28/12/2012

Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du jeudi 27 Décembre 2012

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A l’entame des travaux le Conseil des Ministres a salué la détermination et le dynamisme sans faille du Président de la République, Chef de l’Etat, qui ayant offert à ses compatriotes le pacte social et économique « l’Avenir en Confiance » aux fins de hisser notre pays dans le peloton des pays émergents à l’horizon 2025, a effectué depuis son accession à la Magistrature Suprême plusieurs visites d’Etat, plusieurs visites officielles à travers les continents.

Tel un pèlerin, privilégiant le partenariat « gagnant-gagnant » Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, fait la promotion de notre cher Gabon, pays naturellement riche où règnent la paix et la stabilité politique. C’est ainsi que Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, s’est rendu tour à tour au Royaume Uni, au Qatar et en Guinée Equatoriale.

Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a saisi chaque opportunité pour décliner les grands desseins pour le bien être des populations gabonaises, le développement du Gabon s’appuyant sur les trois (3) pôles que sont : le Gabon Vert, le Gabon Industriel, et le Gabon des Services.

Le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a séjourné à Londres. A la tête d’une forte délégation, Son Excellence Monsieur le Président de la République Chef de l’Etat, y a présidé le premier Forum d’Investissements du Gabon, devant une assemblée de quatre cents (400) responsables et représentants de sociétés britanniques.

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, a fort aisément, magnifier la destination Gabon et les possibilités d’investissement qu’offre notre pays dans les secteurs de la pêche, de l’agriculture, du tourisme, des infrastructures, de l’énergie et du pétrole, des mines…tel que prévus dans notre plan national de développement.

Le Président de la République, Chef de l’Etat, a rappelé que sa stratégie de développement était indissociable d’un secteur privé compétitif, soucieux de l’environnement et créateur d’emplois.

Pour bien marquer son engagement aux côtés du Gabon, le Gouvernement Britannique vient d’ouvrir dans la capitale gabonaise un bureau, le premier du genre, destiné à favoriser les relations d’affaires avec notre pays.

Après le séjour londonien consacré à l’investissement Royaume Uni/Gabon, le Président de la République, s’est rendu à Doha, au Qatar sur invitation de l’Emir, pour prendre part successivement à la 18ème session de la Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et au Forum International sur le sport dénommé « Forum Doha Goals ».

La Convention-Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques qui a pour objectif de définir et de mettre en œuvre les mesures visant à limiter les émissions de gaz à effets de serre d’ici à 2020, a permis au Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, de réaffirmer les positions du Gabon en matière de protection de l’environnement.

Depuis l’accession de Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, à la Magistrature Suprême, la protection de l’environnement est une réalité.

Elle se matérialise notamment par l’interdiction des torchers, l’interdiction de l’exportation des grumes, la protection des écosystèmes, de la faune et de la flore mais aussi la volonté de développer un tourisme d’affaires au Gabon.

Toutes ces dispositions concrètes ont pour résultante le Plan National Climat.

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, a soutenu un plaidoyer sur la nécessité d’émergence d’une nouvelle conscience, de partage d’une même planète ainsi que le devoir d’une meilleure gestion des biens planétaires communs à toute l’humanité.

Au cours de ce séjour Qatari, l’Emir a affirmé que son pays est prêt à investir au Gabon au travers de Qatar Holding et le Fonds d’Investissements Qatari qui sont des organismes financiers.

Aussi, le Président de la République, Chef de l’Etat, a-t-il souligné la position centrale du Gabon pour atteindre d’autres pays de la sous région du Golfe de Guinée.

Après cet évènement de haute portée sur l’environnement, le tour est revenu au sport de fédérer les synergies à travers le Forum « Doha Goals ».

A la faveur de cet évènement qui rassemble la participation des légendes et autres vedettes du monde sportif, le Président de la République, Chef de l’Etat, sur invitation du Sheikh Tamun Bun Hamad, a décliné les actions et les attentes du Gabon en matière sportive ainsi que leur impact sur le développement social et économique de notre pays.

En sa qualité de Président en exercice de la Communauté Economique et Monétaire d’Afrique Centrale (CEMAC), Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat, conformément à l’annonce faite lors de son passage devant les chambres du Parlement réunies en congrès, a tenu à impliquer la classe politique dans son plan d’actions.

Les partis de l’opposition présents à cette consultation ont fort apprécié cette initiative de rapprochement et de concertation.

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, s’est rendu en République Sœur de Guinée Equatoriale, à la faveur de la célébration du 40ème anniversaire de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC).

Le Président en exercice de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, a demandé la création d’un comité inter Etat qui réfléchirait aux moyens d’attirer davantage de capitaux vers cette zone en développement.

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, a recommandé de mener une réflexion pour la mise en place de nouveaux mécanismes, aux fins de répondre aux aspirations du développement véritable de la sous région.

La réalisation de ces objectifs passe par le renforcement des capacités institutionnelles de la Commission Bancaire d’Afrique Centrale et par la stabilité des échanges, a soutenu Monsieur le Président de la République.

Par la suite, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part aux côtés de ses pairs au 7ème Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement d’Afrique, Caraïbes et Pacifique.

Cette tribune des Chefs d’Etat et de Gouvernement, a offert l’occasion de redéfinir le partenariat avec l’Union Européenne.

Les Chefs d’Etat ont également abordé les questions relatives à la paix, à la sécurité, à la bonne gouvernance des Etats et régions ACP, à l’avenir et au financement du groupe ACP.

Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres s’est réjoui de la distinction de Grand Croix de l’Ordre International des Palmes Académiques du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) décernée à Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, au terme du 16ème Concours d’Agrégation de Médecine Humaine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine Vétérinaire et Production Animale qui s’est tenu à Libreville.

D’après le CAMES la haute distinction de l’Ordre attribuée à Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, n’est que la juste récompense à un leader qui a su identifier la formation et la recherche comme leviers de développement et de prospérité durables.

Par ailleurs, le Conseil des Ministres a tenu à rendre un vibrant hommage à Madame la Première Dame qui s’investit résolument et de façon soutenue pour l’émancipation des femmes et l’épanouissement des enfants.

Madame la Première Dame s’est engagée à agir au profit des plus démunis, n’hésitant pas à vivre leur quotidien. La Première Dame qui œuvre, sans répit, pour alléger les difficultés existentielles des handicapés, des mineurs en détention, des orphelins, des veuves, a bénéficié des hommages mérités à l’international.

Madame la Première Dame Sylvia BONGO ONDIMBA, s’est dernièrement rendu au Cap Esterias en tant que Présidente d’honneur de la Croix Rouge, faire dispenser des soins médicaux aux populations.

Pour ces grandes œuvres humanitaires à l’adresse de ses compatriotes, le Conseil des Ministres exprime sa déférence et sa profonde gratitude à Madame la Première Dame.


AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES


MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres qui les a adoptés, cinq (5) projets de décrets pris en application des dispositions de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006 portant création et organisation des fonctions supports.

Il s’agit :

• du projet de décret portant création et organisation d’une Direction Centrale de la Communication dans les Ministères ;

• du projet de décret portant création et organisation d’une Direction Centrale des Statistiques et des Etudes dans les Ministères ;

• du projet de décret portant création et organisation d’une Direction Centrale des Archives et de la Documentation dans les Ministères ;

• du projet de décret portant création et organisation d’une Direction Centrale des Affaires Juridiques dans les Ministères ;

• du projet de décret portant création et organisation d’une Direction Centrale des Systèmes d’Information dans les Ministères.

Les fonctions supports visées par ces textes sont des services administratifs érigés en Directions Centrales dans les domaines de l’informatique, la gestion des ressources humaines, les affaires juridiques, la communication, les statistiques et les études ainsi que les archives et la documentation.

Ces fonctions interviennent de manière transversale dans tous les domaines de compétences d’un Département Ministériel. Les Directions Centrales sont toutes rattachées au Secrétariat Général des Ministères.


MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvé, le projet de loi portant extension du régime fiscal et douanier incitatif institué en faveur des exploitants agricoles.

Pris en application des dispositions de l’article 3 de la loi n° 027/2008 du 22 Janvier 2009 portant code général des impôts, le présent projet de loi vise l’extension du régime fiscal et douanier incitatif institué en faveur des exploitants agricoles.

Aussi, dispose-t-il en ces articles 2, 3, 4, 5 et 6 de ce que :

Article 2 : Le bénéfice des avantages fiscaux et douaniers prévus par les dispositions des articles 21 et suivants de la loi n° 22/2008 du 10 Décembre 2008 portant Code Agricole en République Gabonaise est étendu aux entreprises agricoles non expressément visées par cette loi, réalisant un minimum d’investissement de cent cinquante millions de francs cfa et un minimum d’effectif de trente personnes de nationalité gabonaise, notamment :

• les Sociétés de coopératives agricoles ;

• les Sociétés d’aménagement des terres agricoles ou des zones économiques agricoles ;

• les Sociétés agro-industrielles ;

• les groupements d’intérêts économiques à vocation agricole.

Article 3 : Les impôts, taxes, droits, redevances et autres prélèvements visés par la présente loi comprennent notamment :

• la patente ;

• la TVA ;

• les taxes foncières ;

• toute retenue à la source, à l’exclusion des retenues sur salaires et charges sociales ;

• les impôts sur la propriété, notamment les contributions foncières sur les propriétés bâties et non bâties ;

• les impôts de distribution ;

• les prélèvements au titre des prestations du Conseil Gabonais des Chargeurs ;

• les prélèvements au titre de la concurrence et de la consommation.

Article 4 : L’exonération de la TVA porte sur l’acquisition sur le marché local ou à l’importation :

• des biens, matériels et équipements industriels spécifiques ou non destinés aux activités agricoles et de transformation de produits ;

• des intrants, notamment les engrais, la provende, les produits phytosanitaires et zoosanitaires nécessaires aux activités agricoles.

Article 5 : Les entreprises agricoles visées à l’article 2 ci-dessus bénéficient du remboursement de la TVA facturée par les fournisseurs nationaux.

Article 6 : Les entreprises agricoles visées par la présente loi bénéficient d’une exonération de l’impôt sur les Sociétés, y compris le minimum, pour l’ensemble des activités de production, de transformation, de vente locale et d’exportation des produits agricoles.

Au terme de la période d’exemption, le taux de l’impôt sur les Sociétés est fixé à 25 % pendant les dix (10) années suivantes. Au-delà, le droit commun s’applique.


MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté deux (2) projets de décrets portant déclaration d’utilité publique (DUP), pris en application des dispositions des articles 1er et 2 de la loi n° 6/61 du 10 Mai 1961 portant déclaration d’utilité publique.

Il s’agit respectivement :

• de l’occupation par l’Etat d’une bande de terrain de trente (30) mètres d’emprise située de part et d’autre, de l’axe du lit de la rivière MEKANGOUE du bassin versant de Nzeng-Ayong, en vue de la construction d’un canal en béton armé pour le drainage des eaux pluviales et d’une piste de service pour l’entretien de ces ouvrages ;

• de l’occupation par l’Etat, dans la Commune de Libreville, d’une bande de terrain de vingt (20) mètres d’emprise, située de part et d’autre, de l’axe de la route locale n° 100, allant de l’échangeur de Lalala à droite au pont du marché d’Oloumi, en vue de son aménagement en deux (2) fois deux (2) voies.


MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret fixant l’organisation du Secrétariat Général de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel.

Pris en application des dispositions de l’article 37 de la loi n° 001/2011 du 25 Septembre 2011 fixant l’organisation du Secrétariat Général de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel, le présent texte dispose que le Secrétariat Général assiste la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel, ci-après désignée « La Commission ».

Du point de vue de son organisation, le Secrétariat Général est dirigé par un Secrétaire Général et comprend les Services d’appui et les Directions suivantes:

1- Les Services d’Appui :

• le Service Central du Courrier ;

• le Service de la Coopération ;

• le Service de la Documentation et des Archives ;

• le Service de la Séance ;

• le Service des Relations Publiques.

2- Les Directions :

• la Direction des Affaires Juridiques ;

• la Direction Administrative, Financière et des Moyens ;

• la Direction de l’Expertise Informatique et des Contrôles.


MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui les a adoptés, trois (3) projets de décret :

1- Le projet de décret portant réorganisation de l’Ecole d’Etat Major de Libreville. Pris en application des dispositions de l’article 33 de la loi n° 004/98 du 20 Février 1998, le texte susvisé redéfinit les attributions, l’organisation et le fonctionnement de l’Ecole d’Etat Major de Libreville.

2- Le projet de décret fixant l’organisation, la composition et le fonctionnement du Conseil Supérieur de la Défense Nationale et de la Sécurité Publique. Pris en application des dispositions de l’article 11 de la loi n° 004/98 du 20 Février 1998 qui fixe l’organisation, la composition et le fonctionnement du Conseil Supérieur de la Défense Nationale et de la Sécurité Publique, le présent texte dispose que le Conseil Supérieur de la Défense Nationale et de la Sécurité Publique est présidé par le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Forces de Défense et de Sécurité.

Il comprend comme membres :

• le Premier Ministre, Chef du Gouvernement ;

• le Ministre chargé de la Défense Nationale ;

• le Ministre chargé de la Sécurité Publique ;

• le Ministre chargé des Affaires Etrangères ;

• le Ministres chargé de l’Economie ;

• le Ministre chargé du Budget ;

• le Ministre chargé de l’Energie ;

• le Ministre chargé des Transports ;

• le Ministre chargé des Communications ;

• le Secrétaire Général du Conseil National de Sécurité.

Le Conseil Supérieur de la Défense Nationale et de la Sécurité Publique peut faire appel, en fonction des questions inscrites à son ordre du jour, à toute autre autorité, notamment :

• aux autres membres du Gouvernement ;

• au Secrétaire Général du Ministère de la Défense Nationale ;

• au Secrétaire Général du Ministère en charge de la Sécurité ;

• au Chef d’Etat Major Général des Forces Armées ;

• aux Commandants en Chef des Forces de Défense et de Sécurité ;

• aux Directeurs Généraux du Service de Santé Militaire et du Génie Militaire.

3- Le projet de décret fixant l’organisation, la composition et le fonctionnement du Comité de Défense Militaire. Pris en application des dispositions de l’article 12 de la loi n° 004/98 du 20 Février 1998 qui fixe l’organisation, la composition et le fonctionnement du Comité de Défense Militaire, le décret ci-dessus cité dispose que conformément à l’article 22 de la Constitution, le Président de la République préside le Comité de Défense Militaire qui comprend comme membres :

• le Premier Ministre, Chef du Gouvernement ;

• le Ministre chargé de la Défense Nationale ;

• le Secrétaire Général du Ministère de la Défense Nationale ;

• le Chef d’Etat-Major Général des Forces Armées ;

• le Commandant en Chef de la Gendarmerie Nationale ;

• le Commandant en Chef de la Garde Républicaine ;

• le Secrétaire Général du Conseil National de Sécurité.


MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

Le Ministre a présenté au Conseil, qui les a approuvés, quatre (4) projets de textes dont un projet de loi et trois (3) projets de décrets :

• projet de loi portant institution et organisation du Système Statistique National ;

• projet de décret portant recensement général de la population et des logements en République Gabonaise ;

• projet de décret organisant les procédures des projets publics cofinancés ;

• projet de décret portant création, attributions et organisation d’un Observatoire National de l’Emploi et de Formation.

Pris en application de l’article 47 de la Constitution, le projet de loi portant institution et organisation du Système Statistique National a pour objet de définir les principes fondamentaux de la statistique officielle et le cadre institutionnel qui doit désormais régir les activités statistiques au Gabon. Il précise les principales règles à observer.

Aussi, traite-t-il respectivement :

• des mesures et des objectifs ;

• des principes et des prérogatives ;

• de la procédure, des obligations et des pratiques ;

• des dispositions répressives ;

• du cadre institutionnel ;

• du financement ;

• des dispositions diverses et finales.

S’agissant du projet de décret portant organisation d’un Recensement Général de la Population et des Logements 2013, en abrégé « RGPL 2013, il est pris en application des dispositions de l’ordonnance n° 001/92/PR du 14 Février 1992 portant organisation d’un Recensement Général de la Population et de l’Habitat en République Gabonaise. Placé sous la tutelle technique du Ministère de l’Economie, le Recensement Général de la Population et des Logements 2013 comprend les organes suivants :

• la Commission Nationale du Recensement (CNR) présidée par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement ;

• la Direction Nationale du Recensement (DNR) ;

• le Bureau Central du Recensement (BCR).

La Commission Nationale, présidée par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement est composée de la manière suivante :

• le Ministre Chargé de l’Economie ;

• le Ministre Chargé de la Justice ;

• le Ministre Chargé de l’Habitat ;

• le Ministre Chargé du Budget ;

• le Ministre Chargé de l’Agriculture ;

• le Ministre Chargé de l’Intérieur ;

• le Ministre Chargé de la Santé ;

• le Ministre Chargé de l’Education Nationale ;

• le Ministre Chargé des Affaires Sociales ;

• le Ministre Chargé de la Défense ;

• le Ministre Chargé de la Communication ;

• deux (2) représentants par Association et Organisation non gouvernementale de Défense des Droits de l’Homme, légalement déclarées ;

• deux (2) représentants du Patronat gabonais ;

• trois (3) représentants des Partenaires au Développement.

En ce qui concerne le projet de décret organisant les procédures d’exécution des projets publics et cofinancés, pris en application de la loi organique n° 31/20/10 du 21 Octobre 2010 relative aux lois de finances et à l’exécution du budget, il traite respectivement :

• de la mise à disposition des fonds de contrepartie ;

• de l’exécution des fonds de contrepartie ;

• de l’exécution des financements extérieurs.

Quant au projet de décret portant création, attributions et organisation d’un Observatoire National de l’Emploi et de la Formation, pris en application de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006 fixant les règles de création, d’organisation et de gestion des services de l’Etat, il dispose de ce qu’il est créé et placé sous la tutelle technique du Ministre chargé de l’emploi, un établissement à caractère scientifique dénommé Observatoire National de l’Emploi et de la Formation (O.N.E.F), doté de la personnalité juridique et de l’autonomie de gestion administrative et financière.

