16/07/2012

GABON: LA QUADRUPLE HUMILIATION DES VAUTOURS « vrais opposants sic ! »

 

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A l’évidence, « il y a véritablement des individus nés avant la honte », affirme un adage. Au regard de la quadruple humiliation que vient de subir à Paris, le malheureux carré de Gabonais se prévalant d’être de « vrais opposants » et « grands de ce monde ».

Il s’agit en l’occurrence des inénarrables André Mba Obame, Zacharie Myboto, Jean Eyeghé Ndong, Marc Ona Essangui et compagnie qui, s’étant rués à Paris pour tenter vainement de « boycotter le récent séjour parisien du président Ali Bongo Ondimba », se retrouvent actuellement meurtris par la pitoyable tournure prise par leurs propres calculs machiavéliques.

On note d’abord le cuisant échec que ces « vrais opposants » et « grands de ce monde » ont subi dans l’organisation foirée d’une tentative de mobilisation des Gabonais de France.

Lesquels devaient « marcher sur les boulevards parisiens et envahir l’entrée de l’Elysée, pour vilipender la supposée imposture du pouvoir d’Ali Bongo Ondimba et la dictature que celui-ci aurait instaurée au Gabon. »

Résultat de ladite mobilisation : vingt-huit personnes au rendez-vous, dont quelques désoeuvrés français et certains ressortissants africains en mal d’exercices physiques.

Ce qui a donc mis à découvert le patent déficit de crédibilité de l’opposition gabonaise auprès des Gabonais de l’Hexagone que des populations françaises qui, en cette période de crise économico-financière, ont d’autres chats à fouetter.

Estimant qu’ils ne pouvaient rester sur un tel échec des troupes n’existant nullement, AMO et ses acolytes ont alors trouvé l’idée saugrenue d’organiser un conclave destiné à produire un document déclinant les voies propices à une sortie de la supposée crise politique, économique et sociale qui prévaudrait au Gabon.

Et c’est confuses que les autorités françaises découvriront dans ledit document que, loin d’être des hommes politiques dignes et guidés par le devenir de leur pays, les « vrais opposants » et « grands de ce monde » gabonais n’étaient animés que par de « mesquines et mercantiles envies de partage de pouvoir et de juteux postes de responsabilités avec l’actuel régime d’Ali Bongo Ondimba. »

Rien que ça, et ça s’arroge le droit de s’appeler « vraie opposition soucieuse du bien-être des Gabonais ». On aura donc tout vu et entendu d’une certaine classe politique gabonaise!

Par ailleurs, et comme se croyant en pays conquis, les « vrais opposants » gabonais et leurs suppôts d’une certaine société civile ont même osé se mettre en tête qu’ils pouvaient intimer au président français, François Hollande, l’ordre de ne pas recevoir son homologue Ali Bongo Ondimba.

A défaut, pour le nouveau chef de l’Etat français, de s’entretenir avec eux, avant de rencontrer le n° 1 gabonais. Là encore, échec et mat pour nos « vrais opposants ».

Car non seulement François Hollande a reçu le président Ali Bongo Ondimba, mais les deux hommes d’Etat ont même coprésidé une importante séance de travail qui réunissait leurs principaux collaborateurs respectifs. Pendant ce temps, les « vrais opposants » gabonais étaient dirigés vers un modique bureau où ils se morfondaient d’être reçus par un obscur conseiller à l’Elysée.

Enfin, il y a la virulente volée de bois vert dont bien des camarades de l’opposition gabonaise n’ont pas manqué de foudroyer Mba Obame et ses affidés.

Une volée de bois vert assortie de quolibets, d’insultes voilées et de bien d’autres récriminations dont les plus acerbes ont été l’oeuvre de Daniel Mengara du BDP et d’un certain internaute Dworaczek Bendome.

Voilà la quadruple humiliation encaissée par les « vrais opposants» gabonais. Eux qui ont cru bon d’aller se mettre en scène dans la capitale française.

Curieuse descente aux enfers pour des personnes qui, pour avoir été longtemps aux affaires et se prévalant pourtant d’être des «professionnels » de la politique, ont fini par faire dans l’amateurisme.

Et de s’avérer ainsi ridicules auprès de l’opinion publique tant française que gabonaise.


Source : LA GRIFFE DU VENDREDI 13 JUILLET 2012


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GABON : APRES L’ÉCHEC DE PARIS LE GANG DE L'OPPOSITION MANIOC AU GOUVERNEMENT ???

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Le fait d’avoir été reçu à l’Elysée par un conseiller stagiaire de François Hollande a visiblement conduit l’« opposition véritable » à revoir ses ambitions à la baisse.

Et de comprendre qu’ils n’ont pas un autre choix que celui de négocier leur entrée au gouvernement. C’est du reste le conseil que leur a donné ce conseiller…

On s’attendait à la bataille de la biométrie, c’est finalement une autre que nous propose notre « opposition véritable ».

Pour la bande à AMO, la transparence ce n’est pas maintenant. En tout cas, à l’ex- UN, les élections, ce n’est plus leur pétard.

Ils ont autre de chose de plus importante à faire. Et ce quelque chose dont il question les concerne directement puisque touchant l’organe le plus sensible de leur corps : l’estomac.

A Paris, la question a été clairement réglée. La « précarité des populations », les routes, les hôpitaux, l’école et les coupures d’électricité, c’est le problème de Zeus et des populations elles mêmes.

Eux ont d’autres chats à fouetter. Car, à leur entendement, le Gabon ne peut « sortir de la crise » qu’en tenant une Conférence nationale souveraine qui permettra aux hommes politiques de se taper de gros honoraires.

Le Gabon ne pourra « sortir de la crise » que si l’on procède - mais sur la base de quelle loi ? - à la « dissolution de l’Assemblée nationale ».

Une bonne chose pour hurler à l’illégalité du gouvernement et à l’imposition d’un gouvernement d’Union nationale au sein duquel notre « opposition véritable » pourra faire une entrée en force.

