08/12/2012

Le Président Ali Bongo Ondimba rencontre l’émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani,

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Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba a s’est entretenu jeudi à Doha avec l’émir de l’Etat du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, en marge de la 18ème conférence des nations unies sur les changements climatiques.

Au cours de cette rencontre, les deux hommes ont abordé les questions liées à la coopération entre le Gabon et l’Etat du Qatar. La rencontre a été marquée par la claire et ferme volonté des deux dirigeants à développer les relations entre leurs pays respectifs.

Une perspective énoncée par l’émir Al Thani, rappelant d’emblée à son hôte, l’importance des sujets abordés lors de leurs deux premières entrevues à Syrte ( Libye) et Paris ( France), en marge du sommet Afrique-monde arabe et de la rencontre internationale sur la Nouvelle Libye organisée à l’initiative de la France.

La visite effectuée peu après à Libreville par une importante délégation de responsables qatarie qui ont échangé avec la partie gabonaise sur les axes de la coopération économique future s’inscrivait dans la ligne droite de ces entrevues.

Le Qatar ayant marqué son intérêt pour le Gabon, il reste, notamment, comme l’a exprimé son émir, d’obtenir toutes les informations nécessaires ainsi que la désignation par la partie gabonaise d’un interlocuteur chargé spécialement de suivre l’évolution de cette coopération.

Celle-ci devrait être dynamisée et intensifier après seulement la conclusion dans les meilleurs délais de plusieurs accords.

Ces accords sont, notamment, l’accord de coopération générale, l’accord fiscal ainsi que celui relatif à la promotion et protection des investissements.

Ces cadres juridiques sont indispensables d’autant que les domaines de coopération économique et commerciale sont aussi divers que variés.

Le chef de l’Etat gabonais, qui n’hésite pas de promouvoir le Gabon dans tous ses déplacements, a énoncé les secteurs pouvant intéresser ses hôtes.

Ceux-ci ont trait aux mines, plus particulièrement la recherche, l’exploitation e le développement. Dans cet ordre d’idées qu’il a été évoqué la possibilité offerte à Qatar Still d’investir sur ce registre.

Il faut dire que ce pays du Golfe, riche en pétrole ayant une expérience reconnue au plan Off Shore, l’expertise qatari peut être mis à profit également dans la production et le transport du pétrole et le gaz.

La gestion des forêts au plan de l’aménagement, de la production, la transformation du bois est aussi un domaine présenté par Ali Bongo Ondimba, comme pouvant accueillir les investissements de cet Emirat.

Lequel a également une expérience utile au Gabon dans la réalisation de l’important projet de construction de la cité verte. L’émir du Qatar a dit que son pays était prêt à investir au Gabon.

Pour ce faire, Qatar holding et le Fonds d’investissement qatari, qui sont des organismes financiers investissant dans de nombreux pays, n’attendent plus que les deux parties lancent les discussions.

Le président gabonais résolu, pour sa part, à amener les autorités du Qatar à saisir les opportunités d investissements qu’offre notre pays, a fait valoir la position centrale du Gabon pour atteindre d’autres pays de la sous région et même du Golfe du Guinée avec forte population, tel que le Nigéria.

La coopération doit être assise sur le gagnant-gagnant et sur des outils de partenariats orientés vers la création joint-venture ainsi que la prise d’actions réciproques dans les sociétés gabonaise et qatari.

C’est le souhait exprimé, par ailleurs, par l’émir Al Thani, qui a manifesté un intérêt majeur pour le Gabon et son président Ali Bongo Ondimba, dont la présence à Doha où se discute l’avenir du protocole de Kyoto, a été très appréciée.

Le chef de l’Etat gabonais qui s’y est rendu à l’invitation de l’émir, a vu son leadership sur les questions de développement durable réaffirmer, en présentant l’enjeu majeur qui est aujourd’hui de maintenir le protocole de Kyoto.

Ce, alors que les discussions achoppaient encore hier à deux jours de la fin de la COP 18, sur la mise en place d’un nouveau cadre de réglementation dans la lutte contre les changements climatiques ainsi que le financement du Fonds vert sur lequel s’arc-boutent les pays en développement, plus touchés par les changements climatiques.

Peu après cette entrevue, Ali Bongo Ondimba a visité l’académie du Sport de Doha.

Sur les lieux, à la tête de la délégation gabonaise comprenant outre, le ministre des Affaires étrangères, Franck Issoze Ngondet, des membres du Cabinet présidentiel, les leaders de partis politiques de la majorité et de l’opposition Paul Mba Abessole ( RPG ), Faustin Boukoubi ( PDG), Dieudonné Pambo( ADERE) et Séraphin Akuré Davain, a pu se faire une idée du fonctionnement et de l’état des structures de cette institution de formation des futures champions et élites du sport.

Une visite très utile d’autant qu’elle a permis à la délégation gabonaise d’apprécier l’investissement colossal qatari pour se doter dans l’enceinte du complexe des infrastructures favorisant la formation des jeunes en matière de sport, en général.

Avant de prendre part dimanche prochain à l’évènement baptisé Doha Goals, une rencontre inédite qui réunira dans la capitale qatari des légendes et vedettes de tous les sports et de tous les continents, et quelques rares dirigeants de pays, pour un échange sur le sport dans toutes ses dimensions, le président gabonais s’est rendu jeudi à Djeddah en Arabie Saoudite pour le pèlerinage à la Mecque.

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La deuxième étape d’iSchool lancée par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba

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La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille qui développe des actions en faveur de la famille , de la participation de la jeunesse et de la femme au développement du Gabon, a lancé la deuxième étape de son projet pilote Ischool, destiné aux jeunes des établissements scolaires de la capitale gabonaise et de sa périphérie.

Ischool est un programme qui vise à développer l’utilisation de l’outil informatique dans les écoles par le biais de l’utilisation de l’Ipad. La première étape consistait à former les maîtresses et maîtres d'écoles à l'utilisation de l'Ipad.

Sylvia Bongo Ondimba : « Je suis très fière d’annoncer la mise en place de la seconde étape du projet pilote Ischool. Cette expérience implique 258 élèves de CE2 de deux écoles publiques et d’une école publique conventionnée de Libreville et de la zone péri urbaine de la capitale.

A travers ce projet, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille souhaite mesurer l’impact des technologies de l’information et de la communication (TIC) sur l’apprentissage des élèves mais également promouvoir la place des TIC dans l’enseignement au Gabon.

Au total , ce sont : 87 ipads avec des installations d'applications éducatives , 2 ordinateurs Mac Book Air , 2 rétroprojecteurs , 3 chariots chargeurs permettant de ranger les ipads, de les charger tous ensemble, de transférer des données de l'ordinateur ( ou ipad ) de l'enseignant vers les ipads des élèves, mais également 1 school in a box, valise comprenant tout le matériel et des panneaux solaires transmise dans l'école semi-rurale .

Cette nouvelle étape intervient 1 mois après le début des formations des 14 enseignants aux fonctionnalités du Ipad.

Ce programme mené en collaboration avec le Ministère de l’Education et la Fondation Gauff a pour ambition de développer des méthodes d’enseignement et d’apprentissage innovantes.

Mon souhait est que chaque élève gabonais puisse travailler et s’approprier les outils incontournables de demain»

 

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Doha : Ali Bongo Ondimba invite à adopter des actions concrètes

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Invité à prendre activement part aux récents travaux de la 18ème Conférence sur les changements climatiques qui se sont ouverts lundi 3 décembre dernier à Doha, capitale de l’Emirat du Qatar, Ali Bongo Ondimba est véritablement sorti des sentiers battus et de la langue de bois caractéristique du genre.

D’emblée,  le Président  Ali Bongo Ondimba a rappelé aux uns et autres « La responsabilité qui est la leur dans la dangereuse dégradation actuelle des conditions climatiques mondiales et au niveau des effets désastreux que pourrait générer cette dramatique situation au détriment de la planète terre.»

Pour cela, il a invité ardemment ses pairs chefs d’Etat, les gouvernements ainsi que les dirigeants des grands groupes industriels internationaux à « tout faire pour préserver les écosystèmes environnementaux, réduire significativement les nocives émissions de gaz, changer positivement les modes de production et de consommation des biens industriels. »

Faisant référence à l’histoire, le Président  Ali Bongo Ondimba a indiqué qu’en la matière, « il faut que la communauté internationale se souvienne de la pertinence des engagements pris lors de l’adoption de la Convention de Kyoto (Japon) et des résolutions de Durban en Afrique du Sud. »

Des engagements qui imposaient à tous les pays signataires « l’obligation de mener des actions concertées, responsables et concrètes permettant de préserver le plus possible l’espace planétaire des potentiels effets ravageurs relevant des changements climatiques s’opérant actuellement au niveau de notre globe terrestre. »

De même que ces engagements imposaient aux uns et aux autres de « contribuer à la mise en place et au financement régulier d’un fonds destiné à soutenir les efforts communs de préservation des écosystèmes environnementaux. »

Or, à ce jour, le chef de l’Etat estime que, par rapport à tous ces engagements précités, « trop de promesses se sont avérées non tenues et cela commence à susciter, en ce qui concerne l’évolution actuelle des conditions climatiques, beaucoup de dépit et d’inquiétude pour les générations futures se retrouvant ainsi exposées à des potentiels risques majeurs.»

De surcroît, le Président  Ali Bongo Ondimba dresse le constat, avec regret, que les dernières négociations initiées sur la résolution urgente de la question des changements climatiques ne sont marquées que par de nombreuses lenteurs et entraves; notamment dans la mise en oeuvre des recommandations et solutions propices à préserver la planète au mieux des dangers de cet effroyable climat d’incertitude.

Surtout que, dans le même temps et selon divers observateurs, « se creuse et s’élargit de plus en plus un dangereux fossé entre les pays riches qui polluent fortement et les pays pauvres qui ne font que subir impuissamment cette pollution. » Un cercle vicieux !

Le Président  Ali Bongo Ondimba préconise la prise de conscience sur toutes les questions vitales portant sur la gestion des changements climatiques et la préservation des écosystèmes environnementaux.

Ces questions devraient en effet susciter, au niveau de l’ensemble des dirigeants des pays de la planète et des grands promoteurs industriels du monde, un sursaut d’orgueil et de ressaisissement ainsi qu’un réel élan de solidarité agissante et d’actions conséquentes.

Aussi affirme-t-il fortement que « le combat contre les changements climatiques n’est ni un choix quelconque à opérer, ni une option facultative à entreprendre ; mais plutôt, une responsabilité politique, sociale et morale nous contraignant collectivement à réaliser de manière commune, concertée et solidaire toutes les actions propices à préserver la planète des affres des aléas climatiques. »

A la lumière de ce qui précède et, en déclinant la situation dans son propre pays, le président ABO a indiqué que « contrairement à ce qui prévaut dans d’autres nations, les Gabon s’est efforcé de tenir ses engagements pris dans le cadre de l’application de la Convention de Kyoto ainsi que des recommandations de Copenhague et Durban.»

Et de citer en exemple et dans le cas du Gabon, la formulation et la mise en oeuvre d’un plan national de développement industriel limitant drastiquement les émissions de carbone et autres gaz nocifs, la promotion d’une politique d’exploitation forestière intégrant les conditions de préservation de l’environnement ainsi que la création des départements ministériels à part entière et consacré tant aux Eaux et Forêts qu’à l’Economie et au Développement durable.

Toutes choses qui participent non seulement à l’effort mondial en la matière, mais préparent aussi le Gabon et les populations locales à demeurer moins vulnérables aux potentielles conséquences néfastes des changements climatiques.

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40 ème Anniversaire de la BEAC : Ali Bongo Ondimba fixe un nouveau cap pour la banque communautaire

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Président en exercice de la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (CEMAC) et invité de marque des manifestations marquant la commémoration du 40ème anniversaire de la création de la Banque des Etats d’Afrique centrale (BEAC), le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba séjournait récemment à Malabo, en Guinée Equatoriale.

