29/11/2012

Ali Bongo Ondimba préside le premier forum d’investissement Royaume-Uni/Gabon à Londres.

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Londres, jeudi 29 novembre 2012 – Le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, accompagné d’une délégation ministérielle de haut-niveau a présidé le premier forum d’investissement Royaume-Uni / Gabon à Londres.

Devant un parterre de 500 investisseurs britanniques, le chef de l’Etat a présenté les opportunités économiques du pays à l’occasion de cette journée dédiée au renforcement de la coopération économique entre le Royaume-Uni et le Gabon.

Tout en soulignant les objectifs ambitieux que le Gabon s’est assigné dans le cadre de la politique de développement du Gabon Emergent, le chef de l’Etat a mis l’accent lors de son allocution sur la nécessité de diversifier l’économie gabonaise en engageant notamment des relations fortes avec de nouveaux partenaires issus du secteur privé.

« Notre stratégie est claire ; nous voulons travailler en partenariat avec des sociétés et des investisseurs qui recherchent des rendements durables à long terme. (…) Nous avons établi un programme ambitieux. Nous n'atteindrons pas nos objectifs sans le soutien actif du secteur privé. Nous sommes à la recherche de partenariats judicieux pour nous soutenir. Nous ne voulons pas de patronage. Nous voulons des partenaires. Nous ne voulons pas d'aide financière, nous voulons des investisseurs. Nous recherchons des sociétés pour nous aider à réaliser la valeur intégrale des actifs dont nous disposons ; pour des rendements à long terme, durant de nombreuses années à venir. »

Affichant son ambition d’attirer de nombreuses entreprises britanniques au Gabon, le Président de la République a rappelé que sa stratégie de développement était indissociable d’un secteur privé compétitif, soucieux de l’environnement et créateur d’emplois.

« La raison pour laquelle nous poursuivons une telle stratégie est simple : nous voulons plus d'emplois et une meilleure qualité de vie pour nos citoyens, aujourd'hui, demain et encore longtemps à l'avenir. C'est pourquoi nous n'accepterons pas les formes de développement qui compromettent notre environnement naturel. »

Durant la journée, les participants ont assisté à des sessions-débats pendant lesquels certains ministres gabonais présents ont pu faire la lumière sur les quatre thématiques suivantes :

Présentation générale des opportunités économiques du Gabon ;

Investissements dans les secteurs industriels, énergétiques et miniers gabonais ;

Développement infrastructurel et commerce extérieur du Gabon ;

Investissements dans les secteurs agricole, touristique et environnemental gabonais.


Le Ministre en charge de la promotion des investissements, Magloire Ngambia a indiqué lors d’une des sessions que le Gabon avait l’intention d’attirer des investisseurs non seulement dans les secteurs traditionnels de l’économie gabonaise (pétrolier, minier) mais également dans des secteurs porteurs et à forte valeur ajoutée tels que les nouvelles technologies, l’agriculture et le tourisme.

Il a par ailleurs mentionné que le Gabon avait engagé des réformes permettant de poser les fondations d’un climat économique propice aux affaires : « Mettre en place un cadre nécessaire pour permettre le développement des affaires ainsi qu’améliorer la transparence et la gouvernance, voici-là les priorités absolues de mon ministère. »

Le Gabon est riche en ressources naturelles et bénéficie d’un investissement étranger direct croissant. Le Gabon est l'un des pays les plus prospères en Afrique subsaharienne. Il se situe au troisième rang régional en termes de PIB par habitant, connaît un taux de croissance annuel de plus de 6 % depuis 2010, et un revenu par habitant juste en dessous de 9 000 USD.

Par ailleurs, l'activité économique devrait continuer à croître, soutenue par des exportations de matières premières et une reprise significative de la production nationale.

En guise de conclusion du forum, le chef de l’Etat gabonais a une nouvelle fois appelé de ses voeux au renforcement tangible des liens économiques entre les deux pays au bénéfice des investisseurs mais aussi des peuples britannique et gabonais.

« Nous devons travailler ensemble pour bâtir une économie solide, durable et dynamique qui profitera à toutes les parties : investisseurs, gouvernements et, naturellement, nos communautés. J'ai l'espoir et la conviction qu'à l'issue du forum d'aujourd'hui nous établirons de nouveaux rapports, plus solides, qui constitueront les bases d'une collaboration future fructueuse. J'espère sincèrement que ces discussions initiales serviront de catalyseur pour favoriser l'élaboration d'accords commerciaux tangibles et permettre la mise en place des partenariats. »


FIN

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Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/


La politique du Gabon Émergent


Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/


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28/11/2012

Visite à Londres du Chef de l'Etat Gabonais Ali Bongo Ondimba

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Mercredi 28 novembre 2012, Londres - Le Président de la République gabonaise, son Excellence Ali Bongo Ondimba est actuellement en visite à Londres pour renforcer les liens économiques entre le Gabon et le Royaume Uni.

Dans la matinée, le Chef de l’Etat s’est rendu à la Chambre des Lords, chambre haute du Parlement britannique et y a prononcé un discours fort devant les membres de la Royal Africa Society, première organisation britannique dédiée à la promotion de l’Afrique et du All Party Parliamentary Group Africa, groupe d’amitié parlementaire dédié à l’Afrique.

Lors de son allocution, le Chef de l’Etat a présenté les réformes et opportunités économiques du Gabon en mettant l’accent sur trois domaines prioritaires : la diversification de l’économie, le renforcement des institutions et le développement des infrastructures et du potentiel humain.

Il a ainsi réitéré sa volonté de mettre en place des institutions fortes et des procédures transparentes de bonne gouvernance afin de garantir un meilleur environnement des affaires au Gabon.

« Nous savons très bien que nous ne pourrons pas atteindre un niveau satisfaisant de développement économique, d'égalité sociale et de préservation de l'environnement sans des institutions fortes et respectées (…).

Nous avons réduit de moitié la taille du gouvernement et aligné chaque portefeuille ministériel avec nos priorités de développement national.

Nous allons introduire des contrats de performance qui s'appliqueront aussi à nos fonctionnaires ; et nous avons créé une Agence nationale des Travaux publics qui a pour tâche de guider la réalisation des grands projets d'infrastructures – et de veiller à leur maîtrise technique ainsi qu'à leur gestion financière responsable. »

Dans le domaine économique, le Chef de l’État a présenté les mesures prises pour le développement du pays, s’agissant notamment des infrastructures et insisté sur l’importance de produire de la valeur ajoutée dans tous les secteurs pour générer plus de revenus et d’emplois au Gabon.

Il a également mentionné la création de zones économiques spéciales pour diversifier les industries gabonaises et promouvoir les investissements étrangers dans le pays.

« Doter le Gabon d’infrastructures de qualité et d’une main-d’oeuvre qualifiée sont des priorités absolues pour mon gouvernement. Notre plan directeur d'infrastructure compte 21 grands projets pour un investissement total estimé à plus de 8 milliards de livres sterling sur 6 ans.

Ce sont les fondements dont nous avons besoin pour attirer des investissements à long terme et soutenir la croissance pour de nombreuses années (…).

L'an dernier, nous avons attiré 4 milliards de dollars d'investissements en provenance de l'Asie du sud et de l'Europe dans les secteurs industriels et des services (…). De nombreuses entreprises se sont nouvellement installées dans les Zones économiques spéciales que nous avons créées à cet effet. »

Ardent défenseur de l’environnement, le Chef de l’Etat a également mis en exergue que la politique du Gabon Émergent était indissociable d’une gestion cohérente et durable des richesses environnementales :

« En Afrique, plus que sur d'autres continents, il existe un lien direct entre la gouvernance environnementale et la paix et la stabilité (…). Pour cette raison, le Gabon a mis au point des politiques pour accompagner le développement durable et la gouvernance environnementale.

En 1993, à la suite du sommet de Rio, nous avons ainsi passé une loi sur l'environnement qui oblige tous les projets industriels à mener un bilan d'impact social et environnemental soumis à un examen public. »


Demain, le Chef de l’Etat présidera le premier forum d’investissement Gabon/Royaume-Uni destiné à renforcer les liens économiques entre les deux pays.

Ce dernier s’inscrit dans la volonté du Chef de l’Etat de développer des partenariats forts et durables avec les entreprises internationales qui apporteront leur savoir-faire au Gabon.

« Nous sommes à la recherche de partenaires pour nous aider à développer notre économie et soutenir les emplois et le bien-être du peuple gabonais. Nous recherchons des entreprises capables de valoriser nos richesses nationales et de développer notre économie au bénéfice des Gabonais et des investisseurs. »


FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/

 

Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

 

En guise de concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


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27/11/2012

Compétitivité énergétique : Le Gabon dans le top 5 des pays africains

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Mardi 27 novembre 2012, Libreville - Le Gabon se classe parmi les cinq premiers pays africains en matière de compétitivité énergétique, indique une étude de l’Institut Choiseul et du cabinet KPMG.

Première étude du genre, celle-ci a évalué la compétitivité et la performance des politiques publiques de 146 États dans le monde.

Le Gabon s’octroie la 5ème place africaine derrière l’Angola (1er) mais devant l’Afrique du Sud (7ème) dans le classement mondial de la compétitivité énergétique des Etats, selon les résultats de l’étude publiée lundi par l’Institut Choiseul et KPMG.

C’est l’unique étude indépendante dans le monde qui mesure et analyse la compétitivité et la performance des politiques énergétiques des Etats.

Elle a été établie à partir des données officielles issues des principales bases statistiques internationales (Banque mondiale, Agence internationale de l’énergie, OCDE, etc).


Grille de lecture

À chaque État correspond une note allant de 0 à 100, les notes les plus élevées correspondant aux Etats les plus performants sur le plan énergétique. Chaque note est composée de plus d’une douzaine de séries de données statistiques spécifiques regroupées en trois sous-indicateurs.

