27/11/2011

Gabon: UN NÉCROMANCIEN NOMMÉ MIKE JOCKTANE

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Source : Le Scribouillard du vendredi 25 novembre 2011

 

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Gabon: UN HURLUBERLU NOMMÉ MIKE JOCKTANE

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Gabon: LES CANARDS BOITEUX DE LA DÉMOCRATIE . André Mba Obame, Zaccharie Myboto, Jean Eyeghe Ndong, Jules Bourdes Ogouliguendé, Marc Ona Essangui, Georges Mpaga ...

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Source : Le Scribouillard du vendredi 25 novembre 2011

 

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Gabon: COUP D'ETAT AVORTÉ D'ANDRE MBA OBAME , LE MERCENAIRE BESCOS DÉPOSE PLAINTE .

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Comme vous le voyez bien, c'est du fond de sa prison que Bescos aurait décidé de nous traîner en justice.

L'emploi du conditionnel trouve son sens dans le fait que nous ne sommes pas certains que cette procédure ait véritablement et directement été initiée par le pauvre.

Depuis un certain temps, la mobilisation de la belle armada médiatique (« Echos du Nord », « La Une », « Le Nganga », « Le Mbandja », etc.) et politique d'AMO autour de cette affaire, a été si formidable qu'il fallait s'attendre à d'autres formes de soutien à Bescos.

Après la presse d'attaque d'AMO, voilà maintenant que l'un de ses avocats se porte garant de défendre Bescos.

On sait que nos admirateurs vont bientôt nous flanquer sur le visage le droit de tout avocat à accepter de défendre qui il veut. Et là, ils auront triplement raison : l'avocat d'AMO a parfaitement le droit de défendre le mercenaire d'AMO.

Surtout que Me Gisèle Eyué jouit d'une intégrité aussi blindée que les faux fourgons de Félix qui l'avaient rendue célèbre. On ne peut donc que s'incliner et lui souhaiter bonne chance.

Techniquement, on ne sait pas tellement comment ça va se passer le jour de l'audience. Le plaignant, c'est-à-dire Bescos, bénéficierat- il d'une dérogation ou laissera-t-il seulement son conseil venir le représenter ? Difficile.

Mais il n'est pas question, en ce qui nous concerne, que le plaignant ne soit pas présent à la barre car, pour notre défense, et c'est notre droit le plus absolu, nous avons quelques questions à lui poser. Il faudra donc qu'il soit présent.

Il faut dire que cette procédure contre « La Griffe » tombe au plus mauvais moment pour Bescos et son conseil.

Les enquêtes, toujours en cours, ont trouvé terre fertile sur deux éléments saisis lors de la perquisition. Les faux permis de port d'armes, volontairement falsifiés, ainsi que les épaulettes de capitaine de l'armée.

Des éléments, ajoutés aux armes de guerre et aux munitions saisies, qui n'ont strictement rien à voir avec sa profession de « forestier ».

Ce qui pourra amener – si ce n'est déjà – à une douloureuse requalification des faits. Et… D'ici-là, accusée « La Griffe » : levez-vous !



Source : La Griffe du vendredi 25 novembre 2011


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Gabon: APRES LE KO DE LA BIOMÉTRIE , MARCO ET AMO ONT SAUTES PIEDS JOINTS DANS LE BÉTON.

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De trois au départ, nous en sommes presque au triple. La saignée est tellement douloureuse qu'à défaut d'arrêter l'hémorragie, les radicaux ont tout simplement décidé d'abandonner la caravane pour aller voir ailleurs. Les traîtres sont partout…

Entre Eyeghe Ndong qui demande pardon, supplie ses supporters de l'accompagner à la pêche le jour du scrutin, et Marc Ona qui joue désormais aux apprentis bétonneurs, il y a comme une communion de stratégie :
celle de l'abandon.

Lorsque ceux qui incarnaient le jusqu'au-boutisme, symbolisaient le front permanent et caractérisaient la première ligne de défense ne parlent plus d'empêcher la tenue du scrutin, n'entonnent plus le célèbre « pas de biométrie, pas d'élection », c'est que le combat est définitivement perdu.

Et pourtant, avant de décider d'aller à la pêche, le Hutu modéré de Nkembo ne manquait pas de pêche dans ses déclarations et actes. Et pourtant, avant d'aller faire sa déclaration d'amour du béton à Glass et Rio, Marc n'avait jamais été – pas une seule fois ! – en manque de propos en métal , quand bien même son raisonnement était construit de briques et de broc.

Maintenant, c'est notre tandem qui vient de déserter le front: qui pour aller embêter les pauvres poissons, qui pour aller mélanger les esprits avec du sable et le ciment. Finalement elle est grande, la famille des déguerpis.

Il y a d'abord ceux qui se sont auto-déguerpis de la biométrie pour se reconvertir dans la pêche et la maçonnerie.

Ensuite, ceux qui ont courageusement pris la tangente et accepter d'aller participer à ce scrutin dont ils avaient pourtant promis, la main sur le coeur, d'empêcher la tenue si jamais Zeus s'entêtait à l'organiser sans la biométrie.

En tout cas, l'animosité et la haine qui les animent aujourd'hui, l'un à l'égard de l'autre, n'ont d'égal que l'amour qui les unissait hier. Comme dirait Marc, « c'est la vie ».

Une « vie » qui a vu cette belle aventure, ce noble combat, qui prenait pourtant, comme l'expliquait presque en larmes Paulette, ses sources dans les contrées libérées d'Afrique du Sud, se liquéfier au fur et mesure que la date du scrutin s'approchait.

Et puis, se produisit ce que Marc, bouillonnant de colère, considère comme étant le baiser de Judas : l'annonce de Mayila, Maganga et Ndaot de participer aux législatives La trahison est vécue comme un coup de Douk-Douk dans le dos

Mais Ona et ses alliés de l'ex- UN ne savent pas que ce n'est que le début d'une véritable bérézina.

A son tour, celui que l'on croyait être un allié sûr et digne de confiance, l'UPG, décidait aussi d'aller au vote.

Et quand viendront s'ajouter l'appui de ce renégat de Bruno Ben Moubamba au Bureau exécutif de l'UPG ainsi que la participation de Richard Moulomba, que l'on présentait fièrement comme un homme qui « a le parler vrai et franc, certes qui peut déranger, mais que l'on voudrait retrouver chez de nombreux hommes politiques » (« Echos du Woleu Ntem »), c'est carrément le cauchemar.

Autour des SPF (sans parti fixe) de l'ancienne Sobraga, il ne restait plus que le RNB et le CDJ. Mais voilà que, contre toute attente et alors que Kombila partage le cafémisère avec eux, on apprend que son parti a présenté des candidats.

C'en est trop ! Et ce ne sont pas les gesticulations du cardiologue qui viendront refroidir les coeurs fragiles des autres. Loin de là ! Et pour cause : tous n'ont pas encore oublié que dans le genre, Kombila est un vrai pro et qu'il n'est pas à son premier coup.

Il en détient d'ailleurs les droits d'auteur puisque c'est lui qui avait inventé la manoeuvre en 1990 lorsqu'il a avait subtilement contourné le boycott de son ancien frère Mba Abessole pour aller se faire élire en clando à Moabi.

Pour ses amis, même s'ils ne le lui disent pas, il est clair que ce qui se passe aujourd'hui dans son parti participe d'une tactique qu'il a inventée et dont il est le seul détenteur du mode d'emploi. Mais la propagande se garde bien de le rappeler.

Pour avoir travaillé et fait chemin avec le Bûcheron, elle sait que les colères de Kombila sont brutales et barbares. Le souvenir de l'intifada de Petit Paris est encore assez frais pour comprendre qu'il vaut mieux ne rien dire pour l'instant.

C'est qu'on le sait capable de se lever tout seul un beau matin et aller lapider les gens à l'ancienne Sobraga.

Si l'on peut comprendre l'évasion, tout en douce, du FAR et sa participation au scrutin, la surprise est venue de l'ex-UN, notamment de la tendance Myboto.

Hormis le rebelle naturel de Moanda, Valentin Léyama, qui a dès le départ refusé de s'embarquer dans l'UN, on vient de découvrir que deux zacharistes pur jus, députés sortants, ont accepté de prendre part au scrutin du 17 décembre.

Il s'agit des braves Luc Mvouamba, de Pana et de Daniel Nkombé Lékambo, de Mbigou. Pour peu que l'on se rappelle bien que ces deux-là étaient les plénipotentiaires de Zac' dans « ça suffit comme ça » et que Myboto ne dit rien depuis que leurs candidatures ont été rendues publiques, là, il faut reconnaître que pour AMO, la situation est devenue extrêmement délicate.

Car, à tout point de vue, l'attitude de Zac' et ses lieutenants montre clairement que la situation a très nettement évolué.

Bref, que l'on est parti de la désertion et que nous sommes bel et bien en plein dans ce qu'il faut appeler la trahison. C'est ici que la prémonition de Marc Ona trouve toute sa révélation : « Vous n'avez encore rien vu ».


Source : La Griffe du vendredi 25 novembre 2011


MICHEL OGANDAGA  
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26/11/2011

Gabon: Vernissage d'une série de timbre en soutien des veuves et en présence de la Première Dame Sylvia Bongo Ondimba.

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COMMUNIQUE DE PRESSE

Libreville, le 25 novembre 2011 -
Aujourd'hui s'est tenu à l'Assemblée Nationale de Libreville , un vernissage d'une série de timbre à l'occasion de la journée internationale des veuves.

Ce vernissage, en collaboration avec la Poste, fût une nouvelle occasion de montrer le soutien de toute la société gabonaise aux veuves de notre pays.

Grâce aux timbres qui ont été inauguré aujourd'hui, c'est le Gabon tout entier qui sera durablement mobilisé pour cette cause universelle.