Un séjour qui lui a permis d’annoncer, au côté de son homologue équatoguinéen Téodoro Obiang Nguema Mbazogo, « le nouveau cap que doit prendre désormais la BEAC au terme de ses 40 ans d’existence, en vue de mieux booster l’émergence de l’Afrique centrale dans le concert des autres sousrégions et régions du monde. »

Et cela, en présence d’un mémorable par terre de sommités sous-régionales et internationales du monde tant économique, financier qu’industriel. Sans oublier que pour avoir impliqué les leaders de la classe politique gabonaise dans la gestion de son mandat à la tête de la CEMAC, le président Ali Bongo Ondimba s’est fait accompagner à Malabo par les représentants de ceux-ci.

A cet égard, intervenant après le gouverneur de la banque communautaire, M. Lucas Abaga Nchama, et le président Téodoro Obiang Nguema Mbazogo, le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba a d’abord fait siens les pertinents avis émis par ses deux prédécesseurs à la tribune du Palais de Congrès dit de Sipopo et bâti à Malabo la capitale équatoguinéenne.

Lesquels avis portaient sur « l’appréciation objective du laborieux chemin parcouru par la BEAC et la nécessité pour cette grande institution financière sous-régionale de contribuer davantage au développement de l’ensemble des Etats de l’Afrique centrale. » Afin que l’intégration sous-régionale se consolide et devienne une véritable réalité économique, financière et sociale en Afrique centrale.

Un espace communautaire qui gagnerait à se donner davantage les moyens de renforcer ses capacités d’actions dans un monde tendant à devenir un « village planétaire » et où la compétitivité s’annonce de plus en plus rude sur tous les fronts.

Ensuite, le N° 1 gabonais, par ailleurs nouveau président en exercice de la CEMAC, a saisi l’opportunité qui lui était offerte pour « inviter ardemment les dirigeants de la Banque des Etats de l’Afrique centrale à tout faire pour mettre en oeuvre l’ensemble des réformes et des recommandations préconisées par la récente Conférence des chefs d’Etats de la sous-région tenue à Brazzaville. »

Ce, afin de mieux promouvoir, au sein de cette banque communautaire, les conditions de bonne gouvernance, d’efficacité dans le fonctionnement et de performance au niveau des résultats.

D’où le président Al i Bongo Ondimba a demandé aux gérants de la BEAC de renforcer les capacités de l’institution de contrôle des banques commerciales qu’est la Commission bancaire d’Afrique centrale (OBAC) dont le siège est d’ailleurs situé à Libreville.

De même que le N° 1 gabonais a enjoint ces dirigeants de la banque communautaire à « s’organiser efficacement pour maintenir et consolider durablement la stabilité économicofinancière de la sous-région. » Ce qui suppose le renforcement du cadre réglementaire y afférent ainsi que la mise en oeuvre des mécanismes de prévention institués pour les besoins de la cause.

Par ailleurs et pour mieux faire oeuvre utile au service du développement de la sous-région, les gestionnaires de la BEAC doivent se monter de plus en plus imaginatifs.

Ce « en explorant l’ensemble de nouvelles pistes possibles et propices à la mobilisation des ressources internes, à l’attraction des investisseurs étrangers vers l’espace communautaire ainsi qu’à la fructification effective des excédents budgétaires réalisés par les Etats membres de la CEMAC. »

Enfin, tout en saluant la création, au sein de la BEAC, d’un « Fonds sous-régional pour l’émergence », le président Ali Bongo Ondimba a alors insisté pour que « les excédents de trésorerie réalisés par la BEAC devront prioritairement être réinvestis dans la promotion des projets sociaux liés à l’habitat, à l’énergie, à l’eau potable ainsi qu’aux infrastructures structurantes de développement. »

A noter que pour conclure son propos, le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba a vivement recommandé aux pays membres de la BEAC, « création d’un Comité inter- Etats dont la principale mission sera de promouvoir en permanence les conditions idoines d’attractivité économico- financière de la sous-région d’Afrique centrale ».

Un exercice brillamment et visiblement réussit par le nouveau président en exercice de la CEMAC qui, dans le cas d’espèce et devant les délégués de la classe politique gabonaise, aur a prouvé à l’opinion sous-régionale et internationale que son mandat sera celui de la mise sur rail des conditions réelles d’une véritab l e émergence de l’Afrique centrale.

A la grande honte des leaders de l’ex-Union nationale et de quelques opposants marginaux gabonais qui pensaient que leur absence aux toutes dernières concertations de la présidence de la République pouvait avoir un quelconque impact négatif sur la volonté du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba de réussir son mandat. Comme il l’a d’ailleurs si bien fait lors de la CAN 2012 co-organisée par le Gabon et la Guinée Equatoriale.

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Ali Bongo Ondimba en VRP : Le Gabon consolide la diversification de son économie et des partenaires extérieurs

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Engagé dans un vaste mouvement de consolidation de la diversification des bases économiques et partenaires extérieurs de son pays ainsi qu’à l’instar de ce qu’il a déjà fait dans d’autres pays industrialisés ou émergents, le président Ali Bongo Ondimba vient d’effectuer un mémorable séjour à Londres.

Un séjour nullement fortuit, dans la mesure où l’on sait que « la très célèbre capitale britannique est reconnue comme étant une des bases mondiales huppées de l’économie, de la finance et des affaires internationales. De même que berceaux et grands promoteurs des secteurs sensibles tant de l’industrie que de l’innovation technologique, le Royaume Uni et sa capitale Londres ont longtemps et toujours joué un rôle majeur tant dans les mouvements de flux et de reflux des matières premières qu’au niveau des évolutions des économies mondiales. »

D’où, s’est imposé à un moment donné et plus précisément la semaine dernière, l’important et fructueux séjour que vient de passer le président Ali Bongo Ondimba dans la capitale britannique.

Et à l’évidence et selon plusieurs observateurs avertis, « la composition de la délégation qui l’accompagnait à Londres ne peut que présager de l’importance du caractère hautement économique que le chef de l’Etat gabonais a voulu bien accorder à cette visite de travail. »

Ce qui, pour les mêmes observateurs, « rabat ainsi fermement et d’ailleurs le caquet à tous les mécréants et médisants d’une certaine opposition qui estiment malhonnêtement que les déplacements à l’étranger du chef de l’Etat se confondent avec leurs propres ballades de santé ou d’agrément effectuées en France ou ailleurs.»

En effet, étaient présents à Londres et aux côtés du président Ali Bongo Ondimba, les ministres gabonais en charge des départements des Affaires étrangères, de l’Agriculture, des Mines, de l’Energie, des Infrastructures, de l’Economie… Sans omettre la présence très remarquée de Mme le Secrétaire générale de la présidence de la République gabonaise. On peut donc aisément imaginer les principaux centres d’intérêt pri s en compte.

Aussi, d’entrée de jeu, le président Ali Bongo Ondimba s’est retrouvé respectivement face à ses divers interlocuteurs britanniques qu’ont été les députés membres du Groupe d’amitié consacré à l’Afrique, responsables de la Royal Africa society, les grands investisseurs opérant dans divers secteurs de développement ainsi que plusieurs membres de la communauté gabonais e vivant au Royaume Uni.

Et à chacun de ces groupes d’interlocuteurs, le N° 1 gabonais a insisté sur le fait que « le Gabon dispose d’innombrables atouts économiques aussi divers que variés, c’est dire qu’il y a de la place et des opportunités pour tous le investisseurs exerçant dans n’importe quel secteur économique. »

D’où et de plus, le président Ali bongo Ondimba a rajouté que: « engagé dans un important processus et vaste programme d’émergence dans le concert des nations du monde, le Gabon est donc ouvert à tous les investisseurs des différentes sphères géographiques de la planète et demeure disposé à accueillir, sur son sol, l’ensemble des promoteurs des grands groupes internationaux exerçant dans tous les secteurs de développement. »

Et ce, particulièrement dans les secteurs porteurs et régissant les domaines florissants de l’économie, de l’industrie, du commerce, de la biodiversité, des nouvelles technologies de l’information et de la communication ainsi que bien d’autres dont il aurait fastidieux de les citer tous à Londres.

Tous des secteurs à haute portée économique qui, explorés totalement, exploités rationnellement et promus efficacement par les partenaires extérieurs, vont contribuer positivement à l’accélération du processus de développement du Gabon et d’élévation de celui-ci au statut enviable de « pays vert, industriel et des services à forte valeur ajoutée. »

Tout comme, interpellé par la presse sur le bien-fondé de son séjour londonien, le président Ali Bongo Ondimba a rappelé que cette offensive diplomatique au service de l’économie gabonaise lui permettait, audelà de la consolidation des moyens de développer son pays, de se donner par ailleurs les conditions de réalisation d’un autre objectif tout aussi important.

Lequel objectif étant celui de « faire en sorte que la ruée des promoteurs économico-financiers internationaux débouche sur un transfert massif des nouvelles technologies vers le Gabon. » Ce qui, ajoute, le chef de l’Etat, « offrira aux populations gabonaises plusieurs opportunités de s’approprier lesdites technologies ainsi que les expériences, les expertises et les modes de réussite en affaires venus d’ailleurs et propices à renforcer les conditions de développement et d’émergence du Gabon.»

Pour y parvenir, notons à cet égard et selon le président Ali Bongo Ondimba que: « son pays, dans le cadre de la promotion des meilleures conditions d’implantation rapide et d’installation durable des opérateurs économiques sur son espace territorial, a mis en oeuvre de salutaires réformes dans ce sens

Lesquelles réformes ont permis aux pouvoirs publics gabonais « de mettre en place des guichets uniques pour le montage des dossiers de création d’entreprises, de raccourcir nettement les délais des procédures de mise en oeuvre des unités de production ainsi que de bénéficier, dès le départ, d’énormes facilités fiscales d’implantation des infrastructures à caractère tant économique, commercial, touristique ou industriel. »

Résultat de cette vaste et fructueuse opération de charme en direction du monde britannique des affaires ainsi qu’envers les représentants locaux de la Banque mondiale et autres organismes économico-financiers internationaux basés à Londres, « le Royaume Uni va installer très prochainement un important « Bureau d’affaires » au Gabon et particulièrement à Libreville la capitale nationale. »

Un bureau d’affaire qui facilitera directement les conditions d’implantation au Gabon des grandes entreprises britanniques ainsi que des groupes économiques, industriels et commerciaux internationaux ayant leurs représentations à Londres.

Avec, en prime et au profit du Gabon, « l’exploitation effective et fructueuse d’innombrables ressources naturelles dont dispose le pays, la diversification des bases de l’économie et la répartition des entreprises à travers le territoire national ainsi que l’industrialisation de plusieurs secteur de l’économie gabonaise qui étaient encore au stade artisanal. »

Toutes choses qui, aux dires de plusieurs experts nationaux et internationaux en la matière, vont « permettre au Gabon de connaître un bénéfique climat de densification du marché de l’emploi, de modernisation des infrastructures structurantes et socio-économiques de développement, d’accroissement des ressources f iscales de l’Etat, d’aménagement harmonieux de l’ensemble du territoire national ainsi que d’amélioration significative des conditions de vie des populations gabonaises. »

Le tout découlant naturellement des dispositions prises par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba, mises en oeuvre par le gouvernement gabonais et propices à garantir, au Gabon, les conditions idoines d’une meilleure gouvernance tant des affaires publiques que des structures privées de développement national.

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04/12/2012

Ali Bongo Ondimba à la COP 18 : Responsabilité, solidarité, vision et action

 

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Mardi 4 décembre 2012, Doha - Trop de promesses brisées, trop d’engagements non tenus !

Fidèle à sa réputation et à son franc-parler, le Président Ali Bongo Ondimba s’est adressé cet après-midi à la COP 18, la 18eme Conférence des Parties de Doha sur le changement climatique en plaidant pour la responsabilité, la solidarité, la vision et l’action.

Le Chef de l’Etat gabonais a voulu sortir des sentiers battus et refrains habituels pour assener ces vérités à un moment crucial ou Dame Nature et les générations futures sont exposées à des dégâts imprévisibles.


« Une catastrophe écologique et humaine pointe à l’horizon, mettant en péril des siècles d’innovation scientifique et technologiques qui ont vu des nations et des peuples prospérer » dira Ali Bongo Ondimba.