L’ONEF comprend :

• un Conseil d’Administration ;

• une Direction Générale ;

• une Agence Comptable.


MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE

Le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant création et organisation de la Direction Centrale des Ressources Humaines, présentée par Madame le Ministre.

Pris en application des dispositions de la loi n° 001/2005 du 04 Février 2005, portant statut général de la fonction publique et de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006 fixant les règles de création, d’organisation et de gestion des services de l’Etat.

Le texte susvisé précise que les Directions Centrales des Ressources Humaines sont désormais des organes délégués de gestion, placés sous l’autorité et pour le compte de l’organe central qu’est la Direction Générale de l’Administration et de la Fonction Publique.

Les Directions Centrales des Ressources Humaines assurent la gestion des structures et des emplois. Aussi, cette réforme vise-t-elle la déconcentration de l’administration de la fonction publique en vue d’une plus grande efficacité dans la gestion des agents publics et des structures administratives.


MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DES MINES

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui les a adoptés, deux (2) projets de textes :

• le projet de loi relative au système national de normalisation ;

• le projet de décret instituant le Prix Gabonais de la Qualité.

S’agissant du projet de loi prise en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, elle comprend quatre (4) chapitres et traite respectivement:

• des définitions ;

• du système national de normalisation ;

• de la marque nationale de qualité et du contrôle de qualité ;

• des infractions et des sanctions ;

• des dispositions diverses et finales.

Quant au projet de décret pris, en application des dispositions de l’article 51 de la Constitution, il institue, en République Gabonaise, un prix dénommé « Le Prix Gabonais de la Qualité », en abrégé « PGQ ».

Le Prix Gabonais de la Qualité a pour objet de contribuer au développement de la Normalisation en général, et de promouvoir la qualité des produits, des biens et des services.

Il constitue également une évaluation de référence, un outil de mesure de la performance en matière de Management par la qualité des entreprises et des administrations.

Un concours pour son attribution est organisé par l’Agence Gabonaise de Normalisation. Il est ouvert à toute entité du secteur marchand ou non marchand, de droit gabonais, quel que soit son domaine d’activités.


EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE


MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE

Le Conseil des Ministres a marqué son accord aux demandes d’agréments de leurs Excellences :

• Monsieur Kenj El HAJAL, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Liban près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;

• Madame Pearl Nomvume MAGAQA, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République d’Afrique du Sud près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;

• Monsieur Bo JENSEN, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Royaume du Danemark près la République Gabonaise, avec résidence à Ouagadougou au Burkina Faso ;

• Monsieur Joachim OEPINGER, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République d’Autriche près la République Gabonaise, avec résidence à Abuja au Nigéria ;

• Monsieur David JAMIESON, en qualité de Consul Honoraire du Danemark, à Libreville ;

• Monsieur Noureddine BEDOUI, en qualité de Consul Honoraire de Turquie à Port-Gentil ;

• Colonel-Major Bastien KAH, en qualité d’Attaché de Défense de la République de Côte d’Ivoire près la République Gabonaise, avec résidence à Yaoundé au Cameroun ;

• Madame Marie Evelyne PETRUS BARRY en qualité de Représentante résidente du PNUD en République Gabonaise.


MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

Le Conseil des Ministres a approuvé la mise en place d’une Commission de réactualisation de l’histoire du Gabon proposée par le Ministre.

En outre, le Conseil des Ministres a marqué son accord pour la tenue du Carnaval International de Libreville, dans la deuxième (2ème) quinzaine du mois de Février 2013 sous le thème : « Nature, Culture et Diversité ».


MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvé, la Stratégie Nationale d’Egalité et d’Equité du Genre. Par ailleurs, le Conseil des Ministres a adopté le rapport final de l’analyse de situation du phénomène des enfants sans acte de naissance au Gabon ; rapport réalisé avec l’appui de l’UNICEF, du 15 Septembre au 30 Novembre 2011.


AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES


MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE, DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE

Le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour la tenue la Conférence de Lancement International de la Campagne Médiatique du FESPACO sur le continent africain, le 04 Janvier 2013, à Libreville.

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement. La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.


Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :


PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

- Conseiller Spécial du Président de la République chargé du Programme Gabon Bleu : Dr. J. Michael FAY, précédemment, Directeur Technique de l’Agence Nationale des Parcs Nationaux.

AGENCE NATIONALE DES PARCS NATIONAUX

- Conseiller Juridique du Secrétaire Exécutif de l’agence Nationale des Parcs Nationaux : M. Jean Mathieu ANGOUE ONDO, en remplacement de M. Serge ABESSOLO.

- Chargés d’Etudes du Secrétaire Exécutif de l’Agence Nationale des Parcs Nationaux :

• Mme Natacha ONA ABIAGA,

• M. Vianet MIHINDOU, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.

- Directeur Technique de l’Agence Nationale des Parcs Nationaux : M. Christian MBINA, Ingénieur Ecologue, expert en Biodiversité Tropicale, en remplacement du Dr. J. Michael FAY.

- Directeur des Opérations : M. Christian TCHEMAMBELA, précédemment Responsable suivi-évaluation.

- Directeur Technique Adjoint : M. Christian JOHNSON.

- Conservateur Sénior chargé des Parcs Tridom (Minkébé, Ivindo, Mwagna) : Dr. Joseph Vivien OKOUYI, précédemment Conservateur du Parc National d’Ivindo.

- Conservateur Sénior chargé des Parcs de Loango, Moukalaba Doudou et Mayumba : M. Brice Léandre MEYE, précédemment Conservateur du Parc National de Loango.

- Conservateur Sénior chargé des Parcs de Lopé, Plateaux batéké et des monts du Chaillu (Waka, Birougou) : M. Sosthène NDONG OBIANG, précédemment Conservateur du Parc National de la Lopé.

- Conservateur Sénior chargé des Parcs de l’Estuaire ; Akanda, Pongara , Monts de Cristal : M. Jean Jacques TANGA, précédemment Conservateur du Parc National d’Akanda.

- Gestionnaire de l’arboretum Raponda Walker : Mme Anne Marie NDONG OBIANG, Ingénieur des Eaux et Forêts.

- Responsable suivi-évaluation : M. Nestor BOUENGUE, Ingénieur des Eaux et Forets, en remplacement de M. Christian TCHEMAMBELA.

- Chef de Service chargé des Investigations, de la surveillance et de la Protection : M. Hervé NDONG ALLOGHO, précédemment Conservateur du Parc National de Minkébé.

- Chef de Service chargé des zones humides : Mme Solange NGOUESSONO, précédemment Conservateur du Parc National de Mayumba.

- Chef de Service chargé des zones périphériques : M. Roger AZIZET, Ingénieur des Techniques des Eaux et forêts.

- Chef de Service chargé de l’Implication des Communautés Locales : M. Patrick-Daniel ABAGHA OLLOMO.

- Chef de Service chargé de l’Aménagement des Parcs : M. Jean-Baptiste SQUARCINI.

- Chef de Service chargé du Tourisme : M. Aristide KASSANGOYE.

- Chargé d’Etude du Directeur Technique : M. Boris MAPIKOU, Ingénieur Forestier, en remplacement de M. Sylvain MBADOU.

CONSERVATEURS

- Conservateur du Parc National d’Akanda : M. Clotaire MOUKAGNI SIKA, précédemment Conservateur adjoint du Parc National de Loango, en remplacement de M. Jean-Jacques TANGA.

- Conservateur du Parc National de Pongara : M. Guy Philippe SOUNGUET, en remplacement de M. Eric DEBONGUSTH AUGOWET.

- Conservateur du Parc National des Monts de Cristal, secteur SENI : M. Nazaire MADAMBA, précédemment Conservateur adjoint de la Réserve Présidentielle de Wonga Wongué, en replacement de M. Simon ANGOUE, admis à faire valoir ses droits à la retraite.

- Conservateur du Parc National des Monts de Cristal, secteur Mbe : M. Kévin Ulrich LEKOGO KIANA, précédemment Chef de Service de la programmation et de la planification à la Direction Technique.

- Conservateur du Parc National de Loango : M. Anicet MEGNE, précédemment Conservateur adjoint du Parc National de Moukalaba Doudou, en remplacement de M. Brice Léandre MEYE.

- Conservateur du Parc National de MOUKALABA-Doudou : M. Daniel Arnaud NDZAME, précédemment Conservateur du Parc National de Birougou, en remplacement de M. Roger NYAMENGO, remis à la disposition de son administration d’origine.

- Conservateur du Parc National de Mayumba : M. Eric DEBONGUSTH AUGOWET, précédemment Conservateur du Parc National de Pongara, en remplacement de Mme solange NGOUESSONO.

- Conservateur du Parc de Minkébé : M. Franck BIBANG BI NGOMO, précédemment Conservateur Adjoint du Parc National de Mwagna, en remplacement de M. Hervé ALLOGHO.

- Conservateur du Parc National d’Ivindo : M. Rostand ABA’A NSEME, en remplacement du Dr Joseph Vivien OKOUYI.

- Conservateur du Parc National de Mwagna : M. Sylvain MBADOU, précédemment chargé d’Etudes du Directeur Technique, en remplacement de M. Serge NKALA Y ETENO, remis à son administration d’origine.

- Conservateur du Parc National de la Lopé : M. Benoit NZIENGUI, précédemment Conservateur du Parc National de Waka, en remplacement de M. Sosthène NDONG OBIANG.

- Conservateur du Parc National de Waka : M. Simplice Hervé OCKOY ELINGOU, en remplacement de M. Benoit NZIENGUI.

- Conservateur du Parc National de Birougou : M. Franck LEPEMANGOYE, précédemment en service à la Direction des Etudes de la Faune au Ministère des eaux et Forêts, en remplacement de M. Daniel Arnaud NDZAME.

- Conservateur du Parc National des Plateaux Batéké : M. André Pierre TCHANDI OTIMBO, Ingénieur des Eaux et Forêts, précédemment en service à la Direction de la Lutte Anti Braconnage, en remplacement de M. Jean TONANGOYE, remis à son administration d’origine.


PRIMATURE

CABINET MILITAIRE DU PREMIER MINISTRE, CHEF DU GOUVERNEMENT

- Attachés de Cabinet du Premier Ministre :

• Lieutenant Major BITEGHE Clément ;

• Sous Lieutenant BIYE OBIANG Marie Flore ;

• Sous Lieutenant TOUPI Daniel ;

• Brigadier Chef TSIONDZO Marcelin;

• Adjudant Chef BEMI Anaclet.

- Secrétaires Particulières :

• Adjudant Chef Major EYANG MINKO Clémentine.

• Maréchal de Logis Chef ANKAMA DIAVIE.

- Secrétaires Techniques :

• Sous Lieutenant BWITY Evelyne ;

• Adjudant Chef MOUBIDZA François ;

• Adjudant Chef TSOUMBA Gaétan ;

• Adjudant MEBALEY ABAGHA Vincent ;

• Brigadier KOUMBA ;

• Brigadier MAOUNDOU ASTRID Isabelle ;

• Sergent Chef ADA MENGOME Mireille Flore ;

• Maréchal de Logis Chef APASSI PASTOR ;

• Maréchal de Logis Chef NIANGUI Benedicta.

- Chauffeur : Sergent OBAME EYEGHE SYDNEY.

Les autres Personnels sont remis à la disposition de leur corps d’origine.


MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT

CABINET DU MINISTRE

- Secrétaire Particulière : Mme Suzanne Laure ITOUMBA ISSEMBE épouse DRAME, en remplacement de Mme BOUANGA Rosalie épouse MPAGA.

SECRETARIAT GENERAL

DIRECTION GENERALE DE LA COMMUNICATION, DE L’INFORMATIQUE ET DES STATISTIQUES DIRECTION DE LA COMMUNICATION

- Directeur : Mme HERVO AKENDENGUE Marie-Sylvie.


CONSEIL D’ETAT

CABINET DU PREMIER PRESIDENT

- Attaché de Cabinet : Mme MOUSSAVOU Félicité.

CABINET DU COMMISSAIRE GENERAL A LA LOI

- Secrétaire Particulière : Mme ZANG OVONO Sylvie ;

- Attachée de Cabinet : M. SIMA MINTSA Pierre ;

- Chef du Protocole : Mme AVOMO ELLA Françoise ;

- Agent de Sécurité : M. ANVAME BITOME Gervais ;

- Chauffeur Particulier : M. NDONG NANG Guy Serge.

CABINET DU SECRETAIRE GENERAL

- Secrétaire Particulière : Mme BOUYI MBEMBO Marie Clémence ;

CABINETS DES PRESIDENTS DES CHAMBRES

- Secrétaire Particulière du Président de la Première Chambre Contentieuse : Mme SIKA MATAYA Thérèse ;

- Secrétaire Particulière de la Deuxième Chambre des Requêtes : Mme ANGO Thierry Sabine épouse NZE MENDOME ;

- Secrétaire Particulière du Président du Service de la Documentation et des Etudes : Mme MOUSSAVOU MABOUNDA Mercedes.

CABINET DES COMMISSAIRES GENERAUX ADJOINTS A LA LOI

- Secrétaire Particulière du Commissaire Général à la loi près la Première Chambre Règlementaire : Mme MANOMBA NGUIMBI Christiane.

- Secrétaire Particulière du Commissaire Général à la loi près la deuxième Chambre Règlementaire : Mme KOUMA NDOUTOUME ELLA Natacha.


COUR DE CASSATION

CABINET DU PREMIER PRESIDENT

- Chef de Cabinet : M. GNIMBI Maurice ;

- Secrétaire Particulière : Mme OUGNOUNZA BOUSSOUGOU Stéphanie ;

- Secrétaire de Cabinet : Mme BOURDES W’EMPIRA Reine Carine ;

- Chef de Protocole : M. EBANE EKOGHA Emmanuel ;

- Conseiller en Communication : Mme ZANG OBIANG Angélique, précédemment Attaché de Presse ;

- Aide de Camp : Sous Brigadier MANFOUMBI Marcel, précédemment en service à la Direction Générale de la Logistique.

- Agents de Sécurité :

• Brigadier de Police, MIHINDOU Jean Pierre, précédemment en service à l’Ecole de Police (ESCAP) ;

• Gardien de Paix, NGOUBA-MBIGUI Lionel Ashley.


SENAT

CABINET DU PRESIDENT

- Directeur de Cabinet : M. David IKOGHOU MENSAH, cumulativement avec ses fonctions d’Enseignant à l’Université Omar BONGO ONDIBA, en remplacement de M. Christian QUENTIN BAPTISTE.

COMMISSION DE LUTTE CONTRE L’ENRICHISSEMENT ILLICITE

- Agent de Sécurité du Commissaire : M. IGALLA NGOMA Judicaël, en remplacement de M. ANGOUE EBOUANG Stéphane Olivier, remis à la disposition de son administration d’origine.


MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE

CABINET DU MINISTRE

- Conseiller Chargé des Organisations Internationales : Mme Clémence Eliane ANIAMATSIE MBELE, Conseiller des Affaires Etrangères.

- Conseiller Chargé de la Prospective : M. Serge MOMBEY, Administrateur Civil en Chef.

- Chargés d’Etudes :

• M. Germain BIAHODJOW, Conseiller des Affaires Etrangères ;

• Mlle Sonia OLENDO.


MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PECHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

CABINET DU MINISTRE

- Chargé d’Etudes : M. Jean AMPARI.

- Conseiller chargé du Développement Rural et des Aménagements des Terres Agricoles : M. Sylvestre MAKANGA, Master en Economie du Système Agro-Industriel, en remplacement de M. Jean-René NZAMA MOMBO.

SECRETARIAT GENERAL

- Secrétaire Général Adjoint 1 : M. Barthélémy BONGO AKANGA NDJILA, en remplacement de M. Jean NGOUELE, remis à la disposition de son administration d’origine.

ADMINISTRATION CENTRALE

– DIRECTIONS GENERALES DIRECTION GENERALE DE L’AGRICULTURE

- Directeur Général : M. Jean René NZAMBA MOMBO, Ingénieur Agronome.

- Directeur Général Adjoint : Mme Clarisse PONGA, confirmée.

DIRECTION GENERALE DE L’ELEVAGE

- Directeur Générale de l’Elevage : M. Daniel OBAME ONDO, Docteur Vétérinaire, en remplacement de Mme Aubierge MOUSSAVOU.

- Directeur Général adjoint : M. Bruno Franck MIHINDOU MOUSSAVOU, Docteur Vétérinaire, en remplacement de M. MBA BEKOUNG.

DIRECTION GENERALE DE LA PECHE ET DE L’AQUACULTURE

- Directeur Général : Docteur Guy Anicet RERAMBYATH, confirmé.

- Directeur Général Adjoint : Mme Louise ALLELA, Ingénieur Pêche et Aquaculture, en remplacement de M. Jean AMPARI.

DIRECTIONS

- Directeur des Pêches Industrielles : Mme Pulchérie MENGUE M’ADZABA, Ingénieur Pêche et Aquaculture.

- Directeur des Pêches artisanales : M. Jean de Dieu DOUMABILA, Ingénieur Halieute.

- Directeur de la Qualité et des Inspections Sanitaires M. Gilles Aurélien BOUPANA MAPEYI, Docteur Vétérinaire.

- Directeur de l’Aquaculture : M. Franck Aristide BIGNUMBA MOMBO, Ingénieur Agronome, spécialiste en production halieutique.

- Directeur des Affaires Juridiques et de la Surveillance : M. Jean Yvon ELANGMANE.

- Directeur Provincial des Pêches de l’Ogooué Maritime : M. Samuel Renaud JOCKTANE.

DIRECTION GENERALE DU DEVELOPPEMENT RURAL

- Directeur Général : M. Calixte MBENG, Ingénieur Agronome, précédemment Directeur Général de l’ONADER, en remplacement de M. Barthélémy BONGO AKANGA NDJILA.

- Directeur Général Adjoint M. Voga MOUDOUBOU.

DIRECTION GENERALE DES ETUDES ET STATISTIQUES AGRICOLES

- Directeur Général : M. Denis NZOGHE, Docteur en Agronomie Tropicale, confirmé.

- Directeur Général adjoint : M. Fernand DIABA MOUISSI, Ingénieur Statisticien.

