25/05/2012

FAUSSE AFFAIRE GABRIEL TCHANGO : LES MENSONGES DU POLITICIEN MOUTOUKI MARC ONA ESSANGUI

                                 

Sacré Ona Essangui ! Dès que notre célébrissime Prix Goldman entend une petite rumeur sur un pédézozo, il entre aussitôt en transe. Et il a suffi dernièrement que sa potesse, Lydie Oranga, vienne lui raconter que le ministre Gabriel Tchango est en train de leur voler les maisons, pour que le « Grand de ce monde » y voit une vérité biblique et décide de traîner le ministre dans la boue.

Pour ce faire, Marc envoie rapidement son factotum Georges Mpaga balancer dans « Echos du Nord » ce qui va devenir un grand scoop. Une fois l’affaire devenue publique, Marc pouvait tranquillement rentrer dans la danse à travers ce communiqué de presse particulièrement violent : « Gabriel TCHANGO, Ministre Gabonais des eaux et forêts et homme d’affaire, vient une fois de plus de s’illustrer dans l’accaparement frauduleux des biens appartenant à la famille ORANGA. Ce mercredi 17 mai 2012, Gabriel TCHANGO a fait débarquer un contingent de 42 policiers sous les ordres de madame Oberdeno Eliane, Huissier de justice connue des milieux judiciaires de Libreville, qui ont procédé à l’expulsion manu militari des propriétaires de leur domicile en commettant par la même occasion des violations des droits de l’Homme chez ces derniers. Madame ORANGA Rosine, épouse de Monsieur ORANGA EGUEYI Claude René âgée de 71 ans a été humiliée par des jeunes policiers zélés. Ce comportement ignoble orchestré par Gabriel TCHANGO est la parfaite illustration du régime de l’arbitraire installé au Gabon depuis 2009, composé de prédateurs qui font usage de la force pour imposer leur domination sur une population complètement assujettie et dépossédée de sa citoyenneté. Nous rappelons à l’opinion publique nationale et internationale que cet acharnement de Gabriel TCHANGO à piller les biens immobiliers de la famille ORANGA débute en 2007. Pendant que le propriétaire de ce patrimoine et chef de famille, Monsieur ORANGA EGUEYI Claude René, purgeait une peine de prison à la maison d’arrêt de Port-Gentil, son fils cadet et de moralité douteuse le nommé Claude Edmé ORANGA, a volé le cachet de son père sur lequel était en outre incorporé sa signature pour y effectuer des opérations illégales de vente en faveur de Gabriel TCHANGO sur la base de faux documents fabriqués de toutes pièces par Claude Edmé ORANGA, manifestement sous l’emprise des millions de Francs CFA provenant de son acolyte Gabriel TCHANGO dont l’obsession de dépouiller la famille ORANGA de ses investissements, le rendait inconscient et aveugle au point d’ignorer les principes et les précautions élémentaires en pareille circonstance. Devant cette situation inacceptable, le Mouvement « ça suffit comme ça » considère Gabriel TCHANGO comme un recéleur, un hors la loi coupable d’actes frauduleux, de complicité de faux et usage de faux. Les titres fonciers qu’il fait prévaloir résultèrent de faux documents notamment des faux actes de vente qui ne sont pas l’émanation des propriétaires légaux à savoir Monsieur et madame ORANGA mariés sous un régime de communauté de biens de puis plus 50 ans. Compte tenu de ce qui précède, notre Mouvement est totalement solidaire de la famille ORANGA face à Gabriel TCHANGO, qui n’a pas sa place dans un Gouvernement de la République digne de ce nom de notre point de vue qui doit être composé de personnes intègres et irréprochables. Mouvement Ca suffit comme ça exige donc dans les plus brefs délais, la démission de Gabriel TCHANGO du Gouvernement pour mieux se mettre à la disposition de la justice de notre pays pour abus d’autorité, trafic d’influence et la restitution des biens volés à la famille ORANGA. Faute de quoi, nous entreprendrons des actions citoyennes d’envergure à Libreville et judiciaires dans les tribunaux à compétence universelle à l’encontre du Ministre. Fait à Libreville, le 21 mai 2012 ».

Au-delà de ce recueil, de ces prouesses grammaticales et de surpassements injurieux, il y a malheureusement la réalité des faits. Et cette réalité indique que c’est le 24 mars 2003, que sieur Claude René Edmé Oranga, fils de Claude René du même nom, se fait délivrer cette procuration :

L’objet est très clair : la vente des villas de son père. Ainsi que le veut la procédure, le tribunal de Port-Gentil va alors procéder à l’authentification de la procuration et décide, un an plus tard, de délivrer cette ordonnance sur requête :

Document qui va lui permettre de conclure définitivement la vente de la villa. Sauf que lorsque, quelques mois plus tard, le nouveau propriétaire Gabriel Tchango décide de démarrer les travaux, il trouve la villa occupée par un squatter répondant au nom de Lucien Tchango. C’est le propre frère de René Claude Edmé. Lucien conteste la transaction et jure de ne pas quitter les lieux. Le nouveau propriétaire saisit alors les tribunaux et le 15 juillet 2008, cette décision est rendue :

Après cette expulsion menée sans bruit, Gabriel Tchango et Claude René Edmé concluent une autre vente de maison. Celle-ci se déroule à Libreville, au quartier Glass où Claude René est propriétaire d’une baraque. La même procédure est engagée par voie notariale jusqu’à la conclusion, sans aucun problème, de cette transaction.

Mais au moment où Gabriel Tchango s’engage à lancer les travaux de réhabilitation, il trouve curieusement sur les lieux une certaine Lydie Oranga, soeur Claude René Edmé. La Lydie campe sur ses positions. C’est qu’elle a un argument en béton qu’elle exhibe de to go : une procuration de gestion des biens qui lui a été délivrée par le même papa.

Pour tirer cet imbroglio au clair, un huissier de justice, sur réquisition du Procureur de la République, sera envoyé à la prison centrale pour procéder à l’audition de l’émetteur des deux procurations. Voici ce que Claude René Oranga a confié à l’huissier :

A partir de là, la procédure judiciaire est aussitôt engagée et le 30 juillet 2010, ce jugement tombait comme un couperet :

Malgré la clarté de ce jugement, rien ne bouge sur le terrain où d’ailleurs la condamnée a fait appel. Manque de pot, le 23 février dernier, la cour d’appel venait confirmer le jugement de première instance :

Et c’est l’exécution, par l’expulsion des squatters, de ce jugement qui a soulevé l’ire de Marc Ona. Lequel Ona n’a pas hésité à édulcorer les faits, par le mensonge ; à insulter Gabriel Tchango, par pure haine et stricte impolitesse.

La voilà, notre fameuse Société civile. Celle de Marc Ona Essangui, de Paulette Oyane Onde et de Georges Mpaga. Une Société civile qui a horreur de la vérité et préfère servir « honteusement et petitement » le mensonge.

Attendons voir si elle aura la simple dignité de s’amender.

Source : LA GRIFFE du vendredi 25 mai 2012

MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

Gabon: BIENVENUE CHEZ LES " FANGS " DU NORD

Comme experts et « célèbres » Fangs du Gabon, « Jeune Afrique » (n° 2680 du 20 mai 2012) n’en a trouvé que dans le Woleu-Ntem pour réaliser son grand dossier sur le pays Fang. Un dossier qui, finalement, n’a fait que révéler la pensée profonde d’AMO sur son peuple : les seuls Fangs, vrais et authentiques, sont ceux du Woleu-Ntem.

Dans son dernier scoop sur le Gabon, l’ex « intelligent », « Jeune Afrique » a eu l’extrême « intelligence » et la délicate « indépendance » de consacrer sa Une au royaume des « Fangs ». Avec la perspicacité qui le caractérise, l’empereur Ben Yahmed circonscrit ce royaume des « Fangs » à la Guinée-Equatoriale, au Cameroun et, naturellement, au Gabon.

Presque du « Tintin au Congo » quand on sait qu’il y a aussi les « Fangs » au pays de Sassou, à Soa-Tomé et Principe. Mais ce sont des détails qu’on ne peut pas maîtriser lorsqu’on trace des frontières depuis un bureau parisien et sous la dictée d’un grabataire venu d’Azanie.

Mais il est clair que l’objectif n’était pas de donner au lecteur une information scientifiquement juste et précise sur les Fangs. Pour l’inoxydable Ben Yahmed, il fallait tout juste donner un coup de main à son vieux pote AMO et étancher un règlement de compte financier.

Pour le reste, l’objectif était de démontrer qu’au Gabon, les seuls « Fangs » qui sont « célèbres », « intelligents » comme le fut « Jeune Afrique », beaux et intellectuels, sont uniquement du Woleu-Ntem.

A preuve, comme « intellectuels » qui avaient le bagage de confier, en tant qu’experts, leur avis au reporter de « Jeune Afrique », on note : Firmin Nguema Obame, « chef d’une entreprise » inconnue du Registre commercial du Gabon ; Jean-Christophe Owono Nguema, un ancien postier.

Comme experts, il est évident que Ben Yahmed ne pouvait trouver mieux parmi les « Fangs » de l’Estuaire, de l’Ogooué-Ivindo, du Moyen-Ogooué ou de l’Ogooué-Maritime. En dehors des savants éclairages de ces deux experts, « Jeune Afrique » a pensé aussi à présenter ceux qu’il pense être les « Fangs célèbres ». Au Gabon, la liste est exhaustive : Pierre-Emerick Aubameyang, Marc Ona Essangui et André Mba Obame.

Il n’y a pas un seul Fang de l’Estuaire, du Moyen-Ogooué et de l’Ogooué-Ivindo célèbre. Qui trouver ailleurs ?

Casimir Oyé Mba, premier gouverneur de la BEAC et pourtant membre de l’opposition ? Non ! Il est de l’Estuaire, pas du Woleu- Ntem. C’est donc un illustre inconnu.

Hilarion Nguema, seul Gabonais à avoir reçu le Marakach d’Or avec son titre « Sida » classé document scientifique par l’OMS ? Non plus ! Il est de l’Estuaire pas du Woleu Ntem. Ce n’est donc qu’un niais qui ne saurait faire partie des célébrités du pays Fang.

Monseigneur Jean-Pierre Ellelaghe Nzé, principal bâtisseur du projet académique de l’Université catholique de Yaoundé et réalisateur du Grand Séminaire Saint Augustin de Libreville ? N’en parlez pas ! Il est du Moyen-Ogooué et non du Woleu-Ntem. Il est par conséquent juste et bon qu’il soit classé personnage insignifiant.

L’Abbé Noël Ngwa Nguema, seul journaliste Gabonais à avoir obtenu, avec notre confrère « Misamu », un prix international ? Bouclez-là ! Il est du Moyen- Ogooué et non du Woleu Ntem. Il ne vaut donc rien du tout.

Et que dire de Jacques Edane Nkwélé, le premier ingénieur en télécom du Gabon ? Dégagez ! Il est de l’Ogooué Ivindo et non du Woleu-Ntem. Il n’est donc pas question qu’il soit considéré comme un vrai Fang.

En réalité, la mécanique intellectuelle du commanditaire de cet article, qui n’est autre qu’André Mba Obame, a tellement transpiré dans cette affaire qu’elle a fini par libérer ce côté nauséeux qui fonde son action politique : le tribalisme le plus primaire.

Celui qui prend pour essence idéologique la province et guide sa démarche par la haine et la chosification de l’autre. Cet autre qui est présenté comme étant un sous-homme. Et dans l’entendement de tous ceux qui partagent, avec Mba Obame et Marc Ona, cette idéologie néonazie, le sous-homme, au Gabon, c’est l’étranger ou le Bilop.

Mba Obame et Marc Ona ne cessent d’ailleurs de distiller ce venin qui proclame qu’en dehors du Woleu-Ntem, il n’y a pas d’autres « Fangs ». Il n’y a que les Bilops.

Dans l’Estuaire, toute l’intonation péjorative et abaissante qu’ils affublent au distinctif « mekê-me-nkoma », traduit parfaitement l’assimilation qu’ils font de ces « Fangs » aux Bilops. De même, pour eux, c’est-à dire pour Mba Obame et ses adeptes, dans le Moyen-Ogooué, il n’y a guère de Fangs. Là-bas, ce sont les Bilops.

Itou pour l’Ogooué-Ivindo où, avec une condescendance inqualifiable, les Fangs de cette contrée sont carrément appelés les Bakotas. C’est dire toute l’in-considération qu’ils vouent aux Kotas.

Mba Obame et Marc Ona sont des puristes qui ne rêvent que d’épuration. Les seuls Fangs sont les Fangs du Woleu-Ntem. Les seuls Gabonais sont les Fangs du Woleu-Ntem. Le Gabon doit donc être dirigé par ses purs enfants.

Ce qui, pour eux, n’est pas le cas puisque le pays, comme ils le chantent si bien, est entre les mains des Bilops et des « étrangers du Palais ». Il faut donc que la donne change. Porter cette revendication sur la place internationale à travers « Jeune Afrique » était indispensable quand on sait ce qui vient de se passer dans le Nord du Mali. Message reçu 5/5.

 

Source : LA GRIFFE vendredi 25 mai 2012 [wpsr_socialbts]

Qui se cache derrière "gabon libre"et "le gabon énervant" pour vociférer des insanités sur le Gabon ?

                              

Faut-il vraiment s’attarder sur ce que certains sites écrivent sur le Gabon et sur certaines autorités de la République ?

D’une part, non car il est clair que leurs écrits ne nous avancent en rien. Il est d’autre part intéressant de savoir qui se cachent derrière ces écrits incendiaires qu’ils n’osent même pas signer , et quel serait leur objectif ultime ?

Quand on lit certains articles de ces sites nauséabonds, on se rend à l’évidence que ce que ces gens cherchent n’est autre chose qu’entacher les institutions du pays.

C’est tellement flagrant que ça ne demande pas une minute pour découvrir qui se cache derrière cette haine venimeuse contre le président Ali Bongo Ondimba .

Ce sont les sympathisants de l’exUN qui continuent à insulter tout ce qui sent l’émergence pour rendre populaire leur chef qu’ils auraient voulu voir à la place de ya Ali. C’est en quelque sorte un règlement de compte sans nom qui anime ces gens dévoués à une cause sans issue.

Certains ont été déjà localisés dans le pays de l’Oncle Sam devenu une place où tous ceux qui veulent salir le Gabon se rencontrent. Ce qui est sidérant est que ces gens ne disent rien de positif sur le Gabon comme si là où ils vont vomir toute leur haine contre les institutions était un paradis.

Le salut du Gabon ne viendra pas de l’extérieur mais des Gabonais eux-mêmes et tant que les uns s’évertueront à détruire tout ce que les autres édifient, on peut facilement envisager de longues années de souffrance encore.

La cause de cette haine de transparence est donc une vengeance pure et simple mais qui malheureusement éclabousse toute la nation.

Des montages grossiers, des insultes et autres bassesses sont publiés sur les fameux sites juste pour se décharger de la colère et de la haine que Mba Obame André , Zacharie Myboto et ses alliés ont contre les institutions qu’ils auraient voulues sous leur coupe.

C’est plutôt honteux pour ces sites qui n’hésitent plus à manipuler les photos du Président de la République juste pour le salir. Comment un Gabonais digne de ce nom peut se réjouir du fait que le pays ait raté une opportunité quelconque par exemple ?

Bien que tous ce que ces sites distillent soient totalement faux, leurs écrits montrent bien que ces Gabonais préfèrent voir le Gabon brûler que le voir progresser.