Le Chef de l’Etat a poursuivi son propos avec ce rappel historique : « En 1992, lorsque nous lancions notre action commune pour stabiliser le Climat Global, nombreux étaient ceux qui avaient les pieds dans l’eau, beaucoup souffraient de la chute des rendements agricoles et bien d’autres faisaient face au pouvoir destructeur des cyclones. A l’époque, nous n’avions peut-être pas pleinement compris les causes de ces catastrophes naturelles. Mais depuis lors, les scientifiques ont quantifié et documenté nos responsabilités respectives dans le processus du changement et de la dégradation climatiques ».

Interpellant l’audience et la communauté internationale, le Chef de l’Etat a mis l’accent sur l’émergence d’une nouvelle conscience de partage d’une même planète, de la nécessité d’une meilleure gestion des biens planétaires communs à toute l’humanité ainsi qu’à la dette, à la responsabilité et à l’équité envers les générations futures.


“En 20 ans de négociations’’ dira le Président Ali Bongo Ondimba, « nous avons pris l’engagement de travailler ensemble équitablement pour préserver la stabilité climatique. Ce fut une raison d’espérer, surtout pour les plus vulnérables d’entre nous. A ce moment crucial, sommes-nous prêts à assumer la responsabilité collective de renoncer à l’investissement louable que nous avions fait dans le Protocole de Kyoto? Comment pourrons-nous expliquer que l’urgence que nous avions tous ressentie hier pour sauver notre Planète ne soit plus la? Notre crédibilité en tant que leaders en souffrira si nous n’ajoutons pas un autre jalon à notre effort commun ici à Doha ».

Evoquant la lenteur des progrès dans les négociations, la division de fait des peuples et des nations, la perte de confiance et le clivage entre ceux qui polluent et les victimes du changement climatique, les nations riches et pauvres, ceux qui agissent et les autres, le Président Gabonais a prôné l’action commune, concertée, responsable et effective.

Cet immense défi est le seul espoir pour un avenir en confiance.


Ali Bongo Ondimba a ensuite exposé l’exemple gabonais avec la formulation d’un plan de développement carbone à faible niveau qui se veut une contribution à l’effort collectif de stabilisation du climat.

Autre illustration de l’engagement gabonais : une stratégie nationale d’industrialisation avec des efforts réels de réduction et de minimalisation des émissions de gaz, de préservation des forêts.

Ces résultats ont pu être atteints grâce à de nouvelles lois et des efforts de gestion initiés par le gouvernement et se poursuivent avec un plan d’utilisation des sols pour optimiser la gestion du territoire.

Le Gabon vient juste d’achever un plan national d’adaptation de ses 800km de côtes et le Parlement examine une Loi sur le Développement durable qui exigera une évaluation d’impact pour tous les projets.

Des efforts qui s’inscrivent dans la logique des innovations introduites au niveau institutionnel, notamment avec la création d’un Ministère de l’Economie et du Développement durable avec la mission d’assurer la cohérence environnementale de nos politiques nationales économiques et sociales.

Face aux divisions de toutes sortes, le Président Ali Bongo Ondimba a plaidé pour que le changement climatique soit une question unificatrice pour la communauté des nations au destin partagé.

Reprenant une formule qui lui est chère, le Président de la République Gabonaise a réitéré que « le combat contre le changement climatique n’est ni un choix, ni une option, mais une responsabilité politique et morale qui nous contraint à réaliser une vision commune, des actions coordonnées et une solidarité sans faille concernant les moyens nécessaires à l’atteinte de nos objectifs ».


FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/


La politique du Gabon Émergent


Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

 le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/


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Le Président Ali Bongo Ondimba attendu à Doha ( QATAR )

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Lundi 03 Décembre 2012, Doha - Le Président Ali BONGO ONDIMBA prendra part à deux évènements de portée internationale.

Le premier est axé sur l’environnement, le changement climatique et les questions de développement durable sur lesquels le Chef de l’Etat gabonais s’illustre par son engagement pionnier et clairvoyant et un leadership affirmé lors des diverses conférences sur ces sujets depuis son accession à la magistrature suprême ; Nagoya, Durban, Libreville, Rio,

Le second évènement baptisé DOHA GOALS est une rencontre inédite qui verra des légendes et vedettes de tous les sports et de tous les continents échanger entre eux sur le sport dans toutes ses dimensions, et avec quelques rares leaders politiques, dont Ali BONGO ONDIMBA, Président du pays Co-hôte de la mémorable CAN 2012 de Football et d’un récent médaillé d’argent des Jeux olympiques de Londres, Anthony OBAME.


Le Chef de l’Etat gabonais est attendu tout d’abord à la partie dite Haut segment de la conférence COP 18 sur le changement climatique qu’abrite Doha la capitale Qatari et qui démarre ce 4 décembre 2012.

Précédée par une série de réunions préparatoires, cette rencontre au Sommet du 4 au 7 décembre 2012 Environ 17,000 participants, membres des délégations, visiteurs venus de 194 nations assistent à la COP18.

C’est la plus grande conférence que Doha ait jamais abritée avec la présence remarquée de quelques 1,500 journalistes du Qatar et du monde entier dont une centaine de chaines de Télévision pour couvrir et relayer l’événement. Quelques 7,000 membres d’Organisations Non-Gouvernementales sont également présents à la conférence.


Parmi les parties en pré- sessions a huis-clos, il faut noter le groupe des Pays les Moins avancés, le groupe des petites îles en développement, le Groupe Africain et le G77 plus la Chine.

Au centre des discussions se trouvent les problèmes auxquels chaque pays fait face en conséquence du changement climatique et la recherche d’un consensus sur les questions à porter à la table du COP 18 pour parler d’une seule et même voix.

Le Groupe des 77, vaste coalition de nations en développement qui, au-delà des 77 membres fondateurs regroupe à ce jour 132 membres, compte la Chine comme invitée spéciale depuis les réunions du Gabon en 1981.


Ces pré-sessions se sont également intéressées aux mécanismes de régulation des projets de réduction des émissions dans les pays en développement.

Depuis la Convention Cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique (UNFCCC) entrée en vigueur en 1994, la Conférence des Parties (COP) s’est réunie annuellement pour évaluer le progrès dans le traitement du changement climatique

La Conférence des Parties (COP) est l’instance "suprême " de la Convention, son autorité décisionnaire la plus élevée. La COP est une association de toutes les 195 Parties à la Convention.


FIN


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La politique du Gabon Émergent


Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

 le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/


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03/12/2012

Le Chef de l’État Ali Bongo Ondimba clos une visite de deux jours à Londres

 

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Lundi 3 décembre 2012, Londres - Le Président de la République gabonaise, son Excellence Ali Bongo Ondimba a clôturé une visite de deux jours (les 28 et 29 novembre 2012) à Londres où il a fait la promotion des opportunités économiques du Gabon.

Le Chef de l’Etat s’est tout d’abord rendu dans la matinée du 28 novembre 2012 à la Chambre des Lords, chambre haute du Parlement britannique pour y prononcer un discours fort devant les membres de la Royal Africa Society, première organisation britannique dédiée à la promotion de l’Afrique et du All Party Parliamentary Group Africa, groupe d’amitié parlementaire dédié à l’Afrique.


Lors de son allocution, le Chef de l’Etat a présenté les réformes et opportunités économiques du Gabon en mettant l’accent sur trois domaines prioritaires : la diversification de l’économie, le renforcement des institutions et le développement des infrastructures et du potentiel humain.

Il a ainsi réitéré sa volonté de mettre en place des institutions fortes et des procédures transparentes de bonne gouvernance afin de garantir un meilleur environnement des affaires au Gabon.


« Nous savons très bien que nous ne pourrons pas atteindre un niveau satisfaisant de développement économique, d'égalité sociale et de préservation de l'environnement sans des institutions fortes et respectées (…). Nous avons réduit de moitié la taille du gouvernement et aligné chaque portefeuille ministériel avec nos priorités de développement national. Nous allons introduire des contrats de performance qui s'appliqueront aussi à nos fonctionnaires ; et nous avons créé une Agence nationale des Travaux publics qui a pour tâche de guider la réalisation des grands projets d'infrastructures – et de veiller à leur maîtrise technique ainsi qu'à leur gestion financière responsable. »


Le lendemain, jeudi 29 novembre 2012, le Chef de l’Etat et la délégation gabonaise composée notamment de du ministre de l’Economie Luc Oyoubi, du ministre de l’Industrie et des Mines Régis Immongault, du ministre de l’Energie, du Pétrole et des Ressources hydrauliques Etienne Dieudonné Ngoubou, du ministre de l’Agriculture Julien Nkoghe Bekale et du ministre des Affaires étrangères Emmanuel Issoze Ngondet ont présidé le premier forum d’investissement Royaume-Uni / Gabon.

Organisé par l’Agence de promotion des investissements et des exportations (APIEX), ce forum a réuni plus de 500 participants dont de nombreux représentants du secteur privé et autres investisseurs potentiels.


Tout en soulignant les objectifs ambitieux que le Gabon s’est assigné dans le cadre de la politique de développement du Gabon Emergent, le Chef de l’Etat a mis l’accent lors de son allocution sur la nécessité de diversifier l’économie gabonaise en engageant notamment des relations fortes avec de nouveaux partenaires issus du secteur privé.


« Notre stratégie est claire ; nous voulons travailler en partenariat avec des sociétés et des investisseurs qui recherchent des rendements durables à long terme. (…) Nous avons établi un programme ambitieux. Nous n'atteindrons pas nos objectifs sans le soutien actif du secteur privé. Nous sommes à la recherche de partenariats judicieux pour nous soutenir. Nous ne voulons pas de patronage. Nous voulons des partenaires. Nous ne voulons pas d'aide financière, nous voulons des investisseurs. Nous recherchons des sociétés pour nous aider à réaliser la valeur intégrale des actifs dont nous disposons ; pour des rendements à long terme, durant de nombreuses années à venir. »


Durant la journée, les participants ont assisté à des sessions-débats pendant lesquels certains ministres gabonais présents ont pu faire la lumière sur les quatre thématiques suivantes :

Présentation générale des opportunités économiques du Gabon ;

Investissements dans les secteurs industriel, énergétique et minier gabonais ;

Développement infrastructurel et commerce extérieur du Gabon ;

Investissements dans les secteurs agricole, touristique et environnemental gabonais.


Affichant son ambition d’attirer de nombreuses entreprises britanniques au Gabon, le Président de la République a rappelé que sa stratégie de développement était indissociable d’un secteur privé compétitif, soucieux de l’environnement et créateur d’emplois.

« La raison pour laquelle nous poursuivons une telle stratégie est simple : nous voulons plus d'emplois et une meilleure qualité de vie pour nos citoyens, aujourd'hui, demain et encore longtemps à l'avenir. C'est pourquoi nous n'accepterons pas les formes de développement qui compromettent notre environnement naturel. »


Ce déplacement est la troisième visite effectuée par le Chef de l’Etat au Royaume-Uni en 18 mois.

Ce dernier s’est déclaré satisfait des avancées enregistrées dans le développement des relations commerciales avec le Royaume-Uni - un pays qui a récemment répondu favorablement aux appels répétés du Président Ali Bongo Ondimba en nommant le mois dernier un attaché commercial à Libreville.


Fort de ses succès, le Président de la République gabonaise a appelé de ses voeux à resserrer les liens économiques tissés entre les deux nations et demandé aux investisseurs britanniques de s’implanter durablement au Gabon pour participer à l’émergence du pays.


FIN


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La politique du Gabon Émergent


Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

 le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


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Gabon: Conférence de presse du Porte Parole de la Présidence de la République , Alain Claude Bilie By Nzé

 

 

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ORDRE DU JOUR  lundi 3 déc.2012

 

I/- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU 40ième ANNIVERSAIRE DE LA BEAC CELEBRE A MALABO EN GUINEE EQUATORIALE : le 23 novembre 2012

 

II/- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU FORUM D’INVESTISSEMENT ROYAUME UNI/GABON: du 27 au 29 novembre 2012.

 

III/- DEPLACEMENT DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A DOHA AU QATAR 

 


I/- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU 40ième ANNIVERSAIRE DE LA BEAC CELEBRE A MALABO EN GUINEE EQUATORIALE : le 23 novembre 2012.

