22/09/2012
Gabon: COUP D'ETAT EN PRÉPARATION AU GABON . RÉVÉLATIONS DU PLAN " B " DE MBA OBAME MYBOTO EYEGHE NDONG
PLAN B POUR UNE PRISE DE POUVOIR IMMEDIATE
PAR LE PEUPLE GABONAIS
PREAMBULE
Le pouvoir des Bongo Ondimba au Gabon est moribond. Il l'est depuis 1990. Il a toujours simplement manqué au combat mené par les Gabonais et leur opposition le déclic insurrectionnel et la volonté politique à même de mettre hors d'état de nuire ce régime une bonne fois pour toutes. Le Peuple gabonais, encore une fois, semble disposé à l'action, au changement immédiat et répond toujours présent quand il est sollicité par ses leaders. Quelle que soit l'action menée, cependant, il faut renoncer aux tergiversations qui font oublier l'essentiel.
Cet essentiel veut dire ceci : C'est dans la rue, donc dans le cadre d'une lutte frontale, que le changement s'obtiendra au Gabon. Il faut donc aller directement et tout de suite vers le déclic qui permettra au Peuple gabonais d'en finir.
A ce niveau, l'opposition à fait un choix clair entre deux options simples qui sont (évincer Ali Bongo ou négocier avec Bongo.) De l'un ou l'autre de ces choix dépendra des stratégies à utiliser parmi la panoplie de pistes de lutte actuellement disponibles ou proposées par André Mba Obame qui sont (conférence nationale souveraine. coup d'état, guerre civile, insurrection.)
C'est dans ce contexte qu'il faut éviter toute attitude immobiliste ou floue qui consisterait à dérouter l'idée de la tenu d'une « Conférence Nationale Souveraine » et ce quand bien même la situation sur le terrain commanderait une autre démarche, une autre approche, une autre stratégie, une autre attitude. Au moment même où on commence à noter des morts d'hommes et de femmes au Gabon du fait du refus pourtant clair· d'Ali Bongo d'accepter, à titre patriotique, la tenue d'une « Conférence Nationale Souveraine », au point d'en faire une poursuite immuable et inflexible, risque de faire déclencher une insurrection par le peuples, encore une fois, le combat actuellement enclenché par les efforts d'André Mba Obame, de l'Union Nationale et de la Société Civile gabonaise et de 1'oppositions en générale ne doit pas s'arrêter se combat doit être pérennise j'usqua la chute du pouvoir d Ali bongo.
L'opposition n accepte pas ce « non » dit par Ali bongo Il semble ici que l'on continue à s'accrocher au projet de « Conférence Nationale Souveraine » et à l'exiger jusqu'au point ou le pouvoir en place finirai par cède, le régime commencé à tuer des Gabonais, actuelle 1'exécution du « plan B ». En réalité, le but ne doit pas être forcément de la tenir, cette « Conférence Nationale Souveraine». Sa tenue est une option du changement, mais pas la seule voie du changement.
Le présent plan, qui concilie, donc, le projet de« Conférence Nationale Souveraine » (CNS) né de la« Rencontre de Paris » du 30 juin au 1er juillet 2012 offre justement au peuple gabonais (le plan B) de la prise de pouvoir par les peuples. Nous faisons de ce projet un projet public parce que nous ne croyons pas aux méthodologies qui font de la lutte politique un mystère. D'abord parce qu'il n'y a rien que l'opposition puisse planifier au Gabon qui pût rester secret au vu des infiltrations du régime jusque dans le leadership de l'opposition, ensuite parce qu'on n'a pas besoin de cacher une stratégie que le dictateur ne peut empêcher même s'il le désirait.
Par ailleurs, l'attitude qui consiste à ne jamais dire clairement aux populations ce qu'on attend d'elles est contre-productive et nocive. Elle ne peut que désorienter· le peuple et, donc, désorganiser le combat au moment où ce peuple attendrait de ses leaders des intentions et des mots d'ordre clairs. Par ailleurs, il n'y a aucun risque à exposer un plan B dont le régime en place ne peut empêcher la réalisation.
Ce risque n'existe pas parce que, sur un plan B purement stratégique, une opposition qui veut réussir doit s'engager dans les activités que le régime en place ne peut ni empêcher ni contrôler. Le présent plan B s'articule donc, tout simplement, autour d'une stratégie que l'opposition seule peut connaître et maîtriser donc que le régime ne peut empêcher.
A. LES ENJEUX DE LA LUTTE : FAIRE UN CHOIX CLAIR ENTRE EVINCER LES BONGO OU NEGOCIER AVEC LES BONGO
Le processus du changement au Gabon tout autant que les enjeux du combat que doit actuellement mener le Peuple gabonais en vue de l'affirmation de sa souveraineté sont simples. Il ne faut donc pas les compliquer. Ces enjeux comprennent, au minimum, les six facettes suivantes :
1) Il faut à tout le monde s'accorder sur le simple fait que rien de bon ne pourra arriver au Gabon tant qu'un Bongo Ondimba sera au pouvoir . Et que, par conséquent, la démocratie ne viendra au Gabon ni par la bonne volonté des Bongo Ondimba et de leur régime ni par le miracle de Jésus-Christ, et encore moins par le fait de la France ou des Etats-Unis venant unilatéralement au Gabon enlever Ali Bongo du pouvoir sans que les Gabonais aient eux-mêmes engagé les actions et sacrifices insurrectionnels qui s'imposent en vue de montrer aux yeux de la nation et du monde que, justement, ils ne veulent plus de ce régime. Aucune dose de communiqués de presse prenant à témoin la communauté internationale n'y fera. Si le changement doit venir au Gabon, ce sera avant tout par le fait de la volonté et de l'engagement de tous les Gabonais accordés sur une seule finalité, celle d'un combat frontal visant à l'évincement immédiat du régime des Bongo Ondimba, donc un combat visant à la prise de pouvoir effective par le Peuple;
On ne négocie pas avec une dictature quand on est en position de faiblesse on ne positionne pas sa revendication d'une manière qui ferait de cc régime l'arbitre de l'évolution de la destinée nationale. Cette erreur fut commise en 1990 quand l'opposition, dans le cadre de la Conférence Nationale de 1990, positionna Omar Bongo au-dessus de la mêlée, le plaçant automatiquement en position d'arbitre du processus ct ne remettant jamais directement en cause son pouvoir personnel. En 2012, la posture qui consiste à forcer ou convaincre Ali Bongo à embrasser le projet de « Conférence Nationale Souveraine » demandée par l'opposition est déjà, qu'on le veuille ou non, une posture qui non seulement fait d'Ali Bongo l'arbitre du processus, mais prépare déjà également le terrain aux compromissions qui saperont la finalité d'un changement immédiat et« souverain » au Gabon. Le présent « Plan B pour une prise de pouvoir immédiate par le Peuple gabonais » essaie donc de résoudre cette problématique en offrant aux combattants de la liberté la piste la plus efficace vers un changement de la dynamique et des rapports de force sur le terrain ;
2) Le combat du changement immédiat ne pourra se gagner si l'opposition n'a pas le courage de faire, froidement, l'état des lieux de ses propres actions. Autrement dit, il faut à tout le monde le courage d'une analyse froide visant au préalable à comprendre pourquoi le changement escompté par les Gabonais n'a pas été obtenu non seulement entre 1990 et 2009, mais aussi entre 2009 ct 2012. Il n'y a que par une telle analyse que les erreurs commises ou les ratés dans les divers processus et luttes engagés puis avortés depuis 1990 pourront être mieux compris et une attitude plus concrète adoptée qui viserait à rapidement amener à la fin du régime quadragénaire des Bongo Ondimba au Gabon.
3) La crise politique ne se décrète pas par communiqués de presse. Une crise politique digne de ce nom doit être visible ... dans les rues et en permanence. Les pays d'Afrique du Nord qui ont récemment changé ont triomphé des diktats non seulement parce qu'ils ont rendu la crise visible en la portant dans la rue, mais aussi parce qu'ils ont rendu la crise permanente et durable dans les rues, et ce jusqu'à la chute du dictateur. Ceci suppose donc que, une fois le processus insurrectionnel lancé, pas un jour ne doit passer au Gabon sans qu'une nouvelle activité insurrectionnelle ne soit visible. Passer deux jours sans activités insurrectionnelles laisse trop de temps au régime pour se regrouper. Il faut lui opposer une lutte inlassable. Le régime des Bongo ne chutera que si le pays est rendu chaque jour un peu plus ingouvernable, un peu moins contrôlable. La stratégie à mettre en place est, par conséquent, celle d'une in gouvernabilité permanente qui ne s'arrêtera qu'avec le départ d'Ali Bongo du pouvoir, et ce si et seulement si, évidemment, telle est la finalité recherchée par toute l'opposition.
4) Le combat doit être nationalisé. Pour que les choses et les rapports de force changent très rapidement sur le terrain, toute l'opposition doit se rassembler autour d'un plan insurrectionnel de prise de pouvoir bien pensé et mûrement réfléchi qui ne laissera aucune place à l'improvisation. Il s'agit ici de se départir de toute attitude partisane qui ramènerait la couverture à soi et de positionner, plutôt, le combat comme le combat de tous les Gabonais, un combat qui viserait à la mise en place des processus démocratiques devant permettre, dans six mois, aux Gabonais d'élire le Président de leur choix. Il ne faut donc pas embrouiller le combat avec trop de revendications contradictoires.
La revendication de Mba Obame sur la base du contentieux de 2009 étant contradictoire face à la revendication de « Conférence Nationale Souveraine », la communication politique doit être clarifiée, ainsi que les buts poursuivis par les uns et lesautres. Si le but est de mettre Mba Obame au pouvoir sur la base du contentieux électoral de 2009, alors il faut abandonner le projet de « Conférence Nationale Souveraine» et se lancer directement dans l'insurrection qui portera Mba Obame au pouvoir. Par contre, si le but est la « Conférence Nationale Souveraine», alors il faut abandonner le slogan de « président élu » du Gabon de Mba Obame car la « Conférence Nationale Souveraine » ne vise pas au plébiscite de Mba Obamc comme président de la République, mais au plébiscite de la démocratie au Gabon en vue d'élections nouvelles.
Or, plébisciter la démocratie veut dire renoncer aux attitudes partisanes pour embrasser un discours national fédérateur de toutes les énergies autour du seul impératif de changement immédiat au Gabon. Le combat, pour réussir, devra donc être nationalisé, nécessairement. Certes, rien n'est impossible car le Gabon peut changer par hasard sur la base de l'initiative d'un petit groupe anonyme qui, quelque part, causerait de manière inattendue le déclic insurrectionnel dont le combat a besoin, mais ce sera probablement une action isolée sans lendemain si l'opposition politique n'est pas disposée à en attiser les flammes, à embrasser l'insurrection et ses conséquences. Sans plan insurrectionnel impliquant directement toute l'opposition et assumé par toute l'opposition, il sera difficile de causer un changement durable au Gabon qui soit maîtrisé et commandité explicitement par une action cohérente, conjuguée et volontariste de cette opposition.
5) Aucun combat ne peut réussir sans que les ennemis au« départ» en soient clairement désignés. Ces ennemis sont, au minimum, au nombre de trois. Il s'agit d'Ali Bongo Ondimba, de Rose Francine Rogombé et de Madeleine Mborantsuo, les trois piliers institutionnels sur lesquels repose tout l'édifice bongoïste au Gabon. Tout le combat des Gabonais doit, en priorité, se concentrer sur la demande immédiate de leurs départs et, par voie de conséquence, du reste du régime. On comprend ici que sans décapitation du régime à partir de ces trois éléments, aucun combat pour un changement immédiat ne pourra aboutir au Gabon. Or, l'opposition pratique encore, à ce niveau, la langue de bois. On se plaint, certes, d'Ali Bongo et de sa dictature, mais il n'y a encore aucune stratégie réelle de communication visant à demander le départ immédiat d'Ali Bongo du pouvoir.
Or, c'est dans l'exigence directe du départ immédiat d'Ali Bongo du pouvoir que se trouvent la solution, voire le déclic insurrectionnel dont le combat a besoin. Il faut donc immédiatement, dans le cadre du déclic insurrectionnel (proposé plus bas), substituer à la demande de la « Conférence Nationale Souveraine» (CNS) la demande, encore plus forte et concertée, du départ immédiat d'Ali Bongo. Telle que dictée par l'insurrection populaire en bonne et due forme Systématiquement, le départ immédiat du dictateur, ce dernier, par son refus de la Conférence Nationale, s'étant lui-même disqualifié du droit de diriger le Peuple gabonais, encore moins être impliqué dans le débat national.
Tant que l'impératif de l'exigence du départ d'Ali Bongo sera contourné au lieu d'être mis au centre de tout le combat. La logique ici est pourtant simple : on ne demande la « Conférence Nationale Souveraine » ici que parce qu'on espère, au fond, qu'elle mènera au départ du dictateur. Dès lors que ce projet deviendrait réaliste du fait même de son rejet par le dictateur, il ne devrait rester aucun autre choix que l'exigence frontale du départ de ce dictateur.
L'opposition pense que le Gabon se situe déjà, aujourd'hui même, dans un contexte insurrectionnel dont le centre doit être, au moins, le départ d Ali bongo, de Mborantsuo et Rogombé et Nzouba dama. Puis tout le système après. Le choix doit simplement être donné à ceux ayant encore une âme de quitter tout de suite ce système ou de tomber avec lui. L'opposition demander directement ces départs. De nombreuses stratégies pour demander et organiser ces départs existent dans les plans B. Elles pourront être communiquées au peuple gabonais si le plan ci-dessous recueille leur assentiment de la société civile et toute opposition qui souhaite la rupture immédiate par le moyen de l'insurrection populaire.
Ce que nous proposons donc ici est, avant tout, un changement radical de paradigme non seulement sur la manière de mener ce combat, mais aussi sur la manière de cerner l'objectif de ce combat. Et pour cela, il suffit de dresser l'état des lieux de la lutte pour se;rendre compte de la raison pour laquelle aucun des combats menés depuis 1990 ne peut aboutir sous sa forme actuelle.
D.2. DE LA « CONFERENCE NATIONALE SOUVERAINE » COMME « DECLIC INSURRECTIONNEL »
La proposition de « Conférence Nationale Souveraine » née de la « Rencontre de Paris » est le seul projet qui puisse, ici, servir de « déclic insurrectionnel », tout simplement parce que sans ce déclic insurrectionnel, le passage du « Plan A» au « Plan B » sera presque impossible. Or, il faut, pour distinguer ce combat des autres combats menés au Gabon jusqu'à présent, donner au peuple le déclic insurrectionnel dont il a besoin.
Autrement dit, quand on regarde tous les combats menés jusqu'à présent au Gabon, que ce soit dans la période 1990-2009 ou dans la période 2009-2012, le dénominateur commun aura souvent été celui du manque de déclic, c'est-à-dire cette chose ou cet acte qui, une fois activé, projetterait le pays dans une insurrection appuyée, permanente et irréversible devant se terminer par la chute inéluctable du régime Bongo/PDG. A cette question de déclic se sera souvent également ajoutée celle des étapes devant précéder, puis suivre, ce « moment déclic ».
Le constat, pourtant, à ce niveau, pointe vers une procédure plutôt simple. Il semblerait qu'ici, on aura souvent compliqué une situation plutôt simple demandant une approche simple. Cette approche simple demandait, ainsi, trois étapes fondamentales :
- Fixer un objectif clair quant à la finalité du combat à mener: Cette finalité est alors celle d'une rupture totale, donc d'un écroulement pur et simple du régime Bongo/PDG ou celle d'une négociation, donc celle d'un partage du pouvoir avec le régime Bongo/PDG. Dès lors que l'opposition opterait pour une rupture totale, le combat à mener s'en retrouve automatiquement simplifié ; il enclenche alors, automatiquement, le second levier de la démarche insurrectionnelle
- Communiquer clairement cet objectif aux populations: dans tout combat politique, surtout quand ce combat s'organise en vue de l'écroulement d'une dictature, la clarté du message, de la communication et des mots d'ordre doit être limpide. Le peuple ne doit jamais être mis dans la situation de devoir deviner les intentions de ses leaders. Ces intentions doivent être claires dans leur méthodologie et dans leur finalité.
Ainsi, si les leaders attendent du Peuple qu'il s'engage dans un certain nombre de désordres visant à mettre la dictature à mal, les leaders doivent, sans ambages, dire exactement au peuple les actes dans lesquels on s'attend à les voir s'engager. Ceci doit ressortir de tous les discours ct de tous les slogans, et tous les discours et tous les slogans doivent ressasser en permanence le but et la finalité du combat. Faire de la politique mystère, dans ce cas, est contre-productif car laissant le peuple dans le flou total.
Communiquer avec le Peuple suppose donc des tournées, meetings, causeries et autres processus de communication visant à préparer ce Peuple sur une période pas trop longue ni trop courte (15 jours à 30 jours) avant, par la suite, de déclencher le processus insurrectionnel à proprement parler.
- Postuler un déclic insurrectionnel imparable et, donc, que la dictature ne peut empêcher ni politiquement ni militairement: l'erreur souvent commise par l'opposition gabonaise est d'axer son action sur des dynamiques que le régime au pouvoir peut empêcher ou contrôler. Le projet de « Conférence Nationale Souveraine », comme démontré plus haut, est justement un de ces projets car tributaire en grande partie de la bonne volonté du régime. Autrement dit, pour que la « Conférence Nationale » se tienne, elle a besoin de l'accord du régime, sans quoi sa tenue devient compromise, exactement comme on le voit en ce moment au Gabon.
Réussir un projet insurrectionnel veut donc dire ne retenir que les actes et actions que le régime ne peut empêcher sans devoir arrêter tous les Gabonais impliqués ou tous les leaders impliqués, ce qui lui serait fatal comme acte. Dès lors, les leaders doivent donner, résolument, des mots d'ordre devant conduire le Peuple à s'engager directement dans des actes de provocation visant à maintenir le régime dans un état de fébrilité permanent, état devant aboutir, à terme, à un état d'ingouvernabilité total devant se conclure par la chute du régime. Mais tout cela demande un déclic à même de faire basculer le combat du « plan A » au «plan B ».
Quel doit donc être le déclic insurrectionnel dans le cadre des deux projets citoyens actuellement proposés comme solutions complémentaires pour un changement immédiat au Gabon ? Ce déclic est, simplement, un ultimatum obligatoire de l'opposition au régime Bongo.
D.3. DU PASSAGE OBLIGE D'UN ULTIMATUM A ALI BONGO ET AU REGIME BONGO/PDG
Le passage du « plan A» qu'est la « Conférence Nationale Souveraine » au « plan B » qu'est l'« Assemblée Constituante Citoyenne » ne peut se faire que par l'intermédiaire du déclic d'un ultimatum à Ali Bongo.
Autrement dit, le gros problème, donc le plus gros manquement, dans la stratégie actuelle de l'opposition consistant à demander une « Conférence Nationale Souveraine » est qu'on ne voit pas le bout du tunnel de cette revendication. Non seulement l'opposition ne dit pas ce qu'elle ferait si le régime en place disait « non » (ce qui est déjà le cas puisqu'Ali Bongo a non seulement dit « non », mais aussi commencé à tuer des Gabonais), elle ne dit pas non plus au peuple à quel moment elle cesserait d'attendre le « oui» hypothétique d'Ali Bongo.
Or, il semble évident, à ce niveau, que l'attente de l'opposition doit, à un moment, cesser ou du moins correspondre à une date butoir après lesquels tous refus du régime devrait mener à des conséquences immédiates. L'absence d'une telle date butoir risque ainsi de faire de l'attente de l'opposition une « attente à durée indéterminée » qui dépendrait, dès lors, du bon vouloir des Bongo. Du coup, si Ali Bongo dit « non » pendant 3 mois, un an, deux ans, quatre ans, hé bien l'opposition serait plus ou moins ballottée au gré de ce bon vouloir des Bongo. Il faut donc que l'opposition soit capable de formuler une date limite à son attente et, à partir de là, passer à l'étape insurrectionnelle d'une« Assemblée Constituante Citoyenne ».
Ce qui se dessine ici, donc, est une formule simple qui dit que, pour que sa demande de « Conférence Nationale Souveraine » ne s'enlise pas dans l'attentisme, la perte de crédit et la futilité, la demande de l'opposition a besoin de comporter une date à partir de laquelle l'opposition cesse d'attendre ct passe au «plan B » qui doit être, obligatoirement, un plan insurrectionnel.
Du coup, la « Conférence Nationale Souveraine >> devient, dans le processus insurrectionnel ainsi planifié, le « plan A », l'ultimatum le « déclic insurrectionnel » et l'Assemblée Constituante Citoyenne (ACOC) le « plan B » qui devra organiser la destitution pure et simple d'Ali Bongo et l'évincement du régime.
Le prétexte insurrectionnel à utiliser ici devient alors très simple et fort simple :
- L'opposition, dans toute sa « responsabilité » et tout son patriotisme, a proposé au régime Bongo/PDG un dialogue national citoyen par le biais du projet de « Conférence Nationale Souveraine » ;
- Le régime Bongo/PDG, ayant, hélas, rejeté cette offre de dialogue, il s'est lui-même exclu du dialogue national proposé et n'a laissé à l'opposition aucun autre choix que de lancer, dès l'expiration de l'ultimatum, une procédure en destitution d'Ali Bongo Ondimba ct de son régime du pouvoir ;
- Cette procédure en destitution n'est possible que par l'entremise d'une procédure insurrectionnelle telle que symbolisée par la convocation et l'organisation unilatérale, par l'opposition, d'une « Assemblée Constituante Citoyenne» (ACOC) devant organiser, puis inaugurer l'avènement d'une nouvelle République au Gabon sans les Bongo.
Et voilà, donc, les deux projets précédemment perçus comme concurrents, conciliés puis réconciliés, au travers d'un déclic insurrectionnel plutôt simple ! II fallait simplement un ultimatum pour faire basculer l'attente de la réponse d'Ali Bongo vers l'insurrection en cas de « refus » à l'expiration de l'ultimatum !
D'où l'impératif, pour ceux qui ont proposé la « Conférence Nationale Souveraine» de ne pas la voir comme une finalité en soi car elle ne peut, en l'état actuel des choses et du combat, qu'être un prétexte à une situation insurrectionnelle visant à l'évincement pur et simple du régime des Bongo. Ceci veut dire que l'opposition devra impérativement intégrer dans sa stratégie que la « Conférence Nationale Souveraine» n'a pas, en réalité, besoin de se tenir car, au fond, elle porte les germes d'une possible compromission avec le régime. Elle doit plutôt être positionnée comme le piège à tendre au régime des Bongo pour que, une fois refusée par Ali Bongo suite à un ultimatum ferme, l'opposition puisse unilatéralement organiser la destitution du dictateur, réorganiser l'Etat et organiser des élections transparentes dans un délai de six mois.
Ce piège insurrectionnel vise ainsi, tout simplement, à exclure le régime Bongo/PDG du débat
national puisque sa mauvaise volonté, par son rejet de l'offre de « Conférence Nationale Souveraine », ne lui donnerait plus, dès lors, le droit de s'exprimer dans ce débat. L'opposition devra alors, tout simplement, arracher le pouvoir par les procédures insurrectionnelles qui feront partie du « Plan pour une prise de pouvoir immédiate par le Peuple gabonais » ici proposé et demander à Ali Bongo et à ses complices de prendre le premier avion en partance pour l'île Mbanié !
E. PROCESSUS ET CHRONOGRAMME INSURRECTIONNELS
Le présent chronogramme est plus ou moins, et ce à peu de choses près, le même que celui issu de la « Concertation de Washington ». Mais il intègre aussi l' « esprit » de celui issu de la « Rencontre de Paris », notamment par le positionnement du mois de septembre comme le mois butoir de l' ultimatum. Autrement dit, tandis que le chronogramme de la« Rencontre de Paris » se contentait d'affirmer que la « Conférence Nationale Souveraine » aura lieu en septembre sans pour autant dire par quel mécanisme cette « Conférence Nationale Souveraine » serait obtenue ou imposée, le présent« Plan pour une prise de pouvoir immédiate par le Peuple gabonais » apporte le complément stratégique qui rendrait possible non pas le projet quelque peu utopique de la « Conférence Nationale Souveraine», mais le dépassement stratégique de ce projet pour aller, directement, dans le processus insurrectionnel devant mener à l'évincement pur et simple du régime Bongo/PDG.
Nous adaptons donc ici tous ces chronogrammes pour en proposer un seul qui soit non seulement unifié, mais cohérent quant à ce qui est faisable et ce qui n' est pas faisable. Mais surtout, nous positionnons la « Conférence Nationale Souveraine » comme irréaliste et irréalisable parce que dépendant trop de la bonne volonté du régime. A la limite, elle se tiendrait après la chute du régime et pas avant, et ce sous la forme plus adaptée d' une Assemblée Constituante Citoyenne. La «Conférence Nationale » ne peut être, dans ce cas, que le « plan A » d'une dynamique insurrectionnelle devant tendre vers la destitution d'Ali Bongo. A la suite, donc, du prétexte de la« Conférence Nationale Souveraine », nous positionnons, comme« plan B conséquent, le projet d'« Assemblée Constituante Citoyenne» (ACOC) à déclencher ,immédiatement après l'ultimatum lancé au régime Bongo/PDG.
Dès lors que l'opposition gabonaise unie s'engagerait résolument et sans états d'âme, par sa propre initiative et indépendamment du régime des BONGO, dans le processus volontariste que commande la mise en place, l'organisation et la convocation d'une Assemblée Constituante au Gabon, la démarche suivante s'imposera d'elle-même :
ETAPE 1 : MISE EN PLACE D'UN « COMITE D'ORGANISATION ET DE COORDINATION >>
L'opposition unie dans toutes ses tendances {ACR, CPPA, société civile, etc.) et autour du projet insurrectionnel tel que délimité dans le présent plan devra se réunir en assise au plus tard le 5 septembre pour la mise en place de deux projets simultanés :
- La fixation d'une date d'ultimatum à Ali Bongo Ondimba à l'issue de laquelle sera déclenché le processus insurrectionnel : la date butoir de cet ultimatum devra être fixée au 30 septembre, ce qui constitue une période d 'attente de 25 jours durant laquelle l'opposition devra être engagée dans la mobilisation tous azimuts du Peuple de manière à le préparer à toutes les actions insurrectionnelles devant être enclenchées dès l'expiration de l'ultimatum du 30 septembre, actions dont la plus significative sera la convocation des délégués du Peuple à l'Assemblée Constituante devant destituer Ali Bongo du pouvoir. L'on comprend donc ici que cette étape sera l'étape qui accommodera, comme préalable, le projet de « Conférence Nationale Souveraine » proposé lors de la « Rencontre de Paris ».
C'est donc ce projet de « Conférence Nationale Souveraine» que tous les Gabonais défendront et soutiendront jusqu'à l'expiration de l'ultimatum, de manière à permettre à toute la nation de constater le « non » public et sans équivoque d'Ali Bongo. Autrement dit, si Ali Bongo, à l'issue de l'ultimatum, accepte la « Conférence Nationale Souveraine», eh bien alors la Conférence Nationale se tiendra bien évidemment conformément au modèle proposé lors de la « Rencontre de Paris », quoiqu'avec quelques réaménagements en timing, en finalités et en dates.
Par contre, si Ali Bongo refuse la « Conférence Nationale Souveraine » (CNS), il ne restera plus qu'à s'engager sur la piste insurrectionnelle que constitue de l'Assemblée Constituante Citoyenne (ACOC). Les deux projets se complèteront ainsi merveilleusement.
- La mise en place d'un Comité d'Organisation et de Coordination (COCOO) de la résistance La fonction de ce Comité sera technique et mécanique. Son rôle sera d'étudier les modalités pratiques de l'organisation et de la convocation des Gabonais à l'Assemblée Constituante devant mettre fin au régime Bongo/PDG et, donc, de produire le canevas démocratique qui sera à même de permettre l'expression et la représentation politique de toutes les couches progressistes du Gabon à l'Assemblée Constituante. Dès lors que ce Comité ne sera qu'un Comité Technique et, donc, naturellement neutre de par la technicité de sa mission, il peut être mis en place dès le mois de septembre ct comprendre (ceci n'est qu'une proposition):
- 5 représentants nommés par les partis politiques selon un mode consensuel lors de réunions conjointes ;
- 5 représentants de la société civile nommés par les associations de la société civile selon un mode consensuel ;
- 5 représentants des syndicats nommés par les syndicats en mode consensuel ;
- 5 représentants du clergé nommés par les dénominations religieuses selon un mode consensuel ;
- 5 représentants de la diaspora nommés selon un mode consensuel par zone géographique du monde (Amériques, Europe, Afrique, Asie, Moyen Orient).
Cette répartition n'étant ici que propositionnelle, n'importe quelle autre configuration pourra être envisagée, sans toutefois remettre en cause le principe de neutralité de ce Comité. Le Comité devrait s'établir dans un bureau à Libreville facilement accessible aux Gabonais qui voudront s'inscrire comme délégués de leurs groupes à l' «Assemblée Constituante Citoyenne » (ACOC). Il sera aussi possible d'envisager des bureaux décentralisés dans les provinces si possibles.
Le COCOO, par la suite, aura pour missions additionnelles :
- La production d'une Charte de l'Assemblée Constituante qui soit contraignante. C'est cette Charte qui non seulement explicitera auprès du Peuple ce projet d'Assemblée Constituante Citoyenne (ACOC) comme une Assemblée de rupture, mais en même temps disqualifiera tout vote et toute procédure visant à détourner l'Assemblée Constituante de son caractère insurrectionnel et « souverain». N'y seront valables que les votes et motions allant dans le sens de la rupture, de la destitution et de l'évincement du régime Bongo/PDG. Cette précaution empêchera ainsi toute motion bongoïste ou bongoïsante par des infiltrés du pouvoir.
- La mise en place d'un fonds de financement de l'Assemblée Constituante Citoyenne: Il suffit de mettre en place un « Fonds de Résistance » (FONDRE) qui sera contrôlé par le COCOO et auquel chacun des leaders, mais aussi le Peuple, seraient appelés à contribuer au titre de la solidarité citoyenne et de la résistance. Chacun y mettra ce qu'il peut en fonction de ses moyens et c'est ce fonds qui servira à financer la résistance dans le cadre de l'« Assemblée Constituante Citoyenne ».
ETAPE II : DEMOCRATISATION ET ELARGISSEMENT DU DEBAT A TOUS LES GABONAIS
Dès le lancement de l'ultimatum le 5 septembre lors d'une déclaration et cérémonie solennelles qui verront la présence de tous les maillons de la société politique et civile du Gabon qui militent dans l'opposition (partis politiques, associations de la société civile, syndicats, clergé, diaspora, étudiants, etc.), les 25 jours précédant l'expiration de l'ultimatum devront faire l'objet d' une messagerie efficace de la part de l'opposition, messagerie visant à présenter, puis expliquer le projet aux Gabonais par tous les moyens possibles. Tous les acteurs politiques et associatifs vivant au pays et ceux vivant dans la diaspora devront participer à ce projet de communication et de préparation du Peuple.
