

DIRECTEURS DE VIE SCOLAIRE

 

COLLEGE BESSIEUX

 

-        Directeur de Vie Scolaire : M. Désiré MASSOKO BOUNDA, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. Cyprien NDONG ONDO,

 

-        Directeur de Vie Scolaire : Mme Marie Claire ADA MEZUI épouse NGADI, Professeur du Second Degré Général, en complément d’effectif ;

 

COLLEGE JEAN MARIE VIANNEY LIBREVILLE

 

-        Directeur de Vie Scolaire : M. Moïse BOUSSOUGOU NZIENGUI, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

 

DIRECTEUR DES ETUDES

 

COLLEGE BESSIEUX DE LIBREVILLE

 

-        Directeur des Etudes : Mme KLOMEGAN AMEYO épouse HELLEY ONDO, Professeur Adjoint du Second Degré, Confirmé ;

 

COLLEGE JEAN MARIE VIANNEY

-        Directeur des Etudes : M. Cyprien EKOME NDONG, Professeur Adjoint du Second Degré, Confirmé ;

 

COLLEGE SAINT FELICIEN DIBWANGUI LEBAMBA

 

-        Directeur des Etudes : M. Mathias BAKALA BOUSSOUHOU, Professeur Adjoint du Second Degré, Confirmé ;

 

COLLEGE SAINT JEAN MINVOUL

 

-        Directeur des Etudes : M. Apollinaire NDONG NGUEMA, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

COLLEGE SAINT JOSEPH DE MITZIC

 

-        Directeur des Etudes : M. Emmanuel NZAMBO MVE, Professeur du Second Degré Général, Confirmé ;

 

ECOLE NORMALE DES INSTITUTEURS

 

-        Directeur des Etudes : Mme Brigitte MALOLA, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. Jean Robert EBOULIA.

 

 

ENSEIGNEMENT PRIVE PROTESTANT

 

DIRECTION GENERALE

 

-        Directeur Général : M. NGUEMA Francis, Professeur du Second Degré Général, confirmé.

 

-        Directeur Général Adjoint : Mme EBANG ASSEKO Mathilde, Professeur du Second Degré Général, confirmée.

 

-        Chargés d’Etudes :

 

·       M. MBELE EKOGHA Guy Marcellin, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. ABESSOLO THOMAS Anicet.

 

·       Mme AWA NKOMBENYONDO Mariette Claire, Professeur adjoint du Second Degré Général.

 

 

DIRECTION DES ENSEIGNEMENTS DU PREMIER DEGRE

 

-        Directeur des Enseignements du 1er Degré : M. AGAYA RENDIWA Pierre, Inspecteur Pédagogique du 1er Degré, confirmé.

 

 

DIRECTION DES ENSEIGNEMENTS DU SECOND DEGRE

 

-        Directeur : M. NGUEMA EDOU  Jean-Christophe, Professeur du Second Degré Général, confirmé.

 

 

DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES

 

-        Directrice des Ressources Humaines : Mme OGUENDJE Marie Christine ép. ONDO, Professeur du Second Degré Général, confirmée.

 

DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES ET DU PATRIMOINE

 

-        Directeur des Affaires Financières et du Patrimoine : M. NNANG OBIANG Joseph, Administrateur Scolaire et Universitaire, Confirmé.

 

 

SERVICES EXTERIEURS

 

ECOLE NORMALE PROTESTANTE DES INSTITUTEURS

 

-        Directeur : M. MBENG NDONG Georges,  Inspecteur 1er Degré,   confirmé.

 

-        Directeur des Etudes : M. MVONE MBA Jean Faustin, Professeur du Second Degré Général, confirmé.

 

-        Directeur de la Recherche : M. BOUENGOUNE Augustin, Conseiller Pédagogique du 1er Degré, confirmé.

 

 

SECTEURS SCOLAIRES

 

CHEFS DE SECTEURS

 

-        Secteur Scolaire de l’Estuaire et de la Commune de Libreville : Mme MENGUE ME ZE Jacqueline, Conseiller pédagogique, confirmée.

 

-        Secteur Scolaire du Moyen-Ogooué : M. NTOTOME Barthélémy, Conseiller Pédagogique du 1er Degré, confirmé.

 

-        Secteur Scolaire de l’Ogooué-Ivindo Centre : M. NGUEMA MINTOGO David, Conseiller Pédagogique du primaire.

 

-        Secteur Scolaire de l’Ogooué-Ivindo SUD : Mme NDONG BEKALE Virginie,  Professeur Adjoint d’Enseignement Normal, confirmée.

 

-        Secteur Scolaire du Woleu-Ntem Centre : M. ATOME ESSONE Jean Félix, Inspecteur Pédagogique du 1er degré, en remplacement de M. NGUEMA MINTOGHO David, remis à la disposition de la Direction des Enseignements du 1er Degré.

 

-        Secteur Scolaire du Woleu-Ntem Nord : M. MVE NGUEMA Jean Nestor, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. OBIANG MVE Gilbert, remis à la disposition de la Direction du Premier degré.

 

-        Secteur Scolaire du Woleu-Ntem Nord-est : M. MVE ALLOGO Janot, Conseiller Pédagogique du 1er Degré, confirmé.

 

ETABLISSEMENTS SECONDAIRES

 

 CHEFS D’ETABLISSEMENTS

 

Lycée Evangélique Samuel NANG ESSONO

 

-        Proviseur : M. MENGUE AMVAME Guy Roger, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de  M. AKOUE Samuel, remis à la disposition des Enseignements du Second degré.

 

Lycée Evangélique d’AKEBE

 

-        Proviseur : Mme KOUAKAM Bénédicte Flore, professeur du Second degré Général, en remplacement de M. MENGUE AMVAME Guy Roger.

 

 

Lycée Evangélique de BARAKA

 

-        Proviseur : M. NGUEMA Cyr Landry, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. NGUEMA OBAM Jean Clair, remis à la disposition de son Administration d’origine.

 

Lycée Evangélique Michel FANGUINOVENY

 

-        Proviseur : M. TSALOU Serge Professeur du Second Degré Général, remplacement de Mme AWA NKOMBENYONDO Mariette Claire, remise à la disposition des Enseignements du second degré.

 

Lycée Evangélique EDZAN NKULU

 

-        Proviseur : M. MEGNE Luc Constant, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. MEZUI M’EYALOU Blaise, remis à la disposition du Ministère de l’Education Nationale.

 

Lycée Evangélique Marie NKONE

 

-        Proviseur : M. OMVA EDOU Alain, Professeur Second Degré Général, en remplacement de M. ABEIGHE ENGOANG Faustin, remis à la disposition de son Administration d’origine.

 

 

-        Lycée Evangélique Marc ESSIA NSOMORE

 

-        Proviseur : M. EFFOULOU BENGONE Michel, Professeur Second Degré Général, en remplacement de M. ELLA OWONO René, remis à la disposition des Enseignements du second degré.

 

Lycée Evangélique de FRANCEVILLE

 

-        Proviseur : M. Johnson AZIAGBE KOSSI, professeur du second degré général, en remplacement de M. MBELE EKOGHA Guy Marcellin.

 

Lycée Evangélique de PORT-GENTIL

 

-        Proviseur : M. KEITA THIERNO, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. MEGNE Luc.

 

CENSEURS

 

Lycée Evangélique Samuel NANG ESSONO

 

-        Censeur du 1er Cycle : M. ONDO OVONO Giscard, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de M. ENEME ELLA Samuel, remis à la disposition des Enseignements du Second degré.

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. ZONDO EBOUTA, Professeur du Second Degré Général, matricule Stéphanie, en remplacement de Mme ANGUE ELLA Constantine.

 

 

 

Lycée Evangélique d’AKEBE

 

-        Censeur du 1er Cycle : Mme TOMEN Calice,  professeur Adjoint du Second Degré, confirmée ;

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. EYELE Bayard, professeur du second degré général, confirmé. 

 

Lycée Evangélique de BARAKA

 

-        Censeur du 1er Cycle : Mme AGUEH René José, Professeur du Second degré Général, en remplacement de M. KEITA THIERNO.

 

-        Censeur du 2nd Cycle : Mme OVINA MBA Siriquie, professeur du second degré Général, confirmée.

 

Lycée Evangélique Michel FANGUINOVENY

 

-        Censeur du 1er Cycle : M. MIHINDOU Barthélémy, professeur adjoint du Second degré général, en remplacement de M. ONDO ASSOUMOU Thierry, remis à la disposition des Enseignements du Second degré ;

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. EGOMAIGUE Guy Patrick, professeur du second degré Général, en remplacement de M. TSALOU Serge.

 

Lycée Evangélique EDZAN NKULU

 

-        Censeur du 1er Cycle : M. ASSOUMOU ONDO Daniel, professeur du second degré général, confirmé.

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. MENGUE ESSONO Léon, Professeur du Second Degré Général, confirmé.

 

Lycée Evangélique Marie NKONE

 

-        Censeur du 1er Cycle : M. METO’O MEZUI Rufin, professeur du second degré, en remplacement de M. EFFAYONG ALLOGHE Guy Constant, remis à la disposition des Enseignements du Second degré.

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. EFFAYONG ALLOGHE Guy Constant, professeur du second degré Général, en remplacement de M. NDOUTOUMOU MEBA Samuel, remis à la disposition des Enseignements du Second degré.

 

 

Lycée Evangélique Marc ESSIA NSOMORE

 

-        Censeur du 1er Cycle : M. INGOMBI Brice Bertin, Professeur du Second Degré, confirmé.

 

 

-        Censeur du 2nd Cycle : M. MOUNDOUNGOU  Daniel, professeur du Second degré général, en remplacement de M. MENGUE M’OBAME Thierry, remis à la disposition de son Administration d’origine.

 

Lycée Evangélique de FRANCEVILLE

 

-        Censeur du 1er Cycle : M. AZIADEKE YAO KUMA, professeur du second degré général, en remplacement de  M. NZUE ABAGA Gervais, Professeur du Second Degré matricule appelé à d’autres fonctions.

 

-        Censeur du  2nd Cycle : M. NZUE ABAGA Gervais, Professeur du Second Degré, en remplacement de M. KAKESA MBOTE Bienvenu, remis à la disposition des Enseignements du Second degré.

 

 

Lycée Evangélique de PORT-GENTIL

 

-        Censeur du 1er Cycle : M. AGBOGA YAWO, Professeur  Adjoint du Second Degré, confirmé.

 

-        Censeur du 2nd  Cycle : Mme MFOUMOU NDONG André Parfait, Professeur du 2nd degré Général, confirmée.

 

CENSEURS CHARGES DE LA DISCIPLINE ET DE LA VIE SCOLAIRE

 

Lycée Evangélique Samuel NANG ESSONO

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire au 1er Cycle : M. NANG NGUEMA Pamphile, Professeur du Second Degré, confirmé.

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire au 2nd Cycle : M. TOUNG MBENG Barthélemy, confirmé.

 

Lycée Evangélique d’AKEBE

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire au 1er Cycle : M. BIVEGHE ABAGHA Moïse, Professeur d’EPS, confirmé.

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire au 2nd Cycle : Mme MABIALA MAGANGA Brigitte, Professeur adjoint du Second degré Général, en remplacement de Mme MEDJA M’ESSIMA Francine ép. AKONO remise à la disposition des Enseignements du Second degré.