Ces derniers permettent, pour chacun des Etats examiné, de prendre en compte la qualité du mix énergétique, celle de l’accès à l’électricité et la comptabilité entre politique énergétique et impératifs environnementaux.

Le baromètre mondial de la compétitivité énergétique devrait être un outil d’aide à la décision sur les résultats des politiques énergétiques, affirment les auteurs du rapport.

S’agissant de la place du Gabon dans le peloton de tête en Afrique, elle résulte de l’ambitieuse politique énergétique mise en oeuvre par le Président Ali Bongo Ondimba et le gouvernement.


Augmenter la production énergétique

Pour soutenir l’ambition nationale d’industrialisation, le Chef de l’Etat gabonais s’est fixé l’ambition de porter la capacité de production énergétique du Gabon à plus de 1200 MW en 2020 contre 350 MW aujourd’hui.

Cet objectif sera atteint grâce à des investissements considérables dans la production gazière, dans la production hydroélectrique et par la promotion des énergies renouvelables.

Le but est de supprimer progressivement la production électrique produite à partir de l’énergie fossile et d’atteindre les objectifs fixés dans la politique du Gabon vert.

Afin de couvrir les besoins croissants du pays et d’assurer l’électrification de l’ensemble du territoire, le gouvernement envisage de d’ériger 6 nouveaux barrages dont trois sont déjà en construction :

Le barrage de l’Impératrice sur la rivière Ngounié, dans l’ouest du pays, produira 42 MW pour un coût de 133 Millions USD.

Il vise à approvisionner les mines de niobium de Mabounié, de manganèse de Ndjolé, les usines de transformation de bois de la province du Moyen-Ogooué et les villes de Mouila et Mandji dans la province de Ngounié. Il renforcera aussi l’approvisionnement de Libreville et de la Zone Économique Spéciale de Nkok.


Le barrage Fé 2 sur la rivière Okano, dans le nord du Gabon, aura une capacité de 36 MW pour un investissement de 105 millions USD. Sa production alimentera la province du Wolem-Ntem, Ndjolé et renforcera le réseau de Libreville.


Le barrage du Grand Poubara, dans le sud-est, est le plus important projet énergétique du Gabon. Il devrait produire à terme de 240 MW.


Fin


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Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

 

En guise de concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


 

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Gabon: Communiqué de presse fondation Sylvia Bongo

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La Fondation Sylvia Bongo Ondimba s’indigne de la divulgation d’informations mensongères dans l’hebdomadaire « Le Temps » du 21 Novembre, relayées depuis par d’autres médias et basées sur des faux en écriture.

 

Une enquête est en cours et nous apportons notre concours à cette enquête.

Dès que la lumière aura été faite sur les faits, ils seront publiés avec toute la transparence voulue, preuves à l’appui.

 

La FSBO se réserve le droit d’attaquer en justice ceux qui ont tenté de nuire à son image et de saboter les efforts qu’elle a entrepris depuis 2010 au profit des populations vulnérables du Gabon.

 

 

Pour plus d’informations sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille :

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

http://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/155356889540



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25/11/2012

Gabon: Cette honte qui tue les leaders du gang salafiste exUN

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Visiblement tétanisés par la mise en oeuvre effective de nombreux chantiers initiés par le président Ali Bongo Ondimba, les leaders de l’ex-Union nationale (UN) semblent éprouver un réel sentiment de honte et de gêne.

Ce d’autant plus qu’anciens membres du gouvernement chargés de réaliser, à l’époque, plusieurs de ces grands projets de développement, ils se sont largement avérés incapables de les traduire en actes concrets.

De plus étant, toujours à cette même époque et de surcroît, députés de leurs localités natales respectives et après avoir promis monts et merveilles à leurs électeurs, les actuels leaders de l’ex-UN ont désormais du mal à soutenir les regards de leurs concitoyens.

Dans tous les cas, ils sont nombreux dans les rangs de l’ex-UN à rougir de leur peu élogieux passé de hauts dignitaires de l’Etat, ministres de la République et parlementaires.

En commençant d’abord par les sieurs Jean Eyéghé Ndong et Casimir Oyé Mba qui, tout en étant à la fois Premier ministres, membres du gouvernement et élus du peuple.

Aussi, c’est l’occasion de se demander ce qu’ils ont pu faire au service du pays et particulièrement de leurs provinces et localités respectives.

Sur tout lorsqu’on sait que pour avoir occupé la primature et certains grands départements ministériels, ces deux personnages avaient les moyens de faire oeuvre utile pour l’Estuaire, Libreville ainsi que Ntoum et Nzamalighe.

Car, par leurs positions au sein du gouvernement, ils ont tout de même pris une part active à la gestion des différentes enveloppes destinées au financement des projets d’infrastructures retenus pour la commémoration des fêtes tournantes du « 17-août » dans l’Estuaire.

Or à ce qui semble, il aura fallu l’arrivée du président Ali Bongo Ondimba pour que la réhabilitation, la modernisation et consolidation des plusieurs infrastructures tant économiques que sociales se concrétisent effectivement.

D’où ces deux personnages ont de plus en plus de la peine à justifier devant les leurs comment Ali Bongo Ondimba, les actuels ministres concernés et l’Agence nationale des grands travaux ont pu réussir là où ils ont lamentablement échoué.

Ensuite, viennent les cas de MM. Zacharie Myboto et André Mba Obame qui, à l’époque, en tant que inamovibles ministres d’Etat, occupant des départements juteux et subsidiairement beaux-parents du défunt président Omar Bongo Ondimba, avaient logiquement les moyens de booster sensiblement les conditions d’un développement accéléré et durable du Gabon.

Sans oublier les bases d’une réelle modernisation et d’une véritable expansion de leurs communes respectives de Mounana, pour Myboto, et Medouneu en ce qui concerne Mba Obame.

Là aussi, c’est l’arrivée au pouvoir du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba qui redonne aujourd’hui espoir aux concitoyens de ces ex-barons de l’Etat devenus soudainement néoopposants.

A noter enfin que c’est surement conscient de tout le mal qu’ils ont du faire aux leurs dans le pays et au niveau de leurs contrées respectives que MM. Zacharie Myboto, André Mba Obame, Jean Eyéghé Ndong, Casimir Oyé Mba et autres ont dû même renoncer à se représenter aux élections lors des législatives de décembre 2011.

Cela, en prétextant boycotter le scrutin en question et ce, pour éviter une cuisante déculottée au terme de ces législatives où le PDG a d’ailleurs triomphé sur la quasi-totalité des sièges mis en jeu.

Mais comme au Gabon et pour certains, la honte ne tue point, ces néo-opposants peuvent oser craner lors des meetings d’une Union des forces du changement qu’ils viennent même de laminer de manière grotesque et barbare.


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Gabon: La Première Dame , Sylvia Bongo Ondimba lance au Cap , l’accès aux soins pour tous .

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« Vous aviez fait la promesse de revenir parmi nous, nous vous remercions », a lancé le Préfet du Cap Esterias, Monsieur Augustin Evie Obiang à la Première dame du Gabon.

Six mois après sa visite aux populations de cette commune où elle avait recueilli les témoignages des populations quant à leurs problèmes d’accès aux soins, la Première Dame du Gabon, Présidente d’honneur de la Croix Rouge gabonaise, est venue ce samedi saluer l’initiative de santé communautaire et de médecine itinérante qui démarre au Cap.

Elle a félicité l’ensemble des acteurs du projet et appelé tous les partenaires à maintenir leurs efforts. Des efforts qui participent à l’objectif global d’accès aux soins pour tous.

« C’est une réponse réaliste fondée sur une analyse spécifique des besoins de la zone », a expliqué le Docteur Obiang, administrateur de la Croix rouge gabonaise.

Des centaines d’habitants de la commune s’étaient réunis au stade du Cap pour le lancement du projet. Ils ont pu bénéficier des premières consultations menées dans le cadre de ce programme.

La Première Dame a visité les différents stands de soins à disposition des habitants. Médecine générale, pharmacie et consultations prénatales seront à disposition de la population dès mercredi.

Les soins spécialisés, qui feront l’objet de déplacements mensuels des services de santé militaire, étaient eux aussi présentés : gynécologie, pédiatrie, ophtalmologie etc.

« C’est rassurant de voir que nous allons être pris en charge ici même », a souligné une habitante du Cap.

La population s’est montrée très enthousiaste face à cette initiative et a immédiatement utilisé les zones de consultations.


Pour plus d’information sur le programme de santé communautaire et médecine itinérante de la Croix Rouge gabonaise, deux fiches d’information qui décrivent le projet : 

 

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clicquez sur chaque image pour l'agrandir


 

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22/11/2012

Gabon : Activisme sans faille du Chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba

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Le Président Ali Bongo Ondimba n'a de cesse de mettre tout en œuvre afin de permettre la concrétisation du Gabon Emergent. Ses différents déplacements à l'international ont pour finalité d'accroître le niveau d'investissements directs étrangers dans une optique gagnant-gagnant pour permettre le développement rapide du pays.

L'activisme sans faille du Chef de l'Etat pour multiplier les partenariats internationaux est plus que nécessaire.

En effet, dans un monde marqué non seulement par une situation internationale en profonde mutation, par des crises et la faillite d’institutions bancaires dans les économies les plus développées, les fondements qui sous-tendent les objectifs du Président paraîtraient voués à un échec certain, s’il se contentait, après avoir rédigé son programme d’action, de s’asseoir et attendre que les investisseurs affluent au chevet du Gabon.

A son idée, ces contingences existent certes, mais il ne veut pas se laisser distraire par eux, mais chercher au contraire à les dépasser et à maintenir le cap vers la concrétisation de ses objectifs.