La Première Dame, Madame Sylvia Bongo Ondimba a d'ailleurs tenu à remercier chaleureusement la Poste pour avoir rendu ce projet possible.

Avec cette série spéciale dédiée aux veuves, c'est une réelle invitation aux voyages qui permettra à chaque gabonais de rester en contact avec ses proches aussi loin soient –ils et de continuer à transmettre un message d'espoir et de solidarité.

La célébration ce même jour de la journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes ne doit pas passer inaperçu. La Première Dame à d'ailleurs fait savoir qu' « À travers les veuves, c'est également un hommage aux femmes qui doit résonner. N'oublions jamais que le veuvage est un facteur de vulnérabilité supplémentaire. C'est une source potentielle de violence »

A travers son discours , la Première Dame a rappelé les différentes initiatives misent en place par la fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille depuis que le Gabon a permis l'adoption, par les Nations Unies, d'une Journée internationale des veuves, en décembre dernier.

En effet, le 25 juin 2011, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille a inauguré un centre d'accueil et d'écoute pour les veuves au sein Centre Mbandja de Libreville.

Peu de temps après, la première ligne d'écoute gratuite pour les veuves, le 1455 voyait le jour et permet ainsi aux veuves de trouver conseil auprès de spécialistes juridiques et administratifs.

Pour la Première Dame, « Solidarité, Responsabilité, c'est de cela qu'il est question. Pour les veuves bien sûr mais aussi pour l'ensemble de la société gabonaise ….. nous pouvons changer les choses. Toutes les initiatives sont bonnes, même les plus petites »

Ce timbre commercialisé dès , ce lundi 28 novembre 2011, marque l'engagement social de la poste aux côtés des actions de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba.

La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille a pour but de promouvoir la participation des jeunes et des femmes au développement du Gabon. Elle agit dans trois domaines d'actions prioritaires : l'éducation de la jeunesse, les droits et la promotion de la femme et l'insertion des personnes fragilisées.


Pour plus d'informations sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba, vous pouvez consulter les liens suivants :

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

https://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/15535...

Contacts Communication : presse@fondationsbo.org

 

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25/11/2011

Gabon-Mallettes d’argent : " un produit d’imagination "

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L'affaire des mallettes d'argent, relayée par des médias français, après des affirmations contenues dans un livre de Mike Jocktane, est davantage la manifestation de l'aigreur ou du désarroi d'un homme que des révélations en soi.

Le pasteur Mike Jocktane se dévoile. Dans un livre à paraître aujourd'hui, il se répand dans des accusations et des affirmations gratuites, à même de mettre à mal les bonnes relations qui existent entre le Gabon et la France.

Avant parution du fameux ouvrage, intitulé " le scandale des biens mal acquis, enquête sur les milliards volés de la françafrique ", des extraits avaient déjà été exploités par des médias français, sans doute de connivence.

L'ancien directeur de cabinet adjoint de Feu président Omar Bongo Ondimba affirme, par exemple, que l'illustre disparu avait financé la campagne du président français Nicolas Sarkozy, en 2007.

Il ajoute que les mallettes d'argent du Gabon avaient été remises au candidat à la présidentielle française par l'intermédiaire de M. Albert Bourgi. Et que ce système de transfert des fonds gabonais vers des politiques français se poursuivrait jusqu'à ce jour.

Toutes ces affirmations, douteuses et graves, ont été relayées par des tabloïds, sites d'informations en ligne et autres médias de l'Hexagone.

Une sorte de campagne médiatique s'est subtilement construite autour
des allégations qui traduisent davantage l'aigreur d'un homme que des révélations.

Mike Jocktane, on le sait, a arpenté pendant de bonnes années les couloirs du palais du bord de mer. Il a été Conseiller puis directeur de cabinet adjoint de feu président Omar Bongo Ondimba. Il n'avait jamais dénoncé ce système des mallettes d'argent, si système il y avait.

Le pasteur ne s'était jamais aussi soucié que l'argent du contribuable gabonais sortie si facilement, au détriment du développement du pays. Tant qu'il occupait sa position de directeur de cabinet adjoint du président, il n'y avait rien à dénoncer.

Aujourd'hui, passé dans l'opposition, en disgrâce, pour ainsi dire, avec le régime démocratiquement installé, Mike Jocktane se résout à dénoncer un système qui l'aura nourri pendant un bon bout de temps.

Il y a, dans cette façon de faire, une certaine ingratitude, une aigreur. C'est sans doute également la manifestation d'un désarroi et d'une certaine agitation intérieure.

Lorsque le complot ne produit pas l'effet escompté, il arrive qu'on finisse par se découvrir, par sortir de sa cachette et d'agir à ciel ouvert. Il est à croire que l'affaire des biens mal acquis, montée de toutes pièces et agitée par intermittence par des médias français, soit orchestrée par des taupes du même acabit, agissant par personne ou organisme interposé.

Elles se dévoileront aussi un jour, sauf à reconsidérer leur logique du mal, de la déstabilisation et de la subversion.

En affirmant, sans preuves matérielles, que le Gabon a financé la campagne du président Sarkozy, l'ancien directeur de cabinet adjoint mène une mauvaise campagne contre son pays. Il se dévoile dans ses probables conspirations.

Le français Albert Bourgi, accusé dans cette affaire de transfert d'argent du Gabon vers la France, a vite fait d'apporter un démenti, à travers un site Internet, voyant dans les allégations de Mike Jocktane " le produit d'une imagination ".

Cette affaire des mallettes d'argent n'est pas aussi loin d'une diversion.

Elle intervient dans un contexte où le Gabon est lancé dans une dynamique de réformes et de projets divers, visant à améliorer les conditions de vie des populations.

Deux ans après l'investiture du chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba à la magistrature suprême, des chantiers de construction des échangeurs sont visibles à Libreville, les personnes économiquement faibles sont prises en charge à travers la Caisse nationale de maladie et de garantie sociale (Cnamgs), un plan d'urgence santé est envisagé, etc.

Ce sont des faits qui sont difficiles à nier, même par des actes de diversion.



Source : Alexis Koumba , Gabon Matin




MICHEL OGANDAGA

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Gabon: LE TRIO DE CHOC . LA HONTE NE TUE PAS AU GABON , LA PREUVE EN IMAGE.

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C'est le titre que Marc Ona a donné, de sa propre main, à cette belle image.

Une image qui, en tout cas, nous éloigne de la calamiteuse débâcle du safari biométrique pour nous plonger, avec soulagement, bonheur et enthousiasme, dans celui de la défense, bec et ongle, du béton.

Une nouvelle croisade qui est menée par les trois croisés ci-dessus alignés.

Revue des troupes :

A votre gauche, c'est la ravissante Paulette Oyane. Qu'on ne vous présente plus puisque la pédézozo est devenue une véritable star interplanétaire.

Ici, notre people du Barreau se bat pour les SDF ( ?) qui ont perdu leurs piaules dans l'opération « Libérez les trottoirs ».

Une noble cause qui, malheureusement, n'a pas tellement troublé la solitude de Paulette au point qu'elle n'a toujours pas songé à recueillir quelques-uns de ces déguerpis dans son luxueux château du Camp de Gaulle.

C'est vrai qu'il est mieux de partager son ascenseur ( la seule femme au Gabon qui a un ascenseur dans sa maison , du salon à la chambre directement . Un luxe insolent et provocateur ) avec les canards et les porcs-épics qu'avec des habitants des trottoirs.

Reste à savoir si la Charte africaine des droits de l'Homme, le Véda (sorte de Bible) de cette bouddhiste non-pratiquante, autorise que l'on héberge des animaux et que l'on ferme la porte aux humains sans abri...

Au milieu, c'est une nouvelle venue de l'activisme anti-régime. Elle s'appelle Flavienne Adiahénot, la fille du député pédézozo Jacques du même nom.

Depuis que son papa Adia a quitté le gouvernement et que ses chances de devenir le futur Condé de Libreville sous les couleurs pédézozos sont désormais réduites à zéro, la fifille a précédé son pater de l'autre côté.

Histoire de se pré-positionner déjà en vue du changement de trottoir de son papa. Normal qu'elle se sente victime de cette opération de libération des trottoirs qui risque de compromettre ce soyeux passage du trottoir parlementaire au trottoir municipal.

Une traversée Triomphale du boulevard du même nom qui ne saurait pousser fifille à parler de cette affaire des 4 milliards de dôlès de l'Habitat.

Dôlès dont on reste sans nouvelle depuis le temps où Adia y faisait la pluie et le beau temps. Mais tout ça ne doit plus être qu'un vieux souvenir digne des débats de trottoir...

Quant à celui de droite, vous l'avez facilement reconnu. Intégriste de l'environnement, fondamentaliste de la lutte pour la préservation de la nature, Marc Ona est désormais un fervent partisan de la cause du béton.

Même qu'il est prêt à se jeter, sans la moindre hésitation, sous les chaînes d'un bulldozer pour protéger les valeurs écologiques du béton armé.

Mais il ne s'agit pas de celui qui abrite ses compatriotes, mais de celui qui déborde sur le domaine public. Donc, le tout béton c'est Marc.

Certes, il a reçu le prix Goldman pour avoir hurlé qu'on n'aille pas déverser une seule goutte de béton dans les chutes Koungou, il n'empêche qu'aujourd'hui, il est disposé à donner sa vie pour qu'on ne casse pas un seul millimètre cube de béton pour libérer et aérer les trottoirs et en y plantant des arbres et des fleurs.

Briser du béton pour planter des arbres, quelle horreur !


S
ource : La Griffe du vendredi 25 novembre 2011


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Gabon: LE CADEAU DE MBA OBAME AU PARTI SOCIALISTE FRANÇAIS

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Nul ne peut vraiment dire si c'est un cadeau bien acquis ou mal acquis, mais toujours est-il qu'AMO et son évêque sont de sacrés altruistes.