Voilà des gens qui se targuent de lutter pour le bien-être des Gabonais au moment ils ne cherchent qu’à détruire tout ce qui est en train d’être édifié au Gabon. Ce qui est une évidence, le mal n’a jamais triomphé sur le bien.

C’est en fait dire que ceux qui souhaitent la paix et la prospérité du pays sont plus nombreux que les pyromanes.

Les marchands d’illusions devraient se rendre à cette réalité et arrêter leur sale besogne.

Le jeu démocratique ne se fait pas de cette façon et la population Gabonaise se moque éperdument de tels comportements qui n’honorent ni le pays qui vu a naître ces ingrats, ni leurs auteurs.  


MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

24/05/2012

COMMUNIQUÉ FINALE DU CONSEIL DES MINISTRES DU 23 MAI 2012

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A l'entame des travaux, le Conseil des Ministres a salué la croisade inlassablement menée par le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, pour la promotion de la stratégie opérationnelle du Gabon Emergent à travers les continents ; croisade qui l'a conduit pour cette fois en Grande Bretagne et en Irlande du Nord.

En effet, à l'invitation des plus hautes autorités, le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA vient d'effectuer une visite de travail à Londres en Grande Bretagne.

Cette visite de travail avec le Premier Ministre Britannique, très remarquée et très commentée par les faiseurs d'opinion, s'est articulée principalement comme suit :

A Chaton House, centre de réflexion le plus prestigieux sur les questions internationales, le Chef de l'Etat a décliné sa vision de développement pour le Gabon à travers les axes suivants :

- mise en œuvre d'un ambitieux programme des réformes visant à diversifier l'économie, à accroître la compétitivité des secteurs industriels et des services tout en préservant les immenses richesses environnementales ;

- détermination à réduire la dépendance de notre pays vis-à-vis des ressources pétrolières ;

- refonte de la législation environnementale pour la mise en place d'un nouveau code de développement durable ;

- avènement prochain d'une bourse de crédits durables. Cette bourse permettra d'échanger des crédits, de développement durable générés par les projets répondant aux standards environnementaux définis par le code de développement durable.


Le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a, par la suite, eu une séance de travail avec le Premier Ministre de l'Irlande du Nord au cours de laquelle le Premier Ministre de l'Irlande du Nord a souligné d'une part, le rôle essentiel que le Gabon a joué dans la promotion de la paix durant son mandat au Conseil de Sécurité, et d'autre part, a souhaité consulter le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA sur les questions de paix et de sécurité en Afrique.

Le Premier Ministre et le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA se sont engagés à renforcer les relations économiques en mettant en relief les opportunités d'affaires qu'offrent nos deux (2) pays.

Enfin, la visite très suivie du Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA s'est achevée par la Conférence donnée à London Business School, à l'occasion de la Journée de l'Afrique, sur la place de l'Afrique dans le monde et les ambitions du Gabon pour un développement plus respectueux de l'environnement.


EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE


MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L'INTEGRATION REGIONALE


Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l'a approuvé, le programme des manifestations commémorant la 49ème Journée de l'Afrique, qui sera célébrée, du 24 au 26 Mai 2012, à Libreville.

A cet effet, les activités prévues se déclinent ainsi qu'il suit :

un jeu concours inter établissements (questionnaire portant sur l'Union Africaine) ;
une allocution télévisée du message du Ministre des Affaires Etrangères ;
une conférence-débat portant sur le thème de la Journée : « Stimuler le commerce intra-africain » ;
une rencontre de football opposant le Corps Diplomatique à l'équipe du Ministère des Affaires Etrangères ;
un dîner-gala.

MINISTERE DE L'INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L'IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

Le Conseil des Ministres a marqué son accord au Ministre pour l'organisation de la 2ème Consultation Régionale sur les inondations et autres catastrophes naturelles en Afrique Centrale, du 11 au 13 Juin 2012, à Libreville.

MINISTERE DE L'ECONOMIE, DE L'EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

Le Ministre a sollicité et obtenu l'accord du Conseil des Ministres, pour l'organisation, du 29 au 30 Mai 2012, à Libreville, d'un Atelier National de Validation de la Stratégie Nationale de Développement Durable.


Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l'étranger des membres du Gouvernement.

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.


Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :



PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

CABINET DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

- Conseiller du Président de la République : M. Ghislain ONDIAS OKOUMA.
- Chargé de Missions du Président de la République : M. Tanguy GAHOUMA BEKALE.

CONSEIL NATIONAL DE SECURITE

SECRETARIAT GENERAL


- Directeur de Cabinet : M. MAGANGA Pierre.

- Secrétaire de Particulière : Adjudant Chef ANDJOUOMO NDJIABI Florence.

- Conseillers : MM.
• DOUTEY Henri Sébastien ;
• GROS JEAN Louis.

- Directeur des Affaires Stratégiques et Internationales : M. NDOUTOUME OBAME Jean Luc.

- Directeur des Affaires Administratives, Financières et du Personnel : M. MBOUGAYO Clément.

CONSEIL PERMANENT DE LA FRANCOPHONIE

- Représentant Personnel du Président de la République Gabonaise au Conseil Permanent de la Francophonie : Pr Guillaume PAMBOU TCHIVOUNDA.


PRIMATURE


CABINET DU MINISTRE DELEGUE AUPRES DU PREMIER MINISTRE, CHARGE DE LA REFORME DE L'ETAT

- Directeur de Cabinet : M. Arcade MOUENDOU, Administrateur Civil en Chef, diplômé de l'ENA.

- Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Joséphine MIPOTI, Assistante de Direction.

- Chef de Cabinet: M. Williams Wilfrid MIHINDOU-MI-NZAMBA.

- Secrétaire de Cabinet: Mme Célia AKANDA, diplômée en Bureautique.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Agnès ATORA, diplômée en Gestion Informatique.

- Chargés de Missions :
MM.
• Alain Félix BEKALE ;
• Désiré ONKOUNI.
• Mme Madeleine MBANGA MAGNAHO épouse NZENGUE.

- Chauffeur Particulier du Ministre : M. Mathieu NGUEMA.


MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT


SECURITE PENITENTIAIRE

- Commandant en Chef : Général de Brigade NZOUBA NGONDI Sébastien, précédemment Directeur de Recrutement et de la Formation en remplacement du Général de Corps d'Armée NKENZE Edwige.


MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L'INTEGRATION REGIONALE



CABINET DU MINISTRE DELEGUE

- Directeur de Cabinet : M. LOUNDOU Antoine.

- Chef de Cabinet : M. IBALA Olivier.

- Secrétaire de Particulière du Ministre Délégué : Mme BIACEL Arielle Nany, épouse MWAMBI.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme DAMAS SAPE Carole Léonie.

- Chargés d'Etudes :Mmes
• BANAVE Claudia ;
• OWANGA ESSONGUE Prisque Euphrasie ;
MM.
• ANGO Stéphane Sandy ;
• MACKAO Michel ;
• MOUELE Félix.

- Secrétaire de Cabinet : Adjudant KIENE Brigitte.

- Chef du Protocole : M. MAVOUNGOU TAMBA Guy Roger.

- Attaché de Presse : M. OYONO Yves Saint.

- Aide de Camp : Maréchal des Logis Chef MIHINDOU Pierre.

- Agents de Sécurité :
Les Maréchaux des Logis Chef
• NKOUROU Steeve ;
• EBONGHE Raoul.

- Chargés de Missions :
• Mme ASSIBOU Christiane ;
MM.
• NZENGUI BOUDIANDZA Urbain ;
• MADOUNGOU MOUELE Louis Aimé ;
• YAMAMAH Georges.

- Chauffeur Particulier : Breveté de Carrière MOUTSELIKI François.


MINISTERE DE LA SANTE

CABINET DU MINISTRE

- Directeur de Cabinet : M. Fidèle BOUKA.

- Chef de Cabinet : M. Jean Lambert NDOMBY.

- Secrétaire Particulière du Ministre : Mlle Edith Sylvie MANGA MANGUIYA.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mlle Nicole P. GUEGOU.

- Secrétaires de Cabinet :
Mmes
• Margueritte WAKA MBEMBO ;
• Virginie MASSINGO GUEGOMA.

- Aide de Camp : Maréchal de Logis Chef Anselme Richard MASSALA.

- Agents de Sécurité :
• Adjudant Jean Basile DITENGOU ;
• Sergent Chef Roger NGOMA.

- Chauffeur Particulier du Ministre : M. Stéphane DIKEGUE.

- Chef du Protocole : M. Christian Josselin MOSSALA DIPAGA.

- Agent du Protocole : M. Jean Jacques KITSA.

- Attaché de Presse : M. Richard MOUBIWA.

- Chargés de Missions :
MM.
• MBEMBO Georges ;
• SERRE-MANGOUNGOU Augustin ;
• Jean Louis LOUNDOU ;
• Mme BIGNOUMBA Honorine.

- CONSEILLERS :

- Conseiller Chargé des Programmes de Santé et d'Hygiène Publique : Dr Médard TOUNG MVE.

- Conseiller Chargé des Questions Pharmaceutiques et de Laboratoires : Dr Marie Yvonne ELLA ASSA.

- Conseiller Chargée de la Reproduction et de la Promotion de la Santé Maternelle et Infantile : Dr Julienne PACKOU.

- Conseiller Chargé de la Qualité des Soins et des Questions Médicales : Dr Eric Augustin BAYE.

- Conseiller Diplomatique : Mme Denis Landia NDEMBI NZIENGUI.

- Conseiller Chargé des Reformes Institutionnelles, de la Formation et des Ressources Humaines : M. Luc NGABA.

- Conseiller en Communication : Mme Marie José NDOMBI, Professeur en Sciences Médicales.

- Conseiller Juridique : M. Guy Roger NZAMBA, Juriste.

- Conseiller Chargé de l'Education à la Santé et des Relations avec les Partenaires Sociaux : M. Didier PENDJE.

- Chargés d'Etudes :
• Mme Claudine BINDJIMA, Administrateur de Santé ;
MM.
• Jacob TCHINGA, Aménagiste ;
• Paul Anicet MOUGNIENDA, Attaché d'Administration Economique et Financier ;
• Henri OLOLO, Administrateur de Santé.


CABINET DU MINISTRE DELEGUE

- Directeur de Cabinet : M. Anicet Armand NGOULOU BILEBA.

- Chef de Cabinet : M. Aubin LOBO.

- Secrétaire Particulière du Ministre : Mlle Grâce BILKIS KELIET NGOUANGA.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Léa LOEMBA.

- Aide de Camp : Sous-officier Epiphanie Zita BAKOUNOU.

- Attaché de Presse : M. MANEMBE MOUKOUMBI.

- Chargés de Missions :
MM.
• Alain Grégoire OKOUYI ;
• Jean TSOUNGA NDOUNGOU ;
• Aubin Janvier MABECKA ;
• Fernand MOUKETA.

- Chargés d'Etudes :
Mmes
• Elvire Pierrette MENDOME épouse MOUTETE ;
• Mireille NTSAME OBAME épouse NKOA ;
• Vanessa Tiphanie MATSALA NEMBE.


MINISTERE DE L'AGRICULTURE, DE L'ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL


CABINET DU MINISTRE

- Directeur de Cabinet :
M. EKO NDONG Julien.

- Chef de Cabinet : M. NTOUTOUME ONGONE Sylvère.

- CONSEILLERS :

- Politique : M. OBIANG NGUEMA Roger.

- Chargé des Relations Publiques : M. OBAME Marc Honorat.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme MATONGO Elisabeth épouse MAKOSSO.


- SECRETAIRES DE CABINET :
• Mmes POPODO Marguerite,
• OYANE MINKO Josiane.

- Chef du Protocole : M. NGOMA NGOMA Yves.

- Attaché de Presse : M. BIE ESSONE Dieudonné.

- Aide de Camp : Maréchal de Logis Chef AKIRINGO Dimitri Gildas.

- Agent de Sécurité : Maréchal de Logis AVA NZOGHE Michel.

- Chauffeur Particulier du Ministre : M. NGOUONI Jean-Jacques.

- Agent du Protocole : M. KITSA Jean-Jacques.

- CHARGES DE MISSIONS :
• MM ABOGHE EYA Jean-Jacques,
• CHAKOULA Didier,
Mesdames :
• MOUGOULA Jeannette
• ASSENGONE Amélie.

- CONSEILLERS

• Chargé de l'Agriculture et de l'Elevage : M. ONGONE OBAME Aristide, Ingénieur Agronome.

• Chargé de la Pêche et de l'Aquaculture : M. TCHIVOUNDA Blaise, Géographe, spécialiste du suivi Evaluation des Projets Pêche.

• Chargé du Développement Rural et des Aménagements des terres Agricoles : M. MOMBO Jean-René, Ingénieur Agronome.

• Chargé de la Promotion des Coopératives Agricoles et de l'Organisation des Agricultures : M. BOTSIE ZOYABE Lazare, DEA Psychologie sociale, DESS Gestion d'Entreprise.

- Conseiller Diplomatique : M. MIKOUNGUI Anatole, Conseiller des Affaires Etrangères.

- Conseiller Juridique : M. ASSOUMOU NDONG Cyriaque, Administrateur Civil.

- Conseiller chargé de la Communication : M. MBEANG MBA Guy Martial, Journaliste.

- CHARGES D'ETUDES :
• Mme EWOMBA Jocktane épouse MOUSSAVOU ;
MM. :
- CAPITO OGOULAWIRI Eugène Francis,
• RONOUBIGOUWA AMBOUROUET AVARO Michael,
• MOMBO MOMBO Aymar,
• EMANE Yves Armand,
• BOUCKA TCHINGA.

COMITE NATIONAL DU CODEX ALIMENTARIUS

- Secrétaire Permanent : Mme MEZOUE Blanche Emilienne épouse OBAME ENENGBE, Ingénieur Agro-alimentaire, précédemment chargée d'Etudes du Ministre.

COMMISSION NATIONALE FAO


- Secrétaire Général Permanent : Mme MOUGENGUI Yolande Marcelle, Ingénieur Zootechnicien, Master en Management du Secteur Public.


MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L'HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE


CABINET DU MINISTRE DELEGUE CHARGE DES TRANSPORTS.

- Directeur de Cabinet : M. MBA NZE Alain.

- Chef de Cabinet : M. MFOUME Jean-Prince.

- Secrétaire Particulière du Ministre : Mme MAKAYAT MBOUMBA née BINIANI Odile.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme MAHOUIRI DOUMAMBILA Sylvie Perrine.

- Secrétaire de Cabinet : Mme ERANGA IMOUNGA Nathaly.

- CHARGES D'ETUDES :
Mmes
• NGWEMPAZA NKOROUNA Sylvie,
• Mme NSEH NZET Mireille épouse MENVI,
MM.
• IKOGHOU Frédéric,
• MOUPOUNGUIDI Judicaël.

- Attaché de Presse : Mme KANGA Kenny Dalglish.

- Agent du Protocole : Maître SIMONO Hervé.

- Agent de Sécurité 1: Brigadier MBOUMBA Serge Alain.

- Agent de Sécurité 2 : Brigadier EPEME Romuald.

- Chauffeur Particulier : M. TSOUMOU Herman Habib.

- CHARGES DE MISSIONS :
• Mme N'SOUAMI Martine Grâce,
MM.
• WAGHA NANG Auguste,
• ESSINGONE Edgard,
• MINKO MENGA Michel.


MINISTERE DE L'ECONOMIE NUMERIQUE, DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE

AGENCE GABONAISE DE PRESSE (AGP)

- Président du Conseil d'Administration : M. NDEMBET Lin Joël.