Tenez-le pour dit. Le Gabon ne pourra « sortir de la crise » que si et seulement si on mettait tout le système judiciaire entre parenthèses pour imposer la « réhabilitation de l’Union Nationale ».

Et ainsi disposer d’un gadget politique qui pourra se frotter tranquillement les mains en recevant les financements de l’Etat.

Le Gabon ne pourra « sortir de la crise » que si on décidait de la « réhabilitation de tous les fonctionnaires et étudiants victimes de la suspension arbitraire de salaires et de bourses pour des questions d’ordre politique ». Ils ont même oublié leur rappel sur solde.

Le Gabon ne pourra « sortir de la crise » que si on ordonnait l’ « abandon de toutes les tracasseries et poursuites judiciaires à caractère politique en cours au Gabon ».

Tant qu’à faire, que l’on ordonne aussi à l’Etat de payer les arriérés de loyer aux « opposants véritables » justement victimes desdites « tracasseries et poursuites judiciaires » de la part de leurs bailleurs.

Oui, oui et oui ! Le Gabon ne pourra « sortir de la crise » que s’il y a « restauration de la couverture nationale de TV+ ».

Pour faire mieux, il faudra même décider que cette couverture se fasse, comme avant, avec le matériel de l’Etat et gratuitement.

Autant de mesures qui n’ont absolument rien à avoir avec le peuple. Mais il est clair, que tant que nos « opposants véritables » sont à l’aise, le peuple nage dans le bonheur infini.

La manoeuvre est bien plus que visible. L’heure n’est plus à la prise du pouvoir par les urnes, ni par les armes, encore moins par la majorité communautaire comme « les Noirs en Afrique du Sud ».

Il s’agit maintenant de jeter son orgueil et son ego par terre, de se laver les mains et passer à table.

On le savait, les gens qui n’ont jamais connu la faim tout au long des quarante deux années d’Omar, ne pouvaient physiologiquement pas tenir sept ans sans manger.

Le topo de la Conférence nationale souveraine a simplement consisté à mettre la barre haute en sachant très bien qu’on obtiendra que le minimum.

Et le minimum ce sera soit une simple concertation, soit des négociations. Mais ils le savent, eux-mêmes, mieux que quiconque : il n’y aura jamais de Conférence nationale.

Ils devront donc se contenter de ce qu’ils veulent le plus ; de ce qu’ils recherchent depuis toujours : avoir en face d’eux le PDG pour pouvoir négocier leur entrée au gouvernement.

C’est clair : tout ça, c’était pour ça !

 

Source : LA GRIFFE DU VENDREDI 13 JUILLET 2012

 

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12/07/2012

GABON : LA COURSE F1 BATEAUX CE JEUDI A LIBREVILLE

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Libreville le 12 juillet 2012 : Après Doha, c’est sans frilosité et plus motivés que jamais que les participants au Championnat du Monde de bateaux à moteur tenteront ce jeudi après midi, à 300 mètres des côtes de Libreville, de réaliser le meilleur chrono des essais libres pour s’assurer une place en pole-position.

Les courses ont été programmées pour le vendredi et samedi.

Une douzaine  de pilotes  en provenance de Turquie, du Brésil, de la Norvège, d’Angleterre, d’Italie et des pays arabes  prennent part à la course fixée à vendredi et samedi. 

Libreville inaugure ainsi  la première édition organisée en Afrique subsaharienne. Un choix raisonnable, a déclaré devant la presse, Nicolo di San Germano, le promoteur de cet événement.


En effet, le Gabon bénéficie de belles côtes et d’un magnifique front de mer à Libreville.  Autre point important, le pays a fait ses preuves dans l’organisation  de compétitions sportives d’envergure continentale, en se montrant capable de mettre en œuvre une logistique complexe et de qualité. Ce fut le cas lors de la  Coupe d’Afrique des Nations 2012.

 
Combien peut coûter un tel événement au Gabon ? 

Les frais sont pris par les sponsors et le comité d’organisation, notamment H2O Racing.  Le Gabon assure pour sa part la promotion au niveau local et apporte le soutien logistique pour la sécurité.

C’est donc une opportunité exceptionnelle pour les Librevillois d’avoir le privilège d’assister  à la course motonautique la plus grandiose au monde.  

Le pays tirera également un grand profit de cette compétition. Le Championnat du Monde de bateaux à moteur est diffusé dans de nombreux pays, pour une audience potentielle de près d'un  milliard de téléspectateurs.  

Les pilotes étant  habituellement accompagnés de leurs sponsors et des investisseurs internationaux, la course représente une formidable opportunité pour ces investisseurs d’établir des partenariats avec le pays d’accueil.

Doha et Libreville sont les deux premières étapes de la course. L’Italie, Abu Dhabi,  Dubaï et la Chine accueilleront les prochaines étapes.

Fin

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10/07/2012

GABON : LES AFFAMÉS PARISIENS DU GANG MOUTOUKI DES MABOULES DE L'exUN

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Ayant pour unique projet de société et programme politique les activités d’Ali Bongo Ondimba, les ténors de l’ex-UN et les activistes de « ça suffit comme ça », se sont rués à Paris dans le seul but d’aller perturber la visite de travail du chef de l’Etat.

Les manifestations prévues ayant tourné au fiasco général, nos stars de l’ « opposition véritable » et de la « société civile véritable » ont finalement montré le visage d’affamés qui n’ont plus le souffle de la lutte, mais le désir brûlant de revenir aux affaires. Les masques sont tombés !

A leurs militants, ils avaient promis qu’ils venaient à Lutèce pour massacrer Zeus et le contraindre à accepter la biométrie. Oui, braves gens, vous avez bien entendu !

Comme vous l’avez d’ailleurs entendu en décembre dernier, lorsqu’ils avaient juré, la main droite sur le coeur et la main gauche sur le pognon des indemnités d’anciens Premiers ministres, qu’ils ne prendront pas part aux législatives si cette même biométrie n’était pas introduite dans le fichier électoral.