Dans sa démarche, il apparaît clairement que les partenariats qu’il choisit de mettre en place, soit avec des Etats, soit avec d’autres partenaires au développement, sont les meilleurs leviers de la réussite du projet politique pour lequel il s’est engagé devant ses compatriotes.

Aussi, les questions économiques et de développement dominent dans ses entretiens à l’étranger.

On peut catégoriser entre ceux-ci ceux qui portent sur les relations bilatérales traditionnelles ; ceux qui concernent notre sous-région, et ceux qu’il initie dans le cadre bien précis de la mise en place de son programme politique.

Notre réflexion porte sur cette dernière catégorie, pour explorer la manière dont le Président s’engage dans le développement du Gabon.

Il est intéressant de noter dès le départ que le Président se tourne, par exemple, davantage vers les pays qui poursuivent ou sont en voie d’achever leur processus d’émergence économique. Turquie, Singapour, Corée du Sud, etc., présentent les gages d’un partenariat susceptible de comprendre plus facilement les désidératas du Gabon, pour les avoir déjà expérimentés dans le passé.

Le résultat de ces contacts consiste aujourd’hui en un riche portefeuille de contrats, dont une partie est déjà en cours de réalisation.

Ils résultent de la confiance que notre pays inspire désormais à l’étranger, qui repose sur des critères concrets, comme par exemples, la référence à la stabilité des institutions de la République gabonaise, ses ressources économiques, sociales et culturelles.

Pour le Gabon et son Président, tout ceci est propice et conforme à la situation actuelle du Gabon.

En effet, depuis trois ans, les autorités gabonaises, sous la férule du Chef de l’Etat, ont entrepris des efforts considérables pour rendre notre économie compétitive.

En découlent des perspectives encourageantes en faveur de la poursuite des partenariats avec des investisseurs extérieurs dont les opérations au Gabon sont bien connues.

Inaugurée depuis un plus d’un an, la Zone Economique spéciale (ZES) de Nkok a été érigée, à 27 km de Libreville, dans le cadre d’un partenariat avec la multinationale Olam, une entreprise singapourienne spécialisée dans la logistique.

Au Gabon, elle est impliquée dans la réalisation de divers projets, dont les plus en vue sont répertoriés dans le secteur des cultures de rente : palmiers à huile, hévéaculture… Elle se propose, dans un autre partenariat, de se trouver encore aux côtés de l’Etat, pour la création d’une seconde ZES dans la région de Port-Gentil.

La mise en place de tels sites doit, à terme, contribuer à générer une forte croissance économique, grâce à la mise en place d’un potentiel industriel national.

C’est dans le même contexte qu’il faut également noter la mise en place d’un partenariat avec la Corée du Sud, à travers le projet de construction d’une raffinerie de pétrole dans la ZES de Port-Gentil.

Cette grande structure industrielle devrait être achevée dans trois ans. Elle permettra au Gabon de renforcer sa position sur le marché sous régional des hydrocarbures et, au-delà, sur les marchés européens. Ce projet, selon les estimations officielles, coûterait quelque sept cent milliards de francs CFA.

Les banques, aussi, se montrent désireuses d’accompagner la politique de l’émergence. Chacun connaît leur frilosité dès qu’il s’agit de solliciter leur contribution dans un projet.

Leur attrait pour les programmes de réalisations économiques et sociales de l’émergence, tient au sérieux qui les entoure. La Banque Africaine de Développement (BAD) par exemple, fournit actuellement 90% du financement du programme routier en cours.

Ce programme, qui est le premier bénéficiaire d’une contribution répartie en deux lots, est en voie d’achèvement dans le sud et le sud-est du Gabon.

L’institution bancaire africaine, au regard de la bonne marche de cette première tranche, s’est résolue récemment à accorder la seconde dotation, destinée au financement de la deuxième phase dont le lancement est fixé dès le début de l’année prochaine.

Peut-être faut-il rappeler, dans ce contexte, qu’un autre consortium de banques africaines, dont BGFI et la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BDEAC), appuie les investissements de la multinationale singapourienne dans la mise en place de sa plantation d’hévéa dans le Woleu-Ntem.

D’autres partenariats sont en cours d’initialisation. On se rappellera, à ce sujet, de la visite du Président Ali Bongo Ondimba à Sydney, en Australie, et des rencontres qu’il eut avec le groupe BHP Billiton.

Des représentants de cette grosse entreprise spécialisée dans les industries extractives, ont déjà effectué des séjours à Libreville et à Port-Gentil. Au terme de ces séjours en terre gabonaise, le représentant du groupe BHP Billiton avait affirmé l’intérêt de son groupe d’investir au Gabon, dans les secteurs du fer et des hydrocarbures. Tout le monde a suivi son regard.

Plus tôt, à Ankara où il se trouvait en visite officielle en juillet dernier, le Président Ali Bongo déclarait aux hommes d’affaires turcs qu’il voulait les associer à son œuvre de développement du Gabon.

« Les Gabonais veulent percevoir des débuts d’exécution, des réalisations et des résultats de notre coopération qui traduisent nos accords diplomatiques en projets économiques significatifs. Etant donné ma ferme volonté, traduite en actions, de diversifier la coopération au mieux des intérêts du Gabon et notre stratégie d’attraction d’investisseurs de pays émergents, notamment du Sud Est Asiatique, vous comprendrez que je ne puisse laisser la Turquie, ses opérateurs économiques, ses investisseurs en marge de ce processus fondamental », avait alors déclaré le Président Ali Bongo Ondimba devant un parterre d’hommes d’affaires, avant de signer de nouveaux protocoles d’accords.

Ceux-ci complétaient les autres accords paraphés, seize mois plus tôt lors de la visite, à Libreville, de son homologue turc, M. Abdullah Gül. Toutes ces conventions autorisent les deux pays à engager leur coopération dans les domaines du transport aérien, du logement, de la diplomatie, etc.

De même, lors d’un séjour à Cuba en septembre dernier, le Chef de l’Etat a eu des rencontres avec des officiels, visité des unités de fabrication pharmaceutique et conclu de nouveaux accords de coopération dont l’objectif vise à rendre plus dynamiques les relations existantes.

Comme on peut le voir, le Président de la République veut coller à son programme politique sans s’accorder un temps de répit afin de lui assurer le succès que les Gabonais en espèrent. A travers ses multiples contacts, plusieurs messages sont lisibles et expliquent son engagement.

Tout d’abord il transparait, dans cette orientation vers les pays émergents, une ferme volonté d’établir des liens solides avec des interlocuteurs d’un genre nouveau, capables de le comprendre et auprès desquels lui-même est en mesure de puiser l’expérience nécessaire à la réussite de son projet.

Ainsi, le Président fait la preuve qu’il a à cœur de créer et de développer un nouveau type de partenariat d’égal à égal, « gagnant-gagnant » comme il aime à le dire, et qui satisfasse les intérêts de chacun.

Ce qu’il est en droit d’espérer aujourd’hui et tous les Gabonais avec lui, est assurément la mise en place de partenariats d’égal à égal, où chaque partenaire voit d’un regard positif l’intérêt de l’autre, respecte et soutient le modèle de développement que le Gabon aura librement choisi dans l’intérêt supérieur de ses populations.

Ce type de partenariat qui conviendrait au Président, apparaît comme la voie adaptée aux réalités gabonaises.


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21/11/2012

Gabon: Prix d’excellence pour le Gabon sur la réduction des gaz torchés

 

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Le Gabon a obtenu le « Prix d’excellence 2012 » pour ses efforts en matière de réduction des gaz torchés, dans le cadre du Forum GGFR (Global Gas Flaring Reduction) organisé à Londres par la Banque mondiale.

Créé en 2002 au Sommet mondial sur le développement durable (Johannesbourg), le GGFR soutient les efforts des sociétés et pays producteurs de pétrole pour une meilleure utilisation des gaz associés et la réduction des gaz torchés, principal gaz à effet de serre.

Le torchage consiste à brûler par torchères des rejets de gaz naturel au cours de l’exploitation du pétrole.

Membre du GGFR depuis 2007, le Gabon a considérablement réduit le volume de gaz torchés, passant entre 2009 et 2011 de 181 à 165 pieds-cube par jour.

L’objectif du gouvernement est d’atteindre une réduction de 60% d’ici 2015.

Au Gabon, deux arrêtés ministériels pris en 2009 et 2010 interdisent le torchage et précisent les pénalités en cas de non-respect de la mesure.

La volonté des pouvoirs publics est extrêmement claire, dans l’objectif de revaloriser les émissions pour la production d’électricité, la pétrochimie et la liquéfaction aux fins d’exportation.

Destiné à célébrer une décennie de coopération entre secteurs public et privé sous l’égide de la Banque mondiale, le Forum - accueilli par la BERD à Londres - a permis au Gabon de mieux faire connaître son approche énergétique innovante et le dispositif de contrôle mis en place par le ministère du Pétrole, de l’énergie et des ressources hydrauliques.


FIN


Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacterwww.cocom.rggov.org


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17/11/2012

Gabon: La République par l'exclusion

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Cela n’aura échappé à personne : à mesure que le pays progresse, lentement mais sûrement, sur le chemin de l’émergence, des comportements ataviques sont cultivés par des soi-disant compatriotes dont certains, au plus fort de la CAN Orange 2012 organisée conjointement par le Gabon et la Guinée équatoriale, avaient publiquement indiqué que leur coeur battait pour Malabo.

Preuve, s’il en était besoin, que pour ces compatriotes-là, le Gabon ne peut passer qu’après le pays de leur coeur.

Cela se passe ici, dans un pays où le Premier ministre en fonction est obligé d’aller parler à « ses » parents du Septentrion pour essayer de contenir les relents d’anarchie qui y prolifèrent depuis qu’une délégation de salafistes et autres sécessionnistes vient d’y séjourner pour appeler les populations, le moment venu, de « descendre massivement dans la rue pour exiger le départ d’Ali Bongo Ondimba du pouvoir ».