- Directeur : M. MOUCKETOU Olivier, en remplacement de M. POUPI Maxime, appelé à d'autres fonctions.

- Directeur Adjoint : M. ELLA NZUE Jean-Baptiste, en remplacement de M. ONANGA Clément Jacquier.

INSPECTION GENERALE DES SERVICES

- Inspecteur pour communication : Mr ASSOUMOU MOMBEY Théophile.
- Inspecteurs pour Economie Numérique :
- M. OSSOUNGA Maurice,
- Mme ONANGA Eliane.


MINISTERE DES EAUX ET FORETS


AGENCE D'EXECUTION DES ACTIVITES DE LA FILIERE FORÊT – BOIS

Président du Conseil d'Administration : M. MOULOUNGUI Jean-Félix.


MINISTERE DE L'ECONOMIE, DE L'EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE


CABINET DU MINISTRE

CONSEILLERS :

- Chargé du pilier Gabon des Services : M. NDJOUBI OSSAMY Alain, Inspecteur Principal des Douanes.

- Chargé du capital humain : M. EBOZOKOU Gaston, Inspecteur Général de l'Enseignement du Second degré Technique.

- Conseiller Economique : M. PAMBOU Maurice Serges, Docteur en macroéconomie appliquée.

- Conseiller Juridique et Fiscal : M. BENGA NDJEME Arthur, Docteur en Droit Public.

- Chargée du Pilier Gabon Vert : Mme MAPANGOU Marthe, DESS Economie de l'Environnement.

- Conseiller Financier : M. LENDJOUGOU Francis Linis, DEA Economie Mathématique et Econométrie.

- Chargée du Pilier Gabon Industriel : Mme MBEZE Marie Sylvie, Administrateur Economique et Financier.

DIRECTION DU PROTOCOLE

- Directeur du Protocole : Mme BOUKANI Gilberte, Conseiller des Affaires Etrangères.

- Chargé d'Etudes : M. ALILI Marian, Inspecteur Central des Impôts.

- Agents de Sécurités :
• Mlle LOUMBANGOYE Roselyne, Maréchal de Logis Chef de Gendarmerie Nationale,
• M. AFOUNDJE Aymar, Maréchal de Logis à la Gendarmerie Nationale.

CABINET DU MINISTRE DELEGUE

- Directeur de Cabinet : M. SOUNDAT-BOUTAMBA Hugues, Administrateur Civil.

- Chef de Cabinet : M. MAVOUNGOU MBOUMBA Ange, Juriste, Master 2 Transports Maritimes.

- Secrétaire Particulière : Mme MOUBELET Béatrice, Attaché d'Administration.

- Secrétaire de Cabinet : Mme EYAVO Esther, Assistante de Direction.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme ILAMA Colette Léa.

- Agents de Sécurité :
• Maréchal de Logis Chef Major DOUMI MANDATSI Fabrice,
• Maréchal de Logis Chef ENI-ELLA Ghislain.

- Chauffeur Particulier : AGOUMA NDONG Jean-Cédric.

- CHARGES DE MISSIONS :
• M. PANZOU Antoine,
• M. TSATSI Samuel,
• Mme ITOUMBA Ruffine,
• Mme SOUZA BORA Marie France.

- CHARGES D'ETUDES :
• M. MOMBO Constant Roger, Administrateur Economique et Financier,
• M. OVONO MENGARA Côme Clotaire, Administrateur Economique et Financier,
• M. MBYE Ghislain, Master 2 Economie Développement Durable,
• Mme AMBONGUILAT Brigitte, Inspecteur Principal du Travail,
• M. MBODO MOUBAMBA Bernard, Administrateur Civil.


MINISTERE DU PETROLE, DE L'ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES

CABINET DU MINISTRE

- Directeur de Cabinet : M. Alexandre TCHIKAYA.

- Chef de Cabinet : M. Raphaël MABIALA.

- Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Pétula Bénicia ONGONDA.

- Secrétaire de Cabinet : Mme Hélène Brigitte NDAMOU.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Joseph Irma MBA NZE.

- Conseillers :

- Chargé de la Formation et de la Communication : Jocelyne Sandra AKOURE.

- Chargé du Pétrole, Représentant National de l'Association des Pays Producteurs de Pétrole Africains (APPA) : M. Fernand EPIGAT.

- Chargé des Questions Administratives : M. Jean Mathieu ANGOUE ONDO.

- Chargé de la Prospectives : M. Etienne LEPOUKOU.

- Stratégique : M. Wenceslas MAMBOUNDOU.

- Juridique : M. Jean Paul ANGOENNAH ESSYNGONE.

- Economique et Financier : M. Hugues MBADINGA MADIYA.

- Chargé des Organismes Internationaux : M. Eustache MANDJOUHOU YOLLA.

- Diplomatique : M. Norbert François OVONO OKOUE.

- Directeur du Protocole : M. Fabien Omer NDIMINA DABOU.

- Chargés d'Etudes du Ministre :
MM.
• Guy-Roger MBOUROU, Ingénieur ;
• Steeve Davy ESSONO, Administrateur Economique et Financier ;
Mmes
• Annick Edwige NGONTANG, Juriste ;
• Roseline Patricia MBOUKOU FOUBOU, Juriste ;
• Isabelle BEKALE, Journaliste.

- Chargés de Mission :
MM.
• Jean Fortune Christian SODJI NKOLO ;
• Josthène TCHIKAYA ;
Mmes
• Jeanne de Chantal NDEMBI ;
• Stella MALAMA.

Les autres personnels, précédemment en service au Cabinet sont remis à la disposition de leur administration d'origine.

CONSEIL NATIONAL DE L'EAU ET DE L'ELECTRICITE

- Président du Conseil d'Administration, Représentant du Ministère du Pétrole, de l'Energie et des Ressources Hydrauliques : M. Joseph Didier AMBOUROUE.



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23/05/2012

DISCOURS INTRODUCTIF DE MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, CHEF DE L'ETAT A L'OCCASION DU CONSEIL PRÉSIDENTIEL SUR L'HABITAT

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Monsieur le Premier Ministre,
Mesdames et Messieurs les Membres du Gouvernement,
Mesdames, Messieurs,


J'ai convoqué cette réunion par lettre du 11 Mai 2012 adressée au Premier Ministre, Chef du Gouvernement, face à la nécessité d'évaluer les actions déjà engagées et de donner l'impulsion requise en associant étroitement tous les acteurs du secteur.

En effet, aussi bien dans mon programme de campagne que dans mon projet de société du Gabon Emergent, j'ai affirmé une volonté ferme et claire de résorber le déficit en logement dans notre pays.

Cette attente et demande légitimes de la part de nos compatriotes d'accéder à un toit, à des coûts et conditions raisonnables justifient mon engagement de construire 5000 logements par an sur le septennat en cours, soit 35 000 logements.

Pour ma part, j'ai pris toutes les mesures politiques préalables et nécessaires, notamment d'ordre juridique et réglementaire, à travers six textes majeurs et fondateurs, qui permettent de revisiter et d'impulser notre programme d'urbanisation et nos programmes de logements.

Si la volonté politique, la vision et la stratégie sont suffisamment claires , si les réformes du cadre institutionnel et juridique sont une réalité il n'en demeure pas moins vrai que nos compatriotes, à juste titre, restent sceptiques sur la capacité du Gouvernement à traduire de façon concrète, non seulement à Libreville, mais dans les autres provinces, cette promesse et cet engagement.

C'est ce constat d'inefficacité, de pratiques peu conformes à l'intérêt général, de manque de transparence qui m'avait poussé à prendre un certain nombre de mesures dont celles touchant le ministère de l'Habitat dont la réorganisation était un impératif urgent d'une part et les instructions relatives à l'allègement et à la simplification des procédures de délivrance des titres fonciers d'autre part.

La nouvelle politique urbaine préconisée répond à des exigences d'efficacité, de transparence et de pragmatisme dans les procédures et a propose un nouveau plan d'urbanisme, le SMART CODE, qui vise dans les moindres détails les meilleurs standards internationaux.

Nous ne pouvons pas initier et mettre en œuvre cette réforme, devenue indispensable face à la pénurie de logements et à la gestion opaque qui prévalait jusqu'à présent sans une organisation administrative moderne, souple et efficace au bénéfice des populations avec la finalité de permettre aux Gabonais d'accéder à la propriété.

Pour ce faire, j'avais décidé de 5 actions d'envergure :
la réorganisation du Ministère en charge de l'Habitat, de l'Urbanisme et du Cadastre ;
la création de l'Agence Nationale de l'Urbanisme, des Travaux Topographiques, et du Cadastre ;
la création d'un Conseil National de l'Habitat ;
la réorganisation et la réactivation des Brigades Spéciales d'Urbanisme et de la Construction
la mise en place des plans d'urbanisme de détail dans les zones d'extension des villes, appelé SMART CODE



Mesdames, Messieurs,

Face à un déficit de près de 200.000 logements dans notre pays, j'attends des solutions concrètes, au-delà de l'état des lieux, indispensable certes, mais insuffisant.

Au-delà des grands principes, j'attends que de manière concrète, des mesures soient prises et des actions posées, pour résorber les différents déficits relevés dans le domaine de l'habitat.

J'attends de façon pragmatique, un calendrier d'exécution précis et défini sur des échéances imminentes.

J'attends un nouveau planning d'actions concrètes, ainsi que des réponses claires au système de financement qui tienne compte dans un équilibre intelligent de concilier le pouvoir d'achat des citoyens et la vocation sociale de nos projets aux intérêts des entreprises et promoteurs qui font des investissements dans le secteur.

Au sortir de cette réunion, je souhaite aussi lever toute équivoque et avoir des réponses aux questions suivantes :

- Comment vider la multitude de contentieux créés par nos propres travers, par un manque de vigilance ou un manque de suivi ?
-
Comment, quand et avec quels mécanismes financiers accélérer l'aménagement des différents sites et terrains en restant dans des chiffres raisonnables en adéquation avec la part que les VRD occupent dans tout pays fut – il humide et forestier ?
-
Quelles solutions concrètes pour utiliser nos matériaux locaux, en collaboration avec nos PME-PMI, en jouant au mieux sur la rentabilité des facteurs de production et éviter les tarifs à géométrie variable et dans lesquels le transport coûte plus cher que les matériaux transportés et où le même moyen de transport affiche des différences de prix exorbitantes selon le matériau concerné ?


L'accès au logement reste aux yeux de nos compatriotes un leurre et lorsqu'il devient une probabilité, son coût est excessif ! On ne peut pas faire du social avec des logements de 25 à 40 millions

Nous devons impérativement être plus intransigeants devant des pratiques frisant la surfacturation et les trafics divers et peu orthodoxes ainsi que les conflits d'intérêts.

Les choses ont changé et continueront à changer dans notre pays. Cela doit se traduire dans nos décisions, dans nos actes, dans nos réalisations.
Au-delà de se nourrir et de se vêtir, le logement comporte une dimension sociale forte et représente pour l'être humain un besoin fondamental. Chaque famille, chaque foyer a besoin d'un toit, espace de stabilité et d'épanouissement, de dignité et d'humanité.

Ce n'est ni plus, ni moins qu'un droit naturel.

C'est une question de bien-être et d'épanouissement personnel pour chacun de nos compatriotes.

J'attends donc, à la fin de cette réunion, des propositions concrètes avec un calendrier d'actions précises de sorte à résorber le retard constaté.

Un pays qui a réussi à construire stades, infrastructures sanitaires, routières et autres commodités qui lui ont valu le label de meilleure Coupe d'Afrique de l'histoire du football continental ne peut pas considérer le défi de construction de types de logements à caractère social comme un défi insurmontable.

Je suis donc à votre écoute pour nous inscrire sur la trajectoire d'un Etat qui tient ses promesses fondamentales.

J'ai ici réunis tous les Directeurs Généraux de structures essentielles dans la conception et la mise en œuvre de tous les aspects de notre politique d'habitat.

Cela présuppose qu'une fois la préparation, la coordination et la cohérence assurées, vous devez être en mesure de régler l'ensemble des problèmes qui se posent dans le secteur de l'habitat.

Aujourd'hui, avec cette séance de mise au point avec ce qui est un condensé de l'élite de notre pays, vous devez démontrer que vous incarnez les dirigeants capables de définir et d'exécuter un nouveau modèle d'architecture institutionnel et relever le défi de répondre à la forte demande de logements de nos compatriotes.


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CONSEIL PRÉSIDENTIEL : L'HABITAT, UNE SURPRIORITÉ

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Libreville -22 Mai 2012 - Un Conseil Présidentiel consacré à l'Habitat s'est tenu le 22 Mai 2012 sous la présidence du Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO OMDIMBA qui réaffirmé sa volonté ferme et claire de résorber le déficit en logement dans notre pays, conformément à sa vision et à ses engagements tant « ces attente et demande de la part de nos compatriotes d'accéder à un toit, à des coûts et conditions raisonnables sont légitimes ».

Poursuivant son propos introductif, le Président de la République a rappelé toutes les mesures politiques préalables et nécessaires qu'il a prises, notamment d'ordre juridique et réglementaire, à travers six textes majeurs et fondateurs, qui permettent de revisiter et d'impulser notre programme d'urbanisation et nos programmes de logements.

«
Si la volonté politique, la vision et la stratégie sont suffisamment claires , si les réformes du cadre institutionnel et juridique sont une réalité il n'en demeure pas moins vrai que nos compatriotes, à juste titre, restent sceptiques sur la capacité du Gouvernement à traduire de façon concrète, non seulement à Libreville, mais dans les autres provinces, cette promesse et cet engagement » précisera Ali Bongo Ondimba.

La finalité de permettre aux Gabonais d'accéder à la propriété avait conduit le Chef de l'Etat à décider de 5 actions d'envergure :
la réorganisation du Ministère en charge de l'Habitat, de l'Urbanisme et du Cadastre ;
la création de l'Agence Nationale de l'Urbanisme, des Travaux Topographiques, et du Cadastre ;
la création d'un Conseil National de l'Habitat ;
la réorganisation et la réactivation des Brigades Spéciales d'Urbanisme et de la Construction
la mise en place des plans d'urbanisme de détail dans les zones d'extension des villes, appelé SMART CODE

A la suite du Chef de l'Etat, le Ministre de la Promotion des Investissements, des Infrastructures, des Travaux Publique, des Transports, de l'Habitat, du Tourisme, Chargé de l'Aménagement du Territoire Magloire Ngambia et le Ministre Délégué Christiane Lekat à l'Habitat ont fait une présentation autour des axes suivants :

- Réforme des cadres juridique et réglementaire ;
- Réforme du cadre institutionnel ;
- Planification urbaine et aménagement des terrains urbains ;
- Développement de l'offre de logement (Programme 35 000 logements) ;
- Propositions de solutions et calendrier de mise en œuvre ;
- Arbitrages sollicités.

Des contributions complémentaires ont été faite par l'ANGT sur les projets en cours et imminents ainsi que par d'autres responsables, notamment la réorientation des activités de la SNI, la mise en place de mécanismes de financement et de refinancement, y compris l'appel public à l'épargne .

Au terme des échanges, le Chef de l'Etat a réitéré le caractère prioritaire de ce secteur et l'engagement de l'Etat à jouer tout son rôle d'accompagnement, notamment auprès des banques de sorte à faciliter et alléger l'accès au logement.

Il a invité l'ensemble des parties prenantes à se mobiliser, jouer leur partition dans la responsabilité et le respect des lois et règlements, afin que tout le pays soit en chantier par un aménagement du territoire national harmonieux et structurant.