Pour palier à toute tentative partisane visant au détournement du débat national vers une conception partisane ou personnelle, il faut ici très rapidement engager tous les Gabonais dans le processus démocratique en cours. Ceci consistera en un élargissement du débat à tous les Gabonais, de manière à faire de ce combat le combat démocratique de tous les Gabonais. Il suffit ici de se référer au processus de 1990 portantes organisations de la conférence nationale. Lors de ce processus, et pour justement permettre l'expression politique de tous les Gabonais qui s'en sentaient le désir, il avait été demandé aux Gabonais de :
- Créer des partis politiques : Ceci permettait à ceux ayant une vocation politique de s'organiser en vue de participer au débat national par l'entremise de leurs délégués et y apporter leurs contributions ;
- Créer des associations, y compris des associations défendant les droits des minorités et des exclus: Ceci permettrait à ceux ayant une vocation associative de s'organiser en vue de participer au débat national par l'entremise de leurs délégués et y apporter leurs contributions ;
- Assurer la participation des congrégations religieuses : Ceci permettrait à ces congrégations de s'organiser en vue de participer au débat national par l'entremise de leurs délégués et y apporter leurs contributions ;
- Impliquer la diaspora : quoique manquant comme élément constitutif lors des débats de 1990, la diaspora devra elle aussi prendre part, non pas en tant que diaspora conçue comme un corps monolithique avec un porte-parole parlant pour toute la diaspora, mais plutôt en tant que groupes qui s'organiseraient librement sous forme d'associations ou autres en vue de leur participation libre et volontariste à l'Assemblée constituante par délégués interposés au même titre que les groupes se constituant au Gabon même ; n'importe quel groupe de Gabonais pourra ainsi se constituer depuis la diaspora pour aller prendre part à l'Assemblée Constituante sous l'identité qu'il se sera choisi et personne ne devra décider de confisquer le discours de la Diaspora par la désignation artificielle de gens qui auraient le droit de parler au nom de toute la diaspora; comme dans le reste du pays, les membres de la Diaspora devront créer librement des groupes et inscrire leurs délégués au Bureau du COCOO.
- Impliquer les étudiants et lycéens: Prévoir aussi la participation des étudiants et lycéens à ce processus ; ils peuvent élire leurs délégués en assemblée générale étudiante et apporter eux aussi leurs contributions.
Autrement dit, il faudra ici aux Gabonais s'organiser en groupes cohérents pour pouvoir prendre part à ces travaux au travers de leurs délégués. Il faudra donc, dès la fin de l'ultimatum le 30 septembre, laisser un temps d 'environ deux à trois semaines pour que ces groupes se constituent tant sur le territoire national que dans la diaspora et s'inscrivent au bureau du COCOO. Pendant cette période de constitution et d'inscription, hormis l'effort éducatif que devra faire le COCOO par des tournées d'explication et d'information à travers le pays, il faudra encourager autant que se peut la tenue de causeries dans les quartiers et les villages et de colloques citoyens et inclusifs dans les villes, de manière à faire passer le message au niveau de toutes les couches de la société gabonaise.
Il faut, pour créer un maximum de mobilisation et d'engagement citoyen de toutes les portions du peuple, susciter l'engouement à participer et à s'organiser en groupes capables d'envoyer des délégués à L'Assemblée Constituante. Il faut les encourager à apporter non seulement leur voix, mais aussi leurs propositions en matière de réforme au Gabon. Il n'y a que par ce moyen que l'on pourra pleinement engager le peuple dans le processus insurrectionnel en cours.
Chaque parti politique ou association ainsi créée devra inscrire un maximum de deux délégués au bureau du COCOO. La liste des inscrits devra être publiée au plus tard une semaine avant le début des assises de l'Assemblée Constituante. Comme en 1990, il ne faudra pas avoir peur du nombre. Il y eut bien, en 1990, près de 300 associations et partis politiques spontanément déclarés et enregistrés, cela n'empêcha pas pour autant la conférence nationale de finaliser ses travaux.
Dès lors que, pour une fois en 22 ans, les Gabonais auront l'occasion de s'exprimer librement, il faut faciliter, et non comprimer, cette expression par des arrangements qui la limiteraient. Ce processus de constitution des groupes devrait ainsi pouvoir se faire entre deux et trois semaines. Même s'il doit se créer 500 groupes politiques ou associatifs, il faudra tous les accepter et prendre autant de temps qu'il faudra pour assurer cette kermesse populaire au Gabon. Le fait d'impliquer ou d'encourager la création d'autant de groupes constitués est une démarche stratégique visant à mobiliser le maximum de Gabonais et, donc, de toucher quasiment et d'engager démocratiquement toutes les couches de la population gabonaise.
ETAPE III : INSCRIPTIONS
Cette étape concerne principalement l'inscription des divers groupes constitués à l'Etape II ci-dessus au bureau du COCOO.
ETAPE IV : CHRONOGRAMME DES TRAVAUX
A ce niveau, le COCOO produira le canevas et le chronogramme qui organiseront la séquence des travaux de l'Assemblée à proprement parler. Le chronogramme épousera ainsi, grosso modo, la démarche proposée par l'opposition dans les résolutions de la « Rencontre de Paris », notamment en ce qui concernerait les étapes relatives aux travaux de l'Assemblée Constituante à proprement dit, puis à l'implémentation de ses résolutions. Autrement dit, pour pouvoir établir un tel chronogramme, le COCOO attendra la fin de la période d'inscription des groupes constitués pour publier la liste des groupes inscrits, élaborer le programme des interventions et assurer le bon cadrage des travaux. Il devra aussi mettre en place un Comité de juristes dont la tâche sera de recueillir, dans chacun des secteurs concernés, les déclarations écrites des participants aux fins de les condenser dans le texte constitutionnel qui sortira de l'Assemblée Constituante. Une fois, donc, le canevas terminé et les dates déterminées, le COCOO convoquera les délégués à l'Assemblée Constituante.
ETAPE V : SESSIONS DE L'ASSEMBLEE CONSTITUANTE
L'Assemblée Constituante organisera ses travaux en trois grandes étapes:
- Assemblée Plénière Constitutive Initiale: Cette étape consistera à l'adoption de la Charte de l'Assemblée et à la Constitution des Commissions. Elle sera ensuite suivie par les séances de discours où tous les délégués des groupes inscrits liront leurs déclarations, qui ne devront pas dépasser 10 à 15 minutes chacune. Mais les délégués pourront laisser au bureau du COCOO des déclarations écrites plus longues contenant leurs idées et leurs propositions pour un Gabon nouveau. Cette phase devrait durer plusieurs jours au vu du nombre de délégués attendus sur la base de 300 à 500 groupes inscrits, voire plus ;
- Commissions Spécialisées : Une fois l'Assemblée plénière terminée, il faudra organiser les délégués en commissions de travail sur la base de leurs spécialités ou expertises. Chaque commission devra contenir des juristes pour faciliter le transfert des propositions en langage de juriste à même d'intégrer leurs solutions au texte non seulement de la nouvelle constitution, mais aussi à celui des nouvelles lois organiques et autres du pays ;
- Commissions Juridiques : Celles-ci se réuniront en troisième lieu pour fondre tous les travaux dans la version finale des textes constitutionnels et autres (nouveau code civil, nouveau code électoral, etc.) ;
- Commissions Politiques: Celles-ci se réuniront en parallèle pour préparer les modalités de la Transition Politique au Gabon, transition qui devra rapidement se mettre en place dès la fin de l'Assemblée Constituante ; ccci inclut la préparation du processus référendaire qui verra les nouvelles lois du pays soumises en référendum au peuple pour validation ;
- Assemblée Plénière Constitutive Finale : Elle promulguera les nouvelles lois du pays qui seront soumises au référendum : ceci inclura, bien évidemment, la nouvelle constitution du pays. Ces travaux pourraient prendre, entre 30 et 45 jours ou plus si nécessaire et, donc, être terminés dès fin octobre ou fin novembre, lançant ainsi le début de la période de transition.
ETAPE VI : DEBUT DE LA TRANSITION
Ici, il s'agira, pour la Séance plénière de l'Assemblée Constituante, de déclarer, dans un premier temps, la dissolution des institutions existantes, puis de nommer, dans un deuxième temps, un Comité National de Transition (CNT) qui sera composé de :
- Un gouvernement de transition de 21 membres maximum qui se chargera de gérer les affaires courantes, de soumettre la nouvelle constitution au référendum et d'organiser les nouvelles élections dans un délai de 6 mois ;
- Une Cour constitutionnelle de transition devant dire le droit durant la période de transition ;
- Une Commission électorale de transition chargée d 'organiser les élections sous supervision internationale ;
- Un parlement intérimaire : La plénière de l'Assemblée Constituante elle-même pourra élire des « députés intérimaires» devant servir d 'Assemblée Nationale de transition en attendant les élections générales six mois plus tard. Ces« députés» pourraient s'élever au nombre de 60 au maximum.
ETAPE VII : ELECTIONS GENERALES
Elles devraient être organisées au plus tard six mois après la fin des travaux de l'Assemblée constituante. La force de ce processus est que c'est un processus que le régime BONGO/PDG ne peut ni contrôler ni stopper, et encore moins empêcher, à moins de décider de mettre en prison les 300 à 500 délégués constituants qui se réuniront. Ce qui est certain c'est que les Gabonais le mettront au défi d'oser le faire.
RESUME DU CHRONOGRAMME
Le squelette du chronogramme tel que discuté plus haut pourrait, ainsi, se lire ainsi :
- 5 septembre 2012: lancement de l'Ultimatum à Ali Bongo, ultimatum devant expirer le 30 septembre;
- 5 septembre : mise en place du Comité d'Organisation et de Coordination (COCOO)
- 30 septembre : Expiration de l'ultimatum ; en cas de refus par Ali Bongo, lancement immédiat des inscriptions des groupes constitués au bureau du COCOO.
- 21 octobre: Publication des listes des participants à l'Assemblée Constituante Citoyenne (ACOC), soit une semaine avant la session de l'Assemblée plénière de l' ACOC ;
- 21 octobre : Convocation de l' ACOC pour le 30 octobre ;
- 30 octobre: début des travaux de l' ACOC conformément au calendrier et principes de réforme qui suivent.
F. DU PROJET DE REFORME A PROPREMENT PARLER
F. 1. PROCESSUS EN AMONT
- Destitution d'Ali Bongo Ondimba et du régime Bongo/PDG et Mise des forces armées et de sécurité sous la tutelle de l'Assemblée Constituante Citoyenne: Dès son établissement, outre le décret de dissolution de l'Assemblée Nationale existante et la création du CNT, l'Assemblée Constituante, en tant que nouvelle autorité de la République, devra entériner un édit appelant les forces de sécurité et toutes les forces armées du pays à ne plus obéir au régime d'Ali BONGO ONDIMBA et, donc, à se mettre à la disposition et au service de l'Assemblée Constituante, donc du peuple. Le nouveau rôle de l'Armée et des forces de sécurité sera de protéger les populations et non de les agresser. Une procédure de destitution d'Ali Bongo sera enclenchée immédiatement dès le début des travaux. Le choix devra être donné au dictateur de prendre immédiatement l'avion pour un exil quelque part, sans quoi le Peuple ne saura répondre de sa sécurité.
- Principes non négociables : Quoiqu'il arrive, les Gabonais constitués devront ériger, dès le départ, des principes non négociables faisant partie de la Charte de l' ACOC préparée par le COCOO. Parmi ceux-ci, le départ inconditionnel d'Ali BONGO ONDIMBA ct de son régime du pouvoir. Ali BONGO ONDIMBA doit céder le pouvoir au peuple dès la première session de l'Assemblée Constituante. Tout refus de le faire sera considéré comme un acte d'agression, donc de guerre, contre le peuple gabonais.
F.2. PROCESSUS EN AVAL
En regardant bien toutes les propositions de réforme faites par 1 opposition, mais aussi par la société civile gabonaise depuis 22 ans, réformes qui ressortent également de la « Rencontre de Paris », les pistes de réformes à explorer lors de l' ACOC sont donc, entre autres :
- le retour au mandat présidentiel à 5 ans renouvelable une seule fois ;
- le rétablissement du mode de scrutin à deux tours pour toutes les élections politiques nationales ou locales.
- La reforme de la Cour Constitutionnelle, du Conseil National de la Communication, du Conseil Economique et Social et de la Commission Electorale Autonome et Permanente;
- L'implication de la Société Civile dans toutes les étapes du processus politique ;
- La reforme de Loi électorale et la mise en place de tous les dispositifs permettant la transparence électorale, y compris la biométrie et autres outils statistiques devant permettre le contrôle et la maîtrise des flux démographiques ;
- Le redécoupage de la carte électorale en fonction du poids démographique ;
- La dissolution de toutes les agences ;
- Le rétablissement sans délai de l'Union Nationale ;
- L'arrêt des persécutions et procès politiques ;
- La cessation des mesures répressives contre la presse libre ;
- La création d'une commission d'enquête indépendante sur la gestion de la CAN;
- La création d'une Commission Permanente Tripartite Majorité-opposition et Société Civile en vue la formulation de toutes les propositions de reformes dont le pays aura besoin dans l'avenir
Pour les quatrième et dernier points, la « Concertation de Washington » avait recommandé l'ajout de la « Diaspora », des « Syndicats », du « Clergé » et des « étudiants » car, il faut désormais, pour tout processus de réforme au Gabon, assurer la représentation, au moins, des 5 groupes que sont le gouvernement, la société civile, l'opposition, la diaspora, le clergé, les syndicats et les étudiants.
Evidemment, dès lors que le peuple gabonais se retrouverait forcé, dans le cadre de l'Assemblée Constituante ici proposée, de recourir à l'insurrection comme unique moyen de reconquérir sa souveraineté, l'heure ne serait plus naturellement aux doléances puisque de telles doléances supposeraient un arbitrage d'Ali BONGO ONDIMBA et de son régime. Du coup, de toutes ces idées novatrices et consolidatrices de la démocratie au Gabon, l'on ne retiendra que celles qui touchent à la réforme que les Constituants devront eux-mêmes mener dans le cadre de l'Assemblée Constituante.
Au vu, donc, de la situation insurrectionnelle qui sera celle de l'Assemblée Constituante, Au vu, aussi, des excès et abus qui peuvent venir d'un seul homme égaré par l'immoralité, la soif du pouvoir et l'appât de l'enrichissement illicite, précisément comme nous le démontre l'historique d 'arbitraires et d'abus résultant des 45 ans passés sous le régime dictatorial des BONGO ONDIMBA, la « Concertation de Washington » avait ajouté les modalités et propositions suivantes :
1. Adoption d'un régime parlementaire et suppression du régime présidentiel :
Lors des assises de l'Assemblée Constituante ici proposée, le Gabon devra se départir du système présidentiel pour embrasser pleinement un système parlementaire qui, conformément aux recommandations de la réunion de la Diaspora gabonaise à Bruxelles en mai 2009:
- réduirait de manière draconienne les pouvoirs du Président de la république, quel qu'il soit, tout en lui enlevant le pouvoir de légiférer par ordonnance ou par décret ;
- donnerait au parlement ses pleins pouvoirs de législation tout en transférant au Parlement et au Premier ministre une bonne partie des pouvoirs traditionnellement réservés au Président de la République;
2. Suppression du Sénat et du Poste de Vice-président de la République :
L'Assemblée Constituante devra également entériner :
- la suppression du Sénat et son remplacement par des parlements provinciaux ;
- la suppression du poste de Vice-président de la République ;
Plus particulièrement, et ce toujours sur la base des résolutions de la réunion de la Diaspora gabonaise à Bruxelles en mai 2009, nous proposons :
- que le Premier ministre soit désormais obligatoirement proposé par le parti ou la coalition majoritaire au Parlement ;Il doit notamment devenir Co-gestionnaire de l'Exécutif, et non plus un simple exécutant des lubies présidentielles ; par ailleurs, nous proposons que le Premier ministre soit désormais responsable devant le Parlement et non devant le Président de la République. Ainsi, seul le Parlement pourra dorénavant démettre le Premier ministre ; il deviendra ainsi une vraie autorité de l'Etat car désormais réellement capable de gouverner, mais sans risque d'inamovibilité. Autrement dit, dans sa gestion quotidienne du pays, une simple motion de défiance ou de censure par le Parlement pourra le désavouer. Ces nouveaux rapports forceront le gouvernement au travail et à l'affirmation de la moralité publique ;
- que les ministres aient désormais obligation de justifier de la gestion de leurs budgets et allocations à la fin de chaque exercice trimestriel Non seulement au devant de la Cour des comptes, mais aussi devant le parlement dans le cadre de retransmissions télévisées en direct sur une chaîne publique. Les populations auront ainsi l'occasion de connaître l'utilisation réelle des deniers publics et ce que les pouvoirs publics en font.
- que des amendements soient adoptés qui feront que les cas de vacance temporaire ou définitive du pouvoir présidentiel ou autres soient désormais mieux clarifiés et mieux renforcés ; Le Gabon ne doit plus jamais se retrouver dans le type de 110 man's land auquel on a assisté à l'occasion du décès d'Omar BONGO en juin 2009.
- que le renforcement de la Séparation des Pouvoirs soit effectué d'une manière qui verrait l'introduction de multiples contre-pouvoirs, y compris une plus forte affirmation de l'indépendance de la justice, avec notamment l'élection non seulement des Présidents des Cours composant le corps judiciaire du pays, mais aussi de la majorité des membres de ces Cours, y compris le Président de la Cour Constitutionnelle.
- que toute tentative de modification de la Constitution soit rendue plus difficile, et surtout, qu'aucune modification de la Constitution ne soit plus possible au Gabon sans ultimement passer par le référendum. Nous proposons, par ailleurs, qu'un Conseil Suprême résolve désormais, de manière spécifique, les conflits de séparation et d'équilibre des pouvoirs entre l'Exécutif, le Législatif et le Judiciaire.
- que le Référendum devienne plus que jamais arbitre des problématiques politiques qui préoccupent la nation, de manière à garantir le fonctionnement optimal de la République sur la base du consensus national; nous proposons d'en faire non seulement l'ultime outil de contrôle, de correction et de redressement des actes politiciens nuisibles, mais également un outil de concertation et d'entente nationale capable de donner au peuple plus de voix dans la direction politique, économique, sociale ou culturelle que doit prendre le Gabon.
- que la loi sur les financements des partis politiques soit clarifiée ; il serait inacceptable que des partis riches parce qu'ayant détourné l'argent de l'Etat se retrouvent avec un avantage financier incontournable, gagnant ainsi les élections par le simple fait de son avantage financier ;
la seule manière de détruire cet avantage est de créer une loi interdisant aux partis politiques de faire des dons de quelque nature que ce soit aux militants ; seules les collations et/ou repas seraient autorisés dans le cadre de meetings demandant la présence de militants sous le soleil ou pendant des durées dépassants deux heures. De telles collations ne peuvent inclure des boissons alcoolisées ;
- que, dans le cadre de la provincialisation des pouvoirs de l'Etat, les gouverneurs soient désormais élus et qu'il soit effectué une réduction des pouvoirs du gouvernement central par le renforcement de celui des provinces ; ceci se fera par la création de Parlements et de Gouvernements provinciaux, qui joueront directement dans les provinces le rôle jadis supposé au Sénat central (dont nous avons recommandé la suppression plus haut); ces gouvernements provinciaux jouiront d'une allocation minimale de 25 milliards par province, avec ajustement supplémentaire en fonction de la population de chaque province; les gouvernements locaux pourront ainsi librement décider leur politique économique locale et assurer un développement plus optimal de leurs provinces ; le contrôle des richesses et ressources naturelles restera, bien entendu, la prérogative du gouvernement central qui en assurera la redistribution équitable au travers des budgets provinciaux que le parlement national votera chaque année;
- que soit instituée, dans le cadre de l'informatisation totale du pays, une police informatique Devant assurer presque mécaniquement la transparence au niveau de la gestion des biens de l'Etat, et ce tant au niveau de la gestion de ce patrimoine au niveau des ministères que de l'administration publique en général ;
- que l'âge d'éligibilité aux fonctions électives soit ramené à 18 ans pour les fonctions parlementaires locales ou nationales et à 21 ans pour les hautes fonctions de la République ; il n'y aucune cohérence que des pays démocratiquement avancés permettent à un jeune de 18 ans de se présenter à l'élection présidentielle s'il en a la capacité, et que nous, au Gabon, fixions cet âge à 40 ans; il faut laisser au peuple gabonais le soin de décider s'il veut élire un jeune de 21 ans au poste de Président de la République ou non. La liste ci-dessus donnant une idée assez claire de la direction que devront prendre les réformes entreprises par l'Assemblée Constituante,
CONCLUSION
Comme souligné tout au long de ce document, L opposition sur sa bannière actuel de UFC, sur la base des travaux de ce jour, pense que le contexte actuel, du simple fait du rejet par le régime BONGO/PDG du projet de« Conférence Nationale Souveraine» mis sur orbite parle PDG, est devenu un contexte insurrectionnel qui ne s'accommode plus du tout de la notion de « Conférence Nationale Souveraine » comme finalité. Sans remettre en cause la finalité visée par ce projet, ct saluant, en réalité, l'impératif selon lequel il a fallu, en effet, et nécessairement, passer par ce projet de Conférence Nationale pour mettre le régime BONGO/PDG devant ses responsabilités, L’UNION DES FORCES DU CHANGEMENT regroupement des partis politique de l’opposition réunis, conclut, simplement, que le refus du régime de se soumettre à l'impératif de la Conférence Nationale Souveraine ne laisse plus au peuple gabonais que l'option supérieure celle de l’insurrection.
Autrement dit, le présent plan B ne se pose aucunement en contradiction des conclusions et recommandations de la« Rencontre de Paris». Bien au contraire, il se situe dans le prolongement logique du processus déclenché à Paris, processus ici porté dans son ultime finalité. En d'autres termes, dès lors que le régime BONGO/PDG a rejeté le projet de Conférence Nationale Souveraine, il a forcé l'opposition à mener, de manière unilatérale, les réformes requises. Or, de telles réformes ne peuvent se concevoir que dans le cadre, très technique et obligatoire, d'une étape insurrectionnelle ultime et suprême par laquelle un peuple décide de prendre sa destinée en mains.
Tout en se disant prêt à travailler et à collaborer avec toutes les forces du changement tant au Gabon que dans la diaspora qui cherchent une vraie rupture, L’UCF en appelle donc au peuple gabonais dans son entièreté, de se préparer à une insurrection au Gabon.
Dès lors que, comme nous l'espérons, la nouvelle formulation ici offerte et la feuille de route y afférente viendraient à rencontrer l'assentiment de tous les acteurs politiques, associatifs et autres engagés dans le processus de la refonte, donc de la remise à plat du système politique gabonais, L’UFC recommande la mise en place immédiate de ce processus de restitution de sa souveraineté au peuple gabonais, et ce pendant que le fer lancé dans la flamme par André Mba Obame au Gabon est encore chaud.
Le présent plan B sera présenté AU PEUPLE GABONAIT ET A LA SOCIETE CIVIL et autres qui luttent en vue de libérai le Gabon démocratique souverain.
Fait à Libreville. Le 17 septembre 2012
Les partis de 1'union des forces du changement.
01 A.N.G
02 ARENA
03 CCDG
04 CD]
OS EPI
06 FAR
07 FPU
08 MESP
09 MORENA
10 MORENA U
11 PDN
12 PDS
13 PGP
14 PSD
15 PSU
16 RDD
17 RNB
18 UN
19 UPG
20 UPNR
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Gabon: FIASCO TOTAL DU MEETING DE L'OPPOSITION MANIOC
Le meeting tant attendu de l'opposition moutouki ce samedi 22 septembre 2012 a tourné court . C’est donc sans grande surprise que le meeting s’est soldé sur un constat d’échec au regard de la faible mobilisation des sympathisants. Il s’agit ici clairement d’un essoufflement de la lutte .
La population n'a pas répondu à l'appel du mensonge et des discours illusionnistes , elle a préférée vaguer a ses occupations habituelles du week-end .
Une défaite cuisante , un fiasco retantissant pour ces chefs de gang nazi-fachistes après le bruit tonné ces derniers jours et une propagande menée tambour bâtant en vilipendant le pouvoir en place. ils s'attendaient à une veritable marée humaine.
Le lieu du meeting était quasi-désert pour un gang qui pense avoir plus de la moitié de la population gabonaise acquis à sa cause soit + de 700 000 habitants. Or seuls une centaines d'ivrognes et un groupuscule de mendiants alimentaires ont répondus à l'appel , on dénombre 200 personnes tout au plus , ridicule !
Un autre fiasco de ce gang est la victoire de la population qui a compris que ce gang tribaliste essentiellement composée d'anciens ministres et premiers ministres du parti démocratique gabonais (PDG) qui ont dilapidés durant 40 ans les budgets d'investissements de leur ministères respectifs en devenant des multimilliardaires africains à la vitesse de la lumière, ne pensaient en réalités qu'à leur ventre aujourd'hui.
Un bide retentissant donc , qui devrait définitement les convaincre de s'exiler dans la forêt pour planter le manioc.
Le moins que l'on puisse dire, encore une fois, après avoir monté l'adrénaline à travers des propos apocalyptiques , xénophobes et racistes, l'opposition radicale regroupée au sein du gang des salopards dit pour la solution finale i.e l'épuration ethnique pure et simple au Gabon , a lamentablement échoué dans sa quête de mobilisation pour peser sur le populaire Président Gabonais , Ali Bongo Ondimba.
En réalité, épinglée par l'opinion publique nationale pour obstruction au pouvoir émergent d'Ali Bongo Ondimba, en lieu et place d'une opposition constructive, la bande des anciens ministres multimilliardaires est à bout de souffle.
Les succès économiques et diplomatiques enregistrés en un temps record par le populaire président de la République Ali Bongo Ondimba , élu démocratiquement , n'y sont pas étrangers.
Autre facteur, cette fois sociologique, de l'échec de ce qui devait être un géant meeting est que les chef de gang Mba Obame , Zacharie Myboto , Eyeghe Ndong etc etc sont devenus, à leur dépens hélas, des véritables généraux manioc sans troupe. Ils ne mobilisent plus !
Comme quoi, les enseignements que l'on peut tirer de cet autre fiasco du gang des salopards ce samedi, c'est non seulement la lassitude des populations gabonaises qui en ont plus qu'assez des jérémiades de vieux politiciens moutouki en quête de partage du pouvoir.
Michel OGANDAGA
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21/09/2012
Gabon: LE MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR AUTORISE LA RÉUNION PUBLIQUE DE L'OPPOSITION
Dans un courrier officiel daté du mercredi 20 septembre 2012, le ministère gabonais de l’Intérieur autorise la réunion publique que plusieurs partis de l’opposition ont prévu de tenir, samedi 22 septembre 2012, à 14h, au carrefour dit « Rio », dans le 3ième arrondissement de Libreville.
En totale conformité avec la loi, cette décision en faveur de la libre expression s’inscrit dans le droit fil du choix de société exprimé par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba lors de son discours du 13 septembre devant les deux chambres du Parlement : « J’ai toujours encouragé le dialogue avec nos adversaires politiques. C’est cette même volonté d’ouverture et de dialogue qui a dicté la main tendue que j’ai offerte dès mon accession à la magistrature suprême ».
En réponse à la demande établie le 17 septembre par les anciens ministres Louis-Gaston Mayila et Jules-Aristide Bourdès Ogouliguendé, agissant au nom de deux regroupements de formations d’opposition, - respectivement l’Alliance pour le changement et la restauration et la Coalition des partis politiques pour l’alternance -, le ministre de l’Intérieur, de la sécurité publique, de l’immigration et de la décentralisation, M. Jean-François Ndongou, écrit : « En raison de ce que vous vous êtes pliés aux exigences légales en matière de réunions publiques, l’autorisation vous a été acquise ».
Ce feu vert intervient après que le ministère a obtenu des organisateurs la liste des partis appelés à prendre part à la manifestation politique : CDJ, PGP, MORENA, MORENA UNIONISTE, URDP, UPG, UPNR, ANB, RNB, EPI, PDS, FPU.
Afin de prévenir tout trouble à l’ordre public et dans le souci de ne pas revoir les scènes de violence et les débordements qui émaillèrent le rassemblement tenu par l’opposition le 15 août 2012, le ministre invite les organisateurs « à préserver tout au long de cette manifestation la flamme de l’esprit républicain qui a guidé (leur) démarche » et rappelle « que les responsables de l’ex-Union nationale, parti politique dissout, ne doivent pas s’exprimer au cours de ce meeting ».
Comme souhaité par les organisateurs, le ministère de l’Intérieur prendra les mesures sécuritaires ad hoc pour le bon déroulement de cette réunion politique autorisée.
FIN
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Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du Jeudi 20 Septembre 2012
A l’entame des travaux, le Conseil des Ministres a vivement salué l’adresse opportune et inédite du Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, devant les Députés et les Sénateurs.
Ce discours fondateur pour un Gabon moderne nous a utilement rappelé nos racines plurielles qui constituent la somme des différences positives qui unit dans la concorde et la fraternité et bâtira le Gabon Emergent.
Cet édifice nouveau, le Gabon Emergent auquel tous nous rêvons, réserve une place de choix aux jeunes et aux femmes.
Le Conseil des Ministres affirme que les gabonaises et les gabonais doivent ainsi donc faire montre davantage d’abnégation et de probité au travail, chacun dans son secteur de compétence.
Les critères de performance demeureront les instruments de mesure de l’évolution de notre développement social et de notre croissance économique.
Le Conseil des Ministres approuve la rupture qu’il est impérieux d’opérer avec les erreurs et les habitudes passéistes aux fins de répondre, de façon diligente, aux nombreuses et légitimes attentes des populations dans le cadre du Schéma Directeur du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE).
Le Conseil des Ministres stigmatise la violation délibérée des institutions et des symboles de la République et invite les populations à demeurer vigilantes sans faiblesse et sans haine tout en témoignant leur confiance aux Institutions de la République qui renforcent davantage leur crédibilité.
Aussi, le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a bien voulu communiquer au Conseil des Ministres sa décision de convoquer l’ensemble des Partis Politiques en vue de la reprise des activités du Conseil National de la Démocratie. Le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a rappelé que le Conseil National de la Démocratie est le cadre institutionnellement approprié et prévu pour le débat politique et pour la démocratie.
Le Conseil des Ministres salue l’ouverture et le dialogue dont fait montre judicieusement le Président de la République, Chef de l’Etat.
Par ailleurs, le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a instruit le Gouvernement de l’urgence d’élaborer un cadre organique cohérent adapté à la nouvelle configuration de l’utilisation efficace, optimale des ressources humaines compétentes.
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté deux (2) projets de décret :
· projet de décret portant déclaration d’utilité publique
· projet de décret portant création et organisation de la Zone Economique à Régime Privilégié de Nkok.
S’agissant du premier texte, il dispose de ce qu’il est déclaré d’utilité publique, l’occupation par l’Etat, en vue de l’implantation de la Zone Economique à Régime Privilégié de Nkok, un terrain d’une superficie de 1390 ha limitée au Nord par le chemin de fer, au Sud par la rivière Missole, à l’Est par la route du centre de télécommunications de Nkoltang et à l’Ouest par le titre foncier n° 16747 d’OLAM-GABON.
Les expropriations nécessaires devront être réalisées dans le délai de douze (12) mois à compter de la date de publication du présent décret.
Quant au second projet de décret, pris en application des dispositions de la loi n° 10/2011 portant réglementation des Zones Economiques à Régime Privilégié en République Gabonaise, il indique qu’il est créé, dans le Département du Komo-Mondah, au lieu dit Nkok, une Zone Economique à Régime Privilégié dénommée Zone Economique à Régime Privilégié de Nkok, en abrégé « ZERP de Nkok », ci-après désignée « Zone ». Ladite zone est ouverte à toutes activités économiques particulièrement à celle touchant :
· au développement des activités liées à la transformation et à l’exportation du bois ;
· aux prestations de services en rapport avec les activités liées à la filière bois ;
· à la fabrication, à l’assemblage, au stockage de produits finis et d’autres biens issus du traitement et de la transformation du bois brut ;
· à la transformation des ressources naturelles et à la production de l’énergie électrique.
Le cadre institutionnel de la Zone Economique à Régime Privilégié de Nkok comprend :
· l’Organe d’Aménagement et de Gestion ;
· l’Autorité Administration ;
· le Comité de Suivi.