ORGANISMES SOUS TUTELLE OFFICE DES RECHERCHES, D’INTRODUCTION, D’ADAPTATION ET DE MULTIPLICATION DU MATERIEL, VEGETAL (ORIAM)

- Directeur Général : M. Henri-Grégoire NGOUA ASSOUME.

- Directeur Général Adjoint M. Isidore MBINA.

DIRECTION GENERALE DE L’OFFICE NATIONALE DU DEVELOPPEMENT RURAL (ONADER)

- Président du Conseil d’Administration : Paul Steeve Flavien ONDZOUNGA, en remplacement de M. PASSAKA Bernard, décédé.

- Directeur Général : M. Blaise ESSIELE, Ingénieur Agronome, en remplacement de M. Calixte MBENG.

- Directeur Général adjoint : M. Michael RONOUBIGOUWA AVARO, Docteur en Agronomie.

- Directeur des Etudes et Recherches : Mme Nadine AWA NDONG, Ingénieur agronome.

- Directeur du Conseil Agricole et Rural : M. Lazard OSSENDE ESSANGA, Docteur en Science Agronomique tropicale.

- Directeur de la Production et des aménagements : M. Urbain NGUEMA MBA.

- Directeur Administratif et Financier : M. Florent Jasmin LIYOKO M’BINGA, Administrateur Economique et Financier, Confirmé.

AGENCE GABONAISE DE SECURITE ALIMENTAIRE (AGASA)

- Directeur Général : Dr Sylvain Patrick ENKORO, Docteur en Médecine Vétérinaire.

- Directeur Général Adjoint : Mme Yvette SOUNDA, Docteur Vétérinaire.

AGENCE DE COLLECTE ET DE COMMERCIALISATION DES PRODUITS AGRICOLES (ACCOPA)

- Directeur Général : M. Chris MOMBO NZASSI, précédemment Directeur Général de l’AGASA.

- Directeur Général Adjoint : M. Pelage AKOGHE NSOME, Ingénieur Agronome, spécialiste en Conditionnement.

OFFICE NATIONAL DE LABORATOIRES AGRICOLES (ONALA)

- Directeur Général : M. Patrick MBA BEKOUNG, Docteur Vétérinaire.

- Directeur Général adjoint : Mme Yolande BIVIGOU épouse MBENG.

DIRECTION NATIONALE DU FONDS INTERNATIONAL DE DEVELOPPEMENT AGRICOLE (FIDA)

- Directeur National : Mme Rachelle EWOMBA JOCKTANE, en remplacement de Mme Yolande BIVIGOU épouse MBENG. INSTITUT GABONAIS D’APPUI AU DEVELOPPEMENT (IGAD)

- Directeur Général adjoint : M. Alain MAKAYA, Ingénieur Zootechnicien.


MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE

CABINET DU MINISTRE

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mlle Olga BIANG-MANE NGOUA.


MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION.

COMMISSION NATIONALE POUR LA PROTECTION DES DONNEES A CARACTERE PERSONNEL

- Représentant de l’Ordre des Avocats : Maître Sylver Denis RETENO NDIAYE.


MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES

CABINET DU MINISTRE

- Madame Pierrette BOUNDA est remise à la disposition du Ministère de la Justice, Garde des Sceaux, des Droits Humains et des Relations avec les Institutions Constitutionnelles, porte-parole du Gouvernement, son administration d’origine.


MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DES MINES

CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’AGENCE DE NORMALISATION ET DE TRANSFERT DE TECHNOLOGIE (ANTT)

- Président du Conseil d’Administration de l’ANTT : M. : Michel MBOMO UPIANGOU, Ingénieur Informaticien en Chef de l’Administration Gabonaise.


MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

CABINET DU MINISTRE

RESPONSABLES DU BUREAU CENTRAL DU RECENSEMENT

- Directeur du Bureau Central du Recensement (DBCR) : M. Noël MOUSSAVOU.

- Directeur Adjoint du Bureau Central du Recensement (DABCR) : M. Jean Pierre ZIMA MEFE.

CHEFS DE SECTIONS

- Chef de Section Cartographie : M. Désiré ZE NGUEMA.

- Adjoint au Chef de Section Cartographe : M. Serges MAGANGA.

- Chef de Section Collecte et Méthodologie : Mme Hélène BENGOBSAME.

- Adjoint au Chef de Section Collecte et Méthodologie : M. Daniel EDJO MVE.

- Chef de Section Analyse, Exploitation et Diffusion : Mme Nicole NTSAME ONDO.

- Adjoint au Chef de Section Analyse, Exploitation et Diffusion : M. Jean NDONG NKOGHO.

- Chef de Section Administration et Finance : Mme Jeannine BAKENDA.

- Adjoint au Chef de Section Administration et Finance : Mme Elvire REVAZA.

- Chef de Section Communication et Sensibilisation : Mme Edwige OYE NDONG.

- Adjoint au Chef de Section Communication et Sensibilisation : M. Yves Roger MOUANAMBATSI.


CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS

- Membre du Conseil de Surveillance de la Caisse des Dépôts et Consignations pour le Compte du Ministère de la Justice, Garde des Sceaux : M. Alphonse NKOROUNA, Directeur des Affaires Pénales et des Grâces au Ministère de la Justice, Garde des Sceaux, des Droits Humains et des Relations avec les Institutions Constitutionnelles, en remplacement de M. BIBANG BI NDONG Simon Michel.


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Gabon: Conférence de Presse du Porte Parole de la Présidence de la République

 

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ORDRE DU JOUR

 

 

I/- LE CALENDRIER DE PRESENTATION DES VŒUX AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

 

II/- LA VISITE DU PREMIER MINISTRE TURC AU GABON.

 

III/- LA VISITE DU DIRECTEUR EXECUTIF DU FONDS DES NATIONS UNIES POUR LES POPULATIONS AU GABON 

 

IV/. RENCONTRE DES MINISTRES DES AFFAIRES ETRANGERES DE LA CEEEAC

 

 

I/- LE CALENDRIER DE PRESENTATION DES VŒUX 2013 AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

 

Les  3, 4, 9 et 10 janvier 2013, le Président de la République, Chef de l’Etat et Madame Ali BONGO ONDIMBA recevront les vœux de la République pour l’année 2013 au Palais de la Présidence de la République selon le calendrier ci-après :

 

Jeudi 03 janvier 2013

 

En matinée : le corps diplomatique (Salle d’Apparat du 2ème étage).

 

Dans l’après-midi : le Gouvernement et l’Administration Centrale, le Sénat, l’Assemblée Nationale, la Cour Constitutionnelle et le Corps Judiciaire, le Gouvernorat (Salle d’Apparat du 2ème étage).

 

Vendredi 04 janvier 2013

 

En matinée : les Forces de défense et de Sécurité (Salle d’Apparat du 2ème étage).

 

Dans l’après-midi : La Présidence de la République (Salle d’Apparat du 2ème étage)

Mercredi 09 janvier 2013

 

En matinée : le CNC, le CES, les Commissions indépendantes (CENAP, CNLCEI, MEDIATURE), les Mairies et les Confessions religieuses (Salle d’Apparat du 2ème étage).

 

Dans l’après-midi : les Confédérations syndicales (Salle d’Apparat du 2ème étage).

 

 Jeudi 10 janvier 2013

 

En matinée uniquement : la Presse (Salle de Presse Bâtiment Bureaux)

 

 

II/- LA VISITE DU PREMIER MINISTRE TURC AU GABON

 

 

Le Président de la République recevra le 7 janvier prochain le Premier Ministre de la Turquie Monsieur Recep TAYYIP ERDOGAN qui sera accompagné de quatre Ministres et d’une délégation d’hommes d’affaires.

 

Il faut rappeler que cette visite fait suite à la rencontre en Turquie il y a quelques mois entre le Président Ali Bongo Ondimba et son homologue turc, Son Excellence Abdullah Gül, qui s’étaient entretenus sur les possibilités de partenariats entre nos deux pays.

 

C’est l’occasion de noter que les efforts engagés par le Président de la République qui, depuis son accession à la Magistrature Suprême, a effectué plusieurs visites officielles à travers le monde pour vendre l’image du GABON, rencontrent un intérêt véritable dans nombreux pays et auprès de nombreux investisseurs.

 

La Turquie est en effet la 1re puissance économique du Moyen-Orient devant l'Iran et l'Arabie saoudite[], la 7e puissance économique d'Europe et la 15e puissance économique mondiale[].

 

Membre du G20 et de l'Union Douanière Européenne, la Turquie a officiellement entamé ses négociations d’adhésion avec l’Union Européenne en octobre 2005.

En Europe justement, la Turquie est :

  • le 1er fabricant de téléviseurs ;
  • le 4e dans les pièces détachées automobiles ;
  • le 1erproducteur d’engrais chimiques ;
  • le 3e producteur sidérurgique ;
  • le 3e fabricant de céramique ;
  • le 6e fabricant de réfrigérateurs ;
  • et le 4e marché de télécoms.

 

 

III/- LA VISITE DU DIRECTEUR EXECUTIF DU FONDS DES NATIONS UNIES POUR LA POPULATION AU GABON 

 

Le 7 janvier prochain, le Directeur Exécutif du Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP) sera en visite de travail au Gabon. Il sera reçu en audience par le Président de la République, Chef de l’Etat.

 

Cette visite fait suite aux  différents entretiens que les deux personnalités ont eu lors de la dernière session ordinaire de l’Assemblée Générale des Nations Unies à New York.

 

Il s’agira de faire le point de la coopération entre le Gabon et le FNUAP dans tous les domaines, notamment sur la contribution du Gabon à la réduction de la mortalité maternelle au Gabon et sur le Continent africain.

 

Il est à rappeler que cette question sera abordée lors du prochain sommet des Chefs d’Etats et de Gouvernements de l’Union Africaine prévu fin janvier 2013 à Addis-Abeba en Ethiopie.

 

 

IV/. RENCONTRE DES MINISTRES DES AFFAIRES ETRANGERES DE LA CEEEAC

 

Les ministres des Affaires Etrangères de la CEEAC vont s’entretenir aujourd’hui dans notre Capitale pour évaluer la situation qui prévaut en République Centrafricaine.

Une situation que le Président de la République suit de très près en sa double qualité de Président de la République gabonaise et de Président en exercice de la CEMAC.

 

 

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21/12/2012

Gabon: Les veuves et leurs enfants célèbrent Noel au Centre Mbandja

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Nous avons eu le plaisir d’accueillir cet après midi, dans les locaux du Centre Mbandja une partie de notre grande famille : Des femmes d’exception qui se battent au quotidien pour leurs droits et ceux de leurs enfants. Je parle bien entendu des Veuves.

Très émues et touchées par cette surprise, ces femmes parmi les plus démunies suivis par la cellule veuves ont vu leurs enfants recevoir un cadeau de noël et ont reçu pour leur part un panier garni de produits alimentaires, d’entretien, personnels ainsi qu’un bon d'achat pour des produits de la vie de tous les jours a valoir dans les supermarchés de Libreville .

En période de fêtes il nous semblait indispensable d’être aux côtés de ces femmes et de leurs enfants. " Où est maman Sylvia, on veut la remercier " ont lancé quelques femmes présentes m’ont rapporté les membres de mes équipes.

Sachez que je suis et serai toujours à vos côtés. Ce moment vous appartenait, c’était le vôtre. Nous aurons d’autres occasions de nous retrouver en 2013.

Merci à toutes mes équipes pour le travail qu’elles accomplissent au quotidien. Avec un peu d’avance ….

Bonnes fêtes de fin d’année à vous tous.

Bonne soirée à tous !


Sylvia Bongo Ondimba


 

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http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

https://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/155356889540

 

Le Centre Mbandja
Avenue de Cointet à Libreville. 
BP 20495 Libreville
Standard du Centre Mbandja: 01 77 86 70 
 
 

L’objectif général du Centre Mbandja est le renforcement des capacités des ONG, et particulièrement celles oeuvrant dans le domaine humanitaire et social en faveur de la femme

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/fr/nos-engagements/droits-et-promotion-de-la-femme/centre-mbandja 

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17/12/2012

Gabon: Condoléances d'Ali Bongo Ondimba à Barack Obama

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Vendredi 14 décembre dernier, une terrible fusillade dans une école primaire de Newton, dans le Connecticut (Etats-Unis) a fait 26 victimes. Le Président gabonais, Ali Bongo Ondimba adresse un message de soutien à toutes les familles des victimes et au Président Barack Obama.


« Monsieur le Président,

C’est avec tristesse et consternation que j’ai appris la nouvelle de l’effroyable tuerie qui s’est déroulée vendredi 14 décembre 2012 dans une école primaire de Newton, dans le Connecticut à la suite de la fusillade qui a fait une vingtaine de morts et des blessés.

Cette affligeante circonstance, qui survient dans votre pays, chantre des valeurs de liberté et de tolérance, nous attriste d’autant que les victimes sont pour la plupart des enfants de très bas âge dont le devenir est cruellement et définitivement arrêté par la folie meurtrière d’un homme.

Cette tragédie demeure pour nous parents, un événement déplorable et condamnable à tous points de vue.

Aussi, voudrais-je, au nom du peuple gabonais, du Gouvernement de la République, de la Première Dame du Gabon et au mien propre, vous adresser mes plus vives et sincères condoléances et assurer à votre Excellence, aux familles des victimes ainsi qu’à l’ensemble du peuple américain ami, de notre soutien et de notre compassion.

Je reste convaincu que vous saurez puiser dans cette terrible épreuve, qui affecte profondément la Nation américaine, toute l’énergie et la détermination nécessaires pour trouver les solutions qui sécuriseraient d’autres innocents et empêcheraient des tragédies semblables.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’assurance de ma haute considération ».


Ali Bongo Ondimba


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16/12/2012

Conférence de presse du Conseil supérieur islamique du Gabon (Cesaig) : ‘’Au Gabon, l’islam doit rester hors du champ politique.’’

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Samedi 15 Décembre 2012, Libreville - C’est la salle de conférence ‘’Arambo’’ du ministère de l’économie et des finances, qui a servi de cadre à une séance de restitution de la vérité, dont le conférencier principal était Monsieur Ali Akbar Onanga Y’Obegue, Secrétaire Général Adjoint de la Présidence de la République, et Conseiller Spécial du Raïs de la Communauté Musulmane du Gabon, Son Excellence Hadj, Ali Bongo Ondimba.

Depuis plusieurs semaines, de nombreuses allégations ternissent l’image du Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Gabon (CSAIG), faisant le lit à des interprétations les plus maladroites et non fondées.

Au nombre de ces allégations, l’adhésion de la communauté islamique à la tenue d’une conférence nationale souveraine, et la vaste cabale médiatique de dénigrement autour de la personne du Grand Imam du Gabon, Président du CSAIG, Ismael Oceni Ossa.


Pour lever tout point d’ombre sur cette vaste conspiration, le Conseiller du Spécial du Raïs de la Communauté Musulmane du Gabon, Ali Akbar Onanga Y’Obegue, a eu une réaction et des propos sans équivoques.

Concernant la pseudo adhésion de la communauté musulmane à la tenue d’une conférence nationale souveraine, Monsieur Ali Akbar, a restitué la teneur et la tonalité d’une rencontre interne d’éclaircissement, tenue la veille, entre le bureau directeur du CSAIG et le principal concerné, à savoir Monsieur Omar Omanda, membre du bureau exécutif du CSAIG.

A la demande d’explications qui lui était faite à l’occasion de cette réunion, Monsieur Omar Omanda a dit avoir signé non pas au nom du CSAIG, mais au nom de l’association dont il est le fondateur, à savoir la Fondation Islamique pour laRéhabilitation des Musulmans du Gabon.


Selon lui, la parution dans la presse de cet acte constitue une déformation de l’information, et une instrumentalisation de sa signature.

En tout état de cause, l’acte posé a été reconnu comme violant les dispositions de l’article 12 de la charte de la Communauté Musulmane du Gabon, qui exclut de son champs d’activité toute préoccupation ou participation politique, par le CSAIG lui même, y compris par les associations qu’il reconnaît et qui lui sont affiliées.

C’est pourquoi, en raison des faits reprochés à Monsieur Omar Omanda, le bureau a, à la majorité des 2/3, adopté une proposition d’exclusion de ce dernier qu’il va soumettre au Raïs qui a seul pouvoir de nomination et de destitution des membres du bureau du CSAIG.


L’IMAM ALI DZIMBENA fut la deuxième personne signataire de l’appel à la tenue de la conférence nationale souveraine, et selon Monsieur Ali Akbar, il serait également auteur présumé des articles de presse injurieux, calomniateurs, diffamateurs et proprement mensongers à l’égard de l’Islam, du CSAIG et de ses principaux responsables, principalement son Président, l’Imam Ismael OCENI OSSA.

Invité à s’expliquer sur les motivations de ses agissements, ce dernier s’est refusé à fournir une quelconque explication au bureau du CSAIG, sous le fallacieux prétexte que ce bureau n’avait pas qualité pour l’auditionner en sa qualité d’Imam

Devant son refus de s’expliquer, le bureau entend prendre toutes les sanctions qui s’imposent contre cet Imam qui du seul fait de ses agissements a perdu le droit à cette fonction, car au Gabon, a dit Monsieur Ali Akbar, les Imams ont vocation à rester dans les mosquées et non pas dans les meetings politiques!

Motivant sa position et son regret face à une telle situation, le Conseiller spécial du Rais, Monsieur Ali Akbar a indiqué que l’interférence passionnée de l’islam dans les questions d’ordre politique a été préjudiciable dans bon nombre de pays.


Prenant à témoin l’opinion nationale Monsieur Ali Akbar a indiqué que l’Islam au Gabon n’est pas dans le champ politique, n’a pas d’idéologie politique et que par conséquent les hommes politiques du Gabon doivent respecter ce positionnement pour éviter d’ouvrir des portes qui pourraient conduire le pays dans une voie sans issue et aux conséquences dommageables certaines.

D’autres sujets ont été abordés lors de cette conférence de presse, et concernant l’actuel Président du Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Gabon, le Grand Imam Ismael Océni Ossa, parmi lesquels on peut retenir : la gestion du drame survenu lors de l’édition 2012 du pèlerinage à la Mecque ; la prétendue arrestation de l’Imam avec de nombreuses devises à l’aéroport ; la demande de démission de l’Imam par certains membres en raison de la mauvaise gestion de la communauté musulmane par le président du Conseil, la mauvaise gestion de la mort du défunt pèlerin, Djibril Ndzéyi, etc.