Pour faire sérieux, ils avaient même sollicité la science d’un certain Marc Ona Essangui pour suppléer leur manque d’imagination.

Une location de génie qui avait quand même permis de trouver ce beau slogan gracieusement offert aux caravaniers de la contestation : « Pas de biométrie, pas d’élection ».

Ce qui, sur le politiquement correct, paraissait beaucoup plus potable que les étincelles que promettait l’alité de Mba Obame : les « moyens » dont il prétendait disposer pour « empêcher la tenue de ce scrutin ».

Slogan radical de caravaniers par-ci, promesses incendiaires du patient d’Azanie par-là, mais au finish le scrutin finira par se tenir.

Ils ont vendu aux populations que sans la biométrie, il n’y aura « pas d’élection ». 

Mba Obame a « pesé » ses « mots » pour affirmer, les yeux fixés droitement sur l’objectif de la caméra, qu’il disposait de « moyens » pour que ce scrutin ne se tienne pas.

Aucune de ces deux promesses ne sera honorée. Et nos vaillants gladiateurs de ravaler leur ardeur pour ne plus se consoler que du fort taux d’abstention. Cela s’appelle, avoir le sens de la parole donnée.

Avant de s’embarquer pour Lutèce, ils avaient annoncé une nouvelle confrontation, au corps-àcorps : la mise en place de la biométrie avec leurs deux exigences que sont leur implication dans le processus et l’identification biométrique de l’électeur dans le bureau de vote.

Et nos « véritables » de jurer que cette dernière est la condition sine qua non de leur participation aux prochaines locales.

Même que le verbe du Hutu modéré de Nkembo résonnait le métal tant l’incandescence de son propos promettait du moua-moua. A défaut, bien entendu, du boycott.

En sautant dans les avions, tous ces amants de la biométrie avaient confié à leurs supporters que dès leur retour, la bataille de la biométrie allait être relancée.

Mais voilà qu’une fois à Lutèce, tout ce beau monde va être sèchement recadré par leur prophète AMO.

De sa canne magique, le patient de Neuilly va réussir à leur faire accepter l’idée que la bataille, la vraie, n’est plus biométrique ou électorale car la transparence électorale, n’est pour le moment qu’une belle foutaise.

Les manifestations bruyantes anti-Zeus dans Paris, de l’agitation de gamins.

Selon André Mba Obame, ce qu’il faut, ce dont le peuple gabonais a besoin urgemment, ce ne sont pas les emplois, les routes, les écoles, les hôpitaux. Non, non et non !

Le médium de Neuilly le sait mieux que ses amis du Gabon : ce que les Gabonais veulent aujourd’hui, c’est d’une nouvelle Conférence nationale . Rien que ça !

Mais, la clairvoyance d’AMO est sans borne. Toujours depuis Neuilly, où son inspiration est visiblement aussi étirée que sa canne, notre petit Mobutu de Neuilly a même dressé une liste exhaustive des attentes du peuple gabonais.

Une liste qui part de « la dissolution de l’Assemblée Nationale », aux réhabilitations « de l’Union Nationale » et de « tous les fonctionnaires et étudiants victimes de la suspension arbitraire de salaires et de bourses pour des questions d’ordre politique », en passant par l’ « abandon de toutes les tracasseries et poursuites judiciaires à caractère politique en cours au Gabon », « la restauration de la couverture nationale de TV+ et la restitution de son matériel confisqué à ce jour par la Garde Présidentielle ».

Bref, ne survivront que le Sénat et les juridictions constitutionnelles.

A comparer la litanie des exigences contenues dans leur chronogramme de « sortie de crise » avec la convergence de points entre François Hollande et Ali Bongo Ondimba, il y a lieu de craindre, très sérieusement, que le petit Mobutu de Neuilly ait besoin d’une chose beaucoup plus consistante que sa canne.

Parce que, entre la satisfaction, par Hollande, des avancées démocratiques du Gabon, de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption, il est clair que le « concours » de la France ainsi sollicité ne sera en définitive qu’un coup de canne dans l’eau de la Seine.

 

Source : LA GRIFFE DU SAMEDI 7 JUILLET 2012 

 

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GABON : Quand l’opposition moutouki du gang des maboules de l'exUN avoue son Waterloo parisien !

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Avant que la « presse véritable », celle qui véhicule la bonne parole de l’ « opposition véritable » ne vienne, entonner le cocorico pour annoncer le sacre de ses prophètes à Paris, nous laissons deux opposants donner leur avis sur l’escapade parisienne de leurs propres collègues.

Pour l’opposant virtuel, mais non moins historique, Daniel Mengara du BDP, il faut tout simplement admettre la défaite de l’opposition. Lecture :

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Sans commentaire ! Sauf d’offrir au malheureux un kleenex pour ses larmes… Mais le pauvre Mengara n’est pas le seul à admettre cette débâcle.

La dernière égérie de l’opposition, celle qui fait désormais tabac sur la toile sous le nom mvettologique de Dworaczek Bendome, est plus guerrière que tous les gladiateurs de mvogh-étsang.

La Une de son journal en ligne est une condamnation sans appel :

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De quoi envoyer toutes les stars présentes sur cette photo directement à « Sans Famille ». Mais cette image n’est rien à comparer à l’article du texte lui-même. Ce n’est pas un article, mais carrément une torture.

Lecture : « Chronique d’une débâcle attendue !!! Tout le petit microcosme Gabonais de France était en émoi, arrivée du Gabon en fin de semaine dernière, l’opposition politique, la société civile et la diaspora gabonaise de France annonçaient que la rencontre prévue entre FRANÇOIS HOLLANDE et ALI BONGO ONDIMBA ne se ferait pas, si eux, n’étaient pas reçus à l’Elysée avant ce dernier. Ubuesque ?

Au moment du bilan, ni photo triomphante avec Mr Hollande sur le perron de l’Elysée, même au siège du parti socialiste, rue Solferino à Paris, dont les responsables ne sont pas tenus par le protocole, là aussi, pas de tapis rouge, caméra et entretien à la sortie avec la presse.