Disons- le tout net, les yeux dans les yeux : au lendemain de l’élection présidentielle anticipée du 30 août 2009 qui avait vu Ali Bongo Ondimba succéder, de façon démocratique, à feu Omar Bongo Ondimba, une frange de gabonais, au motif que le pays est en démocratie, opte pour le désordre et le chaos.

Le chaos, la violence, le tribalisme, la xénophobie, le rejet de l’Autre et l’exclusion. Tels sont désormais les thèmes qui constituent le bréviaire politique des leaders de l’opposition qui, dans ce combat perdu d’avance, s’assoient sur les fondements de notre vivre ensemble pour espérer faire avancer leur cause d’accaparement du pouvoir. Par tous les moyens.

C’est cette attitude, empreinte de bellicisme et de barbarie, qui a sous-tendu l’hasardeux guet-apens tendu le 31 octobre dernier à me Louis Gaston Mayila, au siège du Congrès pour la… démocratie et la justice où, fort heureusement, le président de l’UPNR a échappé à ce que d’aucuns qualifient d’attentat politique prémédité (sic).

Un attentat qui, s’il avait réussi, aurait pu faire basculer le pays dans le chaos tant recherché par les saigneurs de l’opposition qui se recrutent principalement parmi les militants salafistes de l’ex-Union nationale.


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14/11/2012

Gabon-ANGT : un bilan éloquent en 2 ans

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Libreville - 14 Novembre 2012 . La 5ème séance du Conseil d’Orientation de l’ANGT tenue ce 13 novembre 2012 sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence Ali Bongo Ondimba et permet de mettre en lumière les réalisations remarquables de cet instrument d’impulsion, de gouvernance et de mise en œuvre des projets, travaux et chantiers prioritaires du Gabon Emergent.

 

Du point de vue de la gouvernance, de la méthodologie de conduite des projets à leur fin et de garantie de qualité avec des coûts maitrisés et une totale transparence, l’ANGT a contribué à la rationalisation et au renforcement du secteur des BTP au Gabon, notamment des 149 PME qu’elle utilise.

 

Ces acquis structurants portent également sur :

 

-          la standardisation dans les communications avec les entrepreneurs ;

-          la mise en place du nouveau contrat incorporant les dispositions essentielles du Nouveau Code des Marchés Publics ;

-          la synergie avec la Direction Générale des Marchés Publics et l`intégration de - clauses contractuelles ;

-          la politique de minimisation des risques avec des garanties bancaires, des retenues et pénalités de retard, l’analyse des quantités et le paiement équivalent ;

-          la généralisation des procès-verbaux de réception des travaux et leur transfert aux bénéficiaires et utilisateurs ;

-          la participation et le soutien aux Réformes Nationales (Partenariat Public Privé) ;

-          la mise en œuvre  de Normes Gabonaises alignées et adaptées aux normes de qualité et de sécurité internationales ;

-          la généralisation  des études préalables et du contrôle sur site avec des bureaux de contrôle et des laboratoires agréés  des divers chantiers ;

-          le respect des normes et techniques environnementales ;

-          le respect des délais ;

-          la garantie décennale ;

-          les programmes de formation en alternance ;

 

Sur cette base, l’ANGT qui assure la maitrise d’ouvrage déléguée pour les Ministères a engrangé des résultats visibles dans les 8 domaines clés du développement national en sus de la prouesse d’une CAN dont le succès et les effets induits multisectoriels ont levé tout scepticisme.

 

En vue d’améliorer la  qualité et le niveau de vie des Gabonais, les efforts de l’ANGT ont porté sur 3 domaines majeurs ;

 

-          Habitat et logement : Les efforts préalables de l’Etat ont porté sur la révision globale du secteur avec une nouvelle législation et une règlementation foncière appropriée d’une part et d’autre part l’instauration d’un engagement contractuel avec le respect des normes de  construction, la prévention contre les malfaçons, l’amélioration de la qualité des logements et des infrastructures, la viabilisation des parcelles, le tout dans un nouveau schéma d’urbanisation intégré et moderne avec toutes les commodités requises (SMART code). Le site test d’Angondje prend forme avec la conception de 9 parcelles d’un total de 181 hectares pour 5179 logements de divers types, d’espaces verts et de bâtiments publics. Les retards constatés tiennent aux lenteurs observées pour les déguerpissements et au souci des pouvoirs publics de respecter les procédures judiciaires.

 

-          Education : de nouvelles constructions, des rénovations et des infrastructures pour amener le système éducatif aux standards internationaux permettent d’offrir la meilleure qualité d’enseignement possible.  L’ANGT, en collaboration avec le Ministère de l’Education, a réussi une augmentation de capacité de 11 750 places et rénové plus 790 classes entre Août 2011 et Octobre 2012 pour un investissement total de 13.2 Milliards FCFA. Au niveau de l’Université Omar Bongo, les travaux démarrés en Septembre 2011 pour prendre fin en Mars 2013 comprennent la construction de 20 salles de classes,  d’une capacité de 100 places chacune soit 2000 places, 60 bureaux pour les professeurs et les administratifs, 1 amphithéâtre de 1 325 places , quatre-vingt-seize (96) salles d’aisance (toilettes), l’installation d’un suppresseur et d’un groupe électrogène de 150 KVA, la réhabilitation de 42 bâtiments pour un budget global de 6,2 milliards FCFA.

 

-          S’y ajoutent les travaux dans divers lycées et établissements : Construction de salles de classes d’une capacité moyenne de 50 places chacune, de salles d’aisance (toilettes), installation de suppresseurs et de groupes électrogènes, réhabilitation de 17 lycées dans les 9 provinces, logements d’étudiants et professeurs, révision des aires de jeux, des cours de récréation pour un montant de 6,9 milliards FCFA

 

 

Soucieux d’améliorer et d’ouvrir de nouvelles voies nationales comme autant de corridors du développement et des débouchés vers l’international, l’ANGT a réalisé de nombreux chantiers et en continue un bon nombre :

 

-          Routes : Ntoum-Nsile/ Ntoum-Kango / PK5 PK12/ Glass/ Gamba / Loubomo-Mougagara/ Finition dans les normes des 3 échangeurs de Libreville.

 

Dans ses actions d’accompagnement du développement économique les secteurs suivants ont été ciblés :

 

-          Eau & Environnement : Les projets touchent à l’eau potable, aux eaux usées  au drainage et aux déchets. L’objectif est d’aligner les installations pour l’eau et les sanitaires avec le Master Plan le long des corridors, dans les chefs lieux de provinces et à Libreville dans le cadre du plan de développement urbain.

 

-          En 2013 de nombreuses autres réalisations seront réceptionnées dans les mêmes secteurs mais aussi dans la santé, dans les projets transversaux comme celui de Lambaréné, dans les diverses infrastructures mais aussi dans le rail et le transport en commun.

 

 

 

Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

·le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

·le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

·le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

 

En guise de concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


A PROPOS DE L`ANGT

Instituée par l’Ordonnance 004/PR/2010 du 15 Février 2010, l’Agence sera au cœur de la programmation, de l’identification et de la maitrise d’ouvrage des grands projets et travaux publics classés prioritaires par le Chef de l’Etat.

 

L’objectif est d’amorcer une nouvelle phase à divers niveaux pour accélérer le processus d’aménagement global du territoire, de conception, suivi et exécution.

 

Le Gabon s’est attaché récemment le partenariat et l’expertise de Bechtel avec la signature  d’un important accord d’assistance le 2 septembre 2010.

Bechtel est en effet la première entreprise américaine de travaux publics. Fondée  depuis 112 ans, elle emploie plus de 40 000 personnes dans près de cinquante pays et s’est distinguée dans la construction de plusieurs autres grandes réalisations comme le tunnel sous la Manche, la ville de Jubail  ou le Kingdom Center en Arabie saoudite, l'aéroport international de Hong Kong ou encore la reconstruction de l'infrastructure civile de l'Irak financée par l'agence des États-Unis pour le développement international (USAID).

Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org

 

 

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13/11/2012

Gabon: Des stars du football visitent l’Ecole Nationale pour Enfants Déficients Auditifs avec la Première Dame

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Le mardi 13 novembre 2012, la Première Dame Sylvia Bongo Ondimba a visité l’Ecole Nationale pour Enfants Déficients Auditifs (ENEDA) en compagnie de Képler Laveran LIMA FERREIRA « Pépé », Bruno Alves,  Silvestre Varela et du joueur de la sélection des panthères du Gabon, Daniel COUSIN.

Créée en 1983 et sous la tutelle du Ministère des Affaires Sociales depuis 1987, l’ENEDA est le seul établissement spécialisé dans la prise en charge des handicapés auditifs au Gabon. Il accueille 157 enfants âgés de 3 à 21 ans et encadrés par 73 agents. «L’école s’arrête en classe de CM2. Si les parents ont assez de moyens, ils envoient leurs enfants en France pour continuer leurs études, mais pour les autres il ne se passe rien » a indiqué Madame Danielle NGABASSAGA, responsable de la pédagogie.

 

L’accueil chaleureux réservé aux hôtes par le Directeur de l’école et les élèves s’est suivi de la visite des salles de classe et de la salle d’informatique. « Les enfants sourds et muets ont exactement les mêmes capacités que les autres, le seul souci c’est la communication, l’échange. Nous utilisons ici la langue des signes. Grâce à l’informatique, les échanges sont facilités » a souligné Monsieur Hervé OSSOU, moniteur informatique.