Le Président de la République a instruit le Premier Ministre de convoquer dans la semaine en cours une réunion de finalisation avec tous les acteurs concernés pour lui soumettre un nouveau programme et un chronogramme précis pour la construction et la mise à disposition de nos compatriotes de logements décents en nombre suffisant dans des espaces de vie dignes et modernes.

Le Chef de l'Etat a inauguré le premier Conseil Présidentiel avec l'Education le 27 avril 2012. Il s'agit de nouveaux mécanismes de coordination interministérielle institués suite au Gouvernement de mission mis en place en Février 2012, pour piloter, impulser et suivre les programmes majeurs du Plan Stratégique Gabon Emergent, PSGE.


Le Gabon Émergent

Depuis l'élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd'hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l'horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé. Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Le Ministère de la Promotion des Investissements, des Infrastructures, des Travaux Publique, des Transports, de l’Habitat, du Tourisme, Chargé de l’Aménagement du Territoire :

Ce ministère rassemble l’ensemble des composantes de la chaine des travaux publics, à savoir : l’aménagement du territoire, l’occupation des sols, l’édification des réseaux de transport, de distribution et des ouvrages associés, la construction de l’habitat. Il rassemble trois ministères actuels (Equipement et Infrastructures, Transports, Habitat et Urbanisme). Par ailleurs, la mission de promotion des investissements lui est désormais rattachée du fait des enjeux majeurs dans ce domaine. Il s’appuiera sur trois grandes agences d’exécution (ANGT, ANUTTC, APEIX). Le développement de la politique touristique et l’attrait d’investissements et de réceptacles pour ce secteur pourvoyeur d’emplois lui incombe, en jouant sur les multiples atouts du Gabon, destination d’affaires et d’écotourisme. Le Ministre assure les tâches critiques de coordination et de pilotage. Il est assisté par deux Ministres délégués (Transports, Habitat).


Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


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19/05/2012

Londres : Le Président Ali Bongo Ondimba achève sa visite officielle de trois jours au Royaume-Uni.‏

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Londres le 19 mai 2012 - Le Président de la République gabonaise Ali Bongo Ondimba a achevé une visite officielle de trois jours au Royaume-Uni où il a notamment rencontré son homologue britannique le Premier Ministre David Cameron.

Le chef de l'Etat a également profité de sa venue à Londres pour présenter sa politique du Gabon Emergent à des investisseurs et diffuser sa vision du développement pour l'Afrique.

Lors de sa troisième visite du genre au Royaume-Uni depuis son investiture en 2009, le chef de l'Etat s'est entretenu le jeudi 17 mai avec le Premier Ministre David Cameron au 10 Downing Street.

Les deux hommes se sont engagés à renforcer les liens bilatéraux entre les deux pays et ont exprimé leur volonté commune de voir les échanges commerciaux s'intensifier entre le Gabon et le Royaume-Uni.

Auprès de M. Cameron, le Président de la République gabonaise a plaidé pour que les entreprises britanniques viennent s'installer et investir plus durablement au Gabon afin de contribuer au développement de l'économie du pays.

Les deux chefs d'Etat qui se sont dits inquiets de l'instabilité politique qui prévaut dans certains pays du Sahel ont aussi longtemps évoqué les dossiers sécuritaires.

Le Président Ali Bongo Ondimba a salué la précieuse contribution du Royaume-Uni dans la lutte contre la piraterie au large de la Somalie.

Son homologue britannique a quant à lui souligné le rôle essentiel qu'a joué le Gabon dans la promotion de la paix quand le pays était membre du Conseil de Sécurité des Nations-Unies entre 2010 et 2011.

Gabonais et Britanniques envisagent également d'organiser sous l'autorité de l'ONU une conférence internationale sur la piraterie dans le Golfe de Guinée.

Le Président Ali Bongo Ondimba a en outre tenu à mettre à profit sa visite dans la capitale britannique pour exposer le potentiel économique du Gabon à des investisseurs britanniques et dévoiler sa stratégie de développement du Gabon Émergent.

A la Chatham House, le plus prestigieux et le plus influent centre de réflexion britannique sur les relations internationales, le chef de l'Etat gabonais a prononcé le 17 mai un discours intitulé « Investir pour le futur » devant un parterre de chercheurs et d'hommes d'affaire.

Durant ce dernier, le chef de l'Etat a invité les décideurs de ce monde à poursuivre de nouveaux modèles de développement à la fois plus durables et plus soucieux de l'environnement pour faire face aux défis économiques, sociaux et démographiques actuels.

Le Président a particulièrement insisté sur le fait que la croissante verte qu'il appelle de ses vœux est d'autant plus nécessaire qu'elle permet de répondre de manière pérenne aux problèmes liés aux changements climatiques.

«
Les leaders africains notamment doivent aujourd'hui prendre toute la mesure de ces enjeux et passer à l'action en matière environnementale » a indiqué le Président de la République.

En guise de conclusion, le Président Ali Bongo Ondimba a tenu à souligner que «
plus que jamais en Afrique, nous avons l'opportunité de changer la destinée de notre continent. »

C'est d'ailleurs sur la thématique de la prise en main du développement de l'Afrique par les Africains que le Président gabonais a clos sa visite lors de son discours d'ouverture de la conférence sur la journée de l'Afrique organisée par la prestigieuse London Business School le samedi 19 mai.

Le Président gabonais y a souligné les formidables opportunités offertes par le continent africain qui affiche l'un des plus forts taux de croissance économique au monde avec 5,5% en 2011.

Le chef de l'Etat a indiqué que les opportunités économiques et d'investissements que représente l'Afrique du 21ème siècle n'ont jamais été aussi grandes : « L'Afrique doit aujourd'hui dépasser la seule recherche de la croissance économique sur le très court terme.

Nous devons profiter du contexte économique favorable pour générer des décennies de croissance tout en préservant notre capital environnemental et social. Il a également invité les Africains à devenir les véritables acteurs du développement de leur continent.

«
La nécessité pour l'Afrique de s'approprier son développement et de prendre en main son destin n'a jamais été aussi forte. Il est de notre responsabilité de faire en sorte que les politiques que nous appliquons et les décisions que nous prenons aujourd'hui débouchent sur un développement pérenne pour l'Afrique.»

Tout au long de sa visite en Grande-Bretagne le chef de l'Etat gabonais n'a eu de cesse de promouvoir le Gabon et de souligner sa stratégie de développement incarnée dans le Gabon Emergent – l'ambitieux programme de réformes qui vise à diversifier l'économie et accroître la compétitivité des secteurs industriels et des services tout en préservant les immenses richesses environnementales du pays.

Il a exprimé avec force que le Gabon est aujourd'hui déterminé à réduire sa dépendance vis-à-vis des matières premières et à diversifier son économie afin de devenir une économie émergente d'ici 2020.

Ardent défenseur de l'environnement le Président a néanmoins prévenu devant le public de la Chatham House que «
le programme de développement engagé au Gabon ne saurait se faire au détriment de l'environnement dans notre pays qui est recouvert par 22 milliards d'hectares de forêts, d'un million d'hectares de terres arables et disposant de 800 kilomètres de réserves côtières. »

Cette visite du Président de la République gabonaise dans un pays, le Royaume-Uni, avec lequel le Gabon a toujours entretenu des relations cordiales et chaleureuses présage d'une collaboration toujours plus étroite entre les deux nations.


FIN


La politique du Gabon Emergent


Depuis l'élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd'hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l'horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d'hectares de forêt, 1 million d'hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l'industrie du bois, l'agriculture et l'écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l'économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l'objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l'information, les métiers de l'économie verte, de l'enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d'ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d'investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d'information, merci de visiter http://www.presidentalibongo.com/, www.gabon-nature.com ou contacter www.cocom.rggov.org

 

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Londres : Le Président Ali Bongo Ondimba appelle les Africains à être les véritables acteurs de leur développement.

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Londres le 19 mai 2012 - Le Président de la République gabonaise Ali Bongo Ondimba a prononcé le discours d'ouverture de la conférence sur la journée de l'Afrique organisée par la prestigieuse London Business School samedi 19 mai.

Devant un public de haut-niveau composé d'élèves et d'hommes d'affaires influents, le chef de l'Etat a présenté les différents défis qui se posent à l'Afrique pour prendre en main son propre futur.


L'Afrique un continent en devenir

Le Président gabonais a souligné les formidables opportunités offertes par le continent africain qui affiche l'un des plus forts taux de croissance économique au monde avec 5,5% en 2011.

Le chef de l'Etat a indiqué que les opportunités économiques et d'investissements que représente l'Afrique du 21ème siècle n'ont jamais été aussi grandes : « L'Afrique doit aujourd'hui dépasser la seule recherche de la croissance économique sur le très court terme. Nous devons profiter du contexte économique favorable pour générer des décennies de croissance tout en préservant notre capital environnemental et social. Nous les dirigeants africains portons cette responsabilité sur les épaules car nous seuls serons jugés dans 20 ans sur notre politique. »


Changer l'image de l'Afrique

Le Président Ali Bongo Ondimba a par ailleurs appelé les Etats africains a œuvré de concert pour changer les mauvaises perceptions et préjugés parfois véhiculées sur l'Afrique.

Tout en reconnaissant qu'il subsiste des problèmes dans certains pays africains, il a décrit avec force sa propre vision du continent: « Un continent en devenir qui disposera d'ici 2040 de la plus grande force de travail du monde avec 1,1 milliard de personnes, un continent dont les classes moyennes bénéficient d'un taux de croissance de leurs revenus le plus élevé au monde, un contient riche en ressources naturelles qui est aujourd'hui concepteur d'innovation et de nouvelles technologies. »


Devenir pleinement acteur de son développement.

Continent de la jeunesse par excellence avec plus de 60% de la population âgée de moins de 25 ans, le chef de l'Etat a également invité les Africains à devenir les véritables acteurs du développement de leur continent.

« La nécessité pour l'Afrique de s'approprier son développement et de prendre en main son destin n'a jamais été aussi forte. Il est de notre responsabilité de faire en sorte que les politiques que nous appliquons et les décisions que nous prenons aujourd'hui débouchent sur un développement durable et pérenne pour l'Afrique. »

L'éducation et le développement durable comme clés de l'avenir

Le Président Ali Bongo Ondimba a par ailleurs affirmé que l'éducation et le développement durable étaient des éléments clefs dans la réussite future de l'Afrique.

Il a insisté sur le fait qu'il fallait porter une attention particulière à l'éducation primaire et a sommé les cadres africains travaillant à l'étranger de revenir en terres africaines pour se mettre au service de leurs pays respectifs.

Le chef de l'Etat a également rappelé l'importance d'adopter des modèles de développement soucieux de l'environnement pour éviter que « le développement ne se fasse au détriment de l‘environnement en Afrique ».


La stratégie de développement du Gabon

Ardent militant de l'économie verte et de la lutte contre les changements climatiques, le Président gabonais qui fait figure de pionnier dans la défense de l'environnement sur le contient a enfin présenté sa stratégie de développement pour le pays, le Gabon Emergent.

Cette dernière est un programme ambitieux de réformes qui vise à diversifier l'économie et à faire des secteurs industriels et tertiaires des secteurs compétitifs tout en préservant le capital environnemental du pays.

Ce programme ambitionne d'assurer une croissance durable s'appuyant sur trois piliers – le Gabon Vert, le Gabon industriel et le Gabon des services.

La création d'un Minsitère de l'Economie et du Développement durable témoigne de la volonté du Président Ali Bongo Ondimba de faire émerger une économie durable et plus diversifiée afin de réduire la dépendance du pays vis-à-vis des revenus pétroliers.

Le Gabon a en outre mis en place un grand plan d'action national de lutte contre les changements climatiques destiné à protéger l'écosystème du Gabon qui est recouvert par la forêt tropicale sur 88% de son territoire.

Le pays a également rédigé un nouveau Code sur le développement durable qui offre un nouveau cadre réglementaire attirant et garantissant des investissements plus soucieux de l'environnement dans les domaines forestiers, de l'agro-business et du tourisme.

Le Président enfin a présenté le projet pilote mixte public-privé de la région de Mayumba qui illustre l'engagement politique du Gabon dans la préservation de l'environnement.

Ce projet qui recouvre 750 000 hectares dans le Gabon du sud devrait permettre d'assurer un développement durable et pérenne sur ces vastes étendues qui comprennent également des réserves marines.

La région de Mayumba pourrait aussi constituer un modèle de développement unique dont pourrait s'inspirer d'autres pays émergents aux ressources naturelles et financières limitées pour stimuler leur croissance par le biais du développement durable.

Ce discours a clôturé une visite de trois jours du chef de l'Etat gabonais au Royaume-Uni ponctuée par la rencontre avec le Premier Ministre britannique David Cameron pendant laquelle les deux hommes se sont engagés à renforcer les liens bilatéraux entre leurs deux pays.



FIN

 

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La politique du Gabon Emergent


Depuis l'élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd'hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l'horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d'hectares de forêt, 1 million d'hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l'industrie du bois, l'agriculture et l'écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l'économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l'objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l'information, les métiers de l'économie verte, de l'enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d'ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d'investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d'information, merci de visiter www.presidentalibongo.com, www.gabon-nature.com ou contacter www.cocom.rggov.org


https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA



LONDRES : DISCOURS DU PRÉSIDENT ALI BONGO ONDIMBA A LA LONDON BUSINESS SCHOOL

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Ladies and Gentlemen ,

I would like to thank you for inviting me to deliver the opening speech today on a topic that I believe is at the heart of the debate about Africa's future.

Let me start by asking each of you to think about why you are here today, what you hope to achieve and how you can contribute towards the concept of " taking ownership." Through what lens do you look at Africa and why today, did you organise, or choose to attend the "Africa Day "?

What is your perception of Africa today ? Do you see Africa as " the dark continent " of old, with famine, wars, poverty, tribal conflict and corruption ? An Africa whose relationship with the world is anchored in pity fed by images of round-bellied children with flies around their big eyes, the proliferation of which has fed the generous provision of aid to which the Continent is perceived to be addicted ?

Or do you see the same Africa as I do: A continent that is emerging into its rightful position in the world, with enormous potential. A continent whose time has come, leading global economic growth rates at an average of 5.5%, with the fastest growing middle-income population in the world. A continent conceiving and leveraging technological innovations like mobile money transfer, to deliver new areas of growth while it remains home to most of the world's natural resources.

A continent that has 17 nations ahead of India in the most recent " East of Doing Business " report. A continent consisting of 54 separate nations, one of which has the highest percentage of female representation in parliament in the world, at 56% in Rwanda. A continent that is now delivering on its economic potential, to complement its long held cultural and environmental wealth.

This debate around perceptions of Africa has been raging for many years, but it perhaps avoids a more fundamental question: how do we, as Africans, see ourselves, our countries and our continent ?

Do we spend too much of our time worrying about, reacting to and trying to change the perceptions of others, while neglecting the need to fundamentally alter the reality of Africa. Do we hesitate to seize the opportunities that we are presented with today to build the Africa that we as Africans want? To take ownership of our future, rather than relying on the actions of others ?

We will not change perceptions, and neither will we achieve our ambitions simply by seeking to tell nice stories. Perceptions are so difficult to change, because they are exactly that – perception, not reality.

I do not want to Brand Africa; I want to change Africa.

The change of perception will follow naturally. Most importantly we need to influence the perception we have of ourselves. We need to instil the confidence to dream, the drive to plan and invest, the capacity and strength to be true to ourselves and believe that we can define our future, mindful of the challenges, but fully aware of the rewards.

It is up to us to tell our own stories in our own way, to project the image of our continent that we know is right, and true, to own our destiny.