S'agissant du premier, AMO, il n'a pas plus besoin de faire ses preuves dès lors que Monseigneur Mike Jocktane est très bien placé pour confirmer que son arrivée à l'Olympe, ainsi que son élévation au grade de directeur adjoint de cabinet, ont été des cadeaux d'AMO à Omar.

Et de lui, AMO, Omar en a reçu à la pelle, même après sa mort.

Sa parade dans la chambre où il avait rendu l'âme participe de cette pratique de don qui, visiblement, est loin de prendre fin. En bon fils de notable et d'homme d'Etat, c'est ainsi qu'il a été éduqué.

Car, au fond, Mike Jocktane n'est pas le genre de prélat à prononcer la moindre homélie sans avoir d'abord reçu la bénédiction de son Dieu Mba Obame.

Et quand ce bon pasteur va se confier à deux journalistes, exorcistes des temps bien acquis, il ne s'agit pas d'une innocente confession. Le soldat est en mission. Rassurez-vous !

Ce n'est pas pour aider les intégristes de la Société civile à retrouver les BMA. De toutes les façons, AMO et MJ n'ont pas leur temps.

D'ailleurs, Monseigneur a bien précisé qu'il n'a jamais assisté à la remise de l'argent, le convoyer lui-même non plus.

Ce qui veut clairement dire que sa sortie n'aura aucune incidence judiciaire. Ni pour le « corrupteur », ni pour le « corrompu ».

Alors, pourquoi, et seulement maintenant, faire la révélation de ces faits qu'il n'a jamais vu et dont il ne détient aucune preuve ?

Evidemment, il faut juste voir qui ça peut embar rasser. Dans ce schéma, seul Sarko est visé, pas judiciairement, mais politiquement.

Au moment où le probable candidat de l'UMP est en train de refaire son retard dans les sondages, le faire ainsi passer pour un corrompu, relève, ni plus ni moins, de l'attentat politique. Pour ne pas dire du terrorisme politique.

Et lorsqu'on reconnaît de surcroit ne détenir aucune preuve de l'accusation portée, on tombe en plein dans un concentré de manipulation, de machiavélisme et de cynisme.

Mais on aurait tort de croire que nos grandes âmes de l'opposition n'ont plus de borne morale ni de boussole politique.

Car, pour qui sait la mécanique intellectuelle de Mba Obame, il est aisé de comprendre que la sortie de son pasteur, est de sens et d'opportunité.

Le rêve d'AMO, c'est de voir Sarko quitter le pouvoir, persuadé qu'il est que c'est le président français qui est le principal soutien
politique et militaire de Zeus.

L'accuser de pires vilénies n'est qu'un magnifique cadeau au PS, dont le candidat connaît un joli trou d'air dans les sondages.

En cas de victoire de Hollande, AMO, se frottant les mains, attendra tranquillement le renvoi de l'ascenseur. Le bon plan. Reste à AMO et MJ de prier que Sarko perde vraiment.

Quant à notre surdoué Mike Jocktane, il faut sincèrement prier pour que ses fidèles continuent de lui faire confiance. Parce que, franchement, aller se confesser chez un prêtre qui ne sait garder aucun secret…

 

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Source : La Griffe du vendredi 25 novembre 2011


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Gabon: La Pseudo société civile KO. QUE MARC ONA ESSANGUI PRENNE SA RETRAITE .

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Les actions de la société civile ou groupes d'intérêt visent fondamentalement deux objectifs : promouvoir et/ou défendre les intérêts de l'association et exercer une action sur les pouvoirs publics en vue d'obtenir des décisions.

Autrement dit, Pour qu'une action physique ait une chance de frapper les autorités politiques, il faut qu'elle soit accompagnée d'une activité de communication.

A l'évidence, la société civile gabonaise, bercée pendant longtemps par des prestidigitateurs sous le règne d'Omar Bongo Ondimba, où elle était associée au début, pendant et à la fin de l'action, semble bien essoufflée après quelques mois de petites manifestations.

Pour bien comprendre le phénomène, il faut dire que les penseurs de la société civile, hier, étaient des membres actifs de la sphère du pouvoir.

Ainsi, lorsqu'il fallait humilier un ministre, un premier ministre, les comploteurs qui se trouvaient à l'intérieur de la sphère politique au pouvoir, faisaient appel à leurs alliés des syndicats – les nébuleuses USAP et CONASYSED – et autres acteurs de la société civile pour enclencher des actions sur le terrain.

Au même moment, ils peaufinaient un autre travail à l'intérieur du système en travaillant au corps Omar Bongo Ondimba, afin que ce dernier accepte soit de sacrifier un premier ministre (Obame Nguema), soit de faire un remaniement gouvernemental afin de ramener la paix civile.

De fait, au cours de ce remaniement gouvernemental, ils profitaient de faire des fiches au Chef afin que certains ministres, jugés ombrageux pour leur stratégie d'entrisme, sortent du gouvernement.

En contre partie, « la société civile », du moins ses membres les plus influents, recevaient des espèces sonnantes et trébuchantes, que les comploteurs exigeaient du Chef de l'Etat afin d'interrompre les mouvements de grève.

Ainsi, l'association société civile et pouvoirs publics fonctionnait dans une certaine duplicité qui avait pour rôle de donner un peu de respiration au système politique.

Le pouvoir s'auto-régulait lui-même. Avec pour bras armé des syndicats et des associations sans consistance propre, mais renforcé par le jeu propre du pouvoir, ces structures, qui ont favorisé les départs de certains ministres, des révocations des membres du gouvernement ont donné longtemps l'illusion, qu'elles étaient une force politique avec laquelle il fallait compter.

Une analyse fine montre qu'il n'en a jamais été ainsi. Elles étaient juste des bras de secours d'un lobby d'entristes qui pensaient avancer leur pion à l'intérieur du système en comptant sur les forces sociales, dont ils savaient pourtant qu'elles n'étaient que des créations politiques agissant pour tel ou tel intérêt.

Et le mariage entre ces Entristes et ces structures sociales a duré longtemps, dès lors que les avantages de part et d'autre étaient immenses.

Les uns assuraient aux autres une certaine influence dans le cercle du pouvoir, les autres leur assuraient en retour une survie économique, qui, depuis la conférence nationale, se chiffre à des milliards, que certains ont bien fait de reconvertir dans l'immobilier et les sociétés de transport.

Aussi, lorsque Omar Bongo décède et qu'il faut organiser dans les plus brefs délais une élection présidentielle anticipée, pour le Grand Comploteur, maître des syndicats et des cultes qu'il avait choyé pendant longtemps en attendant ce grand moment, il faut passer à l'action.

Il lance une opération en distillant dans les médias français que la succession du président Bongo sera organisée autour d'Ali Bongo et de Pascaline Bongo. Les médias français exultent: L'Express, France 24 en font les choux gras.

Mais le peuple gabonais reste stoïquement « Zain ». Ce que les grands comploteurs avaient oublié, c'est que dans nos traditions, on vénère les morts. Les palabres, c'est après les enterrements. Pas avant. Ils sont donc obligés d'attendre.

Et dès que la Cour constitutionnelle va constater la vacance du pouvoir et mettre le processus en marche, il est trop tard pour eux. Eux qui comptaient sur les forces sociales et les églises pour imposer un autre ordre politique où ils apparaitraient comme les candidats de l'interposition sont pris de vitesse par leur propre stratégie du pourrissement.

En surfant sur le rejet de la candidature d'Ali Bongo Ondimba en 2009 alors que la dépouille d'Omar Bongo n'était même pas encore rapatriée au pays, ces comploteurs visaient à la disqualification de l'éventuelle candidature d'Ali Bongo Ondimba en cherchant à provoquer une réaction négative du peuple gabonais.

Dommage, ils n'avaient pas su que ces vieilles stratégies, étaient valables à une époque déterminée, et qu'il fallait contextualiser les idées, ce qu'ils ne pouvaient plus faire, vu qu'ils étaient si pressés de prendre le pouvoir, qu'ils croyaient avoir éliminé tous ceux qui avaient les mêmes prétentions qu'eux.

Doublés par la réalité politique qui impose la maîtrise de l'appareil idéologique et un projet de société, les propriétaires de la clé de la fraude furent balayés par leurs propres illusions.

Aussitôt, ils tentèrent de recomposer les vieilles équipes de déstabilisation qui firent des actions de « gloire » contrôlée sous Omar Bongo Ondimba. Ils voulurent ainsi combattre Zeus avec les méthodes expérimentées sous Omar Bongo Ondimba.

Ce qu'ils oubliaient, c'est qu'on avait changé d'époque et que les destins voulaient assurément changer de chevaux.

De fait, à beau communiquer, à beau appeler à la résistance, à beau faire du bruit sur internet, à beau appeler à la grève dans les écoles, A beau traîner des caravanes « ça suffit comme ça », les Gabonais, excédés par des professionnels du ventre et des marionnettes des causes identitaires, ont décidé de ne plus suivre.

Au même moment, ceux qui devaient assurer le relais à l'intérieur du système ne pouvaient plus, parce que totalement découverts. Mieux, on ne donne plus des sacs d'argent à l'Olympe pour calmer les grévistes et autres politiciens en colère contre les cieux.

C'est ainsi que Marc Ona Essangui doit comprendre, avec lucidité, que si le gouvernement avait reculé à construire le barrage sur les chutes de l'ivindo, ce n'était pas dû à son activisme médiatique, mais parce que au sein même du gouvernement, l'idée ne faisait pas l'unanimité.

On a même vu Georgette Koko, risquer son poste de Vice –premier ministre en allant sur le terrain exiger de la société chinoise, l'arrêt des travaux afin que des études d'impact environnemental soient faites.

Elle dû subir un rappel à l'ordre de son premier ministre de l'époque, le Hutu modéré de Nkembo. Mais le mal était déjà fait.