 

Le Président de la République, Son Excellence ALI BONGO ONDIMBA a pris part le 23 novembre dernier à Malabo aux activités commémorant le 40ème anniversaire de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale.

 

Le Président Ali BONGO ONDIMBA qui intervenait en sa qualité de Président en exercice de la CEMAC, a  saisi cette Opportunité pour dresser un bilan circonstanciel de l’Institut d’Emission de la CEMAC avant d’indiquer la voie à suivre pour les prochaines décennies.

 

Il a appelé les experts de la sous-région et ceux venus d’ailleurs à réfléchir aux nouveaux mécanismes qui pourraient être mis en œuvre afin de permettre à la BEAC de contribuer davantage à l’accompagnement des différentes initiatives allant dans le sens du développement des économies de la sous-région.

 

Face à l’impérieuse nécessité de faire des Etats de la sous-région des pays émergents dans les deux décennies à venir, le Président Ali BONGO ONDIMBA a décliné les grandes actions devant permettre de booster les économies de ces Etats. Il s’agit, entre autres :

-      D’une meilleure mobilisation des ressources internes au niveau des Etats ;

-      Le développement des Partenariats Publics Privés ;

-      Le développement des investissements directs étrangers.

 

Pour répondre à ces défis le Gabon, a dit le Président Ali BONGO ONDIMBA, a mis sur pied le Fonds Souverain de la République Gabonaise. Ce fonds permettra à l’Etat d’accroitre considérablement son poids en tant qu’acteur de l’activité économique notamment par :

-      Son entrée dans le capital des petites et moyennes entreprises dites de croissance ;

-      La stabilisation du capital d’entreprises présentant un caractère stratégique ;

-      L’introduction d’un mécanisme novateur ayant cours dans d’autres pays, susceptibles d’apporter un complément de ressources tant pour le financement des ambitions du Gabon Emergent que pour le budget de l’Etat.

 

 

II/- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU FORUM D’INVESTISSEMENT GABON-ROYAUME UNI: du 27 au 29 Novembre 2012.

 

Le Président Ali BONGO ONDIMBA a séjourné à Londres du 27 au 29 novembre dernier, afin de prendre part au premier Forum d'Investissement Gabon - Royaume Uni, tel qu’annoncé lors de la conférence de presse du 12 novembre 2012.

 

Ce séjour du Chef de l’Etat, fait suite à de nombreux échanges entre les deux Etats, et s’inscrit dans le cadre du renforcement des liens économiques entre le Gabon et le Royaume Uni.

 

Au programme de cette visite de travail, des rencontres multiples et fructueuses avec des personnalités du monde politique  et des affaires.

Pendant son séjour britannique, le Chef de l’Etat s’est rendu à la Chambre des Lords, qui constitue la chambre haute du Parlement britannique et y a prononcé un discours fort devant les membres de la Royal Africa Society, première organisation britannique dédiée à la promotion de l’Afrique et le All Party Parliamentary Group Africa, groupe d’amitié parlementaire dédié à l’Afrique.

Dans son allocution, le Chef de l’Etat a présenté les réformes et les opportunités économiques du Gabon en mettant l’accent sur trois domaines prioritaires :

-      la diversification de l’économie ;

-      le renforcement des institutions ;

-      le développement des infrastructures et du potentiel humain.

Le Président Ali BONGO ONDIMBA a par ailleurs réitéré sa volonté de mettre en place des institutions fortes et des procédures transparentes de bonne gouvernance afin de garantir un meilleur environnement des affaires au Gabon.

Dans le domaine économique, le Chef de l’État a présenté les mesures prises pour le développement du pays et a insisté sur l’importance de produire de la valeur ajoutée dans tous les secteurs pour générer plus de revenus et d’emplois au Gabon. Il a également mentionné la création de zones économiques spéciales qui visent à diversifier le secteur industriel  gabonais et à attirer les investissements étrangers dans le pays.

Le Président Ali BONGO ONDIMBA  a en outre présenté les grands axes du Schéma Directeur National d’Infrastructures estimé à un investissement total de plus de 8 milliards de livres sterling sur 6 ans.

Ardent défenseur de l’environnement, le Chef de l’Etat a  mis en exergue le fait que la politique du Gabon Émergent est indissociable d’une gestion cohérente et durable des richesses environnementales.

 

Par ailleurs, le Président Ali BONGO ONDIMBA a présidé le premier forum d’Investissement Gabon-Royaume-Uni devant plusieurs centaines  d’entreprises britanniques.

Il est à rappeler que ce forum s’inscrit dans la volonté du Chef de l’Etat de développer des partenariats forts et stables avec des entreprises du monde entier.

Le Président de la République s’est réjouit dans son mot d’ouverture, de la forte participation de représentants d’entreprises britanniques et gabonaises.

Le Chef de l’Etat a ensuite présenté sa vision du Gabon Emergent d’ici à l’horizon 2025, qui s’appuie sur les piliers Gabon Vert, Gabon Industriel et Gabon des Services.

Le Président de la République a invité les investisseurs du secteur privé à un partenariat  durable et fructueux, afin d’aider le Gabon à réaliser la mise en valeur de ses potentialités pour les années à venir et dans le cadre d’un développement durable.

Au cours de ces assises les différents représentants gabonais et britanniques du monde des affaires et de la finance ont pu échanger sur les nombreuses opportunités d’investissements au Gabon.

Au terme du forum, le Président Ali BONGO ONDIMBA a convié les différents hommes d’affaires britanniques à venir découvrir les opportunités d’investissements et les magnifiques atouts du Gabon.

 

En marge des plénières, le Chef de l’Etat a rencontré de nombreuses personnalités, parmi lesquelles :

    - le Ministre britannique du Commerce et des Investissements ;

    - Le Président Directeur Général du Fonds Souverain Chinois ;

 

-      Le Président Directeur Général du groupe financier TransAfrica Capital ;

 

-      le Prince de Galles, avec lequel le Président de la République a échangé notamment sur la biodiversité  à la veille de la conférence de Doha au Qatar sur les changements climatiques.

 

 

III/- DEPLACEMENT DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A DOHA AU QATAR 

 

Le Président de la République, Chef de l’Etat  se rendra ce jour à DOHA au QATAR afin de prendre part à la 18e Conférence annuelle de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiquesdite COP18 et au Forum International sur le sport dénommé forum Doha Goals.

 

L'objectif poursuivi par la conférence sur le climat est de parvenir à limiter à 2 % l'élévation globale de la température d'ici à 2050 par une réduction des émissions des gaz à effet de serre.

 

Cette rencontre internationale considérée comme une conférence de consolidation du processus de lutte contre le changement climatique mis en place en 1992 avec l’adoption de la Convention climat, va amener les décideurs du monde à se prononcer sur trois sujets majeurs à savoir :

 

·         l’adoption formelle de la deuxième période du protocole de Kyoto qui débutera en 2013 (pour une durée de 5 ou 8 ans), avec notamment des engagements quantifiés des pays développés pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre ;


 

·         la finalisation de la mise en œuvre des accords de Cancun de 2010, avec entre autres les modalités du fonds vert et des autres nouvelles institutions et mécanismes ;
 

·         la négociation du futur accord de lutte contre le changement climatique, engageant pays développés et pays en développement, à adopter en 2015 et qui entrera en vigueur en 2020.

 

S’agissant du Forum International sur le sport, il faut rappeler que cette organisation est créée sous le patronage de son Altesse Cheik Hamad Bin KHALIFA AL-THANI, Emir du QATAR, et organisé par Richard ATTIAS  en vue de rassembler les principaux leaders du monde sportif afin de réfléchir et de proposer des recommandations pouvant faire du sport un moteur majeur de développement.

 

Ce forum réunira plus de 300 participants venus du monde entier dont les célèbres sportifs comme Carl Lewis, Ian Thorpe et Marie-José Pérec.

Les organisateurs  de ce forum souhaitent sensibiliser les stars du sport mondial à participer au développement du sport dans les pays en développement en finançant la construction des infrastructures sportives.

Ils proposeront donc à l’occasion, entre autres moyens, pour y parvenir, la création d’une taxe d’un 1% sur  les plus hauts salaires des athlètes.     

Le forum se propose également de discuter, ente autres, sur des sujets variés notamment :

-      l'intégration sociale par le sport ;

-      la lutte contre le dopage ;

-      la corruption ou l'équilibre économique du sport. 


 

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01/12/2012

Gabon-Journée Mondiale de lutte contre le Sida 2012: Campagne « Can Sans Sida », ça fonctionne !

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L’étude de la campagne le démontre :  « 64,2 % des gens auraient adopté de nouveaux comportements plus préventifs après la CAN  SANS SIDA »*

 

 

Du 21 Janvier au 12 Février 2012 lors de la Coupe d’Afrique des Nations co-organisée par le Gabon et la Guinée-Equatoriale, les messages de sensibilisation pour la prévention du VIH  « 3-0 : Zéro Transmission, Zéro Décès, Zéro Discrimination » ont été véhiculés via la campagne « CAN SANS SIDA ».

 

Après 10 mois, que reste-t-il des messages portés durant la CAN ?


La Fondation Sylvia Bongo Ondimba a mesuré l’impact de la « CAN SANS SIDA » sur les comportements individuels. L’objectif  étant de savoir si les conseils et informations véhiculés tout au long de cette campagne  par tous et pour tous ont effectivement suscité un changement de comportement auprès des populations.


L’enquête effectuée auprès de 260 personnes représentatives de la population cible de la campagne montre des résultats globalement positifs. Les efforts doivent cependant se maintenir et certains messages doivent  êtres répétés.

 

La CAN SANS SIDA


Lancée par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba et soutenue par la Confédération Africaine de Football, cette campagne a bénéficié d’une mobilisation sans précédent.


Des parrains prestigieux comme Samuel Eto’o et  Didier Ovono ont offert leur image pour la lutte contre le Sida. Deux figures emblématiques du football ont accepté de participer au combat : Pelé et Daniel Cousin.

 

La sensibilisation à Libreville et Franceville, à la télévision, dans la rue, sur les terrains de football ou dans les quartiers a mobilisé 200 volontaires, permis le dépistage de 2100 personnes et la distribution de 488 800 préservatifs 

  

 

Résultats de l’étude

 

 

Perception de la campagne et changement de comportement


Une majorité des personnes interrogées se dit satisfaite de la campagne (79,6% l’ont trouvé bonne). Cette perception positive a permis de changer les comportements.


D’une façon générale, 64,2 % des personnes interrogées déclarent avoir adopté des comportements plus responsables après la CAN.


S’agissant du dépistage du VIH, bien que 51,9% des personnes interviewées avouent que la CAN SANS SIDA les a interpellés sur l’importance du dépistage du VIH, seulement, 30,4% l’ont fait depuis la « CAN SANS SIDA».

   

Ces changements de comportement prouvent une prise de conscience réelle de la gravité de la maladie par les populations.

 

En revanche 33,8 % des personnes interviewées affirment utiliser plus souvent le préservatif. Les personnes qui attestent ne pas utiliser le préservatif déclarent se protéger par l’abstinence (15,64%) ou par la fidélité (27,37%).

 


Connaissance de la maladie


L’étude menée s’est aussi intéressée à la perception globale de la maladie : la connaissance  du virus, des risques de transmission, ce que sont les comportements à risque et quels sont les rapports avec les personnes infectées.

 

Il ressort que 36,9% des personnes interrogées voient la maladie différemment.


Les autres ne manifestent pas de résistance particulière aux messages mais déclarent avoir déjà acquis des connaissances sur la maladie, sur les risques de transmission et n’ont donc pas changé ces acquis avec la CAN SANS SIDA.

 

Il est à noter que seules 1,2% des personnes interrogées considèrent la maladie comme étant mystique et se montre totalement résistante à toute forme de sensibilisation.

 


Discrimination envers les porteurs du virus


63,5 % des personnes interrogées connaissent au moins une personne porteuse du virus. Très majoritairement, 86,9%, la population interrogée considère qu’il faut lutter contre la discrimination que peut subir les malades du Sida.

 

Pourtant, 33,5 % affirment qu’elles éviteraient de manger à table avec une personne séropositive.