Le changement ce n’est pas Maintenant !

Pour entretenir l’illusion, les téméraires opposants ont mis en ligne une photo pathétique, où l’on peut voir les grands tenants de l’ordre d’hier entourés d’un simple conseiller en stage dans un minuscule bureau de l’Elysée, où ils ont d’ailleurs du mal à tous se tenir.

Quel contraste !

Quel gâchis !!!

Tout ça pour ça !

Blanc bonnet, bonnet blanc !

Mais qui peut réellement s’étonner de ce résultat en demi-teinte ?

En quoi l’opposition et sa délégation se différencient du pouvoir en place au Gabon ?

Des anciens apparatchiks, hors des ors de la république depuis 3 ans, obligés de faire «le pied de grue » devant la présidence Française pour déposer leurs revendications.

Pour cette ultime rencontre, ils seront reçus quelques instants par un simple conseiller. Un bien maigre résultat.

On dit souvent qu’avant de parler, il faut tourner sa langue sept fois dans sa bouche.

Avant de proclamer sa victoire, il faut s’assurer de la défaite certaine de son adversaire Françafrique ?

Non, simple réalisme, les hommes passent, l’état demeure et la continuation des rapports aussi, la défense des intérêts de la France n’a pas de camp, encore moins de couleur politique, Hollande ou Sarkozy, c’est la France d’abord.

Les turpitudes des uns et des autres ne changent pas grandchose aux enjeux présents au Gabon. Les deux camps manient le sectarisme et l’intolérance mais ils n’ont qu’un but, plaire à la France et revenir à la table des repus comme autrefois.

Il ne faut dont pas confondre leurs attentes avec les aspirations légitimes des populations locales. Pouvoir et opposition, deux faces d’une même unique pièce, une élite déconnectée et préoccupée que de son devenir.

Si ces personnalités avaient souci des citoyens ordinaires gabonais, ils n’auraient pas besoins de venir « faire les paons » à Paris.

La légitimité du peuple leur aurait suffit pour continuer le combat, le peuple parle de la « soif de justice », exige une répartition équitable des richesses du pays entre tous, la justice économique, sociale, politique, environnementale et la libre expression. L’élite parle de poste et de conférence souveraine. »

A part quoi, tout baigne dans l’opposition…

 

Source : LA GRIFFE DU SAMEDI 7 JUILLET 2012 

 

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GABON : DESSOUS DU FIASCO DU GANG DES MABOULES DE L'exUN A PARIS

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Avec la rencontre Ali Hollande, la guerre de l’intox a franchi un nouveau palier. Pour masquer tant bien que mal l’humiliation de la bande à AMO à Paris, les écrivassiers va-en-guerre militant pour « la cause » (tu parles !) font vainement feu de tout bois dans leurs tentatives de minimiser l’étendue de l’amateurisme des aigris de l’ex UN.

Comme des moineaux, ils se sont précipités à Paris quand bien même ils savaient pertinemment que personne, pas même le plus petit conseiller de Hollande ne les a invités.

Mais comme il aurait été mal vu par les militants de rester à Elbève, il fallait donc faire semblant d’être sur place, là où les choses se passent. Du coup, la supercherie se révèle un peu plus facile à monter.

D’où, les yeux dans les yeux, Harley n’a pas hésité une seule seconde à brandir une obscure photo où l’on aperçoit la bande à AMO, sourires jaune carnassier qui braquent littéralement un conseiller stagiaire qui venait de leur recevoir dans les cuisines !

Voilà à quoi ont été réduits les comploteurs comme AMO, les grands voleurs qui n’en ont jamais assez comme Myboto et les autres petits rancuniers. Ca c’est pour le côté jardin qui est caché aux militants.

Quant au côté cour, lisez et régalez-vous... Cinquante billets d’avion payés par Myboto pour le convoyage vers Paris des activistes de la « Société civile véritable », et pas un seul syndicaliste présent à la « monstrueuse manifestation » qu’avaient pourtant annoncée leurs alliés de « Survie » et « Sherpa ».

Le décompte n’est pas de « La Griffe » ou de « La Légion étrangère » du Palais, mais plutôt d’un journal français : « Les Dernières Nouvelles d’Alsace », qui ne saurait être soupçonné d’être « financé par le Palais » ou encore de faire partie de « la presse du troisième étage ».

Dans sa version électronique, « L’Alsace.fr » nous apprend que la grande manif d’AMO n’a rassemblé, en tout et pour tout qu'en fait une trentaine de personnes, la préfecture de police de Paris a recensé vingt-huit (28) personnes.

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Avec ce détail de taille : 27 Blancs, et un seul noireau : Georges Mpaga.

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Et si Mba Obame lui-même a évité de faire le déplacement, cela n’a rien à avoir avec son état de santé. Il se trouve seulement que son visa ayant expiré depuis deux mois, la moindre interpellation aurait eu pour conséquence immédiate, l’expulsion…

Mais ce fiasco, n’a pas été le seul. Bien avant l’arrivée de Zeus, AMO, Eyeghe Ndong et Myboto ont organisé une conférence débat.

Seuls six (6) étudiants ont répondu à l’appel, le reste de l’assistance n’étant composé que de syndicalistes importés de Libreville.

Et c’est le moment choisi par les caméramans de « Malabo 24 » pour commencer à filmer l’assistance. Grand brouhaha et camouflage général des visagesà l’aide de pans des redingotes.

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Les esprits s’échauffent et la caméra du cadreur est brutalement arrachée par des syndicalistes hurlant au guet-apens. AMO est directement tancé de les avoir entraîné dans un piège. Ambiance !

Un : « Vous ne nous avez jamais dit que nous serions filmés ».

Deux : « Vous allez nous donner quoi quand on va nous enlever du travail ? » Trois : « Si on nous voit à la télé, en tout cas, vous allez voir ça ». Et toc !