We need to sit confidently at the negotiation table, sure of our value proposition and of our strength, having learned from the past, taking into account the present and able to be decisive about a vision for the future.

The need for Africa to take ownership of our collective destiny has never been greater because the opportunities we have surpass those at any moment in the past. It is our responsibility to ensure that the policies and decisions that we implement today allow us to create a sustainable future for our continent.

We do not want a short-term economic boom. We need to seize the opportunity to generate decades of progressive growth, while maintaining social and environmental capital. As African leaders this responsibility falls on our shoulders. It is us who will be judged in 20 years time and it is us who must deliver.

Let me give you a number of examples that demonstrate the nature of the opportunity and the associated challenges that we must overcome.

Africa is home to more than 1 billion people, with more than 60% under 30 years of age. 60% of this population now has access to mobile phones and therefore Internet. In the age of social media and globalisation, this creates a very vocal, informed population, eager to express its voice, and determined to be given opportunities to imagine the world in which it wants to live.

We, as governments, cannot offer them half-baked solutions. They will not accept them, and they will make sure their voice is heard.

Alongside a young population, our middle classes are growing too, as well as their disposable incomes. By 2020 McKinsey projects that 52% of African households will have surplus income to spend. Africa will have more middle-class households than India very soon. Our populace is urbanizing too – 40% of the population now lives in cities - almost as urbanized as China - and today we have 52 cities with a population greater than 1 million – the same as Europe.

By 2040 we may have the largest workforce in the world - 1.1 billion people - and one of the largest markets for consumer goods. These statistics present clear opportunities for industry, especially manufacturers and service industry companies.

It also creates the need for a new approach to our land use and to the social contract we are proposing to our citizens, learning from the Arab Spring and ongoing social issues in Europe driven by economic decline.

About 60% of the world's virgin arable land is in Africa. Africa is home to the world largest reserves of diamond, bauxite and cobalt. Africa produces 78% of world platinum and 57% of Manganese. The exploitation of these resources offers great potential to create employment for our people, as well as value for our countries.

These are the resources the world needs today, so it is our responsibility to leverage on them in order to create value for all, while planning the spatial development of our countries in order to safeguard the harmony between man and nature.

As the world is increasingly looking at Africa, at our resources, and as our children are now more than ever empowered to build our economies, it is crucially important that Africa takes her own destiny in hand.

We have a unique opportunity to do so, and we need to be very conscious of the terms of the choice. Do we want to be forever beholden to others, struggling to catch up and with no hope of ever achieving the independence that engenders self respect? Or do we have the courage to define our own criteria of success, our own criteria of self-esteem ?

Do not misunderstand me. I do not adhere to the culture of blame that some use to project responsibility on others and make excuses for Africa's performance.

I believe that we need to build a successful Africa and that by doing so we will earn the respect of the world. International opinion should never be the yardstick by which we measure our success. A new generation of young, enlightened leaders is emerging across the continent. Our democracies are catching up and growing stronger. Despite the challenges we face, we are in a position to develop new models that will enable the development and the rapid growth required to position Africa at the forefront of the global economy.

As elected leaders, our ultimate role is to serve our people and our country. When I say country, I do not refer to an abstract historically defined notion. I refer to the vast natural environment that our countries are blessed with and which form an intrinsic part of our cultural heritage and national identity.

I have a natural disposition to this position because Gabon's environment is still pristine. 88% of my country is covered with rainforest, with incredible biodiversity. It is equally rich in mineral resources. Furthermore, my Bantu culture drives my appreciation of the intimate link between nature and mankind.

You will understand my dilemma: should I pursue development and sacrifice the natural heritage and wealth of my country, or do I believe that we can find a new way and achieve both?

Let me reassure you – there is no dilemma in my mind. Gabon is resolutely charting her way forward, conceiving new approaches to the reconciliation of two seemingly opposite imperatives – environmental protection and socio-economic growth for our people. Indeed we are inventing new ways of collaboration between the State and the private sector in order to do so.
I am not standing here in front of you as a representative of Africa. I am ‘only' the elected President of Gabon, so allow me to focus on what my country is doing and how we articulate and implement this new model of development.

I was elected on the basis of my vision to build an Emerging Gabon. Our national development strategy to attain emergent country status by 2025 assigns priority to conserving our natural environment, while seeking to develop competitive manufacturing and service sector industries. Growth in these sectors will underpin our national low carbon development path and give practical life to our vision for an Emerging Gabon.

This is an ambitious objective. But we are realistic about our limitations as a government. We cannot achieve our vision for Gabon unless civil society and the private sector participate actively. My government will play its full part, but our contribution will amount to very little without the full participation of the private sector. In order to attract investors, we need to build a clear investment case, a business plan of sorts for our country.

By demonstrating a clear vision and a clear commitment to stick to this vision, we can reduce the perceived risk for our private sector partners, and establish a clear win-win situation.

In this respect, the role of the Government is to guarantee the security and predictability of the business environment, whilst ensuring that the interests of its citizens are guaranteed and that sound environmental standards are applied.

Hereby, government can become a real lever for change in the country. By playing its full role as partner, my government intends to give clear direction to our investors, by identifying, creating and promoting opportunities for you to come and work with us to implement a new vision for harmonious growth.

Allow me to briefly highlight some concrete examples of this approach.
In 2010, we introduced laws to ban exports of raw timber. We wanted to challenge a view of Africa solely as a source of cheap natural resources, but equally importantly, we wanted to expand opportunities for far-sighted investors, not limit them.

In tandem, we have created Special Economic Zones, with concrete advantages for business, including tax exemption on profits for 10 years, and total exemptions on VAT and import duties on equipment for new companies.

These zones would amount to very little if we didn't at the same time develop a skilled workforce, and the infrastructure, including energy supplies and open ports and railways, to enable industry to operate efficiently and to export finished or semi-finished goods.

Likewise, our economic growth plans would be in vain if we pursued this at the expense of our natural environment. As I mentioned earlier, 88% of Gabon is covered by equatorial rain forest - a source of rich biodiversity and the second largest natural carbon sink in the world after the Amazon rainforest. Over 20% of our forests are protected and a further 45% are managed sustainably for forestry.

For our own sakes – not just the Gabonese people, but all of humanity - we cannot afford to pursue a development path that would jeopardise this precious asset. This is why I have placed the environment at the heart of our national development strategy, making Green Gabon a centrepiece of Emerging Gabon.

Respect for the environment is a key consideration for my government when evaluating proposals from industry. We will not endanger the unique biodiversity of our country for short-term gains; and so we expect our partners to adhere to the highest international environmental standards when operating in Gabon. This is what I call giving direction.

But this direction would remain vague in the absence of tools to measure our progress and to use as the basis to correct any divergence, without creating uncertainties for our private partners. As a sovereign country, we do not want to have to change the rules of the game because the community of nations realises, be it in Rio in 1 month or at some later date, that we have taken the wrong direction and need, for example, to introduce new measures or taxes to curb the emission of carbon dioxide.
We want to pre-empt such changes of legislation, to save our environment now, and to reduce the risks and elements of uncertainties that investors abhor.

With this objective in mind, we launched a Climate Plan in Durban in December 2011 at the Conference of the Parties, which clearly maps out our low carbon emission development path. This Climate Plan is not a stand-alone plan, but rather integrates climate sensitivity into our current national development and poverty alleviation strategies.

Our reflection then led us to the conclusion that for a country such as Gabon, the critical foundation of a climate plan is a national land use plan that is validated at the highest level of decision making. Without this, it is impossible to make strategic decisions about which land to allocate to agriculture, to forestry, to urban development, or to conservation.

Without such a plan we cannot commit, for example, to a REDD initiative – and cannot therefore criticize the inertia in the fast start programme.
Alongside these actions we are building a satellite image reception station that will produce the imagery we need to be able to analyse the impact on the environment of our public policies and of private sector projects, be they in the energy, mining, road construction or any other sector.

This base station, AGEOS, will enable us to develop precise topographic, hydrological, land use, habitat type and carbon maps for the entire country and will enable us to publish an absolute baseline, as well as the map database we need to plan Gabon's future.

By investing in these tools we demonstrate that we are serious about the growth path we have chosen, and that we will not risk the well being of our country for short terms gains.

Since Durban we have enacted legislation to guarantee that, as the ultimate authority in the country, we are very clear on the direction we want to follow. We have restructured government, creating a Ministry of Economy and Sustainable Development.

A new Sustainable Development Code will ensure that impacts on climate, biodiversity and community capital are fully accounted for and offset in all development projects in Gabon. I think this epitomises the ownership that we in Gabon are taking of our future.

A new agency in charge of sustainable development will be responsible for putting in place a national sustainable development reference level and a registry of sustainable development credits. In the first instance we will use a carbon credit system as a convenient proxy for sustainable development. Each project will calculate its carbon emissions and will be required to offset emissions that exceed industry quotas, rather like the systems in Europe and Australia.

As is the case in Australia, we plan rapidly to develop a methodology to extend this practice to biodiversity. Finally, inspired by some of His Royal Highness the Prince of Wales' thinking, we will add the principal of community capital to take into account the social side of development.

Once our system is finalised, projects will be able to compensate negative impacts on climate, biodiversity and community well being through carbon, biodiversity and community capital credits, that they either create themselves or that they purchase from the registry.

We will apply the highest standards and we hope to link Gabon's sustainable development registry to others with comparable standards.

We plan to launch our carbon exchange in the coming months. In addition, we intend to develop innovative financing mechanisms such as green bonds, in order to stimulate generation of sustainable development credits and to manage the risk of volatility in the long-term valuation of these credits, in light of the failure of the international community to arrive at a legally binding agreement on forest carbon.

Through this mechanism we expect to be able to fast track sustainable development activities. Today the Gabonese Republic has formed a public private partnership, the Grand Mayumba Development Company, with the aim of consolidating and developing an area of approximately 750,000 ha in the Mayumba region of southern Gabon. This project will serve as a pilot project in respect of our National Plan.

The Grand Mayumba Sustainable Development Plan incorporates primary investments in integrated land-use projects in accordance with the principles of ‘Gabon Emergent' and includes the issue of an innovative fixed-income investment opportunity in forest carbon and environmental rights, thanks to the issuance of a " Gabon Mayumba Green Bond ".

This approach is ground breaking and creates a compelling opportunity for the Gabonese Republic and international investors. This approach is also in line with some of the challenges that my country, our continent and indeed the whole world are facing today.

This innovative approach is Gabon's attempt at inventing new ways of doing business, new ways of choosing our destiny, new ways of taking our future into our own hands, with the help of like-minded international partners.

Conserving our natural environment, but not limiting economic opportunities for our people; that is a challenge that is particularly poignant in Africa; a challenge fit for the 21st century.

Gabon is in a unique position today. We are rich in minerals, oil and gas, and yet our natural environment is still relatively pristine. We have internationally recognised experts at the frontline of environmental debates and we have the political will to find solutions and to engage in the necessary reforms to implement these solutions.

Gabon has the potential to pilot real innovation and to re-define how governments and the private sector collaborate to create sustainable growth.

We want to innovate through strategy and policy, but more importantly we want to create the long term potential for our people to innovate. To allow them to compete, not just with each other, or with their neighbours on the African continent, but globally.

I firmly believe that these ideas are the bedrock of a development model for the Third Millennium - a model that the entire world recognises as necessary, but is struggling to conceive and implement.

Africa is well placed to lead the pack – isn't that the definition of taking our future in our own hands ?

I thank you very much for your attention.


18/05/2012

LONDRES : ALI BONGO ONDIMBA HÔTE DE DAVID CAMERON

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Londres, le 17 mai 2012 – Le Président de la République gabonaise Ali Bongo Ondimba et le Premier Ministre David Cameron s'engagent à renforcer les relations entre le Gabon et le Royaume-Uni.

Le Président Ali Bongo Ondimba a rencontré son homologue britannique, le Premier Ministre David Cameron aujourd'hui à Londres. L'entrevue des deux hommes s'est déroulée à la résidence officielle du Premier Ministre au 10 Downing Street où les deux hommes ont abordé un nombre important de thématiques et notamment le renforcement des liens bilatéraux, l'accroissement des échanges commerciaux entre les deux pays ainsi la paix et la sécurité dans le monde.

Sur le plan économique, les deux partenaires se sont engagés à augmenter le volume des échanges commerciaux entre les deux pays. Le Président gabonais a par ailleurs encouragé les entreprises britanniques à venir s'installer et investir plus durablement au Gabon afin de contribuer au développement de l'économie du pays.

Le chef de l'Etat a suggéré qu'il avait la ferme intention de développer des partenariats d'avenir avec des entreprises du monde entier afin de mettre en valeur le formidable potentiel économique du Gabon et qu'en cela il souhaitait que les partenariats entre le Gabon et le Royaume-Uni s'intensifient.

Le secteur privé devrait en effet jouer un rôle fondamental dans le développement du pays dont le taux croissance pour 2011 affichait 6.7% du PIB. Depuis 2010, le Gabon a d'ailleurs signé des accords avec des firmes asiatiques, américaines et européennes pour plus de 4 milliards d'USD.

Sur le plan politique, Ali Bongo Ondimba et David Cameron se sont accordés pour intensifier la collaboration entre les deux nations. Un bureau économique de la Grande-Bretagne pourrait ainsi prochainement ouvrir à Libreville.

Même si plus tôt dans l'année le sous-secrétaire d'Etat britannique aux affaires africaines M. Bellingham s'est rendu au Gabon pour une visite officielle, les deux chefs d'Etat ont estimé qu'il fallait procéder à davantage de visites bilatérales et étoffer la coopération juridique entre le deux pays.

Pendant leur entretien, MM Bongo Ondimba et Cameron ont longtemps évoqué les dossiers sécuritaires. Le Président Ali Bongo Ondimba a salué la précieuse contribution du Royaume-Uni dans la lutte contre la piraterie au large de la Somalie.

Son homologue britannique a quant à lui souligné le rôle essentiel qu'a joué le Gabon dans la promotion de la paix quand le pays était membre du Conseil de Sécurité des Nations-Unies entre 2010 et 2011.

Gabonais et Britanniques qui se sont dits inquiets de l'instabilité politique qui prévaut dans certains pays du Sahel envisagent enfin d'organiser sous l'autorité de l'ONU une conférence internationale sur la piraterie dans le Golfe de Guinée.

Pendant son entrevue avec David Cameron, le chef de l'Etat a laissé entendre que les relations entre le Royaume-Uni et le Gabon étaient très chaleureuses dans la mesure où les deux gouvernements entretiennent un dialogue constructif sur de nombreux sujets comme les changements climatiques, la sécurité dans le monde ou le commerce bilatéral.

La rencontre d'aujourd'hui s'inscrit parfaitement dans cette lignée et présage d'une collaboration toujours plus étroite entre les deux nations.




FIN

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La politique du Gabon Emergent


Depuis l'élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd'hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l'horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d'hectares de forêt, 1 million d'hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l'industrie du bois, l'agriculture et l'écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l'économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l'objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l'information, les métiers de l'économie verte, de l'enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d'ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d'investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d'information, merci de visiter www.presidentalibongo.com, www.gabon-nature.com ou contacter www.cocom.rggov.org

 

GABON : La stratégie de développement du Gabon Emergent présentée à la Chatham House

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Londres le 17 mai 2012 – Le Président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, a prononcé un discours intitulé « Investir pour le futur » à la Chatham House, le plus prestigieux et le plus influent centre de réflexion britannique sur les relations internationales.

Devant un parterre de chercheurs et d'hommes d'affaires, il a exposé pendant près d'une heure sa vision du développement économique pour le Gabon.