Ce dernier chiffre, indique clairement l’écart qui existe entre la bonne connaissance des moyens de transmission du VIH par la population  et la perception stigmatisante de celle-ci vis-à-vis des personnes vivant avec le VIH.  

 


La sensibilisation : un impact positif qui doit se poursuivre

 

Les résultats de l’étude permettent de constater que la campagne de sensibilisation « CAN SANS SIDA » a engendré des changements de comportement vis-à-vis du VIH, tant au niveau des comportements individuels qui tendent vers moins de prise de risque, que dans la perception même de la maladie. 

 

En effet, 36,5% des personnes reconnaissent avoir appris quelque chose de nouveau. La perception des personnes porteuses du virus et la relation avec ces personnes reste en revanche assez peu satisfaisante.

 

Il ressort cependant que les mêmes efforts devraient êtres redéployés et étendus à l’ensemble du pays et de manière régulière pour assurer une prise de conscience de tous et tendre vers l’objectif 2015 : « Zéro transmission, Zéro Décés, Zéro Discrimination ».

 

 

 

La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille réitère ses remerciements aux partenaires de la CAN SANS SIDA

 

 

 

Le Ministère de la Santé via la Direction Générale de Prévention Sida

La Poste Gabonaise

La CNAMGS

La CNSS

La Croix Rouge gabonaise

L’OPALS

L’ONUSIDA

Libertis

Azur

Airtel

Olam International

La Société civile gabonaise 

 

 

 

Pour plus d’information sur la CAN SANS SIDA : http://www.cansanssida.com/

 

Des informations supplémentaires sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba sont disponibles aux liens suivants : 

www.fondationsylviabongoondimba.org

www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/155356889540

 

Contact Communication:

 

Contacts Communication :

lm.bongotha@fondationsbo.org

presse@fondationsbo.org


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Gabon: Interview du Président Ali Bongo Ondimba -nov 2012.

 

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Marchés Africains: L’année 2012 tire à sa fin et restera marquée par l’organisation par le Gabon, pour la première fois de son histoire, de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). Avec le recul, quel est impact de cet événement pour votre pays en termes d’image, d’infrastructures, d’économie, ainsi que sur le plan sportif ?

Ali Bongo Ondimba: « Comme vous le soulignez, cette CAN était attendue depuis longtemps par tous les Gabonais et a engendré une véritable communion nationale et continentale.

Pour les nombreux observateurs étrangers et les journalistes sportifs internationaux qui l’ont couverte, cette grande fête du sport fut sans doute la mieux réussie de toute l’histoire de la compétition.

Les Gabonais peuvent donc être fiers de l’organisation qu’ils ont mise en place, de l’accueil qu’ils ont offert à l’Afrique et au reste du monde. Notre équipe nationale, les Panthères, a elle aussi porté haut les couleurs du football gabonais.

Je garde, comme tous mes compatriotes, des souvenirs impérissables de cet événement qui nous a prouvé à tous qu’unis, rien n’est impossible. Je dois dire également que la CAN a été un formidable catalyseur de nos projets de développement.

Les grands chantiers d’infrastructures entrepris en amont de la compétition ont permis à notre pays d’accélérer la mise en oeuvre de son programme de développement du « Gabon émergent ».

Aménagements touristiques et sportifs, rénovations d’hôpitaux, infrastructures de transport, amélioration des télécommunications: tous ces chantiers ont été accélérés avec la construction de stades, d’hôtels, de tronçons de routes, l’ouverture de services dans les hôpitaux ainsi que la modernisation des aéroports de Libreville et Franceville.

Au total, ce sont plus de 300 milliards de FCFA qui ont été investis dans les infrastructures qui dureront bien au-delà de la CAN et qui contribuent sans nul doute à notre développement économique.

Dans la droite ligne de notre stratégie de développement, la CAN a également joué le rôle d’accélérateur et diversification de notre économie. Les secteurs des travaux publics, du tourisme et des services ont pris un nouvel élan avec, je tiens à le souligner, un accent particulier mis sur la valorisation de nos ressources humaines: on estime que 50 000 emplois directs et indirects ont été créés.

La CAN a également boosté notre croissance avec un taux de 6,7% pour 2011, mais surtout une croissance de 12% dans le secteur hors pétrole je suis d’ailleurs persuadé que nous pouvons encore mieux faire.

Maintenant, sur le terrain sportif, nous allons attendre les résultats des Panthères dans les phases qualificatif 2013, mais je crois que la précédente CAN a surtout fait rêver nos jeunes et suscité de nombreuses vocations. La relève se prépare. »

Au lendemain des législatives, d’ailleurs largement remportées par votre formation politique, un nouveau gouvernement a été formé avec un nouveau Premier ministre et 14 entrants pour 16 sortants.


Qu’est-ce qui a motivé ce changement de chef de gouvernement malgré la victoire aux législatives et une bonne organisation de la CAN ?

ABO : « J’ai voulu aligner l’organisation gouvernementale à mon programme de développement pour le Gabon. Le nouveau gouvernement est un gouvernement de missions, structuré autour d’un projet clair avec des missions claires.

Les ministères pilotent les programmes et des agences ont été créées pour se charger du caractère opérationnel des projets. Ainsi, nous avons une gestion cohérente de nos actions.

Car c’est seulement en assurant une bonne organisation de notre administration que nous pouvons atteindre les objectifs du Gabon émergent. Lors des dernières élections législatives, les Gabonais ont largement plébiscité la politique que j’impulse et mets en oeuvre.

La vision que j’ai présentée aux Gabonais il y a trois ans est une vision ambitieuse. J’ai fait en sorte qu’un programme clair soit établi. Dans chaque secteur, des actions ont été identifiées, avec des budgets et des calendriers: c’est cela, le Plan Stratégique du Gabon émergent (PSGE).

Le Premier Ministre Biyoghe Mba, que je félicite au passage pour son travail à la tête du gouvernement, s’est inscrit dans cette démarche. Pour concrétiser la vision du Gabon émergent, trois axes stratégiques ont été retenus : le renforcement des fondations de l’émergence, la diversification des piliers de croissance et enfin la prospérité partagée.

La pyramide du Gabon émergent requiert en effet des fondations solides pour pouvoir prospérer dans la durée. Le choix des éléments constituant ces fondations a été fait de manière holistique, de façon à prendre en compte les facteurs de compétitivité globale et de promotion d’un développement équilibré et durable.

Une fois les fondations bien bâties, la seconde phase consiste à ériger les piliers de l’émergence, c’est- à dire les moteurs d’une croissance forte et durable sur lesquels le Gabon devra se focaliser pour accélérer sa croissance et son développement.

Enfin l’étape ultime sera la mise en place du haut de la pyramide que constitue la prospérité partagée :le bien-être des populations gabonaises demeure en effet le but ultime de l’émergence et passe par un partage équitable des fruits de la croissance. »


Comment pourrait-on résumer la méthode et le style ABO dans la gestion des hommes et la bonne gouvernance ?

ABO : « Tous simplement trois mots : paix, développement et partage. »


Le retour voulu « populaire » du leader de l’opposition Mba Obame s’est soldé par de violent incidents pour une manifestation interdite faute de demande d’autorisation. Comment le gouvernement compte-t-il gérer le cas Obame, dont les activités pourraient osciller entre incivilité publique et actions politiques ?

ABO : « Il n’y a pas de « cas Mba Obame ». André Mba Obame que j’ai bien connu, comme vous le savez, est rentré au Gabon comme n’importe quel homme politique gabonais de retour dans son pays après une absence due à des problèmes de santé.

Ce que je constate cependant, c’est que deux jours après son arrivée, suite à son appel à manifester, des jeunes armés de cocktails Molotov et de pierres ont incendié des véhicules et saccagé une station d’essence au cours d’une manifestation interdite. Je pense qu’il est aisé de comprendre le lien de cause à effet.

Je m’étonne également de ce que M. Mba Obame puisse demander au chef de l’Etat la mise en place d’une conférence nationale et dite souveraine, alors que son parti prône la non-reconnaissance des institutions, à commencer par celle du président de la République. Ce sont des méthodes d’un autre âge, complètement éculées.

Il ne m’appartient pas de juger tel ou tel politicien, ce travail revient à la justice, mai s M. Mba Obame et ses soutiens, comme tout gabonais, doivent respecter la loi, qui vaut pour tous.

Le Gabon est un Etat de droit et nous disposons d’un système judiciaire certes imparfait, mais qui est la base de notre « vivre en commun ».

Aussi, je tiens à rassurer mes concitoyens sur le fait que le gouvernement et moi même restons concentrés sur nos priorités. Ce n’est pas la politique pour la politique que les gabonais attendent de nous, mais un travail pour améliorer leurs conditions de vie. »


Comment avez- vous analysé la perte par les francophones, au profit de l’Afrique du Sud du poste du président de la commission de l’Union africaine occupé précédemment par le Gabonais Jean Ping ? Va- t- il occuper un poste stratégique au Gabon ou sur la scène internationale ?

ABO : « Cela ne m’intéresse pas de m’enfermer dans une querelle entre francophone et anglophone. Cela ne correspond pas à ma manière de voire le monde et cela ne correspond plus à la réalité de notre continent.

Ce qui importe, c’est que l’Union Africaine (UA) continue à ce solidifier et à se doter d’outils nécessaires pour apporter la paix et le développement à notre continent. Nous sommes tous unis derrière cette cause.

Le Gabon travaillera avec Madame Dlamini Zuma, que j’ai, bien entendu, félicitée, afin de renforcer notre institution, tout comme l’Afrique du Sud aurait travaillé en bonne intelligence avec notre compatriote s’il avait gagné.

Je salue au passage l’efficacité de M. Ping dans les travaux qu’il a menés : son travail est très estimé ici, au Gabon, comme ailleurs en Afrique. Quant à savoir ce que M. Ping va faire par la suite, je ne peux pas répondre à sa place. »


Quelles pourraient être les conséquences pour la zone CFA de la crise que connaissent les pays de l’Union européenne concernant les dettes souveraines et qui voient l’euro se déprécier ? Car, rappelons-le, l’euro a la particularité d’assurer une convertibilité fixe au FCFA via le Trésor français.

ABO : « Les fondamentaux des économies de la Zone franc incitent à l’optimisme. Il n’y a pas de crainte quant à une éventuelle ou probable dévaluation de franc CFA. Par ailleurs, en raison des principes de gestion des réserves de change dans cette zone, aucun impact significatif sur les transactions n’est attendu.

Néanmoins, il faut reconnaître que l’investissement direct étranger a diminué, tout en restant positif, en raison du potentiel de ces économies. Soulignons l’importance du recours à l’aide publique au développement, relativement inégale entre les pays.

Tout assèchement des sources publiques de financement européen aurait des incidences plus ou moins importantes sur le budget des Etats, et plus particulièrement sur ceux des pays de l’UEMOA, qui sont le plus concernés par ces aides. Malgré l’atonie de l’économie européenne, bon nombre d’observateurs estiment que les économies africaines font preuve d’une surprenante résilience.

Cette résistance est due à plusieurs raisons : le niveau favorable des cours des produits de base, la réorientation des exportations vers les marchés émergents et la faible intégration financière des économies africaines.

Par ailleurs, les pays de la Zone franc ont su anticiper depuis plusieurs années les changements nécessaires à leurs économies en diversifiant leur appareil productif et leurs partenaires ou en améliorant leurs conditions intérieures : soldes budgétaires renforcés, recul de l’inflation, progression du taux de couverture des importations par les réserves, réduction des ratios de la dette…

Toutefois, il est vrai que les récentes turbulences sur les marchés financiers laissent entrevoir une passe plus difficile pour l’économie mondiale. Dans le cas où la croissance continuerait de ralentir dans les pays avancés, la demande mondiale serait bien évidemment freinée et la contagion affecterait beaucoup plus les pays émergents.

En cas de retournement durable des cours des produits de base, l’Afrique pourrait bien être affectée, sachant que la plupart des pays africains sont dépendants de ces produits.