En réponse, point par point à toutes ces questions, l’orateur, le Conseiller Spécial du Raïs, Ali Akbar n’y est pas allé par quatre chemins pour rétablir les faits dans leur véracité.

Jamais l’Imam Océini n’a été, ni de près, ni de loin mêlé à quelque affaire de devises, encore moins arrêté à quelque aéroport.

Au sujet de la mort du pèlerin Djibril Ndzéyi, le Conseiller Spécial du Raïs a rappelé qu’aucun effort n’a été ménagé pour lui venir en aide, et qu’il a été malheureusement, le seul des onze pèlerins atteints par la pathologie qui l’a emporté.

Aussi, la décision de l’enterrement en terre sainte a été consécutive à un accord de la famille éplorée.


Enfin, s’agissant de la prétendue demande du départ de l’Imam Ismael OCENI OSSA par les musulmans, Ali Akbar a indiqué que les membres du CSAIG et la majorité des musulmans du Gabon ne se reconnaissent pas dans une telle démarche, d’abord parce que le travail du Président du CSAIG est apprécié du plus grand nombre, ensuite parce qu’une telle prérogative ne leur appartient même pas, car elle est du ressort du RAÏS de la Communauté Musulmane du Gabon qui, aux termes des dispositions cumulées des articles 10 et 16 de la Charte nomme le Président et met fin à tout moment à ses fonctions.

Or, justement, le management de l’Imam Océni n’a jamais été remis en cause par le Raïs de la Communauté musulmane, son Excellence Hadj Ali Bongo Ondimba lequel, au contraire, manifeste sa très grande satisfaction dans le management du CSAIG par le Président Ismael OCENI OSSA, et lui exprime, chaque fois que possible son soutien dans son action.


FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com

La politique du Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org

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14/12/2012

Le Gabon, nouveau membre de la Fédération Internationale Automobile (FIA)

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Jeudi 13 Décembre 2012, Libreville - Suite à l'assemblée générale annuelle de la Fédération Internationale Automobile (FIA) qui s'est déroulée à Istanbul (Turquie), du 3 au 7 décembre 2012, la République Gabonaise a vu sa demande d'affiliation accordée et devient un nouveau membre à part entière de la FIA, connue dans le monde entier pour ses actions de prévention de la sécurité routière et pour lʼorganisation des plus importantes épreuves sportives automobiles homologués.

Par cette affiliation, le Gabon entend notamment améliorer sa sécurité routière et à terme, ouvrir des possibilités de développement dans le sport automobile.


Amélioration de la Sécurité routière au Gabon .

Afin de diminuer le nombre d’accidents de la route, plusieurs axes sont à retenir pour cette nouvelle collaboration entre l’Etat gabonais et la FIA :

La sensibilisation et l‘éducation à travers des campagnes récurrentes contre l’alcoolisme, la vitesse au volant, le port de la ceinture... Mais également des campagnes spécifiques sur la sécurité des piétons.

Environ 46% des personnes qui meurent sur les routes dans le monde sont piétonnes, cyclistes, conducteurs ou des passagers de deux-roues motorisés, des usagers dits «vulnérables» (Source OMS);

Le renforcement de la législation et l’amélioration des capacités permettant le recueil de données;

L’organisation du parc automobile notamment des filières d’import ou de deuxième main. Ces véhicules, en général plus âgés et vétustes, ne disposent pas des dernières évolutions technologiques telles que le système de freinage ABS et sont par conséquent considérés davantage à risque.

A terme, l’objectif est de réduire le nombre d’accidents de la route de manière significative.


Le développement du sport automobile

Plusieurs pays africains sont déjà membres de la FIA parmi lesquels l’Afrique du Sud, le Maroc, l’Ile Maurice, la Côte d’Ivoire ou le Kenya.

A l’instar de ces pays, le Gabon pourra organiser des activités de sports automobiles, encadrées par la Fédération dans le respect des règles de sécurité, de canevas précis et aussi à terme créer un circuit homologué.


FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com

La politique du Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org


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13/12/2012

COP 18 et DOHA GOALS : UN SEJOUR AU QATAR AVEC DE NOMBREUSES RETOMBEES

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Mercredi 12 Décembre 2012, Doha - Le Président Ali BONGO ONDIMBA a pris part à deux évènements de portée internationale. L’un dans les domaines de l’environnement, et l’autre touchant au sport. Deux domaines où le Gabon a marqué son leadership et son positionnement avec des ambitions réitérées à travers des actes et des symboles forts.

COP 18, un plaidoyer pour l’avènement d’une planète plus verte Du 26 novembre au 7 décembre 2012, Doha a abrité les assises de la 18e Conférence des Parties (COP-18) à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et 8e Conférence des Parties siégeant en tant que Réunion des Parties au Protocole de Kyoto.

Première COP ayant eu lieu depuis l’établissement de la « Plateforme de Durban pour une action renforcée », cette rencontre, à laquelle a pris part le Président Ali Bongo Ondimba, a été pour le numéro un Gabonais l’occasion de prendre la parole pour réitérer son engagement et le positionnement de son pays sur les questions environnementales.


Environnement, changement climatique et développement durable, telles furent les axes sur lesquels le Chef de l’Etat gabonais s’est illustré par son engagement pionnier et visionnaire, réitérant un leadership affirmé lors des diverses conférences sur ces sujets depuis son accession à la magistrature suprême ; Nagoya, Durban, Libreville, Rio, etc…

Comme à son habitude, le Chef de l’Etat gabonais a voulu rompre avec les refrains habituels et s’inscrire dans un langage de vérité et d’objectivité, à un moment crucial où Dame Nature et les générations futures se retrouvent de plus en plus vulnérables face à des dégâts imprévisibles.

Le Président Gabonais a fait un plaidoyer sur la nécessité d’émergence d’une nouvelle conscience de partage d’une même planète, ainsi que le devoir d’une meilleure gestion des biens planétaires communs à toute l’humanité.


Lenteur des progrès dans les négociations, division de fait des peuples et des nations, perte de confiance sont apparus dans le discours du numéro un gabonais comme des entraves à l’avènement d’une planète plus verte. Il a donc exhorté et prôné de ce fait des actions communes, concertées, responsables et effectives.

Quelques jours après cet évènement de haute portée sur l’environnement, ce fut au sport de fédérer les synergies à travers le forum Doha Goals, où le Chef de l’Etat Gabonais a également fait une forte impression, à travers sa brillante participation.


DOHA GOALS : Le sport, une industrie au service du développement économique et social.

Premier rendez-vous mondial organisé autour du sport, les Doha Goals sont une initiative conjointes du Qatar et du groupe ‘’Richard Attias & Associates’’. Evènement exceptionnel ayant réuni les plus grandes légendes du monde sportif, le Doha Goals s’est tenu du 10 au 12 Décembre 2012, avec la participation d’icônes sportives mondiales venues des quatre coins du monde.

A la faveur de cet évènement, le président gabonais Ali Bongo Ondimba, dont le pays nourrit de nobles ambitions sportives, consécutives à l’organisation de la CAN 2012, a prononcé un discours fort mémorable le 11 Décembre.

Le message du Président Ali Bongo Ondimba était essentiellement axé sur les enjeux du sport et leurs implications sur les secteurs clés de développement. A travers des exemples concrets, le numéro Un gabonais a décliné ses ambitions pour ses concitoyens ainsi que l’orientation de la politique sportive de son pays.


Les Doha Goals furent l’occasion pour le Président gabonais et sa délégation de nouer des contacts stratégiques susceptibles d’être bénéfiques pour les disciplines sportives essentielles au Gabon.

Cette délégation était composée du Ministre Séraphin Moundounga, en charge de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et Technique, de la Formation Professionnelle, chargé de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, des membres du Cabinet Présidentiel, des responsables de structures sportives et des sportifs dont Daniel Cousin, capitaine des Panthères.

Plusieurs projets en cours de discussion ont touché tant à la formation dans les disciplines des sciences et d'éducation sportives, qu'à leur encadrement et accompagnement ouvrant ainsi de nouvelles opportunités.


A cet effet, de nombreux professionnels internationaux ont signifié leur souhait de s'impliquer activement dans le développement du sport au Gabon, telles que la championne du monde kenyane Tegla Loroupe, détentrice de plusieurs records du monde et première athlète africaine à gagner le marathon de New York en 1994, la Federation Française de Football, etc…

D’autres personnalités, également sensibles à la prestation du Chef de l'état gabonais et sa vision, ont adhéré à son ambition, telles que : l'arbitre internationale sénégalaise Fatou Gaye qui a officié lors de deux Coupes d'Afrique et deux Coupes du Monde, le Tchadien Bah Pna Dahane, Consultant International en marketing sportif et développeur de projets pour le basket-ball.

En marge de l'édition du New York Forum Africa , il avait joué un rôle majeur pour la présence du préparateur physique camerounais Joe Touomou, fondateur de Joe Touomou Training Center, aux Etats Unis et des Kossengwe Camps à Yaoundé, est venu à la rencontre des jeunes basketteurs gabonais du centre sportif Ballon d’Or de Libreville.


Les Doha Goals, c’était également l’impressionnante participation de plus de 400 étudiants venus d'une trentaine de pays, la présence de l'université de Paris 1 Panthéon Sorbonne et l'annonce d'un palmarès des meilleures pratiques en matière d'intégrité sportive, résultant d'une étude de la chaire "Ethique et sécurité sportive".

A travers Doha Goals , s'exprime une perspective d’offrir une convergence de vue et d'ambitions entre le President Ali Bongo Ondimba et Son Altesse Sheikh Hamad Bin Khalifa Al Thani , entre le Gabon et le Qatar dans la place du sport dans la société et dans le monde d'une part et dans la volonté de toujours plus et mieux satisfaire des publics croissants et avides d’émotions, de sensations, de records et de spectacles.

Ces ambitions partagées portent aussi sur les politiques d'aménagement d'infrastructures de haut niveau, fort de la conviction que les nations qui réussissent dans les sphères sportive et culturelle sont celles-là même qui connaissent ou finissent par connaître le succès économique et social.

Les Doha Goals, c’était enfin la confirmation de l'affiliation du Gabon à la Fédération Internationale d'Automobile (FIA).


FIN


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La politique du Gabon Émergent

 


 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

 

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

 le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

 

 le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

 le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

 

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 


 

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11/12/2012

DOHA GOALS : ALLOCUTION DE S.E. ALI BONGO ONDIMBA, Président de la République Gabonaise, Chef de l’Etat

 

 

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Son Altesse Sheikh Hamad Bin Khalifa Al Thani, Emir du Qatar, 

Monsieur le Directeur Exécutif de DOHA GOALS,

Mesdames, Messieurs les Ministres et Ambassadeurs 

Chers Champions,

Mesdames, Messieurs,

 

Notre assemblée d’aujourd’hui est inédite dans sa composition et son format et je me réjouis de cette initiative particulièrement pertinente.

Je suis ici comme sportif. 

Ne vous y méprenez pas même si j’ai pris un peu de poids et que je ne puisse pas me prévaloir de vos carrières, médailles et  performances. Mais toujours est-il que je suis n sportif et un fan de sport. 

Le sport, aujourd’hui, est devenu de plus en plus un fédérateur des cœurs,  un moment fort d’espoirs, de rêves, d’émulation, de performances et d’accomplissement individuel et collectif. 

Il passionne et draine les peuples et les foules, les stades et aires de jeux et occupe une place de premier choix parmi les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs et internautes.

 

En Afrique, il aura permis de dépasser certains complexes d’infériorité et reste un moyen de valorisation sociale, de reconnaissance et de respect au niveau international.

Nos sportifs, à côté de certains de nos artistes, sont des célébrités, des ambassadeurs de notre continent, auquel ils apportent une visibilité réelle et positive.

Ils ont été les premiers a mettre l’Afrique sur la carte du monde. 

La récente performance olympique de Anthony Obame, médaillé d’argent a Londres en Taekwondo, a permis aux téléspectateurs du monde entier de découvrir l’émergence du  Gabon dans le domaine du sport.

 

De même, Daniel Cousin, ici présent, capitaine des Panthères, l’équipe nationale de football du Gabon, est plus connu des gabonais et sportifs du continent que la plupart de nos hommes politiques.

Qui ne connait Abebe Bikila, Samuel Etoo, Didier Drogba, , Hicham El Guerrouj, Akim Olajuwon, Tegla Loroupe ici présente aujourd’hui et tant d’autres célébrités et performeurs ?

Ces légendes vivantes sont le symbole de la persévérance, de la performance et des modèles de réussite. 

Les championnats de football du monde entier accueillent leur  légion de joueurs africains de haut niveau depuis des décennies.

Notre continent a aussi accueilli avec succès la Coupe du Monde FIFA 2010  en Afrique du Sud. 

Le monde entier du sport accueille de plus en plus d’Africains de haut niveau.

 

Votre Altesse, Mesdames, Messieurs,

 

En Janvier et Février 2012, le Gabon a coorganisé  avec la Guinée Equatoriale la 28ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations de Football, la CAN.

Cet événement sportif majeur, figure parmi les cinq plus grandes manifestations sportives au monde. Elle demeure de loin la première et la plus populaire de notre Continent.

Permettez moi ici, de partager avec vous, cette expérience qui fut un formidable défi national et régional à relever.

 

Nous avions une vision, des objectifs, un plan et des projets qui dépassaient  la seule exigence d’organisation d’un évènement sportif  et intégraient les besoins et aspirations diverses des populations. 

Au-delà  des lieux de compétitions, il s’agissait d’implanter des infrastructures transversales, telles que des routes, les télécommunications, les travaux d’adduction d’eau et d’électricité, ou aménagements urbains, qui demain, continueront a bénéficier au plus grand nombre. Aussi, plusieurs infrastructures ont été réalisées pour les entrainements des équipes. 

Au total, une douzaine d’hôtels nouvellement construits auront également servi à l’instar  de l’hôtel de Nzeng Ayong, qui accueille désormais la fondation Samuel Eto’o, en partenariat avec l’équipe du Berça.

 

Nous avons créé et confié à  une Agence Nationale des Grands Travaux,  la maitrise d’ouvrage et le contrôle des projets, en recourant aux services de sociétés parmi les plus expérimentées et réputées au monde comme la société américaine Bechtel tout en veillant a la maitrise des couts et au meilleur rapport qualité prix.

Au niveau sanitaire, nous avions intégré dans nos objectifs les infrastructures dont les populations ont tant besoin, notamment l’incorporation d’infrastructures médicales et le renforcement des services d’urgences.

Le sport étant un domaine ou l’argent a sa place, un rapport financier dans lequel se trouve toutes les statistiques et indicateurs clés a été édité en avril 2012 par le Comite d’Organisation de la CAN ceci en partenariat avec un Cabinet d’audit international.  

Mais le Sport va au delà d’une question d’argent.

 

Les vertus sportives comme l’esprit d’effort, la persévérance et l ‘excellence concordent avec le  management, le leadership et le succès. Elles s’appliquent à plusieurs aspects de la vie. 

En tant qu’Homme d’Etat, j’ai beaucoup appris de ces principes universels forts et nobles.

Je sais qu’il peut m’arriver de gagner quelquefois et d’autres fois de perdre même si cela ne me plait pas.

C’est bien cela la sportivité!


Le Sport permet de sortir le meilleur de soi, en chaque individu, quel que soit son statut social, qu’il soit riche ou pauvre, noir ou blanc.

Personnellement je parle sport, je pense sport et je vis le sport.

Une chose que j’ai apprise est qu’en tant que sportif, vous vous préparez à toute compétition psychologiquement et  physiquement.

Ces valeurs et acquis du Sport tel qu’un moral fort, la confiance, une  préparation méticuleuse et le courage aident à surmonter tout autre défi de la vie.

Nous nous y appuierons pour rejoindre le rang des nations émergentes.

 

Avec la CAN, nous avons capitalisé une immense expérience de structuration organisationnelle, d’administration et de planification, de promotion et de commercialisation, de réalisation d’infrastructures, de livraison d’événement mais aussi de maitrise des coûts et de bonne gouvernance.

La restructuration de la Ligue Nationale de Football en est un exemple.

Des opportunités  nouvelles ont été créées pour notre jeunesse, des curricula inédits se conçoivent et se mettent en place en matière de sciences et d’éducation sportive. 

Nous avons formé  des milliers de jeunes volontaires et employés gabonais et appris des  leçons clés qui, nous le pensons, auront un impact soutenu dans beaucoup de secteurs de notre vie nationale.

 

Mesdames, Messieurs,

 

Que de chemin parcouru depuis un 4 septembre 2006 quand le Gabon et la Guinée Equatoriale ont présenté leur candidature commune.

A l’heure du bilan et avec le recul, c’est un souvenir à jamais gravé dans notre mémoire individuelle et collective pour avoir tenu haut le pari de l’organisation et de la participation de ce qui est considéré à ce jour comme la meilleure CAN de l’histoire du football africain.

 

Votre Altesse, Mesdames, Messieurs, Chers Amis,

 

Le sport doit contribuer à l’harmonie, à l’amitié entre les peuples, à l’union,  même si disciplines soulèvent des passions souvent bien compréhensibles. 

Le sport peut être un ciment de l’unité nationale. 

Les Gabonais étaient tous simplement des supporters de leur équipe nationale durant la Coupe d’Afrique des Nations 2012 lorsque les  ‘Panthères” jouaient face a une opposition farouche. .

Ce furent des moments de pic sans précédent.


Nous devons des remerciements a tous les sportifs, hommes et femmes pour les grands moments e bonheur qui ont rempli nos cœurs.

Nous leur devons de meilleures conditions pendant leur carrière et après.

C’est pourquoi, je voudrais féliciter l’équipe et les partenaires de  Doha Goals d’offrir une telle plateforme de convergence entre sportifs, leaders politiques, hommes d’affaires, medias avec la finalité de toujours plus et mieux satisfaire des publics croissants et avides d’émotions, de sensations, de records et de spectacles.