 

Cette visite s’est conclue par une séance d’échanges riche en émotions entre les stars du football et les élèves dans la cour de récréation de l’établissement. Les jeunes talents du football de l’ENEDA se sont mesurés à leurs idoles lors d’un concours de jonglage durant lequel les stars se sont montrées très émues face aux prestations de ces enfants.

 

La République Gabonaise a ratifié la Convention relative aux Droits des personnes vivant avec un handicap. Cette convention, dans son article 24, demande aux pays membres de mettre en place les dispositions nécessaires à l’accès à l’éducation pour ces personnes. Pourtant, au Gabon il n’existe qu’un seul établissement dédié aux personnes handicapées auditifs et cela tend à limiter leur intégration sociale et professionnelle. Cette école n’enseigne que jusqu’à la classe de CM2. En effet, les bâtiments du collège de l’ENEDA sont aujourd’hui dans un état vétuste et occupés par des individus.

 

L’action de l’ENEDA permet de changer les mentalités, de modifier la perception que la société porte encore sur le handicap et de favoriser un changement de comportement vis-à-vis des handicapés. « Ce que nous voulons pour ces enfants c’est le même droit à l’avenir que les autres » a affirmé Jacques Basile MAKOSSO, Directeur de l’ENEDA.

 

 

Des informations supplémentaires sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba sont disponibles aux liens suivants : 

www.fondationsylviabongoondimba.org

www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/155356889540

Contacts Communication :

presse@fondationsbo.org

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Gabon: 5ème Conseil d`Orientation de l`Agence Nationale des Grands Travaux (ANGT)

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Libreville - 13 Novembre 2012 . La 5eme séance du Conseil d`Orientation de l`ANGT s`est tenue ce 13 novembre 2012 sous la présidence du Chef de l`Etat, Ali Bongo Ondimba en présence du Premier Ministre Raymond Ndong Sima et de plusieurs Ministres, de Membres du Cabinet Présidentiel  et des Directeurs généraux des départements budgétaires et financiers.

 

Le Président Ali Bongo Ondimba a exprimé sa satisfaction pour le travail abattu en deux ans depuis la création de cet outil indispensable à la mise en œuvre du Gabon Emergent et félicité le Directeur General Henri OHAYON et toute son équipe.

 

La Réunion de bilan et d`orientation a été également l`occasion de mesurer l`impact et la méthodologie structurante bâtie par l`ANGT, maitre d`ouvrage délégué pour les grands travaux par leurs montants et leur complicité pour tous les ministères concernés.

 

Le Conseil a permis a travers le rapport détaillé qui lui a été présenté d`apprécier l`importance de cet outil pour pouvoir mener à bien les chantiers au meilleur coût et selon les règles de l`art avec une prise en compte dès le départ de toutes les dimensions transversales

 

A ce titre l`ANGT a aidé à la réalisation d`une série d`études nécessaires à bâtir les cahiers des charges et à lancer les études, contribuant par une telle démarche et de tels investissements a la baisse des coûts.

 

L`expérience accumulée en deux ans a démontré la nécessite d`une plus grande Mobilité administrative avec possibilité d`un va et vient entre l`ANGT et les Administrations pour davantage de fluidité, de cohérence, d`efficacité et de résultats avec un ensemble de projets majeurs dans des secteurs clés de développement :

 

-          logement et habitat,

-          santé,

-          éducation : 11750 places de plus, nouvelles constructions, rénovation

-          routes

-          eau et assainissement

 

Apres l`énorme défi  tenu de l`organisation de la CAN avec ses effets induits sur plusieurs secteurs, 2012 aura été une année tremplin avec un accent sur la démarche qualité et la sécurité. L`instauration d`une boite à outils se généralise et les procédures (contractualisation, bons de commande,  suivi, contrôle et réception des travaux) s`adaptent et s`enrichissent du constat et du diagnostic à partir des réalités du terrain.

 

Les bureaux de contrôle et laboratoires agréés jouent leur rôle plus et mieux avec une présence permanente sur les sites des projets.

 

Au niveau de l`impact des petits projets, conformément a la vision du Chef de l`Etat de promotion de l`entreprenariat,  les PME locales sont favorisées. Aujourd`hui 149 d`entre elles sont utilisées par l`ANGT, grandissent, poussent et s`améliorent fortement avec plus de 6000 ouvriers en œuvre sur les chantiers.

 

Le Conseil a noté la nécessité d`accélérer le processus de paiement  tout en respectant les procédures en vigueur avec le support déjà réel et la synergie de la Direction Générale du Budget, de la Direction Générale des Marchés Publics et de la Trésorerie Payeur General.

 

Le Conseil a fait le point sur les divers projets sectoriels et sur les projets transversaux comme le Champ triomphal (Port Mole), tous prioritaires car de grande utilité publique.

 

Au moment où Mr Jim DUTTON prend le relais d`Henri OHAYON, les perspectives sont rassurantes et encourageantes car l`ANGT devrait atteindre sa vitesse de croisière en 2013 notamment en matière de logements, des routes et de nouvelles sources de croissance.

 

La finalité restera, comme le Président Ali Bongo Ondimba l`a rappelé fort opportunément l`efficacité au delà des intérêts particuliers, avec davantage de coopération et de partenariat, de croissance et de création d`emplois.

 

Le Premier Ministre Raymond Ndong Sima a exprimé son engagement et sa grande disponibilité à travailler avec l`ANGT et ses dirigeants en plus grande synergie pour un travail dans l`intérêt collectif. Cela passera par des réunions formelles et régulières pour capitaliser sur les résultats et les amplifier.

 

 

Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

·le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

·le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

·le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

A PROPOS DE L`ANGT

Instituée par l’Ordonnance 004/PR/2010 du 15 Février 2010, l’Agence sera au cœur de la programmation, de l’identification et de la maitrise d’ouvrage des grands projets et travaux publics classés prioritaires par le Chef de l’Etat.

 

L`objectif est d`amorcer une nouvelle phase s’amorce à divers niveaux pour accélérer le processus d’aménagement global du territoire, de conception, suivi, exécution et

 

Le Gabon s’est attaché récemment le partenariat et l’expertise de Bechtel avec La signature  d’un important accord d’assistance le 2 septembre 2010.

Bechtel est en effet la première entreprise américaine de travaux publics. Fondée  depuis 112 ans, elle emploie plus de 40 000 personnes dans près de cinquante pays et s’est distinguée dans la construction de plusieurs autres grandes réalisations comme le tunnel sous la Manche, la ville de Jubail  ou le Kingdom Center en Arabie saoudite, l'aéroport international de Hong Kong ou encore la reconstruction de l'infrastructure civile de l'Irak financée par l'agence des États-Unis pour le développement international (USAID).

Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


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05/11/2012

Gabon: Les chantiers de l’émergence ont tués l'opposition

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Depuis quelque temps, pour masquer leur honte de n’avoir pas pu faire oeuvre utile au profit du développement du pays et face aux efforts que ne cesse de déployer le président Ali Bongo Ondimba pour réaliser les grands projets destinés à moderniser et à aménager harmonieusement le territoire national, les leaders de l’opposition font plutôt grise mine.

Cela, en marmonnant que ces projets ont été programmés par lesdits opposants lors qu’ils étaient au gouvernement ou à de hauts postes de responsabilité publique.

Une hérésie lorsqu’on se souviendra toujours que ces leaders mentent grossièrement et tentent de tromper le peuple gabonais qui n’est nullement dupe.

Car comme l’affirment certains observateurs de la scène politique nationale, « non seulement certains de ces grands chantiers en cours ont été conçus et projeté, à l’époque, par feu le président Omar Bongo Ondimba, mais en plus ce sont ces actuels leaders de l’opposition qui se sont avérés incapables de les réaliser. »

A cet égard ce ne sont pas des gens de l’acabit de MM. Zacharie Myboto, André Mba Obame, Jean Eyéghé Ndong, Casimir Oyé Mba, Pierre Claver Maganga Moussavou, Jules Aristide Bourdès Ogouliguendé et bien d’autres de leurs compères de l’Union des forces du changement (UFC) qui nous démentiront.

Du fait que, pour la plupart d’entre eux, ils ont été aux avant-postes des départements ministériels juteux tels que les Travaux publics, l’intérieur, la Planification, la Fonction publique ou l’Education nationale.

Et cela, pendant que MM. Oyé Mba et Eyéghé Ndong étaient même arrivés jusqu’au rang de Premier ministre du défunt président Omar Bongo Ondimba et chef du gouvernement.

Aussi, en ces temps où ils étaient si puissamment installés aux commandes des affaires de l’Etat, c’est à se demander « pourquoi n’ont-ils pas pu mettre en oeuvre et mener à terme la réalisation des actuels chantiers repris efficacement par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. »

De plus, étant, à l’époque et pour la plupart. Tout-puissants ministres d’Etat pour les uns, Premiers ministres pour d’autres et même beaux-parents du défunt président pour certains, l’opinion ne cesse de se poser des questions sur « ce que ces supposés néo-leaders de l’opposition et ex-hiérarques de l’Etat ont pu faire des fonds publics dégagés jadis pour la réalisation de toutes les infrastructures sanitaires, scolaires, sportives, routières, aéroportuaires, portuaires, ferroviaires, énergétiques, hydrauliques, de communication et des télécommunications programmées pour la modernisation du pays. »

Sans oublier que, dans ce faux débat que veulent entretenir ces néo-opposants, l’on comprend mal pourquoi ceux-ci n’édifient pas les citoyens gabonais sur la destination prise par les différents fonds qu’allouait annuellement l’Etat pour la réalisation des diverses infrastructures de développement inscrites dans le cadre de la célébration des « fêtes tournantes de l’Indépendance ».