N’ayant pas mené de politique contracyclique, les pays de la Zone ne seraient alors plus en mesure de pallier le ralentissement des activités avec leurs partenaires européens : la hausse de la dépense publique resterait ainsi le seul levier pour maintenir leur croissance. »


Le Gabon compte entre 120 et 150 entreprises françaises pour des investissements d’environ 800 millions d’euros. La France est le principal fournisseur du Gabon, avec une part de marché d’environ 35%, et un bailleur de fonds important avec 50 millions d’euros par an, essentiellement sous forme de conversion et d’annulations de dettes et de prêts. Malgré ce poids économique, vous ne cachez pas votre volonté, qui passe d’ailleurs pour une révolution, de diversifier les partenaires économiques du gabon. Comment comptez-vous concrétiser cette nouvelle orientation ?

ABO : « La stratégie est déjà entamée et porte ses fruits : plus de 4 milliards de dollars de contrats ont été signés avec de nouveaux partenaires dans des secteurs clés depuis 2010.

la France reste traditionnellement un partenaire stratégique pour le Gabon, mais il n’y a plus de relation exclusive entre nous. Le Gabon ouvre ses portes à de nouveaux investisseurs. Ce n’est pas, comme vous le dites, une révolution, mais plutôt une évolution.

Notre politique de développement privilégie des partenariats « gagnant-gagnant ». J’ai effectué plusieurs visites d’Etat, visites officielles et visites de travail depuis 2009 en Afrique du Sud, en Australie, en Corée du Sud, aux Etats-Unis, en Italie, au Japon, au Maroc, au Royaume-Uni, en Suisse et à Singapour, en Turquie…

Ces visites ont été concluantes et je continuerai sur cette voie. Le Gabon est ouvert au monde, le Gabon est ouvert aux affaires, le Gabon est ouvert à l’innovation. »


Les résultats de votre première visite de travail à paris avec François Hollande, nouveau président français, ont-ils été concluants, tant au niveau économique que politique ? Le style et la personnalité de ce nouveau président, qui se veulent différents de ceux de Nicolas Sarkozy, vont-elles influencer les rapports entre le Gabon et la France ?

ABO : « Le président français et moi-même représentons deux pays qui sont des partenaires de longue date et dont l’amitié est historiquement établie depuis des générations.

Bien que nos relations personnelles soient nouvelles, nous comptons l’un comme l’autre maintenir cette relation amicale entre la France, qui est notre premier partenaire économique, et le Gabon.

Les relations que nous entretenons sont fortes tant sur le plan économique que culturel, diplomatique, militaire. J’ajouterai même qu’elles sont meilleures que certains voudraient le faire croire.

Lors de notre rencontre à Paris en juillet, le président Hollande a été très sensible à nos efforts pour lutter contre les impacts des changements climatiques comme la mise en place d’un plan climat national, la création d’une agence d’observation spatiale pour, notamment, assurer un meilleur suivi de nos 22 millions d’hectares de forêts, qui jouent un rôle majeur dans la conservation du Bassin du Congo, deuxième poumon vert de la planète, et surtout, prochainement, l’adoption d’une loi d’orientation générale sur le développement durable.

François Hollande a ainsi émis le voeu que la France, qui nous accompagne déjà beaucoup sur cette thématique, s’engage davantage à nos côtés. Et puis, vous le savez, le Gabon tout comme la France sont des pays écoutés en Afrique.

Le Gabon a une tradition de médiation et d’activité en faveur de la paix sur le continent. Il est donc indispensable que nos deux pays échangent face aux défis que rencontre actuellement notre continent. »


Tout juste élu, vous vous êtes qualifié vous-même de président de la rupture. Bientôt à mi-parcours de votre mandat, quel bilan faites-vous des 3 dernières années passées au pouvoir ? Quels sont vos objectifs pour les 3 prochaines années ? Et comment voyezvous le Gabon en 2016 ?

ABO : « Je me suis récemment exprimé devant les députés et les sénateurs gabonais pour leur rappeler l’objectif vers lequel nous tendons depuis trois ans.

Le Gabon est entré dans une ère de rupture, c’est vrai. Rupture avec les anciennes pratiques, rupture avec l’attentisme, rupture avec les débats politiques stérile et sans impact pour la population.

J’ai été élu sur un programme, un programme qui vise à faire du Gabon un pays émergent d’ici 2025.

Cet objectif peut paraître abstrait aux yeux de certains, alors permettezmoi de le rendre plus concret, plus palpable : des routes, des aéroports modernes, une industrie florissante, des services toujours plus performants, un cadre de vie amélioré, des emplois pour tous les Gabonais, tel est mon objectif.

C’est une vision ambitieuse, qui demande l’implication de tous et le développement d’un sens de l’intérêt général qui doit être sans cesse encouragé.

Nous menons au Gabon des réformes administratives dans tous les secteurs. Nous investissons massivement, nous mettons en place des partenariats nouveaux, et tout cela dans un but : développer un Gabon durable, qui profite à tous.

Les projets ont démarré, ils sont en bonne voie, les choses avancent, pas assez vite à mon goût, mais elles avancent.

Je veux un Gabon où le travail de chacun est reconnu, où l’égalité des chances n’est pas un mythe et où chaque Gabonais mène une vie convenable grâce à la force de son travail.

Alors effectivement, dans un contexte où les connexions familiales ont fait loi pendant des décennies, ma vision est une immense rupture, mais je sais qu’ensemble, nous pouvons y arriver.

Avec les chantiers en cours et l’énergie que nous déployons pour assurer le suivi de ces projets, je peux dire qu’en 2016, le Gabon aura largement amélioré ses infrastructures de transports et sera désenclavé.

Les nouvelles technologies auront trouvé leur place et seront accessibles à tous, efficaces et rentables, permettant ainsi le développement d’entreprises de services.

Le pays saura répondre en interne à ses besoins en énergie et les grandes villes seront en partie réaménagées.

Les étudiants bénéficieront d’un système éducatif plus efficace et plus en adéquation avec le marché de l’emploi.

Enfin, la diversification de l’économie aura permis la création de nombreuses PME/PMI locales et, par conséquent, la création de nombreux emplois. Le niveau de vie de tous les Gabonais sera ainsi globalement amélioré ».


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29/11/2012

Ali Bongo Ondimba préside le premier forum d’investissement Royaume-Uni/Gabon à Londres.

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Londres, jeudi 29 novembre 2012 – Le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, accompagné d’une délégation ministérielle de haut-niveau a présidé le premier forum d’investissement Royaume-Uni / Gabon à Londres.

Devant un parterre de 500 investisseurs britanniques, le chef de l’Etat a présenté les opportunités économiques du pays à l’occasion de cette journée dédiée au renforcement de la coopération économique entre le Royaume-Uni et le Gabon.

Tout en soulignant les objectifs ambitieux que le Gabon s’est assigné dans le cadre de la politique de développement du Gabon Emergent, le chef de l’Etat a mis l’accent lors de son allocution sur la nécessité de diversifier l’économie gabonaise en engageant notamment des relations fortes avec de nouveaux partenaires issus du secteur privé.

« Notre stratégie est claire ; nous voulons travailler en partenariat avec des sociétés et des investisseurs qui recherchent des rendements durables à long terme. (…) Nous avons établi un programme ambitieux. Nous n'atteindrons pas nos objectifs sans le soutien actif du secteur privé. Nous sommes à la recherche de partenariats judicieux pour nous soutenir. Nous ne voulons pas de patronage. Nous voulons des partenaires. Nous ne voulons pas d'aide financière, nous voulons des investisseurs. Nous recherchons des sociétés pour nous aider à réaliser la valeur intégrale des actifs dont nous disposons ; pour des rendements à long terme, durant de nombreuses années à venir. »

Affichant son ambition d’attirer de nombreuses entreprises britanniques au Gabon, le Président de la République a rappelé que sa stratégie de développement était indissociable d’un secteur privé compétitif, soucieux de l’environnement et créateur d’emplois.

« La raison pour laquelle nous poursuivons une telle stratégie est simple : nous voulons plus d'emplois et une meilleure qualité de vie pour nos citoyens, aujourd'hui, demain et encore longtemps à l'avenir. C'est pourquoi nous n'accepterons pas les formes de développement qui compromettent notre environnement naturel. »

Durant la journée, les participants ont assisté à des sessions-débats pendant lesquels certains ministres gabonais présents ont pu faire la lumière sur les quatre thématiques suivantes :

Présentation générale des opportunités économiques du Gabon ;

Investissements dans les secteurs industriels, énergétiques et miniers gabonais ;

Développement infrastructurel et commerce extérieur du Gabon ;

Investissements dans les secteurs agricole, touristique et environnemental gabonais.


Le Ministre en charge de la promotion des investissements, Magloire Ngambia a indiqué lors d’une des sessions que le Gabon avait l’intention d’attirer des investisseurs non seulement dans les secteurs traditionnels de l’économie gabonaise (pétrolier, minier) mais également dans des secteurs porteurs et à forte valeur ajoutée tels que les nouvelles technologies, l’agriculture et le tourisme.

Il a par ailleurs mentionné que le Gabon avait engagé des réformes permettant de poser les fondations d’un climat économique propice aux affaires : « Mettre en place un cadre nécessaire pour permettre le développement des affaires ainsi qu’améliorer la transparence et la gouvernance, voici-là les priorités absolues de mon ministère. »

Le Gabon est riche en ressources naturelles et bénéficie d’un investissement étranger direct croissant. Le Gabon est l'un des pays les plus prospères en Afrique subsaharienne. Il se situe au troisième rang régional en termes de PIB par habitant, connaît un taux de croissance annuel de plus de 6 % depuis 2010, et un revenu par habitant juste en dessous de 9 000 USD.

Par ailleurs, l'activité économique devrait continuer à croître, soutenue par des exportations de matières premières et une reprise significative de la production nationale.

En guise de conclusion du forum, le chef de l’Etat gabonais a une nouvelle fois appelé de ses voeux au renforcement tangible des liens économiques entre les deux pays au bénéfice des investisseurs mais aussi des peuples britannique et gabonais.

« Nous devons travailler ensemble pour bâtir une économie solide, durable et dynamique qui profitera à toutes les parties : investisseurs, gouvernements et, naturellement, nos communautés. J'ai l'espoir et la conviction qu'à l'issue du forum d'aujourd'hui nous établirons de nouveaux rapports, plus solides, qui constitueront les bases d'une collaboration future fructueuse. J'espère sincèrement que ces discussions initiales serviront de catalyseur pour favoriser l'élaboration d'accords commerciaux tangibles et permettre la mise en place des partenariats. »


FIN

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Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/


La politique du Gabon Émergent


Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/


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28/11/2012

Visite à Londres du Chef de l'Etat Gabonais Ali Bongo Ondimba

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Mercredi 28 novembre 2012, Londres - Le Président de la République gabonaise, son Excellence Ali Bongo Ondimba est actuellement en visite à Londres pour renforcer les liens économiques entre le Gabon et le Royaume Uni.

Dans la matinée, le Chef de l’Etat s’est rendu à la Chambre des Lords, chambre haute du Parlement britannique et y a prononcé un discours fort devant les membres de la Royal Africa Society, première organisation britannique dédiée à la promotion de l’Afrique et du All Party Parliamentary Group Africa, groupe d’amitié parlementaire dédié à l’Afrique.

Lors de son allocution, le Chef de l’Etat a présenté les réformes et opportunités économiques du Gabon en mettant l’accent sur trois domaines prioritaires : la diversification de l’économie, le renforcement des institutions et le développement des infrastructures et du potentiel humain.

Il a ainsi réitéré sa volonté de mettre en place des institutions fortes et des procédures transparentes de bonne gouvernance afin de garantir un meilleur environnement des affaires au Gabon.

« Nous savons très bien que nous ne pourrons pas atteindre un niveau satisfaisant de développement économique, d'égalité sociale et de préservation de l'environnement sans des institutions fortes et respectées (…).

Nous avons réduit de moitié la taille du gouvernement et aligné chaque portefeuille ministériel avec nos priorités de développement national.

Nous allons introduire des contrats de performance qui s'appliqueront aussi à nos fonctionnaires ; et nous avons créé une Agence nationale des Travaux publics qui a pour tâche de guider la réalisation des grands projets d'infrastructures – et de veiller à leur maîtrise technique ainsi qu'à leur gestion financière responsable. »

Dans le domaine économique, le Chef de l’État a présenté les mesures prises pour le développement du pays, s’agissant notamment des infrastructures et insisté sur l’importance de produire de la valeur ajoutée dans tous les secteurs pour générer plus de revenus et d’emplois au Gabon.