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS
Le Ministre a fait approuver par le Conseil des Ministres, le projet de décret fixant les conditions d’attribution, de transfert, de suspension de bourses, d’orientation, de réorientation, ainsi que les modalités de prise en charge par l’Etat des élèves et étudiants boursiers au Gabon et à l’étranger. Pris en application des dispositions de l’article 130 de la loi n° 21/2011portant orientation générale de l’Education, de la Formation et de la Recherche, le texte, outre les dispositions générales, traite en ses chapitres :
I– des conditions d’attribution, de transfert et de suspension des bourses d’études, d’orientation et de réorientation ;
II- du cumul et du complément des bourses ;
III- des modalités de prise en charge des élèves et étudiants boursiers au Gabon et à l’étranger ;
IV- des dispositions transitoires et finales.
MINISTERE DES EAUX ET FORÊTS
Le Ministre a proposé au Conseil des Ministres qui l’a adopté, le projet de décret portant classement de l’arboretum « Monseigneur RAPONDA WALKER », conformément à la décision du Conseil des Ministres, en sa séance du 13 Octobre 2011.
Pris en application des articles 8 et 9 de la loi n° 16/2001 portant Code Forestier en République Gabonaise, la zone susvisée dont la gestion est placée sous la tutelle de l’Agence Nationale des Parcs Nationaux, a pour objet principal la protection de la flore, de la faune, de la partie intacte du site ainsi que le développement des activités compatibles avec sa mission, notamment le loisir, le tourisme, la science et l’éducation.
Un plan de gestion définit les zones de protection et d’utilisation ainsi que les activités autorisées dans chaque secteur.
MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION
Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui les a adoptés, deux (2) projets de décret.
S’agissant du premier projet de décret, il fixe le régime de délivrance et de renouvellement du passeport ordinaire.
Pris en application de l’article 51 de la Constitution, le présent texte se consacre à réglementer le passeport ordinaire, tient compte de l’entrée en vigueur de la biométrie et prévoit le relevé et l’usage de certaines données à caractère personnel aux fins de l’authentification de l’identité des personnes et d’établissement du passeport.
En sus des dispositions générales, le présent décret traite de la procédure, des restrictions et des dispositions diverses et finales.
Quant au deuxième projet de décret, il fixe les conditions d’ouverture et d’exploitation des débits de boissons.
Le décret dispose que l’ouverture et l’exploitation par soi-même ou par un tiers d’un débit de boissons sont soumises à l’obtention préalable auprès des autorités compétentes d’une licence administrative, délivrée sur la base d’un dossier soumis à l’instruction de l’Administration.
En sus des dispositions générales et des conditions d’ouverture et d’exploitation, le présent texte traite des restrictions et des sanctions, ainsi que des dispositions transitoires et finales.
MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
Le Conseil des Ministres a marqué son accord aux textes présentés par le Ministre. Il s’agit :
· de la loi relative à la protection de l’environnement en République Gabonaise ;
· du projet de décret abrogeant le décret n° 000642/PR/MTEFP du 23 Juin 1997.
Pour ce qui est du projet de loi, pris en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, il traite, entre autres, des règles et des principes fondamentaux, du cadre institutionnel, des outils moyens et mécanismes, du changement climatique, des énergies renouvelables et des économies d’énergie, de la protection des ressources naturelles et de l’aménagement durable du territoire, de la prévention et de la gestion des risques, des pollutions et des nuisances, du régime de prévention et de réparation des dommages causés à l’environnement, du régime de répression, des dispositions fiscales.
S’agissant du projet de décret, pris en application des dispositions de l’article 255 du Code du Travail, il détermine la composition de la Commission Nationale d’Etude des Salaires, ci-après désignée « La Commission » et qui comprend :
· le Ministre chargé du Travail, Président ;
· le Ministre chargé de l’Economie ou son représentant, membre ;
· le Ministre chargé de la Fonction Publique ou son représentant, membre ;
· le Ministre chargé du Commerce ou son représentant, membre ;
· le Ministre chargé du Budget ou son représentant, membre ;
· un représentant de chacune des quatre (4) confédérations syndicales patronales les plus représentatives, membre ;
· un représentant de chacune des quatre (4) confédérations syndicales salariales les plus représentatives, membre ;
· un représentant des organisations professionnelles salariales les plus représentatives du secteur pétrolier, membre ;
· le Directeur Général de la Statistique et des Enquêtes Economiques, rapporteur.
MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE
Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté les deux (2) projets de textes ci-après :
· projet de loi portant modification de la loi n° 14/2011 du 02 Janvier 2012 déterminant les Ressources et les Charges de l’Etat pour l’année 2012 ;
· projet de décret portant Nomenclature des pièces justificatives des Recettes et des Dépenses Publiques.
La configuration du Gouvernement en Février 2012, la faible exécution du budget de l’Etat en dépenses au 31 Août 2012 et l’impératif de résultats pour le Gouvernement sont les principales raisons des modifications apportées à la loi de Finances initiale 2012.
Le Produit Intérieur Brut de l’économie gabonaise progresserait de 7,4 % en termes réels à fin Décembre 2012 contre 5,6 % prévu initialement.
Cette performance s’explique pour l’essentiel par les effets conjugués de :
· la production de pétrole brut qui atteindrait 12,323 millions de tonnes à fin Décembre 2012, ce qui correspondrait à une hausse légère de 1,8 % par rapport à 2011;
· la baisse de la production de manganèse qui connaîtrait une dimunition de 11,1 % par rapport à l’objectif initial ;
· les ressources propres sont en nette progression par rapport au cadre budgétaire initial. Elles passent de deux mille trois cent cinquante trois milliards cent millions (2353.100.000.000) de francs cfa dont mille trois cent douze milliards deux cent trente huit millions (1312.238.000.000) de francs cfa au titre des recettes pétrolières ; à deux mille cinq cent onze milliards cent quarante deux millions (2511.142.000.000) de francs cfa dont mille quatre cent soixante milliards cent trente huit millions (1460.138.000.000) de francs cfa de recettes pétrolières.
Aussi, la loi de finances rectificative pour l’année 2012 s’établit en recettes et en dépenses à la somme de deux mille sept cent cinquante neuf milliards cinq cent quatre vingt millions (2759.580.000.000) francs cfa.
Quant au second texte, pris en application des dispositions de l’article 97 de la loi n° 5/85 portant règlement général sur la comptabilité publique de l’Etat, il porte nomenclature des pièces justificatives permettant aux agents publics chargés de l’exécution et du contrôle des opérations des recettes et des dépenses de l’Etat, de disposer d’un outil de référence. En matière de comptabilité publique, l’ordonnateur doit joindre aux titres de recettes, d’une part, et aux ordonnances ou mandats de paiements qu’il transmet au comptable, d’autre part, les pièces justificatives préconisées par ce projet de décret.
La nomenclature préconisée fixe, par nature d’opération, les pièces justificatives à produire. Elle se décline en deux (2) chapitres : le premier est relatif aux opérations de recettes, avec des recettes budgétaires et des opérations de trésorerie ; le second est consacré aux opérations de dépense, subdivisées en dépenses d’investissement, de fonctionnement, aux opérations relatives au règlement de la dette et des opérations de trésorerie.
De même, cette nomenclature permet aux juges des comptes de mieux apprécier la régularité des opérations de recettes et de dépenses exécutées par les ordonnateurs et les comptables.
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE
MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE
Le Conseil des Ministres a marqué son accord aux demandes d’agrément de leurs Excellences :
· Madame Saoudatou NDIAYE SECK, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Sénégal, près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville
· Monsieur Azad DHOMUN, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de l’Ile Maurice près la République Gabonaise avec résidence à Port Louis en Ile Maurice.
MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL
Le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour la célébration jumelée de la Journée Mondiale de l’Alimentation et de la Journée Nationale de l’Agriculture, le 16 Octobre 2012. Les activités prévues concerneront, entre autres, en la présentation de la politique gouvernementale des émissions à la radio, à la télévision et une conférence débat ainsi que l’organisation d’une foire agricole.
Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement.
La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.
Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
- Conseiller du Président de la République : M. MBOULA Serge Armand.
- Chargé de Missions du Président de la République : M. NGUEKEYI François.
SECRETARIAT GENERAL DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
- Attachée de Cabinet du Président de la République : Mme MOUNDOUNGA BASTANTE Stéphanie.
CABINET DU DIRECTEUR DE CABINET DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
SECRETARIAT PARTICULIER
- Attachée de Cabinet du Président de la République : Lieutenant NGOUENDJENGUE NDJAYE Aminata. Marleine, en remplacement de Mme COBO Eve, remise à la disposition de son administration d’origine.
- Secrétaire de Cabinet : Melle REBOUCAH Laurine Ornella.
PRIMATURE
- Conseiller Diplomatique : M. BOUPA Guy Michel, en remplacement de M. LENDOYE Jean Pierre, remis à la disposition de son administration d’origine.
- Conseiller Secteur Productif : M. OWONO MINTSA Roger.
- Conseiller en Infrastructures : M. MABIALA Dieudonné.
- Conseiller en Education : Mme NTO AMVANE Théodorine.
- Conseiller à la Primature chargé des Affaires Sociales: Mme ANGUILET MBA Brigitte.
- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme OTOUNGA Michelle Patricia.
MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE, DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE
CABINET DU MINISTRE
- Conseiller en Communication : M. IKANIA Jean Bernard, Journaliste.
- Agent de Sécurité 2 : Gardien de la Paix : M. MAGNAGNA LEPENGUE Gildas.
CABINET DU MINISTRE DELEGUE
- Directeur de Cabinet : M. ANGOUE MBA Jean-Hilaire, Professeur certifié du 2nd degré Général.
- Chef de Cabinet : M. YEBE Alexis II.
- Secrétaire Particulière du Ministre : Mme MBANG OBAME Noéline Ghislaine, Assistante de Direction.
- Secrétaire de Cabinet : Mme NDELO ITY Marie Olga, Assistante de Direction.
- Secrétaire du Directeur de Cabinet : Mme OKOMO ASSOUMOU Blanche, Secrétaire de Direction.
- Aide de Camp du Ministre : Brigadier Chef NDONG ONDO Jean-Paulin.
- Agent de Sécurité : Brigadier Chef NGASSA Germain.
- Attaché de Presse : M. NANG BEKALE Jean-Marie.
- Chef de Protocole : M. NZE OBAME Eric.
- Chauffeur Particulier du Ministre : M. BIKEGNE MEYO Rodrigue.
- Chargés d’Etudes du Ministre:
MM.
· NZE OBIANG Jean Paul
· BOUSSOUGOU Serge
· NDO OBONOU Augustin
· OYONO NGUEMA Noël
Mme : ANDEME ASSOKO Ghislaine
- Chargés de Missions :
Mmes :
· OKOME NDONG Christine.
· EYANG OBAME Léontine.
MM. :
· TOUNG EKABANE Bertrand.
· OBIANG ENDAMNE Guy Laurent.
ADMINISTRATION CENTRALE
INSPECTION GENERALE DES SERVICES
- Inspecteur Général Adjoint chargé des Finances : M. ELLA EYOGHO Michel en remplacement de Mme Priscille WULINYAMYE appelée à faire valoir ses droits à la retraite.
- Inspecteurs :
MM. :
· Inspecteur Chargé des Services, ETOUGUET NZUEH Gislain
· Inspecteur Chargé du Contrôle des Emissions,TONDA MABENDA Prosper
· Inspecteur Chargé de la Production, LEKOGO Jules César
SECRETARIAT GENERAL
- Chargés d’Etudes :
· Mme BIBALOU Arlette Patricia, Journaliste Principal.
· M. IVALA Mesmin, Inspecteur Principal des Télécommunications.
SERVICE INFORMATIQUE
- Chef de Service : M. AMANI Franck, Ingénieur Informaticien.
MINISTEREDE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS
CABINET DU MINISTRE
DIRECTION DES AFFAIRES JURIDIQUES
- Directeur : M. Louis Gaston MATHANGOYE, Administrateur Scolaire et Universitaire, en remplacement de M. Cyprien IBINGA.
DIRECTION DES RELATIONS PUBLIQUES ET INTERNATIONALES
SERVICE DES ORGANISMES INTERNATIONAUX
- Chef de Service : Mlle Josia Danielle MBANG.
CABINET DU MINISTRE DELEGUE, CHARGE DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE
- Directeur de Cabinet : M. MBOUMBA MBINA Roger, Maître-Assistant CAMES, cumulativement avec ses fonctions d’enseignant à l’Ecole Normale Supérieure.
- Chef de Cabinet : M. MOUSSAVOU Jean Paul, cumulativement avec ses fonctions d’enseignant.
- Secrétaire Particulière : Mme BISSIELO Annie Ginette, Ingénieur des Techniques Informatiques.
- Secrétaire de Cabinet : Mme YAYA Céline Elisabeth, Assistante de Direction.
- Secrétaire Particulier du Directeur de Cabinet : M. EDZANG MINTSA Jean Noël, Assistant de Direction.
- Chauffeur Particulier : M. MAYOMBO Clément.
- Agents de Sécurité : MM. :
· MOUKETOU TCHINGA Benjamin, Maréchal de Logis ;
· KOUMBANGA MOUDJIEGOU, Maréchal de Logis.
- Chargés d’études : MM. :
· NZOGHE Patrick, cumulativement avec ses fonctions d’enseignant ;
· ELIWANTCHONI Serge, cumulativement avec ses fonctions d’enseignant ;
· LIYOGHO Antoine, cumulativement avec ses fonctions d’enseignant ;
· Mme LEKOUMA BOUYOMEKA Nadège, Juriste.
- Agent de Protocole : Mme ARONDO Ginette, précédemment en service à la Direction Centrale du Personnel du Ministère des Affaires Etrangères.
- Attaché de Presse : Mme NKENE EDO Marie Christine.
- Chargés de mission : MM. :
· NGOUA Michel Claude ;
· MAYOMBO Jean Félix ;
· KASSA Aimé ;
· Mme BISSIELO MOUKOUMA.
INSPECTION GENERALE DES SERVICES
- Chef d’Inspection du Pré-Primaire : Mme Antoinette NZIMBOU ép. BOULELE, Inspecteur Pédagogique du Pré-Primaire, en remplacement de Mme Colette AZIZET, appelée à d’autres fonctions.
DIRECTION D’ACADEMIE PROVINCIALE DU WOLEU-NTEM
Directeur d’Académie Adjoint : Mme Blandine MINTO’O ép. TOUNG, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. Emmanuel NDONG OBAME, décédé.
DIRECTION GENERALE DES ŒUVRES SCOLAIRES ET UNIVERSITAIRES
- Directeur Général : M. Louis Elvis ENGOZOGO, précédemment Directeur Général Adjoint, en remplacement de Mr Jean Marie ONDEMBA NZINGA.
- Directeur Général Adjoint : M. Jacques Pierre AYORI, Administrateur des Services Economiques et Financiers, précédemment Conseiller du Commissaire Général du CENAREST.
DIRECTION GENERALE DE L’ECOLE NORMALE DES INSTITUTEURS DE FRANCEVILLE
- Directeur Général : M. Grégoire NDOLLY, en remplacement de Mr Georges SEKY, décédé.
DIRECTION DES ETUDES
- Directeur : M. Anicet NDJOBANI, Inspecteur Pédagogique du Premier Degré, confirmé.
DIRECTEUR DE LA RECHERCHE ET DE LA FORMATION INITIALE
- Directeur : M. Patrice INGUIMBA, Inspecteur Pédagogique du Premier Degré, précédemment Chef de Circonscription Scolaire du Haut-Ogooué Sud.
DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT SCOLAIRE ET NORMAL
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT PRE-PRIMAIRE
SERVICE D’AIDE PSYCHOPEDAGOGIQUE
- Chef de Service : Mme Paule Annick BAYEMBETSI MBOUMBA, Attachée d’Administration Générale.
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT NORMAL
SERVICE DE LA FORMATION INITIALE ET CONTINUE DU SECONDAIRE
- Chef de Service : Mme Josette MPIGA, Professeur Adjoint du Secondaire, en remplacement de Mme Honorine MANOMBA.
DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
DIRECTION DE L’ORIENTATION ET DES BOURSES
SERVICE DES STATISTIQUES
- Chef de Service : M. Mathieu ASSOUME ELLA, en remplacement de M. Jean Richard OBAME NDONG.
DIRECTION GENERALE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE
- Directeur Général : M. Jean-Fidèle KOUMBA, Confirmé.
DIRECTION DE L’ORIENTATION ET DE LA VIE SCOLAIRE
- Chef de service de l’orientation : M. Jean Aubin BOUKANDJA.
- Chef de service de la vie scolaire : M. Sylvain TOUNGA.
- Chef de service de la carte scolaire : M. Jean Claude BOUSSOUGOU.
- Chef de service des Relations avec les opérateurs économiques : M. Jean Aimé BOUASSA.
DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET PROFESSIONNEL
- Directeur Général : M. Jean Blaise ALLOGO, Confirmé.
- Chargés d’études : MM.
· KOUMBA Jacques, précédemment Chef de Service des Etudes à la DGETP ;
· BELO FALILOU, professeur d’enseignement du second degré technique ;
· OBAME ONDO Emmanuel, précédemment en service à la DGPIE.
DIRECTION DES ETUDES, DE LA PROGRAMMATION ET DES STATISTIQUES
- Directeur : M. ONDO EKOUMA Sosthène, confirmé.
- Chef de Service des Etudes : M. OBIANG EDZANG Désiré, professeur du second degré technique, en remplacement de KOUMBA Jacques appelé à d’autres fonctions.
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE
- Directeur : M. NZAMBA GUIGUILI Joseph, confirmé.
- Chef de Service des Etablissements d’Enseignement Privé : Mme MOUKADI BOUANGA Laure Joseph, professeur du second degré technique, en remplacement de TOLE Alain.
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL
- Directeur : M. MOMBO sylvestre, confirmé.
DIRECTION DE L’ORIENTATION ET DE LA VIE SCOLAIRE
- Directeur : Mme Huguette MAKANGA IWENGA, confirmée.
EQUIPES DIRIGEANTES DES ETABLISSEMENTS SECONDAIRES PUBLICS
PROVINCE DE L’ESTUAIRE
LYCEE PUBLIC d’ANGONDJE
- Proviseur : M. TOUNG Pamphile, précédemment en poste au Lycée DJOUE DABANY.
- Censeur I Pédagogique : Mme MOUSSAVOU Béatrice ép. KOUMBA, enseignante du secondaire.
- Censeur Vie Scolaire I : M. NZAMBA MOMBO Euloge, enseignant du secondaire.
- Intendant : Mme MENGUE ALLOGHO Sidonie, précédemment en poste au lycée Jean Baptiste OBIANG ETOUGHE.
- Surveillant Général : M. ELLA NKA Achille Prosper.
- Surveillant Général Adjoint : Mme ADA NDZINGUI Immaculata.
LYCEE d’Application Nelson MANDELA
- Censeur I Pédagogique : M. NKOMA Nicaise, précédemment en poste au Lycée National Léon MBA, en remplacement de Mme MINTO’O Blandine ép. TOUNG.
- Surveillant Général : Mme ANGUE NDONG Yvonne.
- Surveillant Général Adjoint : M. EKOME Zéphirin.
- Surveillant Général Adjoint : Mme OVONO ONDO Angèle.
LYCEE Jean Baptiste OBIANG ETOUGHE de Sibang
- Intendant : Mme N’NO NGUEMA Cynthia, précédemment en poste à la DCAF, en remplacement de Mme MENGUE ALLOGHO Sidonie.
C.E.S Léon MBA
- Surveillant Général Adjoint : Mme OYENG ELLA Charlotte.
- Surveillant Général Adjoint : M. NSEKU Jocelyn.
- Intendant : M. Vincent EYAMAM, Attaché d’Administration Générale précédemment Surveillant Général au CES de Mikolongo.
C.E.S de MIKOLONGO
- Principal : M. BOUBALA Raymond, précédemment Principal au CES Albert Martin SAMBAT de Mouila, en remplacement de M. MATOLA Roger admis en stage.
- Surveillant Général : M. IWANGOU BOUASSA Alain, en remplacement de M. EYAMAM Vincent.
- Intendant : M. Camille ALILA, Attaché d’Administration Scolaire et Universitaire.
C.E.S Ange MBA
- Surveillant Général : Mme BILOGUE BI ZONG Agnès.
- Surveillant Général Adjoint : M. ZOLO MBEGA Jean Davy.
C.E.S BA OUMAR
- Surveillant Général Adjoint : M. OTSAGHA NDONG Michel.
- Surveillant Général Adjoint : Mme NYANGONE Irène.
PROVINCE DU HAUT-OGOOUE
LYCEE Henri SYLVOZ de Moanda
- Proviseur : M. Jean Claude GERME, en remplacement de M. OBERMAYER Philippe.
LYCEE Luc OKENKALI d’Okondja
- Proviseur : M. OKOUMA Hugues, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. LIYOUNGOU LIPOYE Armand, Enseignant du secondaire.
- Censeur II Pédagogique : M. ANTCHOUO Rigobert, Confirmé.
- Censeur Vie Scolaire I : M. SATSOKA Wilfried, confirmé.
- Censeur Vie Scolaire II : M. MVE BIBANG Jean Brunel, Enseignant du secondaire, en remplacement de M. IPENGOUANGOYE Félicien.
PROVINCE DU MOYEN OGOOUE
LYCEE Charles MEFANE de Lambaréné
- Proviseur : M. MOUKETOU Yves Landry, précédemment censeur au Lycée Nazaire BOULINGUI, en remplacement de MESSOLE ME MBA, remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
PROVINCE DE LA NGOUNIE
CES Albert Martin SAMBAT de Mouila
- Principal : M. MEYER BIYOGHO Vincent de Paul, en remplacement de M. BOUBALA Raymond.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. MANFOUMBI Jean Aimé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : Mme SIMANGOYE Gisèle épse MABIKA, enseignante du Secondaire.
PROVINCE de la NYANGA
LYCEE Général Nazaire BOULINGUI
- Censeur II Pédagogique : M. NGUEBA NGUEBA Anicet, enseignant du Secondaire, en remplacement de MOUKETOU Yves Landry.
- Surveillant Général : M. NGANZI-NGA Levy.
PROVINCE DE L’OGOOUE-IVINDO
LYCEE Mohammad MOAPA BEOTSA de Mékambo
- Censeur II Pédagogique : M. NZAOU Alain, Enseignant du secondaire, en remplacement de M. LENDOYE Jean Claver.
LYCEE Daniel KOSSE de Booué
- Surveillant Général Adjoint : M. MIWULA MOUKOKO Guillaume, précédemment en poste au Lycée MOAPA BEOTSA de Mékambo.
CES Hubert Daniel N’NAH EKAM KAM d’Ovan
- Intendant : M. ABOUGHE Jean François.
- Surveillant Général : M. OYONE Ange Fabrice.
- Surveillant Général Adjoint : M. EKARGHA MBA Zacharie.
PROVINCE DE L’OGOOUE- LOLO
LYCEE Jean Stanislas MIGOLET
- Proviseur : M. MBIKA Hubert, précédemment censeur au Lycée J. Arsène BOUGUENDZA de Lastourville.
LYCEE Jean Arsène BOUGUENDZA de Lastourville
- Censeur I Pédagogique : M. BUYOMBA MUKOMBO Christian Gervais, enseignant du Secondaire en remplacement de MBIKA Hubert.
PROVINCE DE L’OGOOUE-MARITIME
LYCEE Joseph AMBOUROUET AVARO de Port-Gentil
- Surveillant Général : M. ONDO EKOGHA René Elvis, en remplacement de MEYE ME ZUE Anatole remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
- Surveillant Général : M. YEMBIT Denise Bernard, en remplacement de TEDJOMBO Pauline, admise à faire valoir ses droits à la retraite.
- Surveillant Général : M. TATY Guy Roger.
- Surveillante Générale Adjointe: Mme MWEMANDJI REMBOULIANI Annie Pierrette.
- Surveillant Général Adjoint : M. KOMBE MATASSA Timothée.
LYCEE Thuriaf BANTSANTSA de Port-Gentil
- Censeur Vie Scolaire1 : M. MANGOUKA André Pierre, confirmé.
- Intendant : Mme ANGUE ENGOH Noéline, en remplacement de MESSI Arthur.
- Surveillant Général : M. MOUKOUMBI NZAMBOU Ignace, en remplacement de M. NGOMO BIBANG Jean David remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
- Surveillant Général : M. NDONG MEZUI Médard, en remplacement de M. AKENDENGUE OSSAVOU Edouard, remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
- Surveillant Général Adjoint : M. BOUELA Augustin.
CES BAC AVIATION de Port-Gentil
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. EDZANG OBIANG Arnaud, enseignant du Secondaire, en remplacement de M. TONDA Guy Fernand remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
CES Julien MBOUROU d’Omboué
- Principal : M. ABANE NKASSA Alain Paul.
- Intendant : M. DJEKI Guy Roger, en remplacement de M. ONDO MINTOGHO Gabriel, remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
CES Georges OYEMBO de Mpaga
- Intendant : M. DITONGA MICKALA Gilbert.
PROVINCE du WOLEU-NTEM
LYCEE ASSOGHO-EYEME de Minvoul
- Surveillant Général : M. NGUI MEBIAME Jean Félix.
ETABLISSEMENTS D’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET PROFESSIONNEL
Directeurs des Etudes Formation Initiale
- Lycée Technique Agathe OBENDJE : M. Gervais EBANG TOUNG, Professeur Second Degré Technique, en remplacement de M. EDZO MBA Jean Norbert, admis en stage.
Directeurs des Etudes vie scolaire
- Lycée Technique Bernard OBIANG : M. Alex Alix DOUKAGA, Professeur Adjoint Second Degré Technique, en remplacement de M. MAMBOUNDOU MOUNGNANGA Jean Fernand.
Chefs des Travaux
- Lycée Technique National Omar BONGO Cycle Professionnel : Mme MIMBUI ép. NANG NDONG, Professeur Second Degré Technique, en remplacement de M. BADJYENDA Bonjean Félicien.
- Lycée Technique Bernard OBIANG : M. Edward Alex ELLO ANGONE, Professeur Second Degré Technique.
Surveillants Généraux
- Lycée Technique National Omar BONGO : Mmes
· Rufine MASSOUNGA YEMBIT, Instituteur Principal ;
· Marcelline OYANE NZE, Instituteur Principal.
- Lycée Technique de Ntoum : M. Mathieu AKOUE ALLOGHO, Instituteur Principal, confirmé.
- Lycée Technique Fulbert BONGOTHA : Mme MAPENDA Elise, Institutrice Principale, en remplacement de Mme Kabilly Florence.
- Lycée Technique Agathe OBENDJE : M. Alban TSOKA, Instituteur Principal, en remplacement de Mme NDZOUGOU Yvonne appelée à faire valoir ses droits à la retraite.
- Lycée Technique Fougamou : M. Pascal MADILA, Instituteur Principal, en remplacement de M. Emile NZIENGUI IDIATA.
- Lycée Technique Alexandre BIANGUE : M. BOUKINDA Guy Roger, Instituteur Principal, confirmé.
DIRECTION GENERALE DE L’INSERTION ET DE LA REINSERTION SOCIALE
- Directeur Général : Mme Tonathé SOUMAHO, Confirmée.
- Directeur Général Adjoint : M. Landry NZEMBO, confirmé.
- Chargé d’études : Mme Zoé Virginie KIKI SOUHAGA ép. NDJIAMABISSA.
DIRECTION DE L’INSERTION PROFESSIONNELLE
- Directeur : M. Théophile NGOUANZALA NGOUBILY, en remplacement de Mme Solange JAMES.
- Directeur Adjoint : Mme Pétronille MOUSSAVOU, Confirmée.
- Chef de Service Accueil et Ecoute : Mme Adélaïde MEZENE.
- Chef de Service Bilans et Compétences : M. Dorcas MBAZOGHO NZENG.
- Chef de Service de l’Organisation, du Placement et du Suivi : Mme Lolita NZENG.
DIRECTION DE LA REINSERTION
- Directeur : M. Francis MBOULOU BEYEME, Confirmé.
- Directeur Adjoint : Mme Clémence NEMBA OUGNOUNZA ép. MOUBAGOU, en remplacement de Mme Marie Olga MAFOUMBI, appelée à d’autres fonctions.
- Chef de Service de la Programmation des Formations et du Perfectionnement : M. Jean Baptiste TOUNG SIMA, Confirmé.
- Chef de Service des Centres de Ressources et de la Documentation : Mme Pierrette MATSANGA, Confirmée.
- Chef de Service d’Accompagnement à l’Auto-Emploi et à l’Entrepreneuriat : Mme Isabelle MOUTSINGA.
DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES OPERATEURS ECONOMIQUES ET LES PARTENAIRES AU DEVELOPPEMENT
- Directeur : M. René MEZUI, Confirmé.
- Directeur Adjoint : Mme Arielle Aurore AMBENGAT, Confirmée.
- Chef de Service Développement des Partenariats : Mme Yolande PENDI.
- Chef de Service de Développement des Méthodes de Formation : M. Martin NGUEMA ELLA.
- Chef de Service des Enquêtes et de l’Evaluation : M. Lalote MBADINGA.
DIRECTION D’APPUI A L’INFORMATION ET A L’ORIENTATION
- Directeur : M. Yvon Désiré LEKOUMA, en remplacement de Mme Zoé Virginie KIKI SOUHAGHA ép. NDJIAMABISSA appelée à d’autres fonctions.
- Directeur Adjoint : M. Amédée MBOUMBA MACKAYA.
- Chef de Service de l’Information et de l’Orientation Professionnelle : Mme Odette PIGHA.
- Chef de Service des Programmes d’information et d’Orientation et des Publics cibles : M. Ange NGOUERANGA.
- Chef de Service de la Production des Supports des Informations : M. Justin EYAGA NTERE.
DIRECTION DE L’INFORMATIQUE
- Directeur : M. Stéphane MANGOUALA, Professeur d’Automatique et Informatique Industrielle, cumulativement avec ses fonctions d’enseignant au Lycée Technique National Omar Bongo.
DIRECTION DE LA DOCUMENTATION, DES PUBLICATIONS ET DES ARCHIVES
- Directeur : M. Flavien MENDOME MBA, Conservateur, précédemment Chef de service
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CENTRE DE FORMATION ET DE PERFECTIONNEMENT PROFESSIONNEL (CFPP)
CFPP Basile ONDIMBA
- Directeur : M. Emile MOUGAMBA MBOUMBA, Professeur du Second degré de l’Enseignement Technique, confirmé.
- Chef de travaux du tertiaire : Mme Marie Claire RELOT née DIOKOUANDI, Professeur Adjoint du Second degré de l’Enseignement Technique, en remplacement de Mme ANGUEZOMO Pélagie, décédée.
- Chef de travaux Formation Continue : M. François NGOULOU, Professeur Adjoint du Second degré de l’Enseignement Technique, en remplacement de Mme IKAPI Ambroisine.
- Chef de travaux du secondaire : M. Clautaire NKOMA OMBANGO, Confirmé.
- Gestionnaire Comptable : M. Alexandre NZIENGUI, Professeur Adjoint du Second degré Technique, en remplacement de M. Joseph BOUASSA DIKOUNDOU.
- Surveillant Général : M. François NYOUNDOU MOUSSOUNDA, Confirmé.
- Surveillant Général Adjoint 1 : M. Pierre BIYANG BI MBA, Confirmé.
- Surveillant Général Adjoint 2 : M. Michel NGUEMA MENIE, Confirmé.
- Surveillant Général Adjoint 3 : M. Gaston Florian OKENZA.
CFPP NKEMBO
- Directeur : M. Dieudonné LETZOUMOU, Confirmé.