C’est alors qu’AMO prend la parole pour rassurer les uns et les autres qu’il a le contrôle total des journalistes et que ces images ne seront pas diffusées.

Mais ces paroles ne rassurent personne et la grogne commence à monter. Pour faire diversion, on prend la décision d’anticiper le service du cocktail pourtant prévu qu’à la fin de la conférence.

Ce sont les coupes de champagne et les petits fours qui ont finalement réussi à divertir la colère des syndicalistes.

Promettre aux syndicalistes qu’on a le pouvoir de censurer un média international à l’indépendance mondialement reconnue, AMO est unique.

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Source : LE GRI-GRI DU LUNDI 9 JUILLET 2012 

 

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Gabon : L'AMOUR DE LA PATRIE POUR UNE ÉMERGENCE INTÉGRALE .

 

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Depuis 1990 le Gabon connaît une démocratie à mal de réussir puisque l’homme politique n’arrive pas encore à comprendre et à prendre au sérieux ses responsabilités en tant que citoyen.

Pour plus d’un Gabonais le mot « patrie » n’a pas le sens qui devrait être le sien.

Certains se convainquent, à tort sûrement, que « le Gouvernement » doit les faire vivre et non l’inverse pendant que la réalité voudrait plutôt que chaque citoyen donne force et amour à son pays et ce dernier, par le biais des dirigeants que le peuple a élu démocratiquement, lui en retourne l’épanouissement personnel, familial et collectif dans un développement progressif, intégral et complet exprimé par une amélioration de ses conditions de vie.

Les biens naturels comme l’eau, le soleil, les minéraux, la nature et bien d’autres devraient être jouis par tout le monde et d’une façon équitable..

Des facteurs endogènes ou externes ont certainement contribuer à développer des mauvais réflexes tels que l’égoïsme, l’égocentrisme, la criminalité, l’engouement vers les biens mal acquis et bien d’autres maux mais il est du devoir du citoyen qui aime son pays de se saisir de la situation pour redresser la société. 

C’est dans cette logique que s’inscrit le projet de société " l'avenir en confiance " du Président Ali Bongo Ondimba, la même logique qui devrait abriter tout citoyen Gabonais, celle là même que le peuple Gabonais a massivement voté en 2009.

Aujourd’hui on s'interroge ? 

D’où est venu l’anarchie et l’avidité vers le pouvoir ce qui a tendance à rompre le respect envers l’autorité et la chose publique ?

Pourquoi les intérêts personnels priment sur l’intérêt général ce qui entraîne, la corruption, l’escroquerie et le mensonge politique ?

Pourquoi observe t-on chez certains Gabonais comme une dépression qui pousse le citoyen à la paresse alors que le peuple Gabonais est réputé travailleur depuis des siècles ?

Comment une personne physique ou morale peut dire du mal et rien que du mal et du mensonge de son pays sous le seul prétexte qu’il aspire gagner les élections ou d’autres sympathies en maintenant le pays dans un climat de terreur parfois imaginaire et une fausse interprétation de la situation réelle envers nos partenaires étrangers ? Faisant fi de toutes les conséquences qui s’en suivre.

Certains et de surcroît des politiciens formés vont jusqu’à manipuler politiquement des actes de vols, de viols, de meurtres et d’autres crimes et s’amusent, comme si c’était un jeu, à coller gratuitement de tels crimes sur le dos du Gouvernement croyant qu’un tel mensonge les aide à vendre leur position et ignorant la gravité de déverser une telle information dans l’opinion nationale et internationale. 

Comment un enfant du pays peut confondre un bien public au sien propre ou se rendre coupable de complicité de telles pratiques ?

Comment un citoyen épris de paix peut encore s’amuser à tirer tirer sur la corde ethnique pour défendre une place au parlement ou ailleurs faisant semblant d’ignorer toute la peine et les pleurs que ce genre de comportement peut entraîner dans notre pays ?

A toutes ses interrogations et bien d’autres que plus d’un se pose, j'invite le Gabonais à dépasser l’intérêt personnel et privilégier l’intérêt général en mettant en avant l’amour de la patrie.

J'exhorte le citoyen Gabonais quel que soit son métier à garantir l’avenir de ce pays par le travail en puisant ses forces et sa moralité dans les valeurs positives qui ont marqué notre histoire.

J'invite tout Gabonais et particulièrement militants et sympathisants du PDG à briller par l’exemple et encourage le gouvernement à adopter une attitude conséquente envers toute personne qui affiche une attitude récurrente et rétrograde.

J'invite les politiciens et d’autres Gabonais qui seraient encore dans la logique de bloquer le fonctionnement normal du pays et de ses institutions à se ressaisir pour mettre en avant un esprit constructif et responsable digne du citoyen.

C’est donc l’Amour de la patrie qui devrait guider les esprits des Gabonais, tel est le chemin obligé pour notre développement humain sûr et intégral et c’est à ce seul prix que la paix, la démocratie, la justice et la sécurité pour tous seront réalité.

En effet, de notre histoire politique récente – marquée par l’affranchissement colonial, la succession de partis uniques, de parti Etat et les échecs répétés de diverses alliances pour l’instauration d’un pouvoir démocratique , il en a résulté un avilissement progressif du comportement citoyen et des mentalités devant l’arrogance de la classe dirigeante avec un développement sans précédent de la corruption, de la concussion et du chantage conforté par des passe-droits et une justice aux ordres.

Le socle républicain lui-même en fut ébranlé dans son ensemble, lorsque des déviations du parti au pouvoir sont venues remettre en cause le Droit lui-même.

Dans un tel contexte, la refonte de l’Etat dans son ensemble devenait impérieuse autant que la restauration du civisme et de la culture citoyenne.

Nous nous devons de nous y employer sans retard pour faire respecter le droit et consolider les bases sociales et économique de la Nation à travers un programme qui se veut cohérent et adapté aux attentes des Gabonais.