Il a également mentionné la création de zones économiques spéciales pour diversifier les industries gabonaises et promouvoir les investissements étrangers dans le pays.

« Doter le Gabon d’infrastructures de qualité et d’une main-d’oeuvre qualifiée sont des priorités absolues pour mon gouvernement. Notre plan directeur d'infrastructure compte 21 grands projets pour un investissement total estimé à plus de 8 milliards de livres sterling sur 6 ans.

Ce sont les fondements dont nous avons besoin pour attirer des investissements à long terme et soutenir la croissance pour de nombreuses années (…).

L'an dernier, nous avons attiré 4 milliards de dollars d'investissements en provenance de l'Asie du sud et de l'Europe dans les secteurs industriels et des services (…). De nombreuses entreprises se sont nouvellement installées dans les Zones économiques spéciales que nous avons créées à cet effet. »

Ardent défenseur de l’environnement, le Chef de l’Etat a également mis en exergue que la politique du Gabon Émergent était indissociable d’une gestion cohérente et durable des richesses environnementales :

« En Afrique, plus que sur d'autres continents, il existe un lien direct entre la gouvernance environnementale et la paix et la stabilité (…). Pour cette raison, le Gabon a mis au point des politiques pour accompagner le développement durable et la gouvernance environnementale.

En 1993, à la suite du sommet de Rio, nous avons ainsi passé une loi sur l'environnement qui oblige tous les projets industriels à mener un bilan d'impact social et environnemental soumis à un examen public. »


Demain, le Chef de l’Etat présidera le premier forum d’investissement Gabon/Royaume-Uni destiné à renforcer les liens économiques entre les deux pays.

Ce dernier s’inscrit dans la volonté du Chef de l’Etat de développer des partenariats forts et durables avec les entreprises internationales qui apporteront leur savoir-faire au Gabon.

« Nous sommes à la recherche de partenaires pour nous aider à développer notre économie et soutenir les emplois et le bien-être du peuple gabonais. Nous recherchons des entreprises capables de valoriser nos richesses nationales et de développer notre économie au bénéfice des Gabonais et des investisseurs. »


FIN


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Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

 

En guise de concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


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27/11/2012

Compétitivité énergétique : Le Gabon dans le top 5 des pays africains

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Mardi 27 novembre 2012, Libreville - Le Gabon se classe parmi les cinq premiers pays africains en matière de compétitivité énergétique, indique une étude de l’Institut Choiseul et du cabinet KPMG.

Première étude du genre, celle-ci a évalué la compétitivité et la performance des politiques publiques de 146 États dans le monde.

Le Gabon s’octroie la 5ème place africaine derrière l’Angola (1er) mais devant l’Afrique du Sud (7ème) dans le classement mondial de la compétitivité énergétique des Etats, selon les résultats de l’étude publiée lundi par l’Institut Choiseul et KPMG.

C’est l’unique étude indépendante dans le monde qui mesure et analyse la compétitivité et la performance des politiques énergétiques des Etats.

Elle a été établie à partir des données officielles issues des principales bases statistiques internationales (Banque mondiale, Agence internationale de l’énergie, OCDE, etc).


Grille de lecture

À chaque État correspond une note allant de 0 à 100, les notes les plus élevées correspondant aux Etats les plus performants sur le plan énergétique. Chaque note est composée de plus d’une douzaine de séries de données statistiques spécifiques regroupées en trois sous-indicateurs.

Ces derniers permettent, pour chacun des Etats examiné, de prendre en compte la qualité du mix énergétique, celle de l’accès à l’électricité et la comptabilité entre politique énergétique et impératifs environnementaux.

Le baromètre mondial de la compétitivité énergétique devrait être un outil d’aide à la décision sur les résultats des politiques énergétiques, affirment les auteurs du rapport.

S’agissant de la place du Gabon dans le peloton de tête en Afrique, elle résulte de l’ambitieuse politique énergétique mise en oeuvre par le Président Ali Bongo Ondimba et le gouvernement.


Augmenter la production énergétique

Pour soutenir l’ambition nationale d’industrialisation, le Chef de l’Etat gabonais s’est fixé l’ambition de porter la capacité de production énergétique du Gabon à plus de 1200 MW en 2020 contre 350 MW aujourd’hui.

Cet objectif sera atteint grâce à des investissements considérables dans la production gazière, dans la production hydroélectrique et par la promotion des énergies renouvelables.

Le but est de supprimer progressivement la production électrique produite à partir de l’énergie fossile et d’atteindre les objectifs fixés dans la politique du Gabon vert.

Afin de couvrir les besoins croissants du pays et d’assurer l’électrification de l’ensemble du territoire, le gouvernement envisage de d’ériger 6 nouveaux barrages dont trois sont déjà en construction :

Le barrage de l’Impératrice sur la rivière Ngounié, dans l’ouest du pays, produira 42 MW pour un coût de 133 Millions USD.

Il vise à approvisionner les mines de niobium de Mabounié, de manganèse de Ndjolé, les usines de transformation de bois de la province du Moyen-Ogooué et les villes de Mouila et Mandji dans la province de Ngounié. Il renforcera aussi l’approvisionnement de Libreville et de la Zone Économique Spéciale de Nkok.


Le barrage Fé 2 sur la rivière Okano, dans le nord du Gabon, aura une capacité de 36 MW pour un investissement de 105 millions USD. Sa production alimentera la province du Wolem-Ntem, Ndjolé et renforcera le réseau de Libreville.


Le barrage du Grand Poubara, dans le sud-est, est le plus important projet énergétique du Gabon. Il devrait produire à terme de 240 MW.


Fin


Pour découvrir le Gabon différemment : www.gabonexperiences.com

 

Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

 

En guise de concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


 

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Gabon: Communiqué de presse fondation Sylvia Bongo

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La Fondation Sylvia Bongo Ondimba s’indigne de la divulgation d’informations mensongères dans l’hebdomadaire « Le Temps » du 21 Novembre, relayées depuis par d’autres médias et basées sur des faux en écriture.

 

Une enquête est en cours et nous apportons notre concours à cette enquête.

Dès que la lumière aura été faite sur les faits, ils seront publiés avec toute la transparence voulue, preuves à l’appui.

 

La FSBO se réserve le droit d’attaquer en justice ceux qui ont tenté de nuire à son image et de saboter les efforts qu’elle a entrepris depuis 2010 au profit des populations vulnérables du Gabon.

 

 

Pour plus d’informations sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille :

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

http://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/155356889540



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25/11/2012

Gabon: Cette honte qui tue les leaders du gang salafiste exUN

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Visiblement tétanisés par la mise en oeuvre effective de nombreux chantiers initiés par le président Ali Bongo Ondimba, les leaders de l’ex-Union nationale (UN) semblent éprouver un réel sentiment de honte et de gêne.

Ce d’autant plus qu’anciens membres du gouvernement chargés de réaliser, à l’époque, plusieurs de ces grands projets de développement, ils se sont largement avérés incapables de les traduire en actes concrets.

De plus étant, toujours à cette même époque et de surcroît, députés de leurs localités natales respectives et après avoir promis monts et merveilles à leurs électeurs, les actuels leaders de l’ex-UN ont désormais du mal à soutenir les regards de leurs concitoyens.

Dans tous les cas, ils sont nombreux dans les rangs de l’ex-UN à rougir de leur peu élogieux passé de hauts dignitaires de l’Etat, ministres de la République et parlementaires.

En commençant d’abord par les sieurs Jean Eyéghé Ndong et Casimir Oyé Mba qui, tout en étant à la fois Premier ministres, membres du gouvernement et élus du peuple.

Aussi, c’est l’occasion de se demander ce qu’ils ont pu faire au service du pays et particulièrement de leurs provinces et localités respectives.

Sur tout lorsqu’on sait que pour avoir occupé la primature et certains grands départements ministériels, ces deux personnages avaient les moyens de faire oeuvre utile pour l’Estuaire, Libreville ainsi que Ntoum et Nzamalighe.

Car, par leurs positions au sein du gouvernement, ils ont tout de même pris une part active à la gestion des différentes enveloppes destinées au financement des projets d’infrastructures retenus pour la commémoration des fêtes tournantes du « 17-août » dans l’Estuaire.

Or à ce qui semble, il aura fallu l’arrivée du président Ali Bongo Ondimba pour que la réhabilitation, la modernisation et consolidation des plusieurs infrastructures tant économiques que sociales se concrétisent effectivement.

D’où ces deux personnages ont de plus en plus de la peine à justifier devant les leurs comment Ali Bongo Ondimba, les actuels ministres concernés et l’Agence nationale des grands travaux ont pu réussir là où ils ont lamentablement échoué.

Ensuite, viennent les cas de MM. Zacharie Myboto et André Mba Obame qui, à l’époque, en tant que inamovibles ministres d’Etat, occupant des départements juteux et subsidiairement beaux-parents du défunt président Omar Bongo Ondimba, avaient logiquement les moyens de booster sensiblement les conditions d’un développement accéléré et durable du Gabon.

Sans oublier les bases d’une réelle modernisation et d’une véritable expansion de leurs communes respectives de Mounana, pour Myboto, et Medouneu en ce qui concerne Mba Obame.

Là aussi, c’est l’arrivée au pouvoir du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba qui redonne aujourd’hui espoir aux concitoyens de ces ex-barons de l’Etat devenus soudainement néoopposants.

A noter enfin que c’est surement conscient de tout le mal qu’ils ont du faire aux leurs dans le pays et au niveau de leurs contrées respectives que MM. Zacharie Myboto, André Mba Obame, Jean Eyéghé Ndong, Casimir Oyé Mba et autres ont dû même renoncer à se représenter aux élections lors des législatives de décembre 2011.

Cela, en prétextant boycotter le scrutin en question et ce, pour éviter une cuisante déculottée au terme de ces législatives où le PDG a d’ailleurs triomphé sur la quasi-totalité des sièges mis en jeu.

Mais comme au Gabon et pour certains, la honte ne tue point, ces néo-opposants peuvent oser craner lors des meetings d’une Union des forces du changement qu’ils viennent même de laminer de manière grotesque et barbare.


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Gabon: La Première Dame , Sylvia Bongo Ondimba lance au Cap , l’accès aux soins pour tous .

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« Vous aviez fait la promesse de revenir parmi nous, nous vous remercions », a lancé le Préfet du Cap Esterias, Monsieur Augustin Evie Obiang à la Première dame du Gabon.

Six mois après sa visite aux populations de cette commune où elle avait recueilli les témoignages des populations quant à leurs problèmes d’accès aux soins, la Première Dame du Gabon, Présidente d’honneur de la Croix Rouge gabonaise, est venue ce samedi saluer l’initiative de santé communautaire et de médecine itinérante qui démarre au Cap.

Elle a félicité l’ensemble des acteurs du projet et appelé tous les partenaires à maintenir leurs efforts. Des efforts qui participent à l’objectif global d’accès aux soins pour tous.

« C’est une réponse réaliste fondée sur une analyse spécifique des besoins de la zone », a expliqué le Docteur Obiang, administrateur de la Croix rouge gabonaise.

Des centaines d’habitants de la commune s’étaient réunis au stade du Cap pour le lancement du projet. Ils ont pu bénéficier des premières consultations menées dans le cadre de ce programme.

La Première Dame a visité les différents stands de soins à disposition des habitants. Médecine générale, pharmacie et consultations prénatales seront à disposition de la population dès mercredi.

Les soins spécialisés, qui feront l’objet de déplacements mensuels des services de santé militaire, étaient eux aussi présentés : gynécologie, pédiatrie, ophtalmologie etc.

« C’est rassurant de voir que nous allons être pris en charge ici même », a souligné une habitante du Cap.

La population s’est montrée très enthousiaste face à cette initiative et a immédiatement utilisé les zones de consultations.


