10/07/2012

GABON : DESSOUS DU FIASCO DU GANG DES MABOULES DE L'exUN A PARIS

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Avec la rencontre Ali Hollande, la guerre de l’intox a franchi un nouveau palier. Pour masquer tant bien que mal l’humiliation de la bande à AMO à Paris, les écrivassiers va-en-guerre militant pour « la cause » (tu parles !) font vainement feu de tout bois dans leurs tentatives de minimiser l’étendue de l’amateurisme des aigris de l’ex UN.

Comme des moineaux, ils se sont précipités à Paris quand bien même ils savaient pertinemment que personne, pas même le plus petit conseiller de Hollande ne les a invités.

Mais comme il aurait été mal vu par les militants de rester à Elbève, il fallait donc faire semblant d’être sur place, là où les choses se passent. Du coup, la supercherie se révèle un peu plus facile à monter.

D’où, les yeux dans les yeux, Harley n’a pas hésité une seule seconde à brandir une obscure photo où l’on aperçoit la bande à AMO, sourires jaune carnassier qui braquent littéralement un conseiller stagiaire qui venait de leur recevoir dans les cuisines !

Voilà à quoi ont été réduits les comploteurs comme AMO, les grands voleurs qui n’en ont jamais assez comme Myboto et les autres petits rancuniers. Ca c’est pour le côté jardin qui est caché aux militants.

Quant au côté cour, lisez et régalez-vous... Cinquante billets d’avion payés par Myboto pour le convoyage vers Paris des activistes de la « Société civile véritable », et pas un seul syndicaliste présent à la « monstrueuse manifestation » qu’avaient pourtant annoncée leurs alliés de « Survie » et « Sherpa ».

Le décompte n’est pas de « La Griffe » ou de « La Légion étrangère » du Palais, mais plutôt d’un journal français : « Les Dernières Nouvelles d’Alsace », qui ne saurait être soupçonné d’être « financé par le Palais » ou encore de faire partie de « la presse du troisième étage ».

Dans sa version électronique, « L’Alsace.fr » nous apprend que la grande manif d’AMO n’a rassemblé, en tout et pour tout qu'en fait une trentaine de personnes, la préfecture de police de Paris a recensé vingt-huit (28) personnes.

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Avec ce détail de taille : 27 Blancs, et un seul noireau : Georges Mpaga.

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Et si Mba Obame lui-même a évité de faire le déplacement, cela n’a rien à avoir avec son état de santé. Il se trouve seulement que son visa ayant expiré depuis deux mois, la moindre interpellation aurait eu pour conséquence immédiate, l’expulsion…

Mais ce fiasco, n’a pas été le seul. Bien avant l’arrivée de Zeus, AMO, Eyeghe Ndong et Myboto ont organisé une conférence débat.

Seuls six (6) étudiants ont répondu à l’appel, le reste de l’assistance n’étant composé que de syndicalistes importés de Libreville.

Et c’est le moment choisi par les caméramans de « Malabo 24 » pour commencer à filmer l’assistance. Grand brouhaha et camouflage général des visagesà l’aide de pans des redingotes.

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Les esprits s’échauffent et la caméra du cadreur est brutalement arrachée par des syndicalistes hurlant au guet-apens. AMO est directement tancé de les avoir entraîné dans un piège. Ambiance !

Un : « Vous ne nous avez jamais dit que nous serions filmés ».

Deux : « Vous allez nous donner quoi quand on va nous enlever du travail ? » Trois : « Si on nous voit à la télé, en tout cas, vous allez voir ça ». Et toc !

C’est alors qu’AMO prend la parole pour rassurer les uns et les autres qu’il a le contrôle total des journalistes et que ces images ne seront pas diffusées.

Mais ces paroles ne rassurent personne et la grogne commence à monter. Pour faire diversion, on prend la décision d’anticiper le service du cocktail pourtant prévu qu’à la fin de la conférence.

Ce sont les coupes de champagne et les petits fours qui ont finalement réussi à divertir la colère des syndicalistes.

Promettre aux syndicalistes qu’on a le pouvoir de censurer un média international à l’indépendance mondialement reconnue, AMO est unique.

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Source : LE GRI-GRI DU LUNDI 9 JUILLET 2012 

 

https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

 

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