Relever ces défis requiert l’émergence d’une conscience nationale et d’un engagement patriotique où se déploient les efforts de tous les citoyens car on ne saurait construire une nation sans la connaître et surtout sans l’aimer.

L’amour de la Patrie est le seul véritable ciment qui fortifiera notre unité et notre capital productif.

Nous parviendrons à ranimer cette conscience nationale et l’amour patriotique des Gabonais en combattant la déliquescence des valeurs, les divisions multiformes entretenues et organisées, la misère de nos populations née de l’incurie politique et financière et de l’état d’ignorance dans laquelle elles végètent.

C’est pourquoi l’objectif principal de la candidature à la magistrature suprême d'Ali Bongo Ondimba et du projet de société " l'avenir en confiance " qu'il a lancé , dans l’intention de réaliser une émergence intégrale était :

- Le rétablissement d’un État de droit sur la base d’institutions républicaines solides et pérennes, capable de soutenir le renforcement de l’unité nationale,

- Le fonctionnement d’une administration publique moderne et performante, et la mise en place d’un système judiciaire efficient et équitable.

L’État que nous voulons doit être bâti sur les principes fédérateurs de nos valeurs morales intrinsèques et de nos traditions nées d’un large et profond brassage culturel qui constituent, aujourd’hui, le socle de l’unité de notre peuple.

La lutte contre la corruption, la gabegie et les mauvaises pratiques sociales deviennent un impératif catégorique. On ne saurait continuer à reproduire les mêmes schémas de penser et d’agir.

Une mutation tranquille mais profonde et générale doit être engagée. C'est à cette œuvre exaltante où chacun apportera sa contribution, que le Président de la République, Ali Bongo Ondimba ,vous convie.

Fonder un Etat moderne et démocratique signifie construire une société de liberté, d'égalité, de solidarité et de prospérité dans laquelle les femmes et les hommes connaissent la paix et vivent heureux tout en exerçant leurs devoirs de citoyens.

Ainsi nous aurons garanti un avenir et un bien être mieux que le nôtre aux générations futures.


MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

 

 

06/07/2012

MBA OBAME,MYBOTO ET EYEGHE REÇOIVENT UNE GIFLE D'HOLLANDE

 

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On le savait : ils veulent tous être calife à la place du calife et tous les prétextes et subterfuges sont bons pour jouer au King Kong .

L’occasion rêvée était une partie de pleurs et vociférations au bord de la Seine, en ayant pris le soin tels des poseurs de bombes d’aller arpenter les salles de quelques rédactions rompues aux préjugés tenaces et tenues en laisse par des soi-disant spécialistes de l’Afrique qui ne connaissent du continent que quelques cartes postales, escales ou séjours hôteliers et de villégiature de quelques heures ou jours.

Les 3 mousquetaires sont donc allés avec leur sac de sable déverser leur bile sur leur pays et concocter un schéma de retour raccourci aux affaires. La naïveté tente de ravir la vedette à l’incurie politique.

Messieurs : c’est peine perdue…vous boirez votre amertume et votre aigreur jusqu’à la lie.

Nos compatriotes vous ont redonné un camouflet retentissant avec un accueil rare, réservé à Ali Bongo Ondimba, le champion du Gabon Emergent qui vous empêche de dormir depuis trois ans.

Votre tentative de mobilisation avortée et ridicule, tout comme vos annonces de rencontres, du reste non tenues faute de participants devraient vous ouvrir les yeux une fois pour toutes.

Ce n’est pas sur les bords de la Seine ou à Neuilly que vous obtiendrez ce que le peuple gabonais vous a dénié.

Le Gabon est un pays libre, indépendant et mûr qui prendra résolument son destin en mains.

Seuls les électeurs gabonais joueront le rôle d’arbitre pour les choix de notre présent et de notre avenir.

La conquête des suffrages et des cœurs ne se fait pas dans les rédactions parisiennes et par la plume satanique de vos connivences du moment.

Il en est ainsi : le Gabon et son Président comptent et compteront de plus en plus en Afrique et sur la scène internationale.

Les Dirigeants de pays et d’institutions qui le savent et le comprennent n’auront d’autre choix que de se concerter avec le Chef de l’Etat qui pour le moment s’appelle Ali Bongo Ondimba dont le premier mandat court jusqu’en 2016.

Les apprentis putschistes désabusés et à l’imagination vagabonde n’ont qu’à se rhabiller. Ils auront beau piaffer d’impatience, ils n’ont pas et n’auront pas les moyens de renverser le cours de l’histoire.

Les Gabonais veulent l’émergence et n’accepteront pas que notre pays soit un champ d’expérimentation de combinaisons et manigances politico-politiciennes, contraires à la règle de base de la démocratie qui veut que la majorité gouverne et que l’opposition joue son rôle dans la légalité.

Les Gabonais savent que ceux qui s’agitent comme un ballet de marionnettes et de pantins n’ont ni la compétence, ni la probité morale , ni la générosité de cœur et d’efforts de Ali pour conduire ce pays béni de Dieu à la place qui doit être la sienne.

Ils savent car le souvenir est encore vivace que toutes ces positions circonstancielles et élucubrations ont pour fondement l’assouvissement d’ambitions crypto-personnelles et non la prise en charge des aspirations de la grande masse des populations.

Portés disparus de l’espace public national, émigrés pour d’aucuns à l’extérieur, pour d’autres tapis dans l’ombre et le confort de leurs palais au pays, financés par les détournements de fonds publics, cette bande des 3 et leurs ouailles apprendront à leurs dépens que le Gabon les a vomi à jamais.

Les convulsions ne méritent tout au plus qu’un traitement psychanalytique pendant qu’il est encore temps.

Profitez donc de votre séjour-excursion pittoresque à Paris pour le faire surtout que l’hébergement, pour une fois, peut se faire à Neuilly (tiens tiens un BBA bien bien acquis tout comme TV + ??? sic)

 

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05/07/2012

FRANCE-GABON: ALI BONGO ONDIMBA REÇU EN GRANDE POMPE A L’ÉLYSÉE

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Le président gabonais Ali Bongo Ondimba , reçu aujourd'hui à Paris par le président français François Hollande qu'il rencontrait pour la première fois, a affirmé que la  «  Françafrique était une question qui n'existe pas », tout en soulignant  «  la formidable amitié franco-gabonaise ».