Pour plus d’information sur le programme de santé communautaire et médecine itinérante de la Croix Rouge gabonaise, deux fiches d’information qui décrivent le projet : 

 

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clicquez sur chaque image pour l'agrandir


 

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22/11/2012

Gabon : Activisme sans faille du Chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba

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Le Président Ali Bongo Ondimba n'a de cesse de mettre tout en œuvre afin de permettre la concrétisation du Gabon Emergent. Ses différents déplacements à l'international ont pour finalité d'accroître le niveau d'investissements directs étrangers dans une optique gagnant-gagnant pour permettre le développement rapide du pays.

L'activisme sans faille du Chef de l'Etat pour multiplier les partenariats internationaux est plus que nécessaire.

En effet, dans un monde marqué non seulement par une situation internationale en profonde mutation, par des crises et la faillite d’institutions bancaires dans les économies les plus développées, les fondements qui sous-tendent les objectifs du Président paraîtraient voués à un échec certain, s’il se contentait, après avoir rédigé son programme d’action, de s’asseoir et attendre que les investisseurs affluent au chevet du Gabon.

A son idée, ces contingences existent certes, mais il ne veut pas se laisser distraire par eux, mais chercher au contraire à les dépasser et à maintenir le cap vers la concrétisation de ses objectifs.

Dans sa démarche, il apparaît clairement que les partenariats qu’il choisit de mettre en place, soit avec des Etats, soit avec d’autres partenaires au développement, sont les meilleurs leviers de la réussite du projet politique pour lequel il s’est engagé devant ses compatriotes.

Aussi, les questions économiques et de développement dominent dans ses entretiens à l’étranger.

On peut catégoriser entre ceux-ci ceux qui portent sur les relations bilatérales traditionnelles ; ceux qui concernent notre sous-région, et ceux qu’il initie dans le cadre bien précis de la mise en place de son programme politique.

Notre réflexion porte sur cette dernière catégorie, pour explorer la manière dont le Président s’engage dans le développement du Gabon.

Il est intéressant de noter dès le départ que le Président se tourne, par exemple, davantage vers les pays qui poursuivent ou sont en voie d’achever leur processus d’émergence économique. Turquie, Singapour, Corée du Sud, etc., présentent les gages d’un partenariat susceptible de comprendre plus facilement les désidératas du Gabon, pour les avoir déjà expérimentés dans le passé.

Le résultat de ces contacts consiste aujourd’hui en un riche portefeuille de contrats, dont une partie est déjà en cours de réalisation.

Ils résultent de la confiance que notre pays inspire désormais à l’étranger, qui repose sur des critères concrets, comme par exemples, la référence à la stabilité des institutions de la République gabonaise, ses ressources économiques, sociales et culturelles.

Pour le Gabon et son Président, tout ceci est propice et conforme à la situation actuelle du Gabon.

En effet, depuis trois ans, les autorités gabonaises, sous la férule du Chef de l’Etat, ont entrepris des efforts considérables pour rendre notre économie compétitive.

En découlent des perspectives encourageantes en faveur de la poursuite des partenariats avec des investisseurs extérieurs dont les opérations au Gabon sont bien connues.

Inaugurée depuis un plus d’un an, la Zone Economique spéciale (ZES) de Nkok a été érigée, à 27 km de Libreville, dans le cadre d’un partenariat avec la multinationale Olam, une entreprise singapourienne spécialisée dans la logistique.

Au Gabon, elle est impliquée dans la réalisation de divers projets, dont les plus en vue sont répertoriés dans le secteur des cultures de rente : palmiers à huile, hévéaculture… Elle se propose, dans un autre partenariat, de se trouver encore aux côtés de l’Etat, pour la création d’une seconde ZES dans la région de Port-Gentil.

La mise en place de tels sites doit, à terme, contribuer à générer une forte croissance économique, grâce à la mise en place d’un potentiel industriel national.

C’est dans le même contexte qu’il faut également noter la mise en place d’un partenariat avec la Corée du Sud, à travers le projet de construction d’une raffinerie de pétrole dans la ZES de Port-Gentil.

Cette grande structure industrielle devrait être achevée dans trois ans. Elle permettra au Gabon de renforcer sa position sur le marché sous régional des hydrocarbures et, au-delà, sur les marchés européens. Ce projet, selon les estimations officielles, coûterait quelque sept cent milliards de francs CFA.

Les banques, aussi, se montrent désireuses d’accompagner la politique de l’émergence. Chacun connaît leur frilosité dès qu’il s’agit de solliciter leur contribution dans un projet.

Leur attrait pour les programmes de réalisations économiques et sociales de l’émergence, tient au sérieux qui les entoure. La Banque Africaine de Développement (BAD) par exemple, fournit actuellement 90% du financement du programme routier en cours.

Ce programme, qui est le premier bénéficiaire d’une contribution répartie en deux lots, est en voie d’achèvement dans le sud et le sud-est du Gabon.

L’institution bancaire africaine, au regard de la bonne marche de cette première tranche, s’est résolue récemment à accorder la seconde dotation, destinée au financement de la deuxième phase dont le lancement est fixé dès le début de l’année prochaine.

Peut-être faut-il rappeler, dans ce contexte, qu’un autre consortium de banques africaines, dont BGFI et la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BDEAC), appuie les investissements de la multinationale singapourienne dans la mise en place de sa plantation d’hévéa dans le Woleu-Ntem.

D’autres partenariats sont en cours d’initialisation. On se rappellera, à ce sujet, de la visite du Président Ali Bongo Ondimba à Sydney, en Australie, et des rencontres qu’il eut avec le groupe BHP Billiton.

Des représentants de cette grosse entreprise spécialisée dans les industries extractives, ont déjà effectué des séjours à Libreville et à Port-Gentil. Au terme de ces séjours en terre gabonaise, le représentant du groupe BHP Billiton avait affirmé l’intérêt de son groupe d’investir au Gabon, dans les secteurs du fer et des hydrocarbures. Tout le monde a suivi son regard.

Plus tôt, à Ankara où il se trouvait en visite officielle en juillet dernier, le Président Ali Bongo déclarait aux hommes d’affaires turcs qu’il voulait les associer à son œuvre de développement du Gabon.

« Les Gabonais veulent percevoir des débuts d’exécution, des réalisations et des résultats de notre coopération qui traduisent nos accords diplomatiques en projets économiques significatifs. Etant donné ma ferme volonté, traduite en actions, de diversifier la coopération au mieux des intérêts du Gabon et notre stratégie d’attraction d’investisseurs de pays émergents, notamment du Sud Est Asiatique, vous comprendrez que je ne puisse laisser la Turquie, ses opérateurs économiques, ses investisseurs en marge de ce processus fondamental », avait alors déclaré le Président Ali Bongo Ondimba devant un parterre d’hommes d’affaires, avant de signer de nouveaux protocoles d’accords.

Ceux-ci complétaient les autres accords paraphés, seize mois plus tôt lors de la visite, à Libreville, de son homologue turc, M. Abdullah Gül. Toutes ces conventions autorisent les deux pays à engager leur coopération dans les domaines du transport aérien, du logement, de la diplomatie, etc.

De même, lors d’un séjour à Cuba en septembre dernier, le Chef de l’Etat a eu des rencontres avec des officiels, visité des unités de fabrication pharmaceutique et conclu de nouveaux accords de coopération dont l’objectif vise à rendre plus dynamiques les relations existantes.

Comme on peut le voir, le Président de la République veut coller à son programme politique sans s’accorder un temps de répit afin de lui assurer le succès que les Gabonais en espèrent. A travers ses multiples contacts, plusieurs messages sont lisibles et expliquent son engagement.

Tout d’abord il transparait, dans cette orientation vers les pays émergents, une ferme volonté d’établir des liens solides avec des interlocuteurs d’un genre nouveau, capables de le comprendre et auprès desquels lui-même est en mesure de puiser l’expérience nécessaire à la réussite de son projet.

Ainsi, le Président fait la preuve qu’il a à cœur de créer et de développer un nouveau type de partenariat d’égal à égal, « gagnant-gagnant » comme il aime à le dire, et qui satisfasse les intérêts de chacun.

Ce qu’il est en droit d’espérer aujourd’hui et tous les Gabonais avec lui, est assurément la mise en place de partenariats d’égal à égal, où chaque partenaire voit d’un regard positif l’intérêt de l’autre, respecte et soutient le modèle de développement que le Gabon aura librement choisi dans l’intérêt supérieur de ses populations.

Ce type de partenariat qui conviendrait au Président, apparaît comme la voie adaptée aux réalités gabonaises.


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21/11/2012

Gabon: Prix d’excellence pour le Gabon sur la réduction des gaz torchés

 

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Le Gabon a obtenu le « Prix d’excellence 2012 » pour ses efforts en matière de réduction des gaz torchés, dans le cadre du Forum GGFR (Global Gas Flaring Reduction) organisé à Londres par la Banque mondiale.

Créé en 2002 au Sommet mondial sur le développement durable (Johannesbourg), le GGFR soutient les efforts des sociétés et pays producteurs de pétrole pour une meilleure utilisation des gaz associés et la réduction des gaz torchés, principal gaz à effet de serre.

Le torchage consiste à brûler par torchères des rejets de gaz naturel au cours de l’exploitation du pétrole.

Membre du GGFR depuis 2007, le Gabon a considérablement réduit le volume de gaz torchés, passant entre 2009 et 2011 de 181 à 165 pieds-cube par jour.

L’objectif du gouvernement est d’atteindre une réduction de 60% d’ici 2015.

Au Gabon, deux arrêtés ministériels pris en 2009 et 2010 interdisent le torchage et précisent les pénalités en cas de non-respect de la mesure.

La volonté des pouvoirs publics est extrêmement claire, dans l’objectif de revaloriser les émissions pour la production d’électricité, la pétrochimie et la liquéfaction aux fins d’exportation.

Destiné à célébrer une décennie de coopération entre secteurs public et privé sous l’égide de la Banque mondiale, le Forum - accueilli par la BERD à Londres - a permis au Gabon de mieux faire connaître son approche énergétique innovante et le dispositif de contrôle mis en place par le ministère du Pétrole, de l’énergie et des ressources hydrauliques.


FIN


Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacterwww.cocom.rggov.org


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17/11/2012

Gabon: La République par l'exclusion

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Cela n’aura échappé à personne : à mesure que le pays progresse, lentement mais sûrement, sur le chemin de l’émergence, des comportements ataviques sont cultivés par des soi-disant compatriotes dont certains, au plus fort de la CAN Orange 2012 organisée conjointement par le Gabon et la Guinée équatoriale, avaient publiquement indiqué que leur coeur battait pour Malabo.

Preuve, s’il en était besoin, que pour ces compatriotes-là, le Gabon ne peut passer qu’après le pays de leur coeur.

Cela se passe ici, dans un pays où le Premier ministre en fonction est obligé d’aller parler à « ses » parents du Septentrion pour essayer de contenir les relents d’anarchie qui y prolifèrent depuis qu’une délégation de salafistes et autres sécessionnistes vient d’y séjourner pour appeler les populations, le moment venu, de « descendre massivement dans la rue pour exiger le départ d’Ali Bongo Ondimba du pouvoir ».

Disons- le tout net, les yeux dans les yeux : au lendemain de l’élection présidentielle anticipée du 30 août 2009 qui avait vu Ali Bongo Ondimba succéder, de façon démocratique, à feu Omar Bongo Ondimba, une frange de gabonais, au motif que le pays est en démocratie, opte pour le désordre et le chaos.

Le chaos, la violence, le tribalisme, la xénophobie, le rejet de l’Autre et l’exclusion. Tels sont désormais les thèmes qui constituent le bréviaire politique des leaders de l’opposition qui, dans ce combat perdu d’avance, s’assoient sur les fondements de notre vivre ensemble pour espérer faire avancer leur cause d’accaparement du pouvoir. Par tous les moyens.

C’est cette attitude, empreinte de bellicisme et de barbarie, qui a sous-tendu l’hasardeux guet-apens tendu le 31 octobre dernier à me Louis Gaston Mayila, au siège du Congrès pour la… démocratie et la justice où, fort heureusement, le président de l’UPNR a échappé à ce que d’aucuns qualifient d’attentat politique prémédité (sic).

Un attentat qui, s’il avait réussi, aurait pu faire basculer le pays dans le chaos tant recherché par les saigneurs de l’opposition qui se recrutent principalement parmi les militants salafistes de l’ex-Union nationale.


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