 

Lycée Evangélique de BARAKA

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire au 1er Cycle : Mme MENGUE ASSOUMOU Célestine, Professeur d’Activités Socio-éducatives, confirmée.

 

                                                                                                                                                                                                                                                                             

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire au 2nd Cycle : Mme MANDOUMA Germaine, professeur adjoint du second degré Général, en remplacement de M. EYI  EYI Gabriel.

 

Lycée Evangélique Michel FANGUINOVENY

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire: M. OYOUNE Paul Christian, Professeur du Second degré Général, confirmé.

 

Lycée Evangélique EDZAN NKULU

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire au 1er Cycle: M. NDI AMBANI Justin, Professeur du Second degré Général, confirmé;

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire au 2nd Cycle : M. OBIANG MEDOUME Moise, Professeur du second degré général, confirmé.

 

Lycée Evangélique Marie NKONE

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire 1er Cycle : M. ELLA OVONO Emmanuel, professeur du Second degré Général, en remplacement de  M. BOUARE Bah, remis à la disposition des Enseignements du Second degré.

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire 2nd Cycle : M. BOUARE BAH, professeur du second     degré Général, en remplacement de  M. ABIAGA ESSOGO EMILE Justin remis à la disposition des Enseignements du Second degré.

 

 

Lycée Evangélique Marc ESSIA NSOMORE

 

-      Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire : M. AKWE OBAME Lambert, Conseiller de Jeunesse, confirmé

 

 

Lycée Evangélique de FRANCEVILLE

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire : M. YENDA NDZADI Jean Blaise, Professeur du Second Degré, confirmé.

 

 

Lycée Evangélique de PORT-GENTIL 

 

-        Censeur chargé de la discipline et de la vie scolaire : M. NANA Jean Merbel Professeur, Adjoint du Second, confirmé.

 

ENSEIGNEMENT DE L’EGLISE DE L’ALLIANCE CHRETIENNE ET MISSIONNAIRE DU GABON

 

DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT

 

-     Directeur Général : Mme ONDO EVA née MENGUE ME NKOGHE Henriette, Inspecteur pédagogique du premier degré, confirmée.

 

-     Directeur Général Adjoint : M. DJEMBI Albert, Professeur du second degré, confirmé.

 

CABINET DU DIRECTEUR

 

-     Chargé d’Etudes :

 

MM.

·       YNGUEMBA Jean Marc, Professeur, confirmé ;

 

·       NGOMA NGOMA Abel, Professeur, confirmé.

 

INSPECTION CENTRALE DES SERVICES

 

-     Inspecteur Central : M. IBOUANGA Jean Louis Aimé, Inspecteur pédagogique du premier degré.

 

-     Chef d’Inspection chargé du primaire : M. MOUSSADJI Armand, Inspecteur pédagogique du premier degré.

 

-     Chef d’Inspection chargé du Secondaire: M. BALA Christophe, professeur des Lycées.

 

 

DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT DU PREMIER DEGRE

 

-     Directeur : M. MOUELE NDONGO Etienne, Inspecteur pédagogique du premier degré, confirmé.

 

DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT DU SECOND DEGRE

 

-     Directeur : M. NGOYO Nicaise Hubert, Conseiller  pédagogique du second degré Général, confirmé.

 

DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES

 

-     Directeur : Mme MAGANGA née NGUEMBI Antoinette, Inspecteur pédagogique du premier degré, confirmée.

 

DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES ET DU PATRIMOINE 

 

-     Directeur : M. PANZOU MOUBALI Lambert, Conseiller pédagogique du second degré, confirmé.

 

SERVICES DECONCENTRES 

 

ECOLE NORMALE DES INSTITUTEURS (ENIAC) 

 

-     Directeur : M. MFOUMBOULOU Anatole, Inspecteur pédagogique du premier degré, confirmé.

 

-     Directeur des Etudes chargé de la pédagogie : M. NDJONDO Thierry, Inspecteur du premier degré, confirmé.

 

-     Directeur  des Etudes chargé de la formation initiale : M. IGASSELA BOUNGUEMBET Moïse, Inspecteur du premier degré, confirmé.

 

-     Directeur des Etudes chargé de la formation continue : M. KOUMBA Jean Baptiste, Inspecteur du premier degré, confirmé.

 

-     Directeur chargé de la recherche : M. MOUKOUMADOUMA Marc, Inspecteur pédagogique du premier degré, confirmé ;

 

CIRCONSCRIPTIONS SCOLAIRES

 

 Estuaire –Ogooué Maritime 

 

-     Chef de circonscription scolaire : M. MOUKETA Isaac, Inspecteur pédagogique du premier degré, en remplacement de Monsieur MOUSSADJI Armand.

 

Haut – Ogooué 

 

-     Chef de Circonscription scolaire : M. MOUENGUI Samuel, Conseiller Pédagogique du premier degré, confirmé.

 

Ngounié – Nord 

 

-     Chef de Circonscription scolaire : M. NKOGHO ELLA Benoît, Conseiller Pédagogique du premier degré, en remplacement de Monsieur MOUNANGA MOUNANGA Joseph.

 

Ngounié – Centre 

 

-     Chef de Circonscription scolaire : M. MBIMBI Michel, Conseiller Pédagogique du premier  degré, confirmé.

 

 

Ngounié – Sud 

 

-     Chef de Circonscription scolaire : M. NGUELET Michel, Conseiller Pédagogique du premier  degré, confirmé.

 

Ngounié – Est 

 

-     Chef de Circonscription scolaire : M. LEMBOMBA MOULENGUE, Professeur Adjoint d’Ecole, confirmé.

 

Nyanga     

 

-     Chef de Circonscription scolaire : M. LEKOUBA Antoine, Conseiller Pédagogique du premier  degré,  confirmé.

 

Ogooué - Lolo         

 

-     Chef de secteur : M. MAYOMBO Dieudonné, Professeur Adjoint d’Ecole Normal, confirmé.

 

ETABLISSEMENT DU SECOND DEGRE

 

LYCEE ALLIANCE CHRETIENNE JEREMIE BAKOUKOU DE LIBREVILLE

 

-     Proviseur : M. VOUVOU – MAVINGA David, Professeur des Lycées, en remplacement de M. MBADINGA Serge.

 

-     Censeur du second cycle : M. BOULINGUI Félix, Professeur des Lycées, confirmé.       

 

-     Censeur du premier cycle : M. BAYIHA André Georges,  Professeur des Lycées, en remplacement de Mme HILHA Claire Lise Laura.

 

-     Censeur de vie scolaire : M. NZIENGUI Hugues, Professeur des collèges, en remplacement de M. BAYIHA André Georges.

 

-     Conseiller d’orientation : M. IDODO Pascal, Psychologue.

 

 

LYCEE ALLIANCE CHRETIENNE ROSE MASSOMBO DE MOANDA

 

-     Proviseur : M. MUNGALA MUSOSO Laurent Claude, Professeur des Lycées, en remplacement de M. MOUKAHA Modeste.

 

-     Censeur du 2nd cycle: M. MAYOSSA Maixan, Professeur des collèges, confirmé.

 

-     Censeur du 1er  cycle : M. BOUSSOUGOU Valentin, Professeur des collèges, confirmé.

 

-     Censeur de vie scolaire : M. KANTOUGA MOUERI Judicaël, Professeur des collèges, confirmé.

 

 

LYCEE ALLIANCE CHRETIENNE DAVID MICKOMBO DE KOULA-MOUTOU

 

-     Proviseur : M. MOUNZEO MANGUILA Joly Abley, Professeur des collèges, confirmé.

 

-     Censeur du 2nd cycle : M. MOUELE Clovis Elie, Professeur des Lycées.

 

-     Censeur du 1er cycle : M. OBAME Capistrand, professeur des collèges, confirmé.

 

-     Censeur de vie Scolaire : M. MANGWIUNDI MBONGO Guy Armel, Professeur des collèges.

 

  

LYCEE ALLIANCE CHRETIENNE PAUL NDOBA DE BONGOLO

 

-     Proviseur : M. BOMBA MOUSSONDA Herman Aubin, Professeur des Lycées, en remplacement de M. LEYINDA Clément.

 

-     Censeur du 2nd cycle : M. MALONGO César Auguste, Professeur des Lycées, en remplacement de M. MUNGALA MUSOSO Laurent Claude, appelé à d’autres fonctions ;

 

-     Censeur du 1er cycle : M. KINGA NZAOU Marcel, Professeur des collèges, en remplacement de M. OUDOUMA François.

 

-     Censeur de vie scolaire : M. NZENGUE NDONGO Guy Florent, Professeur des collèges, en remplacement de M. MOUELE Clovis Elie.

 

COLLEGE ALLIANCE CHRETIENNE MARC DIVINGOU DE MOUILA

 

-     Principal : M. NZAMBA MOUNZEO Félicien, Professeur des collèges, en remplacement de M. BOMBA MOUSSONDA Herman Aubin.

 

-     Directeur des Etudes : M. MWANG MBOUMBE Hubert Gatien, Professeur des collèges, en remplacement de M. NZAMBA MOUNZEO Félicien.

 

COLLEGE ALLIANCE CHRETIENNE DE TCHIBANGA

 

-     Principal : M. MOUDOUMA KOUMBA François, Professeur des collèges.

 

-     Censeur : M. MOTHO MBAU Herly Dandy, Professeur des collèges.

 

 

ENSEIGNEMENT ISLAMIQUE

 

DIRECTION NATIONALE DE L’ENSEIGNEMENT PRIVE ISLAMIQUE

 

-        Directeur Général : Mme POULERA Issa épouse NDZIENGUI BOUSSOUGOU, confirmée.

 

-        Directeur Général Adjoint : M. KOUKA Marcel, confirmé.

 

CABINET DU DIRECTEUR GENERAL

 

-        Chargé d’Etudes du Directeur Général, cumulativement avec ses fonctions d’enseignant : M. IFOUNGA Serge, confirmé.

 

-        Chargé d’Etudes du Directeur Général : Mme AMINATOU HAMADOU, précédemment Secrétaire Administratif du Directeur National.

 

 

INSPECTION CENTRALE DE L’ENSEIGNEMENT ISLAMIQUE

 

-        Chef d’Inspection, Chargé des Enseignements Pré Primaire et Primaire : M. DIBANGOU Jean Louis, confirmé.

 

-        Chef d’Inspection, Chargé des Enseignements du Second Degré : M. PANGO François, confirmé.

 

DIRECTION DES ENSEIGNEMENTS DU PREMIER DEGRE

 

-        Directeur des Enseignements du Premier Degré : Mme MBADINGA née BORNAVES Nadine Isabelle, confirmée.

 

DIRECTION DES ENSEIGNEMENTS DU SECOND DEGRE

 

-        Directeur des Enseignements du Second Degré : M. EDOUH BIYOGO  Djâmeh-Augustin, confirmé.

 

 

DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES

 

-        Directeur des Ressources Humaines : M. ADAMOU HAMIDOU, confirmé.

 

 

DIRECTION ADMINISTRATIVE ET FINANCIERE

 

-        Directeur Administratif et Financier : M. OLIGUI Cléophas, confirmé.