Interrogé sur la persistance de la " Françafrique " le président gabonais Ali Bongo Ondimba a répondu aux journalistes :  «   Il est étonnant que chaque fois que nous nous rencontrons, vous me posiez cette question-là .

Vous me parlez de quelque chose que je ne connais pas (...) Souvent les médias ou les associations veulent nous ramener à une question qui pour moi n'existe pas .

Nous sommes aujourd'hui au XXIe siècle et les questions entre pays ne peuvent pas être traitées comme c'était le cas il y a 50 ans. Les évolutions sont nécessaires et je m'inscris totalement dans l'évolution de nos rapports ».

Soulignant  «  les relations très solides entre la France et le Gabon » Le président gabonais Ali Bongo Ondimba  a qualifié son entrevue avec François Hollande de «  rencontre classique entre chefs d'Etat pour faire le point sur la coopération entre nos deux pays.  

Notre souci est toujours de voir si cette coopération peut être renforcée, quelles sont ses faiblesses, quelles sont ses forces.

Evidemment, chaque homme a son style et donc, en fonction de cela, les choses pourront être dites ou faites différemment , mais le fond reste cette formidable amitié entre nos deux pays et nos deux peuples ».

La France est le principal partenaire économique du Gabon , où les groupes Total, Eramet, Bolloré et Rougier, notamment, sont très présents. 

 

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le communiqué de l'Elysée

 

 

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04/07/2012

GABON : LA FONDATION SYLVIA BONGO ONDIMBA POUR " UN QUARTIER PROPRE ET SOLIDAIRE "

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Dans l’élan de la visite effectuée par la Première Dame auprès des populations de la Baie des cochons le 15 mai dernier, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille organise une opération « Quartier propre et solidaire » du 30 juin au 3 juillet 2012.

Cette zone sous intégrée située en plein centre-ville de la capitale du Gabon, est caractérisée par une urbanisation anarchique, une promiscuité des logements, une forte insalubrité et une précarité avancée des populations.

L’opération qui est coordonnée par le Centre Mbandja, entité opérationnelle de la Fondation, en collaboration avec la Croix Rouge Gabonaise a mobilisé une centaine de jeunes de ce quartier.

Il s’agissait d’un acte de civisme à travers lequel les jeunes de la baie des cochons ont nettoyé le pourtour des maisons mais également évacué les tas d’ordures afin d’assurer un cadre de vie sain aux habitants.

Elle comprenait deux objectifs principaux : organiser des groupes de jeunes et de femmes pour développer la solidarité et l’esprit d’initiative à travers l’opération quartier propre et prévenir les risques sanitaires auxquels sont exposées les populations.

S’agissant du volet social, l’initiative visait en effet à mobiliser les jeunes et les femmes afin qu’ils se regroupent en associations et bénéficient ainsi d’un accompagnement en terme de renforcement des capacités via le Centre Mbandja.

D’autre part, un programme d’accompagnement a également été mis en œuvre pour les veuves de la Baie des cochons à travers la Cellule Veuves du Centre Mbandja.

Le chômage et la déperdition scolaire chez ces jeunes sont de véritables fléaux, de même que la précarité des familles matriarcales.

Cette situation expose les membres de la cellule familiale à des dangers tels que la délinquance et la prostitution.

Pour faciliter une meilleure expression de leurs besoins, il est nécessaire que les populations de ces communautés se regroupent en structures organisées.

Toujours dans le cadre du volet social, la CNAMGS procèdera très prochainement à la sensibilisation des populations sur les prestations sociales dont ils peuvent bénéficier et réalisera des enquêtes sociales en vue d’immatriculer les Gabonais économiquement faibles demeurant dans ce quartier.

Sur le plan sanitaire, cette action visait à apporter des solutions concrètes face aux risques qu’encourent les habitants du quartier, population essentiellement constituée de femmes et de jeunes.

Les volontaires de la Croix Rouge gabonaise ont procédé au déparasitage des enfants et à la distribution de moustiquaires imprégnées qui manquent cruellement dans les habitations.

Une campagne de désinsectisation, dératisation et de désinfection est également prévue dans le cadre de cette opération.

Par ailleurs, un curage du lit de la rivière est actuellement en cours pour pallier au problème récurrent d’inondations ainsi qu’une opération de désherbage dans l’ensemble du quartier.

Cette action est réalisée par le Ministère en charge des travaux publics et s’inscrit dans le cadre du plaidoyer de la Première Dame après son passage dans ce quartier.

A travers l’opération « quartier propre et solidaire », la Fondation souhaite contribuer au développement de l’esprit civique de la jeunesse en s’appuyant sur les valeurs de solidarité et d’entraide de la population gabonaise.

En effet, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille a pour but de promouvoir la participation des jeunes et des femmes au développement du Gabon.

Elle agit dans trois domaines d’actions prioritaires : l’éducation de la jeunesse, les droits et la promotion de la femme et l’insertion des personnes fragilisées.

 

Pour plus d’informations sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille :

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

https://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/15535...

Contact : presse@fondationsbo.org

 

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GABON : LA F1 DES BATEAUX EN AFRIQUE POUR LA 1ère FOIS .

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Libreville le 03 juillet 2012 : Le Gabon sera doublement en fête du 12 au 14 Juillet 2012. La capitale Libreville va abriter, pour la première fois en Afrique, la prestigieuse compétition internationale motonautique Class 1 offshore.

Le motonautisme est une famille de sports de compétition consistant en des courses de bateaux propulsés par des moteurs.

Autre raison de se réjouir, la demande d’adhésion de la Fédération Gabonaise des Sports Nautiques à l’Union Internationale Motonautique (UIM), présentée par le chef de Cabinet du Président de la République, M. Liban Soleman, a été acceptée.