Donc , lorsqu'il lance des actions sur le terrain aujourd'hui, il doit intégrer le fait que sa structure n'a jamais eu une consistance politique au Gabon et une analyse permet d'ailleurs de montrer que son association, depuis sa création, en dehors du prix Goldman reçu, n'a emporté aucune victoire :

Il s'est opposé à la CAN, elle aura lieu.
Il s'est opposé aux échangeurs,
ils sont là.
Il s'est opposé aux élections,
elles auront lieu le 17 décembre.
Il a instrumentalisé l'opposition en exigeant qu'elle ne participe pas à cette élection,
l'opposition sera bien présente aux élections .
Il a exigé la biométrie,
il n' a rien obtenu.
Il s'est opposé à l'opération de destruction des maisons situées en bordures des rues à Libreville,
elle est en cours.
Il a souhaité que « sa » Paulette Oyane et « son » jean Christophe Owono Nguema soient candidats de l'opposition,
il a obtenu une fin de non recevoir.
Il s'est opposé à la dissolution de l'Union Nationale,
l'Union Nationale est dissoute… ect, et la liste est longue de ces nombreux échecs.


Peut être on tentera de comprendre tous ces échecs dans le multi-activisme de l'intéressé, qui se bat contre ciel et terre, de l'économie à la politique en passant par l'environnement, qu'il a déjà oublié depuis belle lurette.

Finalement, son association se bat pour quelle cause. La même mésaventure s'est abattue chez les professionnels de grève à l'Education nationale, qui avaient pris en otage ce secteur, trainant les problèmes en longueur dès lors que leur non résolution pouvait leur permettre d'entrer en grève à tout moment.

Zeus a décidé de régler le problème une bonne fois pour toute.Toutes les primes sont là, chacun a son poste budgétaire et les enseignants ont un plan de carrière.

De fait, il n'y a plus rien à se mettre sous la dent. A beau faire des appels à la grève générale illimité, le siège de la Peyrie ressemble à un désert, les enseignants ayant compris que leurs problèmes, trainés pendant des années ont engraissé certains, sur leurs souffrances.

On a encore en mémoire la bastonnade subie par un des pairs de la CONASYSED en 2008 pour avoir appelé à la reprise des cours à travers une caméra dans le bureau d'un ministre.

Ce qui a irrité ses collègues n'était guère l'appel à la reprise des cours, mais bien ce qui avait conditionné cet appel où leur collègue, introduit tout seul au bureau du Chef de l'Etat Omar Bongo Ondimba, par un ministre, en était ressorti totalement requinqué, pesant très lourd.

C'est chez lui, à domicile, qu'il a subi une bonne correction. Tout comme on n'oubliera pas ce barbu qui ne voulut plus sortir du bureau d'Omar Bongo Ondimba.

Ne voyant pas le sac en question, il dû se contenter de dire au Chef de l'Etat qu'il n'avait plus de voiture. Autrement dit, c'est ceci qui expliquait cela. C'est donc l'absence de voiture qui expliquait la grève.

Bref, la lisibilité de la communication de la société civile souffre d'une véritable traçabilité. Depuis deux ans, des actions sont initiées, à l'emporte pièce sans une stratégie particulière.

Ce qui explique son épuisement physique voire idéologique. Il est peut-être grand temps que ces acteurs sociaux intègrent désormais que depuis 2009, la donne politique a changé au Gabon et qu'il faut changer de fusil d'épaule.


Source : La Griffe du vendredi 25 novembre 2011


MICHEL OGANDAGA  http://michelogandaga.blog.fr/  

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Gabon: NOTRE PRÉSIDENT ALI BONGO ONDIMBA DE NOUVEAU SUR LE TERRAIN . CAN 2012 ET OPÉRATIONS LIBÉRÉS LES TROTTOIRS .

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Mercredi 23 novembre 2011, le chef de l'État , Ali Bongo Ondimba a effectué, de manière inopinée, des visites aux stades de l'amitié sino-gabonaise et Ominisports président Bongo.

Dans la même foulée, il s'est rendu à Lalala et Glass pour vérifier l'effectivité de l'opération « Libérez les trottoirs » et la destruction des constructions qui empiètent sur le domaine public.

TOUT le monde l'aura compris, le président de la République, Ali Bongo Ondimba, n'entend pas se contenter des rapports des experts ou ceux du gouvernement.

Il veut lui-même toucher du doigt et se faire sa propre idée. Ce qui lui permettra d'agir vite et en conséquence.

C'est pourquoi il se rend toujours sur le terrain pour faire le constat de l'état d'avancement des projets.

C'est dans ce cadre qu'il était ce mercredi 23 novembre 2011 aux stades de l'Amitié sino-gabonaise (Angondjé) et Ominisports président Bongo pour s'enquérir de l'état d'avancement des travaux de ces deux infrastructures sportives.

La préoccupation était davantage du côté du stade de l'Amitié sino-gabonaise qui a révélé plusieurs manquements lors du match amical entre le Gabon et le Brésil.

Sur place, le chef de l'État s'est réjoui de ce que, malgré le mauvais état de l'aire de jeu, les choses devraient s'améliorer dans les tout prochains jours, et que la pelouse devant servir à la compétition sera installée dans les délais.

S'agissant de l'électricité, le numéro un gabonais s'est dit satisfait de ce que les groupes électrogènes commandés sont déjà arrivés et seront donc installés afin de pallier toutes défaillances dans ce sens et garantir la continuité de l'alimentation en énergie suffisante.

Ce fut également l'occasion pour le président Bongo Ondimba d'appeler les Gabonais, « surtout les jeunes à se mobiliser pour accueillir la CAN, porter notre équipe le plus loin possible et faire vibrer notre pays au rythme de la plus grande compétition sportive du continent ».

Par rapport au stade Omnisports qui a été sorti du programme de la CAN, les choses se déroulent plutôt normalement.

Toutefois, le chef de l'État a interpellé d'ores et déjà les élus du troisième arrondissement pour qu'ils commencent à sensibiliser les populations des alentours du stade. Car l'extension de cet ouvrage nécessitera la destruction de certaines habitations...




L'attachement du président de la République à la communication s'est également manifesté au cours du deuxième volet de sa sortie sur le terrain, notamment celle qui l'a conduit à Lalala et Glass.

En effet, sur le terrain, Ali Bongo Ondimba s'est fait fort d'expliquer aux populations rencontrées le bienfondé de l'opération de destruction des constructions anarchiques dans les communes de Libreville et d'Owendo depuis plusieurs semaines. Cela non sans déplorer le déficit de communication ayant accompagné cette initiative.

« Lorsque, a dit le chef de l'État, un pays s'engage dans des projets structurants importants qui auront un impact décisif sur la vie de ses populations, il est important que le gouvernement fasse son devoir d'explication pour que ces projets soient lisibles et visibles aux yeux des bénéficiaires que nous serons tous ». Cet effort d'échanges permet d'éviter les incompréhensions, réprobations et autres mécontentements.

Dans le même sens, le président de la République a souligné que le schéma directeur national d'infrastructures que le pays est en train de mettre en oeuvre a besoin d'être partagé pour bénéficier d'une forte adhésion des populations bénéficiaires des actions entreprises. Il y a lieu d'expliquer les tenants et les aboutissants.

Pour revenir à l'opération en cours, le numéro un gabonais a rappelé que celle-ci qui concerne les constructions qui empiètent sur le domaine public, résulte d'une décision du gouvernement.

Quoique diversement appréciée, elle répond aux dispositions légales et réglementaires en vigueur dans notre pays qui fixent les limites dans lesquelles chacun peut bâtir... Ce qui n'a pas toujours été respecté.

Et « si ces destructions sont faites c'est pour respecter la loi qui est la même pour tous ».

Toutefois, le président de la République a rassuré les uns et les autres sur ce que le plan d'aménagement de ces zones viendra conforter sous peu la justesse de la démarche des autorités.

Il faut en effet souligner que dans ce plan en vue de désengorger la zone de Glass, Lalala, etc. il est prévu, selon l'Agence nationale des grands travaux (ANGT), plusieurs actions.

Il est notamment question d'agrandir les voies, les trottoirs et d'imposer des normes de constructions aux abords. Tout comme la verdure sera plantée, l'environnement étant également un aspect important.

Le plan prévoit aussi, dans le cadre des transports urbains, notamment avec l'arrivée de nouveaux types de bus de la Sogatra, la construction des abrisbus et des zones de stationnement appropriées.



 


MICHEL OGANDAGA  
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13/11/2011

Gabon: COMMUNIQUÉ FINAL DU CONSEIL DES MINISTRES DU JEUDI 10 NOVEMBRE 2011 + NOMINATIONS ...

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A l'entame des travaux, le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a informé le Conseil des Ministres, de la décision prise pour répondre à l'appel de fonds sollicité par Madame IRINA BOKOVA, Directrice Générale de l'UNESCO. En effet, le Gabon va apporter une contribution exceptionnelle au fonds extra-budgétaires à hauteur de deux (2) millions de dollars Américains démontrant ainsi son attachement à cet organisme scientifique et culturel.

Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres se félicite de l'excellence des axes de coopération qui existent entre la Chine et le Gabon. Aussi, en prélude à l'organisation de la Coupe Africaine des Nations (CAN 2012), l'inauguration solennelle du Stade de l'Amitié Sino-Gabonais aura lieu le 27 Novembre 2011. La cérémonie inaugurale sera marquée, entre autres, par le match amical qui opposera l'équipe junior de Chine à celle du Gabon.

Par ailleurs, le Conseil des Ministres s'est réjoui de la sollicitude du Président de la République, Chef de l'Etat à l'endroit de la jeunesse gabonaise, voire internationale, par l'organisation du match amical test entre le Gabon et le Brésil ce 10 Novembre 2011 au Stade de l'Amitié Sino-Gabonais sise à Angondjé.



AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES

MINISTERE DU TRAVAIL, DE L'EMPLOI ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

Madame le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l'a adopté, le projet de décret portant attributions et réorganisation du Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Prévoyance Sociale.

Pris en application des dispositions de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006, le présent texte comporte deux (2) titres, à savoir, les Attributions et l'Organisation, qui se déclinent en six (6) Chapitres.

Novateurs en plusieurs points, le décret susvisé crée les Directions Générales suivantes:

• la Direction Générale du Travail, autrefois dénommée Direction Générale du Travail, de la Main d'œuvre et de l'Emploi. Celle-ci se bornera à la conception de la politique du Gouvernement en matière de travail ;

• l'érection de la Direction Générale des Ressources Humaines en Direction Générale de l'Emploi. Les questions de l'emploi étant désormais au cœur des préoccupations gouvernementales, il est apparu nécessaire de former une telle Direction dont le but serait d'étudier et de proposer des politiques d'emploi ;

• la Direction Générale de la Prévoyance Sociale auparavant dénommée Direction Générale de la Protection Sociale ;

• la Direction Générale de la Sécurité et de la Santé au Travail, autrefois intitulée Inspection Générale de l'Hygiène et de la Santé au Travail ;

• enfin, une Inspection Générale du Travail, de l'Emploi, de la Prévoyance Sociale, de la Santé et de la Sécurité au Travail assurera la coordination des services provinciaux et départementaux dans les domaines y relatifs.

MINISTERE DE L'ECONOMIE, DU COMMERCE, DE L'INDUSTRIE ET DU TOURISME

Le Ministre a fait approuver par le Conseil des Ministres, le projet de décret déterminant les critères et la procédure de classement des hôtels, restaurants et établissements assimilés.

Pris en application de l'ordonnance n° 2/2000/PR du 12 Février 2000, portant régime applicable aux investissements touristiques, ce texte traite entre autres, des critères de classement, des effets du classement, des contrôles et des sanctions.

La Commission pour le classement des hôtels, restaurants et établissements assimilés comprend :

- le Ministre chargé du Tourisme ou son représentant, Président ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Administration du Territoire, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Industrie, membre ;
- un représentant du Ministère chargé des Travaux Publics et de la Construction, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Aménagement du Territoire, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Economie, membre ;
- un représentant du Ministère chargé du Commerce, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de la Consommation et de la Concurrence, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Urbanisme, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de la Santé Publique, membre ;
- un représentant du Ministère chargé des Petites et Moyennes Entreprises, membre ;
- le Président de la Chambre de Commerce ou son représentant, membre ;
- un représentant de la Petite et Moyenne Hôtellerie, membre ;
- un représentant de la Grande Hôtellerie, membre ;
- un représentant des professionnels de la Restauration, membre.

MINISTERE DE LA SANTE, DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SOLIDARITE ET DE LA FAMILLE

Le Ministre a fait adopter par le Conseil des Ministres, le projet de décret portant réorganisation de l'Officie Pharmaceutique Nationale (OPN).

Pris en application de la loi n° 020/2005, la réorganisation consacrée par le texte suscité porte sur la redéfinition des attributions et de l'organisation de l'Office Pharmaceutique National, établissement public à caractère industriel et commercial, doté de la personnalité juridique et jouissant de l'autonomie de gestion administrative et financière.

Placé sous la tutelle du Ministère de la Santé, l'Office Pharmaceutique National (OPN) est une centrale d'achat dont l'objet principal est la distribution de médicaments et de dispositifs médicaux essentiels nécessaires au fonctionnement des formations publiques et privées.

L'Office National Pharmaceutique comprend :

- le Conseil d'Administration ;
- la Direction Générale ;
- l'Agence Comptable.

Le Conseil d'Administration, outre le Président, est constitué des membres ci-après :

• le Secrétaire Général du Ministère de la Santé ;
• le Secrétaire Général du Ministère du Budget ;
• le Directeur Général du Service de Santé Militaire ou son adjoint ;
• le Directeur Général de la CNAMGS ou son adjoint ;
• un Directeur de Centre Hospitalier Universitaire ;
• un Directeur de Centres Hospitaliers Régionaux ;
• le Président de l'Ordre National des Pharmaciens ;
• un représentant des partenaires au développement.



MINISTERE DES TRANSPORTS

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l'a adopté, le projet de décret portant attributions et organisation de la Direction Générale de la Sécurité Routière.

Pris en application des dispositions de la loi n° 010/2005 du 03 Janvier 2006, le présent texte définit le cadre général dans lequel la Direction Générale de la Sécurité Routière (DGSR) doit assurer ses missions.

Aussi, le décret référencé dispose que la Direction Générale de la Sécurité Routière est dotée, pour son fonctionnement, de :

- Services d'appui ;
- Directions Centrales ;
- Directions Provinciales.

Le Directeur Général est assisté de deux (2) adjoints et de chargés d'études.

MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE, CHARGE DE LA REFORME ADMINISTRATIVE

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté la loi de finances rectificative pour l'exercice 2011, qui se justifie essentiellement par :

• La nécessité de finaliser dans les délais les chantiers de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2012);
• Le renforcement des crédits alloués à l'organisation des élections législatives ;
• La prise en compte des mesures annoncées lors des séances des Conseils des Ministres délocalisés.

Aussi, en l'absence des ressources additionnelles, il s'agit de redéployer les crédits alloués initialement au Fonds Souverain qui serviront à :

- Maintenir la politique d'investissement initiée depuis 2010 ;
- Poursuivre le programme d'aménagement routier ;
- Elargir les mesures à caractère social visant l'amélioration des conditions de vie des populations ;
- Réaménager le plan d'urgence dans le secteur de l'éducation.

A ce titre, la présente loi dispose que l'ensemble des charges reste à son niveau initial de deux mille trois cent soixante dix milliards huit cent millions (2.370,8 milliards) de FCFA, qui se répartissent ainsi qu'il suit :


- charges de la dette publique : trois cent quatre vingt seize milliards deux cent millions (396,2 milliards) de FCFA ;
- dépenses de fonctionnement : mille quarante trois milliards neuf cent millions (1.043,9 milliards) de FCFA ;
- dépenses d'investissement : huit cent cinquante sept milliards (857 milliards) de FCFA ;
- prêts et avances : soixante treize milliards six cent millions (73,6 milliards) de FCFA.

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE

MINISTERE DE L'HABITAT, DE L'URBANISME, DE L'ECOLOGIE ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

Le Ministre a sollicité et obtenu l'accord du Conseil des Ministres, pour l'organisation de l'Atelier National de lancement de la Stratégie Nationale de Développement Durable, à Libreville, les 19 et 20 Décembre 2011.

AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX

Madame le Ministre a sollicité et obtenu du Conseil des Ministres, l'autorisation pour l'organisation, en partenariat avec l'Ambassade de France, d'une session de formation en Droit de l'Environnement, du 15 au 18 Novembre 2011, à Libreville.

MINISTERE DE L'ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES

Le Conseil des Ministres a marqué son accord avec la tenue, du 20 au 23 Novembre 2011, à Libreville, de la 4ème réunion annuelle du Comité Régional de Coordination du projet de Facilité Energie CEMAC.



Le Conseil a autorisé un certain nombre de missions à l'étranger des membres du Gouvernement.

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

MINISTERE DES TRANSPORTS

CABINET DU MINISTRE

Conseillers du Ministre

- Conseiller chargé du suivi des Projets d'Equipements et d'Infrastructures de Transport : M. Henry Marcel DAGUINO WORA, en remplacement de M. AVOUYA John Peter appelé à d'autres fonctions.

- Conseiller chargé de l'Organisation du Transport Terrestre, Ferroviaire et de la Sécurité Routière : M. OKOUMBA MBOUROU Jonas, en remplacement de M. MBOUMBA Etienne appelé à d'autres fonctions.

- Chargé de Missions du Ministre : M. ABOGHE EYA Jean Jacques, en remplacement de M. ENZEMA OYONE Félix Serges.

INSPECTION GENERALE DES SERVICES

- Inspecteur général : M. Cyprien NDONG, confirmé.

- Inspecteur général adjoint 1 : M. MIKOUANDZA TONDA Justin.

- Inspecteur général adjoint 2 : M. MBOUMBA Étienne.

SECRETARIAT GENERAL

Centre National d'Edition et Délivrance des Documents de Transports (CNEDDT)
- Directeur : M. BIBOUNDZA PANGO Jean Bernard.
- Directeur adjoint : M. ONANGA Jean de Dieu.

Chefs de services

- Chef de Service du Permis de Conduire : M. Didier BOUKA MBANDZA.

- Chef de Service de la Carte Grise et de l'Immatriculation : Mme Marcelle NYINGONE NZE.

- Chef de Service Technique et Informatique : M. OWANGA TCHOUKUE Ulrich Armand.

- Chef de Service du Personnel et des Moyens : Mme Pulchérie MANGAYI, épouse DEAN, administrateur des services économiques et financier.

- Chef de Service des Archives et des Statistiques : M. MENGOME NZUE Jean Serge.

Centre National de l'Examen du Permis de Conduire des Véhicules Terrestres à Moteur (CNEPC)
- Directeur : M. OBOUNOU NTOMA Florent, précédemment Directeur général adjoint 1 à la direction générale des transports terrestres.

- Directeur adjoint : Mme BITOUDI Corine Anna.

Chefs de services

- Chef de Service des Examens et de la Validation : M. NDEMBI Jean Pierre.

- Chef de Service Technique, Informatique, Archives et Statistiques : M. NTOUTOUME Marc Landry, précédemment chef de service informatique à la Direction Générale des transports terrestres.

- Chef de Service Administratif et Financier : Mme Véronique Anushka MBOUMBA NZAMBA.