 

 

LYCEE MOHAMED ARISSANI

 

-        Proviseur : M. ILONGO ADAMOU Alexandry, confirmé.

 

-        Censeur Pédagogique I : Mme PEMBE DIONYO épouse IBINGUE, Professeur d’Enseignement du Second Degré Général.

 

-        Censeur Pédagogique II : M. MINTOGO MOTO’O Richard, précédemment Censeur Pédagogique I.

 

-        Censeur de la Vie Scolaire I ; M. MORRY Ignace, confirmé.

 

-        Censeur de la Vie Scolaire II : Mme AWA OUMAROU Dada, confirmée.

 

 

FIN 

 

 

 

 

 

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20/09/2013

ONU : Ali Bongo Ondimba et les enjeux du développement

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Libreville, le 20 septembre 2013 – L’ouverture mardi 17 septembre 2013 de l’Assemblée générale des Nations Unies, suivie mardi 24 par l’ouverture du débat général au cours duquel interviendra le président Ali Bongo Ondimba, donne le coup d’envoi d’intenses discussions autour des enjeux du développement.

Il s’agit de définir le programme onusien pour l’après-2015 en tenant compte des succès et des échecs des Objectifs du Millénaire tout en y intégrant des critères spécifiques liés au développement durable.


9 jours pour changer l’avenir

Le Président de la République gabonaise s’apprête à rejoindre le siège de l’Organisation des Nations -Unies à New York afin de prendre part au débat général de la 68e session ordinaire de l’Assemblée générale.

Lancés mardi 17 septembre, les travaux sont placés cette année sous la direction du représentant permanent d’Antigua-et-Barbuda, John W. Ashe, élu par acclamation président de l’Assemblée générale.

Lors du « débat général » qui, selon le règlement, doit durer neuf jours ouvrables à partir du mardi 24 septembre, les dirigeants de la planète seront invités à exprimer leurs vues sur le thème « Le programme de développement pour l’après-2015 : plantons le décor ».


Une stratégie nationale en phase avec l’agenda mondial

L’urgence, en 2013, c’est d’inventer l’avenir post-2015, date-butoir pour la réalisation des huit Objectifs du Millénaire pour le développement ( Eliminer l’extrême pauvreté ; Education primaire pour tous ; Egalité des sexes ; Mortalité infantile ; Santé maternelle ; VIH-Sida-Paludisme ; Environnement ; Partenariat mondial pour le développement), alliant le concret à l’idéal, tirant les leçons du bilan dressé par le Secrétaire général Ban Ki-moon dans le rapport « Une vie de dignité pour tous ».

Pour Ali Bongo Ondimba, comme pour les autres chefs d’Etat porteurs d’une vision dynamique et progressiste de la vie internationale, ce cadre stratégique nouveau doit permettre de mettre fin à l’extrême pauvreté d’ici à 2030.

Le Gabon, pays qui n’a pas tardé à intégrer les questions environnementales à son processus d’émergence – le volet novateur Gabon Vert -, déploie une stratégie nationale (PSGE) en phase avec les priorités de cette Assemblée générale : d’ici à 18 mois, l’ONU lancera un agenda qui fera du développement durable un principe directeur global de la vie internationale.

Classé par son Indice de développement humain (IDH-PNUD) au premier rang continental devant quarante-trois pays d’Afrique subsaharienne, le Gabon enregistre des progrès socio-économique confirmés par différents indicateurs (croissance + 6,3%, croissance hors pétrole +10%, ratio dette sur PIB 18%, meilleur ratio nombre d’élèves par enseignant dans l’enseignement primaire de la sous-région selon la Fondation Mo Ibrahim).

En outre, plusieurs réformes structurantes confortent ces indicateurs parmi lesquels la mise en place d’une assurance santé universelle, le plafonnement des prix des produits de première nécessité ou encore l’alignement de l’éducation et de l’entreprise.


Une voix, une ambition

Lorsqu’il prendra la parole dans une semaine à New York à l’occasion du débat général, le chef de l’Etat sera la voix d’une ambition nationale dont l’écho se propage à l’échelle continentale : à l’heure de la mondialisation, l’homme et la nature doivent être replacés au centre des enjeux politiques afin de garantir aux peuples en marche vers le plein développement le destin souverain qu’ils méritent.


FIN

Pour découvrir le Gabon différemment : www.legabon.org

Rapport OMD Afrique 2013 : http://www.uneca.org/sites/default/files/publications/mdg_report2013_french.pdf


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19/09/2013

Communiqué Final du Conseil des Ministres du mercredi 18 Sept. 2013‏ + nominations ...

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Dès l’ouverture des travaux, le Conseil des Ministres a procédé à l’examen des idées forces contenues dans l’adresse de Monsieur le Président de la République Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA à la Nation, lors de la commémoration du 53ème anniversaire de l’accession de notre pays à l’Indépendance.

Le Conseil des Ministres a bien noté que l’évaluation de l’action Gouvernementale faite par Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a été sanctionnée par une mention loin d’être satisfaisante.

Certaines réalisations sont visibles notamment en matière d’infrastructures, mais, les objectifs assignés ne sont pas pleinement atteints.

Cependant, le Conseil des Ministres note, en toute conscience, la nécessité impérieuse pour le Gouvernement de redoubler d’efforts, afin de matérialiser notre ambition collective :

-        satisfaire les besoins légitimes des populations, notamment en matière d’alimentation, d’eau, de santé, d’éducation, de transport, de route pour garantir leur mieux être ; 

-        faire du Gabon un pays Emergent à l’horizon 2025 ;

-        préparer sur la base du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), un Gabon prospère pour les générations futures, grâce à la Paix dont nous jouissons et autres richesses minières dont regorgent notre sol et notre sous sol.

 

Par ailleurs, le Conseil des Ministres a vivement salué l’exemplarité des relations diplomatiques entre le Royaume du Maroc et le Gabon, lors de la sixième (6ème) Grande Commission Mixte de Coopération, tenue du 02 au 05 Septembre 2013, au Maroc.

Ces liens exceptionnels ont de nouveau été renforcés à travers la signature d’importants accords. Pour l’essentiel, nous soulignons :

-        la suppression des visas pour les passeports ordinaires ; 

-        le mémorandum d’entente entre le Ministère des Affaires Etrangères du Royaume du Maroc et le Ministère des Affaires Etrangères du Gabon ;

-        l’assistance mutuelle dans le domaine douanier ;

-        la coopération dans le domaine de l’aménagement du territoire ;

-        la coopération relative à la reconnaissance des permis de conduire.

 

Sur un tout autre plan, conformément à l’action n° 13 du Plan Sectoriel Environnement du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), relatif à la lutte contre les pollutions et les nuisances, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, toujours soucieux de l’amélioration des conditions de vie de ses compatriotes, a décidé de l’arrêt à l’importation des véhicules usagés de plus de trois (3) ans. Un délai de deux (2) mois sera accordé pour le dédouanement après vérification.

Aussi, le Conseil des Ministres se félicite-t-il des mesures dérogatoires au bénéfice du Gabon, adoptées par le Conseil des Ministres de l’Union Economique de l’Afrique Centrale (UEAC) relatives à la baisse des droits de douanes pour une durée de six (6) mois respectivement sur :

-        les bus : de 30 % à 5% ;

-        les voitures berline : de 30% à 5% ;

-        les fourgons /pick up (simple cabine) et camion : de 20% à 10% .

Dans la même veine, le Conseil des Ministres a instruit les Administrations compétentes de procéder dans l’immédiat, à la destruction de tous les stocks (anciens ou nouveaux) de sachets plastiques non biodégradables.

 

 

AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LÉGISLATIFS ET RÉGLEMENTAIRES

 

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

Madame le  Ministre a présenté au Conseil des Ministres qui l’a adopté,  le projet de décret portant réorganisation de la Direction Générale de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences (ANINF). 

La réorganisation consacrée par le présent décret porte sur la modification des dispositions  du décret n° 179/PR/MJGSDHRIC du 10 Mai 2012, qui complète certaines dispositions du décret n° 212/PR du 27 Janvier 2011, relative à la composition des entités de la Direction Générale de ladite institution.

A cet effet, la Direction Générale de l’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences est désormais composée des services centraux et des services déconcentrés. 

 

MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PECHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

 

Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a marqué son accord avec le projet de décret fixant les statuts de l’Agence de Collecte et de Commercialisation des Produits Agricoles (ACCOPA). 

L’Agence de Collecte et de Commercialisation des Produits Agricoles est un organisme créé par l’Etat, pour permettre à notre pays de réduire son indépendance extérieure, en favorisant la promotion et la consommation des produits locaux, à moindre coût et ainsi accessibles au plus grand nombre. 

L’Agence de Collectes et de Commercialisation des Produits Agricoles a pour  objectifs de :

·       réduire de manière progressive et significative les importations des produits agricoles ; 

·       garantir la sécurité alimentaire au niveau national par la couverture maximale des besoins alimentaires ;

·       contribuer à l’amélioration du PIB du secteur agricole ;

·       implanter dans les zones de production et les centres de consommation les infrastructures et les équipements de commercialisation des produits agricoles ;

·       structurer et organiser la chaine de valeur de la filière ;

·       repenser de manière intelligente les possibilités et les mécanismes d’importation des denrées alimentaires via les programmes de coopération et d’intégration régionale ou sous régionale ;

·       promouvoir au niveau national la commercialisation des produits agricoles transformés ou semi-transformés.


 

MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE


 

Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant mise en place du Registre International des Navires.

 

Le présent projet de décret a pour vocation d’organiser le Registre International Gabonais, en mettant en place un registre qui permettra le rapatriement des navires étrangers sous pavillon national.

 

A cet effet, le Registre International des Navires détermine :

 

-        l’ensemble des mécanismes et des effets attachés à l’enregistrement des navires ; 

-        les modalités de gestion du Registre International des Navires.


 

MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

 

Monsieur le Ministre a présenté au Conseil des Ministres qui les a approuvés  trois (3) projets de textes :

1.   le projet de loi portant création et organisation de l’Université des Sciences de l’Education ;

2.   le projet de loi portant modification de certaines dispositions de la loi n° 7 /85 du 29 Janvier 1986 portant création de l’Université des Sciences et Techniques de Masuku ;

3.   le projet de décret portant organisation et fonctionnement d’un lycée scientifique.

 

Le premier projet de loi conforme aux dispositions de la loi n° 21/2011 portant orientation générale de l’éducation, de la formation et de la recherche, porte création et organisation de l’Université des Sciences de l’Education, en abrégé (USE),  établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, doté de la personnalité juridique et jouissant de l’autonomie de gestion administrative et financière.

Aussi, cette Université est placée sous la tutelle du Ministère en charge de l’Enseignement Supérieur et a pour mission spéciale, la formation initiale et continue des professionnels de l’enseignement.

Le second projet de loi, quant à lui, porte modification de certaines dispositions de la loi n° 7 /85 du 29 Janvier 1986 portant création de l’Université des Sciences et Techniques de Masuku.

Pris en application des dispositions de la loi susvisée, l’article 5 du présent  projet de loi est modifié.

Le troisième projet de décret porte organisation et fonctionnement d’un Lycée Scientifique.