 

Je voudrais aussi saluer les ambitions et efforts du Qatar en matière sportive, que nous nourrissons également pour notre pays. 

Les nations qui réussissent dans les sphères sportive et culturelle sont celles la même qui finissent par connaître le succès  économique et social. 

C’est notre conviction et nous y œuvrons  avec foi. 

Son Altesse Sheikh Hamad Bin Khalifa Al Thani l’a fort  heureusement compris et intégré dans sa stratégie pour ce pays ami du Gabon, qui compte prendre toute sa place dans le calendrier sportif international. 

Nous partageons des ambitions similaires.

 

Je voudrais profiter aussi de l’occasion pour faire appel à ce que le Centre Aspire s’affirme comme une pépinière, un réceptacle, un lieu de convergence et d’échanges au service de tous les talents sportifs, notamment du continent africain, grand pourvoyeur de sportifs au monde entier.

Ce faisant, d’ici la coupe de Monde de Football 2022 de Doha, les efforts porteront leurs fruits.

Que la Paix soit sur chacun de nous et dans le sport, facteur de paix dans le monde  et de promotion des échanges culturels !

 

ASSALAMOU ALEIKOUM WA RAKHMATOULAH TALA WA BARAKATOUHOU !

 

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10/12/2012

Droits de l’Homme : La consécration d'Ali Bongo Ondimba et du Gabon

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Décidément, depuis ces derniers temps et particulièrement avec l’arrivée au pouvoir du président Ali Bongo Ondimba qui a déjà présidé le Conseil de sécurité des Nations unies, le Gabon devient un pays qui compte de plus en plus dans le concert des nations du monde.

La dernière preuve en date est la brillante élection du Gabon à la célèbre Commission de l’Organisation des Nations unies (ONU) pour les droits de l’Homme. Et ce, par 187/193 voix des pays membres de la mythique institution internationale.

Une élection intervenue le 12 novembre dernier et qui rabat à jamais le caquet à tous les médisants de l’opposition gabonaise ayant osé traiter le régime du président Ali Bongo Ondimba de « dictature émergente ». Comme si la communauté internationale était aussi dupe que ne le sont nos bangandos…

Autant dire que, par cette élection au sein du club très huppé des membres de la Commission des droits de l’Homme de l’ONU, notre pays le Gabon d’Ali Bongo Ondimba est, de l’avis de plusieurs observateurs avertis, « pleinement confirmé dans sa position avant-gardiste de grand combattant au profit de la protection et de la promotion des droits de tous les citoyens. »

Et cela, ajoutent ces observateurs, particulièrement au vu « des mesures salutaires initiées par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba en faveur des couches sociales gabonaises les plus fragiles que sont les enfants, femmes, veuves et leurs progéniture ainsi que les personnes diminuées physiquement, mentalement ou économiquement. »

Aussi, l’élection du Gabon à la Commission internationale des droits de l’Homme n’est que la consécration de l’ensemble des réformes initiées et des efforts consentis par le président Ali Bongo Ondimba ainsi que des actions déployées tant par le gouvernement gabonais qu’au niveau des instances judiciaires nationales dans ce sens.

Lesquels efforts de réformes et d’actions ont été conçus, mis en oeuvre et réussis dans un véritable élan généreux de préservation et de promotion des droits de l’Homme, de la justice sociale et de la paix au Gabon.

Cette élection est aussi le fait du récent passage très brillant, remarqué et remarquable du Gabon, lors de la présentation en Suisse de son rapport national sur les droit de l’Homme et ce, auprès des instances spécialisées des Nations unies.

C’est donc une double victoire pour l’actuel régime politique du président Ali Bongo Ondimba qui voit d’abord en cette élection, « un énième couronnement international de ses premières actions en faveur de la promotion des droits de l’Homme et du citoyen » Et ce, après avoir réussi à initier et faire adopter par le Conseil de sécurité des Nations unies, la résolution relative à l’institutionnalisation de la Journée internationale de la veuve et partant, de l’orphelin.

De même qu’il s’agit, pour M. Eric Dodo Bounguendza, le directeur général du département des droits de l’Homme au Gabon, et les pouvoirs publics gabonais, de constater ensuite que « cette brillante élection constitue un cinglant démenti flanqué aux visages de tous ceux qui, à l’intérieur ou à l’extérieur, prennent un cynique plaisir à s’ériger en détracteurs de l’action globale du président Ali Bongo Ondimba. »

Ce qui motive logiquement et de plus en plus les autorités nationales de notre pays à « poursuivre leurs efforts dans la consolidations des nouvelles positions acquises en matière de promotion des droits de l’Homme sur le plan tant national qu’international. »

Ce, d’autant plus que pour le président Ali Bongo Ondimba et en la matière, « le combat quotidien réside dans la consolidation des principes d’un Etat de droit reposant sur la promotion d’une justice indépendante, impartiale et accessible à tous les citoyens. »

Un Etat de droit qui, précise le chef de l’Etat, « puisse garantir durablement au pays les conditions idoines de stabilité des institutions républicaines, de paix sociale, de sécurité des personnes et des biens ainsi que de protection des droits des citoyens les plus vulnérables. »

Idem pour ce qui est de « la prévention et de la jugulation des vils phénomènes résultant des extrémismes et intolérances de tous bords tant politiques, économiques, sociaux, religieux que culturels. »

C’est donc dans ce sens que le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba ne cesse d’initier et de faire adopter des lois renforçant les moyens de protection des droits fondamentaux et légitimes de l’ensemble des citoyens exposés aux rétrogrades relents inhumains de discrimination, d’exclusion et d’exploitation de certaines catégories sociales par d’autres.

Des lois dont la promotion sur le terrain est relayée par l’action des structures privées telles que la Fondation Sylvia Bongo Ondimba que préside la Première Dame gabonaise et qui participent énormément à l’autonomisation économico-financière et à l’intégration sociale des personnes les plus vulnérables.

En somme, si les droits de l’Homme constituent un noble idéal que poursuivent tous les Etat du monde, il devient indéniable que grâce à l’action soutenue du président Ali Bongo Ondimba, le Gabon connaît en la matière des évolutions très significatives et marquantes.

La bataille étant, pour le N° 1 gabonais, que « cet idéal commun et universel s’avère être au sérieux gage de développement économique, de progrès social, d’émancipation culturelle et d’aura diplomatique du pays. »

Honte donc à tous les médisants dont l’élection du Gabon du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba à la Commission onusienne des droits de l’Homme vient de rabattre fermement le caquet.

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08/12/2012

Le Président Ali Bongo Ondimba rencontre l’émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani,

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Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba a s’est entretenu jeudi à Doha avec l’émir de l’Etat du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, en marge de la 18ème conférence des nations unies sur les changements climatiques.

Au cours de cette rencontre, les deux hommes ont abordé les questions liées à la coopération entre le Gabon et l’Etat du Qatar. La rencontre a été marquée par la claire et ferme volonté des deux dirigeants à développer les relations entre leurs pays respectifs.

Une perspective énoncée par l’émir Al Thani, rappelant d’emblée à son hôte, l’importance des sujets abordés lors de leurs deux premières entrevues à Syrte ( Libye) et Paris ( France), en marge du sommet Afrique-monde arabe et de la rencontre internationale sur la Nouvelle Libye organisée à l’initiative de la France.

La visite effectuée peu après à Libreville par une importante délégation de responsables qatarie qui ont échangé avec la partie gabonaise sur les axes de la coopération économique future s’inscrivait dans la ligne droite de ces entrevues.

Le Qatar ayant marqué son intérêt pour le Gabon, il reste, notamment, comme l’a exprimé son émir, d’obtenir toutes les informations nécessaires ainsi que la désignation par la partie gabonaise d’un interlocuteur chargé spécialement de suivre l’évolution de cette coopération.

Celle-ci devrait être dynamisée et intensifier après seulement la conclusion dans les meilleurs délais de plusieurs accords.

Ces accords sont, notamment, l’accord de coopération générale, l’accord fiscal ainsi que celui relatif à la promotion et protection des investissements.

Ces cadres juridiques sont indispensables d’autant que les domaines de coopération économique et commerciale sont aussi divers que variés.

Le chef de l’Etat gabonais, qui n’hésite pas de promouvoir le Gabon dans tous ses déplacements, a énoncé les secteurs pouvant intéresser ses hôtes.

Ceux-ci ont trait aux mines, plus particulièrement la recherche, l’exploitation e le développement. Dans cet ordre d’idées qu’il a été évoqué la possibilité offerte à Qatar Still d’investir sur ce registre.

Il faut dire que ce pays du Golfe, riche en pétrole ayant une expérience reconnue au plan Off Shore, l’expertise qatari peut être mis à profit également dans la production et le transport du pétrole et le gaz.

La gestion des forêts au plan de l’aménagement, de la production, la transformation du bois est aussi un domaine présenté par Ali Bongo Ondimba, comme pouvant accueillir les investissements de cet Emirat.

Lequel a également une expérience utile au Gabon dans la réalisation de l’important projet de construction de la cité verte. L’émir du Qatar a dit que son pays était prêt à investir au Gabon.

Pour ce faire, Qatar holding et le Fonds d’investissement qatari, qui sont des organismes financiers investissant dans de nombreux pays, n’attendent plus que les deux parties lancent les discussions.

Le président gabonais résolu, pour sa part, à amener les autorités du Qatar à saisir les opportunités d investissements qu’offre notre pays, a fait valoir la position centrale du Gabon pour atteindre d’autres pays de la sous région et même du Golfe du Guinée avec forte population, tel que le Nigéria.

La coopération doit être assise sur le gagnant-gagnant et sur des outils de partenariats orientés vers la création joint-venture ainsi que la prise d’actions réciproques dans les sociétés gabonaise et qatari.

C’est le souhait exprimé, par ailleurs, par l’émir Al Thani, qui a manifesté un intérêt majeur pour le Gabon et son président Ali Bongo Ondimba, dont la présence à Doha où se discute l’avenir du protocole de Kyoto, a été très appréciée.

Le chef de l’Etat gabonais qui s’y est rendu à l’invitation de l’émir, a vu son leadership sur les questions de développement durable réaffirmer, en présentant l’enjeu majeur qui est aujourd’hui de maintenir le protocole de Kyoto.

Ce, alors que les discussions achoppaient encore hier à deux jours de la fin de la COP 18, sur la mise en place d’un nouveau cadre de réglementation dans la lutte contre les changements climatiques ainsi que le financement du Fonds vert sur lequel s’arc-boutent les pays en développement, plus touchés par les changements climatiques.

Peu après cette entrevue, Ali Bongo Ondimba a visité l’académie du Sport de Doha.

Sur les lieux, à la tête de la délégation gabonaise comprenant outre, le ministre des Affaires étrangères, Franck Issoze Ngondet, des membres du Cabinet présidentiel, les leaders de partis politiques de la majorité et de l’opposition Paul Mba Abessole ( RPG ), Faustin Boukoubi ( PDG), Dieudonné Pambo( ADERE) et Séraphin Akuré Davain, a pu se faire une idée du fonctionnement et de l’état des structures de cette institution de formation des futures champions et élites du sport.

Une visite très utile d’autant qu’elle a permis à la délégation gabonaise d’apprécier l’investissement colossal qatari pour se doter dans l’enceinte du complexe des infrastructures favorisant la formation des jeunes en matière de sport, en général.

Avant de prendre part dimanche prochain à l’évènement baptisé Doha Goals, une rencontre inédite qui réunira dans la capitale qatari des légendes et vedettes de tous les sports et de tous les continents, et quelques rares dirigeants de pays, pour un échange sur le sport dans toutes ses dimensions, le président gabonais s’est rendu jeudi à Djeddah en Arabie Saoudite pour le pèlerinage à la Mecque.

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La deuxième étape d’iSchool lancée par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba

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La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille qui développe des actions en faveur de la famille , de la participation de la jeunesse et de la femme au développement du Gabon, a lancé la deuxième étape de son projet pilote Ischool, destiné aux jeunes des établissements scolaires de la capitale gabonaise et de sa périphérie.

Ischool est un programme qui vise à développer l’utilisation de l’outil informatique dans les écoles par le biais de l’utilisation de l’Ipad. La première étape consistait à former les maîtresses et maîtres d'écoles à l'utilisation de l'Ipad.

Sylvia Bongo Ondimba : « Je suis très fière d’annoncer la mise en place de la seconde étape du projet pilote Ischool. Cette expérience implique 258 élèves de CE2 de deux écoles publiques et d’une école publique conventionnée de Libreville et de la zone péri urbaine de la capitale.

A travers ce projet, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille souhaite mesurer l’impact des technologies de l’information et de la communication (TIC) sur l’apprentissage des élèves mais également promouvoir la place des TIC dans l’enseignement au Gabon.

Au total , ce sont : 87 ipads avec des installations d'applications éducatives , 2 ordinateurs Mac Book Air , 2 rétroprojecteurs , 3 chariots chargeurs permettant de ranger les ipads, de les charger tous ensemble, de transférer des données de l'ordinateur ( ou ipad ) de l'enseignant vers les ipads des élèves, mais également 1 school in a box, valise comprenant tout le matériel et des panneaux solaires transmise dans l'école semi-rurale .

Cette nouvelle étape intervient 1 mois après le début des formations des 14 enseignants aux fonctionnalités du Ipad.

Ce programme mené en collaboration avec le Ministère de l’Education et la Fondation Gauff a pour ambition de développer des méthodes d’enseignement et d’apprentissage innovantes.

Mon souhait est que chaque élève gabonais puisse travailler et s’approprier les outils incontournables de demain»

 

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Doha : Ali Bongo Ondimba invite à adopter des actions concrètes

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Invité à prendre activement part aux récents travaux de la 18ème Conférence sur les changements climatiques qui se sont ouverts lundi 3 décembre dernier à Doha, capitale de l’Emirat du Qatar, Ali Bongo Ondimba est véritablement sorti des sentiers battus et de la langue de bois caractéristique du genre.

D’emblée,  le Président  Ali Bongo Ondimba a rappelé aux uns et autres « La responsabilité qui est la leur dans la dangereuse dégradation actuelle des conditions climatiques mondiales et au niveau des effets désastreux que pourrait générer cette dramatique situation au détriment de la planète terre.»

Pour cela, il a invité ardemment ses pairs chefs d’Etat, les gouvernements ainsi que les dirigeants des grands groupes industriels internationaux à « tout faire pour préserver les écosystèmes environnementaux, réduire significativement les nocives émissions de gaz, changer positivement les modes de production et de consommation des biens industriels. »

Faisant référence à l’histoire, le Président  Ali Bongo Ondimba a indiqué qu’en la matière, « il faut que la communauté internationale se souvienne de la pertinence des engagements pris lors de l’adoption de la Convention de Kyoto (Japon) et des résolutions de Durban en Afrique du Sud. »

Des engagements qui imposaient à tous les pays signataires « l’obligation de mener des actions concertées, responsables et concrètes permettant de préserver le plus possible l’espace planétaire des potentiels effets ravageurs relevant des changements climatiques s’opérant actuellement au niveau de notre globe terrestre. »

De même que ces engagements imposaient aux uns et aux autres de « contribuer à la mise en place et au financement régulier d’un fonds destiné à soutenir les efforts communs de préservation des écosystèmes environnementaux. »

Or, à ce jour, le chef de l’Etat estime que, par rapport à tous ces engagements précités, « trop de promesses se sont avérées non tenues et cela commence à susciter, en ce qui concerne l’évolution actuelle des conditions climatiques, beaucoup de dépit et d’inquiétude pour les générations futures se retrouvant ainsi exposées à des potentiels risques majeurs.»

De surcroît, le Président  Ali Bongo Ondimba dresse le constat, avec regret, que les dernières négociations initiées sur la résolution urgente de la question des changements climatiques ne sont marquées que par de nombreuses lenteurs et entraves; notamment dans la mise en oeuvre des recommandations et solutions propices à préserver la planète au mieux des dangers de cet effroyable climat d’incertitude.

Surtout que, dans le même temps et selon divers observateurs, « se creuse et s’élargit de plus en plus un dangereux fossé entre les pays riches qui polluent fortement et les pays pauvres qui ne font que subir impuissamment cette pollution. » Un cercle vicieux !

Le Président  Ali Bongo Ondimba préconise la prise de conscience sur toutes les questions vitales portant sur la gestion des changements climatiques et la préservation des écosystèmes environnementaux.

Ces questions devraient en effet susciter, au niveau de l’ensemble des dirigeants des pays de la planète et des grands promoteurs industriels du monde, un sursaut d’orgueil et de ressaisissement ainsi qu’un réel élan de solidarité agissante et d’actions conséquentes.

Aussi affirme-t-il fortement que « le combat contre les changements climatiques n’est ni un choix quelconque à opérer, ni une option facultative à entreprendre ; mais plutôt, une responsabilité politique, sociale et morale nous contraignant collectivement à réaliser de manière commune, concertée et solidaire toutes les actions propices à préserver la planète des affres des aléas climatiques. »

A la lumière de ce qui précède et, en déclinant la situation dans son propre pays, le président ABO a indiqué que « contrairement à ce qui prévaut dans d’autres nations, les Gabon s’est efforcé de tenir ses engagements pris dans le cadre de l’application de la Convention de Kyoto ainsi que des recommandations de Copenhague et Durban.»

Et de citer en exemple et dans le cas du Gabon, la formulation et la mise en oeuvre d’un plan national de développement industriel limitant drastiquement les émissions de carbone et autres gaz nocifs, la promotion d’une politique d’exploitation forestière intégrant les conditions de préservation de l’environnement ainsi que la création des départements ministériels à part entière et consacré tant aux Eaux et Forêts qu’à l’Economie et au Développement durable.

Toutes choses qui participent non seulement à l’effort mondial en la matière, mais préparent aussi le Gabon et les populations locales à demeurer moins vulnérables aux potentielles conséquences néfastes des changements climatiques.

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40 ème Anniversaire de la BEAC : Ali Bongo Ondimba fixe un nouveau cap pour la banque communautaire

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Président en exercice de la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (CEMAC) et invité de marque des manifestations marquant la commémoration du 40ème anniversaire de la création de la Banque des Etats d’Afrique centrale (BEAC), le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba séjournait récemment à Malabo, en Guinée Equatoriale.