ADMINISTRATION CENTRALE

Direction Générale des Transports Terrestres

- Directeur général : M. AVOUYA John Peter, en remplacement de M. OKOUMBA MBOUROU Jonas appelé à d'autres fonctions.

- Directeur général adjoint 1, chargé de l'informatique et des examens de permis de conduire : Mme LOUPDY MATIGA Clémence.

- Directeur général adjoint 2, chargé de la réglementation et des inspections provinciales : Mme Nadine Murielle OBIANG née OGOULA.

Chefs de services

- Chef de service Equipement et Matériel : M. Alain NKOGHE.

- Chef de service Administratif et Financier : Mme Valérie ONDO SHOSHANA.

- Chef de service informatique : M. François NDJIEBANDA.

Direction de la circulation routière et des contrôles techniques

- Directeur : Mme Hortense MBA, en remplacement de M. BIBOUNDZA PANGO Jean Bernard, appelé à d'autres fonctions.

Chefs de services

- Chef de service Circulation Routière : M. MOUELE NZEBI Patrick.

- Chef de service Contrôle Technique : M. Jérôme OBAME MEVIE

Direction des Transports Routiers

- Directeur : M. Martin NTOUTOUME NDONG.

Chefs de services

- Chef de service Transport voyageurs : Mme Isabel MOUNGOMO.
- Chef de service Transport Marchandises : Mme Catherine MADOLA ANGUILET.

Direction des Liaisons Intermodales et de la Statistique

- Directeur : M. Gervais MIHINDOU MAMBOUNDOU, confirmé.
Chefs de services

- Chef de service Liaisons Intermodales : M. Franck OYINI NZAMBA.

- Chef de service Statistiques : M. MVE MENIE Michel.

INSPECTEURS PROVINCIAUX

- Inspecteur de l'Estuaire : Madame Hélène MOUSTINGA.

- Inspecteur du Haut-Ogooué : M. André JOUMAS.

- Inspecteur du Moyen-Ogooué : M. Pierre NGUEMA NDONG.

- Inspecteur de la Ngounié : M. Alain Francis MANGHADY PENDI.

- Inspecteur de la Nyanga : M. Félicien TIYINOT.

- Inspecteur de l'Ogooué-Ivindo : M. Ange Gabriel MOUBELE.

- Inspecteur de l'Ogooué-Lolo : M. Jeannot BIYEGHE-BIOVALE.

- Inspecteur de l'Ogooué-Maritime : M. Jean Louis NZAMBA.

- Inspecteur du Woleu-Ntem : M. Alain OYINO OKOMBA.

DIRECTION GENERALE DE LA MARINE MARCHANDE

Direction des Affaires Portuaires et des Activités Connexes aux Transports Maritimes

Directeur : M. NKOULOU MEZUI Claver, Administrateur des Affaires Maritimes.

Chefs de services

Chef de service des Affaires Portuaires : Mme AVOME ANGUE Frédérique, administrateur des Affaires Maritimes.

Chef de service des Activités Connexes : M. NZIENGUI NZIENGUI, Attaché d'Administration des Affaires Maritimes.

Chargée d'Etudes : Mme NGUEMA MBANG Annie Carole.

Direction de la Flotte de Commerce et de l'Équipement Naval

Directeur : M. TCHIBINDA IPANDI Ladislas, Officier Mécanicien 1ère classe confirmé.

Chefs de services

Chef de Service de la Flotte de Commerce : Mme DOUCKAGA née MADZINZA YANGOU.

Chefs de Service de l'Équipement Naval : M. ZUE EDZANG Emmanuel.

Chargés d'Etudes

Mme OBOULOU Stella ép. MOUMBANGOU ;
M. NZAMBA ILOUMA Guy.

Direction des Gens de Mer, de la Navigation et de la Sécurité Maritimes

Directeur : M. AUBAME Gérard Philippe, Administrateur des Affaires Maritimes, confirmé.

Chefs de services

Chef de Service des Gens de Mer : Mme NZIENGUI Ernestine, Juriste Maritime.

Chef de Service de la Navigation Maritime : M. ONDZAGHA MINKO Benjamin, Officier Naviguant.

Chef de Service de la Sécurité Maritime : M. BOUROBOU Clovis Augustin, Officier Naviguant.

Chargés d'Etudes :
Mmes

-NTSELE Solange.
-MANOMBA Marie ;
-MBATCHI Mature Scholastique.

Direction de la Réglementation et de la Coopération

-Directeur : M. NZIBE RUBEN, Administrateur des Affaires Maritimes.

Chefs de services

-Chef de service de la Coopération : Mme IGOUE ODOUKA ANTCHOUE Line.

-Chef de service de la Réglementation : Monsieur NONEWA ASSOUMOU Bonaventure.

Chargés d'Etudes

-Mme KOUNA Roseline ;
-M. OSSINGA Etienne ;
-M. ZUE NGUEMA Bertrand.

Centre d'Etudes, de Documentation et de Recherches Maritimes

-Directeur : M. NTAWANGA William André, Administrateur des Affaires Maritimes.

Chefs de services

-Chef de service de la Documentation : M. NZIGOU Wilfried, confirmé.

-Chef de service Statistiques : M. MOSSE KOUNOU Bernard Bertin.

Chargés d'Etudes :

Mmes

-MASSALA NKOROUNA Lucienne Patricia, confirmée.
-BOUYOU Rose Carine.

Délégations Maritimes

- Délégué maritime de la province de l'Estuaire : M. SOUNDA Patrick, Administrateur des Affaires Maritimes, en remplacement de Mr IGAMBA AWORET Etienne.

- Délégué maritime de la province de l'Ogooué maritime : M. MIVINGA Paul, Inspecteur des Affaires Maritimes en remplacement de M. MOMBO TSOUNGOU Maurice.
- Délégué maritime de la province du Moyen Ogooué : M. OBAME NZE Wilfried, Administrateur des Affaires Maritimes, en remplacement de M. NTAMBI Gabriel.

- Délégué maritime de la province de la Nyanga : M.ITOUMBA Landry, Inspecteur des Affaires Maritimes en remplacement de M. SOUNDA Patrick.

Direction Générale de la Météorologie (DGM)

- Chargés d'études :

Mmes

• Mathilde ASSENGONE NDONG, ingénieur adjoint météo Monsieur Pierre ZUE EYA, ingénieur adjoint météo.

• Rosalie NDOUNA née BATHALAT.


SERVICES RATTACHES

- Chef de Service des Ressources Humaines et de la Formation : M. Gilbert ONDO NDONG, précédemment chef de service climatologie.

- Chef de Service Financier et du Patrimoine : Mme. AVOMO OBIANG Ghislaine.

- Chef de Service des Archives et du courrier : M. Ferdinand MOUNGUENGUI, précédemment chef de service des Relations Extérieures.

DIRECTION DE L'EXPLOITATION

- Directeur d'Exploitation: M. Lambert ELLA ASSEKO, ingénieur météo, précédemment Inspecteur des services météorologique.

- Chef de service Prévision météo : M. Ghislain Claude NKOMBE, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service Climatologie : M. Lambert EKANG, ingénieur adjoint météo, précédemment chef de service informatique.

- Chef de service Publication : M. Joseph IGUENGA NGORI, ingénieur météo.

DIRECTIONS DES APPLICATIONS

- Directeur des Application : Mme MBOUMBA Joséphine, ingénieur météo, précédemment Inspecteur des services météorologiques.

Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie : M. Pierre MVE AKWE, ingénieur adjoint agrométéorologique.

- Chef de service Hydrométéorologie : Mme Félicienne Nathalie MAPENDZA.

- Chef de service météo Aéronautique : M. David Claude NGUEMA, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service météo Marine: Mme Hélène KENGUE, ingénieur adjoint météo.

Direction de la Recherche et du Contentieux

- Directeur : M. Fernand NZE MINKO.

Chefs de services

- Chef de service des Litiges et du Contentieux : Mme Isabelle BADJINA.

- Chef de service des Etudes et de la Recherche: Mr. Guy Roger SOUNDA, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service des Satellites et Télécommunication: M. Emmanuel NDZENG OKOUE, ingénieur adjoint météo.

Direction du Réseau Météorologique

- Directeur du Réseau météorologique : Mme OYE NTO Jacqueline, ingénieur adjoint météo.

Chefs de services

- Chef de service d'Installation et de Maintenance : Mme Mathilde ASSENGONE NDONG, ingénieur adjoint météo précédemment chef de service des réseaux météo.

- Chef de service de Normalisation des Codes et Méthodes d'Observations : M. Luc MVE NDONG, ingénieur adjoint météo.

DIRECTIONS DE ZONES

Direction Territoriale Zone Nord (Woleu-Ntem-Ogooué Ivindo)

- Directeur : M. Michel KOMBILA, ingénieur météo, précédemment chef de service provincial de la Ngounié.

Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie: M. Serge OKOUROU NGUEMA, ingénieur adjoint agrométéorologique.

- Chef de service Climatologie: Mme Marie Hélène MBOUMBA, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service des Réseaux Météo: M. Roger MENGUE.

Direction Territoriale Zone Ouest (Estuaire-Ogooué-Maritime)

- Directeur : M. Alain NDZIE MEVIANE, ingénieur météo.



Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie : Mme Jeannette MOUNGUENGUI, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service Climatologie: M. Noël Parfait OBAME MINKO.
- Chef de service des Réseaux Météo: Mme Albertine BENDOME.

Directeur Territoriale Zone Centre (Ngounié, Moyen Ogooué, Nyanga)

- Directeur : M. MBA NKOGHE Toussaint, ingénieur météo, précédemment chef de service provincial du Moyen- Ogooué.

Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie : M. Jean MBA NZE, ingénieur adjoint météo, précédemment chef de service provincial de l'Estuaire.

- Chef de service Climatologie: M. Jacques NGUEMA, ingénieur adjoint météo, précédemment chef de service provincial du Woleu-Ntem.