Depuis son élection en octobre 2009, le chef de l'Etat a mis en œuvre une nouvelle stratégie de développement – Le Gabon Emergent – qui prend la forme d'un ambitieux programme de réformes visant à diversifier l'économie et accroître la compétitivité des secteurs industriels et des services tout en préservant les immenses richesses environnementales du Gabon.

Le Gabon est aujourd'hui déterminé à réduire sa dépendance vis-à-vis des matières premières et de diversifier son économie afin de devenir une économie émergente d'ici 2020.

Le Président, ardent défenseur de l'environnement, a par ailleurs déclaré devant le public de la Chatham House que «
le programme de développement engagé au Gabon ne saurait se faire au détriment de l'environnement dans le pays qui est recouvert par 22 milliards d'hectares de forêts, d'un million d'hectares de terres arables et disposant de 800 kilomètres de réserves côtières. »

Le chef de l'Etat a également invité les décideurs de ce monde à poursuivre de nouveaux modèles de développement à la fois plus durables et plus soucieux de l'environnement pour faire face aux défis économiques, sociaux et démographiques actuels.

Le Président Bongo a particulièrement insisté sur le fait que la croissante verte qu'il appelle de ses vœux est d'autant plus nécessaire qu'elle permet de répondre de manière pérenne aux problèmes liés aux changements climatiques.

«
Les leaders africains notamment doivent aujourd'hui prendre toute la mesure de ces enjeux et passer à l'action en matière environnementale » a indiqué le Président de la République.

Aujourd'hui, le Gabon travaille activement à la refonte de sa législation environnementale à travers un nouveau code de développement durable qui place la gestion et la conservation durables des ressources naturelles au centre de la stratégie de développement du pays.

Une bourse «
aux crédits durables » sera en outre prochainement mise en place. Celle-ci permettra d'échanger « des crédits de développement durables » générés par des projets répondant aux standards environnementaux définis par le code de développement durable.

Ce projet innovant qui encourage les investissements verts devrait créer un nombre important d'emplois tout en améliorant les infrastructures du pays.

En guise de conclusion, le Président Ali Bongo Ondimba a tenu à souligner que «
plus que jamais en Afrique, nous avons l'opportunité de changer la destinée de notre continent. Afin d'y parvenir nous devons nous sortir des schémas de réflexion et de travail que nous avons pu avoir par le passé. Nous avons l'obligation de nous appuyer sur les nouvelles technologies et de développer de nouvelles approches pour traiter les problèmes auxquels nous sommes confrontés plutôt que d'attendre les solutions des autres ».



FIN

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La politique du Gabon Emergent


Depuis l'élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd'hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l'horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d'hectares de forêt, 1 million d'hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l'industrie du bois, l'agriculture et l'écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l'économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l'objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l'information, les métiers de l'économie verte, de l'enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d'ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d'investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d'information, merci de visiter www.presidentalibongo.com, www.gabon-nature.com ou contacter www.cocom.rggov.org



17/05/2012

GABON : LA PREMIÈRE DAME , SYLVIA BONGO ONDIMBA , AU PLUS PRES DES POPULATIONS ...

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A l'occasion de la Journée Internationale des Familles, la Première Dame est allée à la rencontre des populations du Cap Esterias et de la « Baie des cochons », dans le centre-ville de la capitale.

Ces échanges lui ont permis de prendre conscience des risques sanitaires auxquels ces populations sont exposées et des problèmes sociaux qui les affectent au quotidien.

Elle a déploré les conditions de vie de ces familles exposées à tout type de risque et la situation d'isolement dans laquelle elles se trouvent.

Elle a notamment constaté que ces citoyens ne bénéficient pas d'une écoute active de la part des autorités et qu'aucune action concrète n'est prise pour subvenir à leurs besoins les plus immédiats, notamment dans le domaine de la santé
.


Aussi, la Première Dame a mis l'accent sur l'intérêt pour les parents d'encourager leurs enfants à apprendre et la nécessité, pour les populations, de se constituer en associations pour faire entendre leurs préoccupations et répondre, à leurs niveaux, aux difficultés auxquelles elles sont confrontées: « C'est en réunissant nos efforts qu'on devient plus fort, j'insiste sur ce fait ».

Au cours de ces visites, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille a procédé à la distribution de 1000 trousses médicales familiales contenant les médicaments essentiels pour soigner les infections les plus répandues chez l'adulte, comme chez l'enfant :paludisme, diarrhée, parasitoses, douleurs et fièvres.

L'objectif de ces trousses médicales familiales est de sensibiliser au bon usage du médicament et d'inciter les parents, en particulier les mères, à se montrer encore plus responsables.

Elles ont la responsabilité de la bonne utilisation des médicaments, de leur conservation, mais aussi de l'assainissement du milieu environnemental de leur famille.

Afin de s'assurer de la bonne utilisation de cette pharmacie de maison, ces trousses ont été distribuées à la population par une association spécialisée et présente dans le quartier, ainsi que par une trentaine de volontaires préalablement formés.

Ils leur ont notamment rappelé les bons gestes et les bons réflexes afin de permettre la prise en charge des infections bénignes auxquelles ils sont régulièrement exposés.

De son côté, la Première Dame a longuement échangé avec les familles gabonaises et rappelé qu'elle serait toujours à leur écoute : « La proximité avec les populations est une priorité pour moi. Ces visites me permettent de m'imprégner de vos besoins et d'adapter mes projets pour vous accompagner efficacement et durablement ».

Créée en janvier 2011, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba est dédiée à la famille. Celle-ci est le premier lieu de transmission des valeurs et des règles de savoir vivre ensemble. Elle est le socle sur lequel se bâtit une société en bonne santé.

La distribution de 1000 trousses médicales à l'occasion de la Journée internationale des Familles s'inscrit dans une action de long terme : son programme « Tous Unis pour la Santé de la Mère et de l'Enfant ».

« Tous Unis Pour la Santé de la Mère et de l'Enfant »

Lancé en mai 2011 pour une durée initiale de 2 ans, « Tous unis pour la santé de la mère et de l'enfant » est un programme mené en partenariat avec le Ministère de la Santé, l'UNICEF, le Fonds des Nations-Unies pour la Population (FNUAP) et l'OMS.

Ce programme englobant et multiforme a pour missions de renforcer la qualité des soins dans les structures sanitaires par la prévention, le soutien aux structures à travers des dons de matériels médicaux modernes et la formation de personnels de santé.

A terme, le programme « Tous Unis pour la Santé de la Mère et de l'Enfant » permettra de former 240 professionnels de santé dans 34 maternités publiques dans l'ensemble des 9 provinces gabonaises et de mettre à disposition des femmes enceintes 15 000 kits d'accouchement, 15 000 trousses médicales et 10 000 moustiquaires imprégnées.

La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille a pour but de promouvoir la participation des jeunes et des femmes au développement du Gabon.

Elle agit dans trois domaines d'actions prioritaires : l'éducation de la jeunesse, les droits et la promotion de la femme et l'insertion des personnes fragilisées.


Pour plus d'informations sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille :

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/
http://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/155356889540
Contact : presse@fondationsbo.org

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16/05/2012

GABON :VISITE OFFICIELLE DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE GABONAISE AU ROYAUME UNI

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Londres, le 16 mai 2012 – Le Président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, entame une visite de trois jours au Royaume-Uni

Cette visite sera consacrée à renforcer les relations bilatérales entre les deux pays, à promouvoir les opportunités d'investissements au Gabon ainsi qu'à diffuser et faire connaître à la veille du sommet de Rio+20 l'ambitieux projet politique du pays de faire émerger à termes une croissance verte s'appuyant sur une économie diversifiée.

Ardent défenseur de l'environnement, le Président Ali Bongo Ondimba, occupe aujourd'hui une place centrale en Afrique comme sur la scène internationale sur les questions environnementales. En outre, il milite activement pour que des réponses multilatérales et concertées soient dégagées afin de répondre aux défis posés par les changements climatiques. Sur ce sujet, le chef de l'Etat s'est notamment illustré sur le continent africain où il fait figure de pionnier dans la promotion et l'intégration du développement durable dans les modèles de croissance économique.

Dépendant des hydrocarbures pendant des décennies, le Gabon est désormais engagé dans un processus de diversification de l'économie afin d'attendre le statut de pays émergent à l'horizon 2025. Depuis son élection en septembre 2009, le Président Ali Bongo Ondimba poursuit une nouvelle stratégie de développement pour le pays - le Gabon Emergent –un programme ambitieux de réformes qui vise à diversifier l'économie et à faire des secteurs industriels et tertiaires des secteurs ultra-compétitifs tout en préservant les formidables richesses environnementales du pays.

Comme en témoigne les nombreux voyages officiels qu'il a entrepris à travers le monde, le Président Ali Bongo Ondimba a entamé depuis son investiture une réelle politique de diversification des partenariats à l'étranger : visites d'Etat en Corée du Sud et en Suisse (octobre 2010), à Singapour (novembre 2010), en Italie (mai 2011), visite officielle aux USA (juin 2011) et visite d'Etat en Australie (mars 2012). Sa visite d'Etat à Singapour en novembre 2010 déboucha sur la signature d'un accord portant sur le développement d'un projet agro-industriel au Gabon d'un montant de 1.7 million de USD avec la firme Olam– l'un des leaders mondiaux dans les secteurs agricole et agro-industriel. En juin 2011, lors de sa visite officielle aux Etats-Unis, il s'accorda par ailleurs avec Barack Obama pour renforcer les liens bilatéraux entre les deux puissances et signa des partenariats de recherche et de formation avec l'Université de L'Oregon ainsi qu'un programme d'échange avec la prestigieuse université d'Harvard.

Au cours de cette visite au Royaume-Uni, le Président Ali Bongo Ondimba, rencontrera son homologue le Premier Ministre David Cameron. Les deux chefs d'Etat aborderont de nombreux sujets dont la consolidation des relations entre le Gabon et le Royaume-Uni, la paix et de sécurité au niveau international ainsi que la promotion de la croissance verte et du développement durable à travers le monde.

Durant sa visite dans la capitale britannique, la troisième du genre depuis le début de son mandat, le Président Ali Bongo Ondimba s'adressera enfin à la Chatham House, le plus influent centre de réflexion sur les affaires internationales en Grande-Bretagne et prononcera le discours d'ouverture à l'occasion de la conférence sur la Journée de l'Afrique organisée par la London Business School le 19 mai.



La politique du Gabon Emergent


Depuis l'élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd'hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l'horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d'hectares de forêt, 1 million d'hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l'industrie du bois, l'agriculture et l'écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l'économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l'objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l'information, les métiers de l'économie verte, de l'enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d'ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d'investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d'information, merci de visiter www.presidentalibongo.com, www.gabon-nature.com ou contacter www.cocom.rggov.org



GABON: COMMUNIQUÉ FINAL DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 16 MAI 2012

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A l'ouverture des travaux, le Conseil des Ministres s'est félicité de ce que la décision récente du Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, de tenir des sessions criminelles sur l'ensemble du territoire national, a rapidement été suivie d'effet et permis à ce stade le jugement de plusieurs affaires dont certaines ont abouti à des sanctions de réclusion criminelle à perpétuité et d'autres à des sanctions de réclusion criminelle variant entre 6 et 22 ans.

Prenant acte de ce premier bilan, le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a réitéré l'exigence d'une fermeté exemplaire, lors des décisions de justice dans le strict respect des dispositions légales en vigueur.

Par ailleurs, le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a, une fois de plus, invité le Gouvernement à engager des actions concrètes sur le terrain afin d'apporter une satisfaction rapide aux préoccupations des gabonaises et des gabonais, conformément au Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE).

Dans ce registre,
le Président de la République a annoncé la tenue prochaine d'un Conseil de Cabinet sur le thème de l'habitat, qui sera suivi de celui sur la santé. Les orientations et recommandations desdits Conseils de Cabinet devront rapidement faire l'objet d'une appropriation par le Gouvernement pour leur matérialité effective.

Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres, ayant été informé du décès de Monseigneur OKINDA Jérôme, Sénateur d'Okondja, et ancien Ministre de la République, survenu le 15 Mai 2012 en Afrique du Sud, a tenu à exprimer ses plus vives condoléances à la famille si durement éprouvée et au Parti Gabonais du Centre Indépendant (PGCI) dont il était le Président Fondateur. Le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a souligné la perte pour la Nation d'un grand Commis de l'Etat.


AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté les deux (2) projets de décrets ci-après :

le projet de décret portant création et organisation du Contrôle Général d'Etat ;

le projet de décret approuvant les statuts de la Société Equatoriale des Mines.


S'agissant du premier texte, pris en application des dispositions de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006, il est créé au sein des Services du Premier Ministre, un Service Central à compétence nationale unique ayant pour mission d'assurer, sans préjudice des compétences dévolues aux autres administrations, la mise en œuvre rigoureuse et efficace des services publics, des finances publiques, du patrimoine des collectivités publiques, ainsi que de la modernisation de l'administration, au moyen de contrôles d'audits et de conseils.

A ce titre, le Contrôle Général d'Etat, placé sous l'autorité du Premier Ministre, comprend :

• trois (3) Inspections Générales, à savoir :

- l'Inspection Générale de l'Administration ;
- l'Inspection Générale Technique ;
- l'Inspection Générale des Finances ;

• des services d'appui.

Le second texte, quant à lui, approuve et rend exécutoire les statuts de la Société Equatoriale des Mines, créée par décret 1018/PR du 24 Août 2011.

MINISTERE DE L'INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L'IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

Le Ministre a fait adopter par le Conseil des Ministres, le projet de décret portant attributions et organisation du Ministère de l'Intérieur, de la Sécurité Publique, de l'Immigration et de la Décentralisation qui a pour mission d'élaborer et d'appliquer la politique du Gouvernement en matière d'administration du territoire, de décentralisation, de gestion des collectivités locales, d'élections, de libertés publiques, de prévention de risques, de sécurité publique et d'immigration.

Au titre du présent texte, le Ministère comprend :

• les services centraux ;
• les services déconcentrés ;
• les services, établissements et organismes sous tutelle.


MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a approuvé le projet de décret portant réorganisation de la Gendarmerie Nationale, composante des Forces de Défense dont la compétence et l'action s'exercent sans restriction sur toute l'étendue du territoire national.

Placée sous l'autorité du Commandant en Chef, la Gendarmerie Nationale exercera pleinement ses missions grâce à une symbiose entre, d'une part, le Commandement mieux restructuré pour un travail de conception, de contrôle, d'administration, d'étude, de formation, d'instruction et de gestion, et, d'autre part, la Gendarmerie Départementale et la Gendarmerie Mobile chargées d'assurer la police administrative, judiciaire et militaire, le maintien et le rétablissement de l'ordre public, la sécurité des hautes personnalités, la lutte contre le terrorisme ainsi que le maintien de la paix.

Ainsi, l'adoption de ce décret vient compléter l'organisation ancienne :

1) au niveau de la Gendarmerie Départementale avec la création de cinq (5) Légions et de trois (3) Compagnies des Parcs Nationaux dans les groupements des unités territoriales ;

2) au niveau de la Gendarmerie Mobile :

Cette subdivision de la Gendarmerie Nationale qui ne comptait qu'une seule Légion a été restructurée, d'une part, en cinq (5) Légions, et d'autre part, avec la création du groupement de la Police Militaire.

MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES

Le Conseil des Ministres a entériné le projet de décret portant mise en place d'une Matrice des Indicateurs de Protection de l'Enfant.