Lesquelles infrastructures devaient, selon feu le président Omar Bongo Ondimba l’initiateur de ces fêtes tournantes du « 17 août », « promouvoir les meilleures conditions d’embellissement et de modernisation de tous les centres urbains du pays ainsi que d’aménagement harmonieux global de l’ensemble du territoire national. »

Le tout assorti de la consolidation des bases d’un développement intégral, équilibré et durable de la totalité des provinces, départements et communes que compte le Gabon.

Aussi, c’est donc toute honte bue que les néo-opposants Myboto, Mba Obame, Eyéghé Ndong, Oyé Mba, Bourdès Ogouliguendé, Maganga Moussavou et consorts assistent à la reprise effective desdits projets par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Lequel les met efficacement en oeuvre, fait avancer les travaux sur les chantiers et les réalise au fil des temps.

L’actuel président de la République parvenant ainsi à réussir brillamment là où les Myboto et autres ex-hiérarques de l’Etat avaient visiblement et lamentablement échoué. Alors, que ceux-ci sont sans vouloir tricher avec la vérité des faits que le peuple gabonais connaît très bien.

En tout état de cause, leurs grossiers mensonges et vaines tentatives de s’approprier de manière éhontée une supposée paternité des anciens projets, initiés par feu Omar Bongo Ondimba et réalisés actuellement par l'actuel présiden t Ali Bongo Ondimba ne les épargneront nullement du mépris des Gabonais.

De même qu’avec l’issue que prendront la fin et la publication des résultats des différents audits commis sur la gestion antérieure des grands chantiers du Gabon, les sieurs Myboto, Eyéghé Ndong, Mba Obame, Oyé Mba et bien d’autres qui étaient aux affaires, ne manqueront pas de répondre de leurs actes peu élogieux et posés à l’époque.

Toujours est-il qu’ils ne perdent rien pour attendre le moment où les conclusions de tous ces audits vont mettre à découvert tous ceux et celles qui, de près ou de loin se sont rendus coupables de malversation dans la gestion ancienne des avoirs financiers, des biens matériels, du patrimoine immobilier ou des projets de l’Etat.


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Gabon: Insalubrité urbaine , rompre avec le laxisme d’antan

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Actuellement et plus que par le passé, plusieurs grands centres urbains de notre pays croulent sous le poids de l’insalubrité et ce, particulièrement Libreville la capitale gabonaise.

Principal responsable de cette triste situation et selon plusieurs observateurs: « le patent laxisme dont font preuve certaines administrations publiques face à l’incivisme des citadins et aux défaillances des prestataires de services commis à la tâche de collecter, traiter et valoriser les ordures.»

Et à l’évidence, il aura fallu la récente descente sur le terrain effectuée inopinément par le président Ali Bongo Ondimba, à travers certaines rues de Libreville et au marché Mont-Bouet, pour que des dispositions soient prises en vue de faire changer les choses.

Au demeurant, c’est à faveur d’une interpellation du ministre délégué à l’Intérieur, M. Aimé Popa Nzoutsi Mouyama, à l’Assemblée nationale, que l’on a appris que, « sur instruction du président de la République, le gouvernement va mettre en oeuvre un plan d’urgence destiné à débarrasser Libreville de ses tas d’immondices enlaidissant la capitale nationale. »

Un plan d’urgence dit de 3ème génération, financé par l’Etat et mettant à contribution plusieurs opérateurs économiques, Organisations non gouvernementales ainsi que les forces de défense et de sécurité.

Ce dans la mesure où, pour certains, « la mairie de Libreville et la Société de valorisation des ordures ménagères du Gabon (SOVOG) ont largement étalé leurs limites dans la jugulation de l’insalubrité et l’embellissement d’une ville qui ne fait que s’étendre davantage. »

Aussi, un tel plan d’urgence ne peut prospérer durablement que si les différents acteurs impliqués réussissent à rompre réellement avec les attitudes laxistes d’antan.

Lesquelles se traduisaient par le fait que les autorités municipales n’arrivaient pas à rappeler à l’ordre ou à sanctionner tous ceux qui enlaidissent la ville.

Notamment, les populations qui jettent leurs ordures ménagères hors des bacs et ne nettoient pas les abords de leurs habitations. Idem des commerçants et marchandes qui vendent sur les trottoirs et n’entretiennent pas ceux-ci.

Tout comme les garagistes, menuisiers, frigoristes et autres artisans déversant leurs ordures solides sur les bascôtés des voies publiques ou dans les caniveaux et canaux d’évacuation des eaux.

Autre acteur important dans la mise en oeuvre de ce plan d’urgence: l’Etat gabonais qui doit revoir de fond en comble l’ancienne convention signée avec la SOVOG et diversifier ses partenaires dans la gestion des ordures au niveau des communes voisines de Librevi l le et d’Owendo.

Car, au stade actuel et sans matériel qualitativement et quantitativement conséquent, la seule SOVOG ne peut plus donner entière satisfaction.

De même que, la décharge de Mindoubé étant actuellement saturée, l’Etat et la municipalité doivent tout faire pour octroyer aux sociétés concernées des terrains où elles pourront déverser, traiter ou valoriser l’ensemble des ordures ménagères et déchets solides collectés.

Encore que dans ce cadre précis, un accent particulier doit être mis désormais sur le volet lié à la valorisation des ordures et ce, en vue de transformer celles-ci en engrais et autres produits marchands propices à la diversification économique.

Autant dire que les instructions du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba doivent être respectées à la lettre, étendues à toutes les villes gabonaises et traduites dans les faits le plus rapidement possible.

Ce afin que nos centres urbains retrouvent leurs lustres d’antan, se développent harmonieusement et préservent les populations locales de tous risques de fléaux sanitaires suscités par l’insalubrité publique.

Reste en fin à ce que l’Etat et les autorités municipales mettent de plus en plus la pression sur les entreprises commises à la réalisation des travaux d’aménagement des divers bassins versants et autres canaux destinés à faciliter l’écoulement des eaux et à éviter les inondations.


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03/11/2012

Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du Vendredi 2 Novembre 2012

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A l’entame des travaux, le Conseil des Ministres a vivement salué la détermination opiniâtre de Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, qui, inlassablement, depuis son accession à la Magistrature Suprême, sillonne le territoire gabonais et les continents pour le rayonnement de notre cher pays, nouant des partenariats pour le développement du Gabon dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’énergie, de l’ habitat, des mines, de la protection de l’environnement ; prospectant les meilleures opportunités pour répondre dans les délais les plus raisonnables aux attentes existentielles et légitimes des populations.

 

Le Conseil des Ministres a noté avec satisfaction que le Président de la République, Chef de l’Etat démontre à suffisance l’ambition de voir se concrétiser le Programme Stratégique Gabon Emergent, confirmant ainsi que, seul, l’intérêt supérieur de la nation prédomine ; le bien-être des populations prévaut et que la paix est un trésor qu’on ne peut trop louer.

 

Aussi, le Conseil des Ministres réitère-t-il vivement l’adresse aux gabonaises et gabonais, à poursuivre à l’unisson, dans le respect des institutions, l’édification du Gabon Emergent.

 

La gouvernance de proximité du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA l’a conduit dans le plus grand marché de notre capitale et ses environs pour constater in situ et de visu l’effectivité des mesures prises en Conseil des Ministres aux fins d’alléger le panier de la ménagère.

 

Face au constat mitigé du Président de la République, Chef de l’Etat, le Conseil des Ministres a pris acte des mesures urgentes à mettre en œuvre pour la pratique d’une réduction des coûts des produits de première nécessité.

 

Le Conseil des Ministres s’est ensuite réjoui de la mise en œuvre d’une résolution de grande importance adoptée lors du Conseil des Ministres du 15 Septembre 2011.

 

En effet, dans le cadre du partenariat public privé avec la Compagnie Minière de l’Ogooué, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a posé la première pierre de l’Ecole des Mines et de  Métallurgie de Moanda, évènement phare commémorant le cinquantième anniversaire du Groupe ERAMET COMILOG.

 

La prochaine école à vocation régionale témoigne, s’il en était encore besoin, que la formation des gabonais et la lutte contre le chômage demeurent une des préoccupations du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, conformément à l’axe n° 9 de notre Programme de Société « l’Avenir en Confiance ».

 

Un autre défi est à relever dans le cadre du partenariat Etat gabonais/ Groupe ERAMET COMILOG dans la transformation sur place, à Lambaréné, du niobium, des terres rares, d’uranium, projet tant attendu car porteur et générateur d’emplois.

 

Sur le plan international, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part aux assises du Sommet de la francophonie à Kinshasa.

 

Le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, était accompagné de la Première Dame.

 

Pour le Conseil des Ministres, le Gabon, membre fondateur de cette Organisation, a marqué par la forte présence du  Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, tout l’engagement de notre pays dans le concert des Nations francophones.

 

Ce Sommet qui a regroupé soixante quinze (75) pays, Etats membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie a débattu de grandes préoccupations au-delà même de la francophonie autour du thème central « Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à une gouvernance mondiale ».

 

Outre la question des droits de l’homme, l’impunité, la démocratie, d’autres questions préoccupantes ont été soulevées, notamment, celles des crises qui sévissent dans certains pays essentiellement :

-         au Mali et la nécessité d’engager une force de maintien de la paix dans le Nord de ce pays ;

-        les divergences entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo.

 

Le Conseil des Ministres a salué la vision pragmatique et futuriste du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, qui confirme l’introduction de l’anglais dans le programme scolaire dès les classes primaires.

 

Le Conseil des Ministres affirme que notre pays sous la haute impulsion du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, s’est ouvert à l’international et doit s’adapter aux défis futurs du Gabon Emergent.

 

Le Conseil des Ministres s’approprie cette mesure qui renforce les aptitudes du Gabon Emergent sans rejet de l’idéal francophone.

 

Par ailleurs, à l’invitation de la Commission Européenne, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part aux travaux des 7èmes Journées européennes de développement aux côtés de ses pairs africains.