- Chef de service des Réseaux Météo: Mme Catherine MAKANGA Epouse SOUNGANI POSSO, précédemment chef de service provincial par intérim de la Nyanga.


Directeur Territoriale Zone Est (Ogooué-Lolo, Haut- Ogooué)

- Directeur : M. MEFFOUET MENDONG Joseph, Ingénieur des Techniques météorologiques.

Chefs de services
- Chef de service Agrométéorologie : M. Guy Franly DIZAMBOU, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service Climatologie: M. Samuel NGUEMA, ingénieur adjoint de la météorologie.

- Chef de service des Réseaux Météo: M. MBELE Pierre.

AGENCE DE REGULATION DES TRANSPORTS FERROVIAIRES (ARTF)

- Conseillers du Président du Conseil de Régulation :

MM.

• EBOUMI ANDJARA Fidèle, Administrateur Civil, en remplacement de M. KAKOUNDJA Damas, appelé à d'autres fonctions ;
• Jean de Dieu MELOLE, Administrateur Civil.

MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DE L'INNOVATION ET DE LA CULTURE

D
IRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
- Chargé d'Etudes : M. MBA ESSOGHO Léonard, Master en didactique H/G

DIRECTION DES AFFAIRES SOCIALES
Service des Congés
- Chef de service : M. AFOURAGA Denis Jacques, Attaché d'Administration Générale

INSTITUT PEDAGOGIQUE NATIONAL
Service Appliqué à l'Enseignement Normal
- Chef de service : M. BIBANA Jean de la Croix, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. ANGOUE Georges Edgard, appelé à d'autres fonctions.

DIRECTION GENERALE DE L'ENSEIGNEMENT SCOLAIRE ET NORMAL
Chargés d'Etudes :
- Mme MOUSSOUMBI MBOUGA Annie, Attachée d'Administration Scolaire et Universitaire.

MM.

• MOUANDZA Alphonse, Inspecteur Pédagogique ;

• BOUDZANGA Anatole, Attachée d'Administration Scolaire et Universitaire ;

• LEPOUKOU Prosper, Professeur du Secondaire, précédemment Principal de collège.

ECOLE NORMALE DES INSTITUTEURS DE LIBREVILLE
- Surveillant Général Adjoint : Mme NKENE NDONG Lucie Clara, Institutrice principale.

DIRECTION GENERALE DES STATISTIQUES DE LA PLANIFICATION ET DE LA PROSPECTIVE
DIRECTION DE LA PLANIFICATION
- Directeur : Mme OBONO Anastasie, Enseignante à l'ENS, en remplacement de M. YOUMBA Elie, appelé à d'autres fonctions.

- Directeur Adjoint : Mme ROLENGA ZIZA Ep. MPIRA Solange Eliane, Conseiller de Planification de l'Education, en remplacement de Mme OBONO Anastasie, appelée à d'autres fonctions.

DIRECTION GENERALE DU CENTRE NATIONAL DES ŒUVRES UNIVERSITAIRES (CNOU)
- Directeur Général : M. Aubert Aimé NDJILA, en remplacement de M. Michel MBOU KIKI, appelé à d'autres fonctions.

DIRECTION DU COU-UOB
Service Restauration
- Chef de service : M. MIPETO Justin, Administrateur scolaire et universitaire, en remplacement de M. NGOMA Ruffin, remis à la disposition de son administration d'origine.

- Econome : Mme MONDOUBE Gisèle EP. MAGNANGA : Attachée d'Administration Scolaire et Universitaire, en remplacement de M. NYAMA IKAPI Arnaud, appelé à d'autres fonctions.

DIRECTIONS D'ACADEMIES PROVINCIALES
DIRECTION D'ACADEMIE PROVINCIALE DU MOYEN-OGOOUE
- Chargé d'Etudes : M. NGOMA MICKOLO Alpin, Inspecteur du Primaire, précédemment chef de service Pré-primaire et Primaire.

Service Pré-primaire et Primaire
- Chef de service : Mme WILSON AKAGAH Stéphanie Brazza, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. NGOMA MICKOLO Alpin, muté.

DIRECTION D'ACADEMIE PROVINCIALE DE LA NYANGA
- Chargé d'Etudes : M. LATISSI MAKOSSO René, Professeur du secondaire, promu

DIRECTION D'ACADEMIE PROVINCIALE DE L'OGOOUE-MARITIME
Service Provincial de la Carte Scolaire
- Chef de service : Mme NTOKOME ONDO Aimée, Attachée de planification, promue.

Service Provincial des Œuvres Scolaires et Universitaires
- Chef de service : M. OGOULA Moïse, Professeur du secondaire, promu.

BASE PEDAGOGIQUE
NYANGA
- Chef de Base Pédagogique de Mabanda : M. NZE André Martial, Conseiller Pédagogique, en remplacement de M. BOUSSOUGOU KOMBILA Yves Michel, admis en stage.

EQUIPES DIRIGEANTES DES ETABLISSEMENTS SECONDAIRES PUBLICS
(Additif)
PROVINCE DE L'ESTUAIRE
LYCEES
LYCEE NATIONAL LEON MBA (LIBREVILLE)
- Surveillant Général : M. MINKO MI BINE Jean Charles, Professeur Adjoint d'Enseignement normal, en remplacement de Mme ONDO née ALLOUMBA Mireille.

- Surveillant Général Adjoint : M. INDANGA Gabriel, Chargé de l'internat, promu

LYCEE DE BIKELE

- Censeur II vie Scolaire : Mme DEDJIE AWORET Jacqueline Huguette, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. POUNDOU Edouard, démissionnaire.

LYCEE GEORGES MABIGNATH (LIBREVILLE)

- Surveillant Général Adjoint : Mme GNINGONE OBIANG ép. TOVIGNON, Institutrice, promue.

LYCEE NDONG BYE (KANGO)

- Censeur I Pédagogique : M. BILIMA Cévérin Melvil, Professeur du Secondaire, précédemment Censeur I Pédagogique au Lycée Lubin Martial NTOUTOUME de Ntoum, poste vacant.

- Censeur II vie scolaire : M. AUBAME ONDZAGA Franck, Professeur du Secondaire poste vacant, promue.

LYCEE Lubin Martial NTOUTOUME OBAME (Ntoum)

- Censeur II vie scolaire : M. MABOKO Dieudonné, Professeur du Secondaire poste vacant, promu.
CES AVORBAM (Agondjé)

- Directeur des Etudes vie scolaire : M. BE NDONG Albert, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MISSIE POUHO, promu Principal.

CES BA OUMAR (Bas de Gué-Gué)
- Directeur des Etudes pédagogiques : M. ZINGA Pierre Louis Bather, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. ATOMO MENGUE Pierre Claver, remis à la disposition de la DAP-Estuaire.

PROVINCE DU HAUT-OGOOUE
LYCEE Eugène Marcel AMOGHO (Franceville)

- Censeur I Vie scolaire : M. LANGOUORI Martin, Professeur Adjoint du Secondaire, en remplacement de M. AKOUMA Albert, admis en stage.

LYCEE D'EXCELLENCE (Franceville)
- Intendant : Mme ODINA Solange, précédemment intendant au CES Mamadou LEWO, en remplacement de M. ODOUNA Raymond, décédé.

LYCEE Rigobert LANDJI (Moanda)
- Censeur I Vie scolaire : M. MABEDOU POUSSOU Saturnin, Professeur du Secondaire, poste vacant, promu.

- Surveillant Général : Mme TSONO Pauline, Institutrice, en remplacement de M. NZALOUYA Vivien, muté.

- Surveillant Général Adjoint : M. YAMBA Jean, Instituteur, promu.

CES Pierre OUTOU BOUKOUYA (Boumango)
- Directeur des Etudes vie scolaire : M. ONGOUYALT Georges Martin, Professeur du Secondaire, en remplacement de Mme MEZENE NDONG Carole, remis à la disposition de la DAP Haut-Ogooué.

CES Zacharie MAIKA (Bakoumba)
- Surveillant Général : M. NDOMBA Christophe, Instituteur, promu, en remplacement de M. OKAPA Placide, remis à la disposition de la DAP Haut-Ogooué.

CES KAKOGHO (Léconi)
- Principal : M. NZIENGUI Christian, précédemment Principal au CES Lucien KOUNA de Bongoville, en remplacement de M. KABELE Julien, ancien Principal.

CES Lucien KOUNA (Bongoville)
- Principal : M. NDZIAMI Jacques, précédemment Principal au CES KAKOGHO de Leconi, en remplacement de M. NZIENGUI Christian, muté.

PROVINCE DU MOYEN-OGOOUE

LYCEE François MEYE (Ndjolé)

- Censeur II Pédagogique : M. EWOURE Francis Désiré, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MELINDANGA Billy Joachim, appelé à d'autres fonctions.

PROVINCE DE LA NGOUNIE
CES DE MALINGA
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MOUKAGNI NZAMBE, Professeur du secondaire, poste vacant, promu.

CES Amiar NGAHANG (Mbigou)

- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. NDINGA MAYOMBO Maurice Ulrich, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MANGOURA Patrice, appelé à d'autres fonctions.

- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MASSOUKOU Benjamin : Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NDINGA MAYOMBO Maurice Ulrich, appelé à d'autres fonctions.

CES Alexandre MADOUNGOU MBARI (Mimongo)
- Intendant : M. CHASSA MIKOLO Damas, Attaché d'Administration Scolaire, en remplacement de M. LETEMBET BICKOTO Rigobert, appelé à d'autres fonctions.

CES Albert Martin SAMBAT (Mouila)
- Intendant : M. LETEMBET BICKOTO Rigobert, Attaché d'Administration Scolaire, en remplacement de M. MBOMBET Jean Honoré, admis en stage à l'ENI.