En effet, le Lycée scientifique a pour mission de promouvoir la culture scientifique en assurant :

·       aux élèves un enseignement scientifique de qualité, des conditions d’étude et de vie favorisant les sciences ;

·       une formation générale de niveau secondaire dans les domaines littéraire, économique et social devant conduire les élèves aux écoles préparatoires de Mathématiques supérieures et de Mathématiques spéciales  à la préparation des concours d’entrée aux grandes écoles et à l’enseignement supérieur.

Ainsi, dans la perspective du système Licence-Master-Doctorat (LMD), les élèves auront la possibilité de poursuivre des études longues conduisant au diplôme d’Ingénieur, de Master Professionnel et de Doctorat.

Le Lycée Scientifique comprend :

·       le Conseil d’Administration ;

·       le Conseil d’établissement ;

·       le Conseil d’enseignement ;

·       le Conseil de classe ;

·       le Conseil d’orientation ;

·       le Conseil de discipline.

 

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

 

Monsieur le Ministre a présenté au Conseil des Ministres qui les a adoptés,  trois (3) projets de décrets :

1.   le projet de décret fixant le nombre des membres des Conseils Départementaux, des Conseils Municipaux et des Conseils d’Arrondissement ;

2.   le projet de décret fixant le nombre des membres des bureaux des Conseils Départementaux, des Conseils Municipaux et des Conseils d’Arrondissement ;

3.   le projet de décret fixant le nombre des Commissions électorales locales pour l’élection des membres des Conseils Départementaux, des Conseils Municipaux et des Conseils d’Arrondissement.

 

MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

Le Conseil des Ministres a adopté deux (2) projets de loi présenté par  le  Ministre. Il s’agit :

·       du projet de loi modifiant certaines dispositions de la loi n° 6/75 du 25 Novembre 1975 portant Code de Sécurité Sociale ;

 

·       du projet de loi portant modification de certaines dispositions de l’ordonnance n° 0022/PR/2007 du 21 Août 2007 instituant un Régime Obligatoire d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale en République Gabonaise.

 

Le premier projet de loi dispose de ce que les articles 3, 5, 13, 15, 32, 46, 53, 67, 81, 88, 92, 96 et 104 de la loi n° 6/75 du 25 Novembre 1975 portant Code de Sécurité Sociale sont modifiés.

Quant au second projet de loi, il modifie certaines dispositions de la loi n°0022/PR/2007 instituant un Régime Obligatoire d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale en République Gabonaise.

Les dispositions des articles 4, 16, 27, 29, 32, 42, 43, 45, 46, 48, 49, 51, 52, 84, 93 et 106 de la loi n°0022/PR/2007 susvisée sont modifiées.

 

MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE

 

Le Conseil des Ministres a approuvé le projet de loi de finances rectificative exercice 2013. 

En effet, le PIB de l’économie gabonaise progresserait de 6,1% en termes réels à fin décembre 2013 contre 7,1% prévu initialement et 5,3% en 2012.

Cette performance s’expliquerait pour l’essentiel par le dynamisme du secteur hors pétrole (+9,6% au lieu de 9,4% en 2012).

Le Projet de loi de finances rectificative 2013 trouve sa justification essentiellement dans la révision des principales hypothèses macroéconomiques et la nécessité de la prise en compte par le Gouvernement des dépenses urgentes à caractère social, politique et d’ordre sécuritaire.

Dans cette optique, tout en réitérant l’ensemble des mesures annoncées dans le rapport économique et financier accompagnant la loi n°011/2012 du 08 janvier 2013 déterminant les ressources et les charges de l’Etat pour l’année 2013, le projet de budget rectifié met notamment l’accent sur :

-         la réallocation des crédits budgétaires notamment d’investissement ; 

-          et le financement des urgences du moment  dont : la prise en compte des dépenses liées au secteur de l’éducation ; les besoins du plan sécurité au niveau de la défense nationale et des forces de police nationale ; le niveau réel des besoins induits par la subvention des prix de carburant et le soutien à l’activité de raffinage ; le recensement de la population et les élections locales ; l’amélioration du système de collecte et valorisation des ordures ménagères et industrielles et l’accélération de certains projets du schéma directeur national d’infrastructures.

 

 

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE


 

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGEE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE

 

Le Conseil des Ministres a marqué son accord aux demandes d’agréments de leurs Excellences :

·       Madame Cynthia Helen AKUETTEH, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire des Etats-Unis d’Amérique près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;

·       Monsieur Bassey Effiom ARCHIBONG, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Fédérale du Nigéria près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;

·       Monsieur Juan Andrés ORDONEZ GOMEZ, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire des Etats-Unis du Mexique près la République Gabonaise, avec résidence à Rabat au Maroc ;

·       Monsieur Dan RUGABIRA, en qualité de Représentant  de l’Organisation des Nations Unies  pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) à Libreville.

 

MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

 

Le Conseil des Ministres a marqué son accord au Ministre pour l’organisation, à Libreville, de la troisième (3ème) édition de la Foire Agricole et des premières assises de l’Agriculture, du 16 au 26 Octobre 2013.

 

MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE, DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE

 

Le Ministre a obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour l’organisation, au mois de Juin 2014, à Libreville, d’un Salon de l’Economie Numérique à vocation sous-régionale, en partenariat avec l’Union Internationale des Télécommunications (UIT).

 

MINISTERE DES EAUX ET FORÊTS

 

Le Ministre a informé le Conseil des Ministres, qui en a pris acte, de ce qu’à l’instar de la Communauté Internationale, notre pays célèbrera la « Journée Mondiale des Rivières » (World Rivers Day), le 29 Septembre 2013 sous le thème : « Nos rivières, leur importance et leur vulnérabilité ».

 

MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES

 

Sur présentation de Madame le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le rapport de « l’analyse de la situation des orphelins et autres enfants vulnérables (OEV) au Gabon » en 2011.

  

MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

Le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour l’organisation, à Libreville, respectivement :

-         du Conseil des Ministres de l’Union Economique de l’Afrique Centrale (UEAC), le 23 Septembre 2013 ; 

-         du Forum National de l’Emploi, du 17 au 19 Octobre 2013, sous le thème : « Quelle politique nationale de l’emploi dans le cadre du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSG).

 

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement.

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

 

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes 

 

 

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

 

ATTACHES DE CABINET A LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

 

CABINET DU HAUT REPRESENTANT PERSONNEL DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

M. André OKANA ;

 

DIRECTION GENERALE DES RESSOURCES HUMAINES

·       Mmes :

·        Grâce Rabela ;

·        Sylvie NKORONOUNA NGWEPAZA ;

 

SERVICE COURRIER 

M. Avelin PENDY ;

DIRECTION GENERALE DE LA PRESSE PRESIDENTIELLE 

Mme Jacqueline BANZEGUIENE

SECRETARIAT GENERAL

-        Conseiller du Président de la République : M. Bernard EKELE.

 

PRIMATURE

 

CABINET CIVIL DU PREMIER MINISTRE, CHEF DU GOUVERNEMENT

-        Chef du Département Diplomatique : M. Jean François OBIANG ;

-        Chef du Département Secteur Productif : M. OBAME NGUEMA ;

-        Conseiller au Département Education : M. Edmond PENDY ;

-        Conseiller au Département  Infrastructures : M. Antoine Firmin ONDO ;

-        Conseiller en Communication : M. Alexandre LEWOBI LENDENDJI ;

-        Conseillers Economiques Adjoint à la Primature : MM.

·       Joseph O. ESSONO NTO’O ;

·       Kévin KAMAYA KAMAYA ;

·       Jean Pierre MBA ;

 

-        Attaché de Cabinet : MM. :

·       Junior MBOULET ;

·       Abel  TAY ;

·       Guillaume MBADINGA GUESSAN ;

·       Alceed KOUMBA KOUMBA.


 

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

COUR CONSTITUTIONNELLE

 

CABINET DU PRESIDENT

-        Chef de Cabinet : Mme Pélagie OKIKADI-NTCHOU.

GREFFE DE LA COUR

-        Greffier : M. Euloge Gatien FOUMBOULA PEME.

 

COMMANDANT EN CHEF DE LA SECURITE PENITENTIAIRE

-        Général de Brigade : M. Mohammed Charrif MANDZA, en remplacement du Général de Brigade Sébastien NGONDI NZOUBA, appelé à d’autres fonctions ; 

-        Commandant en Second : Colonel Germain EFFAYONG ONONG ;

-        Directeur de la Prison Centrale : Lieutenant-Colonel Pierre Marie DJAMENDONGO, en remplacement du Lieutenant-colonel major Olivier MOULENGUI NFONDO.

 

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE LE L’INTEGRATION REGIONALE

-        Consul Honoraire du Gabon à Johannesburg (AFRIQUE DU SUD) : M. Ivor ICHIKOWITCH.

 

MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

 

OFFICE NATIONAL DE DEVELOPPEMENT RURAL (ONADER)

Conseil d’Administration 

-        Président du Conseil d’Administration : M. ONDZOUNGA Paul Steeve, confirmé.

Administrateurs :

-        Représentant de la Présidence de la République : M.  Nestor RIGHOU; 

-        Représentant de la Primature : Mme Florence ILAMA ;

-        Représentant du Ministère de l’Agriculture : M. Jean René NZAMBA MOMBO ;

-        Représentant du Ministère des Eaux et Forêts : M. Jacques MOULOUNGOU ;

-        Représentant du Ministère du Budget : Mme Marie Louise ENIE ;

-        Représentant du Ministère du Pétrole : M. Wenceslas MAMBOUNDOU ;

-        Représentant du Ministère de l’Industrie des Mines : M. Georges MBA-NDONG ;

-        Représentant du Ministère de la Promotion des Investissements : Mme Véronique OBAME OBIANG ;

-        Représentant du Ministère de la Santé : M. Didier PENDJE ;

-        Représentant du Ministère de la Santé : M. Sany MEGWAZEB ;

-        Représentant du Ministère de l’Economie, de l’Emploi et du Développement Durable : Mme Yolande MOUBELOU ;

-        Représentant du Ministère de l’Economie, de l’Emploi et du Développement Durable : Mme Aurélie KASSAT ;

-        Représentant du Ministère de l’Intérieur Mme Ginette Flore MATSANGA MACKOSSOT ;

-        Représentant de l’Institut National d’Agronomie et de la Biotechnologie (INSAB) : M. Alain SOUZA.

 

AGENCE GABONAISE DE SECURITE ALIMENTAIRE (AGASA)

Conseil d’Administration

-        Président du Conseil d’Administration : M. André Jules NDJAMBE, Confirmé.

Administrateurs :

-       Représentant de la Présidence de la République : M. Paul BANGA ;

-    Représentant le Ministère de l’Agriculture : M. Daniel OBAME ONDO ;

-        Représentant le Ministère de la Défense Nationale : M. Marc SOSSA SIMAWANGO ;

-        Représentant le Ministère du Budget : M. Marcellin AGAYA ;

-        Représentant le Ministère de l’Economie : Mme Pauline MESSAN ZOUNA , 

-        Représentant le Ministère de l’Economie volet Environnement : M. Gislain MBIE NTOMA ;

-        Représentant le Ministère de la Santé : Mme Emma OLIVERA ;

-         Représentant le Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce et de l’Artisanat : M. Jean Richard NZE NDONG DIT MBELE ;

-        Représentant le Ministère de l’Intérieur : M. Lambert-Noël MATHA ;

-        Représentant le Ministère de l’Intérieur : M. Jacob-Urbain MADOUNGOU ;

-        Représentant le Ministère des Eaux et Forêts : Mme Nathalie NYARE ESSIMA ;

-        Représentant du Conseil Economique et Social : M. Isaac BOUGUOUENDE.