- Chef de travaux Formation initiale : M. Thierry BOUSSIN, précédemment Chef de travaux Formation Continue au CIADFOR, en remplacement de M. Bruno MATSANGA IDAGA.
- Chef de travaux Formation Continue : Mme Ambroisine MOUTSINGA Epouse IKAPI MOULOUNGUI, précédemment Chef de travaux Formation Continue au CFPP Basile ONDIMBA, en remplacement de M. François NGOULOU.
- Gestionnaire Comptable : M. Tecle MOUSSIROU, précédemment Chef de service comptabilité à la DFROE, en remplacement de Mme Mélanie NZANG MEYE, mise à la disposition de la DGANFPP.
- Surveillant Général : M. Abraham EVOUNA, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint 1 : M. Ferdinand ONDO NGUEMA, Confirmé.
- Surveillant Général Adjoint 2 : M. Simon NDJILA, Confirmé.
CFPP CIADFOR
- Directeur : M. Jean Benoit NZIENGUI, Professeur du Second degré Technique, Confirmé.
- Chef de travaux Formation Initiale : M. Noël ALLOGO OBIANG.
- Chef de travaux Formation Continue : M. Rigobert KOUMBA MBAKI.
- Gestionnaire Comptable : M. Joseph BOUASSA DIKOUNDOU, Administrateur Scolaire et Universitaire, précédemment Gestionnaire Comptable au CFPP Basile ONDIMBA, en remplacement de Mme TCHOUKAKA, admise en stage.
- Surveillant Général : M. Pierre MOUSSAVOU, Confirmé.
CFPP FRANCEVILLE
- Directeur : M. Armand ESSONO ABA’A, Professeur du Second degré Technique, précédemment Directeur CFPP Makokou, en remplacement de M. Gaston EBOZOKOU, appelé à d’autres fonctions.
- Chef de travaux du Secondaire : M. Camille LOUBANGOYE, Confirmé.
- Chef de travaux du Tertiaire : M. Alix Loix DOUKAGA, précédemment Chef de travaux Formation Continue au CFPP Koula-Moutou.
- Surveillant Général : M. Rodrigue LEDOUENI, Confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. Jean Steeve KAMBANGOYE, Confirmé.
CFPP TCHIBANGA
- Directeur : M. Mathurin LEHOUMBOU, précédemment Directeur du CFPP Oyem, en remplacement de M. Pascal BIVEGHE BI ONDO.
- Chef de travaux Formation Continue : Mme Judith OULABOU, Confirmée.
- Chef de travaux du Secondaire : M. Claude François OWONO NDONG, Professeur Adjoint du Second degré Technique, en remplacement de M. Joël Patrick DINZAMBOU, admis en stage.
- Gestionnaire Comptable : M. Yves Constant MOULOUNGUI, Confirmé.
- Surveillant Général : M. Guy Lié BOUKA BOUKA, Confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. Ange MIKALA, Confirmé.
CFPP MAKOKOU
- Directeur : M. Jean Christian OGANDAGA, précédemment Directeur du CFPP Port-Gentil, en remplacement de M. Armand ESSONO ABA’A.
- Chef de travaux du Secondaire : M. Sylvain NSI NKA, Confirmé.
- Chef de travaux Formation Continue : M. Faustin MOUSSOUNDA, précédemment Chef de travaux Formation Continue au CFPP Port-Gentil, en remplacement de M. Pierre Marie MOUSSAVOU.
- Gestionnaire Comptable : M. Florent AYO ELOALOA, Confirmé.
- Surveillant Général : M. David NDONG ASSOUGHE, Confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. Alexandre NGOUA MBELA, Confirmé.
CFPP PORT GENTIL
- Directeur : M. Pascal BIVEGHE BI ONDO, Professeur du Second degré Technique, précédemment Directeur CFPP Tchibanga, en remplacement de M. Jean Christian OGANDAGA.
- Chef de travaux du Secondaire : M. Jean Louis MOUNGUENGUI.
- Chef de travaux du Tertiaire : Mme Julienne NTSAME ONDO, Confirmée.
- Chef de travaux Formation Continue : M. Pierre Marie MOUSSAVOU, Administrateur Economique et Financier, précédemment Chef de travaux Formation Continue Makokou, en remplacement de M. Faustin MOUSSOUNDA.
- Gestionnaire Comptable : M. Maximilien MANFOUMBI.
- Surveillant Général : M. Jean Louis MOUNGUENGUI MAPANGOU.
- Surveillant Général Adjoint : M. NDINGA RANOKE.
CFPP KOULAMOUTOU
- Directeur : M. Jean Claude MBOUISSY, Professeur Adjoint du Second degré Technique, Confirmé.
- Chef de travaux Formation Initiale : M. Robert NIAMA, Professeur du Second degré Technique, en remplacement de M. Pierre Jonas MONGUI.
- Chef de travaux Formation Continue : M. Célestin KAH, précédemment Chef de travaux Formation Continue au CFPP Franceville, en remplacement de M. Claude NZAHOU.
- Gestionnaire Comptable : M. Jean François MOULOLOU, Confirmé.
- Surveillant Général : M. Christian IGNAMBI MAYELA, Confirmé.
CFPP OYEM
- Directeur : M. Bruno MATSANGA IDAGA, précédemment Chef de travaux Formation Initiale au CFPP Nkembo, en remplacement de M. Mathurin LEHOUMBOU.
- Chef de travaux du Secondaire: M. Pierre Jonas MONGUI, Ingénieur des Techniques, en remplacement de M. IBAMBA SAKO, décédé.
- Chef de travaux du Tertiaire: M. Serge KOUMBA MOUIRI.
- Chef de travaux Formation Continue : M. Léon MBA OBAME, Professeur du Second degré Technique, Confirmé.
- Gestionnaire Comptable : M. Alphonse IPENKO, Confirmé.
- Surveillant Général : M. David MBA ONDO, Confirmé.
INSTITUT DES TECHNOLOGIES D’OWENDO (I.T.O)
DIRECTION GENRALE
- Directeur Général : Dr Christian Didier MOUITY.
- Secrétaire Général : M. Paul-Florent ONGONE-EBE, Inspecteur Pédagogique Principal du Second degré Général.
- Directeur des Etudes des Filières Industrielles : M. NZIGOU MOUSSODOU Jean Joseph, Inspecteur Pédagogique du Second Degré Technique.
- Directeur des Etudes des Filières du Tertiaire : Mme Brigitte DEMOUSSA, Inspecteur Pédagogique du Second Degré Technique.
- Directeur Technique Chargé des Relations Extérieures et de la Coopération : M. Yves Christian REMBANGOUET, Inspecteur Pédagogique Principal du Second Degré Technique.
- Directeur Scientifique : M. Frédéric OTHA MVOULA, Inspecteur Pédagogique du Second Degré Technique.
- Directeur de la Formation Continue : M. Stéphane NSIE.
DEPARTEMENTS
FILIERE TERTIAIRE : CHEFS DE DEPARTEMENT
- Département Assistant Manager : M. Armand LIELE.
- Département Assurance-Banque : Mme Nadine NTSAME ASSAME.
- Département Gestion des Ressources Humaines : M. Alain ITSOUKIGA.
- Département Comptabilité-Gestion : Mme Huguette TSOGOU.
- Département Informatique de Gestion : M. Yvan Lionel MBONGO.
- Département Transport-Logistique : M. Claude MANGARAH.
FILIERE INDUSTRIELLE : CHEFS DE DEPARTEMENT
- Département Bâtiment : M. Jean NDONG ESSONO.
- Département Maintenance Industrielle : M. Gaëtan NDAGA.
- Département Electrotechnique : M. David MBOULA.
- Département Informatique et Réseau : M. Ulrich NDZILA.
- Département Système Constructif Bois et Habitat : M. Paul MOUSSAVOU MOMBO.
ENSEIGNEMENT GENERAL
- Département Enseignement Général : M. Jean Pierre ONDO.
ENSEIGNEMENT DE L’EGLISE DE L’ALLIANCE CHRETIENNE ET MISSIONNAIRE DU GABON
- Inspecteur des Services au Ministère de l’Education Nationale : M. NDONGO NDOH Michel, confirmé.
DIRECTION NATIONALE DE L’ENSEIGNEMENT
- Directeur Général : Mme ONDO EVA Henriette née MENGUE, Inspecteur Pédagogique du premier degré, confirmé.
- Directeur Général adjoint : M. DJEMBI Albert, Professeur du second degré général, confirmé.
Cabinet du Directeur Général :
- Chef de service chargé des écoles de formation (ENIAC - ENS – EPCA – ENA) : M. MOUCKETOU YABA Dieudonné, conseiller pédagogique du premier degré.
- Chef de service chargé des relations extérieures, secrétaire administratif : M. MABIKA MOUELI Raymond, en remplacement de Monsieur MBADINGA BOUKAS Jean Marie appelé à d’autres fonctions.
Direction de l’Enseignement du 1er Degré
- Chef de service formation, animation : Mme NZIGOU née MBOUMBA Martine, en remplacement de M. MOUCKETOU Dieudonné, appelé à d’autres fonctions.
- Chef de service pré primaire : M. IBIATSI Wilfrid, Conseiller Pédagogique du pré primaire.
Direction des Ressources Humaines
- Chef de service archives et documentation : M. BOUSSAMBA DIDOUNGOU Roger, Professeur adjoint d’école, en remplacement de M. MATEMBA Marcel appelé à d’autres fonctions.
- Chef de service de gestion des ressources humaines administratives et d’encadrement : Mme KIENE Géneviève, professeur adjoint d’école.
- Chef de service de gestion des ressources humaines du 1er et du 2nd degré : M. DIBANGAGA Anges, Professeur adjoint d’école, confirmé.
Direction des Affaires Financières et du Patrimoine
- Chef de service chargé du patrimoine : M. NDONG BEKALE Séverin, précédemment agent à la Direction des Ressources Humaines, en remplacement de M. DIYOMBI Charles, admis à faire valoir ses droits à la retraite.
SERVICES DECONCENTRES
Ecole Normale des Instituteurs (ENIAC)
- Secrétaire administratif, cumulativement avec ses fonctions de formateur : M. MATEMBA Marcel, Conseiller Pédagogique du premier degré, en remplacement de M. MOUKETA Isaac, admis en stage.
- Intendant : Mme MBIRA Amélie, en remplacement de M. BOUTAMBA Jean Joël, admis en stage.
SECTEURS SCOLAIRES
Secteur scolaire du Haut –Ogooué
- Intendant : M. LEBOUMBA Jean Paul, en remplacement de Mlle DOUMA Félicité.
Secteur scolaire de l’Ogooué-Lolo
- Intendant : Mlle MONDAU Nellie Nadia, Institutrice principale.
Secteur scolaire Ngounié –Centre
- Intendant : Mlle TSAMBA IDIANA Fleure, Institutrice principale.
Secteur scolaire Nyanga
- Intendant : M. MABAMBA Jean Jacques, Instituteur principal, en remplacement de Monsieur MAGANGA MIHINDOU Charles.
ETABLISSEMENTS DU SECOND DEGRE
Lycée Alliance Chrétienne Jérémie BAKOUKOU
- Censeur 1 : Mme HILAH AYELE Claire Lise Laura, professeur de lycées, confirmée.
- Censeur 2 : M. BOULINGUI Félix, Professeur de Lycées.
- Censeur de vie scolaire : M. BAYIHA Georges André, professeur de Lycées.
- Intendant : M. NOUNGUI Séraphin, en remplacement de Madame MBIRA Amélie, appelée à d’autres fonctions.
- Surveillant général du 1er cycle : Mme PAMBA MOUBOLO Virginie, Institutrice Principale.
- Surveillant général du second cycle : M. OBAME MBA Bruno, Instituteur principal, en remplacement de M. BOUSSAGHA Jacques appelé à d’autres fonctions.
Surveillants :
1er cycle :
- M. MINTSA Joseph, Instituteur principal, en remplacement de Mme IPOLOU Marie Antoinette appelée à d’autres fonctions.
- Mme KOUMBA MOUKAGNI Jeanne, épouse MBENG, Institutrice principale.
2nd cycle :
- M. TOUKOU Mesmin, Instituteur Principal.
Lycée Alliance Chrétienne Rose MASSOMBO de Moanda
- Surveillante Générale du 1er cycle : Mme Fernando Josépha, Institutrice Adjointe, en remplacement de M. TCHINGA Jean Lydie admis en stage.
- Surveillant du 2nd cycle : M. NZAMBA BOUASSA, Instituteur Principal, en remplacement de NDOMBA Patrice appelé à d’autres fonctions.
Surveillants Adjoints :
1er cycle :
- Mme MAMBOMA Françoise, Institutrice adjointe.
2nd cycle :
- M. MOUGONGA Raymond, Instituteur adjoint.
Lycée Alliance Chrétienne David MIKOMBO de Koula-Moutou
- Censeur pédagogique 2 : M. OBAME Capistrand, en remplacement de monsieur EYI ELLA Charles admis à l’Ecole Normale Supérieure.
- Secrétaire administratif : M. KOUELI Anges Landry, en remplacement de monsieur DIAW admis à faire valoir ses droits à la retraite.
- Surveillant général du 2nd cycle : M. MIKALA Anatole, Instituteur, en remplacement de M. MASSIMA Jean Félix mis à la disposition du secteur scolaire de l’Ogooué Lolo.
- Surveillante adjointe du 2nd cycle : Mme NGOUNDOU Jeannette épouse IGONDJI, Institutrice adjointe.
- Surveillant général du 1er cycle : M. MOUARAKASSA Serges Patrick, Instituteur principal, confirmé.
- Surveillant Adjoint : M. ROLAGUO IVEGA Rodrigue, Instituteur principal.
Lycée Alliance Chrétienne Paul NDOBA de Bongolo
- Surveillant général du 1er cycle : M. BISSIELO Samuel, Instituteur adjoint, en remplacement de Mme BOUGNEGNI Stéphanie appelée à d’autres fonctions.
- Surveillant du 2nd cycle : M. YAGA Dieudonné, Instituteur principal, en remplacement de M. NGADZA Norbert appelé à d’autres fonctions.
Surveillants :
1er cycle :
- Mme NIOMBA Ninette, Institutrice adjointe, confirmée ;
- M. MOUSSAVOU Amour, Instituteur adjoint, en remplacement de M. MASSALA KOUSSOU Michel mis à la disposition du secteur scolaire de la Ngounié Sud.
2nd cycle :
- M. MOUKOUMBI Philippe, Instituteur ;
- Mme MOUBONGO Emilienne, Institutrice adjointe.
Collège Alliance Chrétienne Marc DIVINGOU de Mouila
- Principal : M. BOUMBA Herman, professeur de Lycées.
- Censeur : M. NZAMBA MOUNZEO Félicien, Professeur adjoint du second degré général.
- Intendant : M. ITSITSA MBINA Jean Pierre, Adjoint d’administration scolaire et universitaire.
- Surveillant général : M. PANGOU Moïse, Instituteur Principal.
- Surveillant général adjoint : M. MOUGOUSSOU Victor, Instituteur principal.
- Surveillante : Mme NGOUBOU Marianne, Institutrice Adjointe.
MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
CAISSE NATIONALE D’ASSURANCE MALADIE ET DE GARANTIE SOCIALE (CNAMGS)
- Directeur Général : Professeur BOUSSOU Michel, confirmé.
- Directeur Général Adjoint : M. OPAGA OKOUMOU Guillaume.
- Secrétaire Général : Mme CHAMBRIER VOUA Christine Audrey, confirmée.
- Conseiller Juridique : M. MBENG MENDOU Jean Pierre, confirmé.
- Conseiller Administratif : M. MFOULA NGANGUY Aimé.
- Conseiller Techniques :
MM. :
· ONGOUORI Jacob
· EKOGA Siméon
· Mme LEKOUTA Virginie
- Directeur des Prestations Sanitaires et Sociales : M. MOUSSAVOU Jean Pierre, confirmé.
- Directeur du Contrôle Médical et de la Lutte contre la Fraude : Docteur NDONG YOUSSOUF Georgette, confirmée.
- Directeur du Système d’Informations : M. NZE NDONG Paulin Armand, confirmé.
- Directeur du Recouvrement et du Contentieux : M. BADINGA MOANDA René, confirmé.
- Directeur des Affaires Administratives : M. MAKA TONGO Emérick Cédric, confirmé.
- Directeur des Ressources Humaines : M. SIKIANI OKOGO.
- Médecin Conseil : Professeur Agrégé : M. GAHOUMA Daniel, confirmé.
SERVICES FINANCIERS
- Agent Comptable : M. OWONO MESSIE François, confirmé.
- Contrôleur Financier : Mme MAROGA Annie.
- Fondé de Pouvoir : M. KIKI Antoine, confirmé.
MINISTERE DU PETROLE, DE L’ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES
CABINET DU MINISTRE
- Conseiller chargé de la Formation : M. AMBASSA, Camille, Docteur en langue Espagnole, en remplacement du Commandant Sandra AKOURE, remis à la disposition de son administration d’origine.
- Conseiller chargé des Questions Administratives : Mme RAVORO Bernadette, en remplacement de M. Jean Mathieu ANGOUE ONDO.
FIN
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20/09/2012
Gabon: L'OPPOSITION MOUTOUKI RECRUTE DES CASSEURS POUR EMBRASSER LIBREVILLE
STOP A LA VIOLENCE !
Nous apprenons avec tristesse , colère et indignation qu’une nouvelle fois les manipulateurs du gang de l’ex UN ont donné des consignes pour embrigader nos jeunes compatriotes et les envoyer casser à la réunion de l’opposition moutouki qui aura lieu à Rio ce samedi 22 septembre.
« On nous a promis 25000 cfa chacun après le boulot. Nous avons été récrutés depuis mardi » avoue un des casseurs .
Une nouvelle fois, le but des instigateurs de ces violences n’est non pas d’exprimer des idées mais de perturber le fonctionnement de notre démocratie et d’empiéter sur notre liberté d’expression.
A défaut de séduire les Gabonais par un programme politique valable, ils cherchent qu’à attirer la lumière des médias sur eux par ces sombres agissements, au mépris du respect des biens d’autrui, et bien plus grave de la vie des autres.
Pour préserver notre liberté d’expression, pour protéger notre droit à manifester, pour conserver la paix sociale de notre pays : STOP A LA VIOLENCE.
Soyez vigilants samedi à Rio et faites passer le message pour garantir notre liberté d’expression.
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19/09/2012
Gabon: Ali Bongo Ondimba n’a pas besoin de forcer, les nouveaux venus adhèrent massivement à ses objectifs
Depuis le discours historique du 12 septembre 2012 , le Président Ali Bongo Ondimba attire dans son escarcerlle des milliers de nouveaux sympathisants venant de plusieurs coins du pays.
C’est un exercice habituel depuis fin 2009 parce qu’il y a des gabonais qui le réclament, qui ont soif de s’associer à un grand homme d'Etat qui a une vision ferme du changement, qui fait avancer le pays, qui inspire l’espoir.
Ils en ont marre avec le verbiage de ses opposants du ventre. Les opposants n’en croient pas à leurs oreilles où à leurs yeux et sont complètement dépassés par le nombre de citoyens de plus en plus acquis aux valeurs démocratiques et patriotiques que prônent le Président Ali Bongo Ondimba .
Comme toujours, ils commencent d’ailleurs à nous tracasser par des polémiques aussi inutiles qu’absurdes, comme quoi certains de ces nouveaux membres ont adhéré par force, un mensonge qui n’étonne personne, surtout de la part des politiciens qui se sont engagés à lutter contre Ali Bongo Ondimba par tous les moyens, même les plus malhonnêtes.
Les nouveaux venus persistent et signent : « J’ai décidé de le suivre parce qu’il construit. Je suis âgé de 50 ans. J’ai suivi ce qui se faisait à travers tous les gouvernements qui se sont succédé depuis une trantaine d'années. Mais Ali Bongo Ondimba s’est largement distingué . Je n’avais jamais vu un si grand nombre d’infrastructures construites dans si peu d’années », a déclaré un nouveau membre , qui est d’ailleurs un militant d'André Mba Obame.
Quand les opposants commettent des gaffes, ils doivent assumer leurs conséquences. Les Gabonais ne sont pas dupes et ne peuvent pas suivre des politiciens sans vision. Ils veulent des initiatives et des mesures salutaires qui leur permettent de vivre décemment.
Depuis les dernières élections de 2009, des stades et hopitaux modernes ont été construites de même que de nombreuses écoles, de nouvelles routes. Tout le pays est devenu un vaste chantier.
Des individus, des ménages, des entreprises ont réalisé des œuvres surprenantes dans toutes les provinces, particulièrement dans le cadre de la Can 2012. La population est de plus en plus habituée au concret et non aux déclarations fallacieuses des opposants.
Le Président Ali Bongo Ondimba n’a donc pas besoin de forcer des gens à adhérer à ses objectifs. Les fruits de son projet de société sont visibles. Même la communauté internationale les reconnait.
Les opposants ont beau diabolisé le Président Ali Bongo Ondimba , ils ne parviendront jamais à aveugler la population qui savourent déjà les dividendes de l'émergence dont il est le principal artisan et garant.
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Gabon : Communiqué du Collectif des Jeunes Gabonais de France
Considérant que la Souveraineté d’un Etat appartient au Peuple qui l’exerce par la voie de ses Représentants ;
Considérant que la République Gabonaise est Une et Indivisible avec à sa tête un Président de la République élu et garant des Institutions ;
Considérant que le monopole du débat politique national ne doit être ni confisqué, ni circonscrit aux seuls bon vouloir d’entités ou hommes politiques ;
Rappelant que la Jeunesse Gabonaise, en sa qualité d’actrice principale de l’interposition, doit jouer pleinement son rôle conformément aux résolutions prises lors de Forum National de la Jeunesse des 9 et 10 Septembre 2011, notamment s'agissant de toutes les questions d’intérêt national ;
Considérant que la jeunesse gabonaise ne doit plus être la spectatrice impuissante et désabusée de son propre Destin, qu’elle veut désormais le prendre en main et ne plus attendre que le ciel lui donne du pain ;
Convaincus que la diaspora gabonaise de France, première diaspora des Gabonais de l’ étranger, constitue un maillon de la chaîne en sa qualité de force de proposition et de levier de développement de notre pays ;
Gardant à l’esprit la place de choix accordée par le Président de la République Chef de l’Etat Ali BONGO ONDIMBA à la Jeunesse dans son projet de développement , ainsi que les engagements fermes souscrits à cet effet ;
Tirant les leçons de la présente Table Ronde Républicaine et prenant en compte l’ensemble des recommandations formulées par l’ensemble des participants;
Nous, Jeunes Gabonais de France issus de la communauté gabonaise de France, première diaspora gabonaise de l’étranger :
Réaffirmons notre attachement au respect des valeurs, lois et institutions qui garantissent les fondements de la République Gabonaise ;
Réitérons notre soutien indéfectible à son Excellence Monsieur le Président de la République Chef de l’Etat Ali BONGO ONDIMBA pour son action incontestée aux yeux du peuple gabonais et pour sa détermination à révolutionner le Gabon et à le débarrasser des vieux démons qui ont retardé son développement ;
Nous réapproprions le Discours de Monsieur le Président de la République adressé le 12 Septembre dernier à la Représentation Nationale réunie en Congrès ;
Condamnons avec la plus grande fermeté, les violences volontaires commanditées par les responsables de l’ex Union Nationale ayant occasionné la destruction de plusieurs biens publics et privés;
Disons NON à l’instrumentalisation et la crétinisation des Populations Gabonaises par la Classe Politique ;
NON à la monopolisation du débat politique National par les seuls acteurs politiques ;
NON à l’usurpation de la voix du Peuple Gabonais Souverain par une classe politique dont la crédibilité et la probité morale, sont plus que jamais irrémédiablement compromises;
NON aux incitations à la haine ethnique, tribale et xénophobe ;
NON à l’idée saugrenue et délirante de conférence nationale dite souveraine décrétée au mépris du peuple gabonais, seul et unique dépositaire de la Souveraineté au Gabon;
Nous disons en revanche oui à la poursuite de la politique de développement en cours afin qu’aux yeux du monde et des nations amies, le Gabon immortel, reste digne d’Envie.
Nous invitons l’ensemble des fils et filles du Gabon, à oublier les querelles, afin qu’ensemble nous bâtissons, l’édifice nouveau, auquel tous nous rêvons.
Enfin, nous, jeunes citoyens gabonais de France, pour accompagner nos vœux et nos aspirations en faveur de notre pays, annonçons la création ce jour en France, d’un mouvement dénommé « Gabonais Avant Tout ».
Fait à Paris le Samedi 15 Septembre 2012
Le Collectif « Gabonais Avant Tout »
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17/09/2012
Gabon: Bilan semestriel 2012 sur le réseau d’infrastructures routières
La mise en place d’un réseau d’infrastructures de transport est l’une des priorités du Gabon. Environ 70 % des investissements dans le secteur du transport sont dédiés à cet objectif.
Le réseau routier est actuellement composé de 9 170 kilomètres de routes, dont 1000 kilomètres sont asphaltés. 3 800 kilomètres de routes vont être construits d’ici à 2016.
De 2017 à 2025, l’Etat envisage de construire à nouveau 2500 km de routes. Au total, les autorités prévoient doter le Gabon de 7300 kilomètres de routes d’ici à 2025.
Aujourd'hui, il est possible d’accéder à toutes les capitales de province par voie routière, à l'exception de la péninsule de Mandji (Port-Gentil).
Les ambitions pour le secteur des transports
Avec le projet de société du Président Ali Bongo Ondimba, « L’avenir en confiance », qui promet le désenclavement de l’ensemble du Gabon à l’horizon 2016, les transports et services alternatifs constituent un maillon économique important dans la chaîne des opérations de développement du Gabon Emergent.
1- Rénovation de la Route Nationale 1
La 1ère étape consiste à rénover la Route Nationale 1 (RN1) sur le tronçon Libreville / Ntoum. Cette voie d’environ 70 km a été morcelée en 3 tronçons à savoir :
• PK 0 – PK5 ;
• PK 5 – PK12 ;
• PK 12 – Ntoum.
La nouvelle Route Nationale 1 (RN1) sera élargie en une 2x2 voies en milieu urbain et sera moins large en milieu semi-urbain. Elle favorisera et améliorera le transport et la connectivité entre Libreville et les villes de l’intérieur du pays.
Ce projet s'appuiera sur les travaux d'infrastructure existants. Les études de faisabilité et de conception sont achevées. Les travaux ont évolué à hauteur de 30% à ce jour. Ils prendront fin en janvier 2015.
2- L’extension et la réhabilitation du Boulevard Triomphal
La rénovation du Boulevard Triomphal est un des projets phares du réseau de Libreville : l’agrandissement de la voie principale et la construction de bâtiments de haut standing permettra un meilleur écoulement du trafic et facilitera l’accès aux immeubles administratifs.
Ce projet comprend également la rénovation de la zone Bord de Mer (une des principales artères de Libreville) et des zones avoisinantes, ainsi qu’une amélioration de la route de Glass.
La première phase comprendra la gestion du trafic et de la sécurité routière. Des voies réservées aux autobus seront mises en place avec un réseau de bus comprenant de nombreux arrêts. Les routes seront aussi améliorées et le trafic mieux géré.
3- Projet de la route de Glass
A ce jour, l’étude de la route de Glass est l’une des plus avancées. La transformation de la route de Glass fait partie du programme de réaménagement de la capitale gabonaise. Cela redistribuera le trafic routier, réduira les embouteillages et aménagera le réseau viaire sur le modèle des grandes métropoles occidentales.
À cet effet, une grande opération de destruction des constructions anarchiques qui empiétaient sur le domaine public autour de la route de Glass et dans d’autres quartiers de Libreville a été effectuée en novembre 2011.
Depuis novembre 2011, une équipe d’urbanistes de l’Agence Nationale des Grands Travaux conduit une analyse topographique, géotechnique et conceptuelle de la section sud du Bord de Mer depuis le marché d’Oloumi au quartier de Lalala ainsi que sur le plan d’aménagement de cette route qui comprendra une 2x2 voie, des trottoirs agrandis, la présence de verdures, des aires de stationnement et des abribus.
En effet, la route de Glass comprendra une ligne du futur réseau de bus de Libreville. Les appels d’offres pour la construction de la route de Glass sont actuellement en cours d’élaboration. Les travaux devraient démarrer bientôt.
Les travaux de la route de Glass sont la 1ère phase d’un aménagement urbain qui sera ensuite dupliqué dans de nombreux quartiers de la ville. Il s’agit d’un projet structurant majeur qui aura un impact décisif dans le quotidien des Librevillois.
Ailleurs dans le pays, des travaux sont également entrain d’être effectués sur les tronçons suivants :
• Route Nationale 1 Nsile-Bifoun ( 63km ), date de livraison juillet 2013 ;
• Fougamou-Mouila ( 111km ), date de livraison au 30 novembre 2013 ;
• Route Ndéndé-Lebamba ( 37km ), date de livraison avril 2013 ;
• Route Lalara-Koumameyong ( 63km ), date de livraison mai 2013;
• Fin des travaux de la route d’accès à l’Hôpital Régional de Lambaréné en juin 2013 ;
• Route Ndjolé-Medoumane ( 47km ), date de livraison décembre 2013 ;
• Route de la Sablière ( 5,5km ), date de livraison mai 2014
• Route la Leyou-Lastourville ( 37km ), date de livraison janvier 2014 ;
• Route Akiéni-Okondja ( 74km ), date de livraison décembre 2014;
• Route Ovan- Makokou ( 90km ), date de livraison septembre 2015;
• Corridor du Transgabonais Alembé-Lastourville ( 311 km ), date de livraison août 2016.
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Gabon: Le Président Ali Bongo Ondimba veut rajeunir et féminiser les exécutifs locaux.
« Je demande au gouvernement et au parlement de légiférer dans les meilleurs délais afin qu’une place plus importante soit réservée aux femmes et aux jeunes », a dit le Chef de l’Etat devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès mercredi 12 septembre.
Ali Bongo Ondimba souhaite une répartition équitable, envisagée à hauteur 30%, tant pour les 18-35 ans que pour les femmes, sur les listes de candidature aux élections locales et au sein des exécutifs locaux.
Une volonté exprimée au plus haut niveau d’impulser un souffle nouveau dans la vie politique et le pouvoir décentralisé, au plus près des attentes quotidiennes des populations.
Ainsi, la proximité efficiente remplacera, à terme, les vieilles baronnies. « N’est-il pas normal, pour un pays qui veut se développer, de faire appel à des nouvelles énergies, de donner sa chance à une nouvelle génération ? Nous devons apprendre à passer le témoin, à faire en sorte que d’autres talents émergent ».
La marche en avant
Cette idée que le Président entend rapidement voir mise en œuvre aura l’effet de rompre avec « une géopolitique, sortie de son contexte, » qui a renforcé des « roitelets » locaux - parfois appelés "doyens politiques" de la ville, voire de la province – en position de favoriser ou de bloquer les initiatives : « Aujourd’hui nous devons opérer une rupture. Rupture avec ce qui n’a pas bien fonctionné, rupture avec ces vingt dernières années de marche à reculons ».
Le Président a clairement signifié le refus des Gabonais à des palabres politiciennes stériles, des grandes messes inutiles qui ont contribué à gangréné la vie politique ces vingt dernières années : « de l’avis des observateurs tant au Gabon qu’à l’étranger, l’hyper-politisation de notre société et nos multiples incohérences ont été un frein à son développement pourtant bien engagé ».
Changer de rythme
Ali Bongo Ondimba de marteler : « nous avons passé beaucoup de temps à ne faire que de la politique, au détriment du développement économique et social de notre pays et du bien être de ses populations. Ces mêmes populations ont été transformées en spectatrices impuissantes de leur destin, alors que les hommes politiques allaient et venaient, de négociations en arrangements, souvent guidés par des appétits personnels ».