Le Gabon devrait recevoir son statut de membre définitif à la prochaine Assemblée Générale de l’UIM, prévue se tenir en octobre de cette année en Grèce.

Il rejoindra donc officiellement 56 Etats membres de l’Union Internationale Motonautique, organe reconnu par le Comité International Olympique.

S’agissant de l’étape que s’apprête à accueillir Libreville, les préparatifs sont en cours pour ce qui promet d'être un formidable festival de courses d’embarcations à moteur.

12 bateaux bi moteurs, puissance jusqu’à 1700 chevaux, moteurs V8 ou V12 participeront au Grand Prix du Gabon. Un des bateaux, Spirit of Gabon, va concourir aux couleurs du drapeau gabonais.

Les vitesses atteintes sont de 250 km/h sur un circuit, compris entre le boulevard de l’Indépendance et le Tropicana.

Les pilotes sont originaires d’une dizaine de pays dont le Brésil, les Emirats Arabes Unis, le Qatar, le Koweït, la Norvège, l’Angleterre, l’Italie.

Près de 200 personnes en charge de la logistique ainsi que des médias sont attendues à Libreville.

Avant le championnat mondial de bateaux à moteurs du 12 au 14 juillet, le public sera invité dimanche 08 à assister à une exposition bateaux de 15h00 à 18h00 en face du Lycée National Léon Mba.

Libreville, selon les organisateurs, a été choisi pour sa belle façade maritime et l’avis favorable dont jouit le Gabon dans la sous région en tant que lieu privilégié des grands événements sportifs.

La capitale gabonaise est la deuxième étape après Doha. Les prochaines étapes auront lieu à Abu Dhabi, Dubaï et la Chine.

 

Fin

 

Plus d’informations en anglais sur : http://www.class-1.com/

 

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03/07/2012

Gabon : VISITE DE TRAVAIL EN FRANCE DU PRÉSIDENT GABONAIS ALI BONGO ONDIMBA

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Paris, le 3 juillet 2012 - Le Président de la République Gabonaise, Ali Bongo Ondimba, se rend en France pour une visite de travail les 4 et 5 juillet 2012. Au programme de son séjour figurera notamment un entretien avec un son homologue français le Président François Hollande.

Premier entretien entre les 2 chefs d’Etats, il servira à raffermir les relations historiques qui existent entre le Gabon et la France d’une part et à poser les jalons d’une coopération renforcée.

Le Président Ali Bongo Ondimba aura également des entretiens avec plusieurs personnalités politiques de premier plan et se rendra au siège de l’Institut Pasteur.

Cette rencontre intervient au moment où le Gabon s’est engagé sur la voie de la diversification de son économie et de la consolidation de ses partenariats stratégiques, notamment avec la France. A cet effet, les deux pays ont adopté le 24 février 2010, un nouveau plan d’actions pour la mise en œuvre d’un partenariat stratégique (2010-2014) qui prend quasiment en compte tous les aspects de la coopération entre les deux pays sur les plans politique, économique, scientifique, culturel et sur la formation professionnelle...

 

L’ouverture aux investisseurs

Quelques 150 entreprises françaises sont présentes au Gabon. La France a exporté en 2011 pour un montant de 566,8 millions d’euros en biens d’équipements professionnels, en produits industriels et agroalimentaires au Gabon, confirmant sa position de premier fournisseur du pays.

Grâce à la politique économique déployée par le Président Ali Bongo Ondimba, le Gabon détient d’importantes parts dans le capital de sociétés françaises de premier plan en Afrique qui évoluent dans des secteurs stratégiques au Gabon, comme ROUGIER (bois) et ERAMET (mines).

Dénommé Gabon Emergent, la stratégie de développement mise en œuvre par le chef de l’Etat gabonais repose sur un programme ambitieux de réformes qui vise à diversifier l’économie et à faire des secteurs industriels et tertiaires des secteurs ultra-compétitifs tout en préservant les formidables richesses environnementales du pays.

Cette politique s’accompagne d’une ouverture économique tout azimut du pays. En témoignent les voyages officiels effectués par le Président Ali Bongo Ondimba : visites d’Etat en Corée du Sud et en Suisse (octobre 2010), à Singapour (novembre 2010), en Italie (mai 2011), visite officielle aux Etats-Unis d’Amérique (juin 2011), visite d’Etat en Australie (mars 2012).

La visite de travail du Président Ali Bongo Ondimba sera par conséquent consacrée à renforcer les relations bilatérales entre les deux pays et à promouvoir les opportunités d’investissement au Gabon.

 

La recherche et l’environnement

La recherche et la préservation de l’environnement sont deux domaines prometteurs pour le développement de la coopération franco-gabonaise.

En matière de recherche scientifique, le Centre international de recherches médicales de Franceville (CIRMF), référence mondiale dans le domaine des pathologies parasitaires et autres épidémies, témoigne de l’utilité et de l’efficacité de la coopération franco-gabonaise.

Au lendemain du Sommet de Rio+20, l’ambitieux projet politique du pays, le Gabon Vert, qui vise à faire émerger une croissance verte s’appuyant sur un plan climat, le premier d’Afrique centrale, représente également une opportunité pour une coopération plus approfondie.

Le Gabon Vert s’appuie sur des projets concrets tels que la création d’une station de réception d’images satellitaires, issus d’un partenariat entre la France, le Brésil et le Gabon. Cette station permettra notamment l’amélioration de la gestion des couverts forestiers d’Afrique centrale, deuxième poumon de la planète après l’Amazonie.

Ardent Défenseur de l’environnement, le Président Ali Bongo Ondimba, milite activement pour que des réponses multilatérales et concertées soient dégagées pour mieux répondre aux défis posés par les changements climatiques. Il s’est notamment illustré sur le continent africain où il fait figure de pionnier dans la promotion et l’intégration du développement durable par des modèles de croissance économique.

 

FIN

 

Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes.

Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale d ans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org

 

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