 

De plus, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a profité de cette auguste tribune d’échanges auquel le Gabon appartient, depuis sa création, à faire entendre la voix de notre cher pays grâce à la promotion du Programme de Société « l’Avenir en Confiance ».

 

Le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a décliné les réformes multisectorielles initiées, bien perceptibles pour le développement de notre pays et le bien-être des populations.

 

De plus, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part au Forum Mondial sur l’énergie à Dubaï.

 

Devant une vingtaine de Chefs d’Etat, le Président de la République, Chef de l’Etat a fortement suggéré la création d’un fonds africain pour l’énergie et les infrastructures.

 

L’argumentaire développé par le Président de la République, Chef de l’Etat a pour objectif de réduire la fracture entre l’Occident et le Sud.

 

L’Afrique est pour sûr, un vieux continent d’avenir. Les grandes lignes de la vision énergétique du Gabon énoncées par le  Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, sont conformes aux prescriptions du Pilier Gabon Vert et à la nécessité urgente de garantir à toutes les populations l’énergie placée au centre du développement.

 

Les lignes de la vision énergétique du Gabon déclinées par le Président de la République, Chef de l’Etat consiste à doubler la capacité énergétique en 2013 pour produire 1200 méga watt à l’horizon 2020.

 

 

AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET  REGLEMENTAIRES

 

 

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

Madame le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a adopté, le projet de loi fixant le cadre d’exercice de la profession d’Avocat en République Gabonaise.

 

Pris en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, le texte suscité est subdivisé en neuf (9) chapitres qui traitent outre les dispositions générales :

 

·       du statut et des prérogatives de l’Avocat ;

·       de l’admission au barreau, du stage, de l’inscription au tableau, de l’omission, de la radiation et de l’installation ;

·       des incompatibilités, restrictions, empêchements et obligations ;

·       de l’organisation ;

·       des garanties et des devoirs liés à la déontologie de la profession ;

·       du régime disciplinaire ;

·       de la sécurité des fonds et de l’assurance ;

·       des dispositions diverses et finales.

 

 

MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

 

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant application du système Licence, Master, Doctorat dans les établissements d’enseignement supérieur en République Gabonaise.

 

Ce texte vise à harmoniser les questions pédagogiques au niveau de toutes les universités et établissements d’enseignement supérieur. Il dispose également de ce que le passage conditionnel est désormais admis lorsque l’étudiant a obtenu 75 % des unités d’enseignements représentant au moins 80 %  des crédits des semestres et la compensation à l’intérieur d’une même unité d’enseignement est autorisée.

 

Par ailleurs, le passage d’un cycle à un autre est subordonné à l’obtention du diplôme du cycle précédent. Enfin, le texte fixe le séjour à l’intérieur de chaque cycle.

 

 

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE

 

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

Madame le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvé, le rapport initial du Gabon sur la mise en œuvre de la Charte africaine des Droits de l’homme et des peuples (1986-2012). Ce document a été élaboré en prenant en compte les contributions des Institutions gouvernementales et non gouvernementales retenues dans le décret n° 000102/PR/MDHLCCLCI du 15 Janvier 2007 portant création et organisation du Comité national de rédaction des rapports sur les droits humains.

 

 MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI  ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

Le Ministre a informé le Conseil des Ministres, de ce que la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS) procèdera, à compter du Lundi 05 Novembre 2012, au paiement des allocations familiales et de rentrée scolaire aux gabonais économiquement faibles, sur l’ensemble du territoire national. Le montant débloqué par l’Etat pour cette échéance est de 4.580.193.000 F CFA qui se décompose en :

 

·       4.031.088.000 F CFA pour les allocations familiales ;

·       549.105.000 F CFA pour les allocations de rentrée scolaire.



AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES

 

 

MINISTERE DE LA SANTE

 

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a autorisé l’organisation, en partenariat avec le Bureau Régional de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS AFRO), le Centre de Contrôle des Maladies des Etats-Unis (CDC) et le Centre de Contrôle des Maladies de la Chine, d’une Conférence sur le concept « une seule santé » qui se tiendra, du 12 au 14 Novembre 2012 à Libreville.

 

Au cours de cette rencontre, les thèmes suivants seront abordés :

 

·       compréhension de l’interface entre santé animale, santé humaine et environnement ;

·       préventions et riposte des menaces d’anthropozoomoses émergentes.

 

MINISTERE DES EAUX ET FORETS

 

Le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour l’organisation, du 15 au 16 Décembre 2012, de la Conférence des Parlementaires des pays ACP et des Parlementaires Européens sur le développement du processus FLEGT dans les pays producteurs et exportateurs de bois.

 

  

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement. 

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

 

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

 

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

 

CABINET DE LA PREMIERE DAME

 

-        Attachée de Presse : Mme Lisa Marie BONGOTHA, précédemment en service à la Cour Constitutionnelle.

 

MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE

 

 

DIRECTION GENERALE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Directeur Général : M. MVOME-NZE Edouard, Docteur en Géographie.

 

-        Directeurs Généraux Adjoints :

 

-        Mme MBOUMBOU BOUANGA Célestine, Ingénieur Géographe.

 

-        M. KOMBILA MOUSSAVOU Brant, Juriste urbaniste.

 

-        Chargés d’Etudes :

 

·       Mme AYANG Léa Augustine.

 

·       M. MANGONGO BOUNGUEDZA Yves, Administrateur Civil.

 

 

DIRECTION DE L’URBANISME

 

 

-          Directeur : M. NGODJO Guy-Félix, Architecte MBA.

 

 

SERVICE DES ETUDES D’URBANISME

 

 

-        Chef de Service : M. BABOLONGO Igor Davy, Ingénieur.

 

SERVICE DES ARCHIVES ET DE LA DOCUMENTATION

 

-         Chef de Service : Mme ANGUE MBA Véronique, Archiviste.

 

 

SERVICE DES EQUIPEMENTS URBAINS

 

-        Chef de Service : Mme MOUSSOUNDA MOUSSIALLY Linda Carine, Ingénieur Aménagiste-Urbaniste.

 

 

DIRECTION DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-          Directeur : M. MOUNZIEGOU MIHINDOU Didier, Ingénieur Génie Civil.

 

 

 

 

SERVICE ETUDES DE LOTISSEMENTS

 

 

-          Chef de Service : M. MAVOUNGOU Bernard, Architecte.

 

 

SERVICE DE CONTRÔLE DES TRAVAUX DE LOTISSEMENTS

 

 

-          Chef de Service : M.  ASSOUMOU Augustin Steeve, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX D’AMENAGEMENT DE TERRAINS

 

 

-         Chef de Service : M. IWANGOU MAPANGOU Ghislain, Ingénieur Géographe.

 

 

DIRECTION DES ENQUETES SOCIO-ECONOMIQUES

 

 

-          Directeur : M. BINANGA Jean Marie, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DES ENQUÊTES SOCIO-ECONOMIQUES

 

-          Chef de Service : M. MENGUE NDONG Constant, Architecte-Urbaniste.

 

 

SERVICE DES CONSTATS DES INFRACTIONS

 

-        Chef de Service : M. ROGOVENY Jean René, Urbaniste.

 

-          Chef de Service de la Statistique Urbaine : M. POUGHIDI NDZOGHA Axel Terrence, Ingénieur Statisticien Economiste.

 

DIRECTION GENERALE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-         Directeur Général : Monsieur MIPOHAN Basile, Ingénieur Géographe.

 

-        Directeurs Généraux Adjoints : 

 

MM.

 

·       BIYOGHO BI ONDO Bernard Barthelemy, Architecte ;

 

·       MBOUMBA Modeste, Ingénieur Cartographe, Géomaticien.

 

-         Chargés d’Etudes :

 

·       M. RAGNOGANDI Gildas Davy, Technicien en Urbanisme.

 

·       Mme OYE NANG Claudine, Informaticienne.

 

 

DIRECTION DES CONTROLES CADASTRAUX

 

-         Directeur : M. MBA ESSONE Emmanuel, Ingénieur cartographe.

 

 

SERVICE DE LA PROCEDURE D’ATTRIBUTION DE TERRAINS

 

 

-         Chef de Service : Mme EKOTTO EPANGO, Ingénieur du Cadastre.

 

 

 

SERVICE DE CONSTAT DE MISE EN VALEUR ET DES EVALUATIONS CADASTRALES

 

 

-         Chef de service : Mme BAYADI Sogni Eulalie, Ingénieur Topographe.

 

 

SERVICE DU FICHIER CADASTRAL ET DE LA DOCUMENTATION FONCIERE

 

 

-        Chef de Service : Mme MAMBISSA BAKAKAS Inès Laetitia, Ingénieur Topographe.

 

 

DIRECTION DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES

 

-        Directeur : Mme MENGUE ALLOGO Elise Valérie, Ingénieur Topographe.

 

 

SERVICE DES INFRASTRUCTURES TOPOGRAPHIQUES

 

 

-        Chef de Service : M. ASSOUMOU Jean Pierre, Ingénieur des Techniques Génie Civil.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX DE DESSIN

 

-        Chef de service : Mme SOUGOU LATSIERE Alix Bertille, Urbaniste.

 

 

DIRECTION GENERALE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Directeur Général : M. Jean Paul TCHIBINDA, Ingénieur Géographe.

 

-        Directeurs Généraux Adjoints :

 

MM. 

 

·       TSINGA Jacob Eric, Docteur en Géographie Economique ;

·       MANFOUMBI Alexis, Architecte-Urbaniste.

 

-        Chargés d’Etudes :

 

Mmes

 

·        NZEDI NGOMA Mariam Stella, Administrateur Civil ;

 

·       MBOKOBADI ASSINGA Alice, Ingénieur Informaticien ;

 

·       NDOMBI SIMBA Lorrys Linda,  Administrateur Civil.