Le Président, qui a marqué son opposition à cette conception tropicale de la gestion des affaires publiques, se demande pourquoi la politique en Afrique se résume « uniquement à des grandes messes où tout le monde doit trouver son compte » ?
Même si ces anciennes méthodes ont été nécessaires pour bâtir et consolider le lien social à une époque, Ali Bongo Ondimba appelle à juste tire à tourner la page car, poursuit-il, ce type de système a malheureusement « permis la mise en place d’une gestion féodale des élites qui a eu pour conséquence de fragiliser l’Etat et paralyser, par endroit, l’action publique ».
Plus que jamais l’esprit de responsabilité doit s’imposer, engageant un pacte social régénéré au diapason des exigences d’une société en route vers l’émergence économique.
En appelant au renouvellement des élites, en fixant le tempo de l’action, en invitant la représentation nationale à prendre sa part dans la mise en œuvre de réformes, en interpellant chaque Gabonais à prendre son destin en main, le président de la République signe son appel à la rupture fondatrice.
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Gabon: Le président Ali Bongo Ondimba sur les grands chantiers en exécution dans le Gabon profond.
Le président Ali Bongo Ondimba a effectué, lundi 10 septembre 2012, une brève visite sur les grands chantiers en cours d’exécution dans les provinces du Moyen-Ogooué (centre) et de la Ngounié (sud), afin de s’enquérir de l’état d’avancement des travaux.
Le chef de l’Etat a pu ainsi se rendre compte de la qualité des travaux effectués sur les tronçons routiers déjà terminés dans les deux provinces, visiter les structures médicales à Lambaréné, chef-lieu de la province du Moyen-Ogooué, ainsi que la pépinière de palmeraies de la société OLAM, à Mouila, dans la province la Ngounié.
Après avoir visité le tronçon routier en cours d’exécution sur l’axe Mouila et Ndendé, Ali Bongo Ondimba s’est rendu sur le site de l’académie militaire de Fougamou, une nouvelle école d’officiers d’active où les travaux sont déjà réalisés à 65%.
La plupart de ces chantiers, déjà très avancés, s’exécutent dans le cadre du plan directeur national d’infrastructures visant à doter le Gabon des infrastructures nécessaires à son développement socio-économiques.
Exécutés par une entreprise espagnole qui emploie 100 ouvriers dont plus de la moitié sont des Gabonais, les travaux en cours sur le tronçon routier Mouila-Ndendé (75 km) vont coûter 70 milliards de FCFA. La route devrait être livrée en avril 2015.
Le président Ali Bongo a également visité les travaux de voirie en cours d’exécution à Ndendé, chef-lieu du département de la Dola, dans la province de la Ngounié (sud), pour un coût estimé à cinq milliards de FCFA.
Depuis 2011, les pouvoirs publics ont lancé une vaste opération visant à renforcer le réseau routier dans la province de la Ngounié, afin de connecter cette région aux autres provinces du pays, notamment l’Ogooué-Lolo et la Nyanga.
Le projet vise aussi à établir une connexion routière avec le Congo, dans le cadre de la route transafricaine (Ndendé-Mouila, Ndendé-Doussala).
Au total, 601 km de routes sont actuellement en construction ou en rénovation au Gabon pour un budget de 985 millions de dollars alors que 803 km sont en voie d’être lancés pour un budget de 1,280 milliards de dollars.
D’ici à 2016, le Gabon disposera de 3663 km de routes bitumées pouvant assurer 80% du trafic national de biens et de personnes.
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16/09/2012
Gabon: Plus de 200.000 personnes au meeting de la majorité au pouvoir
Succès total pour le Parti Démocratique Gabonais et ses alliés , puisque plus de 200.000 personnes se sont mobilisées sur la place du jardin botanique à Libreville.
Devant une foule immense, de tous âges et de tous horizons de notre capitale , les partis politiques de la majorité républicaine pour l’émergence ont rejeté samedi, au cours du meeting , l’idée d’une conférence nationale ‘’souveraine’’ réclamée par l’opposition, soutenant ainsi le chef de file de cette coalition politique, Ali Bongo Ondimba, par ailleurs chef de l’Etat.
‘’Promoteurs de l’ethnisme, du tribalisme et les incitateurs à la violence’’, a lancé le président du Rassemblement pour le Gabon (RPG), membre de cette famille politique, rejetant l’idée de la conférence nationale exigée par l’opposition.
Le prélat a affirmé que les leaders de l’opposition lors des émeutes du 15 août dernier à Cocotier (un quartier du 2ème arrondissement de Libreville) avaient brillé par une peur bleu.
‘’Pendant que les jeunes manifestaient les rues, les leaders de l’opposition se cachaient dans les herbes de Cocotier où dans les eaux de la rivière Arambo’’, a-t-il ironisé devant la foule venue assister à ce grand meeting.
Le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) et locomotive de la coalition, Faustin Bokoubi a réaffirme le soutien du parti au discours désormais mémorable du président de son parti, Ali Bongo Ondimba devant les députés et les sénateurs réunis en congrès mercredi dernier.
‘’Vingt-deux ans après la tenue de la conférence Nationale, après tous les constats que nous avons pu faire et les échecs que nous avons essuyés, devons-nous organiser une Conférence Nationale dite souveraine, dont le but affirmé n’a d’autre objet que de perpétrer un véritable coup d’état constitutionnel, ouvrant ainsi la voie à la tenue de petits arrangements entre amis ?’’, s’était interrogé le président gabonais devant le Parlement ‘’Je refuse cette conception tropicale de la gestion des affaires publiques ! C’est pourquoi, à notre sens, la demande d’une telle rencontre masque mal l’indigence d’une opposition en manque de projet et qui a été battue à chaque échéance électorale. Elle cherche aujourd’hui à s’exonérer des lois de la République pour tenter d’exister et d’accéder au pouvoir par effraction’’, a soutenu Ali Bongo Ondimba.
Selon lui, ces mêmes personnes veulent une conférence nationale non pas dans l’intérêt du Gabon et des gabonais, mais dans le seul but d’assouvir leur appétit de pouvoir et de positions.
‘’ Mais je ne dialoguerai pas avec des personnes qui ne respectent ni les institutions de leur propre pays, ni ceux qui les incarnent, encore moins les Lois de la République ’’, a fustigé le chef de l’Etat. Ce meeting le premier tenu par l’ensemble des partis politiques de la majorité républicaine a réuni plusieurs centaines de milliers de militants et sympathisants acquis au refus de la conférence nationale souveraine.
L’ensemble des hiérarques du PDG, du Cercle des libéraux réformateurs (CLR), du RPG), du Parti gabonais du centre indépendant (PGCI), de l’Alliance démocratique et républicaine (ADERE) et des nombreuses associations ont pris par ce grand rendez-vous politique.
Les femmes du parti au pouvoir sous la houlette, de la diva de la musique gabonaise, Patience Dabany, par ailleurs membre de l’Union des femmes du parti démocratique gabonais (UFPDG) a salué : ‘’ l’œuvre sans cesse des femmes pour la bonne marche du PDG vers la vision émergente du président de la République’’.
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14/09/2012
Gabon: Le Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba fait la promotion des valeurs fondamentales qui doivent mener le Gabon vers l’émergence.
Libreville, 14 Septembre 2012 - Dans un discours fondateur devant les députés et parlementaires, le Chef de l’Etat gabonais a fait la promotion des valeurs fondamentales qui doivent mener le Gabon vers l’émergence. Ali Bongo Ondimba a longuement insisté sur les valeurs du travail, de l’unité nationale, de l’intérêt général, de la responsabilité de chacun et du patriotisme.
« Aucun décret ne fera du Gabon un pays Emergent. Nous ne le deviendrons que si nous le désirons ardemment, et si nous nous mettons résolument au travail ». Pour la première fois dans l’histoire du Gabon, le Chef de l’Etat s’est exprimé ce mercredi 12 septembre 2012 devant les députés et parlementaires réunis en congrès.
Un discours d’une heure durant laquelle le chef de l’Etat n’a pas mâché ses mots. Il a appelé l’ensemble de la classe politique ainsi que l’ensemble des gabonais à se mettre au travail, à placer l’intérêt général devant les intérêts personnels et à rester unis dans un même objectif : développer le Gabon.
S’agissant de l’unité, le Chef de l’Etat a fustigé ceux qui tenteraient de créer la discorde au sein d’une nation unie. Il a rappelé l’histoire du Gabon, insisté sur le caractère pluriethnique de la nation gabonaise et la richesse de cette diversité. « Toutes ces énergies, toutes ces intelligences et ces talents, constituent des richesses qu’il faut savoir préserver, valoriser en autant d’acquis pour notre nation », a-t-il insisté.
Rompre avec les stratégies politiques qui visent l’intérêt individuel, remettre la politique au service de l’intérêt général .
« Nos compatriotes ne veulent plus de l’attentisme, des palabres politiciennes stériles, des grandes messes inutiles, bref tout ce qui a contribué à gangrener notre vie politique ces vingt dernières années », a lancé le Chef de l’Etat à l’assemblée.
« Nous avons passé beaucoup trop de temps à ne faire que de la politique, au détriment du développement économique et social de notre pays et du bien-être de ses populations », a-t-il déploré avant de rappeler à son auditoire une valeur fondamentale à ses yeux pour le développement d’un pays : la valeur du patriotisme. « Le patriotisme, c’est ce qui nous pousse à situer l’intérêt général au-dessus de nos intérêts particuliers et partisans », a-t-il indiqué. « Le patriotisme, c’est la volonté et la détermination de préserver le bien commun. Le patriotisme, c’est " Gabon d’abord " », a encore insisté le Chef de l’Etat.
Ali Bongo Ondimba est allé jusqu’à interroger la responsabilité de chacun : « Nous qui nous érigeons en donneurs de leçons, nous sommes-nous souvent demandé, si dans l’exercice quotidien de nos fonctions respectives, nous avons toujours placé l’intérêt général au-dessus de nos intérêts particuliers ? », a demandé le Président aux représentants du peuple.
Fin de l’attentisme : mise en valeur du travail, du mérite, des responsabilités .
Le Chef de l’Etat a insisté lourdement sur l’importance de se recentrer sur le travail : « Il faut en finir avec le laxisme, l’attentisme, l’immobilisme et la paresse. Il faut déserter le camp des partisans du moindre effort et passer à l’action. Aucun pays ne s’est développé sans mettre de l’ardeur au travail. Le travail à l’atelier, le travail à l’usine, le travail dans l’entreprise, le travail au ministère, le travail à la plantation, le travail en mer », a-t-il lancé.
Le message : chacun est responsable, à son niveau, de la réussite du projet de développement du pays et chacun, à son niveau, se doit de prendre ses responsabilités. Il a d’ailleurs rappelé quelques échecs notables qui auraient pu être évité si le travail avait été au centre des préoccupations de tous. « C’est nous Gabonais qui avons fait Air Gabon et c’est nous Gabonais qui avons détruit Air Gabon. C’est nous Gabonais qui avons fait le Transgabonais et c’est nous Gabonais qui l’avons détruit. C’est nous Gabonais qui avons fait Africa N°1 et c’est nous qui l’avons détruit », a-t-il rappelé. « Blâmer l’autre ne peut en aucune façon nous exonérer de notre propre responsabilité », a insisté le Président. Une prise de responsabilité qui a ses yeux est capitale pour avancer.
Travailler sans relâche pour un Gabon moderne .
« Les représentants du peuple que vous êtes doivent travailler sans relâche en vue de créer chaque jour les conditions de production d’un Gabon prospère à travers le vote de la loi, le consentement de l’impôt et le contrôle quotidien de l’action de l’exécutif dans les conditions prévues par loi » a demandé le Chef de l’Etat aux députés et parlementaires.
« Votre responsabilité sera entière si du fait d’une absence de loi certains pans du Plan Stratégique Gabon Emergent venaient à ne pas être exécutés. Votre responsabilité serait entière si par manque de contrôle de votre part, le gouvernement venait à ne pas respecter les délais et les normes d’exécution du plan », a-t-il insisté.
Le Chef de l’Etat a rappelé son ambition : « Mon rêve et mon ambition sont de construire un nouveau Gabon, un Gabon fort, un Gabon uni et rassemblé, un Gabon d’une prospérité toujours plus accrue, un Gabon où il fait bon vivre, un Gabon immortel et digne d’envie, un Gabon Emergent. »
C’est avec la promotion de ses valeurs fondamentales du travail, de l’unité et de l’intérêt général associé à la prise de responsabilité que le Chef de l’Etat souhaite voir le Gabon se développer. Des valeurs qui a ses yeux rendront le Gabon prospère, assureront l’égalité de tous face au progrès et feront du pays un pays moderne et ambitieux.
Fin
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/
La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.
Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.
Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/ ou contacter http://www.cocom.rggov.org/
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13/09/2012
Gabon: LE PRESIDENT ALI BONGO ONDIMBA APPELLE UN DIALOGUE AVEC LES FORCES VIVES
Dans son discours devant les deux chambres réunies en congrès, le 12 septembre 2012, le chef de l’Etat gabonais a exprimé clairement son souhait d’ouvrir le dialogue avec toutes les forces vives respectueuses des institutions et en mesure de donner des avis constructifs au profit de l’amélioration du quotidien des gabonais.
Ainsi de la question cruciale de l’intégration sous-régionale: « Je recevrai la classe politique et les forces vives de la Nation pour parler de la CEMAC, car notre pays assure la présidence de cette organisation sous régionale depuis le dernier sommet de Brazzaville ».
Sur des thèmes comme la libre circulation des biens et des personnes dans la région et le projet de création d’Air Cemac - sujets qui touchent directement la population gabonaise – il apparaît capital de recueillir les avis et les recommandations de tous.
Cette nouvelle approche du dialogue, constructive, large, ouverte aux esprits de progrès, est révélatrice d’une ambition : en créant une forme de rupture avec le « jeu » politique fossilisé par les intérêts des uns et des autres – ce carcan stérile -, elle ouvre des perspectives d’accès au débat public pour les générations émergentes. Chacun sait qu’il est impossible de traiter les problèmes d’aujourd’hui avec les solutions d’hier.
Dans un discours solennel qui restera celui de la « rupture » avec le passé, Ali Bongo Ondimba a audacieusement reformulé l’équation du dialogue démocratique des temps modernes africains. C’est une exigence de lucidité politique et d’intelligence sociale.
Demain, c’est-à-dire aujourd’hui, le peuple gabonais souhaite un meilleur accès à l’information sur l’action au service de la croissance et de l’amélioration de la vie quotidienne, et cela passe par la prise en compte effective de toutes les composantes sociales de la Nation, notamment les jeunes et les femmes.
Le président Bongo Ondimba demande à ce propos au gouvernement et au parlement de « légiférer dans les meilleurs délais afin qu’une place plus importante soit réservée aux femmes et aux jeunes sur les listes aux élections locales et au sein des exécutifs locaux ».
Une explication claire sur le sujet de la conférence nationale
« Je ne redoute pas le dialogue », a lancé le chef de l’Etat devant les chambres du parlement réunies en congrès. Ali Bongo Ondimba s’est dit ouvert au dialogue pourvu qu’il soit constructif, démocratique et que le cœur du débat soit la qualité de vie des gabonais.
Il a indiqué qu’il ne fermait en aucun cas la porte aux échanges pourvus que les interlocuteurs respectent les institutions et leurs représentants.
« (..) Depuis quelques temps, un certain nombre de compatriotes, relayés par quelques médias locaux et étrangers, veulent faire croire que le Président de la République serait fermé à toute idée de dialogue », a-t-il déploré. « J’ai été, je suis et je resterai un homme de dialogue et d’ouverture. Nul ne peut me le contester », a-t-il déclaré.
Au cœur du débat depuis quelque semaine, le président n’a pas hésité à s’exprimer sur la question de la conférence que certains opposants appellent de leurs vœux : « Vingt-deux ans après la tenue de la Conférence Nationale, après tous les constats que nous avons pu faire et les échecs que nous avons essuyés, devons-nous organiser une Conférence Nationale dite souveraine, dont le but affirmé n’a d’autre objet que de perpétrer un véritable coup d’état constitutionnel, ouvrant ainsi la voie à la tenue de petits arrangements entre amis ? », a-t-il interrogé. « Je refuse cette conception tropicale de la gestion des affaires publiques ! ».
Ali Bongo Ondimba veut que le débat soit recentré sur le quotidien des gabonais. Il a fustigé les années « d’hyper politisation » de la société qui ont été un « frein » au développement du pays. « Nos compatriotes ne veulent plus de l’attentisme, des palabres politiciennes stériles, des grandes messes inutiles, bref tout ce qui a contribué à gangrener notre vie politique ces vingt dernières années » a-t-il lancé. En résumé, l’action et la vie politique doivent centrer leurs paramètres sur les attentes citoyennes.
Le parlement, pas la rue !
Le chef de l’Etat a rappelé que « dans toute démocratie moderne, le lieu par excellence du débat contradictoire est précisément le parlement. (…) Je reste disposé à recevoir et à travailler avec tous ceux des compatriotes qui le désirent dans le strict respect des institutions et des lois de la république. (…) Mais je ne dialoguerai pas avec des personnes qui ne respectent ni les institutions de leur propre pays, ni ceux qui les incarnent, encore moins les Lois de la République ».
Un dialogue permanent
Dès le lendemain de son accession à la magistrature suprême, le président Ali Bongo Ondimba a souhaité entrer dans un processus d’échange avec les forces vives de la Nation.
Devant les sénateurs et les députés, il évoque « cette volonté d’ouverture et de dialogue qui a dicté la main tendue que j’ai offerte dès mon accession à la magistrature suprême. »
Un principe qui engage tous les acteurs à une attitude responsable et constructive. « Dans l’exercice de mes fonctions de Président de la République, j’ai déjà prouvé que je savais me mettre à l’écoute de mes compatriotes. Je l’ai fait s’agissant de l’épineuse question de l’île MBANIE, en recevant toute la classe politique et les forces vives de la nation ».
Souvenons-nous de la délégation présente en 2010 à New-York au côté du Président pour le sommet tripartite comprenant notamment des représentants des trois principaux partis politiques gabonais : Pierre Mamboundou (président de l’Union du peuple gabonais, opposition), Paul Mba Abessole (président du Rassemblement pour le Gabon, majorité) et Faustin Boukoubi (secrétaire général du Parti démocratique gabonais, majorité).
Dialogue encore et toujours: « Je l’ai fait s’agissant de l’introduction de la biométrie dans notre système électoral », rappelle le chef de l’Etat dans une allusion aux deux concertations sur les conditions et le périmètre de la mise en place de la biométrie dans le processus électoral et au-delà sur l’Etat civil.
Tel est le dialogue véritable, celui du pays avec le pays, dans sa diversité et ses richesses humaines, libéré des verrous posés par ceux qui, trop longtemps, transformèrent les populations « en spectatrices impuissantes de leur destin, alors que les hommes politiques allaient et venaient, de négociations en arrangements souvent guidés par des appétits personnels».
FIN
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com
La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.
Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.
Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
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Gabon: Le Président Ali Bongo Ondimba appel à la rupture dans un discours fondateur pour le Gabon moderne
« Je suis venu vous parler du Gabon (…), cette belle nation que nous devons réapprendre à aimer ». Dans un discours empreint de gravité et de volontarisme, ayant rappelé les « origines multiples (…), les alliances et les migrations récentes » qui constituent le fondement historique du pays, le chef de l’Etat gabonais appelle à rompre avec les pratiques politiciennes anciennes - celles des arrangements personnels et du tribalisme-, invite à un renouvellement générationnel qui s’accompagnera d’une reformulation du rapport entre le citoyen et son pays, au bénéfice d’une meilleure gouvernance intérieure. Des mots pour l’histoire, un dessein et un destin : la fondation du Gabon moderne. Pour autant, le président de la République ne fait pas mystère d’une inquiétude devant la menace de voir certains fondamentaux de l’unité nationale bousculés par ceux qui « veulent bafouer les symboles de la République », « envoient des casseurs », expriment leur « aigreur de ne plus être aux affaires ». « J’ai été, je suis et je resterai un homme de dialogue et d’ouverture » affirme-t-il, qui sait ce que veulent les hommes et les femmes du pays : « Que l’Etat construise des routes, des écoles, des hôpitaux ; que l’Etat les aident à accéder à l’emploi, à la propriété ou à un logement décent ». Qui sait également que ses compatriotes « ne veulent plus de l’attentisme, des palabres politiques stériles, des grandes messes inutiles ». « Je refuse cette conception tropicale de la gestion des affaires publiques ».
RUPTURE APRES VINGT ANNEES DE MARCHE A RECULONS
« Aujourd’hui, nous devons opérer une rupture ». Comment être plus clair ? Le chef de l’Etat précise sa pensée : « Rupture avec ce qui n’a pas été bien fait, rupture avec ces vingt dernières années de marche à reculons » : « L’hyper-politisation de notre société a été un frein à son développement ». En d’autres mots, il ne faut pas occulter le « douloureux héritage du consensus tous azimuts ». Ne pas oublier « les interminables joutes » de la Conférence nationale il y a 22 ans, « l’odyssée vers la création des partis politiques à caractère provincial, régional, ethnique et même familial », vue comme « un accès plus évident à la richesse ». Car, martèle-t-il, « être ministre n’est pas une profession » !
Alors que dire, aujourd’hui, du désir de certains d’organiser une conférence souveraine comme « des grandes messes où tout le monde trouve son compte personnel » ? « Ceux qui veulent la conférence aujourd’hui, (…) dans le seul but d’assouvir leur appétit de pouvoir et de positions (…), ce sont les mêmes qui, hier encore, la refusaient (…) parce qu’elle ne servait pas leurs intérêts ».
Souhaitant donner leur chance à de « nouvelles énergies, à une nouvelle génération », soucieux de faire émerger « d’autres talents » face à ceux qui « veulent rester scellés à leurs postes au risque de bloquer des générations entières », le président Ali Bongo Ondimba dénonce ces comportements passéistes et précise aussitôt : « je ne dialoguerai pas avec des personnes qui envoient des casseurs dans la rue le jour de l’Assomption », ceux-là même « qui veulent bafouer les symboles de la République en cherchant à occasionner des violences ».
APPEL AU DIALOGUE CONSTRUCTIF ET A LA RESPONSABILITE
Acceptation de l’autre dans sa différence, goût des défis relevés ensemble, politique de la main tendue : le chef de l’Etat est déterminé à rester l’homme du dialogue constructif à l’écoute de « toutes ces énergies, toutes ces intelligences et ces talents (…) à valoriser en autant d’acquis pour notre Nation ». « Je ne laisserai personne remettre en cause notre ‘vivre ensemble’ ». « Je reste disposé à recevoir et à travailler avec tous ceux des compatriotes qui le désirent dans le strict respect des institutions et des lois ». « Je ne redoute pas le dialogue ! » A preuve, cette annonce : « Dans les prochaines semaines je recevrai à nouveau la classe politique et les forces vives de la nation pour parler de la CEMAC, (…) car notre pays assure la présidence de cette organisation sous-régionale ». Associée à la liberté d’opinion, à l’expression des différences pour le bien commun, la responsabilité est une valeur essentielle, individuelle quand elle engage la moralité du citoyen dans son rapport avec la chose publique, politique quand elle détermine le respect des institutions, économique lorsqu’elle fixe les termes moraux de l’échange. « Combien de fois avons-nous fermé les yeux sur un contrat, une convention, un marché, dont nous savions qu’il ne servait pas les intérêts du pays ? »
CONDAMNATION SANS APPEL DU TRIBALISME
Au cœur de son discours devant les deux chambres, le numéro 1 gabonais affirme : « Je consacrerai toute mon énergie pour l’amour de notre pays, à la lutte contre la division, la stigmatisation, la balkanisation, la xénophobie. » Le tribalisme ? « Une forme de racisme (…), un cancer social (…), une bête immonde (…), un poison que certains sont en train d’inoculer dans notre corps social ». « Je demande au parlement d’étudier le cadre législatif nécessaire pour pénaliser le tribalisme (…) ; toute entité, privée ou étatique, politique ou religieuse qui prône et développe des thèses tribalistes, devrait être poursuivie et condamnée par la justice ».
Désormais le temps est venu de tourner la page : celle de « la contestation honteuse, fondée sur le tribalisme ; (…) celle des promotions non pas sur la base du mérite mais sur la seule appartenance ethnique ou tribale ». Tourner aussi la page de la géopolitique, des « baronnies, de la gestion féodales des élites (…), de la volonté de tel ou tel roitelet. »
PLACE AUX JEUNES, PLACE AUX FEMMES
La refondation du rapport entre le citoyen et le pays appelle des actes décisifs, au tournant de l’histoire sociale du Gabon. « La nation gabonaise c’est la prise en compte effective de toutes ses composantes sociales : ce sont ses hommes, mais aussi ses jeunes et ses femmes qu’il nous faut intégrer dans la gestion des affaires publiques ». Prenant la mesure des attentes des nouvelles générations, conscient encore de la nécessité d’avancer vers une plus juste représentation des femmes dans la vie publique, le président de la République demande au gouvernement et au parlement de « légiférer dans les meilleurs délais afin qu’une place plus importante soit réservée aux femmes et aux jeunes sur les listes de candidatures aux élections locales et au sein des exécutifs locaux ». Une fois encore, le cap est fixé : « Cela implique une répartition équitable que j’envisage à 30% pour les femmes et 30% pour les jeunes âgés de 18 à 35 ans ».
AU TRAVAIL ! LE GABON NOUS REGARDE !
Dans un registre particulièrement volontariste, à la mesure des défis et de sa responsabilité devant l’histoire, le président gabonais lance devant les deux chambres réunies en congrès : « Il faut en finir avec le laxisme, l’attentisme, l’immobilisme et la paresse. Il faut déserter le camp des partisans du moindre effort et passer à l’action. (…) Aucun décret ne fera du Gabon un pays émergent. » « Ayons l’amour de notre pays, (…) car la patrie nous est consubstantielle. ». « Nous ne pouvons pas aimer notre pays à reculons ». « Certains semblent avoir mis un tel acharnement à détruire notre pays, comme s’ils possédaient un pays de rechange ! ». « Le Gabon nous regarde, la jeunesse gabonaise nous regarde ». Cette situation implique des devoirs ; elle engage le corps social et la classe politique à une exigence de vérité : « Combien de fois avons-nous bradé notre patrimoine commun (…), spolié notre pays ? ». Des questions essentielles dont « nul ne veut parler » , mais qu’il faut avoir le courage de soulever, par lucidité. « Nous avons fait Air Gabon et nous l’avons détruit ; nous avons fait le Transgabonais et nous l’avons détruit ; nous avons fait Africa N°1 et nous l’avons détruit ».
UN DEVELOPPEMENT DURABLE
L’action publique se poursuivra avec ténacité afin d’inscrire le Gabon dans un développement durable, en pleine harmonie avec l’environnement, « non pas parce qu’il s’agit d’un sujet à la mode, mais parce que notre pays peut devenir le modèle du continent, voire nous l’espérons un leader mondial dans ce domaine ». Un enjeu moderne de société, un pilier stratégique, le Gabon Vert : « Le développement durable que nous envisageons sera l’exemple de ce qui doit être fait pour que nos compatriotes retrouvent et reprennent possession de leur développement, grâce à la multitude de richesses dont nous disposons et que notre terre nous offre. »
UNE LOI D’ORIENTATION POUR LE GABON DE L’AMBITION
Devenir un pays émergent ne se décrète pas : « Nous ne le deviendrons que si nous le désirons ardemment, et si nous nous mettons résolument au travail ». Tourné vers l’avenir, le chef de l’Etat fonde son action sur la promotion des valeurs fondamentales (intérêt général, travail et patriotisme), sur lesquelles s’édifiera le Gabon moderne, celui de l’émergence et de la mutation d’une économie à faible valeur ajoutée et peu créatrice d’emploi vers une économie diversifiée. Il fixe les axes, indique le cap à suivre et donne le rythme pour les fondements de l’émergence jusqu’en 2016.
· « L’agenda 2012 du Plan Stratégique Gabon Emergent marque une innovation majeure », avec un souci de synergie maximale : ainsi de ces « huit Plans Nationaux Intégrés (…) déclinés en projets qui permettent de réorienter le fonctionnement de l’administration ». Le président de la République souligne que ce PSGE « n’atteindra sa pleine mesure que si les PME-PMI gabonaises prennent une place plus affirmée dans l’économie ».
· Le Gabon moderne, c’est encore la réforme budgétaire en cours impliquant des plans de passation de marché, des plans d’engagement et des plans d’ordonnancement ‘service fait’. Ambition avouée : faire migrer les pratiques des administrations vers les principes et bonnes pratiques observées à l’international.
· C’est aujourd’hui le nouveau Schéma Directeur National d’Infrastructures, « pilier central » incluant la planification ordonnée des projets prioritaires d’infrastructures, en lien avec le secteur privé. Il donnera « une impulsion décisive à la diversification de l’économie, stimulera l’investissement local et étranger direct ».
Les parlementaires sont, à ce stade décisif, placés devant leurs responsabilités : « Je vous demande de vous approprier pleinement le Plan Stratégique Gabon Emergent duquel découle le Schéma Directeur National ; (…) un projet de loi d’orientation vous sera soumis dans les prochaines semaines ; votre responsabilité sera entière si du fait d’une absence de loi certains pans du PSGE venaient à ne pas être exécutés ».
Tel est « le Gabon moderne que je défends » - Ali Bongo Ondimba
FIN
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com
La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.
Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org
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12/09/2012
Gabon: DISCOURS DU PRÉSIDENT ALI BONGO ONDIMBA DEVANT LES CHAMBRES DU PARLEMENT RÉUNIES EN CONGRES
Honorables Députés,
Vénérables Sénateurs,
Distingués invités,
Mesdames et Messieurs,
Notre constitution et les dispositions de son article 24 nous offrent l’opportunité de convoquer le parlement en congrès afin d’y délivrer une communication, un message.
Ma présence devant vous peut être la source d’interrogations de la part des observateurs de notre vie politique nationale tant l’instant est exceptionnel dans l’histoire des relations entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif.
A propos de ces interrogations, je vais vous répondre sans détour : le sujet important qui me conduit à m’exprimer devant vous est notre pays, le Gabon.
Je suis donc venu vous parler du GABON.
Je suis venu vous parler de notre pays.
Je suis venu vous parler de cette belle nation que nous devons réapprendre à aimer de toutes nos forces.
Je suis venu vous dire que nous avons envers notre mère-patrie une dette incommensurable et que de ce fait, nous avons envers elle des devoirs infinis.
Oui, Mesdames et Messieurs, parlons du Gabon !
Une observation attentive de l’histoire de notre pays nous enseigne que nous sommes le fruit d’un peuplement issu des quatre coins du Continent, par des hommes et des femmes qui fuyaient la guerre, la famine, les maladies, afin de trouver paix et sécurité en cette terre hospitalière.
Ils ont vu leurs longues marches stoppées par diverses contingences, les obligeant à se fixer sur les bords de l’Ogooué, de la M’passa, de la Ngounié, de la Nyanga, de l’Ivindo, de la Lolo, de l’Azingo, du Woleu, de la Mondah et du Komo.
Le caractère pluriethnique de nos provinces, de nos départements et de nos cantons résulte de ces différents mouvements.
L’histoire du Gabon c’est aussi l’histoire de ces quarante-six esclaves originaires du Congo, du Cameroun et d’ailleurs, libérés et débarqués sur les côtes de l’Estuaire en 1849 après l’abolition de l’esclavage et qui, plus tard, contribueront à la création de Libreville, « la ville des esclaves libérés ».