PROVINCE DE LA NYANGA
LYCEE Jean Baptiste MOANDAT (Mayumba)
- Censeur I Vie scolaire : M. MBOUROUTOU Brice Pierre, Professeur du secondaire, poste vacant, promu.

- Censeur II Vie scolaire : Mme NGOMA Léonie, Professeur du Secondaire, poste vacant, promue.

LYCEE Edouard MOSSOT(Moabi)
- Censeur II Pédagogique : M. MOUNDOU Guy Serge, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. OVONO ELLA Jean Louis.

- Censeur II Vie Scolaire : M. AMADI OSSAVOU Guy Léopold, Professeur du secondaire, poste vacant, promu.

LYCEE Général Nazaire BOULINGUI
- Censeur I Pédagogique : M. METOUGHE Yvon, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. EYI MESSA Constant, démissionnaire.

- Surveillant Général : M. MAMBOUNDOU MAMBOUNDOU Elie, Instituteur, en remplacement de M. MICKALA MBINA Jean de Dieu, décédé.

- Intendant : M. BOUSSOUGOU Jean Louis Ousmane, précédemment en service à Moulengui-Binza, en remplacement de M. MOUSSAVOU MOMBO Guy, remis à la disposition de la DAP.

- Econome : Mme BOUNDA Amélie, Administrateur Scolaire et Universitaire, en remplacement de M. BOUASSA Gérard, décédé.

CES KOUMBA NZIENGUI (Tchibanga)
- Directeur des Etudes Vie scolaire : M. KASSA Ange Corneille, en remplacement de M. MOGOULI Cyprien, admis en stage à l'ENS.

CES DE MABANDA (Mabanda)
- Directeur des Etudes Vie scolaire : M. BOUKEGHET FOUECHI Séverin, Professeur du Secondaire, poste vacant, promu.

- Surveillant Général Adjoint : M. MASSALA Jean Pierre, Instituteur, promu.

PROVINCE DE L'OGOOUE-IVINDO
LYCEE Alexandre SAMBAT (Makokou)

- Censeur I vie scolaire : M. OUMARE BOUCKAL BAKOT, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NDJEMBI ILAGOU, muté.

LYCEE Daniel KOSSE (Booué)
- Surveillant Général : M. MBAMI Philippe, Instituteur, poste vacant, promu.

CES DE MAKOKOU (Makokou)
- Principal : M. MALELA MBELOU Samuel, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. PAZOCK MAYELE Jérémie, muté.

- Surveillant Général Adjoint : M. MENDOUME ABOGHE Nasser, Instituteur, en remplacement de M. MELONG Patrice, admis en stage.

PROVINCE DE L'OGOOUE-LOLO
LYCEE Jean Arsène BOUNGUENDZA
- Censeur II Pédagogique : M. IKOUYOU Chrysanthème, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NGUEMA Jérôme, remis à la disposition de la DAP Ogooue-lolo.

- Surveillant Général Adjoint : M. LINDZONDZO Jean Jérôme, Instituteur, promu.

PROVINCE DE L'OGOOUE-MARITIME

LYCEE AMBOUROUET AVARO (Port-Gentil)

- Censeur I vie scolaire : Mme ESSOMEYO NKOGHO Clarisse, Professeur du secondaire, poste vacant, promue.

LYCEE Thuriaf BANTSANTSA (Port-Gentil)
- Proviseur : M. NEYER OLOURI Guylain, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MIHINDOU MOUSSAVOU, muté.

- Intendant : M. ESSONO OKEMVELE Maxime, Attaché d'Administration Scolaire et Universitaire, en remplacement de M. MESSI Arthur, remis à la disposition de la DAP.

CES Julien MBOUROU (Omboué)

- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. GOMEZ RAPONTCHOMBO YOMBEYENI Denis, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NGUEDI Denis, démissionnaire.

CES BAC AVIATION (Port-Gentil)

- Principal : M. MIHINDOU MOUSSAVOU, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NEYER OLOURI Guylain, muté.

- Intendant : M. NGANDA Eric, Attaché d'Administration Scolaire et Universitaire, poste vacant, promu.

PROVINCE DU WOLEU-NTEM

LYCEE Ambroise OBAME NDONG (Medouneu)
- Econome : M. MINTSA ZOLO Jean Pierre, Attaché d'Administration Scolaire et Universitaire, poste vacant, promu.

LYCEE Richard NGUEMA BEKALE (Oyem)

- Censeur II vie scolaire : M. NDEAUX Constant Confort, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. LOUBANGOYE Fidèle Gontran, remis à son administration d'origine.

LYCEE ASSOGHO EYEME DE MINVOUL

- Censeur II vie scolaire : M. NDONG EBONA Simon Pierre, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NGAMA ESSALA Camille, admis en stage à l'ENS.

- Surveillant Général Adjoint : Mme NTOUTOUME ME NNANG Yvonne ép. MBO'O, Institutrice, en remplacement de M. AMENGLE AKONO Jean Pierre.


MINISTERE DES RELATIONS AVEC LE PARLEMENT, LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, DE L'INTEGRATION REGIONALE CHARGE DES DROITS DE L'HOMME ET DU NEPAD

COMMISSION NATIONALE DE LUTTE CONTRE L'ENRICHISSEMENT ILLICITE
CABINET DU PRESIDENT
- Chef de Cabinet : M. ASSAPI Michel.
- Secrétaire Particulière : Mme EPOGO Audrey.
- Conseiller en Communication : M. ASSEYI MAMADOU Rodrigue.
- Conseiller Technique : M. MOUNDOUNGOU Michel.
- Secrétaire de Cabinet : Mme MOUSSIROU MOUKAGNI Ginette Christelle.
- Chargé d'Etudes : M. DJIMBI MAKOSSO Prosper.
- Chargé du Protocole : M. OKASSA Rodrigue.
- Aide de Camp : M. MBANGANGOYE Franck.
- Agents de Sécurité : MM.

• MBENABI TABA Christophe.
• BOUCAH Marc Thierry.

- Chauffeur Particulier : M. OMBANGO Sabin.
CABINET DU COMMISSAIRE MEMBRE
- Chargé d'Etudes : M. NDONG MBA Christian Noël.
- Agent de Sécurité : M. ANGOUE EBOUANG Stéphane Olivier.
- Chauffeur Particulier : M. IGALLA NGOMA Judicaël.
CABINET DU COMMISSAIRE DU GOUVERNEMENT
- Secrétaire Particulière : Mme BOUYON Marie Louise.
SECRETARIAT GENERAL
- Chef de Service Courrier : M. EKOMI Jean Claude.
- Chef de Service Archive : M. MANGAKA TONDA Samson.
- Chef de Service Documentation : Mme OTOUNGA Cochita.
MINISTERE DE L'AGRICULTURE, DE L'ELEVAGE, DE LA PECHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

CHEFS DE PROVINCE AGRICOLE

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Estuaire : M. BANGA Paul, Ingénieur Agronome.
- Chef de Service Provincial de l'Agriculture du Haut-Ogooué : M. MOUSSAVOU MOUSSAVOU Jean-Baptiste, Ingénieur des Techniques Agricoles.
- Chef de Service Provincial de l'Agriculture du Moyen-Ogooué : M. NZAOU Marius Trésor, Ingénieur Agronome.

- Chef de Service Provincial de l'Elevage de la Ngounié : Mme KOMBA Suzanne, Ingénieur des Techniques d'Elevage.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de la Nyanga : M. BIBANG Severin Arnaud, Ingénieur Agronome.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Ogooué-Ivindo : M. IFADA Anaclé, Ingénieur des Techniques Agricoles.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Ogooué-Lolo : M. LOLA MEHOULA Gabriel, Ingénieur des Techniques Agricoles.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Ogooué-Maritime : M. MEDZA ABESSOLO Magloire, Ingénieur Agronome.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture du Woleu-Ntem : M. NGOUNGA PAMBOU Louis Clotaire, Ingénieur des Techniques Agricoles.

CHEFS D'INSPECTION PROVINCIALE DES PECHES ET DE L'AQUACULTURE
- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Estuaire : M. IBOUANGA YEMBI Joseph, Ingénieur des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture du Haut-Ogooué : M. MICKOMBA Pierre Claver, Ingénieur Halieute.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture du Moyen-Ogooué : Mme NTSAME BIYOGHE Gwladys, Ingénieur des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de la Ngounié : M. MOUNDOUNGA Gustave, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de la Nyanga : M. OBAME MEBIAME Jean Fulbert, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Ogooué-Ivindo : M. OMPIBA Jean Patrice, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Ogooué-Lolo : M. MOUELE Fabrice Nicodème, Ingénieur des Techniques d'Elevage.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Ogooué-Maritime : M. ELLA ABOGHE Ghislain Mermoz, Docteur Vétérinaire.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture du Woleu-Ntem : M. NGAMBA NDIANGOU Jean Médard, Ingénieur Halieute.

CENTRE DE MULTIPLICATION DU CACAO D'ELITE (CMCE)

- Directeur : M. ZOGO ONDO Claude Corneille, Ingénieur des Techniques Agricoles.

MINISTERE DE LA COMMUNICATION, DE LA POSTE ET DE L'ECONOMIE NUMERIQUE
SECRETARIAT GENERAL


D
IRECTION GENERALE DE LA POSTE
- Directeur Général Adjoint : M. Léonard NZAOU, précédemment Secrétaire Exécutif Adjoint de l'Agence de Régulation des Communications Electroniques et de la Poste.

AGENCE DE REGULATION DES COMMUNICATIONS ELECTRONIQUES ET DE LA POSTE (ARCEP)
- Secrétaire Exécutif Adjoint : M. Dosithée MICKALA, précédemment Conseiller du Président de la République.

 

 

MICHEL OGANDAGA  http://michelogandaga.blog.fr/  http://sylviabongondimba.blog.fr/

https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA http://www.presidentalibongo.com/

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/