AGENCE DE COLLECTE ET DE COMMERCIALISATION DES PRODUITS AGRICOLES (ACCOPA)

Conseil d’Administration

-        Président du Conseil d’Administration : M. MENVIE M’OBAME Christian, Confirmé.

Administrateurs :

-       Représentant de la Présidence de la République : M. Jean Aimé IKAPI IKAPI ;

-        Représentant de la Primature Mme Florence ILAMA KOMBILA ;

-        Représentant le Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce et de l’Artisanat : M. Bertrand Rubens METTEYA ;

-        Représentant le Ministère du Budget, des Comptes Publics et de la Fonction Publique : M. Jean François ELLA BITEGHE ;

-        Représentant le Ministère de l’Economie, de l’Emploi et du Développement Durable : M. Joseph NDJIMBA ;

-        Représentant le Ministère de la Santé : M. Richard PAMBA ;

-        Représentant le Ministère de l’Agriculture : M. Julien EKO NDONG;

-        Représentant le Conseil Economique et Social : M. Jolion MEVENE AGNEGHE ;

-        Représentant de l’Association des Femmes Commerçantes du Gabon : Mme Joséphine KAMA DABANY ;

-        Représentant la Coordination Nationale des Organisations Paysannes : M. Phil Philo ABESSOLO NDONG ;

-        Représentant de l’Organisation Gabonaise des  Consommateurs : M. Ibrahim TSENDET MBOULOU.


OFFICE NATIONAL DES LABORATOIRES AGRICOLES (ONALA)

Conseil d’Administration

-        Président du Conseil d’Administration : M. Jean Firmin KOUMAZOCK, confirmé.

Administrateurs :

-       Représentant de la Présidence de la République : M. Paul BANGA ;

-        Représentant de la Primature : Mme Florence ILAMA KOMBILA ;

-        Représentant le Ministère de l’Agriculture : Mme Aubierge MOUSSAVOU ;

-        Représentant le Ministère de l’Agriculture : Mme Loïs NONTSE ALLELA ép. MINKO ;

-        Représentant le Ministère de la Santé : M. Armel NDONG MINTSA ;

-        Représentant le Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce et de l’Artisanat : Mme Odile Andréa BOUNGAT ;

-        Représentant le Ministère de l’Industrie et des Mines : M. Jean Maurice AYINE ;

-        Représentant, le Ministère de l’Economie, de l’Emploi et du Développement Durable : M. Ludovic NGOK BANAK;

-        Représentant le Ministère du Budget, des Comptes Publics et de la Fonction Publique : M. ONGAYE ;

-        Représentant du Conseil Economique et Social : Mlle  Perpétue NTANG NZOGHE.


OFFICE DE RECHERCHE ET D’INTRODUCTION DE MATERIEL VEGETAL (ORIAM) 

Conseil d’Administration

Président du Conseil d’Administration : M. Charles MBA BISSEGHE (Confirmé)

Administrateurs :

-        Représentant de la Présidence de la République : M. Jean Aimé IKAPI IKAPI ;

-        Représentant de la Primature : M.  OBAME NGUEMA ;

-        Représentant le Ministère de l’Agriculture : M. Dénis NZOGHE ;

-        Représentant du Ministère de la Santé : M. Alain Charles ROTIMBO;

-        Représentant du Ministère de l’Economie, de l’Emploi et du Développement Durale : M. Ludovic NGOCK BANACK ;

-        Représentant du Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce et de l’Artisanat : Mme Odile Andréa BOUNGAT OSSAWA ;

-        Représentant le Ministère de l’Intérieur : Mme Ginette Flore MATSANGA MAKOSSOT ;

-        Représentant du Ministère du Budget, des Comptes Publics et de la Fonction Publique : M. Aimé YEMBI ;

-        Représentant du Ministère du Pétrole, de l’Energie et des Ressources Hydrauliques : M. Camille AMBASSA.

 

MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE

 

OFFICE DES PORTS ET RADES DU GABON (OPRAG)

-        Conseillers : MM.

·       Gérard Léandre Souleyman TCHORERET ;

·       Joseph NTOUTOUME BE ;

·       Grégoire JOUMAS DIT MBOULOU ;

·       Jean Célestin YALA.

 

DIRECTION REGIONALE DE PORT-GENTIL

-        Directeur Régional : M. Jean Bosco ASSINGABAGNI ;

 

PORT COMMERCIAL DE PORT-GENTIL

-        Commandant du Port : M. Eugène MPIGA ;

 

SOCIETE GABONAISE DE TRANSPORT (SOGATRA)

-        Directeur Général : M. Alain NDJOUBI OSSAMY ;

 

Par ailleurs, l’ensemble des Conseillers du Directeur Général sont remis à la disposition de leurs administrations d’origine.

 

SOCIETE NATIONALE DE GESTION ET DE CONSTRUCTION DU LOGEMENT SOCIAL DE L’ETAT (SNGCLSE)

-        Président du Conseil d’Administration : M. Aloïse BEKALE NTOUTOUME ;

-        Directeur Général : M. Paul MAPESSI ;

-        Directeur Général Adjoint : M. Dieudonné EGNINA NDOMBI.

 

 

MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

 

CABINET DU MINISTRE

-        Secrétaire Particulière du Ministre : Mme MIKILOU Widah épouse YOSSANGOYE, Professeur de Communication Sociale, en remplacement de Mlle BISSIELO Annie Ginette, remise à la disposition de son administration d’origine ; 

-        Chargé d’Etudes du Ministre : M. NKALA Simon, Professeur du Second degré général.

 

DIRECTIONS D’ACADEMIES

 

PROVINCE DE L’ESTUAIRE

 

DIRECTION D’ACADEMIE DE LIBREVILLE

-        Directeur : Mme MOUALOUANGO Brigitte, Inspecteur Pédagogique, précédemment Directeur Adjoint d’Académie Provinciale de l’Estuaire ; 

-        Directeur Adjoint : M. MAGANGA MAGANGA Guy, Professeur d’enseignement du Second Degré Général ;

 

DIRECTION D’ACADEMIE PROVINCIALE DE L’ESTUAIRE

-        Directeur : M. MOUKETOU KINGA Jean Ernest, Professeur d’enseignement du Second Degré Général, précédemment Directeur Adjoint d’Académie Provinciale de la Nyanga ; 

-        Directeur Adjoint : Mme MIMBIE OYOUNE Nadine épouse MVE ELLA, Professeur d’enseignement du Second Degré Général, en remplacement de Mme MOUALOUANGO Brigitte ;

 

PROVINCE DE LA NGOUNIE

 

DIRECTION D’ACADEMIE PROVINCIALE

-        Directeur : M. NGADI Maurice, Professeur du Second Degré Général, en remplacement de Mme NZENG Estelle Eugénie, mise à la disposition de l’Inspection Générale des Services ; 

-        Directeur Adjoint : M. NGUIMBI Jérôme, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. MABENDI NZATSIMBOU ;

 

PROVINCE DE LA NYANGA

 

DIRECTION D’ACADEMIE PROVINCIALE

-        Directeur Adjoint : M. MOUKETOU IWANGOU Alphonse, Conseiller Pédagogique, en remplacement de M. MOUKETOU KINGA Jean Ernest ;

 

 

MINISTERE DES EAUX ET FORÊTS


CABINET DU MINISTRE

-        Directeur de Cabinet : M. Sosthène MASSOUS MA MOUNGUENGUI ;

 

-        Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Laure Hermine YENO RERAMBIA ;

 

-        Conseiller chargé des Ecosystèmes aquatiques : M. Antoine NDONGOU ;

 

-        Conseiller chargé de la Coopération Internationale et des Relations avec l’Organisation Internationale des Bois Tropicaux (OIBT), et la FAO : M. David INGUEZA ;


-        Conseiller chargé des Forêts : Mme Esther NTSAME ;


-        Conseiller chargé de la Faune et des Aires Protégées : Mme Nathalie NYARE ESSIMA ;


-        Conseiller chargé des Industries et du FLEGT : M. Alphonse OWELE ;

 

-        Conseiller chargé de la Formation, de la Géomatique Forestière : Dr. Marcelin NZIENGUI ;

 

-        Conseiller chargé de la Communication : M. Martial TCHIBINDA ;

 

-        Conseiller chargé de l’Accord de Conversion de la Dette (ACD) : M. Jean MBOULOU ;

 

-        Conseiller Diplomatique : M. Jean Rémy AGAMBOUE ;

 

SECRETARIAT GENERAL

-        Secrétaire Général Adjoint 1 : M. Emile MAMFOUMBI ;

 

-        Secrétaire Général Adjoint 2 : M. Aimé MOUDJEGOU MOUSSAVOU ;

 

DIRECTION CENTRALE DES ETUDES DES STATISTIQUES ET DES PROGRAMMES

-        Directeur Central : M. Abraham NDOGOU NDOUGOU ;

 

DIRECTION GENERALE DES FORETS

-        Directeur Général : M. Paul KOUMBA ZAOU, confirmé ;

-        Directeur Général Adjoint 1 : Hermance MOURE.

 

DIRECTION GENERALE DE LA FAUNE ET DES AIRES PROTEGEES

-        Directeur Général : M. Brice Léandre MEYE

-        Directeur Général Adjoint 1 : M. Barry BIA KOMBE ;

-        Directeur Général Adjoint 2 : M. Daniel IDIATA.

 

DIRECTION GENERALE DES INSDUSTRIES, DU COMMERCE, DU BOIS ET DE LA VALORISATION DES PRODUITS FORESTIERS (DGICBVPF)

-        Directeur Général : M. Prosper Armand OBAME ONDO ; 

-        Directeur Général Adjoint 2 : M. Guy Fleury LENDOYE ;

 

DIRECTION GENERALE DES ECOSYSTEMES AQUATIQUES

-        Directeur Général Adjoint 1 : M. Félicien BODINGA ;

-        Directeur Général Adjoint 2 : M. Paul Henry N’NAH MENDOME

 

DIRECTION GENERALE DE L’AGENCE NATIONALE D’EXECUTION DES ACTIVITES DE LA FILIERE FORET BOIS

-        Directeur Général : N’SITOU MABIALA ;

 

FONDS FORESTIER NATIONAL

-        Conseiller Technique chargé de la Communication : M. Davy AKOUMBOU ; 

-        Conseiller chargé de la Formation : Mme Nina Pamela ANDOMBE IMANDE ;

 

ECOLE NATIONALE DES EAUX ET FORETS

-        Directeur Général Adjoint : M. Armand MENGOME ANGO ;

-        Secrétaire Général : M. Antoine Marie DISSAKI.

 

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

 

DIRECTION GENERALE DES ELECTIONS

-        Directeur Général : M. Benjamin BANGUEBE MAYOUBI, en remplacement de M. Sylvain NGUEMA.

 

MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES

CABINET DU MINISTRE

-        Conseiller Juridique : Mme Léa NDOUMOU OBOUNOU ;

-        Chargées d’Etudes : Mlles :

·       Edna Liliane MAMIRI BOULAMATARI ;

·       Michèle BIKIE BI ASSOUMOU.