Ces origines multiples sont, avec les alliances et les migrations récentes, le fondement même de la richesse de notre nation et de l’évolution de nos coutumes.
L’histoire du peuple gabonais c’est encore celle des contacts parfois rudes, noués entre les différents villages-royaumes de la côte gabonaise et les colons établis au Fort d'Aumale, point de relâche pour les navires de guerre de la marine française qui vont conclure des traités avec les rois locaux.
Le métissage s’en verra accentué et plusieurs familles gabonaises adopteront des patronymes à consonance étrangère. Nul ne peut aujourd’hui contester que ces familles sont gabonaises et qu’elles sont partie intégrante de notre histoire commune.
Libreville servira de point de départ à la colonisation française du Gabon avec l'installation au fort d'Aumale des missionnaires catholiques sous la conduite du père Jean-Rémi Bessieux.
Le christianisme, religion la plus importante au Gabon par le nombre de ses adeptes, s’installera avec l’établissement en 1842 de la Mission protestante américaine de Baraka et donnera naissance à un syncrétisme religieux, mélange de christianisme et de croyances locales.
Le Gabon, c’est aussi une communauté musulmane. Le Gabon, c’est la terre qui a accueilli, quoique dans des conditions particulièrement difficiles, Cheick Amidou Bamba, Samory Touré, Mohamed Allal El Fassi, et bien d’autres.
Le Gabon d’aujourd’hui c’est aussi cela : un pays aux croyances multiples qui symbolisent magnifiquement l’esprit d’ouverture aux autres.
Le Gabon, c’est l’histoire du Dr Albert Schweitzer, Prix Nobel de la paix en 1952, Médecin et évangéliste alsacien, qui a choisi la terre de Lambaréné pour sauver des vies.
Le Gabon, ce sont ces hommes et ces femmes nés avant l’indépendance, de l’autre côté de nos frontières, et qui ont choisi de s’établir ici, d’y fonder leur famille afin d’y prospérer.
Le Gabon, ce sont les échanges entre des peuples qui ont en partage, de part et d’autre de nos frontières, des épopées comme le Mvett et l’Olendé.
Le Gabon, c’est aussi ses sportifs, ses peintres, ses sculpteurs, ses musiciens. C’est également ses conteurs, ses écrivains, ses rites, ses rythmes et ses danses.
Libreville est devenue une cité cosmopolite où se côtoient toutes les ethnies du Gabon, des immigrés d'Afrique Centrale et de l'Ouest, des Européens, des Magrébins, et qui s’enrichit progressivement d’une population nouvelle, originaire d’Asie.
Toutes ces énergies, toutes ces intelligences et ces talents, constituent des richesses qu’il faut savoir préserver, valoriser en autant d’acquis pour notre nation.
Tous ces éléments sont des atouts et ne doivent pas être perçus comme des différences susceptibles de créer une quelconque menace car, comme le disait Antoine de Saint Exupéry : « quand tu diffères de moi, loin de me léser, tu m’enrichis ».
Notre acceptation de l’autre dans sa différence, caractérisée par notre hospitalité légendaire, ajoutée à notre volonté de relever ensemble les défis qui se posent à nous, sont les fondements de notre « vivre ensemble ».
Ces fondements sont aujourd’hui menacés. Et j’entends aux portes de notre maison Gabon, les coups de boutoirs de ceux qui, visibles ou tapis dans l’ombre, caressent le sombre espoir de voir voler en éclat ce qui fait notre spécificité, notre authenticité et donc notre force.
En effet, depuis quelques temps, un certain nombre de compatriotes, relayés par quelques médias locaux et étrangers, veulent faire croire que le Président de la République serait fermé à toute idée de dialogue.
J’ai été, je suis et je resterai un homme de dialogue et d’ouverture. Nul ne peut me le contester.
Alors qu’à un moment de notre histoire, beaucoup parmi nous étaient opposés à toute idée d’ouverture politique, à force de dialogue, j’ai contribué, avec d’autres, contre vents et marées, à l’instauration du multipartisme.
D’ailleurs, certains parmi vous, avec qui j’ai siégé au sein de cet hémicycle, savent que j’ai toujours encouragé le dialogue avec nos adversaires politiques. C’est cette même volonté d’ouverture et de dialogue qui a dicté la main tendue que j’ai offerte dès mon accession à la magistrature suprême.
En tant que Président de la République, j’ai séjourné dans toutes les provinces du Gabon.
J’y ai rencontré des hommes et des femmes dignes, fiers de ce qu’ils sont, et qui attendent de nous, parlement et gouvernement, que nous apportions des réponses concrètes et immédiates à leurs attentes.
Que veulent les hommes et les femmes de ce pays ?
- Ils veulent que l’Etat construise des routes, des écoles, des hôpitaux ;
- Que l’Etat les aide à accéder à l’emploi, à la propriété ou à un logement décent ;
- Ils veulent accéder à la satisfaction de leurs besoins essentiels.
Nos compatriotes ne veulent plus de l’attentisme, des palabres politiciennes stériles, des grandes messes inutiles, bref tout ce qui a contribué à gangrener notre vie politique ces vingt dernières années.
Partout où je me suis rendu récemment, d’Oyem à Bitam, de Lambaréné à Lébamba, en passant par Fougamou, Mouila et Ndendé, nul ne m’a posé la problématique du dialogue politique comme étant une préoccupation primordiale, pas même dans les quartiers de Libreville. Bien au contraire, nos compatriotes n’ont eu de cesse de me dire : « Ali, fais ce que tu as à faire, la politique on est fatigué ! » ou encore « Vas-y Ali, courage, n’abandonne pas, on est avec toi ! »
Honorables Députés,
Vénérables Sénateurs,
Distingués invités,
Mesdames et Messieurs,
Aujourd’hui, nous devons opérer une rupture.Rupture avec ce qui n’a pas bien fonctionné, rupture avec ces vingt dernières années de marche à reculons.
Nous ne pouvons pas renier notre héritage. Nous devons entièrement l’assumer, chacun pour sa part, mais nous savons aussi que dans tout héritage, il y a un actif et un passif.
Nous devons nous défaire des pesanteurs du passé et nous orienter résolument vers notre destin commun qui nous impose de réussir.
C’est le lieu de saluer les efforts de nos prédécesseurs qui ont contribué à la naissance de notre première Administration et à la création de nos premières grandes infrastructures, jetant ainsi les bases d’un Etat moderne.
Ces progrès ne doivent cependant pas occulter le douloureux héritage du consensus tous azimuts.
En effet, de l’avis de nombreux observateurs tant au Gabon qu’à l’étranger, l’hyper-politisation de notre société et nos multiples incohérences ont été un frein à son développement pourtant bien engagé.
La Conférence Nationale, évènement initialement accueilli par les filles et fils de ce pays comme le rendez-vous du nouveau départ, a permis un certain nombre d’acquis très importants avec l’adoption du multipartisme, la liberté d’association, d’opinion et d’expression ; la mise en place des institutions démocratiques et républicaines, la séparation des pouvoirs ; avant d’être détourné de son objet pour se transformer en d’interminables joutes, en des règlements de comptes politiques.
Dans ce sens, la vérité des faits impose de reconnaître que l’adoption du multipartisme a donné lieu à une odyssée vers la création de partis politiques à caractère provincial, régional, ethnique et même familial. Tout se passait comme si la création d’un parti politique permettait un accès plus rapide, plus facile et plus évident à la richesse, plutôt que le travail à l’usine ou à la plantation.
En d’autres termes, créer un parti politique était le moyen le plus sûr de s’enrichir rapidement et indûment, grâce aux subventions que l’Etat versait et que personne n’a jamais pris le soin de contrôler.
Ce fut aussi cela le résultat des « Accords de Paris » dont la tenue, rendue nécessaire par les violences de janvier et février 1994, a produit des résolutions qui seront vite contestées par ceux-là même qui ont contribué à leur mise en place.
Nous nous sommes dotés d’un code électoral strict, plus rigoureux que les modèles français, allemand et américain, et cependant, celui-ci a été systématiquement contesté et remis en cause par les perdants.
Nous avons passé beaucoup trop de temps à ne faire que de la politique, au détriment du développement économique et social de notre pays et du bien être de ses populations. Ces mêmes populations ont été transformées en spectatrices impuissantes de leur destin, alors que les hommes politiques allaient et venaient, de négociations en arrangements, souvent guidés par des appétits personnels.
Il y a eu ensuite « les Accords d’Arambo », où la réflexion sur la question des élections a conduit à la création de la Commission Electorale Nationale Autonome et Permanente (CENAP) qui, à peine créée, a également essuyé des contestations et même des accusations.
Vingt-deux ans après la tenue de la Conférence Nationale, après tous les constats que nous avons pu faire et les échecs que nous avons essuyés, devons-nous organiser une Conférence Nationale dite souveraine, dont le but affirmé n’a d’autre objet que de perpétrer un véritable coup d’état constitutionnel, ouvrant ainsi la voie à la tenue de petits arrangements entre amis ?
La politique devrait-elle se résumer en Afrique à des grandes messes où tout le monde trouve son compte ?
Je refuse cette conception tropicale de la gestion des affaires publiques !
C’est pourquoi, à notre sens, la demande d’une telle rencontre masque mal l’indigence d’une opposition en manque de projet et qui a été battue à chaque échéance électorale. Elle cherche aujourd’hui à s’exonérer des lois de la République pour tenter d’exister et d’accéder au pouvoir par effraction.
Ceux qui demandent cette conférence manifestent en fait leur aigreur de ne plus être aux affaires. C’est cette manière de faire qui justifie, entre autres, le rejet que nos compatriotes expriment de plus en plus envers la classe politique.
De nombreuses personnalités à l’étranger comme chez nous, s’étonnent de cette nouvelle tendance qui veut qu’au Gabon, on se proclame opposant dès lors qu’on n’est plus aux responsabilités, comme si la seule vie politique qui vaille est celle que l’on mène au gouvernement. Etre ministre n’est pas une profession.
N’est-il pas normal, pour un pays qui veut se développer, de faire appel à des nouvelles énergies, de donner sa chance à une nouvelle génération ? Nous devons apprendre à passer le témoin, à faire en sorte que d’autres talents émergent.
Certains veulent rester scellés à leurs postes au risque de bloquer des générations entières de nos compatriotes.
Ceux qui veulent la conférence nationale aujourd’hui, ce sont les mêmes qui, hier encore, la refusaient. Ils la refusaient parce qu’elle ne servait pas leurs intérêts.
Ils la refusaient parce qu’elle risquait d’ouvrir la voie à de nouvelles forces politiques auxquelles ils ne voulaient ni ne pouvaient faire face.
Ceux qui réclament à cor et à cris la conférence nationale aujourd’hui, ce sont les mêmes qui hier ont été jusqu’à introduire dans la Constitution de la République, un âge limite pour accéder à la fonction ministérielle, pensant ainsi me punir de m’être montré favorable au dialogue politique.
Deux décennies après, ces mêmes personnes veulent une conférence nationale non pas dans l’intérêt du Gabon et des gabonais, mais dans le seul but d’assouvir leur appétit de pouvoir et de positions.
Dans toute démocratie moderne, le lieu par excellence du débat contradictoire est précisément le parlement. C’est ici au milieu des représentants du peuple et de la nation que se mène le véritable dialogue, puisqu’en votre sein toutes les parties du territoire et donc toutes nos communautés sont représentées.
Dans l’exercice de mes fonctions de Président de la République, j’ai déjà prouvé que je savais me mettre à l’écoute de mes compatriotes. Je l’ai fait s’agissant de l’épineuse question de l’île Mbanié, en recevant toute la classe politique et les forces vives de la nation. Rien ne m’y obligeait, mais je l’ai fait.
Je l’ai fait s’agissant de l’introduction de la biométrie dans notre système électoral. J’aurai pu la refuser, cette biométrie, comme certains de ceux qui s’attaquent à moi aujourd’hui l’ont fait dans un passé encore récent. Mais j’ai considéré dans l’un et l’autre cas qu’il y allait de l’intérêt supérieur de la nation, alors je l’ai fait.
Je vous annonce que dans les prochaines semaines je recevrai à nouveau la classe politique et les forces vives de la nation pour parler de la CEMAC, car comme vous le savez, notre pays assure la présidence de cette organisation sous-régionale depuis le dernier sommet de Brazzaville.
Je ne redoute pas le dialogue.
Mais je ne dialoguerai pas avec des personnes qui ne respectent ni les institutions de leur propre pays, ni ceux qui les incarnent, encore moins les Lois de la République.
Je ne dialoguerai pas avec ce genre de personnes.
Je ne dialoguerai pas avec des personnes qui, se prétendant chrétiennes, envoient des casseurs dans la rue le jour de l’Assomption, jour consacré à la célébration de la Vierge Marie.
Je ne dialoguerai pas avec des personnes qui, ayant occupé des hautes fonctions dans l’Etat, veulent bafouer les symboles de la République en cherchant à occasionner des violences le 17 août, jour de la célébration de notre Indépendance.
Je le dis très clairement, tant que ces personnes-là poseront des actes antipatriotiques et de défiance à l’Autorité de l’Etat, je ne les recevrai pas.
Tant que par leurs actes, ces gens-là mettront en péril la vie des citoyens qu’ils prétendent protéger, je ne les recevrai pas.
Nous avons le devoir de préserver notre unité et notre cohésion nationales.
En tant que Président de la République, j’ai le devoir d’assurer cette cohésion. Par conséquent, je reste disposé à recevoir et à travailler avec tous ceux des compatriotes qui le désirent dans le strict respect des institutions et des lois de la république.
L’objectif que nous devons nous fixer dès aujourd’hui, est de situer le gabonais avec lui-même et avec l’autre.
En chacun de nous, il y a nous et l’autre parce que dans tout homme, il y a deux êtres, un être individuel qui se perd dans les méandres de la solitude, et un être social qui se construit exclusivement par l’acceptation de l’autre.
La différence des représentations et des comportements entre l’autre et moi n’est donc pas le fait d’une différence naturelle mais plutôt l’effet d’un formatage culturel de la pensée.
J’ai prêté le serment d’œuvrer en tout temps, et de toutes mes forces, pour le bien-être du peuple gabonais. Je lui dois la vérité.
La vérité c’est que je ne laisserai personne remettre en cause notre vivre ensemble, quels qu’en soient les prétextes, les motivations ou la qualité des auteurs.
Honorables Députés,
Vénérables Sénateurs,
Distingués invités,
Mesdames, Messieurs,
Nous nous devons de tourner le dos à la violence parce que la violence fait accéder à la folie. La folie elle, est meurtrière pour soi-même et pour ceux qui nous entourent.
Nous n’avons encore jamais vu de par le monde un pays qui se soit développé en détruisant ses fondements essentiels.
La Nation Gabonaise est forte lorsqu’elle élève la contradiction au-dessus des particularismes. Elle est faible et fragile lorsqu’elle se laisse aller à la stigmatisation, à l’exclusion, au repli identitaire.
En tant que Chef de l’Etat, en tant que garant du bon fonctionnement des institutions et de la cohésion nationale, en tant qu’homme ouvert au monde, je me battrai de toutes mes forces pour le bien des gabonais.
Je consacrerai toute mon énergie pour l’amour de notre pays, à la lutte contre la division, la stigmatisation, la balkanisation, la xénophobie.
Nous devons lutter contre les promoteurs de ces maux qui ont produit tant de désastres et de désolations sur le continent, et que certains comportements irresponsables risquent d’attirer aux portes de notre pays.
Notre nation n’a besoin ni de régionalisme, ni de tribalisme. Notre nation a besoin de cohésion et de sérénité. Notre nation a besoin de paix et de développement.
Le tribalisme est une forme de racisme. C’est une bête immonde qu’il convient de combattre avec la dernière énergie.
Je demande au parlement d’étudier le cadre législatif nécessaire pour pénaliser le tribalisme au même titre que le racisme. Par conséquent, toute entité, privée ou étatique, politique ou religieuse qui prône et développe des thèses tribalistes, devrait être poursuivie et condamnée par la justice.
Le tribalisme est un poison que certains sont en train d’inoculer dans notre corps social, en prônant la supériorité de soi et le rejet de l’autre.
L’autre c’est le Punu. L’autre c’est le Fang. L’autre c’est le Kota, le Myéné, le Téké, le pygmée. Mais l’autre c’est aussi le Fang de Bitam lorsqu’on est Fang d’Oyem. L’autre c’est le Punu de Mouila lorsqu’on est Punu de Tchibanga. L’autre c’est le Téké lorsqu’on est Obamba. L’autre c’est l’Orungu lorsqu’on est Nkomi.
L’autre c’est le Mpongwe de Glass lorsqu’on est Mpongwe de Louis. L’autre c’est le Camerounais, le Congolais, l’Ivoirien, le Béninois, le Sénégalais, le Malien.
L’autre c’est le Blanc, le Rouge, le Jaune. L’autre c’est l’Arabe. L’autre c’est le chrétien. L’autre c’est le musulman, le bouddhiste, le bwitiste. L’autre c’est l’étranger.
On peut donc en définitive se demander : qui est l’autre ?
Certains d’entre nous pensent que le Président de la République ne devrait pas évoquer ce genre de questions. Ceux qui pensent ainsi s’imaginent qu’on fait disparaître la poussière en la mettant sous le tapis. Agir de cette manière, c’est refuser de regarder la réalité en face.
D’autres pensent qu’il serait préférable de rester indifférents et que le problème finira bien par disparaître.
A ces compatriotes qui réfléchissent ainsi, j’aimerais poser une question : comment le Président de la République peut-il garantir la cohésion nationale s’il reste indifférent face à un mal qui menace notre nation ?
Non, Mesdames et Messieurs, nous ne pouvons pas rester indifférents. Nous ne pouvons pas laisser l’indifférence nous dévorer.
Il me revient à l’esprit à l’heure où je m’exprime devant vous, ce poème de Martin Niemöller, Pasteur Allemand, décédé le 06 mars 1984, et qui pendant la deuxième guerre mondiale a écrit, je cite :
« Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas catholique.
Puis ils sont venus me chercher,
Et il ne restait personne pour protester. » Fin de citation.
Ce texte traduit les dangers de l’indifférence. Le mal que nous refusons de combattre finit toujours par nous atteindre.
Le temps est venu pour nous de tourner la page. La page de la contestation honteuse, fondée sur le tribalisme. Le temps de la recherche d’une promotion non pas sur la base du mérite, mais sur la seule appartenance ethnique ou tribale. Ces temps-là sont révolus.
La géopolitique a surement été nécessaire pour que la nation se reconnaisse dans ses dirigeants.
Elle a surement été nécessaire pour bâtir et consolider notre lien social. Mais aujourd’hui, nous devons tourner la page.
La géopolitique, sortie de son contexte, a favorisé la constitution de baronnies. Elle a permis la mise en place d’une gestion féodale des élites qui a eu pour conséquence de fragiliser l’Etat et de paralyser, par endroit, l’action publique. Celle-ci se confondant avec la volonté de tel ou tel roitelet.
Je parlais tantôt de la nécessité d’accepter l’autre. Je me dois de préciser que cette acceptation de l’autre est une attitude d’écoute, d’observation et d’objectivation permanentes. C’est pour cela que nous devons lire notre relation avec l’autre dans un paradigme d’ethnosociabilité.
Ce paradigme se traduit par le souci pour chacun de nous de manifester son besoin profond d’entretenir avec autrui, des relations humaines, des relations saines, des relations construites sur le respect, la considération de l’autre, l’envie et le besoin de se connaître pour repousser « le cancer social » qu’est le tribalisme.
Honorables Députés,
Vénérables Sénateurs,
Distingués invités,
Mesdames, Messieurs,
Nous sommes une nation parce que nous avons en partage notre passé. Nous sommes une nation parce que nous avons des ressentis communs, une vision commune du monde qui nous entoure. Nous sommes une nation parce que nous avons décidé d’avoir en partage notre avenir.
La nation gabonaise c’est la prise en compte effective de toutes ses composantes sociales : ce sont ses hommes, mais aussi ses jeunes et ses femmes qu’il nous faut intégrer dans la gestion des affaires publiques.
Je demande au gouvernement et au parlement de légiférer dans les meilleurs délais afin qu’une place plus importante soit réservée aux femmes et aux jeunes sur les listes de candidatures aux élections locales et au sein des exécutifs locaux. Cela implique une répartition équitable que j’envisage à 30% pour les femmes et 30% pour les jeunes âgés de 18 ans à 35 ans.
Nous sommes également une patrie.
Nous le sommes parce que tout au long de notre histoire commune, nous avons su établir une continuité non seulement de notre territoire, mais aussi de nos réalisations, de nos réussites, de nos rêves, de nos efforts…
Nous sommes une patrie parce que nous avons conscience d’avoir hérité du labeur de nos ancêtres. Nous le sommes aussi par notre éducation, nos croyances, notre attitude face à la mort, notre manière d’invoquer l’au-delà.
La patrie nous est consubstantielle, en ce sens que nous venons au monde, en recevant mille fois plus de notre pays que nous ne pouvons lui apporter. C’est pourquoi on parle souvent du culte de la patrie.
Oui, ayons l’amour de notre pays et le culte de la patrie comme dénominateurs communs.
Nous ne pouvons pas aimer notre pays à reculons.
Nous qui sommes aux responsabilités aujourd’hui, nous devons prendre conscience que le Gabon nous regarde, la jeunesse gabonaise nous regarde.
De quel pays avons-nous hérité ? Quel pays allons-nous léguer à nos enfants ? Dans quel état sera-t-il ?
C’est ici que je voudrais faire appel à une autre notion, quelque peu surannée pour certains, mais tellement essentielle : le patriotisme.
Le patriotisme relève de l’attachement profond que nous devons à notre pays. Le patriotisme, c’est ce qui nous pousse à situer l’intérêt général au-dessus de nos intérêts particuliers et partisans.
Le patriotisme, c’est la volonté et la détermination de préserver le bien commun. Le patriotisme, c’est « Gabon d’abord » !
Le patriotisme ce n’est pas indiquer que la victoire de l’Equipe Nationale reviendrait à une ethnie au motif que celui qui a marqué le but appartient à cette ethnie-là.
Le patriotisme c’est célébrer le vert-jaune-bleu au-delà de toute autre considération.
Le patriotisme c’est célébrer notre médaillé olympique pour l’honneur qu’il a fait à notre pays.
Le patriotisme c’est l’extraordinaire communion qui a enflammé le peuple gabonais tout entier lors de la CAN 2012.
Ensemble nous avons célébré nos victoires, ensemble nous avons pleuré quand fut venue l’heure de la défaite. Nous avons été unis dans la victoire et soudés dans la déception.
Nous qui nous érigeons en donneurs de leçons, nous sommes-nous souvent demandé, si dans l’exercice quotidien de nos fonctions respectives, nous avons toujours placé l’intérêt général au-dessus de nos intérêts particuliers ?
Combien de fois avons-nous signé un acte administratif, avec la pleine conscience que cela ne servait pas l’intérêt général ? Mais nous l’avons quand même fait, pour notre propre intérêt.
Combien de fois avons-nous fermé les yeux sur un contrat, une convention, un marché, dont nous savions qu’il ne servait pas les intérêts du pays ?
Combien de fois avons-nous bradé notre patrimoine commun, notre sous-sol, dans des conventions léonines, en ne pensant qu’à nous-mêmes, sans penser au pays, encore moins aux générations futures ?
Combien de fois ?
Combien de fois avons-nous, par cupidité, contribué à spolier notre pays, au seul profit des grands groupes étrangers ?
De ces questions essentielles, nul ne veut parler.
Lorsqu’en 2007 déjà Omar BONGO ONDIMBA, mon prédécesseur, dans un discours désormais passé à la postérité posait la même problématique, il ne s’adressait pas aux gens venus de nulle part, c’est à nous qu’il parlait, classe politique, classe dirigeante et population gabonaise, chacun à sa place et chacun en ce qui le concerne.
C’est nous gabonais qui avons fait Air Gabon et c’est nous gabonais qui avons détruit Air Gabon.
C’est nous gabonais qui avons fait le Transgabonais et c’est nous gabonais qui l’avons détruit.
C’est nous gabonais qui avons fait Africa N°1 et c’est nous qui l’avons détruit.
C’est nous gabonais qui avons fait la Fondation Jeanne Ebori et l’Hôpital Pédiatrique d’Owendo et c’est nous qui les avons détruits.
Blâmer l’autre ne peut en aucune façon nous exonérer de notre propre responsabilité.
Certains semblent avoir mis un tel acharnement à détruire notre pays, qu’on en viendrait à croire qu’ils posséderaient quelque part un pays de rechange !
Mais nous, nous n’avons pas de pays de rechange. C’est pourquoi nous devons tout mettre en œuvre pour construire notre pays. Nous devons bâtir une nation prospère. C’est notre génération qui doit y arriver. Faute de quoi le retard accumulé serait irrattrapable par nos enfants.
Honorables Députés,
Vénérables Sénateurs,
Distingués invités,
Mesdames et Messieurs,
Il faut en finir avec le laxisme, l’attentisme, l’immobilisme et la paresse. Il faut déserter le camp des partisans du moindre effort et passer à l’action. Aucun pays ne s’est développé sans mettre de l’ardeur au travail. Le travail à l’atelier, le travail à l’usine, le travail dans l’entreprise, le travail au ministère, le travail à la plantation, le travail en mer.
Mon rêve et mon ambition sont de construire un nouveau Gabon, un Gabon fort, un Gabon uni et rassemblé, un Gabon d’une prospérité toujours plus accrue, un Gabon où il fait bon vivre, un Gabon immortel et digne d’envie, un Gabon Emergent. Cela est possible. D’autres l’ont fait, nous le pouvons aussi.
Aucun décret ne fera du Gabon un pays Emergent. Nous ne le deviendrons que si nous le désirons ardemment, et si nous nous mettons résolument au travail.
Dans un environnement international marqué par la concurrence, nous devons prendre conscience qu’il nous revient de dessiner la place du Gabon en Afrique et dans le reste du monde.
Nous avons le devoir, nous qui avons succédé aux pères fondateurs, d’aller plus loin, afin de léguer à nos enfants un pays dont ils puissent être fiers.
L’amélioration du quotidien des gabonais est le fondement du contrat que j’ai passé avec mes compatriotes qui m’ont porté à la tête de notre pays.
C’est fort de cela que j’ai proposé un projet de société avec des données maîtrisées et réalistes. Ce projet, auquel le peuple gabonais a adhéré, je l’ai décliné en un Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE).
Depuis trois ans, nous avons mis en œuvre une politique de réforme économique et sociale ambitieuse qui guide désormais notre développement.
Ces réformes sont aujourd’hui saluées par les gouvernements et par les organismes les plus compétents.
Ainsi, la réforme budgétaire en cours nécessaire à la consolidation de nos finances publiques recommande que les pratiques courantes dans nos administrations migrent progressivement vers les principes et les bonnes pratiques observés au plan international et véhiculés par les partenaires techniques et financiers, dont le FMI, la Banque Mondiale, l’Union Européenne, la Banque Africaine de Développement etc.
Ces principes et bonnes pratiques prescrivent qu’avant d’être exécutées, toute dépense, notamment la dépense d’investissement doit faire l’objet :
- de plan de passation de marchés ;
- de plan d’engagement ;
- de plan d’ordonnancement répondant au principe selon lequel « L’Etat ne paie qu’après service fait ». Cela permet de s’assurer que le règlement correspond bien au niveau de réalisation des travaux sur le terrain.
Les résultats que nous avons atteints à ce jour ne sont pas encore satisfaisants à nos yeux, mais ils nous encouragent à persévérer dans la poursuite de notre rythme de réformes.
Parmi les travaux que nous avons engagés, il y a aussi notre projet de code en matière de développement durable qui sera la synthèse de toutes les réflexions évoquées au niveau mondial dans ce domaine.
Il s’agit pour nous d’initier et d’être les premiers à mettre en œuvre une vrai politique dans le domaine du développement durable, non pas parce qu’il s’agit d’un sujet à la mode, mais parce que notre pays peut devenir le modèle du continent, voire nous l’espérons un leader mondial dans ce domaine.
La loi que nous voulons mettre en place reposera sur les principes et les objectifs fondamentaux de l’action des pouvoirs publics, des opérateurs économiques et de la société civile pour assurer un développement durable.
L’objectif étant de promouvoir un processus de développement qui intègre de manière équilibrée et synergique les dimensions économiques, sociales et environnementales pour satisfaire les besoins des générations présentes sans compromettre les capacités de générations futures à satisfaire leurs besoins tout en préservant notre patrimoine naturel, économique, physique, humain, social et culturel.
Le développement durable que nous envisageons sera l’exemple de ce qui doit être fait pour que nos compatriotes retrouvent et reprennent possession de leur développement, grâce à la multitude de richesses dont nous disposons et que notre terre nous offre.
Aujourd’hui, dans un esprit de responsabilité, tous nos efforts sont consacrés à la mise en œuvre de notre programme de développement, dans la durée et sur l’ensemble du territoire national.
Le pilier central de ce programme est le nouveau Schéma Directeur National d’Infrastructures. Celui-ci permettra au Gabon de veiller à ce que les meilleures infrastructures se développent à travers la mise en place de projets prioritaires planifiés et ordonnés dans tous les secteurs économiques.
La seule manière de lutter contre les erreurs du passé reste le renforcement de notre dispositif institutionnel.
Nous avons réuni des experts du monde entier pour travailler sur la compilation de ce projet et pour en faire un plan solide et réalisable, prêt à être mis en œuvre.
C’est ce plan que l’Exécutif met progressivement en œuvre.
Nous croyons fermement qu’il s’agit d’un plan sur lequel nous, dirigeants Gabonais, pouvons nous appuyer pour un développement global et harmonieux de notre pays.
Le résultat attendu sera de doter notre pays d’infrastructures structurées et plus compétitives assurant une croissance durable de notre économie. Les premiers fruits sont à présent visibles. Nous enregistrons en effet depuis 2010, une croissance économique qui oscille entre 5,6% et 6,7% dans un environnement international secoué par la pire crise économique survenue depuis des décennies.
Il est à noter que pour la première fois depuis des décennies, la part hors pétrole de notre PIB contribue pour plus de 12% à notre taux de croissance actuelle.
Pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés, j’ai demandé dès 2010, au gouvernement de développer et de faciliter la réalisation de ce plan.
Lequel a été conçu en prenant en compte les infrastructures existantes, notre potentiel de croissance et notre vision d’un Gabon émergent. Cela induit la mise en synergie du Gabon industriel, du Gabon vert et du Gabon des services.
Mon espoir à travers les réformes engagées est de démontrer à nos concitoyens, aux investisseurs potentiels et au monde entier, que le Gabon est désormais une terre d’opportunités.
Le schéma directeur que je vous présente aujourd’hui est le premier du genre initié et adopté par notre pays. Son articulation simplifiée conduit à :
- La présentation d’un cadre comportant l’analyse économique des secteurs porteurs, leur potentiel d’évolution ainsi que la méthodologie utilisée ;
- Une stratégie fixant les orientations générales de l’Etat en matière de modernisation, de construction et de développement d’infrastructures respectueuses de l’environnement et participant du développement durable ;
- La présentation d’un planning de lancement des projets et le rôle moteur que le secteur privé doit y jouer ;
- La mise en place d’outils de programmation et de prise de décision conformes aux normes internationales.
L’exécution du schéma directeur donnera une impulsion décisive à la diversification de l’économie gabonaise, stimulera l’investissement local et étranger direct afin d’améliorer les conditions de vie des populations. C’est ici qu’il convient de souligner la nécessité du partage des fruits de la croissance.
Ce partage que nous avons présenté à travers le triptyque « PAIX – DEVELOPPEMENT – PARTAGE » ne peut se faire qu’à travers la mise à disposition des populations des infrastructures de base que sont la route, l’hôpital, l’école, l’habitat etc.