Un séjour qui lui a permis d’annoncer, au côté de son homologue équatoguinéen Téodoro Obiang Nguema Mbazogo, « le nouveau cap que doit prendre désormais la BEAC au terme de ses 40 ans d’existence, en vue de mieux booster l’émergence de l’Afrique centrale dans le concert des autres sousrégions et régions du monde. »

Et cela, en présence d’un mémorable par terre de sommités sous-régionales et internationales du monde tant économique, financier qu’industriel. Sans oublier que pour avoir impliqué les leaders de la classe politique gabonaise dans la gestion de son mandat à la tête de la CEMAC, le président Ali Bongo Ondimba s’est fait accompagner à Malabo par les représentants de ceux-ci.

A cet égard, intervenant après le gouverneur de la banque communautaire, M. Lucas Abaga Nchama, et le président Téodoro Obiang Nguema Mbazogo, le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba a d’abord fait siens les pertinents avis émis par ses deux prédécesseurs à la tribune du Palais de Congrès dit de Sipopo et bâti à Malabo la capitale équatoguinéenne.

Lesquels avis portaient sur « l’appréciation objective du laborieux chemin parcouru par la BEAC et la nécessité pour cette grande institution financière sous-régionale de contribuer davantage au développement de l’ensemble des Etats de l’Afrique centrale. » Afin que l’intégration sous-régionale se consolide et devienne une véritable réalité économique, financière et sociale en Afrique centrale.

Un espace communautaire qui gagnerait à se donner davantage les moyens de renforcer ses capacités d’actions dans un monde tendant à devenir un « village planétaire » et où la compétitivité s’annonce de plus en plus rude sur tous les fronts.

Ensuite, le N° 1 gabonais, par ailleurs nouveau président en exercice de la CEMAC, a saisi l’opportunité qui lui était offerte pour « inviter ardemment les dirigeants de la Banque des Etats de l’Afrique centrale à tout faire pour mettre en oeuvre l’ensemble des réformes et des recommandations préconisées par la récente Conférence des chefs d’Etats de la sous-région tenue à Brazzaville. »

Ce, afin de mieux promouvoir, au sein de cette banque communautaire, les conditions de bonne gouvernance, d’efficacité dans le fonctionnement et de performance au niveau des résultats.

D’où le président Al i Bongo Ondimba a demandé aux gérants de la BEAC de renforcer les capacités de l’institution de contrôle des banques commerciales qu’est la Commission bancaire d’Afrique centrale (OBAC) dont le siège est d’ailleurs situé à Libreville.

De même que le N° 1 gabonais a enjoint ces dirigeants de la banque communautaire à « s’organiser efficacement pour maintenir et consolider durablement la stabilité économicofinancière de la sous-région. » Ce qui suppose le renforcement du cadre réglementaire y afférent ainsi que la mise en oeuvre des mécanismes de prévention institués pour les besoins de la cause.

Par ailleurs et pour mieux faire oeuvre utile au service du développement de la sous-région, les gestionnaires de la BEAC doivent se monter de plus en plus imaginatifs.

Ce « en explorant l’ensemble de nouvelles pistes possibles et propices à la mobilisation des ressources internes, à l’attraction des investisseurs étrangers vers l’espace communautaire ainsi qu’à la fructification effective des excédents budgétaires réalisés par les Etats membres de la CEMAC. »

Enfin, tout en saluant la création, au sein de la BEAC, d’un « Fonds sous-régional pour l’émergence », le président Ali Bongo Ondimba a alors insisté pour que « les excédents de trésorerie réalisés par la BEAC devront prioritairement être réinvestis dans la promotion des projets sociaux liés à l’habitat, à l’énergie, à l’eau potable ainsi qu’aux infrastructures structurantes de développement. »

A noter que pour conclure son propos, le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba a vivement recommandé aux pays membres de la BEAC, « création d’un Comité inter- Etats dont la principale mission sera de promouvoir en permanence les conditions idoines d’attractivité économico- financière de la sous-région d’Afrique centrale ».

Un exercice brillamment et visiblement réussit par le nouveau président en exercice de la CEMAC qui, dans le cas d’espèce et devant les délégués de la classe politique gabonaise, aur a prouvé à l’opinion sous-régionale et internationale que son mandat sera celui de la mise sur rail des conditions réelles d’une véritab l e émergence de l’Afrique centrale.

A la grande honte des leaders de l’ex-Union nationale et de quelques opposants marginaux gabonais qui pensaient que leur absence aux toutes dernières concertations de la présidence de la République pouvait avoir un quelconque impact négatif sur la volonté du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba de réussir son mandat. Comme il l’a d’ailleurs si bien fait lors de la CAN 2012 co-organisée par le Gabon et la Guinée Equatoriale.

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Ali Bongo Ondimba en VRP : Le Gabon consolide la diversification de son économie et des partenaires extérieurs

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Engagé dans un vaste mouvement de consolidation de la diversification des bases économiques et partenaires extérieurs de son pays ainsi qu’à l’instar de ce qu’il a déjà fait dans d’autres pays industrialisés ou émergents, le président Ali Bongo Ondimba vient d’effectuer un mémorable séjour à Londres.

Un séjour nullement fortuit, dans la mesure où l’on sait que « la très célèbre capitale britannique est reconnue comme étant une des bases mondiales huppées de l’économie, de la finance et des affaires internationales. De même que berceaux et grands promoteurs des secteurs sensibles tant de l’industrie que de l’innovation technologique, le Royaume Uni et sa capitale Londres ont longtemps et toujours joué un rôle majeur tant dans les mouvements de flux et de reflux des matières premières qu’au niveau des évolutions des économies mondiales. »

D’où, s’est imposé à un moment donné et plus précisément la semaine dernière, l’important et fructueux séjour que vient de passer le président Ali Bongo Ondimba dans la capitale britannique.

Et à l’évidence et selon plusieurs observateurs avertis, « la composition de la délégation qui l’accompagnait à Londres ne peut que présager de l’importance du caractère hautement économique que le chef de l’Etat gabonais a voulu bien accorder à cette visite de travail. »

Ce qui, pour les mêmes observateurs, « rabat ainsi fermement et d’ailleurs le caquet à tous les mécréants et médisants d’une certaine opposition qui estiment malhonnêtement que les déplacements à l’étranger du chef de l’Etat se confondent avec leurs propres ballades de santé ou d’agrément effectuées en France ou ailleurs.»

En effet, étaient présents à Londres et aux côtés du président Ali Bongo Ondimba, les ministres gabonais en charge des départements des Affaires étrangères, de l’Agriculture, des Mines, de l’Energie, des Infrastructures, de l’Economie… Sans omettre la présence très remarquée de Mme le Secrétaire générale de la présidence de la République gabonaise. On peut donc aisément imaginer les principaux centres d’intérêt pri s en compte.

Aussi, d’entrée de jeu, le président Ali Bongo Ondimba s’est retrouvé respectivement face à ses divers interlocuteurs britanniques qu’ont été les députés membres du Groupe d’amitié consacré à l’Afrique, responsables de la Royal Africa society, les grands investisseurs opérant dans divers secteurs de développement ainsi que plusieurs membres de la communauté gabonais e vivant au Royaume Uni.

Et à chacun de ces groupes d’interlocuteurs, le N° 1 gabonais a insisté sur le fait que « le Gabon dispose d’innombrables atouts économiques aussi divers que variés, c’est dire qu’il y a de la place et des opportunités pour tous le investisseurs exerçant dans n’importe quel secteur économique. »

D’où et de plus, le président Ali bongo Ondimba a rajouté que: « engagé dans un important processus et vaste programme d’émergence dans le concert des nations du monde, le Gabon est donc ouvert à tous les investisseurs des différentes sphères géographiques de la planète et demeure disposé à accueillir, sur son sol, l’ensemble des promoteurs des grands groupes internationaux exerçant dans tous les secteurs de développement. »

Et ce, particulièrement dans les secteurs porteurs et régissant les domaines florissants de l’économie, de l’industrie, du commerce, de la biodiversité, des nouvelles technologies de l’information et de la communication ainsi que bien d’autres dont il aurait fastidieux de les citer tous à Londres.

Tous des secteurs à haute portée économique qui, explorés totalement, exploités rationnellement et promus efficacement par les partenaires extérieurs, vont contribuer positivement à l’accélération du processus de développement du Gabon et d’élévation de celui-ci au statut enviable de « pays vert, industriel et des services à forte valeur ajoutée. »

Tout comme, interpellé par la presse sur le bien-fondé de son séjour londonien, le président Ali Bongo Ondimba a rappelé que cette offensive diplomatique au service de l’économie gabonaise lui permettait, audelà de la consolidation des moyens de développer son pays, de se donner par ailleurs les conditions de réalisation d’un autre objectif tout aussi important.

Lequel objectif étant celui de « faire en sorte que la ruée des promoteurs économico-financiers internationaux débouche sur un transfert massif des nouvelles technologies vers le Gabon. » Ce qui, ajoute, le chef de l’Etat, « offrira aux populations gabonaises plusieurs opportunités de s’approprier lesdites technologies ainsi que les expériences, les expertises et les modes de réussite en affaires venus d’ailleurs et propices à renforcer les conditions de développement et d’émergence du Gabon.»

Pour y parvenir, notons à cet égard et selon le président Ali Bongo Ondimba que: « son pays, dans le cadre de la promotion des meilleures conditions d’implantation rapide et d’installation durable des opérateurs économiques sur son espace territorial, a mis en oeuvre de salutaires réformes dans ce sens

Lesquelles réformes ont permis aux pouvoirs publics gabonais « de mettre en place des guichets uniques pour le montage des dossiers de création d’entreprises, de raccourcir nettement les délais des procédures de mise en oeuvre des unités de production ainsi que de bénéficier, dès le départ, d’énormes facilités fiscales d’implantation des infrastructures à caractère tant économique, commercial, touristique ou industriel. »

Résultat de cette vaste et fructueuse opération de charme en direction du monde britannique des affaires ainsi qu’envers les représentants locaux de la Banque mondiale et autres organismes économico-financiers internationaux basés à Londres, « le Royaume Uni va installer très prochainement un important « Bureau d’affaires » au Gabon et particulièrement à Libreville la capitale nationale. »

Un bureau d’affaire qui facilitera directement les conditions d’implantation au Gabon des grandes entreprises britanniques ainsi que des groupes économiques, industriels et commerciaux internationaux ayant leurs représentations à Londres.

Avec, en prime et au profit du Gabon, « l’exploitation effective et fructueuse d’innombrables ressources naturelles dont dispose le pays, la diversification des bases de l’économie et la répartition des entreprises à travers le territoire national ainsi que l’industrialisation de plusieurs secteur de l’économie gabonaise qui étaient encore au stade artisanal. »

Toutes choses qui, aux dires de plusieurs experts nationaux et internationaux en la matière, vont « permettre au Gabon de connaître un bénéfique climat de densification du marché de l’emploi, de modernisation des infrastructures structurantes et socio-économiques de développement, d’accroissement des ressources f iscales de l’Etat, d’aménagement harmonieux de l’ensemble du territoire national ainsi que d’amélioration significative des conditions de vie des populations gabonaises. »

Le tout découlant naturellement des dispositions prises par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba, mises en oeuvre par le gouvernement gabonais et propices à garantir, au Gabon, les conditions idoines d’une meilleure gouvernance tant des affaires publiques que des structures privées de développement national.

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04/12/2012

Ali Bongo Ondimba à la COP 18 : Responsabilité, solidarité, vision et action

 

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Mardi 4 décembre 2012, Doha - Trop de promesses brisées, trop d’engagements non tenus !

Fidèle à sa réputation et à son franc-parler, le Président Ali Bongo Ondimba s’est adressé cet après-midi à la COP 18, la 18eme Conférence des Parties de Doha sur le changement climatique en plaidant pour la responsabilité, la solidarité, la vision et l’action.

Le Chef de l’Etat gabonais a voulu sortir des sentiers battus et refrains habituels pour assener ces vérités à un moment crucial ou Dame Nature et les générations futures sont exposées à des dégâts imprévisibles.


« Une catastrophe écologique et humaine pointe à l’horizon, mettant en péril des siècles d’innovation scientifique et technologiques qui ont vu des nations et des peuples prospérer » dira Ali Bongo Ondimba.

Le Chef de l’Etat a poursuivi son propos avec ce rappel historique : « En 1992, lorsque nous lancions notre action commune pour stabiliser le Climat Global, nombreux étaient ceux qui avaient les pieds dans l’eau, beaucoup souffraient de la chute des rendements agricoles et bien d’autres faisaient face au pouvoir destructeur des cyclones. A l’époque, nous n’avions peut-être pas pleinement compris les causes de ces catastrophes naturelles. Mais depuis lors, les scientifiques ont quantifié et documenté nos responsabilités respectives dans le processus du changement et de la dégradation climatiques ».

Interpellant l’audience et la communauté internationale, le Chef de l’Etat a mis l’accent sur l’émergence d’une nouvelle conscience de partage d’une même planète, de la nécessité d’une meilleure gestion des biens planétaires communs à toute l’humanité ainsi qu’à la dette, à la responsabilité et à l’équité envers les générations futures.


“En 20 ans de négociations’’ dira le Président Ali Bongo Ondimba, « nous avons pris l’engagement de travailler ensemble équitablement pour préserver la stabilité climatique. Ce fut une raison d’espérer, surtout pour les plus vulnérables d’entre nous. A ce moment crucial, sommes-nous prêts à assumer la responsabilité collective de renoncer à l’investissement louable que nous avions fait dans le Protocole de Kyoto? Comment pourrons-nous expliquer que l’urgence que nous avions tous ressentie hier pour sauver notre Planète ne soit plus la? Notre crédibilité en tant que leaders en souffrira si nous n’ajoutons pas un autre jalon à notre effort commun ici à Doha ».

Evoquant la lenteur des progrès dans les négociations, la division de fait des peuples et des nations, la perte de confiance et le clivage entre ceux qui polluent et les victimes du changement climatique, les nations riches et pauvres, ceux qui agissent et les autres, le Président Gabonais a prôné l’action commune, concertée, responsable et effective.

Cet immense défi est le seul espoir pour un avenir en confiance.


Ali Bongo Ondimba a ensuite exposé l’exemple gabonais avec la formulation d’un plan de développement carbone à faible niveau qui se veut une contribution à l’effort collectif de stabilisation du climat.

Autre illustration de l’engagement gabonais : une stratégie nationale d’industrialisation avec des efforts réels de réduction et de minimalisation des émissions de gaz, de préservation des forêts.

Ces résultats ont pu être atteints grâce à de nouvelles lois et des efforts de gestion initiés par le gouvernement et se poursuivent avec un plan d’utilisation des sols pour optimiser la gestion du territoire.

Le Gabon vient juste d’achever un plan national d’adaptation de ses 800km de côtes et le Parlement examine une Loi sur le Développement durable qui exigera une évaluation d’impact pour tous les projets.

Des efforts qui s’inscrivent dans la logique des innovations introduites au niveau institutionnel, notamment avec la création d’un Ministère de l’Economie et du Développement durable avec la mission d’assurer la cohérence environnementale de nos politiques nationales économiques et sociales.

Face aux divisions de toutes sortes, le Président Ali Bongo Ondimba a plaidé pour que le changement climatique soit une question unificatrice pour la communauté des nations au destin partagé.

Reprenant une formule qui lui est chère, le Président de la République Gabonaise a réitéré que « le combat contre le changement climatique n’est ni un choix, ni une option, mais une responsabilité politique et morale qui nous contraint à réaliser une vision commune, des actions coordonnées et une solidarité sans faille concernant les moyens nécessaires à l’atteinte de nos objectifs ».


FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/


La politique du Gabon Émergent


Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

 le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/


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Le Président Ali Bongo Ondimba attendu à Doha ( QATAR )

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Lundi 03 Décembre 2012, Doha - Le Président Ali BONGO ONDIMBA prendra part à deux évènements de portée internationale.

Le premier est axé sur l’environnement, le changement climatique et les questions de développement durable sur lesquels le Chef de l’Etat gabonais s’illustre par son engagement pionnier et clairvoyant et un leadership affirmé lors des diverses conférences sur ces sujets depuis son accession à la magistrature suprême ; Nagoya, Durban, Libreville, Rio,

Le second évènement baptisé DOHA GOALS est une rencontre inédite qui verra des légendes et vedettes de tous les sports et de tous les continents échanger entre eux sur le sport dans toutes ses dimensions, et avec quelques rares leaders politiques, dont Ali BONGO ONDIMBA, Président du pays Co-hôte de la mémorable CAN 2012 de Football et d’un récent médaillé d’argent des Jeux olympiques de Londres, Anthony OBAME.


Le Chef de l’Etat gabonais est attendu tout d’abord à la partie dite Haut segment de la conférence COP 18 sur le changement climatique qu’abrite Doha la capitale Qatari et qui démarre ce 4 décembre 2012.

Précédée par une série de réunions préparatoires, cette rencontre au Sommet du 4 au 7 décembre 2012 Environ 17,000 participants, membres des délégations, visiteurs venus de 194 nations assistent à la COP18.

C’est la plus grande conférence que Doha ait jamais abritée avec la présence remarquée de quelques 1,500 journalistes du Qatar et du monde entier dont une centaine de chaines de Télévision pour couvrir et relayer l’événement. Quelques 7,000 membres d’Organisations Non-Gouvernementales sont également présents à la conférence.


Parmi les parties en pré- sessions a huis-clos, il faut noter le groupe des Pays les Moins avancés, le groupe des petites îles en développement, le Groupe Africain et le G77 plus la Chine.

Au centre des discussions se trouvent les problèmes auxquels chaque pays fait face en conséquence du changement climatique et la recherche d’un consensus sur les questions à porter à la table du COP 18 pour parler d’une seule et même voix.

Le Groupe des 77, vaste coalition de nations en développement qui, au-delà des 77 membres fondateurs regroupe à ce jour 132 membres, compte la Chine comme invitée spéciale depuis les réunions du Gabon en 1981.


Ces pré-sessions se sont également intéressées aux mécanismes de régulation des projets de réduction des émissions dans les pays en développement.