 

SECRETARIAT GENERAL

-        Secrétaire Général : M. Pierre MBENG EYENE ;

-        Secrétaire Général Adjoint 1 : Mme Liliane MASSALA ;

 

DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES SOCIALES

-        Directeur Général : Mme Constance Irène KENGUEL ;

-        Directeur Général Adjoint : M. Michel MBADINGA MBADINGA.

 

DIRECTION GENERALE DE LA FAMILLE

FONDS NATIONAL D’AIDE SOCIALE (FNAS)

-        Directeur Général Adjoint : M. Laurent MEZUI M’ASSOUMOU ;

 

OBSERVATOIRE NATIONAL DE PROTECTION DES DROITS DE LA FAMILLE (ONPDF)

-        Président du Comité d’Orientation : Dr François NDONG OBIANG ;

-        Secrétaire Permanent : Pr. Auguste MOUSSIROU MOUYAMA.

 

MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DES MINES


AUTORITE ADMINISTRATIVE DE LA ZONE ECONOMIE A REGIME PRIVILIGIE (ZERP) DE NKOK

-        Administrateur Général de l’Autorité Administrative de la ZERP de Nkok : M. Théophile OGANDAGA.

-        Administrateur Général Adjoint de l’Autorité Administrative : Mme Anne NKENE BIYO’O épouse SOUGUEMAM NGUEMAH.

 

MinistÈre de l’Économie, de l’emploi et du dÉveloppement durable

 

DIRECTION GENERALE DE LA CONCURRENCE ET DE LA COMMUNICATION

 

INSPECTION DES SERVICES

-        Inspecteur : Monsieur Samuel MINKO-MINDONG, Inspecteur Principal des Prix, confirmé. 

-        Inspecteurs adjoints :

MM.

·                  François Xavier MEZUI ALLOGHO, Inspecteur Central des Prix ;

·                  Etienne KOMBILA MOUDOUNGA, Docteur en sciences et techniques alimentaires, confirmé.

 

DIRECTION GENERALE DES DOUANES ET DES DROITS INDIRECTS

 

INSPECTION DES SERVICES

-              Inspecteur des services : Monsieur Robert ONTALA LEWORI, Inspecteur Principal des douanes.

 

INSPECTEURS ITINERANTS AVEC RANGS ET PREROGATIVES DE DIRECTEURS D’ADMINISTRATION CENTRALE

MM.

-     Samuel NGUEMA ZUE, Inspecteur Principal des Douanes :

-     Ange Mathurin KIKI, Inspecteur Principal des Douanes. 

Mmes :

-     Jeannette MANIMA, Inspecteur Principal des Douanes,

-     Edwige Nelly PITHER, Inspecteur Principal des Douanes ;

-     Scholastique LEOUMBOU : Inspecteur Principal des Douanes.

 

SERVICES TERRITORIAUX

REGION DOUANIERE DE LIBREVILLE 

-    Directeur Régional : Monsieur Brice ADANDE, Inspecteur Principal des Douanes.

REGION DOUANIERE DE PORT-GENTIL 

-  Directeur Régional : Mme Rita NGOUBOU, Inspecteur Principal des Douanes.

REGION DOUANIERE DE FRANCEVILLE : 

-    Directeur Régional : M. Clément ALLOGHO MINKO, Inspecteur Principal des Douanes. 

 REGION DOUANIERE D’OYEM 

-      Directeur Régional : M. Jean Claude MBOUMBA, Inspecteur Principal des Douanes.

 

DIRECTION GENERALE DES IMPOTS

SERVICES D’APPUI

INSPECTION DES SERVICES

-     Inspecteur des Services : M. Martin ESSANGUI, Inspecteur Principal des Impôts, en remplacement de Monsieur Jean-Claude NGUEMA MINTSA, décédé.

Inspecteurs des Services Adjoints

MM.

·       Serge ANGUILE, Inspecteur Principal des Impôts ;

·       Jérôme MBA SIMA, Inspecteur Principal des Impôts ;

·       Daniel LEKOGO, Inspecteur Principal des Impôts ;

·       Sylvain NDONG MEZUI, Inspecteur Central des Impôts ;

·       Jean Nestor IBOTSI, Inspecteur Central des Impôts ;

·       Madame Hortense AYINGONE ép. BEKALE, Inspecteur Principal des Impôts.

Inspecteurs des Services Assistants

MM.

·       Rufin ANGOUGNE AWOUOMI, Inspecteur Central des Impôts ;

·       Jean Pierre NDOUGHE SAME, Inspecteur Central des Impôts ;

·       Roland Ferll HYNDA, Inspecteur Central des Impôts ;

·       Landry BONANGO NGONTOGO, Inspecteur Central des Impôts ;

 

CAISSE NATIONALE D’ASSURANCE MALADIE ET DE GARANTIE SOCIALE (CNAMGS)

DIRECTION GENERALE 

-     Directeur Général Adjoint 1 : M. Guillaume OKOUMA OPAGA, confirmé ; 

-     Directeur Général Adjoint 2 : Dr Guy Patrick OBIANG NDONG.

 

MINISTERE DU PETROLE, DE L’ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES


SECRETARIAT GENERAL

DIRECTION GENERALE DE L’ENERGIE

-        Directeur Général : Mme Yvette POUTHA.

 

SOCIETE DE PATRIMOINE DU SERVICE PUBLIC, DE L’EAU POTABLE, DE L’ENERGIE ELECTRIQUE ET DE L’ASSAINISSEMENT

CONSEIL D’ADMINISTRATION

-        Président  du Conseil d’Administration : M. Aloïse N’DASSEMBE ;

-        Membres :

PRIMATURE

-        Conseiller Chef de Département du Secteur Productif : M. Jean Paulin EKOUA SIMA ;

 

ECONOMIE

-        Conseiller Economique : Mme Marie Sylvie MBEZE NGUI ;

 

DEVELOPPEMENT DURABLE

-        Conseiller chargé du Pilier Vert : Mme Marthe MAPANGOU ;

 

BUDGET

-        Directeur de Cabinet : M. Aimé YEMBI ;

 

TRAVAUX PUBLICS ;

-        Directeur Général des Infrastructures de Transport : M. Célestin ONDZAMBI ;

 

DEFENSE

-        Directeur de Cabinet Militaire : Contre-Amiral Marc SOSSA SIMAWANGO ;

 

INTERIEUR

-        Secrétaire Adjoint 1 : M. Paul NGOME AYONG ;

SANTE

-        Directeur de l’Institut d’Hygiène Publique et de l’Assainissement : M. Richard PAMBA ;

 

ENERGIE ET RESSOURCES HYDRAULIQUES

-        Conseiller Stratégique : M. Wenceslas MAMBOUNDOU ;

 

CHAMBRE DE COMMERCE

-        Président : M. Jean Baptiste BIKALOU ;

 

OPERATEUR DU SECTEUR

-        Président du Conseil pour la Sécurité des Usagers de l’Electricité (CONSUELEC) : M. Arthur DAUSSY.

 

SOCIETE DE PRODUCTION ET DE TRANSPORT D’ELECTRICITE DU GABON (SPTEG)

-        Président du Conseil d’Administration : M. Séverin YOUMOU ;

-        Directeur Général : M. Jean Pierre LASSENY DUBOZE ;

-        Directeur Général Adjoint : M. Yves NYOUNDOU MOUCKAGA ;

-        Adjoint au Directeur Général, Chef de Département Opérations : M. Célestin OBAME SIMA ;

-        Adjoint au Directeur Général, Chef de Département Support : M. Maturin MASSALA AKENDENGUE.

 

SOCIÉTÉ TOTAL GABON

-        Directeur Général Délégué : M. Etienne LEPOUKOU.

 

 

 

                                       FIN.


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16/09/2013

Ali Bongo Ondimba : La seule chose qui compte, ce sont les résultats ...

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Bilan, réformes, opposition, pouvoir, critiques, crimes rituels, Mali, islamisme, François Hollande... Quatre ans après son élection, le chef de l'État gabonais répond sans détour aux grandes questions du moment.

En octobre prochain, Ali Bongo Ondimba (ABO) fêtera ses quatre ans à la tête du Gabon. Quatre années de réformes au pas de charge, pas toujours comprises ou digérées, pour réveiller un pays profondément endormi, vautré dans le relatif confort autorisé par la manne pétrolière et la politique politicienne. Car ici, il n'y a guère d'affrontements doctrinaires ou de débats de fond. La vie politique s'est longtemps résumée à un jeu de chaises musicales, un grand marché de troc où l'on s'échangeait postes, prébendes et privilèges et où l'on claquait la porte du parti au pouvoir, le Parti démocratique gabonais (PDG), pour rejoindre le camp d'en face dès lors que son statut social, et donc son portefeuille, était touché.

Héritier présumé d'un système mis en place par son emblématique père, Ali Bongo Ondimba a surpris tous ceux qui s'attendaient à ce qu'il maintienne les us et coutumes d'un pouvoir qui, sur la fin, brillait surtout par l'extraordinaire force d'inertie qui maintenait les grands équilibres ethniques et régionaux et interdisait toute dynamique de changement. Ses premiers pas ? Une série de coups de pied dans la fourmilière. Sévères remises en question de positions jusqu'ici gravées dans le marbre, mises à l'écart de ténors, audits lancés, rigueur instaurée, impératifs et objectifs concrets fixés, arrivée d'une nouvelle génération au pouvoir : la belle endormie gabonaise a été réveillée à coup de gifles...

" Ali ", lui, a une vision pour son pays, élaborée et déclinée à travers le Plan stratégique Gabon émergent (PSGE) : industrialisation, diversification d'une économie trop dépendante des seules matières premières - par ailleurs pas ou peu transformées localement -, développement durable, lancement de très nombreux chantiers destinés à rattraper un retard criant en matière d'infrastructures, rédaction de feuilles de route sectorielles détaillées, création d'agences pour épauler (et surveiller) les ministères. Reste la question essentielle du degré de réalisation de ce plan et de son efficacité. Car le Gabon reste le Gabon : un pays gâté par la nature où le goût du travail cède souvent la place au culte de l'argent facile. Un petit émirat tropical où tout le monde se connaît, où les batailles se livrent en coulisses et où le mot "changement" ressemble à une menace pour les nantis. Chassez le naturel, et il revient au galop... Ali Bongo Ondimba n'est peut-être pas suffisamment allé au bout de sa démarche de rupture, de crainte certainement que le cocotier ainsi secoué ne finisse par s'effondrer. Il est aujourd'hui au milieu du gué et il lui reste un peu moins d'une moitié de mandat pour trouver un second souffle et tenir ses nombreuses promesses.

ABO a pris volontairement du recul, depuis un an, confrontant le gouvernement Ndong Sima à ses responsabilités. C'est peu dire qu'il est déçu. Il semble donc peu probable que le Premier ministre s'éternise à son poste. Reste à trouver l'oiseau rare pour le remplacer : un Fang d'Oyem, selon toute vraisemblance, un homme (ou une femme, rêvons un peu) compétent et de devoir qui ne se mette pas en tête de devenir calife à la place du calife. Le chef de l'État ne le sait que trop bien : les Gabonais n'ont cure des querelles partisanes des dirigeants politiques. Ils veulent du concret, du pouvoir d'achat, des classes pour accueillir leurs enfants dans des conditions décentes, pouvoir être soignés, se déplacer sans y laisser le quart de leur salaire, manger à leur faim, pouvoir se loger. Car ce n'est pas parce qu'il n'a plus d'opposants de poids face à lui que la présidentielle de 2016 sera une sinécure. "Ali" s'est créé beaucoup d'ennemis, y compris dans son propre camp, parmi tous ceux qui ne goûtent guère d'avoir été mis de côté et qui regrettent la légendaire prodigalité de son père. À l'inverse, s'il atteint ses objectifs, il aura un boulevard devant lui...