Ce partage c’est aussi la sécurité sociale, l’augmentation des allocations d’études, l’emploi et l’augmentation du pouvoir d’achat.
Nous avons besoin pour parvenir aux résultats escomptés de marquer notre pleine et entière unité autour du projet Gabon Emergent, afin que ressorte notre véritable unité pour bâtir notre pays.
En résumé, le Plan Stratégique Gabon Emergent vise à faire du Gabon un pays émergent à l’horizon 2025.
Ainsi, la période 2009-2025 devrait voir la mutation d’une économie à faible valeur ajoutée et peu créatrice d’emplois vers une économie diversifiée, s’appuyant sur trois piliers essentiels : le Gabon Vert, le Gabon Industriel et le Gabon des Services, portés par un secteur privé dynamique et un tissu de PME créateurs d’emplois.
La stratégie prévoit, durant la période 2009-2016, de bâtir les fondements de l’émergence, à travers :
- Le développement d’un réseau national d’infrastructures économiques et sociales compétitif ;
- Le renforcement du capital humain et des compétences nationales dans les nouveaux piliers de croissance ;
- Des réformes conduisant vers la mise en place d’un environnement des affaires de rang international afin d’attirer un flux massif d’investissements privés nationaux et étrangers, et enfin ;
- La consolidation de la gouvernance, notamment à travers une réforme en profondeur et un renforcement des capacités de l’administration gabonaise.
L’agenda 2012 du Plan Stratégique Gabon Emergent marque une innovation majeure dans la stratégie de mise en œuvre, avec un souci de synergie maximale dans l’action gouvernementale.
Ainsi, huit Plans Nationaux Intégrés ont été élaborés, fédérant dans une démarche cohérente les actions prévues dans ce domaine par chaque ministère, dans lesquels une méthodologie commune, un travail d’équipe entre plusieurs ministères et un pilotage coordonné s’avèrent nécessaires pour une mise en œuvre efficace de l’action gouvernementale.
De même, ces plans ont été déclinés en projets qui permettent de réorienter le fonctionnement de l’administration.
Depuis trois ans déjà, le Gouvernement de la République met en œuvre le PSGE, secteur par secteur. Des réalisations sont plus visibles dans certains secteurs.
Les retards que l’on semble observer ici et là, seront rattrapés conformément au nouveau programme de travail gouvernemental.
Le PSGE n’atteindra sa pleine mesure que si les PME-PMI gabonaises prennent une place plus affirmée dans notre économie.
Je ne crois pas à un développement économique uniquement fondé sur les grandes entreprises.
Nous avons besoin d’un réseau de PME-PMI dynamique, efficace et qui donne la pleine mesure du génie et savoir-faire gabonais.
Honorables députés,
Vénérables sénateurs,
Vous l’aurez compris il ne peut y avoir aucun développement dans la haine et la division.
Les représentants du peuple que vous êtes doivent travailler sans relâche en vue de créer chaque jour les conditions de production d’un Gabon prospère à travers le vote de la loi, le consentement de l’impôt et le contrôle quotidien de l’action de l’exécutif dans les conditions prévues par loi.
Je vous demande à vous le parlement qui exercez une grande partie du pouvoir législatif et de contrôle de l’action gouvernementale, de vous approprier pleinement le Plan Stratégique Gabon Emergent duquel découle le Schéma Directeur National d’Infrastructures afin que vous l’utilisiez comme un outil devant vous aider à mieux comprendre les orientations générales prises par le gouvernement.
C’est aussi un outil visant à faciliter le vote de la loi et le contrôle des activités du gouvernement en rapport avec l’exécution de la loi des finances et des lois générales.
Le gouvernement vous soumettra dans les prochaines semaines un projet de loi d’orientation sur le Plan Stratégique Gabon Emergent.
Votre responsabilité serait entière si du fait d’une absence de Loi certains pans du Plan Stratégique Gabon Emergent venaient à ne pas être exécutés. Votre responsabilité serait entière si par manque de contrôle de votre part, le gouvernement venait à ne pas respecter les délais et les normes d’exécution du plan.
C’est pour ces missions nobles que les gabonais vous ont donné mandat d’agir en leur lieu et place pour la construction d’un nouveau Gabon, un Gabon de l’ambition.
L’ambition comme fondement de l’action.
L’ambition comme moteur principal du développement.
Si ceci est un rêve, nous l’assumons et nous vous invitons à le partager.
Tel est le Gabon moderne que je défends.
Tel est le Gabon que nous devons bâtir.
Tel est le Gabon dont je suis venu vous parler.
Vive la République !
Que Dieu bénisse le Gabon.
Je vous remercie.
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11/09/2012
Réponse du raciste Vincent Hugeux à Raphaël Ntoutoume Nkoghe . La réplique cinglante de Raphaël ne s'est pas fait attendre.
Cher Monsieur,
Votre courrier, que je viens de lire avec toute l’attention qu’il mérite, appelle les commentaires suivants.
Je n’ai donc pas « pris la peine de venir vous rencontrer ». Vous êtes-vous donné celle de m’inviter à le faire ? Non. Or, je n’ai pas pour habitude -chacun son style- de débouler là où je n’ai pas été convié.
Si, appliquant le précepte que vous m’assenez, vous vous étiez un tant soit peu renseigné, vous sauriez que je n’ai pas précisément la réputation d’écrire « sous la dictée » de qui que ce soit. En l’occurrence, et pour m’en tenir aux faits, j’ai consulté pour le seul papier incriminé sept sources indépendantes, dont cinq gabonaises, familières de la présidence pour deux d’entre elles.
Le « scandale du siècle » - c’est vous qui le dites- aurait à coup sûr fait l’objet d’une cover de L’Express, pas d’une chronique sur son site Web, rédigé comme le veut la loi du genre sur un mode un chouïa incisif. Scandale du siècle ? Non. Plus simplement, une aventure médiocre et cocasse, symptomatique de mœurs politiques préjudiciables à l’image du Gabon.
La référence au défunt André Christ Nguimbi -ou Nguembi, selon les sources-, que vous vous abstenez de nommer, est a minima d’une inélégance confondante. En clair, vous imputez la genèse de cette pantalonnade à ce député et ancien ministre qui, paix à son âme, n’est plus là pour s’en défendre. Plutôt que de vous interroger sur la responsabilité de ceux qui se sont prêtés à cette équipée. Si quelqu’un a craché sur sa sépulture, ce n’est certes pas moi.
J’ai écorché votre patronyme ? Le mien l’étant plus souvent qu’à son tour, y compris par vos amis, vous m’en voyez navré. Notez au passage que j’ai repris l’orthographe figurant sur la fameuse « invitation », dont vous connaissez les auteurs infiniment mieux que moi. C’est dont à eux que le grief devrait être adressé en priorité.
Pour connaître un peu son histoire, et la trajectoire de quelques-uns de ces piliers, je soutiens que le pouvoir gabonais n’a pas grand-chose à craindre de La Griffe.
Vous m’invitez au Gabon ? Vous devriez savoir que j’ai pour principe de n’accepter aucune invitation et de ne jamais participer aux « voyages de presse ». Tous mes reportages, en Afrique ou ailleurs, se font aux frais exclusifs de L’Express. Par ailleurs, la délicieuse Laure Olga Gondjout a pris soin de m’interdire de couvrir la campagne présidentielle de 2009, puis a biffé mon nom de la liste des journalistes bienvenus aux cérémonies du Cinquantenaire de l’indépendance. Plus récemment, il m’a été impossible d’animer in situ, comme le souhaitait Richard Attias, l’un des panels du NYFA. Ce que je ne regrette nullement au demeurant, compte tenu de la tournure prise par ce forum et du climat dans lequel il s’est déroulé.
Deux remarques en guise de conclusion. D’abord, il y a, dans votre long courrier, beaucoup d’indignation mais pas la moindre récusation factuelle. Merci de confirmer ainsi l’exactitude de mon récit. Ensuite, parmi les destinataires en copie de votre courriel figure au premier chef un certain Michel Ogandaga. Celui-là même qui, vendredi, a mis en ligne une diatribe me concernant qui serait ignoble et infamante si elle n’enfonçait pas les frontières du grotesque, au point d’en devenir risible. Je passe sur les imputations injurieuses et diffamatoires qui ne souillent que leur auteur. Des tonnes de haine, et pas un atome de vérité. Voilà une performance qui devrait valoir à l’intéressé de figurer en bonne place dans le Guiness Book : les anecdotes rapportées n’ont jamais existé que dans l’imagination fertile de leur auteur. Franchement, comme modèle de rigueur et d’intégrité, on doit pouvoir trouver mieux.
Bien à vous.
Vincent Hugeux.
Replique immédiate et cinglante de Raphaël Ntoutoume Nkoghe :
Bonjour Monsieur Hugeux
Je constate que ma réponse vous a enfin donné l’occasion de vider votre sac. Et vous l’avez très bien vidé. Mais le fait de juxtaposer des mensonges comme vous le faites avec une habileté que je salue au passage, ne saurait cependant abuser de la vérité. Celle que tout le monde connaît. Un énorme plaisir pour moi de vous en faire la démonstration.
« Je n’ai donc pas « pris la peine de venir vous rencontrer ». Vous êtes-vous donné celle de m’inviter à le faire ? Non. Or, je n’ai pas pour habitude-chacun son style- de débouler là où je n’ai pas été convié ».
Mais je ne vous convie à rien du tout. C’est vous le journaliste. C’est vous qui avez décidé d’écrire sur moi. Et je crois savoir que la règle dans votre métier impose que ce soit le journaliste qui se rapproche du sujet de son information. Mais vous avez quand même le culot de me dire que c’est à moi qu’il revenait de vous « inviter » comme si je vivais dans votre plume pour deviner que vous étiez en train de pondre votre scoop.
En fait, vous ne pouviez me rencontrer pour la simple et bonne raison que vous n’étiez pas à La Rochelle, encore moins en France. Je persiste et je signe : vous écrivez sous la dictée. En voici d’ailleurs la preuve.
« Pour connaître un peu son histoire, et la trajectoire de quelques-uns de ces piliers, je soutiens que le pouvoir gabonais n’a pas grand-chose à craindre de La Griffe. »
Quel lien avec La Rochelle ? Aucun. Sauf qu’on vous a dit que j’anime « La Griffe » et vous l’avez écrit sans le vérifier et sans pouvoir le démontrer. Cela s’appelle incontestablement écrire sous la dictée.
« Si, appliquant le précepte que vous m’assenez, vous vous étiez un tant soit peu renseigné, vous sauriez que je n’ai pas précisément la réputation d’écrire « sous la dictée » de qui que ce soit. En l’occurrence, et pour m’en tenir aux faits, j’ai consulté pour le seul papier incriminé sept sources indépendantes, dont cinq gabonaises, familières de la présidence pour deux d’entre elles ».
Dans le mensonge, on ne saurait faire mieux. Votre papier n’a été qu’une synthèse beaucoup potable de tout ce que l’opposition et la société civile avait déjà entonné sur Facebook. Et je me pose la question de savoir si vous êtes vraiment conscient de ce que vous dites lorsque vous orientez, avec une telle précision, la situation de vos fameuses « sources indépendantes (…) familières de la Présidence pour deux d’entre elles ».
« Plus simplement, une aventure médiocre et cocasse, symptomatique de mœurs politiques préjudiciables à l’image du Gabon. »
Tout en vous laissant la paternité du propos, mais je n’ai personnellement rien trouvé de « médiocre et cocasse » que d’avoir été reçu par le Maire de La Rochelle, M. Maxime Bono ; d’avoir échangé à Paris avec Madame Yamina Benguigui et à La Rochelle avec M. Victorin Lurel, Madame Edith Cresson, M. Jérôme Cahuzac, M. Claude Bartolone, M. Harlem Désir, M. Pierre Cohen et même avec votre ami « Camba » qui a d’ailleurs promis nous revoir.
« La référence au défunt André Christ Nguimbi-ou Nguembi, selon les sources-, que vous vous abstenez de nommer, est a minima d’une inélégance confondante. En clair, vous imputez la genèse de cette pantalonnade à ce député et ancien ministre qui, paix à son âme, n’est plus là pour s’en défendre. Plutôt que de vous interroger sur la responsabilité de ceux qui se sont prêtés à cette équipée. Si quelqu’un a craché sur sa sépulture, ce n’est certes pas moi ».
Et nous voilà à l’extrémité même de l’ignominie. Il vous suffisait pourtant d’aller simplement sur Google pour avoir le nom exact de feu André-Christ Nguembi. Mais je vous comprends puisque vous êtes immortel. Pour le reste, je vous trouve professionnellement malhonnête car je n’ai pas à imputer quoi que ce soit à qui que ce soit du moment où je ne me suis jamais plaint. C’est par contre vous qui déversez de torrents de larmes sur « cette équipée » au point d’écorcher le nom d’un mort.
« J’ai écorché votre patronyme ? Le mien l’étant plus souvent qu’à son tour, y compris par vos amis, vous m’en voyez navré. Notez au passage que j’ai repris l’orthographe figurant sur la fameuse « invitation », dont vous connaissez les auteurs infiniment mieux que moi. C’est dont à eux que le grief devrait être adressé en priorité. »
Bref, comme mes amis auraient écorché votre nom, cela vous a donné le droit d’en faire autant avec le mien. Monsieur Hugeux, dans mon éducation, s’il y a une chose que je ne peux jamais oublier, c’est de m’excuser quand je suis en tort. Et là encore vous faites montre d’une paresse intellectuelle « préjudiciable » à la pratique de votre métier. Parce que, jusqu’à ce jour, je ne savais pas, en ce qui concerne le nom d’une personne, qu’un journaliste se limitait à « reprendre » mécaniquement « l’orthographe figurant » sur un document.
« Deux remarques en guise de conclusion. D’abord, il y a, dans votre long courrier, beaucoup d’indignation mais pas la moindre récusation factuelle. Merci de confirmer ainsi l’exactitude de mon récit ».
Pure mensonge ! Comme vous l’avez remarqué plus haut, en quittant Libreville, notre délégation avait un calendrier bien précis. A part votre « Camba », nous avons rencontré toutes les personnes précitées car elles nous attendaient. C’est vous dire que personne n’a « déboulé là où » il n’était pas « convié ». A part votre imagination et la dictée de vos amis qui ont « déboulé » dans cette affaire qui ne finira apparemment pas de les torturer autant.
Quant à vos colères contre Madame Laure Olga Gondjout et Monsieur Michel Ogandaga, je ne comprends pas que vous ayez attendu ma réponse pour leur répondre. Mais peu importe. Toutefois, votre lamento à leur endroit n’a aucune valeur. Cela, pour cette seule raison : au Gabon, il y a un dicton populaire qui enseigne qu’ « un vrai garçon ne parle pas derrière les autres, mais vis-à-vis ».
En bon entendeur…
Raphaël Ntoutoume Nkoghe
Conseiller du Président de la République
https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA
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10/09/2012
Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du Jeudi 06 Septembre 2012(3ème Partie)
SUITE NOMINATIONS DU CM DU 06-09-2012
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS
ENSEIGNEMENT PRIVE CATHOLIQUE
PROVISEURS LYCEE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Proviseur : M. FANG EKORE Patrice, PESDG, confirmé.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION/ LIBREVILLE
- Proviseur : Mme ANGUILE Nadine Patricia, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Proviseur : M. PAMBOU MIHINDOU Max, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Proviseur : Mme NYAMA Gisèle, Conseiller Pédagogique du 2nd degré, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE CALASANZ / LIBREVILLE
- Proviseur : M. Luis Martin NIETO, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Proviseur : M. MEYE M’OBIANG François, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR RAPONDA / WALKER PORT-GENTIL
- Proviseur : M. BOUSSOUGOU BOUASSA Gaston, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE / MOANDA
- Proviseur : M. MBOMA Martin, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR JEAN BAPTISTE ADIWA / LAMBARENE
- Proviseur : Mme Brigitte NTSAME MVE, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE JEAN JEROME ADAM / FRANCEVILLE
- Proviseur : M. BIVIGOU Bruno, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE / MOUILA
- Proviseur : M. MASSALA Joseph, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL / MOUILA
- Proviseur : M. PONDZI BAYA Célestin, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS / TCHIBANGA
- Proviseur : M. GOUMBA Dieudonné, PESDG, confirmé
COLLEGE ET LYCEE MGR FRANCOIS XAVIER NDONG / OYEM
- Proviseur : M. ENGONGA OBAME Jean Philippe, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA / SALETTE KOULA-MOUTOU
- Proviseur : M. LENDAMBA Laurent, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES / MAKOKOU
- Proviseur : M. ONDO MINKO Marcus, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO
- Proviseur : M. MAPAGA Adrien, PESDG, confirmé
COLLEGE JEAN MARIE VIANNEY ALENAKIRI / LIBREVILLE
- Principal : M. OKOUE ASSOUMOU Thomas, PESDG, confirmé.
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Principal : M. BOULINGUI Bienvenu, PESDG, confirmé.
COLLEGE SAINT JOSEPH / MITZIC
- Principal : M. OBYANG MBA Jean Félix, PESDG, confirmé.
COLLEGE SAINT JEAN / MINVOUL
- Principal : M. MEFE ME NNANG Paul, PESDG, confirmé.
COLLEGE SAINT FELICIEN DE DIBWANGUI / LEBAMBA
- Principal : M. MBATCHI LOEMBE Rufin, PESDG, confirmé.
CENSEURS PEDAGOGIQUES DU 2nd CYCLE
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Censeur du 2nd Cycle : M. NGUEMA EDZANG Sylvain, PESDG, confirmé.
LYCEE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Censeur : M. EYA MINKO Fidèle, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE CALASANZ / LIBREVILLE
- Censeur du 2nd Cycle : M. MADOUNGOU Michel, PESDG, confirmé.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION / LIBREVILLE
- Censeur du Second Cycle : M. NGUEMA OYAME Célestin, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE / MOANDA
- Censeur du second cycle : M. MBORY Célestin, PESDG, en remplacement de M. MBOUMBA Paul, muté.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO
- Censeur du second cycle : Mme SINDZI NGONANDIMBOU Gertrude, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
- Censeur du Second cycle : M. OTOUNGA Gérard Constant, PESDG, en remplacement de M. NDOUNGA TSIENDI, muté.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Censeur du Second cycle : Mme ANGUE ELLA Flavienne, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.B. ADIWA / LAMBARENE
- Censeur du second cycle: M. OVONO EDZANG Joseph Aimé, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR ANDRE RAPONDA WALKER / PORT-GENTIL
- Censeur du second cycle : M. MISSOUMA Christian, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE / MOUILA
- Censeur du second cycle : M. MBOUMBA Paul, PESDG, précédemment censeur du second cycle au Collège et Lycée Saint Dominique / Moanda, en remplacement de M. MBORY Célestin, muté.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE / KOULA-MOUTOU
- Censeur du Second cycle : M. ALLOGO OBAME Jean Paulin, PESDG, confirmé
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL / MOUILA
- Censeur du second cycle : M. NDOUGA TSIENDI Jean Pascal, PESDG, précédemment censeur du second cycle au collège et lycée Saint Dominique / Moanda, en remplacement de M. OTOUNGA Gérard C, muté.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS TCHIBANGA
- Censeur du second cycle : M. FOULA Jean Aimé, PESDG, précédemment censeur du premier cycle à l’Institution Immaculée Conception, en remplacement de M. OBIANG ELLA Iréné, muté.
COLLEGE ET LYCEE MGR FRANCOIS XAVIER NDONG / OYEM
- Censeur du second cycle : M. OBOU’OU EYENGA Paulin, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Censeur du second cycle : M. MBA MOTO Jean Baptiste, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES / MAKOKOU
- Censeur du second cycle : Mme BOBANGA Bernadette, PESDG, confirmé.
CENSEURS PEDAGOGIQUE DU 1ER CYCLE
COLLEGE ET LYCEE MGR FRANCOIS XAVIER NDONG / OYEM
- Censeur du Premier cycle : M. OVONO NGAME Jean Paulin, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO / LASTOURVILLE
- Censeur du Premier cycle : M. MATSEGUE Anselme Charles, PESDG, précédemment censeur du premier cycle au collège et lycée horizons Tchibanga, en remplacement de M. OBIANG NGUEMA, muté.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
- Censeur du premier cycle : M. MEZUI M’ONDO, PESDG, précédemment censeur du premier cycle au collège et lycée Val Marie Mouila, en remplacement de M. MBADINGA MIHINDOU, muté.
COLLEGE ET LYCEE CALASANZ
- Censeur du premier cycle : Mme MEDZA ME MVE Monique, PESDG, confirmée.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION / LIBREVILLE
- Censeur du premier cycle : Mme ANCHANDIE ISSAMBI Irène Olga, PESDG, précédemment Professeur à l’Institution Immaculée Conception, en remplacement de M. FOULA Jean Aimé
COLLEGE ET LYCEE MGR RAPONDA WALKER
- Censeur du premier cycle: M. METOUGHE Jean François, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES MAKOKOU
- Censeur du premier cycle : M. NDOMANA Jean Jacques, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Censeur du 1er Cycle : M. BISSIELOU BISSIELOU Samuel, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Censeur du 1er Cycle : Mme ESSONGUE Odette, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Censeur du 1er Cycle : M. NZE Louis Marie, précédemment Censeur du 1er cycle au collège et lycée Mgr J. B. ADIWA Lambaréné, en remplacement de M. MINTSA Jacques, appelé à d’autres fonctions.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE / MOANDA
- Censeur du Cycle : M. MOUKALA Bertrand, PESDG, précédemment Censeur du 1er cycle au Collège et Lycée Saint Gabriel Mouila, en remplacement de M. MOULENGUE Dieudonné.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL / MOUILA
- Censeur du 1er Cycle : M. MOULENGUE Dieudonné, PESDG, précédemment Censeur du 1er Cycle au Collège et Lycée Saint Dominique Moanda, en remplacement de M. MOUKALA Bertrand.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS TCHIBANGA
- Censeur du 1er Cycle : M. MBADINGA MIHINDOU Jean de Dieu, PESDG, précédemment Censeur du 1er cycle au collège et lycée Mgr J.J. ADAM / Franceville, en remplacement de M. MATSEGUE Anselme Charles.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.B. ADIWA / LAMBARENE
- Censeur du 1er Cycle : M. OBIANG ELLA Iréné, PESDG, précédemment Censeur du 2nd Cycle au Collège et Lycée Horizons Tchibanga, en remplacement de M. NZE Louis Marie.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER BAMBORO / LASTOURVILLE
- Censeur du 1er Cycle : M. MATSEGUE Anselme Charles, PESDG, précédemment Censeur du 1er cycle au collège et Lycée Horizons Tchibanga, en remplacement de M. OBIANG NGUEMA.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE / MOUILA
- Censeur du 1er Cycle : M. OBIANG NGUEMA, PESDG, précédemment Censeur du 1er Cycle au collège et lycée Saint Pierre Claver Bamboro Lastourville, en remplacement de M. MEZUI M’ONDO.
CENSEURS DE VIE SCOLAIRE
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : M. NKOULOU NDONG Pierre, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE FRANCOIS XAVIER NDONG OYEM
- Censeur de Vie Scolaire : M. OBIANG MINKO Denis, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.B. ADIWA LAMBARENE
- Censeur de Vie Scolaire: M. NDONGO Erasme, APOSE, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR ANDRE RAPONDA WALKER PORT-GENTIL
- Censeur de Vie Scolaire : M. EDZANG MVE Jean Marcel, PAESDG, confirmé.
LYCEE BESSIEUX LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme MEZUI ME NGUEMA Marie Scolastique, PESDG, précédemment Professeur d’Espagnol au lycée Bessieux Libreville, en remplacement de M. NKOULOU NDONG.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL MOUILA
- Censeur de Vie Scolaire : M. BOULINGUI Jean Bernard, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : M. BIBANG NDOUTOUME Florentin, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme ADA MEZUI Marie Claire, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS TCHIBANGA
- Censeur de Vie Scolaire : M. MBOKO MOUKAGNI Toussaint, PAESDG, confirmé.
COLLEGE JEAN MARIE VIANNEY ALENAKIRI LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : M. BOUSSOUGOU NZIENGUI Moïse, PESDG, précédemment Censeur de Vie Scolaire au Collège et Lycée Jésus-Marie Bitam.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES MAKOKOU
- Censeur de Vie Scolaire : M. ESSOUMA ESSOUMA Dieudonné, PESDG, confirmé.
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : M. NDONG ONDO Cyprien, APOSE, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER BAMBORO LASTOURVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : M. NZENGUE Raphaël, PAESDG, confirmé.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION / LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme MENDES SECA Maria Léonor TCHIBINDA, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme NDZIAGNA Marie Flore, PAESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme NTSAME NTEME Anne Marie, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme NTSAME NDONG Emmanuelle, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Censeur de Vie Scolaire : M. MBOUMBA KOUMBA Junior, PESDG, en remplacement de M. BOUSSOUGOU NZIENGUI.
DIRECTEURS DES ETUDES
COLLEGE SAINT JEAN / MINVOUL
- Directeur des Etudes : M. NDONG NGUEMA Apollinaire, PESDG, confirmé.
COLLEGE SAINT FELICIEN DIBWANGUI / LEBAMBA
- Directeur des Etudes : M. BAKALA BOUSSOUHOU Mathias, PAESDG, précédemment Professeur de Mathématiques au Collège Saint Félicien de Dibwangui Lébamba, en remplacement de M. KOUMBA Admire, décédé.
COLLEGE JEAN VIANNEY ALENAKIRI / LIBREVILLE
- Directeur des Etudes : M. EKOME NDONG Cyprien, PESDG, confirmé.
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Directeur des Etudes : Mme KLOMEGAN AMEYO épouse HELLEY ONDO, PESDG, confirmé.
COLLEGE SAINT JOSEPH / MITZIC
- Directeur des Etudes : M. ZAMBO MVE Emmanuel, PAESDG, confirmé.
SURVEILLANT GENERAUX
LYCEE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Surveillant Général : M. ASSOUMOU ONDO Ignace, Instituteur Principal, précédemment Surveillant Général au Lycée Bessieux Libreville, en remplacement de M. MOUKOUANGUI Ferdinand.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION / LIBREVILLE
- Surveillant Général : Mme ETOMO Valentine, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Surveillant Général : M. MEBALE M’ONDO Joseph, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Surveillant Général : M. MOUKOUANGUI Ferdinand, Instituteur Principal, en remplacement de M. ASSOUMOU ONDO Ignace
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Surveillant Général : M. ANGO NTOUGOU Emmanuel, Instituteur Principal, en remplacement de Mme NYOMBA Scholastique.
COLLEGE ET LYCEE CALASANZ / LIBREVILLE
- Surveillant Général au Collège et Lycée Calasanz Libreville : Mme MAKOSSO Méline Félicité, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE SAINT JEAN MARIE VIANNEY ALENAKIRI / LIBREVILLE
- Surveillant Général : M. NDJEMBI KASSA Aurélien, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE J.B. ADIWA / LAMBARENE
- Surveillant Général : M. PONGUI Timothée, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR ANDRE RAPONDA WALKER / PORT-GENTIL
- Surveillant Général : M. MOUANDA NDONG Michel, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
- Surveillant Général, chargé du 2nd Cycle : M. MADJATAGA Faustin, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
- Surveillant Général, chargé du 1er Cycle : M. NGOUELE Antoine, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE / MOANDA
- Surveillante Générale : Mme NGOMBI Léontine, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER / LASTOURVILLE
- Surveillant Général : Mme BAKOUSSOU Angélique, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE / KOULA-MOUTOU
- Surveillant Général : M. NYAMA MOUMOSSI Jean Bernard, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE / MOUILA
- Surveillant Général : M. MOUKAGNI MOUSSIROU Sébastien, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL / MOUILA
- Surveillant Général : M. NZOUBA NGOUNGA Jean Paul, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE SAINT FELICIEN DIBWANGUI / LEBAMBA
- Surveillant Général: M. DOUVIOGOU Davy Serge, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS TCHIBANGA
- Surveillant Général : M. IBOUANGA Jean Claude, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE HGR FRANCOIS XAVIER NDONG / OYEM
- Surveillant Général : M. EYI ONDO Jean de la Croix, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Surveillant Général, chargé du 1er Cycle : M. ONDO ENGOUANG Jean de Dieu, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Surveillant Général, Chargé du 2nd Cycle : M. OVONO NDONG Charles Marie, Instituteur, confirmé.
COLLEGE SAINT JEAN MINVOUL
- Surveillant Général : M. ABE N’NANG Sylvain, Instituteur Principal, en remplacement de M. NNA NDONG, décédé.
COLLEGE SAINT JOSEPH / MITZIC
- Surveillant Général : Mme MINKOUE ALLOGHE Madeleine, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES / MAKOKOU
- Surveillant Général : M. LANDOUMOU Jean Grégoire, Instituteur Principal, confirmé.
SURVEILLANT GENERAUX ADJOINTS
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : Mmes
· MBENGA Maria Pia, Instituteur Principal, confirmée ;
· MENGUE ELLA Georgette, Instituteur Principal, confirmée ;
· NFONO OBAME Georgette, Instituteur Principal, confirmée ;
· ASSENGONE MENDENE Blanche, Instituteur Principal, en remplacement de Mme NSA ELLA Sylvaine ;
· NYOMBA Scholastique, Instituteur Principal, en complément d’effectif ;
· M. MUNDUNG MUNGUNG Etienne, Instituteur Principal, confirmé.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION / LIBREVILLE
- Surveillantes Générales Adjointes : Mme
· NSA ELLA Sylviane, Instituteur Principal, en remplacement de Mme ASSENGONE MENDENE Blanche ;
· BENGA EYEGHE Françoise, Instituteur Principal, confirmée ;
· ELLO ENGOUANG Philomène, Instituteur Principal, confirmée ;
· MOUSSAVOU Marie Jeanne, Instituteur Principal, confirmée ;
· NZANG ASSOUMOU Amélie, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· ASSOUMOU ONDO Blaise, Instituteur Principal, confirmé ;
· HANGOUA YAZANGOYE Jérôme, Instituteur, confirmé ;
· NGOUA EDZANG ONDO Jean François, Instituteur Principal, confirmé ;
· OVONO ESSONO Barthélemy, Instituteur Principal, confirmé ;
Mmes
· MAROUNDOU MIHINDOU Angélique, Instituteur Principal, confirmée ;
· ONDO Jeanne Marie, Instituteur Principal, confirmée.
LYCEE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : Mmes
· KEDJUE NNO Jeanne, Instituteur Principal, confirmée.
· MINKEMOU Albertine, Instituteur Principal, confirmée ;
· ETOUME NDONG Odette, Instituteur Principal, en remplacement de Mme AVOMO BIYOGHE Marie Christine, remise à la disposition du 1er degré ;
MM.
· NSOME NDONG Daniel, Instituteur Principal, en remplacement de Mme KOMBA MAYOMBO Patricia, remise à la disposition du 1er degré ;
· IDOMBA Augustin, Instituteur Principal, en remplacement de M. ALO’O ELLA Sylvain, remis à la disposition du 1er degré.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· EKORE OWONO Guénolé, Instituteur Principal, confirmé ;
· ELLA ASSOUMOU Jean Pierre, Instituteur Principal, confirmé ;
· MBIRA NZE Mathurin, Instituteur Principal, confirmé ;
· MEGNE ME NDONG Rostand, Instituteur Principal, en remplacement de M. MIHINDOU MOMBO Faustin ;
· ESSONO ASSEKO Christian, Instituteur Principal, en remplacement de M. PIOGA ILAGOU.
COLLEGE ET LYCEE CALASANZ / LIBREVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· MIHINDOU MOMBO Faustin, Instituteur Principal, en remplacement de M. MEGNE ME NDONG Rostand ;
· PIOGA ILAGOU, Instituteur Principal, en remplacement de M. ESSONO ASSEKO Christian.
