10/12/2012

Droits de l’Homme : La consécration d'Ali Bongo Ondimba et du Gabon

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Décidément, depuis ces derniers temps et particulièrement avec l’arrivée au pouvoir du président Ali Bongo Ondimba qui a déjà présidé le Conseil de sécurité des Nations unies, le Gabon devient un pays qui compte de plus en plus dans le concert des nations du monde.

La dernière preuve en date est la brillante élection du Gabon à la célèbre Commission de l’Organisation des Nations unies (ONU) pour les droits de l’Homme. Et ce, par 187/193 voix des pays membres de la mythique institution internationale.

Une élection intervenue le 12 novembre dernier et qui rabat à jamais le caquet à tous les médisants de l’opposition gabonaise ayant osé traiter le régime du président Ali Bongo Ondimba de « dictature émergente ». Comme si la communauté internationale était aussi dupe que ne le sont nos bangandos…

Autant dire que, par cette élection au sein du club très huppé des membres de la Commission des droits de l’Homme de l’ONU, notre pays le Gabon d’Ali Bongo Ondimba est, de l’avis de plusieurs observateurs avertis, « pleinement confirmé dans sa position avant-gardiste de grand combattant au profit de la protection et de la promotion des droits de tous les citoyens. »

Et cela, ajoutent ces observateurs, particulièrement au vu « des mesures salutaires initiées par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba en faveur des couches sociales gabonaises les plus fragiles que sont les enfants, femmes, veuves et leurs progéniture ainsi que les personnes diminuées physiquement, mentalement ou économiquement. »

Aussi, l’élection du Gabon à la Commission internationale des droits de l’Homme n’est que la consécration de l’ensemble des réformes initiées et des efforts consentis par le président Ali Bongo Ondimba ainsi que des actions déployées tant par le gouvernement gabonais qu’au niveau des instances judiciaires nationales dans ce sens.

Lesquels efforts de réformes et d’actions ont été conçus, mis en oeuvre et réussis dans un véritable élan généreux de préservation et de promotion des droits de l’Homme, de la justice sociale et de la paix au Gabon.

Cette élection est aussi le fait du récent passage très brillant, remarqué et remarquable du Gabon, lors de la présentation en Suisse de son rapport national sur les droit de l’Homme et ce, auprès des instances spécialisées des Nations unies.

C’est donc une double victoire pour l’actuel régime politique du président Ali Bongo Ondimba qui voit d’abord en cette élection, « un énième couronnement international de ses premières actions en faveur de la promotion des droits de l’Homme et du citoyen » Et ce, après avoir réussi à initier et faire adopter par le Conseil de sécurité des Nations unies, la résolution relative à l’institutionnalisation de la Journée internationale de la veuve et partant, de l’orphelin.

De même qu’il s’agit, pour M. Eric Dodo Bounguendza, le directeur général du département des droits de l’Homme au Gabon, et les pouvoirs publics gabonais, de constater ensuite que « cette brillante élection constitue un cinglant démenti flanqué aux visages de tous ceux qui, à l’intérieur ou à l’extérieur, prennent un cynique plaisir à s’ériger en détracteurs de l’action globale du président Ali Bongo Ondimba. »

Ce qui motive logiquement et de plus en plus les autorités nationales de notre pays à « poursuivre leurs efforts dans la consolidations des nouvelles positions acquises en matière de promotion des droits de l’Homme sur le plan tant national qu’international. »

Ce, d’autant plus que pour le président Ali Bongo Ondimba et en la matière, « le combat quotidien réside dans la consolidation des principes d’un Etat de droit reposant sur la promotion d’une justice indépendante, impartiale et accessible à tous les citoyens. »

Un Etat de droit qui, précise le chef de l’Etat, « puisse garantir durablement au pays les conditions idoines de stabilité des institutions républicaines, de paix sociale, de sécurité des personnes et des biens ainsi que de protection des droits des citoyens les plus vulnérables. »

Idem pour ce qui est de « la prévention et de la jugulation des vils phénomènes résultant des extrémismes et intolérances de tous bords tant politiques, économiques, sociaux, religieux que culturels. »

C’est donc dans ce sens que le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba ne cesse d’initier et de faire adopter des lois renforçant les moyens de protection des droits fondamentaux et légitimes de l’ensemble des citoyens exposés aux rétrogrades relents inhumains de discrimination, d’exclusion et d’exploitation de certaines catégories sociales par d’autres.

Des lois dont la promotion sur le terrain est relayée par l’action des structures privées telles que la Fondation Sylvia Bongo Ondimba que préside la Première Dame gabonaise et qui participent énormément à l’autonomisation économico-financière et à l’intégration sociale des personnes les plus vulnérables.

En somme, si les droits de l’Homme constituent un noble idéal que poursuivent tous les Etat du monde, il devient indéniable que grâce à l’action soutenue du président Ali Bongo Ondimba, le Gabon connaît en la matière des évolutions très significatives et marquantes.

La bataille étant, pour le N° 1 gabonais, que « cet idéal commun et universel s’avère être au sérieux gage de développement économique, de progrès social, d’émancipation culturelle et d’aura diplomatique du pays. »

Honte donc à tous les médisants dont l’élection du Gabon du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba à la Commission onusienne des droits de l’Homme vient de rabattre fermement le caquet.

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