Pris en application de l'article 19 de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant, le texte suscité indique que la Matrice est un instrument indicatif des mesures destinées à aider le Gouvernement à suivre les tendances des problèmes liés aux Droits de l'Enfant. A ce titre, elle est le support de base de l'observatoire national des Droits de l'Enfant créée par décret n° 00873/PR/MFPF du 17 Novembre 2006.

MINISTERE DE L'ECONOMIE, DE L'EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l'a adopté, le projet de loi d'orientation relative au Développement Durable en République Gabonaise.

Prise en application des dispositions de l'article 47 de la Constitution, la présente loi fixe les principes et les objectifs fondamentaux de l'action des pouvoirs publics, des opérateurs économiques et de la Société Civile pour assurer un développement durable du Gabon axé sur le bien-être des générations actuelles et futures au moyen d'une économie qui utilise de manière rationnelle et efficace les ressources naturelles.

Aussi, met-elle en place le cadre institutionnel, aux fins d'application de la présente loi, qui comprend :

- le Conseil National du Développement Durable ;
- le Conseil National d'affectation des sols ;
- le Conseil National Climat ;
- le Conseil National Biodiversité ;
- le Fonds de Développement Durable ;
- et l'Organisme de Gestion.

MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE

Suite à la présentation faite par Madame le Ministre, le Conseil des Ministres a approuvé le projet de décret portant création et organisation des fonctions de responsable de programme, de responsable de budget opérationnel de programme et de responsable d'unité opérationnelle.

Pris en application des dispositions des articles 15, 62 et 93 de la loi organique 31/2010, le présent décret dispose de ce que la mise en œuvre des programmes contenus dans les lois de finances incombe à ces autorités ministérielles qui sont placées sous l'autorité du Ministre et désignées parmi les Secrétaires Généraux, les Directeurs Généraux ou les responsables administratifs assimilés.


EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L'INTEGRATION REGIONALE

Le Conseil des Ministres a marqué son accord aux demandes d'agréments de leurs Excellences, Messieurs :

* Alvarez BARTHE, en qualité d'Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Royaume d'Espagne près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;

* Akram Mohsen HAMDY, en qualité d'Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Arabe d'Egypte près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville;

* Philippe MANGOU, en qualité d'Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République de Côte d'Ivoire près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville;

* Mansour Maman Hadj DADDO, en qualité d'Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Niger près la République Gabonaise, avec résidence à Abuja au Nigéria ;

Miroslav HACEK, en qualité d'Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Tchèque près la République Gabonaise, avec résidence à Abuja au Nigéria.

Jan de BRUYNE, en qualité d'Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Royaume de Belgique près la République Gabonaise, avec résidence à Brazzaville au Congo.

MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE L'ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

Le Conseil des Ministres a approuvé le projet de formation professionnelle des jeunes détenus, présenté par le Ministre, aux fins de leur réinsertion dans la société après leur détention.


Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l'étranger des membres du Gouvernement.

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :


PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

DEPARTEMENT DEFENSE NATIONALE ET SECURITE

- Chargé de Mission du Président de la République, en charge des questions logistiques, en liaison avec l'Intendance Générale des Palais Présidentiels et la Direction Générale du Protocole d'Etat : Chef de Bataillon ROVAGO ROSSAKO Georges.

DIRECTION GENERALE DU PROTOCOLE D'ETAT

- Chef de Secrétariat : Lieutenant MOUGONGA Karine.

- Secrétaire Particulière du Directeur Général Adjoint : Melle Régine Marie Colette FOU MBOULA KOMBA.

AGENCE NATIONALE DES INSFRACTURES NUMERIQUES ET DES FREQUENCES (ANINF)
CONSEIL D'ADMINISTRATION


- Président du Conseil : M. Pacôme MOUBELET-BOUBEYA, en remplacement de M. Jules Marius OGOUEBANDJA.

Par ailleurs, les personnes précédemment nommées au Comité d'Organisation de la CAN 2012 sont reversées au Comité d'Organisation du New-York Africa Forum.


FIN

 

MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

 

14/05/2012

Gabon : LA PREMIÈRE DAME , SYLVIA BONGO ONDIMBA , A L’HÔPITAL RÉGIONAL DE MELEN

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Libreville, le 14 mai 2012 : La Première Dame, Madame Sylvia Bongo Ondimba, s'est rendue à l'hôpital régional de Melen pour rencontrer les enfants opérés dans le cadre de la caravane « Smile Train Italia » qui a eu lieu du 13 au 22 avril dernier.

Ce sont 79 enfants venus des neufs provinces du pays et souffrant de malformations labio-palatines qui ont été recensés et opérés de becs de lièvre lors du passage de cette caravane.

Ils ont par ailleurs bénéficié d'une prise en charge complète et gratuite comprenant les déplacements, les bilans pré et post-opératoires, l'hospitalisation, et les traitements médicaux associés à l'opération.

Engagée dans la lutte pour l'amélioration de la santé de la mère et de l'enfant, et marraine de la croix rouge gabonaise c'est tout naturellement que Madame Sylvia Bongo Ondimba a tenu à se déplacer personnellement afin de s'enquérir du suivi des patients.

Lors de cette visite la Première Dame a remercié l'équipe de l'hôpital Régional de Melen qui a été l'hôte de cette mission et qui a mis à disposition des spécialistes, des blocs opératoires ainsi que des lits dans les services de réanimation et d'hospitalisation.

Les chirurgiens gabonais et italiens ont travaillé de concert, et la Première Dame a salué la synergie entre l'ONG italienne, la Croix Rouge gabonaise et l'hôpital de Melen, « Il faut encourager ces interactions et ces échanges professionnels, car c'est ensemble que nous pourrons trouver des solutions et les mettre au service de nos populations » a-t-elle ajouté.

Selon les témoignages des parents, la majorité de ces enfants sont marginalisés et parfois même non scolarisés.

Les becs de lièvres et autres anomalies d'origines congénitales peuvent être évités par un traitement approprié, administré à chaque femme pendant les six derniers mois de la grossesse.

La caravane « SMILE TRAIN » aura tenu ses promesses. Et pour ces familles qui sont péniblement sorties de l'ombre il s'agit d'une renaissance. Pour ces enfants c'est l'espoir d'une vie meilleure et le sourire retrouvé.

Au cours de cette visite la Première Dame s'est engagée une fois de plus à toujours soutenir les plus vulnérables et à toujours être à leur écoute.

Créée en janvier 2011, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba agit dans 3 domaines d'action prioritaires qui sont l'éducation de la jeunesse, les droits et promotion de la femme et l'insertion des personnes fragilisées.

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Des informations supplémentaires sur les activités de la Première Dame et de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba sont disponibles aux liens suivants :

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/


https://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/155356889540


Contacts Communication : presse@fondationsbo.org

 

Gabon : POINT PRESSE DE JEAN EYEGHE NDONG , QUE DES MENSONGES ET DES INSULTES .

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le point presse publique à Libreville de l'ex-Premier Ministre de la République du Gabon et candidat fantôme aux Présidentielles de 2009 a, ce vendredi dernier, rimé avec la médiocrité pure et simple.

En effet, tout le long de son discours et de ses interventions sur le thème « appel à la France », l'orateur du jour s'est évertué à développer rien que des mensonges et des injures à l'endroit de notre pays et de ses institutions , oubliant que lui même et ses sbires étaient aussi au pouvoir et d'ailleurs lui depuis plus longtemps que le pouvoir actuel.

Certes, au Gabon, il y a beaucoup de choses qui ne vont pas encore comme nous le souhaitons tous et sur lesquelles le peuple exige des avancées significatives.

Mais je persiste et signe que des hommes comme Jean Eyeghe Ndong , Zacharie Myboto, Mba Obame Andre y écopent de la plus grande part de responsabilité, chacun en ce qui le concerne.

Ils dirigent aux destinées du peuple Gabonais depuis des années :
- Zacharie Myboto est au pouvoir depuis les années 1970 jusqu'en 2005 , soit 30 ans ;
- Mba Obame Andre est au pouvoir depuis 1984 jusqu'en 2009, soit 25 ans .
- Jean Eyeghe Ndong est au pouvoir depuis 1984 jusqu'en 2009, soit 25 ans .


Il y a donc là une responsabilité historique, indéniable et indélébile dans la face ou l'image actuelle de notre pays et de son fonctionnement.

Précisons qu'actuellement, ces retraités politiques , au lieu de se résoudre à oeuvrer désormais pour le bien-être du peuple Gabonais, ils rivalisent dans le blocage et le sabotage de l'action des Institutions.

Je conclus que ces trois larons sont les vrais pyromanes de notre Nation que le peuple Gabonais ne pardonnera jamais, alors jamais.

Plus d'un demi-siècle pour rien, rien que pour l'autodestruction à tous les égards, que voulez-vous que le peuple rescapé récolte comme développement intégral ?

Interrogé ce vendredi sur le bilan de son action depuis 1984 et particulièrement de son règne de plus de trois ans et demie comme Premier Ministre, voici ce que le traître Jean Eyeghe Ndong rétorque : « J'avais des missions que j'ai réussies à 100 %, mais le développement du pays n'était pas inscrit à mon agenda ». Cette réponse est on ne peut plus sidérante.

Si sidérante surtout quand elle sort de la propre bouche d'un ex-Premier Ministre de la République, de plus pseudo candidat à une élection nationale.

Pourtant, par ce simple passage à la tête du Gouvernement, il a pu se taper notamment plusieurs villas et building à Libreville et en province, alors qu'à ce moment-là le développement était interdit à l'agenda de son Gouvernement, d'après ses propres dires !!!

Il n'a donc pas cherché à ce que le peuple se relève du gouffre, ne fût-ce que de quelques millimètres.

Ce serait pourquoi la population de sa propre Commune natale n'a même pas daigné lui réserver une place au sommet de l'Etat en 2009. Voilà donc le genre de « bon candidat » pour « développer » notre pays.

Et comme Jean Eyeghe Ndong n'a fait que se glisser dans les écailles de la peau de l'ex UN, cette réponse est également valable face à la sauce de si mauvais goût que nous a servie et continue de nous servir ce parti dissout de l'ex UN : «
j'ai eu et j'ai toujours toutes les missions du monde, sauf celle de développer mon peuple ».

Eh bien oui :
fagociter son propre peuple, mettre le pays à genou, tout faire pour éviter le développement intégral du peuple, etc., voilà les missions que l'ex UN a réussies et réussit toujours à 100 % au Gabon et qui ne pouvaient pas se marier avec celle de développer le pays et le peuple.

Face à cela aujourd`hui, c'est choquant et pas du tout acceptable que
les mêmes pyromanes s'étonnent du manque de cadres suffisants qu'il faut aux postes qu'il faut, du manque d'infrastructures, du manque d'énergie électrique suffisante, de la pauvreté qui sévit dans les ménages, des disparités salariales entre fonctionnaires, bref, de tout ce qui manque pour un développement intégral du peuple. C'est ce qu'on appelle les larmes de crocodile ou le cynisme !

Maintenant que le nouveau gouvernement de l'émergence est aussi aux affaires, il oeuvre plutôt pour éradiquer tous ces obstacles au développement, et ce n'est encore que le début.

J'ose croire que le peuple Gabonais ne se laissera pas tromper par ces discours qui flirtent avec l'angélisme supposé des pyromanes d'hier et d'aujourd'hui qui tentent en même temps de se reconvertir en sapeurs-pompiers.

Pour ce qui est donc de ce point presse susmentionné, ceux qui étaient présents affirment que la salle est restée calme, du début jusqu'à la fin, chacun essayant de retenir son souffle, de temps en temps perturbé par de courtes rigolades de moquerie.

En tout cas, le sens de retenue de certaines gens parmi les personnes présentes a étonné plus d'un. Si c'était vraiment la consigne, celle-ci a rigoureusement été observée.

Signalons quand-même qu'à la clôture de la conférence, le retraité Jean Eyeghe Ndong a eu droit à quelques applaudissements timides. Ce fut tout de même curieux de voir que même les responsables de son parti fantôme ne l'ont pas applaudi!

Est-ce parce qu'ils auraient eux-mêmes été indignés par les insultes grossières et injustes de leur sbire en chef ?

Je ne sais pas. Ou peut-être.


MICHEL OGANDAGA  https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA 


13/05/2012

PEUPLE GABONAIS : PLUS UNI QUE JAMAIS ! LA MACHINE A DIVISER NE FONCTIONNERA PAS .

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Depuis belle lurette, le Peuple Gabonais à déjà démasqué les menteurs. Il a déjà eu des occasions de le prouver.

Dans l'histoire récente du Gabon, précisément en 2009, le Peuple Gabonais s'est exprimé par la voie des urnes. Tout le monde connaît le résultat , un " KO " terrible de la pseudo oppposition moutouki et victoire claire , limpide et sans bavure d'Ali Bongo Ondimba .

En 2011, le même Peuple était encore appelé au grand rendez-vous des élections générales , tout le monde connaît encore le résultat , fuite en avant , retraite précipité des pseudos politiciens manioc et victoire phénoménale du Parti Démocratique Gabonais.

Quelque soit les élections futures , nous pourrions aisément pariés que ce n'est pas ces mauvais perdants d'hier , les retraités politiques de l'oppposition Régab de Nkembo , qui pourraient sortir bons gagnants de demain.

La raison :
ils n'ont rien changé à leur manière et ils n'ont rien ajouté à leur actif en faveur de ce Peuple qu'ils ont toujours ignoré alors qu'ils ont eu des possibilités de bien faire, quand ils étaient tout puissants ministres et voleurs des bugets de l'Etat , et cela durant des décennies entières.

A la place,
ils ont servi au Peuple Gabonais la paupérisation, l'apartheid scolaire, l'exil, le tribalisme et tous les autres ingrédients du sous-développement.

Aujourd'hui, ce n'est pas en faisant les yeux doux et en jouant les anges qu'ils parviendront à tromper la vigilance du Peuple Gabonais si avisé.

Diviser, noircir, manipuler, dresser les frères et soeurs contre eux-mêmes, voilà l'art de ses vilains détracteurs du Peuple Gabonais que sont Jean Eyeghe Ndong , Zacharie Myboto , André Mba Obame , Jules Bourdes Ogoulinguende et le reste des sbires désoeuvrés par l'alcool....

Dans le temps, ces manipulateurs parvenaient à entraîner dans ce jeu machiavélique quelques esprits faibles et dupes. Ces derniers acceptaient généreusement d'aider à jouer et à danser une musique amère dont ils ignoraient les tenants et les aboutissants.

Actuellement, cette dose de poison ne passe plus. Elle ne passera pas. La machine à diviser ne fonctionnera pas.

Le pays est dirigé depuis bientôt 3 ans par des Institutions démocratiquement élues. Un Président visionnaire et un cap clair " Gabon Emergent " , du jamais vu !! Une première dans l'histoire du Gabon. Et ce n'est pas par hasard !!

Quelque chose y est pour quelque chose : l'unité entre frères et soeurs, et autre chose encore , un vent nouveau qui a balayé le pays tout entier . Même si ce n'est pas la panacée, le Peuple Gabonais pousse un ouf de soulagement. Il est aussi conscient que le chemin reste cependant toujours long.

Dans ce monde et surtout dans ces conditions, nul ne saurait être parfait  , Rome ou Paris ne s'est pas fait en un jour , mais petit à petit l'oiseau fait son nid .

Et les gabonais ont toutes les raisons de croire à cet adage : « Quiconque allumera le feu en fera l'extincteur, et celui qui affûtera la lame de rasoir en attrapera des écorchures ».