 

 

 

DIRECTION DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Directeur : M. ESSONO NGUEMA Marc Zéphirin, Architecte.

 

 

SERVICE DES ETUDES ET DE LA RECHERCHE

 

-        Chef de service : M. OYANE MENDOGO Alain Gérald, Ingénieur des Travaux Publics.

 

 

 

SERVICE DU LOGEMENT

 

-        Chef de Service : M. LEYINDA BOUCKEGHET, Urbaniste.

 

SERVICE DE L’HABITAT RURAL

 

-        Chef de Service: Mme ASSANDA Cosette, Administrateur Economique et Financier.

 

 

DIRECTION DE L’ASSISTANCE A L’AUTO-CONSTRUCTION

 

-        Directeur : M. MAPOUILAT Christophe, Ingénieur du cadastre.

 

 

SERVICE DE LA GESTION

 

-        Chef de Service : Mme BOMA Flore Nadine, Attachée d’Administration.

 

SERVICE ASSISTANCE ET CONTRÔLE DES TRAVAUX

 

-        Chef de service : M. ASSOUMOU MBA Sylvain, Ingénieur des Techniques Génie Civil.

 

 

SERVICE DE LA MAINTENANCE

 

- Chef de service : M. MENIE M’ESSONO Jean Baptiste, Ingénieur des Techniques Electricité.                                                                         

 

 

SERVICE DE LA PRODUCTION DES MATERIAUX

 

-        Chef de service : M. YANGARI Edgard Rodolphe, Projeteur en bâtiment.

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’ESTUAIRE

 

-        Directeur : M.  BABIA Théophane, Architecte.

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-          Chef de service : M. NGUIE-EKOMI Paul Maximin, Ingénieur Bâtiments.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

 

-          Chef de service : M. Roger TSANGA BANDOUNGOU, Opérateur-Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-         Chef de Service : M. OBAME NGOME Jean, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. MAWORA Clément Vincent.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DU HAUT OGOOUE

 

-        Directeur : M.  MIBESSI Jean Pierre, Ingénieur  Géographe.

 

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

 

-        Chef de service : M. LOUEMBET  Régis Prosper, Ingénieur Technique.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-          Chef de service : M. KOLITE ZOUZE Gustave.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. ZUE Vincent, Architecte Urbaniste.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. BIYOGHO TCHOUA Jean Pierre Pierrot, Géomètre.

 

DIRECTION PROVINCIALE DU MOYEN OGOOUE

 

-          Directeur : M. MINKOUE Jean-Louis, Géographe.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M.  BOULAMBA MABIKA Brice, Urbaniste.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

 

-        Chef de service : M. EKOUME ONDO Herbert Davis, Opérateur-Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. MOUNANGA Kevin Boris, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. ENGO MEMIAGHE Clément, Licence de Sciences Juridiques.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE LA NGOUNIE

 

-          Directeur : M. MALI MPEME, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. HAMANN HAMZA, Technicien Urbaniste.

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M.  BOUTGOU MABOUNDA Dieudonné, Ingénieur.

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. LEKANDA Arlien, Ingénieur.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-          Chef de service : M.  BIBOUTOU BIKOUATI  Fleur Edo, Cartographe.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE LA NYANGA

 

-        Directeur : M. LOLOS RAPOTCHOMBO Auguste, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. TEMBO LIBINDZOU Armel Gaëtan, Technicien en Urbanisme.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. MOUITY NZILA Fidèle, Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-          Chef de service : M. NDONG OBAME Jean Joël, Architecte Urbaniste.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. MBOUMBA Joseph Michel, Technicien Topographe.

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUE IVINDO

 

-          Directeur : M.  BIDZANG BI NDZIGHE Philippe, Ingénieur géographe Aménagiste.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. MABICKA MAGANGA Aimé Serge, Urbaniste.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. ONKAGUI Moïse, Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. NKOGHE Jonathan, projeteur en  bâtiment.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. EKOGA ALLO’O  Brice, Géomètre.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUE-LOLO

 

-          Directeur : M. NGBWANA PAUL, Architecte.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : Mme ONGUILAT ONGAYE Ange Ornella, Urbaniste.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. MBOUISSOU Franck Nicaise, Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-          Chef de service : M. MAISSA Ludovic, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. NDZEDI Hugues Gaëtan.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUE MARITIME

 

-         Directeur : M. NKOGHE Francis Roland, Architecte Urbaniste.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. MAILAT MOUTSINGA Claude Séverin, Ingénieur Cartographe.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. YOUBOU IPAUTA Aimé Gaëtan, Géomètre-Topographe.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M.  NGUEMBI Delphin, Ingénieur Géographe.

 

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M.  BOUBALA Franck  Simplice,  Géomètre.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DU WOLEU-NTEM

 

-          Directeur : M. BIBANG BI NKOGHO Florentin, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. NDONG Obiang Gilbert, Urbaniste.

 

Service des Travaux Topographiques et du Cadastre

 

-        Chef de service : M. TCHINDI Gislain, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. MAYI TSAMBA Porcel, Ingénieur du cadastre.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. NTOUTOUME EDZAN Félicien, Administrateur Civil.

 

 

ECOLE NATIONALE DU CADASTRE ET DES SCIENCES GEOGRAPHIQUES

 

-        Directeur Général : Mme ITONGO Marie Thérèse, Docteur en Géographie Physique.

 

 

DIRECTION DES AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES

 

-        Directeur : M. INOUSSA ONANGA MOUSSILYON Stéphane Ulrich, Attaché des Sciences Economiques et Financiers.

 

 DIRECTION DES ETUDES ET STAGES

 

-        Directeur : M. NDOUNGA M’BIAKA Sylvain.

 

 

CENTRE TECHNIQUE DE L’HABITAT

 

-        Directeur : M. EDZANG NDOUTOUME Félicien, Administrateur Civil.

 

BRIGADES SPECIALES DE L’URBANISME ET DE LA CONSTRUCTION

 

 

-        Directeur : M. MENGUE M’ENDOUME Robert, Ingénieur Géographe.

 

 

INSTITUT NATIONAL DE LA CARTOGRAPHIE

 

-        Directeur Général : M. GNONDA Alain Jean De Dieu, Architecte.

 

 

-        Directeurs Généraux Adjoints :

 

MM.

 

·       NDOUMADIAMBA Rodrigue, Ingénieur en Informatique ;

 

·       OSSAT NZE Nicaise, Ingénieur Géographe.

 

-        Conseillers du Directeur Général :

 

MM.

 

·       MEZUI Joël Bolivar, Administrateur Civil ;

·       KOUMBA LOULESSI Jean Léonard, Ingénieur cartographe.

 

-        Chargés d’Etudes :

 

MM.

 

·       OBAME NGUEMA Emmanuel, Ingénieur  Cartographe ;

·       BOUSSENGUI Edouard,  Ingénieur  Cartographe.

 

 

DIRECTION DE LA DOCUMENTATION ET DES RELATIONS EXTERIEURES

 

-        Directeur : M. MBOUALA Pierre, Ingénieur Cartographe.

 

 

SERVICE DES RELATIONS DOCUMENTATION

 

-        Chef de service : M. EYI EYA’A Richard, Ingénieur cartographe.

 

 

SERVICE DES RELATIONS COMMERCIALES

 

-        Chef de service : M. EYELE NZE Daniel Francis, Ingénieur Cartographe.

 

DIRECTION DE LA PRODUCTION

 

-        Directeur : M. BIRINDA Jean Prince, Ingénieur Cartographe.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES

 

 

-        Chef de service : M. SOUGOU Gracia ; précédemment Directeur Provincial de la NGOUNIE.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX CARTOGRAPHIQUES

 

-        Chef de Service : M. BIYAMBOU NZENGUE Norbert Bradley ; Cartographe.

 

 

DIRECTION DE LA CARTOGRAPHIE THEMATIQUE

 

-        Directeur : M. MOUSSOUNDA DILEBOU Jean Marie, Ingénieur  cartographe.

SERVICE DE LA REALISATION CARTOGRAPHIQUE

 

-        Chef de Service : Mme MAROUNDOU MOUANGA Claude Amélie, Cartographe.

 

 

SERVICE RECHERCHE

 

-        Chef de Service : M. METOHO ME ZUE Dieudonné,  Cartographe.

 

 

DIRECTION DES AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES

 

 

-        Directeur : M. HOUSMAN MAMADOU.

 

 

SERVICE FINANCIER

 

-        Chef de Service : M. NGOMA Jean Joseph Aimé.

 

 

SERVICE ADMINISTRATIF

 

-        Chef de Service : M. ONWANLELE Guy Patrick.

 

 

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

 

 

-        Commissaires Permanents de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel (CNPDCP) :

 

MM. :

·       Blaise Lionel MEMIAGHE ;

·       Léon Paul MVOUBA ;

·       Roger LAYAUD ;

·       Adrien MBADINGA ;

·       Emmanuel OGANDAGA ;

·       Alain MOUPOPA ;

·       Jean Bernard OGANDAGA ;

Mme :

Lydie IMMONGAULT

 

-        Commissaires non Permanents de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractères Personnel (CNPDCP) :

MM.

·       Barnabé INDOUMOU MAMBOUNGOU ;

·       Crépin ATENDE ;

·       Guy Martial BOUCALT ;

·       Pierre BITEGHE.

 

-        Président de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel (CNPDCP) : M. Blaise Lionel MEMIAGHE.

 

-        Secrétaire Général de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel (CNPDCP) : M. Georges OBOLO.

 

MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

BANQUE GABONAISE DE L’HABITAT

 

-        Directeur Général Adjoint : M. Yvon TCHICOT, Administrateur des Services Economiques et Financiers, en remplacement de Mme Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA, appelée à d’autres fonctions.

 

                                       FIN.