Depuis la Convention Cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique (UNFCCC) entrée en vigueur en 1994, la Conférence des Parties (COP) s’est réunie annuellement pour évaluer le progrès dans le traitement du changement climatique

La Conférence des Parties (COP) est l’instance "suprême " de la Convention, son autorité décisionnaire la plus élevée. La COP est une association de toutes les 195 Parties à la Convention.


FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/


La politique du Gabon Émergent


Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

 le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/


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03/12/2012

Le Chef de l’État Ali Bongo Ondimba clos une visite de deux jours à Londres

 

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Lundi 3 décembre 2012, Londres - Le Président de la République gabonaise, son Excellence Ali Bongo Ondimba a clôturé une visite de deux jours (les 28 et 29 novembre 2012) à Londres où il a fait la promotion des opportunités économiques du Gabon.

Le Chef de l’Etat s’est tout d’abord rendu dans la matinée du 28 novembre 2012 à la Chambre des Lords, chambre haute du Parlement britannique pour y prononcer un discours fort devant les membres de la Royal Africa Society, première organisation britannique dédiée à la promotion de l’Afrique et du All Party Parliamentary Group Africa, groupe d’amitié parlementaire dédié à l’Afrique.


Lors de son allocution, le Chef de l’Etat a présenté les réformes et opportunités économiques du Gabon en mettant l’accent sur trois domaines prioritaires : la diversification de l’économie, le renforcement des institutions et le développement des infrastructures et du potentiel humain.

Il a ainsi réitéré sa volonté de mettre en place des institutions fortes et des procédures transparentes de bonne gouvernance afin de garantir un meilleur environnement des affaires au Gabon.


« Nous savons très bien que nous ne pourrons pas atteindre un niveau satisfaisant de développement économique, d'égalité sociale et de préservation de l'environnement sans des institutions fortes et respectées (…). Nous avons réduit de moitié la taille du gouvernement et aligné chaque portefeuille ministériel avec nos priorités de développement national. Nous allons introduire des contrats de performance qui s'appliqueront aussi à nos fonctionnaires ; et nous avons créé une Agence nationale des Travaux publics qui a pour tâche de guider la réalisation des grands projets d'infrastructures – et de veiller à leur maîtrise technique ainsi qu'à leur gestion financière responsable. »


Le lendemain, jeudi 29 novembre 2012, le Chef de l’Etat et la délégation gabonaise composée notamment de du ministre de l’Economie Luc Oyoubi, du ministre de l’Industrie et des Mines Régis Immongault, du ministre de l’Energie, du Pétrole et des Ressources hydrauliques Etienne Dieudonné Ngoubou, du ministre de l’Agriculture Julien Nkoghe Bekale et du ministre des Affaires étrangères Emmanuel Issoze Ngondet ont présidé le premier forum d’investissement Royaume-Uni / Gabon.

Organisé par l’Agence de promotion des investissements et des exportations (APIEX), ce forum a réuni plus de 500 participants dont de nombreux représentants du secteur privé et autres investisseurs potentiels.


Tout en soulignant les objectifs ambitieux que le Gabon s’est assigné dans le cadre de la politique de développement du Gabon Emergent, le Chef de l’Etat a mis l’accent lors de son allocution sur la nécessité de diversifier l’économie gabonaise en engageant notamment des relations fortes avec de nouveaux partenaires issus du secteur privé.


« Notre stratégie est claire ; nous voulons travailler en partenariat avec des sociétés et des investisseurs qui recherchent des rendements durables à long terme. (…) Nous avons établi un programme ambitieux. Nous n'atteindrons pas nos objectifs sans le soutien actif du secteur privé. Nous sommes à la recherche de partenariats judicieux pour nous soutenir. Nous ne voulons pas de patronage. Nous voulons des partenaires. Nous ne voulons pas d'aide financière, nous voulons des investisseurs. Nous recherchons des sociétés pour nous aider à réaliser la valeur intégrale des actifs dont nous disposons ; pour des rendements à long terme, durant de nombreuses années à venir. »


Durant la journée, les participants ont assisté à des sessions-débats pendant lesquels certains ministres gabonais présents ont pu faire la lumière sur les quatre thématiques suivantes :

Présentation générale des opportunités économiques du Gabon ;

Investissements dans les secteurs industriel, énergétique et minier gabonais ;

Développement infrastructurel et commerce extérieur du Gabon ;

Investissements dans les secteurs agricole, touristique et environnemental gabonais.


Affichant son ambition d’attirer de nombreuses entreprises britanniques au Gabon, le Président de la République a rappelé que sa stratégie de développement était indissociable d’un secteur privé compétitif, soucieux de l’environnement et créateur d’emplois.

« La raison pour laquelle nous poursuivons une telle stratégie est simple : nous voulons plus d'emplois et une meilleure qualité de vie pour nos citoyens, aujourd'hui, demain et encore longtemps à l'avenir. C'est pourquoi nous n'accepterons pas les formes de développement qui compromettent notre environnement naturel. »


Ce déplacement est la troisième visite effectuée par le Chef de l’Etat au Royaume-Uni en 18 mois.

Ce dernier s’est déclaré satisfait des avancées enregistrées dans le développement des relations commerciales avec le Royaume-Uni - un pays qui a récemment répondu favorablement aux appels répétés du Président Ali Bongo Ondimba en nommant le mois dernier un attaché commercial à Libreville.


Fort de ses succès, le Président de la République gabonaise a appelé de ses voeux à resserrer les liens économiques tissés entre les deux nations et demandé aux investisseurs britanniques de s’implanter durablement au Gabon pour participer à l’émergence du pays.


FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/


La politique du Gabon Émergent


Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

 le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/


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Gabon: Conférence de presse du Porte Parole de la Présidence de la République , Alain Claude Bilie By Nzé

 

 

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ORDRE DU JOUR  lundi 3 déc.2012

 

I/- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU 40ième ANNIVERSAIRE DE LA BEAC CELEBRE A MALABO EN GUINEE EQUATORIALE : le 23 novembre 2012

 

II/- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU FORUM D’INVESTISSEMENT ROYAUME UNI/GABON: du 27 au 29 novembre 2012.

 

III/- DEPLACEMENT DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A DOHA AU QATAR 

 


I/- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU 40ième ANNIVERSAIRE DE LA BEAC CELEBRE A MALABO EN GUINEE EQUATORIALE : le 23 novembre 2012.

 

Le Président de la République, Son Excellence ALI BONGO ONDIMBA a pris part le 23 novembre dernier à Malabo aux activités commémorant le 40ème anniversaire de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale.

 

Le Président Ali BONGO ONDIMBA qui intervenait en sa qualité de Président en exercice de la CEMAC, a  saisi cette Opportunité pour dresser un bilan circonstanciel de l’Institut d’Emission de la CEMAC avant d’indiquer la voie à suivre pour les prochaines décennies.

 

Il a appelé les experts de la sous-région et ceux venus d’ailleurs à réfléchir aux nouveaux mécanismes qui pourraient être mis en œuvre afin de permettre à la BEAC de contribuer davantage à l’accompagnement des différentes initiatives allant dans le sens du développement des économies de la sous-région.

 

Face à l’impérieuse nécessité de faire des Etats de la sous-région des pays émergents dans les deux décennies à venir, le Président Ali BONGO ONDIMBA a décliné les grandes actions devant permettre de booster les économies de ces Etats. Il s’agit, entre autres :

-      D’une meilleure mobilisation des ressources internes au niveau des Etats ;

-      Le développement des Partenariats Publics Privés ;

-      Le développement des investissements directs étrangers.

 

Pour répondre à ces défis le Gabon, a dit le Président Ali BONGO ONDIMBA, a mis sur pied le Fonds Souverain de la République Gabonaise. Ce fonds permettra à l’Etat d’accroitre considérablement son poids en tant qu’acteur de l’activité économique notamment par :

-      Son entrée dans le capital des petites et moyennes entreprises dites de croissance ;

-      La stabilisation du capital d’entreprises présentant un caractère stratégique ;

-      L’introduction d’un mécanisme novateur ayant cours dans d’autres pays, susceptibles d’apporter un complément de ressources tant pour le financement des ambitions du Gabon Emergent que pour le budget de l’Etat.

 

 

II/- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU FORUM D’INVESTISSEMENT GABON-ROYAUME UNI: du 27 au 29 Novembre 2012.

 

Le Président Ali BONGO ONDIMBA a séjourné à Londres du 27 au 29 novembre dernier, afin de prendre part au premier Forum d'Investissement Gabon - Royaume Uni, tel qu’annoncé lors de la conférence de presse du 12 novembre 2012.

 

Ce séjour du Chef de l’Etat, fait suite à de nombreux échanges entre les deux Etats, et s’inscrit dans le cadre du renforcement des liens économiques entre le Gabon et le Royaume Uni.

 

Au programme de cette visite de travail, des rencontres multiples et fructueuses avec des personnalités du monde politique  et des affaires.

Pendant son séjour britannique, le Chef de l’Etat s’est rendu à la Chambre des Lords, qui constitue la chambre haute du Parlement britannique et y a prononcé un discours fort devant les membres de la Royal Africa Society, première organisation britannique dédiée à la promotion de l’Afrique et le All Party Parliamentary Group Africa, groupe d’amitié parlementaire dédié à l’Afrique.

Dans son allocution, le Chef de l’Etat a présenté les réformes et les opportunités économiques du Gabon en mettant l’accent sur trois domaines prioritaires :

-      la diversification de l’économie ;

-      le renforcement des institutions ;

-      le développement des infrastructures et du potentiel humain.

Le Président Ali BONGO ONDIMBA a par ailleurs réitéré sa volonté de mettre en place des institutions fortes et des procédures transparentes de bonne gouvernance afin de garantir un meilleur environnement des affaires au Gabon.

Dans le domaine économique, le Chef de l’État a présenté les mesures prises pour le développement du pays et a insisté sur l’importance de produire de la valeur ajoutée dans tous les secteurs pour générer plus de revenus et d’emplois au Gabon. Il a également mentionné la création de zones économiques spéciales qui visent à diversifier le secteur industriel  gabonais et à attirer les investissements étrangers dans le pays.

Le Président Ali BONGO ONDIMBA  a en outre présenté les grands axes du Schéma Directeur National d’Infrastructures estimé à un investissement total de plus de 8 milliards de livres sterling sur 6 ans.

Ardent défenseur de l’environnement, le Chef de l’Etat a  mis en exergue le fait que la politique du Gabon Émergent est indissociable d’une gestion cohérente et durable des richesses environnementales.

 

Par ailleurs, le Président Ali BONGO ONDIMBA a présidé le premier forum d’Investissement Gabon-Royaume-Uni devant plusieurs centaines  d’entreprises britanniques.

Il est à rappeler que ce forum s’inscrit dans la volonté du Chef de l’Etat de développer des partenariats forts et stables avec des entreprises du monde entier.

Le Président de la République s’est réjouit dans son mot d’ouverture, de la forte participation de représentants d’entreprises britanniques et gabonaises.

Le Chef de l’Etat a ensuite présenté sa vision du Gabon Emergent d’ici à l’horizon 2025, qui s’appuie sur les piliers Gabon Vert, Gabon Industriel et Gabon des Services.

Le Président de la République a invité les investisseurs du secteur privé à un partenariat  durable et fructueux, afin d’aider le Gabon à réaliser la mise en valeur de ses potentialités pour les années à venir et dans le cadre d’un développement durable.

Au cours de ces assises les différents représentants gabonais et britanniques du monde des affaires et de la finance ont pu échanger sur les nombreuses opportunités d’investissements au Gabon.

Au terme du forum, le Président Ali BONGO ONDIMBA a convié les différents hommes d’affaires britanniques à venir découvrir les opportunités d’investissements et les magnifiques atouts du Gabon.

 

En marge des plénières, le Chef de l’Etat a rencontré de nombreuses personnalités, parmi lesquelles :

    - le Ministre britannique du Commerce et des Investissements ;

    - Le Président Directeur Général du Fonds Souverain Chinois ;

 

-      Le Président Directeur Général du groupe financier TransAfrica Capital ;

 

-      le Prince de Galles, avec lequel le Président de la République a échangé notamment sur la biodiversité  à la veille de la conférence de Doha au Qatar sur les changements climatiques.

 

 

III/- DEPLACEMENT DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A DOHA AU QATAR 

 

Le Président de la République, Chef de l’Etat  se rendra ce jour à DOHA au QATAR afin de prendre part à la 18e Conférence annuelle de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiquesdite COP18 et au Forum International sur le sport dénommé forum Doha Goals.

 

L'objectif poursuivi par la conférence sur le climat est de parvenir à limiter à 2 % l'élévation globale de la température d'ici à 2050 par une réduction des émissions des gaz à effet de serre.

 

Cette rencontre internationale considérée comme une conférence de consolidation du processus de lutte contre le changement climatique mis en place en 1992 avec l’adoption de la Convention climat, va amener les décideurs du monde à se prononcer sur trois sujets majeurs à savoir :

 

·         l’adoption formelle de la deuxième période du protocole de Kyoto qui débutera en 2013 (pour une durée de 5 ou 8 ans), avec notamment des engagements quantifiés des pays développés pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre ;


 

·         la finalisation de la mise en œuvre des accords de Cancun de 2010, avec entre autres les modalités du fonds vert et des autres nouvelles institutions et mécanismes ;
 

·         la négociation du futur accord de lutte contre le changement climatique, engageant pays développés et pays en développement, à adopter en 2015 et qui entrera en vigueur en 2020.

 

S’agissant du Forum International sur le sport, il faut rappeler que cette organisation est créée sous le patronage de son Altesse Cheik Hamad Bin KHALIFA AL-THANI, Emir du QATAR, et organisé par Richard ATTIAS  en vue de rassembler les principaux leaders du monde sportif afin de réfléchir et de proposer des recommandations pouvant faire du sport un moteur majeur de développement.

 

Ce forum réunira plus de 300 participants venus du monde entier dont les célèbres sportifs comme Carl Lewis, Ian Thorpe et Marie-José Pérec.

Les organisateurs  de ce forum souhaitent sensibiliser les stars du sport mondial à participer au développement du sport dans les pays en développement en finançant la construction des infrastructures sportives.

Ils proposeront donc à l’occasion, entre autres moyens, pour y parvenir, la création d’une taxe d’un 1% sur  les plus hauts salaires des athlètes.     

Le forum se propose également de discuter, ente autres, sur des sujets variés notamment :

-      l'intégration sociale par le sport ;

-      la lutte contre le dopage ;

-      la corruption ou l'équilibre économique du sport. 


 

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01/12/2012

Gabon-Journée Mondiale de lutte contre le Sida 2012: Campagne « Can Sans Sida », ça fonctionne !

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L’étude de la campagne le démontre :  « 64,2 % des gens auraient adopté de nouveaux comportements plus préventifs après la CAN  SANS SIDA »*

 

 

Du 21 Janvier au 12 Février 2012 lors de la Coupe d’Afrique des Nations co-organisée par le Gabon et la Guinée-Equatoriale, les messages de sensibilisation pour la prévention du VIH  « 3-0 : Zéro Transmission, Zéro Décès, Zéro Discrimination » ont été véhiculés via la campagne « CAN SANS SIDA ».

 

Après 10 mois, que reste-t-il des messages portés durant la CAN ?


La Fondation Sylvia Bongo Ondimba a mesuré l’impact de la « CAN SANS SIDA » sur les comportements individuels. L’objectif  étant de savoir si les conseils et informations véhiculés tout au long de cette campagne  par tous et pour tous ont effectivement suscité un changement de comportement auprès des populations.


L’enquête effectuée auprès de 260 personnes représentatives de la population cible de la campagne montre des résultats globalement positifs. Les efforts doivent cependant se maintenir et certains messages doivent  êtres répétés.

 

La CAN SANS SIDA


Lancée par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba et soutenue par la Confédération Africaine de Football, cette campagne a bénéficié d’une mobilisation sans précédent.


Des parrains prestigieux comme Samuel Eto’o et  Didier Ovono ont offert leur image pour la lutte contre le Sida. Deux figures emblématiques du football ont accepté de participer au combat : Pelé et Daniel Cousin.

 

La sensibilisation à Libreville et Franceville, à la télévision, dans la rue, sur les terrains de football ou dans les quartiers a mobilisé 200 volontaires, permis le dépistage de 2100 personnes et la distribution de 488 800 préservatifs 

  

 

Résultats de l’étude

 

 

Perception de la campagne et changement de comportement


Une majorité des personnes interrogées se dit satisfaite de la campagne (79,6% l’ont trouvé bonne). Cette perception positive a permis de changer les comportements.


D’une façon générale, 64,2 % des personnes interrogées déclarent avoir adopté des comportements plus responsables après la CAN.


S’agissant du dépistage du VIH, bien que 51,9% des personnes interviewées avouent que la CAN SANS SIDA les a interpellés sur l’importance du dépistage du VIH, seulement, 30,4% l’ont fait depuis la « CAN SANS SIDA».

   

Ces changements de comportement prouvent une prise de conscience réelle de la gravité de la maladie par les populations.

 

En revanche 33,8 % des personnes interviewées affirment utiliser plus souvent le préservatif. Les personnes qui attestent ne pas utiliser le préservatif déclarent se protéger par l’abstinence (15,64%) ou par la fidélité (27,37%).

 


Connaissance de la maladie


L’étude menée s’est aussi intéressée à la perception globale de la maladie : la connaissance  du virus, des risques de transmission, ce que sont les comportements à risque et quels sont les rapports avec les personnes infectées.

 

Il ressort que 36,9% des personnes interrogées voient la maladie différemment.


Les autres ne manifestent pas de résistance particulière aux messages mais déclarent avoir déjà acquis des connaissances sur la maladie, sur les risques de transmission et n’ont donc pas changé ces acquis avec la CAN SANS SIDA.

 

Il est à noter que seules 1,2% des personnes interrogées considèrent la maladie comme étant mystique et se montre totalement résistante à toute forme de sensibilisation.

 


Discrimination envers les porteurs du virus


63,5 % des personnes interrogées connaissent au moins une personne porteuse du virus. Très majoritairement, 86,9%, la population interrogée considère qu’il faut lutter contre la discrimination que peut subir les malades du Sida.