Ils ont suffisamment été éprouvés par les erreurs du passé qui, à plusieurs reprises ont conduit à des catastrophes et mis le pays à genoux. Le peuple Gabonais ne peut plus jouer avec le feu, tout comme il ne peut pas tolérer tout retour en arrière. 

Malgré toutes les leçons que le passé nous a données, une poignée de nostalgiques veulent maintenir la conscience de la population Gabonaise dans la logique de l'anarchie et de la guerre.

Au moment où les autres compatriotes sont occupés à construire, eux ils ont encore du temps à perdre dans les brousses et dans les grottes pour perturber la sécurité.

Pour rappel, au lendemain de la CAN 2012, des pseudos étudiants malfaiteurs de tout acabit se sont adonnés à des actes de terrorisme, larguant des caillous dans plusieurs endroits, perpétrant des vols et des casses au rectorat de l'UOB et dans les rues de Libreville ; certains agitateurs, certains chefs de la société civile, les mauvais perdants des élections et nombreux autres opportunistes, sont vite montés au podium pour dénoncer perfidement « le harcèlement des étudiants ». Ils n'ont pas tardé à prêter à ses malfaiteurs le qualificatif de rebelles .

Et ce qui importait plus pour ces imposteurs déguisés en défenseurs des droits de l'homme était plus le bénéfice politique qu'ils devaient en tirer que la vie de paisibles citoyens hachés par ses gangsters de grand chemin. C'est pour ce genre de voyous que se battent la soi-disant société civile et certains retraités de l'opposition Régab de Nkembo. 

Et malgré les coups durs et souvent même fatals que les corps de défense et de sécurité ne cessent d'infliger à ces malfaiteurs,  en plus de nombreuses autres leçons, on voit encore des intransigeants qui n'ont pas encore compris que la politique manioc d'antan n'est plus une option au Gabon.

Toutefois, les fauteurs de troubles doivent comprendre que le peuple Gabonais et même la communauté internationale n'accepteront plus jamais qu'il y ait des individus qui prennent en otage la vie de tout un peuple pour satisfaire les caprices d'une clique de politiciens sans vision.

Quelle est votre part de contribution ?
Et pour la suite, faudrait-il détruire ce que chacun a déjà construit pour tout recommencer à zéro ? 

Chers frères et soeurs, restez toujours unis et mobilisés, distinguez toujours le blé de l'ivraie et vous irez encore plus loin. 
Chers politiciens, votre clairvoyance doit rester de mise. Il y a des moments de faire semblant et des moments où il faut vous serrer les coudes.

A bas la démagogie, à bas le tribalisme, à bas le sous-développement. Faites la compétition démocratique intelligente et ne recherchez pas votre victoire synonyme de perte pour le Peuple Gabonais.

Et la machine à diviser ne fonctionnera pas.

 

MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

12/05/2012

Gabon - Faux débat autour des agences : Réponse de l’Olympe à une félonie

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C'est une vérité digne de Maître La Palice : la majorité des députés qui siègent pour le compte de la douzième législature, dans les rangs du Parti démocratique gabonais, ne répondent pas forcément du président de cette formation, le « Distingué camarade président », Ali Bongo Ondimba.

Et pour cause : la candidature de plusieurs parmi eux avait été parrainée par ceux qui croient être devenus les propriétaires de l'assemblée nationale, lors du processus des primaires organisées au sein de ce parti. Et ils sont nombreux dans ce cas, disséminés à travers le territoire national.

Les fameux parrains, connus pour leur arrogance et leur manque de modestie, comptent parmi les célébrissimes faiseurs de roi, ceux-là même qui revendiquent presque à haute voix l'accession d'Ali Bongo Ondimba à la magistrature suprême pour avoir, soutiennent leurs affidés, tordu des bras pour l'imposer comme candidat du PDG lors de la présidentielle anticipée du 30 août 2009.

Ces députés, faut-il le rappeler, ne prennentleurs ordres qu'auprès de leurs mentors à qui ils rendent directement leurs comptes. C'est peu, d'affirmer ici que la jacabolerie nationale « échappe » au contrôle du chef de l'Etat, dans une sorte de poker menteur que les faiseurs de roi ont tenté de lui imposer.

Tout naturellement, en faisant sa communication, mardi 3 mai, aux cadres de la haute administration publique, Ali Bongo Ondimba a manifesté sa détermination à reprendre les choses en main.

Et envoyé un message sibyllin à ceux qui croyaient le tenir : les cadres de la haute administration ne doivent répondre que de lui, et de lui seul car c'est bien lui, Ali Bongo Ondimba, qui appose sa signature au bas des décrets de nomination pris en conseil des ministres. Et personne d'autre.

Ces promotions sont donc le fruit de son entière discrétion, et non celui des prétendus, parrains qui ont voulu mettre le Gabon en coupe réglée.

Réagissant donc aux attaques lancées gratuitement contre les agences venues enlever le manioc de la bouche des voleurs qui ont pillé le pays, Ali Bongo Ondimba a rappelé ce que tous ces boudeurs savent : «
(les) Agences (…) viennent compléter notre dispositif général d'intervention à côté des ministères et des divers démembrements administratifs. En effet, les Agences vont permettre de réaliser les projets avec plus de diligence, d'efficacité et de transparence. Pour ne citer qu'un exemple, l'Agence Nationale des Grands Travaux, ANGT, nous en a fait la preuve lors de l'organisation de la CAN 2012. »

Et le chef de l'Etat d'appuyer là où ça fait le plus mal : «
En mettant sur pied une administration dont le fonctionnement est fondé sur le principe de la spécialité des tâches, les Cabinets politiques et vous, l'administration centrale, avez pour rôle de conduire les tâches d'orientation, de conception et de contrôle. Le services publics personnalisés, et certains services centraux en régie, dans le cadre de leurs périmètres, sont pour leur part chargés de mener les tâches d'exécution et de mise en oeuvre des politiques publiques mais aussi de conseil aux organes de décision et de contrôle ,lorsque cela peut s'avérer nécessaire ».

Voulant être le plus clair possible, Ali Bongo Ondimba enfonce le clou : «
Je voudrais rappeler que les Agences et autres services publics personnalisés ne sont pas des ministères bis. Ils sont le bras séculier des Départements Ministériels dont ils dépendent par le lien juridique de la tutelle administrative et technique. Ils n'évoluent pas en marge du système public. Ils en sont un maillon. Ce sont des instruments au service des Ministères, des contribuables, des usagers et des citoyens. Il revient aux Ministères, comme je l'ai déjà dit lors de mon adresse à la nation, le 17 août 2011, d'établir un dialogue de gestion permanent qui doit obligatoirement et systématiquement se traduire par des Contrats d'Objectifs et de Performance. »

Comme on peut le voir, le chef de l'Etat privilégie l'efficacité et les résultats, plutôt que les beaux discours et les effets d'annonce qu'affectionnent ceux - là même qui , en charge de l 'Etat depuis plus de trente ans, ont plus oeuvré pour leur réalisation matérielle et financière qu'à l'amélioration des conditions de vie de leurs concitoyens.

Des femmes et hommes du passé et du passif qui, par des interventions à l'emporte-pièce aussi bien dans les hémicycles du Parlement qu'un peu partout ailleurs, espèrent ainsi prendre date pour on ne sait quelles échéances à venir.


S
ource : le scribouillard du jeudi 10 mai 2012

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GABON : LES AGENCES NATIONALES , REMÈDES MIRACLES CONTRE LES VOLEURS DE LA RÉPUBLIQUE

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Les Gabonais sont loin d'avoir la mémoire courte. Les incongruités de gestion étaient nombreuses du temps de la toute puissance de certains dignitaires d'antan; il fallait donc y mettre un holà.

D'où la récente montée du chef de l'Etat qui a fustigé le comportement criminel de certains hiérarques de l'administration publique.

Assurément, et depuis belle lurette, plusieurs dirigeants du pays éprouvent un mal fou à flirter avec les principes de la bonne gouvernance.

La preuve, selon une certaine opinion publique, «
Les contre-performances affichées par les ex-ministres (d'Etat s'il vous plaît) du genre Zacharie Myboto en matière de couverture du pays en infrastructures de communication, des télécommunications et routières. »

Sur ce plan, ce ne sont pas les partenaires au développement du Gabon tels que l'Agence française de développement (AFD) ou la Banque africaine de développement (BAD) qui nous démentiront.

Idem d'
André Mba Obame qui, du point de vue de l'opinion, s'est négativement illustré dans « sa gestion antérieure, catastrophique, des dossiers relatifs au système du Turn over, à l‘effectivité de la gratuité des manuels scolaires, aux soutiens multiformes destinés aux handicapés et sinistrés, aux fêtes tournantes d'Indépendance et aux projets de développement y afférents; ainsi qu'à la mise en place de la biométrie. »

Un ensemble de contre-performances enregistrées par
André Mba Obame, l'inamovible ministre d'Etat en charge successivement des juteux et sensibles départements ministériels de l'Education nationale, des Affaires sociales et de l'Intérieur.

Dans le même lot, on n'oubliera pas l'ex-ministre délégué aux Finances et Premier ministre
Jean Eyeghé Ndong qui, extraordinairement, au constat actuel et aux dires de plusieurs compatriotes, « a conduit, avec une évidente maladresse, une inouïe légèreté au regard des résultats malheureux que l'on connaît, le processus de privatisation de la gestion de certaines entreprises étatiques et parapubliques. »

Sans oublier Mme
Paulette Missambo dont les prestations quelconques, dans la gestion de la réalisation des écoles dites de la BAD, ne lui valent que des quolibets et autres récriminations.

Des expériences désastreuses, non exhaustives, découlant d'une ancienne gestion criminelle des affaires publiques de notre pays, mais que certains adeptes, encore tapis dans l'ombre, continuent à faire prospérer cyniquement.

D'où, l'énergique et récente déclaration faite par le chef de l'Etat à l'endroit des membres du gouvernement, des hiérarques de nos administrations tant civiles que militaires.

Une déclaration qui s'adressait aussi, et par ricochet, à toutes les institutions constitutionnelles et républicaines disposant de l'autonomie de gestion administrative et financière.

De ce fait et pour juguler radicalement cette ravageuse dérive de la gouvernance publique, le chef de l'Etat est donc monté au créneau. Il a dit : plus jamais ça !

D'abord, en dénonçant énergiquement cette dérive démoniaque et en interpellant publiquement les membres du gouvernement ainsi que les principaux gestionnaires des affaires et ressources de l'Etat.

Et cela répondait à une nécessité : édifier l'opinion nationale et la communauté internationale sur les dérives qui minent l'administration publique gabonaise et réaffirmer la volonté et la nécessité pour le pouvoir actuel de faire changer radicalement les choses dans notre pays.

Ensuite, le président Ali Bongo Ondimba a opté pour la création des agences nationales et d'un Bureau de coordination des programmes de l'émergence (BCPE).

Lesquelles structures sont directement placées sous la tutelle de l'Olympe ou de certains départements ministériels concernés par les secteurs ciblés.

Ces agences sont alors chargées de suivre et de contrôler l'exécution de l'ensemble des grands projets initiés par le chef de l'Etat; de promouvoir les meilleures conditions de réalisation desdits projets.

Ceux-ci devant être réalisés avec célérité, efficacité, transparence, obligation de succès et performance des résultats.

En outre, le chef de l'Etat s'est engagé à doter toutes les administrations publiques du nouveau système Wi-max ainsi que des équipements propices à l'exploitation de l'informatique et à l'accès à l'internet haut débit.

Toutes dotations qui permettront aux administrations de gérer au mieux et harmonieusement les affaires publiques, le patrimoine immobilier et domanial ainsi que les ressources humaines, financières, matérielles et logistiques de l'Etat.

En prime, la promotion du sens de la responsabilité, de la justice sociale, de l'équité dans la répartition des biens publics. Le tout devant conduire au développement soutenu du Gabon.

Enfin, Zeus entend appliquer le principe de l'organisation périodique de ce genre de déclarations publiques et d'interpellations, tant des membres du gouvernement que des principaux gestionnaires des projets et biens de l'Etat.

De même, il a opté pour la réunion régulière des conseils de cabinet élargis à différents membres du gouvernement concerné par les questions inscrites aux divers ordres du jour retenus. Bien entendu, cela n'a rien à voir avec les traditionnels conseils des ministres hebdomadaires.

Objectif visé: le rappel à l'ordre des responsables gouvernementaux et administratifs, un renforcement des dispositifs d'élaboration et d'analyse des projets à mettre en oeuvre, le contrôle permanent de la qualité des grands travaux exécutés et l'évaluation régulière des états d'avancement des divers chantiers propices à l'accélération du processus d'émergence du Gabon.




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GABON : A QUAND LE JUGEMENT DES CRIMINELS ECONOMICO-FINANCIERS ?

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Depuis quelque temps, et à la faveur de la tenue des sessions judiciaires consacrées au traitement des cas des présumés coupables d'odieux actes de viols, d'agressions physiques et de tueries, une question légitime ne cesse de tarauder l'esprit de l'opinion.

A savoir :
à quand la publication des audits commis par le chef de l'Etat et la fin de l'impunité pour tous ceux qui se sont passibles de malversations dans la gestion des affaires publiques du pays ?

Car le Gabon a besoin désormais d'être débarrassé de toutes ces ignominies qui avaient largement contribué à plomber son développement harmonieux et intégral.

Dans tous les cas, avec la ferme volonté qui anime le chef de l'Etat, la farouche détermination affichée par l'actuelle équipe gouvernementale et la pression populaire qui ne cesse de s'exercer sur les pouvoirs publics, les fossoyeurs présumés de l'économie nationale et des finances publiques n'ont rien à perdre ou à gagner pour attendre.

Car, d'une manière ou d'une autre, leur tour arrivera pour passer à la barre et se justifier devant la loi et l'opinion.

Les Gabonais ne peuvent plus continuer à subir indéfiniment les défiances de ceux qui, impunément et avec arrogance, leur ont gravement fait du tort.

Leur mémoire a du mal à oublier ces fossoyeurs de la République qui se sont rendus coupables de détournements des fonds de l'Etat, en boycottant les projets initiés lors des fêtes tournantes de l'indépendance et en sabotant tous les chantiers liés à la réalisation des grandes infrastructures propices au développement économique et au progrès social du pays.

A l'évidence et en agissant ainsi, ces criminels ont cyniquement et à leur seul profit, réussi à plomber l'évolution du processus national de consolidation et de modernisation des infrastructures sanitaires, scolaires, immobilières, routières, portuaires, aéroportuaires, ferroviaires.

Sans omettre le sort réservé aux autres infrastructures liées au renforcement des capacités nationales en matière de développement des secteurs énergétiques, hydrauliques, de communication et des télécommunications.

Autant dire qu'à l'instar des auteurs avérés de crimes de sang, les criminels économico-financiers du Gabon doivent aussi répondre publiquement et définitivement de leurs odieux actes devant les instances judiciaires.

Ce qui permettra de nettoyer le Gabon de tous les avatars de la fourberie, des passe-droits, de la gabegie, de la malversation et de l'impunité dans lesquels se vautraient certains gestionnaires des affaires publiques nationales.

Au demeurant, la cause étant désormais entendue et le processus de moralisation de la vie publique nationale se trouvant plus que jamais engagé, l'heure a donc véritablement sonné pour le bannissement des adeptes du sadisme, du cynisme, de l'enrichissement illicite et des pratiques placées faussement sous le couvert des « crimes dits rituels ».

D'autant plus qu'il s'agit d'une question d'honneur pour les actuelles autorités publiques, tant elle concerne le développement intégral du pays et du mieux-être au profit des populations gabonaises.


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