Jeune Afrique : Les attentes des Gabonais sont importantes, à la mesure des promesses qui leur ont été faites pendant la campagne de 2009. Vous êtes déjà à mi-mandat. Quel bilan tirez-vous de cette période ?

Ali Bongo : Nous avons répondu en grande partie à la problématique des infrastructures routières, vitales sur le plan économique. Notre développement repose sur trois piliers : l'industrie, le développement durable, notion sur laquelle nous sommes pionniers en Afrique, et les services. L'objectif global étant le passage d'une économie de rente pétrolière à une économie diversifiée. D'où notre souci, pas toujours compris bien que cela ressemble à une évidence, d'inciter - pour ne pas dire obliger - à plus de transformations locales. Dans un pays comme le nôtre, les réformes prennent beaucoup de temps. Nous sommes sur la bonne voie, même si, il faut le reconnaître, nous avons rencontré de nombreuses difficultés et nous sommes parfois trompés. Je l'assume : mieux vaut agir, quitte à échouer, que de ne rien faire. Nous avons sous-estimé un certain nombre de paramètres ou d'écueils, n'avons pas toujours pris les bonnes décisions. Mais nous l'avons toujours fait en notre âme et conscience, pour l'intérêt général. Et aujourd'hui, nous savons parfaitement ce qui doit être corrigé.

Quels sont, par exemple, les chantiers qu'il vous reste à achever ?

Ali Bongo : En matière de logement, il est évident que je ne suis pas satisfait : nous avons pris beaucoup de retard par rapport aux engagements formulés pendant la campagne présidentielle (5 000 unités construites par an). Mais nous sommes en train de le rattraper. La santé est l'un des secteurs pour lesquels nous devons également poursuivre nos efforts et nos investissements. La mise en place de la CNAMGS - l'assurance-maladie - a représenté une véritable avancée. Mais si construire des hôpitaux, c'est bien, encore faut-il qu'ils soient bien gérés, avec un personnel soignant en nombre suffisant et bien formé. Sur l'éducation et la formation professionnelle, nous avons là aussi consenti d'importants investissements en matière d'infra­structures, mais nous nous heurtons à la même difficulté : les ressources humaines et le nombre largement insuffisant d'enseignants disponibles ou en voie de l'être. En résumé, nous progressons, dans de nombreux domaines. Mais nous sommes loin de nos objectifs, j'en ai conscience. Le plus difficile est cependant derrière nous : faire évoluer les mentalités, mettre fin à l'inertie qui frappait le pays et lancer les nombreux chantiers et réformes que nous souhaitions mettre en oeuvre.

Pensez-vous disposer des ressources nécessaires autour de vous pour mener à bien vos projets ?

Ali Bongo : C'est là le défi de n'importe quel dirigeant. Aujourd'hui, l'important est d'identifier les compétences, qu'elles se trouvent chez vous ou ailleurs. La seule chose qui compte, ce sont les résultats.

On vous reproche justement d'avoir trop recours à des étrangers, africains ou non...

Ali Bongo : Si des non-Gabonais peuvent m'aider à faire en sorte que les Gabonais soient plus heureux, je ne vois pas bien où est le problème. Nous n'allons d'ailleurs pas chercher à l'extérieur ce que nous pourrions trouver sur place. Soyons modestes : nous n'avons pas la science infuse et avons parfois besoin, surtout dans cette phase de rupture et de réformes urgentes, de nous faire assister, à condition bien sûr qu'il y ait transfert de compétences.

Votre arrivée au pouvoir a coïncidé avec une sévère remise en cause des pratiques en vigueur par le passé, des baronnies et des nombreux privilèges. De quoi susciter des vocations d'opposants. Certains pensent même que la menace pour la présidentielle de 2016 vient désormais de votre propre camp...

Ali Bongo : Ce n'est pas nouveau. La vie politique du Gabon a toujours été ainsi : ceux qui perdent leurs situations et avantages basculent dans l'opposition jusqu'à ce qu'ils les récupèrent. Malheureusement, ces funambules de la politique n'ont pas compris que les temps ont changé.

L'opposition gabonaise s'est considérablement affaiblie depuis le décès de Pierre Mamboundou et la maladie d'André Mba Obame. Sans parler de son absence à l'Assemblée nationale à la suite du boycott des législatives du 17 décembre 2011. Peut-elle se renforcer, selon vous, d'ici à 2016 ?

Ali Bongo : L'opposition ne peut pas se réduire à une ou deux personnes. Une chose est sûre, la politique de la chaise vide ne paie jamais : c'était une erreur de ne pas siéger à l'Assemblée. J'espère que la leçon a été retenue. Mais ce n'est pas parce qu'elle y est absente qu'on ne l'entend pas... Et c'est tant mieux : nombre de Gabonaises et de Gabonais ont un point de vue différent du mien. Il faut bien que quelqu'un les représente.

Les principaux reproches que vos opposants formulent concernent la démocratie, la gouvernance ou la corruption. Que leur répondez-vous ?

Ali Bongo : Ils font leur travail. Mais encore faut-il que ces reproches soient étayés. Je ne reviendrai pas sur le curriculum vitæ de certains de ces opposants, qui ont visiblement la mémoire courte. Quand j'entends leurs cris d'orfraie sur les thèmes que vous venez d'évoquer, alors qu'eux-mêmes à une certaine époque, quand ils étaient au pouvoir, se comportaient comme des dictateurs et des brigands sans foi ni loi, je souris. Cela m'étonne d'ailleurs qu'on les écoute encore. Tout pays a besoin d'une opposition vigoureuse, active et responsable. Si la nôtre pouvait enfin devenir force de propositions et faire part aux Gabonais de ses projets pour le pays, ce serait parfait... Les attaques au ras des pâquerettes, les insultes ou l'invective ne peuvent suffire.

Une partie de la société civile, souvent virulente à votre égard, est en pleine ébullition. On assiste à une véritable guerre des chefs et à la contestation de son héraut, Marc Ona Essangui. Voilà qui doit vous arranger...

Ali Bongo : On ne récolte que ce que l'on a semé. J'ai cru comprendre qu'il lui était reproché de dépasser la sphère qui devrait être la sienne, la société civile, donc, pour faire de la politique. Ce que j'ai d'ailleurs toujours dénoncé, car ce n'était pas sain. Nous l'avons toujours invité, lui et quelques autres, à franchir clairement le pas au lieu de se réfugier derrière ce voile bien commode.

Comment envisagez-vous le prochain scrutin, les élections locales prévues en novembre ?

Ali Bongo : Sereinement. Nous avons reçu l'ensemble de la classe politique pour discuter de ce scrutin, et déterminer ensemble ce qu'il convenait de mettre en place pour en garantir la transparence et la réussite. J'ai créé des commissions pour travailler à l'application d'un certain nombre de revendications et de recommandations. La plupart ont été retenues, d'autres pas, mais cela s'est fait dans la discussion.

Êtes-vous confiant pour votre parti, le PDG ?

Ali Bongo : Je dispose d'un parti qui fonctionne très bien et qui est prêt à relever ce défi, donc oui.

Le PDG a tenu son 10e congrès en avril. De grandes réformes ont été annoncées. On a même entendu parler d'un changement de dénomination, à l'image de ce que le président togolais Faure Gnassingbé a fait avec son parti, lui aussi historique et hérité de son père. Il n'en a finalement rien été. Il était urgent d'attendre ?

Ali Bongo : Ce sont vos confrères qui ont parlé de cela mais pas nous. Il n'en a même jamais été question. Une seule chose était à l'ordre du jour : amener davantage de démocratie au sein de l'appareil. C'est ce qui a été fait. Et les instances dirigeantes du parti ont été renouvelées de manière importante.

Plusieurs caciques du parti, véritables barons sous votre père, comme Paul Toungui, Jean Ping ou Idriss Ngari, n'ont pas été reconduits dans leurs fonctions, notamment au sein du bureau politique. N'est-ce pas périlleux, car susceptible de créer des tensions internes, voire des dissidences ?

Ali Bongo : Avant, les candidats étaient cooptés par le sommet du parti. Aujourd'hui, ils sont désignés par la base. Aucun dirigeant ne peut considérer qu'il occupe ses fonctions ad vitam æternam. Et à l'issue de ce congrès, vous n'avez pas entendu de claquements de porte, que je sache.

En quoi concrètement le PDG a-t-il changé sous votre présidence ?

Ali Bongo : Je ne me pose pas la question en ces termes. Avec ou sans moi, le PDG devait évoluer : nouvelles générations, nouvelles élites, autres idées ou méthodes. Lors des élections législatives, nous avons renouvelé près de 50 % de nos candidats. Ce mouvement s'est donc naturellement poursuivi au niveau des instances dirigeantes du parti.

Vous avez nommé un nouveau Premier ministre, Raymond Ndong Sima, en février 2012. Êtes-vous satisfait de son action et de son gouvernement?

Ali Bongo : Ce gouvernement a réussi un certain nombre de missions, comme l'amélioration des équilibres macroéconomiques, la réforme du secteur bois ou la construction de structures sanitaires. D'autres beaucoup moins, nous en avons parlé. Les Gabonais attendent des réponses claires du gouvernement sur la sécurité, l'eau, l'emploi, l'éducation ou la santé.

Ces échecs seraient-ils de nature à remettre en cause la mission de Ndong Sima ? 

Ali Bongo : Ma réflexion est en cours...

On parle également de tensions entre les membres de votre cabinet et le Premier ministre. Votre porte-parole a fait une sortie assez remarquée contre lui, expliquant que s'il n'était pas content, personne ne le retenait...

Ali Bongo : Le porte-parole auquel vous faites allusion a certainement traduit le mécontentement qui est le mien par rapport à un certain nombre de domaines dans lesquels je trouve l'action du gouvernement lente ou inefficace. Mais il ne peut y avoir de tensions. Le Premier ministre est là pour appliquer le programme sur lequel le président a été élu. Si le président n'est pas content, ce Premier ministre ne reste pas, point. Maintenant, entre les équipes qui travaillent, celles du président, du Premier ministre ou du gouvernement, il peut exister des divergences. Il n'y a rien de fondamentalement grave en cela.

Comprenez-vous les Gabonais qui pensent que les politiques, de quelque bord qu'ils soient, ne représentent qu'une caste de privilégiés qui n'ont qu'une idée en tête : se disputer un gâteau qu'ils ne partageront jamais avec la population ?