· Mme MINKOUE ME ZANG Justine, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE JEAN MARIE VIANNEY / ALENAKIRI
- Surveillante Générale Adjointe : Mme NNEGHE OKOUE Bernadette, Instituteur Principal, en complément d’effectif.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.B. ADIWA / LAMBARENE
- Surveillants Généraux Adjoints :
· Mme AKARE Gloria, Instituteur Principal, confirmée ;
MM.
· MGUIMBI BOULINGUI David, Instituteur Principal, confirmé ;
· YOUMINI Prosper, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR ANDRE RAPONDA WALKER PORT-GENTIL
- Surveillants Généraux Adjoints :
· M. KOKO Arsène, Instituteur Principal, en remplacement de M. EBAMBA MAGAYA Jean Jacques, appelé à d’autres fonctions ;
· Mme MAKAYA DAYIYI Marie, Instituteur Principal, confirmée ;
· M. NFOUBOU Apollinaire, Instituteur Principal, confirmé ;
· M. MOUIRY MOUNDOUNGA, Instituteur Principal, confirmé ;
· M. ONDO MBA Jean Mathurin, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
· Surveillants Généraux Adjoints : MM
· BEYOUMA Yves Bertrand, Instituteur Principal, confirmé ;
· DIENGA Jean Pierre, Instituteur Principal, confirmé ;
· OMFIA Marc, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE / MOANDA
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· KOBA Jean Théophile, Instituteur Principal, confirmé ;
· LENPANDJI Jacques, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO LASTOURVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· BOUGOUANDJI François, Instituteur Principal, confirmé ;
· LIKOKA AWAYA Marc, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE / KOULA-MOUTOU
- Surveillants Généraux Adjoint :
· Mme BOUKINDI MOUGHOLA Yvonne, Instituteur Principal, confirmé ;
· M. KAYI Eugène, Instituteur Principal, confirmé ;
· Mme NDOHO ABAGA Octavie Berthe, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE / MOUILA
- Surveillants Généraux Adjoints :
· Mme BIGNOUMBA Marie Stéphanie, Instituteur Principal, confirmé ;
· Mme ITSHOPOTS Stéphanie, Instituteur Principal, confirmé ;
· M. MOUNDOUNGA BOUROBOU Carles, Instituteur Principal, confirmé ;
· Mme MAROGA BOUASSA Léontine, Instituteur Principal, confirmé.
COLLE ET LYCEE SAINT GABRIEL MOUILA
- Surveillants Généraux Adjoints :
· M. DISSELE Charles, Instituteur Principal, confirmé ;
· Mme MOUTSIENGUI Antoinette, Instituteur Principal, confirmé ;
· M. MOUNDOUNGA Laurent, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS / TCHIBANGA
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· MOMBO Jean Rémi, confirmé ;
· NDINGA MOUSSAVOU Jean Claude, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR FRANCOIS XAVIER NDONG / OYEM
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
- BE ONDO Mermoz, Instituteur Principal, confirmé ;
- MINKO M’OBAME Eloi, Instituteur Principal, confirmé ;
- NDONG NGUEMA Jean René, Instituteur Principal, confirmé ;
- NDONG ONDO Jean Clair, Instituteur Principal, confirmé ;
- MEYE ME NDONG Suzanne, Instituteur Principal, en complément d’effectif.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Surveillant Général Adjoint : M. MBELE MVE Célestin, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE SAINT JEAN / MINVOUL
- Surveillants Généraux Adjoints :
· M. NDOUME AFOUGHE François, Instituteur Principal, confirmé ;
· Mme NTSAME NGOMO Brigitte, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE SAINT JOSEPH / MITZIC
- Surveillant Général Adjoint : M. EBARE ONDO Sylvestre, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES / MAKOKOU
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· MANGOMAZAMBE Arnold, Instituteur Principal, confirmé ;
· MOASSOUWA Faustin, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE NOTRE DAME DES VICTOIRES (MAKOKOU)
- Surveillant Général Adjoint : M. ONDO MBA Paulin, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE SAINT FELICIEN DIBWANGUI (LEBAMBA)
- Surveillant Général Adjoint : M. BOUGOUENDZI Dieudonné, Instituteur Principal, en complément d’effectif.
INTENDANTS
COLLEGE BESSIEUX (LIBREVILLE)
- Intendante : Mme MAGAMBA Séraphine, confirmée.
LYCEE BESSIEUX (LIBREVILLE)
- Intendante : Mme MIDOKO LEBANI Gisèle, confirmée
INSTITUT IMMACULEE CONCEPTION (LIBREVILLE)
- Intendante : Mme MAKAKOU BOUANGA Viviane épouse KASSA, en remplacement de Mme NYENGUE Adolphine, mutée.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Intendante : Sœur NFONO Rose Marie, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN (LIBREVILLE)
- Intendante : Sœur OBONE Claire Liliane, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE CALANSANZ (LIBREVILLE)
- Intendant : Père Martin NIETO Luis, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE Mgr. J.B. ADIWA (LAMBARENE)
- Intendant : M. ESSELE EFFAGHE Simon, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE Mgr. RAPONDA WALKER (PORT-GENTIL)
- Intendant : M. AFATOUGHE Donatien, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES (MAKOKOU)
- Intendante : Mme BALA AMVAME Jacqueline, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE (MOUILA)
- Intendant : M. NDONG ENGA Noël, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL (MOUILA)
- Intendante : Mme EDZIMA EKOUME Yolande, en remplacement de Mme INYANGA Brigitte, mutée
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS (TCHIBANGA)
- Intendant : M. MOUNDOUNGA Augustin, en remplacement de Mme EDZIMA EKOUME Yolande, mutée.
COLLEGE SAINT FELICIEN (DIBWANGUI)
- Intendante : Mme TOUMBA Carine Gaëlle, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE Mgr. François Xavier NDONG (OYEM)
- Intendante : Mme MESSASSA Eulalie, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE (BITAM)
- Intendante : Mme MINJKOUE ALLOGO Nathalie épouse BIYOGO MBA, confirmée.
COLLEGE SAINT (MINVOUL)
- Intendant : M. NGUEMA EKOME Michel, confirmé.
COLLEGE SAINT JOSEPH (MITZIC)
- Intendante : Mme ETOME OBIANG Constance, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE Mgr. J.J. ADAM (FRANCEVILLE)
- Intendant : M. MIMBE OLLAME Samuel B., confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE (MOANDA)
- Intendante : Mme MANDOUMOU Agnès, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO (LASTOURVILLE)
- Intendant : Mme BIKISSA Marie Félicité, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE (KOULA-MOUTOU)
- Intendant : Mme KOUMBA Jeanine épouse NDJANDJA, confirmée.
GESTIONNAIRES DES COLLEGES ET LYCEES
COLLEGE BESSIEUX (LIBREVILLE)
- Gestionnaire : M. ABELOKO Raoul, confirmé
LYCEE BESSIEUX
- Gestionnaire : Mme IGNINGA Solange, confirmée
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN (LIBREVILLE)
- Gestionnaires : MM.
· NGOYE François, confirmé
· MBA EDZEANG Frédéric, en remplacement de M. MOUDOUNGA Augustin, appelé à d’autres fonctions.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE (LIBREVILLE)
- Gestionnaires : Mmes :
· NGOUMOU Alphonsine épouse ONDO NGUEMA, confirmée
· SEKI MOUELE Victorine épouse ABAMBOLE, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE Mgr. J.B. ADIWA (LAMBARENE)
- Gestionnaire : Mme NDEMBI Marie Fabienne, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL (MOUILA)
- Gestionnaire : Mme ENGUESSI Jeannette, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE (MOANDA)
- Gestionnaire : M. ONTSIA Faustin
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO (LASTOURVILLE)
- Gestionnaire : Mme MBINGA KOULE Liliane
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM (FRANCEVILLE)
- Gestionnaire : Mme MBESSET Rose, confirmée
COLLEGE ET LYCEE JESUS MARIE (BITAM)
- Gestionnaire : Mme DINONGA Anastasie, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE MGR FRANCOIS XAVIER NDONG (OYEM)
- Gestionnaire :
· Mme OKOME NKOGHE Franckline, confirmée
· M. ELLA EBANG Florentin, confirmé.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION (LIBREVILLE)
- Gestionnaire : Mme INYANGA Brigitte, en remplacement de Mme MAKAKO Viviane, appelée à d’autres fonctions.
GESTIONNAIRES DES SECTEURS SCOLAIRES
WOLEU NTEM CENTRE-NORD (OYEM)
- Gestionnaire au Secteur Scolaire Catholique : Mme NSE EKOUAGHE Géneviève, en remplacement de Mme ESSONO Delphine, retraitée.
COMMUNE DE LIBREVILLE NORD
- Gestionnaire au Secteur Scolaire Catholique : Mme NGOUSSOU Antoinette en remplacement de Mme MBESSET Rose, mutée.
Le reste sans changement.
CHEFS DES SECTEURS SCOLAIRES
COMMUNE DE LIBREVILLE-NORD
- Chef de Secteur Scolaire : M. MOULOUNGUI Guy Edgar A., Inspecteur Pédagogique, confirmé.
COMMUNE DE LIBREVILLE-SUD
- Chef de Secteur Scolaire : Mme MECKA Félicité, Inspecteur Pédagogique, confirmée.
ESTUAIRE
- Chef de Secteur Scolaire : M. EFFA ENDAME NDONG Jean de Dieu, Inspecteur Pédagogique, confirmé.
HAUT-OGOOUE SUD (MOANDA)
- Chef de Secteur Scolaire : M. BESSAMA Dieudonné, Conseiller Pédagogique, confirmé.
HAUT-OGOOUE NORD (FRANCEVILLE)
- Chef de Secteur Scolaire : M. MOUSSIROU Simplice, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. KOUGA Jean Bruce, appelé à d’autres fonctions.
MOYEN OGOOUE (LAMBARENE)
- Chef de Secteur Scolaire : Mme EFFAGHE NDONG Béatrice, Conseiller Pédagogique, confirmée.
NGOUNIE NORD (MOUILA)
- Chef de Secteur : Mme PEMBA Angélique épouse BIGOUAGOU, Conseiller Pédagogique, confirmée.
NGOUNIE CENTRE (NDENDE)
- Chef de Secteur : M. MBA NANG Eric, Inspecteur Pédagogique, confirmé.
NGOUNIE SUD (MBIGOU)
- Chef de Secteur : M. MAMONO Joseph, Conseiller Pédagogique, confirmé.
OGOOUE IVINDO
- Chef de Secteur : Mme ZOUGA MINTSA Laurence épouse ENGOUANG, Conseiller Pédagogique, confirmée.
OGOOUE LOLO NORD (LASTOURVILLE)
- Chef de Secteur : M. OSSARIGOYIGA Jean-Bernard, Conseiller Pédagogique, confirmé.
OGOOUE LOLO SUD (KOULA-MOUTOU)
- Chef de Secteur : M. ESSONO MINTSA Jean-Louis, Conseiller Pédagogique, confirmé.
OGOOUE-MARITIME (PORT-GENTIL)
- Chef de Secteur : Mme MPOLO Christine, Inspecteur Pédagogique, confirmée.
WOLEU-NTEM (BITAM)
- Chef de Secteur Scolaire : Mme MENGUE M’OYONO Christine, Conseiller Pédagogique, en remplacement de M. ALLOGO ABESSOLO Clément, appelé à d’autres fonctions.
WOLEU-NTEM (MINVOUL)
- Chef de Secteur Scolaire : M. NGUEMA ENGOZOGO Paul Max, Conseiller Pédagogique, en remplacement de Mme MENGUE M’OYONO, mutée.
WOLEU-NTEM CENTRE-NORD (OYEM)
- Chef de Secteur Scolaire : M. NDONG ONDO Alexis, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. MOUSSIROU Simplice, muté.
WOLEU-NTEM CENTRE-SUD (OYEM)
- Chef de Secteur Scolaire : M. NZENG MENGUE Serge, Inspecteur Pédagogique, confirmé.
WOLEU-NTEM SUD (MITZIG)
- Chef de Secteur Scolaire : M. KALAGNAGA Félicien, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. MOUKAGA Gustave, muté.
NYANGA
- Chef de Secteur Scolaire : M. MOUKAMBI Jean Bernard, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. NGUEMA ENGOZOGO, muté.
CHEFS D’ANTENNES PEDAGOGIQUES
MEDOUNEU (WOLEU-NTEM SUD
- Chef d’Antenne Pédagogique Catholique : M. EDZANG OBAME Gaspard, PAEN, en remplacement de M. ALLOGO Sylvestre, appelé à d’autres fonctions.
MEKAMBO (OGOOUE IVINDO)
- Chef d’Antenne Pédagogique Catholique : M. EMANE MENDOME Jean Roger, PAEN, Confirmé.
FOUGAMOU (NGOUNIE NORD)
- Chef d’Antenne Pédagogique Catholique : M. MEDJOE Gervais Claude, PAEN, confirmé.
MOABI (NYANGA)
- Chef d’Antenne Pédagogique Catholique : M. MOULOUNGUI ALARHA Jean Bernard, Conseiller Pédagogique, en remplacement de M. NZIENGUI Marcellin, appelé à d’autres fonctions.
NDJOLE (MOYEN OGOOUE)
- Chef d’Antenne Pédagogique : M. NZE NTETOME Jean Robert, Conseiller Pédagogique, confirmé.
DIRECTION NATIONALE
INSPECTION CHARGEE DES RESSOURCES HAUMAINES, DES AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES
- Chef d’Inspection, chargé des Ressources Humaines, des Affaires Administratives et Financières : M. BOUSSOUGOU Georges, Inspecteur Pédagogique.
SECRETARIAT ADMINISTRATIF DE L’INSPECTION CENTRALE
- Secrétaire Administratif de l’Inspecteur Central : M. TSAMBA PONGUI Marcel, AAG, confirmé.
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
- Directrice des Ressources Humaines : Mme SAULNEROND Sophie, PESDG, en remplacement de M. MBOUMBA KOUMBA Junior, appelée à d’autres fonctions.
SECRETARIAT ADMINISTRATIF DU DIRECTEUR NATIONAL
- Secrétaire Administratif du Directeur National : M. MOUKAGA Gustave Jean Luc, Conseiller Pédagogique, en remplacement de M. IDOMBA Augustin, appelé à d’autres fonctions.
SECRETARIAT ADMINISTRATIF ADJOINT DU DIRECTEUR NATIONAL
- Secrétaire Administratif Adjoint du Directeur National : M. NSEME BENGONE Arnaud Duplexe, I.P.
INSPECTION DE L’ENSEIGNEMENT PRE PRIMAIRE ET PRIMAIRE
- Chef d’Inspection de l’Enseignement Pré-Primaire et Primaire : M. MAYILA MATOUMBA Norbert, Inspecteur Pédagogique, confirmé.
INSPECTION DU 2nd DEGRE
- Chef d’Inspection du 2nd Degré : M. BESENGOYE Jean Luis, PESDG, confirmé.
INSPECTION CHARGE DU CONTRÔLE DE L’EVALUATION DE LA FORMATION ET DU PERFECTIONNEMENT
- Chef d’Inspection chargé du contrôle de l’Evaluation de la Formation et du Perfectionnement : M. NZENGUE Joseph, Inspecteur Pédagogique.
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Gabon: Le Gabon 9ème économie la plus compétitive d'Afrique
Libreville, le 10 septembre 2012 - Pour son premier classement par le célèbre Forum économique mondial, le Gabon occupe une place notable dans le premier tiers des pays africains (9e/38) et figure, en compagnie des Philippines, du Qatar, de l’Algérie, de l’Egypte et du Botswana, dans le groupe des 17 économies en transition entre la rente et l’efficience. Le Gabon est le seul pays d’Afrique noire dans ce groupe.
1 / La confiance des investisseurs internationaux
Depuis 2010, le Gabon bénéficie de la confiance des investisseurs dont la perception du risque gabonais s’est significativement améliorée. Plusieurs contrats, portant sur des projets structurants, d’un montant de plus de 4 milliards de dollars, ont été signés depuis 2010 dans les secteurs du bois, de l’agriculture et des infrastructures.
Les agences de notations reconnaissent la volonté de réforme du pays et la stratégie économique mise en place. En avril 2012, l’agence Fitch a ainsi revu la perspective du Gabon à « positive » et confirmé sa notation BB.
« Le gouvernement accélère la diversification de l'économie pour se tourner vers le secteur manufacturier, avec des investissements massifs dans les infrastructures et la création de zones économiques spéciales. La mise en place de nouveaux dirigeants dans l’administration et les mesures visant à améliorer la gouvernance publique et attirer des investissements étrangers démontrent la volonté de réforme du pays, » a indiqué Reuters à la publication des nouvelles notations de Fitch.
Cette confiance à l’international trouve sa justification dans le classement GCI, au travers de nombreux indicateurs : Faible impact des tracasseries administratives (19e place mondiale), crime organisé (31e), éthique des affaires (49e), téléphonie mobile (48e), épargne nationale brute/Pib (12e), dette publique/Pib (25e).
2 / La croissance retrouvée
Depuis 2010 et après 2 années de fort ralentissement, l’économie gabonaise renoue avec une forte croissance, à 7,4% en 2012 (-2,7 en 2009). Preuve du succès de la politique du Gabon Emergent, le PIB non-pétrolier contribue désormais pleinement à ces bonnes performances.
Il connaît en effet une croissance à 2 chiffres qui dépasse, depuis 2 ans, celle du PIB pétrolier 2012 : 10,4% de croissance hors-pétrole vs 1.5% de croissance pour la production de pétrole.
Cette croissance est portée par :
- Le secteur des mines
- La relance du secteur bois
- Les BTP, en particulier la construction des barrages hydro-électriques
- Les services qui soutiennent les secteurs cités précédemment
3 / La structuration du territoire
Entre 2012 et 2016, quelque 175 projets « lourds » sont fléchés, pour un total de 20 milliards USD, dont 6 milliards sur le développement des routes (1700km) et 5,5 sur celui du réseau ferré (800 km).
Dans le classement GCI, le Gabon se place au 67e rang mondial pour l’importance des infrastructures ferroviaires. Le Gabon disposera à l’horizon de 2016 de 3663 km de routes bitumées de qualité (soit 30% de son réseau routier) qui supportera 80% du trafic national de biens et de personnes.
Le plan directeur national d’infrastructures regroupe 21 grands projets, pour un investissement total estimé à plus de 12,236 milliards USD sur 6 ans.
4 / Un bon climat d’affaires.
Le plan-cadre des affaires et appui au secteur privé se trouve au centre de l’action gouvernementale, dans l’objectif de mettre ce secteur au centre du fonctionnement de la Chambre de commerce.
Un audit général de la fonction publique a permis la suppression de milliers de postes fantômes, développant l’efficiente de la relation public-privé.
Dans le classement GCI, le Gabon enregistre de bons indices, se situant parmi les 60 meilleurs mondiaux dans l’éthique des affaires, la sécurité, la transparence des actions gouvernementales, le process des conseils d’administration.
5 / De grands projets
Création de la zone économique spéciale de Nkok en partenariat public-privé avec la firme singapourienne Olam constituée de zones industrielles à 75% (scierie, ferraille, ciment, etc.) et de 25% de zones résidentielles et commerciales (€675m d’investissement par an attendus sur les trois prochaines années).
Construction du barrage de Poubara (160MW) près de Franceville pour alimenter la future usine de ferromanganèse de Moanda (investissement de €300m financé à 75% par la Chine et 25% par le Gabon) et d’une centrale thermique (105MW) à Port Gentil par une société israélienne ( €115m).
INFO
Définissant la compétitivité en tant qu'ensemble des institutions, des politiques et des facteurs qui déterminent le niveau de productivité d'un pays, le classement du GCI est basé sur plus de 100 indicateurs organisés en 12 catégories, les piliers de compétitivité, qui permettent de dresser un portrait de la compétitivité d'un pays (institutions, infrastructures, données macro-économiques, santé et éducation primaire, enseignement supérieur et formation, marché des biens, modernité du système d’emploi, marché financier, infrastructures technologiques, taille du marché, climat des affaires, innovation).
FIN
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/
La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.
La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.
Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/ ou contacter http://www.cocom.rggov.org/
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Gabon: Raphaël Ntoutoume Nkoghe répond a Vincent Hugueux
Libreville, le 8 septembre 2012
Bonjour M. Hugeux,
Je m'appelle Raphaël Ntoutoume Nkoghe, fils de Justin Ntoutoume Nkoghe. Je ne perdrai pas mon temps à vous dire ce que je fais dans la vie puisque vous le savez mieux que moi-même. Je vais juste user de votre précieux temps pour attirer votre irréprochable attention sur deux points:
- Ce que j'apprécie chez les journalistes Français, c'est leur aptitude à toujours recouper les informations jusqu'auprès du principal sujet de l'information. De retour à La Rochelle, votre confrère Thomas Hofnung de « Libération », qui n'a jamais été tendre avec le régime en place au Gabon, a quand même pris la peine de venir nous rencontrer. Lorsque son papier sortira, même s'il est dur envers nous, j'aurai du mal à le contester car je sais qu'il a agi en professionnel et non en militant.
Sa démarche a procédé de l'honnêteté et de la bonne foi. En professionnel, il n'a pas trié ses sources. J'ai du respect pour ce Monsieur qui ne s’abreuve pas des seuls mensonges et incantations de certains activistes xénophobes et racistes de l’opposition ; qui ne prend pas pour livre de chevet les pages Facebook d’activistes de certains mouvements citoyens hautement tribalisés.
Il faut parfois souffrir d’avoir le recul. J’ai été à La Rochelle, vous non. D’ailleurs, vous n’étiez même pas en France durant toute cette période puisque vous étiez à l’étranger. Vous avez donc écrit sous la dictée de votre source gabonaise. Source dont tout le monde, au Gabon, connait l’exceptionnelle habilité à falsifier les faits et à manipuler la vérité.
A cet effet, le jour où il vous viendra l'envi de parler de La Rochelle, vous pourriez me contacter et on parlera de La Rochelle. Car, je constate que c'est votre nouvelle passion: la « simili-délégation du PDG, qui, munie d’une pseudo-invitation grossièrement bricolée et envoyée depuis le fax de Roland Dumas ».
Apparemment, avec tout ce que la France compte comme journalistes, vous êtes le seul à faire de cette visite le scandale du siècle au point de la placer à l'affiche de l’actualité mondiale. Et comme vous êtes habité par une immortalité certaine, vous ne pouvez donc pas, par la manière vous continuez d’édulcorer les faits, vous empêcher de cracher sur le cercueil du compatriote qui a initié cette affaire et qui est décédé le jour même de l’ouverture des universités d’été du PS. Vous comprendrez alors pourquoi, les mortels que nous sommes, avions opté de ne pas faire grande caisse sur cette affaire qui, en France ne concerne et passionne que vous et votre source de Libreville.
- L'autre aspect que je voulais aborder avec vous est votre promptitude à parler des gens que vous ne connaissez pas. Vous affirmez que « Raphaël Ntoutoume Nkogue, conseiller à la présidence, anime un journal "satirique" fort bienveillant envers le pouvoir ». Déjà, je trouve discourtois et irrespectueux que vous ne prenez pas la peine de bien écrire mon nom.
Ensuite, vous dites que j’anime un journal, ce que vous ne pouvez absolument pas démontrer. Mais je trouve cela tout simplement triste car à chaque fois qu’il m’est arrivé d’écrire sur un pays, c’est que je le connais. Je ne parle que de ce que je connais.
Je ne sais pas si vos sources à Libreville vous l’ont dit, mais il y a une sagesse Fang qui dit ceci : « On n’écoute pas le Mvet de la bouche de celui qui a écouté le récit du conteur. On écoute le Mvet de la bouche même du conteur ». Or, à vous lire, c’est quasiment du Tintin au Gabon.
Toutefois, je reconnais en vous quelqu’un qui a de réels talents. Des talents, certainement de journaliste, mais aussi, et beaucoup plus, de militant.
Vous voulez écrire sur le Gabon ? Je vous invite au Gabon.
Raphaël Ntoutoume Nkoghe
Conseiller du Président de la République
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08/09/2012
Gabon:Le Chef de l’Etat lance les travaux de la route de Glass et visite les nouveaux aménagements du CHU de Libreville
Libreville, 7 Septembre 2012 – Le Chef de l’Etat a lancé ce vendredi 7 septembre les travaux de réaménagement de la route de Glass. Un vaste chantier qui s’inscrit dans la stratégie de réaménagement urbain qui vise l’amélioration de la qualité de vie pour tous.
Il s’est ensuite rendu au Centre Hospitalier Universitaire de Libreville où il a visité les services d’urgence rénovés, les nouveaux blocs opératoires et le service de pédiatrie.
Accompagné du Ministre de la Promotion des Investissement, des travaux publics, des transports, de l’habitat et du tourisme, chargé de l’aménagement du territoire, Magloire Ngambia et du Directeur Général de l’Agence Nationale des Grands Travaux (ANGT), Henri Ohayon, Le Chef de l’Etat s’est vu présenter le plan du projet de la route de Glass.
Un chantier important puisqu’il s’agit de réaménager entièrement l’axe : bord de mer – Lalala.
Les plans prévoient la mise en place d’une 2x2 voies incluant des couloirs de bus, des trottoirs agrandis, la présence d’espaces verts, des aires de stationnement ainsi que l’installation souterraine des réseaux d’électricité et de communication.
La première phase des travaux démarrera le 15 septembre 2012 et concernera l’aménagement de l’axe échangeur de Lalala –marché d’Oloumi. La fin des travaux est prévue courant du 2e semestre 2013.
« Je vous remercie de votre patience et comme vous le voyez, elle est récompensée », a lancé le Chef de l’Etat aux habitants du quartier de Lalala. « Je vous demande de bien vouloir être encore un petit peu patient car ces travaux vont engendrer des désagréments, tous sera fait pour que ceux-ci soient limités », a-t-il ajouté.
Le Chef de l’Etat a assuré que ces travaux vont dans le sens du progrès : l’amélioration de la fluidité du trafic, une plus grande sécurité sur la route pour tous les usagers, piétons et chauffeurs mais aussi une amélioration du cadre de vie.
La mairie du 5e arrondissement de Libreville, les habitants du quartier et les commerçants sont parties prenantes dans ce projet.
Un programme global d’amélioration de la qualité de vie Le chantier de la route de Glass s’inscrit dans un vaste et ambitieux programme d’aménagement urbain.
En effet, la politique de développement de villes nouvelles mise en place par le Chef de l’Etat vise l’amélioration concrète des conditions de vie de l’ensemble des gabonais. Elle propose un nouveau plan d’urbanisme, le SMART CODE, qui vise dans les moindres détails les meilleurs standards internationaux.
Ce Code vise notamment à :
• la systématisation de l’assainissement dans nos villes ;
• la protection de l'environnement ;
• la préservation des espaces verts avec les bénéfices sanitaires d'un environnement piétonnier;
• la réduction des encombrements liés à la circulation des véhicules ;
• la préservation de l'histoire, de la santé, de l'éducation et des loisirs ;
• la réduction de l'étalement urbain et l'amélioration de l'environnement bâti.
Conçu pour être adapté aux conditions locales, idéalement avec la participation des élus et des citoyens locaux, le SMART CODE établie la politique de rénovation et de croissance urbaine du Gabon. Il concerne aussi bien les régions, que les communautés, les îlots et les bâtiments.
Il définit des normes précises, selon les meilleurs standards internationaux, pour les voies de circulation pour piétons comme pour automobiles, les logements, la densité de population souhaitable par zone, les espaces publics, industriels et de stationnement, les normes pour les paysages en zone urbaine et les normes de signalisation.
C’est sur cette base que se développe actuellement le nouveau quartier d’Angondjé.
D’ici fin 2012, entre 1000 et 1500 logements adaptés aux différentes catégories sociales de la population gabonaise seront disponibles dans cette zone. De nombreux espaces verts, des établissements de santé, des zones commerciales, des écoles, des services administratifs et publics et un réseau de routes hiérarchisé y seront construits.
8000 logements suivront en 2013, puis 8500 en 2014. L’objectif est de construire 35000 logements en 7 ans dans ce quartier.
Les infrastructures de santé font pleinement partie de cette politique d’amélioration de la qualité de la vie et d’aménagement urbain souhaitée par le président. C’est ainsi que le Chef de l’Etat s’est rendu au CHU de Libreville dès la fin de sa visite à Lalala.
Modernisation du CHU de Libreville
Les nouveaux services d’urgence et de chirurgiedu CHU de Libreville ont été livrée en juillet dernier. Le Chef de l’Etat a souhaité voir de lui-même le résultat de ces travaux.
Accompagné du Ministre de la Santé, Léon Nzouba, Ali Bongo Ondimba a visité le service d’urgence, avant de passer par le service de soins intensifs et de se rendre dans les différents blocs opératoires aux équipements modernes.
Il a terminé sa visite par le service pédiatrique où il a pu constater de la bonne prise en charge des enfants. « La santé conditionne un développement harmonieux », a déclaré le Président dans les couloirs du CHU. « Il faut maintenir ses équipements et en prendre soin », a-t-il ajouté, « ceci est mis au service des populations », a-t-il conclu.
L’accès aux soins pour tous
L’amélioration de l’accès à la santé pour tous est l’un des axes prioritaires du projet de société d’Ali Bongo Ondimba.
L’objectif est que tous les gabonais à travers le pays puissent bénéficier de soins de qualité et d’une meilleure prise en charge, dans un environnement approprié.
Pour cela, le Chef de l’Etat a lancé un vaste programme de réaménagement, réhabilitation et construction de nouveaux hôpitaux plus modernes et mieux équipés tout en développant l’assurance maladie pour tous via la CNAMGS.
Les principaux hôpitaux du pays ont été rénovés ou sont en cours de rénovation; des centres hospitaliers spécialisés ont été construits.
Le CHU de Libreville dispose désormais d’un nouveau Bloc Chirurgical et d’un nouveau service d’urgence, le nouveau CHU d’Angondjé ouvert depuis janvier 2012 peut désormais accueillir une centaine de patients et les Centres hospitaliers régionaux ont été rééquipés.
A Libreville, la Fondation Jeanne Ebori va être entièrement reconstruite et sera dédiée aux soins de la mère et de l’enfant, un nouveau CHU international spécialisé dans la recherche et le traitement des maladies tropicales est en construction à Lambaréné, enfin en 2013 démarreront les constructions des nouveaux centres hospitaliers d’Oyem et Mouila.
Cet investissement dans les structures et équipements de santé publique s’accompagne d’un effort soutenu pour l’amélioration de l’approvisionnement en médicaments, la dotation en équipements et la formation du personnel, principalement la formation aux équipements modernes.
Des visites régulières sur le terrain
Les visites effectuées aujourd’hui montrent l’importance donnée par le chef de l’Etat aux chantiers prioritaires pour les gabonais : l’amélioration de l’espace de vie et les progrès dans les services de santé.
A travers ces visites de terrain, le Chef de l’Etat démontre une nouvelle fois son engagement à veiller personnellement à la bonne conduite des chantiers en cours dans le pays.
Il l’avait déjà montré lors de ses visites sur les chantiers de la CAN, le lancement des travaux de l’aéroport de Port gentil ou la tournée dans les 9 provinces du pays.
Pour le Président, ces visites de terrain sont le moyen le plus sûr de connaitre les préoccupations de ses concitoyens et de répondre le mieux possible à leurs besoins.
C’est la réalisation de ces chantiers qui conditionne la réussite du projet de société mis en place par le Chef de l’Etat.
FIN
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/
La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.
La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.
Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/ ou contacter http://www.cocom.rggov.org/
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