07/09/2012
Gabon: Eyeghé ndong se fait molester correctement par un mari cocu
Eyéghé Ndong, un « voleur de femme »
Selon nos sources, « En fait, le mari trompé soupçonnait son épouse d’adultère depuis quelques temps, vu la fréquentation assidue de celle-ci aussi bien au domicile de l’ancien Premier ministre que dans leur fief pol i t ique de Nkembo.» Comme dit un adage universel, le voleur a 99 jours, le centième étant celui du propriétaire.
Selon le Code de procédure pénal, il s’agit ni plus ni moins d’un flagrant délit d’adultère (entendu qu’on peut établir un lien de cause à effet. Dans le cas présent, on peut aller de la table au lit ou du lit à la table.)
C’est ainsi que fort des informations en sa possession, le 24 août 2012, le mari débarque au domicile conjugal du quartier Charbonnages. Etant chez lui, il ouvre la porte et se dirige à la salle de séjour. Là, i l tombe des nus : Jean Eyeghé Ndong est crânement installé à table, mangeant goulûment de la nourriture provenant du congélateur du mari cocufié.
Et comme il fallait s’y attendre, le ton monte entre les deux mâles. Puis, le moment tant redouté par l’ancien Premier ministre survient. Le cocufié sent monter la moutarde car l’enfant de Nkembo use et abuse de la « bouche ». Il se croyait en plein meeting à sa permanence politique de Nkembo-SOTEGA là où il lui est facile de jeter l’opprobre sur les autorités publiques.
Voulant se passer pour le coq de la bassecour, le « propriétaire » de la nana a sauté sur lui. En probon Bantu, vous devinez la suite…
Avec une férocité insoupçonnée le mari, blessé dans son amour (au propre et au f iguré) a pl ié les deux poings. Devenu un boxeur circonstanciel des JO, il a distribué une sér ie de gnons d’une précision professionnelle au « voleur de femme » (sic). Un voleur, par définition, n’a pas d’arguments dans le feu de l’action.
Alors, on a assisté à une scène incroyable : celui que les supporters de l’ex- UN appellent le « fam de Nkembo » , entendez « l’homme fort » du quartier, est resté groggy sous l’assaut. Ne vous étonnez pas, mesdames et messieurs ! L’ex-PM est un homme de « 60 ans passés » (dixi t Nzouba Ndama). Un péché insurmontable.
Au quartier Charbonnages, où la rumeur a vite fait le tour des maisons, des badauds se sont mis à ironiser sur ces gens qui prétendent changer le Gabon et lui permettre de se donner « un nouveau départ », mais qui brillent par une délinquance sexuelle... sénile.
Si les gnons n’ont pas endommagé son épiderme, ce week- end, Eyeghe Ndong, en « fam », va organiser un point de presse pour insulter les « menteurs qui lui collent une histoire imaginaire. » Mais ça va se savoir. Fatalement !
Ce scandale, à fortes effluves sexuelles, aurait certainement mérité de passer sous silence. Malheureusement, la colère maritale est telle que l’affaire a fini par transpirer.
Mettant désormais sous pression des notables comme Albert Yangari et Jules Mbah qui , dit-on, avaient pris une part importante dans la constitution du couple que vient définitivement de briser le dandy de Nkembo.
Mais qu’il se rassure : selon des indiscrétions, des parents du cocu auraient décidé de venger le pauvre selon le principe de la loi du talion. Danger, pour les filles, les nièces, les cousines, les autres bonamies de l’ancien PM !
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