07/09/2012

Gabon: Vincent Hugeux , ce néo-nazi journaliste de caniveaux

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Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent aisément, d'après Nicolas Boileau. Certains malheureusement peinent encore à rentrer dans les rangs de cette illustre assertion.

C’est le cas de ce barbouilleur nommé Vincent Hugeux , débarqué au journal français l'Express par on ne sait quel parachute et dont la plume laisse transparaître un malaise existentiel lié au refus insoucieux de reconnaître que l'Afrique peut avoir des dirigeants capables de décider pour elle et de construire son avenir avec sérénité.

Animé par une inspiration colonialiste et nostalgique de l'époque où l'Africain était réduit à sa simple fonction de servitude, en l’occurrence sous l’épée du roi France, ce tartempion de la caste journalistique française n'a cessé de proférer des propos rébarbatifs en nourrissant une haine particulièrement exacerbée envers le Gabon et ses institutions politiques.

C'est donc sans aucune vergogne que le pitoyable journaleux au parcours aussi mystérieux que les raisons de sa présence au sein de l'équipe des rédacteurs de l'Express, s’est octroyé la prérogative de censeur du processus démocratique au Gabon, comme si les souvenirs des souffrances causées par les méfaits de la colonisation étaient insuffisants pour le commun des mortels gabonais, au point qu'il faille qu'un régent de cette époque traumatisante nous le rappelle par le simple effet de sa plume irrévérencieuse.

Pourtant, faits étonnants, les seuls souvenirs que les gabonais ont pu garder de ce gougnafier, remontent en effet à l’élection présidentielle gabonaise de 2005.

La scène se déroule à l'hôtel Atlantique à l'époque, jour du lancement de la campagne du défunt président Omar Bongo Ondimba,où l’intéressé fut surpris dans une posture assez étonnante, se disputant des petits fours et des bouchers de bédoumes avec les agents de sécurité postés juste à l'entrée du salon VIP , dont l’accès venait de lui être refusé. Econduit manu militari des lieux quelques minutes après son inconvenante conduite et indiscipline, Vincent Hugeux quittera les lieux non sans proférer en guise de menaces, devant une assistance médusée la phrase suivante: « Vous entendrez parler de moi bientôt »…

Une phrase qui sera non seulement suivie d'effet au regard de la fatwa médiatique, outrancière et ordurière que l'impétueux décidera de lancer contre le Gabon dans les médias français, et reprise quelques années plus tard par un homme politique contemporain… Suivez notre regard !

A la lumière de ce qui précède, tout porte à croire que certains néo-esclavagistes, réconfortés par les affres autrefois portés à l’égard de l’Afrique, témoignent d’une époque dont ils sont encore cruellement mélancoliques et n’arrivent donc pas à se consoler du fait d’avoir perdu les rênes bonapartistes sur le continent de Leopold Sedar Senghor, d'Amani Diori, d'Habib Bourguiba, de Woleu Soinka, de Nelson Mandéla, d'Amadou Kourouma, d'Omar Bongo Ondimba ... et bien d'autres.

Il est triste de constater à quel point l'homme est capable de se couvrir de ridicule par des positions injustifiées frôlant parfois l’hérésie. C’est d’ailleurs ce qui amena un helléniste à considérer autrefois qu'en toute chose il faut raison-garder.

Tout ceci pour dire qu'il n'est nullement nécessaire d'ouvrir la bouche lorsque rien d'intéressant, de constructif et de positif ne filtre de nos méninges.

Ces propos, martelés à l’aide d’une aigreur indélébile inhabituelle et d'une profonde frustration, naissent des nombreux articles pondus par la misérable plume nommée Vincent HUGEUX, ce gueux sans honneur qui déshonore la corporation des journalistes, en publiant des torchons dignes du dernier des australopithèques.

N'ayant aucune appréhension de cet énergumène terroriste de la plume, et après avoir parcouru de manière hâtive quelques articles déployés par ci et là, le constat est sans appel: Nous avons réellement affaire à un imposteur.

Il n'est non seulement pas doué, pire, il passe la plus grande partie de son temps à réchauffer et paraphraser ses confrères lorsqu’il ne plagie pas sur des revues de presse toute rédigées.

Vous l’aurez bien compris, Vincent Hugeux est un gratte-papier qui semble nourrir le regret de n’être pas né gabonais, donc habité et motivé par la haine qui, lors de nombreux colloques ou séminaires sur l'Afrique passe pour en être expert, mais en quelle matière en particulier ? Dieu seul sait !

Sans cette Afrique, notre Afrique, monsieur le Hideux n'existerait point, et pourtant il ne rate aucune occasion de là meurtrir. (D’ailleurs on se souviendra d’un incident fâcheux à l’I.R.I, où le bon monsieur a bien failli se faire lyncher en début d’année 2012 par des fonctionnaires africains visiblement décidés à lui refaire le portrait en raison de sa condescendante arrogance envers le continent noir).

Sommes toutes, la vérité est que Vincent Hugeux ne supporte pas de nous savoir indépendants, tant il aurait aimé tenir une cravache pour nous avoir à sa merci, malheureusement pour lui et heureusement pour nous Africains et Gabonais en particulier ! Il pleure de ne plus pouvoir exercer son talent de journaleux « journalesque » au Gabon depuis 2009 (élection présidentielle anticipée) et en 2012 à l’occasion du New York Forum Africa).

Comme quoi, « dis-moi qui tu hantes, et je te dirai qui tu es… » Aucune analyse, aucune critique dans tout ce que débite l’impétrant n'est fondée, son jugement est subversif et n'est le reflet d'aucune réalité.

Cette perception peu prosaïque que de tels individus déploient pour feindre de connaître l'Afrique alors qu'ils n’en savent rien, tout en continuant d'entretenir une vision coloniale d'une Afrique sous assistanat chronique, mérite que de temps en temps, les marabouts aux visages pâles d’une telle pensée, soient rappelés à l’ordre.

Aussi, doivent-ils savoir que plus rien ne sera comme avant, car l’Afrique s'est résolument tourné vers le progrès et ne reculera plus. Nous sommes obstinés et nous y arriverons.

D’ailleurs à ce titre, le Gabon montre la voie et la Vision du Président Ali BONGO ONDIMBA laisse très peu d’africains à ce jour, indifférents ou insensibles. Notre cher continent n'a pas besoin que de tels remparts viennent prédire son avenir alors que le devenir de leurs pays respectifs semble tumultueux et instable, croulant entre dettes explosives et crise monétaire.

Tout le monde s'accorde d’ailleurs à reconnaître que nous sommes le Futur de la planète et que c'est l'Afrique qui détient la solution aux différentes crises que connait aujourd’hui le monde sur de nombreux plans: Economique, Financier, Ecologique, et même culturel ou social !

Que Monsieur Hideux apprenne à ses dépens qu’à l'avenir, les pilotages à vue depuis les conforts des rédactions parisiennes sont à proscrire. Qu’il se fasse l’échos d’un journalisme d’initiative, d’investigation et d’équilibre dans l’information de l’opinion.


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