03/08/2012

Gabon: Un Guinéen,ovono lambert, bastonné admirablement par des jeunes ...

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De plus en plus esseulé dans sa tour d’ivoire, l'hooligan MBA OBAME André Jean Claude n’a aujourd’hui plus confiance qu’en une seule personne : OVONO Petit Lambert dit PLO.

Certains comprendront aisément les mauvais choix politique d’AMO à la lumière du point commun favori qui le lie à cet homme : Réussir l'incroyable pari de Faire voir la lune en plein Midi aux Gabonais crédules !

L’histoire étonnante de ce tranche-montagne condamné à vie par son prénom d’emprunt, commence un matin de 1956 (année officielle de sa naissance) à Ebebiyin, un village situé en pleine forêt de la Guinée-Equatoriale.

C’est en ces lieux que notre ami à l’identité gabonaise usurpée, naquit sous le véritable nom de : BALTAZAR ISIDORO MANGUE EKORO.

Menacés par la dictature sanguinaire de l’ex Président de la Guinée Equatoriale, Macias NGUEMA BIYOGO qui régnait en maître dans le pays, le petit BALTAZAR prendra la fuite avec ses parents durant une nuit glaciale aussi courte que sa taille en 1969, pataugeant entre les lianes peu rassurantes de la forêt équatoriale où seuls les moustiques et la peur d’une mauvaise rencontre leur tenaient compagnie.

Une seule destination hantait leur pensée et guidait leur pas : BITAM, ville de l’espoir, dans le Nord du Gabon à quelques encablures de son enfer natal. Les Bitamois offriront à Baltazar et sa famille l’hospitalité et même la nationalité gabonaise.

C’est ainsi qu’inspirée de sa petite taille, la famille d’accueil du petit équato lui fera grâce d’un nom d’emprunt: OVONO petit Lambert.

Mais entre 1969 à nos jours, que s’est-il passé pour que le petit Baltazar devenu Lambert daigne oublier d’où il vient et qui l’a fait " roitelet " quelques années seulement après sa scolarité hypothétique et pathétique au CUSPOD ?

Ce pisse-froid, prêt à tout pour effleurer les cercles du pouvoir, demeure malgré son passé sulfureux rongé par certains complexes. En effet, dans l’ex parti de son gourou du moment, il est l’un des rares à n’avoir jamais connu la gloire du temps où tout le monde était à la soupe.

Et ce complexe n’a malheureusement point contribué à améliorer l’image d’un besogneux au charisme comparable à celui d’une serpillère mouillée, une sorte de gueux revêtu par un coup de hasard, lorsque dans ses largesses parfois incomprises, le défunt Président Omar BONGO ONDIMBA fera de lui un éphémère Conseiller à la Présidence de la République sans l’avoir jamais rencontré, ni même lui avoir fait un signe de la main à travers les vitres de son bureau.

C’est d’ailleurs ALI BONGO ONDIMBA dès le début de son Magistère Présidentiel et dans sa chasse aux fumiers et fantômes de la Fonction Publique, qui mettra fin à cette supercherie bien huilée, grâce à laquelle l’équato devenu gabonais opèrera plusieurs années durant, les caisses du contribuable gabonais avec résidence à Paris.

Fort de ce palmarès pour le moins « modeste », petit BALTAZAR fait désormais figure de profane. Mais c’est sans compter sur sa volonté de devenir ce grand « Dircab » qui règlera à chacun ses comptes, qui aura la main mise sur la gestion politique du pays, qui règnera en maitre à la Présidence de la République, sa Présidence de la République à lui, celle de ses rêves mal colorés, celles de ses fantasmes illusoires.

On comprend ainsi la fixation de l’homme sur l’actuel Directeur de Cabinet du Chef de l’Etat, jusqu’à lui prêter des pouvoirs et des actions virtuels fantasmagoriques !

Sans faire de psychologie, on pourrait alors imaginer aisément pourquoi petit BALTAZAR ne parvient guère à contenir ses propres désirs. Car même si l’on passait un imbécile au pilon comme on broie des grains dans un mortier, on n’arriverait pas à en extraire sa bêtise.

Telle est aujourd’hui la caractéristique maîtresse de ce Clampin venu des tréfonds de la Guinée Equatoriale et qui met son outrecuidance au service des ténèbres pour vaticiner tel un charlatan, contre les intelligences de notre pays.

Mais attention, l’ambition de petit BALTAZAR n’est pas uniquement celle de quelqu’un qui, ne trouvant pas sa place dans la politique actuelle a décidé de se lancer dans le mercantilisme de mauvais aloi en faisant un usage satané de l’Obstruction.

Il s’agit plutôt de quelqu’un dont le plan de vie repose sur une multitude de suppositions farfelues et de scénarios aussi invraisemblables les uns que les autres. On peut même dire dans son cas, que ce n’est plus l’espoir qui fait vivre mais les hallucinations qui font survivre.

Car dans les chimères de ce futur « DC » entendez par là « Doyen des Chômeurs », son idole fera de lui l’équato-guinéen le plus célèbre du Gabon. Ainsi, il ne sera plus question pour lui d’émettre des chèques sans provision mais plutôt de régler en cash !

Cash comme la brutalité de la réalité chaque matin à son réveil. A tel point qu’il ne dort plus, il consacre sa vie à baver et discourir des fiançailles de ses grands-mères, contre Ali BONGO ONDIMBA lorsqu’il ne s’en prend pas à son Directeur de Cabinet Maixent ACCROMBESSI, dans le seul but d’une part, de convaincre son mentor(AMOral) de la sincérité de son engagement, et d’autre part d’attirer l’attention du Chef de l’Etat.

En effet, les demandes d’audience du petit BALTAZAR (dont la dernière en date du 5 Juillet 2012 à l’hôtel Georges V à Paris), restent jusqu’àlors sans suite, telle une tentative de braquage à arme blanche et visage découvert au siège de la Banque Mondiale (Imaginez le scénario de son échec) !

On pourrait d’ailleurs se poser la question de savoir ce que faisait notre ami tous les matins de la mi-juillet à Août 2009 au QG de campagne du Candidat Ali BONGO ONDIMBA à la Sablière ?

Malheureusement pour lui, personne ne voulait le recevoir à tel point que même le chien du gardien avait reçu pour consigne de le pourchasser et le mordre à chacune de ses apparitions devant le QG.

Aujourd’hui malgré la misère dans laquelle il survit en France, on s’interroge sur la question de savoir pourquoi petit BALTAZAR ne rentrerait-il pas au Gabon ?

D’après nos informations, l’impétrant serait sous le coup d’une condamnation par le Tribunal de Libreville pour avoir émis des chèques sans provision.

Sincèrement connaissant la magnanimité du Chef de l’Etat, et le manque de personne qualifiée en cirage de pompe au PDG il ne serait pas étonnant qu’un geste soit fait en la faveur de ce « Gabonais » économiquement faible, politiquement inexistant, et mentalement rabougri par une anesthésie générale de son intelligence, digne des plus grands hôpitaux indiens.

Monsieur BALTAZAR ISIDORO MANGUE EKORO "alias" Petit Lambert OVONO, vous vous reconnaîtrez certainement dans cette maxime inspirée de la Sainte Bible selon laquelle: « Le Chien retourne à ce qu’il a vomi et le Sot recommence ses Bêtises », alors cher petit BALTAZAR, préfériez-vous « retourner à ce que vous avez vomi », ou « recommencer vos Bêtises » ? La réponse probablement dans votre prochain torchon médiatique. Respectueusement Vôtre.

 

Auteur : La Jeune Garde


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