Ali Bongo : Il est difficile de ne pas comprendre ce point de vue. Les sujets de dispute ou les débats sont souvent assez éloignés des préoccupations de la population. Elle n'arrive plus à suivre les carrières des uns et des autres, véritables girouettes, un jour au parti au pouvoir, le lendemain dans l'opposition, et qui multiplient ainsi les allers-retours en fonction de leurs intérêts personnels. Nos politiques oublient trop souvent, en outre, que si la critique est nécessaire, elle ne peut être suffisante. Encore faut-il présenter une alternative, des propositions concrètes, un projet. Nous observons donc - et c'est un phénomène qui ne concerne pas uniquement le Gabon - une forte abstention, le développement d'une vraie lassitude, pour ne pas dire défiance, vis-à-vis du monde politique, au profit d'une société civile plus dynamique et concrète.

Quelles sont les conséquences de la crise européenne, et plus globalement du ralentissement de la croissance mondiale sur l'économie gabonaise ?

Ali Bongo : Jusqu'à présent, nous avons été relativement épargnés par la crise économique. Mais si celle-ci perdure... L'Europe n'est pas sortie d'affaire, la Chine ou les autres pays émergents achètent moins, notamment sur le plan minier ou pétrolier, l'investissement direct étranger fléchit. Raison de plus, même si ce contexte ne facilite pas les choses, pour accélérer nos réformes et diversifier notre économie mais aussi nos partenaires. Notamment en développant une coopération Sud-Sud, comme nous le faisons avec des pays d'Asie, mais aussi d'autres plus proches de nous, comme le Maroc.

Cette quête de nouveaux débouchés n'est-elle pas de nature à froisser vos partenaires historiques, en particulier la France, qui ne doit pas voir d'un très bon oeil l'arrivée de concurrents de poids ?

Ali Bongo : Aujourd'hui, nous vivons dans un monde où règne une compétition acharnée. Aucune situation n'est acquise. Nous avons certes un partenaire traditionnel, la France, avec lequel nous nous entendons très bien. Mais s'ouvrir à de nouveaux horizons ne signifie en rien abandonner ceux avec qui nous travaillons déjà depuis longtemps. La France elle-même diversifie ses partenaires en Afrique, au-delà de son ancien pré carré francophone.

En février dernier, le Gabon a été exclu de l'Initiative pour la transparence des industries extractives (Itie) pour non-respect du rythme de publication des rapports. Que s'est-il réellement passé ?

Ali Bongo : C'est le fruit du mauvais travail de quelques-uns de nos responsables. Il ne s'agit en aucun cas d'une volonté délibérée du Gabon de se soustraire à ses obligations. D'autant plus que c'est nous qui, à l'époque, sommes allés vers l'Itie, alors que rien ne nous y obligeait. Aujourd'hui, nous sommes en train de revoir ce dossier pour corriger ce qui doit l'être. Je ne vous cache pas que ce fut un épisode extrêmement désagréable, qui a donné une mauvaise perception du Gabon, comme si nous avions voulu déguiser ou camoufler quelque chose.

Selon vous, la crise malienne a-t-elle définitivement pris fin avec l'élection d'Ibrahim Boubacar Keïta, le 11 août ?

Ali Bongo : C'est en tout cas un pas extrêmement important, une grande victoire pour la démocratie, alors que beaucoup de sceptiques pensaient une élection au Mali impossible dans ces circonstances. Ce n'est que la première pierre d'un édifice qui sera long à reconstruire. Mais Ibrahim Boubacar Keïta, largement élu, légitime, soutenu par sa population et par la communauté internationale, a toutes les cartes en main pour réussir.

Ce qui est arrivé au Mali peut-il se reproduire ailleurs sur le continent ?

Ali Bongo : Malheureusement, oui. Il faut être vigilant. Les chefs d'État africains doivent se concerter davantage et se soutenir.

Lors de l'interview que vous nous avez accordée l'année dernière, à propos de l'arrivée au pouvoir des islamistes en Tunisie ou en Égypte, vous déclariez qu'il fallait leur laisser une chance et les juger une fois leur apprentissage achevé. Comment analysez-vous les crises égyptienne et tunisienne ?

Ali Bongo : Loin de moi l'idée de vouloir donner des leçons à qui que ce soit, d'autant qu'il s'agit de situations pour le moins complexes, qu'on a tendance à caricaturer. Et bien malin qui pourra prédire l'avenir des révolutions en Afrique du Nord. Je sais en revanche qu'un an, en politique, c'est court. Toutes ces années dans l'opposition, en prison ou en exil, ne prédisposent pas à diriger un État. L'important, dans les phases que traversent ces pays, c'est donc la concertation, le dialogue et l'union nationale, seuls viatiques pour régler des problèmes de fond, politiques mais surtout économiques et sociaux, avec efficacité et équité.

L'islam politique a-t-il encore un avenir ?

Ali Bongo : La religion ne devrait pas être utilisée en politique, elle doit être un élément consensuel et non pas un facteur de divisions. Et chacun devrait être libre de son rapport à la religion. Mais pour en revenir à votre question, je n'ai pas de boule de cristal. Je constate juste que les partis en question ont remporté les élections. Même s'ils ne jouissent plus du même soutien qu'à l'époque, et s'ils ont pu décevoir, je ne vois aucune raison qui les pousserait hors de la scène politique.

Dans cette même interview, vous disiez attendre des réformes de l'Union africaine. Vous évoquiez notamment le financement de l'institution et des ordres du jour kilométriques lors des sommets, qui ne permettaient pas de traiter les points importants sauf à les survoler... Un an après l'élection de Nkosazana Dlamini-Zuma à la tête de la Commission, les choses ont-elles évolué dans le sens que vous souhaitiez ?

Ali Bongo : Mme Zuma connaît notre point de vue. Elle a fait le tour de la boutique, comme on dit, et a écouté de nombreux chefs d'État, qui ont exprimé ce désir de changement. Je crois que nous sommes tous d'accord pour lui laisser une année de grâce.

L'arrivée au pouvoir de François Hollande, en mai 2012, a-t-elle modifié la relation entre la France et le Gabon ?

Ali Bongo : Les relations que nous entretenons avec la République française sont anciennes, solides, et ne dépendent pas des hommes. Chacun y amène son style, mais le plus important c'est qu'elles bénéficient à nos populations respectives. C'est dans cet esprit que François Hollande et moi travaillons.

Les relations personnelles permettent de se dire les choses plus franchement, parfois d'obtenir plus. Hollande n'est pas Sarkozy, dont vous étiez plus proche...

Ali Bongo : Une relation, cela se construit. Il faut prendre le temps de se connaître.

Vous vous connaissez mieux aujourd'hui ?

Ali Bongo : Bien sûr, et les choses se passent très bien.

Il y a quand même quelques nuages entre la France et le Gabon : vos opposants misent beaucoup sur Paris pour faire pression sur vous. Il y a aussi l'affaire dite des biens mal acquis...

Ali Bongo : Cela n'est pas du fait de François Hollande. Nos opposants ont toujours écrit aux présidents français, avec des fortunes diverses. Cela veut bien dire qu'il y a encore, malheureusement, des compatriotes qui n'ont pas compris que les choses ont changé. Aujourd'hui, les questions gabonaises se traitent au Gabon. Et ce sont les Gabonais qui mettent le bulletin dans l'urne.

Concernant l'affaire des biens mal acquis, où en est la procédure actuellement ?

Ali Bongo : C'est un sujet pour lequel j'ai déjà indiqué l'intérêt qu'il suscitait chez moi proche du néant. Nous avons tous autre chose à faire. Y compris ces pauvres juges, qui se mêlent de questions qui ne les regardent pas puisqu'elles concernent les Gabonais.

Vous avez pourtant changé d'avocats pour suivre ce dossier. Preuve que vous vous en préoccupez malgré tout...

Ali Bongo : Nous n'avons pas changé d'avocats, nous avons complété le dispositif de ceux qui gèrent la procédure. Je continue de dire que c'est une affaire qui, personnellement, ne me concerne pas. Sauf à inventer un nouveau délit, celui de patronyme...

Des crimes rituels particulièrement odieux se sont multipliés ces derniers mois, suscitant une vive inquiétude au sein de la population. Comment expliquez-vous ce phénomène et comment y mettre fin ?

Ali Bongo : Nous avons tous été choqués par l'atrocité des crimes commis. Cela a créé une psychose que nous pouvons aisément comprendre. Donc, nous mettons tous les moyens en oeuvre pour combattre la criminalité, toute la criminalité. Cela signifie plus de moyens d'investigation, y compris en ayant recours aux techniques modernes de la police scientifique, mais aussi au niveau de la justice. Il faut traduire puis juger les auteurs et mettre hors d'état de nuire les coupables. C'est simple à dire comme cela, mais cela n'a pas été suffisamment fait. Nos tribunaux sont engorgés, nos prisons surpeuplées, les délais entre arrestations et jugements trop longs. Nous sommes en train de remédier à tout cela, notamment en faisant appel à des experts internationaux. Attention cependant à l'instrumentalisation politique de ces crimes, qui frise l'inconscience.

Quatre ans après votre élection, qu'avez-vous appris sur l'exercice du pouvoir ?

Ali Bongo : Il faut s'armer de patience, ce qui n'est pas forcément ma qualité première [rires]... On apprend que les choses ne vont jamais aussi vite qu'on le souhaiterait. Pour le reste, on ne peut pas dire que j'ai fait de véritable découverte : j'étais à bonne école.

Êtes-vous toujours autant comparé à votre père ?

Ali Bongo : Ça ne s'arrêtera jamais...

Cela vous gêne ?

Ali Bongo : Non. Je ne serai jamais Omar Bongo Ondimba et je ne cherche pas à l'être. Je m'inspire de son oeuvre, de ce qu'il a fait. Mais autres temps, autres moeurs. Il faut aujourd'hui s'adapter et faire les choses différemment.

S'il vous observait de là où il est, que penserait-il ?

Ali Bongo : Il me dirait de travailler encore plus. Il a toujours estimé que je devais travailler beaucoup plus.

Vos relations avec votre soeur Pascaline sont l'objet de rumeurs depuis votre élection. Elles seraient froides, pour ne pas dire plus...

Ali Bongo : Comme vous dites, ce sont des rumeurs. On veut inventer une espèce de Dallas gabonais, cela doit faire vendre. Il n'y a rien de tout cela.

Votre directeur de cabinet, Maixent Accrombessi, est attaqué par vos opposants, notamment par André Mba Obame et d'ex-figures de l'ancien système. Comment le vivez-vous ?

Ali Bongo : La seule chose qui m'importe est qu'il fasse ce que j'attends de lui. Ceux qui lui crient dessus ne sont pas ses patrons.

La présidentielle de 2009 avait été marquée par un net repli identitaire. En résumé, les candidats fangs face à vous. Pensez-vous que la situation a évolué ?

Ali Bongo : Oui, nécessairement. D'abord parce qu'un certain nombre de mes compatriotes ne me connaissaient pas et avaient à l'époque des a priori sur moi. Lorsque vous êtes dans l'incertitude, généralement, vous vous repliez vers quelque chose que vous pensez connaître. Un parti, une religion, une ethnie. C'est ce que certains ont fait. Aujourd'hui, les choses se passeraient différemment.

Comment envisagez-vous la présidentielle de 2016, à laquelle personne ne doute que vous serez candidat ?

Ali Bongo : Je vais vous répondre ce que mon père aurait dit : la dernière chose à faire est de penser à la prochaine élection. Ma priorité c'est de faire mon travail et de remplir mes engagements, avant de penser à 2016.


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