 

Pourtant, 33,5 % affirment qu’elles éviteraient de manger à table avec une personne séropositive.


Ce dernier chiffre, indique clairement l’écart qui existe entre la bonne connaissance des moyens de transmission du VIH par la population  et la perception stigmatisante de celle-ci vis-à-vis des personnes vivant avec le VIH.  

 


La sensibilisation : un impact positif qui doit se poursuivre

 

Les résultats de l’étude permettent de constater que la campagne de sensibilisation « CAN SANS SIDA » a engendré des changements de comportement vis-à-vis du VIH, tant au niveau des comportements individuels qui tendent vers moins de prise de risque, que dans la perception même de la maladie. 

 

En effet, 36,5% des personnes reconnaissent avoir appris quelque chose de nouveau. La perception des personnes porteuses du virus et la relation avec ces personnes reste en revanche assez peu satisfaisante.

 

Il ressort cependant que les mêmes efforts devraient êtres redéployés et étendus à l’ensemble du pays et de manière régulière pour assurer une prise de conscience de tous et tendre vers l’objectif 2015 : « Zéro transmission, Zéro Décés, Zéro Discrimination ».

 

 

 

La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille réitère ses remerciements aux partenaires de la CAN SANS SIDA

 

 

 

Le Ministère de la Santé via la Direction Générale de Prévention Sida

La Poste Gabonaise

La CNAMGS

La CNSS

La Croix Rouge gabonaise

L’OPALS

L’ONUSIDA

Libertis

Azur

Airtel

Olam International

La Société civile gabonaise 

 

 

 

Pour plus d’information sur la CAN SANS SIDA : http://www.cansanssida.com/

 

Des informations supplémentaires sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba sont disponibles aux liens suivants : 

www.fondationsylviabongoondimba.org

www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/155356889540

 

Contact Communication:

 

Contacts Communication :

lm.bongotha@fondationsbo.org

presse@fondationsbo.org


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Gabon: Interview du Président Ali Bongo Ondimba -nov 2012.

 

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Marchés Africains: L’année 2012 tire à sa fin et restera marquée par l’organisation par le Gabon, pour la première fois de son histoire, de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). Avec le recul, quel est impact de cet événement pour votre pays en termes d’image, d’infrastructures, d’économie, ainsi que sur le plan sportif ?

Ali Bongo Ondimba: « Comme vous le soulignez, cette CAN était attendue depuis longtemps par tous les Gabonais et a engendré une véritable communion nationale et continentale.

Pour les nombreux observateurs étrangers et les journalistes sportifs internationaux qui l’ont couverte, cette grande fête du sport fut sans doute la mieux réussie de toute l’histoire de la compétition.

Les Gabonais peuvent donc être fiers de l’organisation qu’ils ont mise en place, de l’accueil qu’ils ont offert à l’Afrique et au reste du monde. Notre équipe nationale, les Panthères, a elle aussi porté haut les couleurs du football gabonais.

Je garde, comme tous mes compatriotes, des souvenirs impérissables de cet événement qui nous a prouvé à tous qu’unis, rien n’est impossible. Je dois dire également que la CAN a été un formidable catalyseur de nos projets de développement.

Les grands chantiers d’infrastructures entrepris en amont de la compétition ont permis à notre pays d’accélérer la mise en oeuvre de son programme de développement du « Gabon émergent ».

Aménagements touristiques et sportifs, rénovations d’hôpitaux, infrastructures de transport, amélioration des télécommunications: tous ces chantiers ont été accélérés avec la construction de stades, d’hôtels, de tronçons de routes, l’ouverture de services dans les hôpitaux ainsi que la modernisation des aéroports de Libreville et Franceville.

Au total, ce sont plus de 300 milliards de FCFA qui ont été investis dans les infrastructures qui dureront bien au-delà de la CAN et qui contribuent sans nul doute à notre développement économique.

Dans la droite ligne de notre stratégie de développement, la CAN a également joué le rôle d’accélérateur et diversification de notre économie. Les secteurs des travaux publics, du tourisme et des services ont pris un nouvel élan avec, je tiens à le souligner, un accent particulier mis sur la valorisation de nos ressources humaines: on estime que 50 000 emplois directs et indirects ont été créés.

La CAN a également boosté notre croissance avec un taux de 6,7% pour 2011, mais surtout une croissance de 12% dans le secteur hors pétrole je suis d’ailleurs persuadé que nous pouvons encore mieux faire.

Maintenant, sur le terrain sportif, nous allons attendre les résultats des Panthères dans les phases qualificatif 2013, mais je crois que la précédente CAN a surtout fait rêver nos jeunes et suscité de nombreuses vocations. La relève se prépare. »

Au lendemain des législatives, d’ailleurs largement remportées par votre formation politique, un nouveau gouvernement a été formé avec un nouveau Premier ministre et 14 entrants pour 16 sortants.


Qu’est-ce qui a motivé ce changement de chef de gouvernement malgré la victoire aux législatives et une bonne organisation de la CAN ?

ABO : « J’ai voulu aligner l’organisation gouvernementale à mon programme de développement pour le Gabon. Le nouveau gouvernement est un gouvernement de missions, structuré autour d’un projet clair avec des missions claires.

Les ministères pilotent les programmes et des agences ont été créées pour se charger du caractère opérationnel des projets. Ainsi, nous avons une gestion cohérente de nos actions.

Car c’est seulement en assurant une bonne organisation de notre administration que nous pouvons atteindre les objectifs du Gabon émergent. Lors des dernières élections législatives, les Gabonais ont largement plébiscité la politique que j’impulse et mets en oeuvre.

La vision que j’ai présentée aux Gabonais il y a trois ans est une vision ambitieuse. J’ai fait en sorte qu’un programme clair soit établi. Dans chaque secteur, des actions ont été identifiées, avec des budgets et des calendriers: c’est cela, le Plan Stratégique du Gabon émergent (PSGE).

Le Premier Ministre Biyoghe Mba, que je félicite au passage pour son travail à la tête du gouvernement, s’est inscrit dans cette démarche. Pour concrétiser la vision du Gabon émergent, trois axes stratégiques ont été retenus : le renforcement des fondations de l’émergence, la diversification des piliers de croissance et enfin la prospérité partagée.

La pyramide du Gabon émergent requiert en effet des fondations solides pour pouvoir prospérer dans la durée. Le choix des éléments constituant ces fondations a été fait de manière holistique, de façon à prendre en compte les facteurs de compétitivité globale et de promotion d’un développement équilibré et durable.

Une fois les fondations bien bâties, la seconde phase consiste à ériger les piliers de l’émergence, c’est- à dire les moteurs d’une croissance forte et durable sur lesquels le Gabon devra se focaliser pour accélérer sa croissance et son développement.

Enfin l’étape ultime sera la mise en place du haut de la pyramide que constitue la prospérité partagée :le bien-être des populations gabonaises demeure en effet le but ultime de l’émergence et passe par un partage équitable des fruits de la croissance. »


Comment pourrait-on résumer la méthode et le style ABO dans la gestion des hommes et la bonne gouvernance ?

ABO : « Tous simplement trois mots : paix, développement et partage. »


Le retour voulu « populaire » du leader de l’opposition Mba Obame s’est soldé par de violent incidents pour une manifestation interdite faute de demande d’autorisation. Comment le gouvernement compte-t-il gérer le cas Obame, dont les activités pourraient osciller entre incivilité publique et actions politiques ?

ABO : « Il n’y a pas de « cas Mba Obame ». André Mba Obame que j’ai bien connu, comme vous le savez, est rentré au Gabon comme n’importe quel homme politique gabonais de retour dans son pays après une absence due à des problèmes de santé.

Ce que je constate cependant, c’est que deux jours après son arrivée, suite à son appel à manifester, des jeunes armés de cocktails Molotov et de pierres ont incendié des véhicules et saccagé une station d’essence au cours d’une manifestation interdite. Je pense qu’il est aisé de comprendre le lien de cause à effet.

Je m’étonne également de ce que M. Mba Obame puisse demander au chef de l’Etat la mise en place d’une conférence nationale et dite souveraine, alors que son parti prône la non-reconnaissance des institutions, à commencer par celle du président de la République. Ce sont des méthodes d’un autre âge, complètement éculées.

Il ne m’appartient pas de juger tel ou tel politicien, ce travail revient à la justice, mai s M. Mba Obame et ses soutiens, comme tout gabonais, doivent respecter la loi, qui vaut pour tous.

Le Gabon est un Etat de droit et nous disposons d’un système judiciaire certes imparfait, mais qui est la base de notre « vivre en commun ».

Aussi, je tiens à rassurer mes concitoyens sur le fait que le gouvernement et moi même restons concentrés sur nos priorités. Ce n’est pas la politique pour la politique que les gabonais attendent de nous, mais un travail pour améliorer leurs conditions de vie. »


Comment avez- vous analysé la perte par les francophones, au profit de l’Afrique du Sud du poste du président de la commission de l’Union africaine occupé précédemment par le Gabonais Jean Ping ? Va- t- il occuper un poste stratégique au Gabon ou sur la scène internationale ?

ABO : « Cela ne m’intéresse pas de m’enfermer dans une querelle entre francophone et anglophone. Cela ne correspond pas à ma manière de voire le monde et cela ne correspond plus à la réalité de notre continent.

Ce qui importe, c’est que l’Union Africaine (UA) continue à ce solidifier et à se doter d’outils nécessaires pour apporter la paix et le développement à notre continent. Nous sommes tous unis derrière cette cause.

Le Gabon travaillera avec Madame Dlamini Zuma, que j’ai, bien entendu, félicitée, afin de renforcer notre institution, tout comme l’Afrique du Sud aurait travaillé en bonne intelligence avec notre compatriote s’il avait gagné.

Je salue au passage l’efficacité de M. Ping dans les travaux qu’il a menés : son travail est très estimé ici, au Gabon, comme ailleurs en Afrique. Quant à savoir ce que M. Ping va faire par la suite, je ne peux pas répondre à sa place. »


Quelles pourraient être les conséquences pour la zone CFA de la crise que connaissent les pays de l’Union européenne concernant les dettes souveraines et qui voient l’euro se déprécier ? Car, rappelons-le, l’euro a la particularité d’assurer une convertibilité fixe au FCFA via le Trésor français.

ABO : « Les fondamentaux des économies de la Zone franc incitent à l’optimisme. Il n’y a pas de crainte quant à une éventuelle ou probable dévaluation de franc CFA. Par ailleurs, en raison des principes de gestion des réserves de change dans cette zone, aucun impact significatif sur les transactions n’est attendu.

Néanmoins, il faut reconnaître que l’investissement direct étranger a diminué, tout en restant positif, en raison du potentiel de ces économies. Soulignons l’importance du recours à l’aide publique au développement, relativement inégale entre les pays.

Tout assèchement des sources publiques de financement européen aurait des incidences plus ou moins importantes sur le budget des Etats, et plus particulièrement sur ceux des pays de l’UEMOA, qui sont le plus concernés par ces aides. Malgré l’atonie de l’économie européenne, bon nombre d’observateurs estiment que les économies africaines font preuve d’une surprenante résilience.

Cette résistance est due à plusieurs raisons : le niveau favorable des cours des produits de base, la réorientation des exportations vers les marchés émergents et la faible intégration financière des économies africaines.

Par ailleurs, les pays de la Zone franc ont su anticiper depuis plusieurs années les changements nécessaires à leurs économies en diversifiant leur appareil productif et leurs partenaires ou en améliorant leurs conditions intérieures : soldes budgétaires renforcés, recul de l’inflation, progression du taux de couverture des importations par les réserves, réduction des ratios de la dette…

Toutefois, il est vrai que les récentes turbulences sur les marchés financiers laissent entrevoir une passe plus difficile pour l’économie mondiale. Dans le cas où la croissance continuerait de ralentir dans les pays avancés, la demande mondiale serait bien évidemment freinée et la contagion affecterait beaucoup plus les pays émergents.

En cas de retournement durable des cours des produits de base, l’Afrique pourrait bien être affectée, sachant que la plupart des pays africains sont dépendants de ces produits.

N’ayant pas mené de politique contracyclique, les pays de la Zone ne seraient alors plus en mesure de pallier le ralentissement des activités avec leurs partenaires européens : la hausse de la dépense publique resterait ainsi le seul levier pour maintenir leur croissance. »


Le Gabon compte entre 120 et 150 entreprises françaises pour des investissements d’environ 800 millions d’euros. La France est le principal fournisseur du Gabon, avec une part de marché d’environ 35%, et un bailleur de fonds important avec 50 millions d’euros par an, essentiellement sous forme de conversion et d’annulations de dettes et de prêts. Malgré ce poids économique, vous ne cachez pas votre volonté, qui passe d’ailleurs pour une révolution, de diversifier les partenaires économiques du gabon. Comment comptez-vous concrétiser cette nouvelle orientation ?

ABO : « La stratégie est déjà entamée et porte ses fruits : plus de 4 milliards de dollars de contrats ont été signés avec de nouveaux partenaires dans des secteurs clés depuis 2010.

la France reste traditionnellement un partenaire stratégique pour le Gabon, mais il n’y a plus de relation exclusive entre nous. Le Gabon ouvre ses portes à de nouveaux investisseurs. Ce n’est pas, comme vous le dites, une révolution, mais plutôt une évolution.

Notre politique de développement privilégie des partenariats « gagnant-gagnant ». J’ai effectué plusieurs visites d’Etat, visites officielles et visites de travail depuis 2009 en Afrique du Sud, en Australie, en Corée du Sud, aux Etats-Unis, en Italie, au Japon, au Maroc, au Royaume-Uni, en Suisse et à Singapour, en Turquie…

Ces visites ont été concluantes et je continuerai sur cette voie. Le Gabon est ouvert au monde, le Gabon est ouvert aux affaires, le Gabon est ouvert à l’innovation. »


Les résultats de votre première visite de travail à paris avec François Hollande, nouveau président français, ont-ils été concluants, tant au niveau économique que politique ? Le style et la personnalité de ce nouveau président, qui se veulent différents de ceux de Nicolas Sarkozy, vont-elles influencer les rapports entre le Gabon et la France ?

ABO : « Le président français et moi-même représentons deux pays qui sont des partenaires de longue date et dont l’amitié est historiquement établie depuis des générations.

Bien que nos relations personnelles soient nouvelles, nous comptons l’un comme l’autre maintenir cette relation amicale entre la France, qui est notre premier partenaire économique, et le Gabon.

Les relations que nous entretenons sont fortes tant sur le plan économique que culturel, diplomatique, militaire. J’ajouterai même qu’elles sont meilleures que certains voudraient le faire croire.

Lors de notre rencontre à Paris en juillet, le président Hollande a été très sensible à nos efforts pour lutter contre les impacts des changements climatiques comme la mise en place d’un plan climat national, la création d’une agence d’observation spatiale pour, notamment, assurer un meilleur suivi de nos 22 millions d’hectares de forêts, qui jouent un rôle majeur dans la conservation du Bassin du Congo, deuxième poumon vert de la planète, et surtout, prochainement, l’adoption d’une loi d’orientation générale sur le développement durable.

François Hollande a ainsi émis le voeu que la France, qui nous accompagne déjà beaucoup sur cette thématique, s’engage davantage à nos côtés. Et puis, vous le savez, le Gabon tout comme la France sont des pays écoutés en Afrique.

Le Gabon a une tradition de médiation et d’activité en faveur de la paix sur le continent. Il est donc indispensable que nos deux pays échangent face aux défis que rencontre actuellement notre continent. »


Tout juste élu, vous vous êtes qualifié vous-même de président de la rupture. Bientôt à mi-parcours de votre mandat, quel bilan faites-vous des 3 dernières années passées au pouvoir ? Quels sont vos objectifs pour les 3 prochaines années ? Et comment voyezvous le Gabon en 2016 ?

ABO : « Je me suis récemment exprimé devant les députés et les sénateurs gabonais pour leur rappeler l’objectif vers lequel nous tendons depuis trois ans.

Le Gabon est entré dans une ère de rupture, c’est vrai. Rupture avec les anciennes pratiques, rupture avec l’attentisme, rupture avec les débats politiques stérile et sans impact pour la population.

J’ai été élu sur un programme, un programme qui vise à faire du Gabon un pays émergent d’ici 2025.

Cet objectif peut paraître abstrait aux yeux de certains, alors permettezmoi de le rendre plus concret, plus palpable : des routes, des aéroports modernes, une industrie florissante, des services toujours plus performants, un cadre de vie amélioré, des emplois pour tous les Gabonais, tel est mon objectif.

C’est une vision ambitieuse, qui demande l’implication de tous et le développement d’un sens de l’intérêt général qui doit être sans cesse encouragé.

Nous menons au Gabon des réformes administratives dans tous les secteurs. Nous investissons massivement, nous mettons en place des partenariats nouveaux, et tout cela dans un but : développer un Gabon durable, qui profite à tous.

Les projets ont démarré, ils sont en bonne voie, les choses avancent, pas assez vite à mon goût, mais elles avancent.

Je veux un Gabon où le travail de chacun est reconnu, où l’égalité des chances n’est pas un mythe et où chaque Gabonais mène une vie convenable grâce à la force de son travail.

Alors effectivement, dans un contexte où les connexions familiales ont fait loi pendant des décennies, ma vision est une immense rupture, mais je sais qu’ensemble, nous pouvons y arriver.

Avec les chantiers en cours et l’énergie que nous déployons pour assurer le suivi de ces projets, je peux dire qu’en 2016, le Gabon aura largement amélioré ses infrastructures de transports et sera désenclavé.

Les nouvelles technologies auront trouvé leur place et seront accessibles à tous, efficaces et rentables, permettant ainsi le développement d’entreprises de services.

Le pays saura répondre en interne à ses besoins en énergie et les grandes villes seront en partie réaménagées.

Les étudiants bénéficieront d’un système éducatif plus efficace et plus en adéquation avec le marché de l’emploi.

Enfin, la diversification de l’économie aura permis la création de nombreuses PME/PMI locales et, par conséquent, la création de nombreux emplois. Le niveau de vie de tous les Gabonais sera ainsi globalement amélioré ».


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