07/05/2012

" Survie ", UNE MINABLE ASSOCIATION , FAIT PAR DES GUEUX .

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Quand le Nom du Gabon Sert de " Survie " Financière à Certaines Nébuleuses Françaises: Décryptage

Au moment où la France choisit d'écrire une nouvelle page de son histoire politique par l'élection de François Hollande comme Président de la République, au moment où le Président de la République Gabonaise Ali BONGO ONDIMBA poursuit la vague des réformes et de chantiers attendus par les populations gabonaises, d'autres choisissent de surfer sur le registre de la peur, de la diffamation et de l'obstruction permanente.

Force est de constater en effet, que notre pays le Gabon compte en son sein, quelques veaux, dont le destin, entraîné tout droit à l'abatage par des bergers du ridicule, est emprisonné par un prisme inversé. La motivation politique et l'envie de diriger une nation ne peut conduire à rien de bon s'il n'est que haine, calomnie et vengeance.

Comment concevoir que ceux-là même qui s'autoproclament défenseurs devant l'éternel de la Démocratie, soient les mêmes qui n'en n'acceptent les règles et font de leurs écrits moribonds, de leurs torchons politiques et autres gesticulations stériles, des exemples même de ce qu'ils reprochent au Chef de l'Etat Ali BONGO ONDIMBA ?

En effet, la posture de la victime est tellement une habitude chez ces compatriotes de mauvais aloi, qu'ils en arrivent à inventer les maux tout en en ressentant la douleur. Des malades imaginaires, que disons-nous, des politiciens imaginaires, des personnes qui n'ont aucun respect ni estime pour la gestion de la chose publique, des gueux revêtus, dont la méconnaissance totale de toute forme de responsabilité les plongent depuis le 16 Août 2009 dans la dérive injurieuse contre le Président de la République, pensant ne jamais être lu.

C'est donc tapis dans l'ombre que ces pigistes du dimanche se sont découverts des vocations politiques, dans l'espoir de passer du statut d'inconnus, de rejetés et même de marginaux pour ne pas dire schizophrène, à celui de Martyr (Ne riez pas, c'est sérieux).

Mais martyr de qui ? Martyr pour tous ces gens qui, ayant trop longtemps vécu dans l'opulence, craché sur le Peuple Gabonais et rêvé d'un pouvoir éternel, sont aujourd'hui obligés de mendier une virginité politique à ce même peuple. Ce peuple qui ne se reconnait pas dans leurs propos orduriers, ce peuple qui, dès que l'occasion lui est donnée échange, parle, congratule et pleure avec son Président Ali BONGO ONDIMBA.

Oui messieurs, n'en déplaisent à vos écrits, la répression, la dictature et les faits que vous dénoncez n'ont existé que dans vos fantasmes de voir un soulèvement, porter vos maitres-à-penser au pouvoir! Vos rêves d'un Gabon qui stagne, qui perd et qui encore plus qu'autre fois se meurt un peu plus après chacun de vos battements de cœur, ne sont plus que des vues de l'esprit. La perte de vos soi-disant acquis vous ayant rendu encore plus cynique qu'avant.

Mais ouvrez donc les yeux! Dans le Gabon d'aujourd'hui, artisan de demain, nous avons des objectifs clairs de développement, une méthode pour y arriver et des actions concrètes pour en poser les jalons. Les occasions qui s'enchainent devraient pourtant vous permettre de vous rendre à l'évidence que le Gabon a véritablement changé de cap, mais que nenni!

Sans remonter jusqu'à la Coupe d'Afrique des Nations 2012 que tout le monde a encore en mémoire que vous regardiez tout ébahis cachés derrières vos écrans il y'a quelques mois, et dont un rapport exhaustif nous démontre encore une fois la transparence qui prévaut aujourd'hui au Gabon et portée par une reconnaissance à l'échelle internationale.

Voici une nouvelle leçon de la grandeur de ce nouveau Gabon aspirant à l'Emergence qui vient de vous être donnée par la tropicale Amissa Bongo. Organisation sans failles, étapes sur des tronçons de routes, rappelons-le, empruntés quotidiennement par tous les gabonais et d'une qualité qui font de cette compétition une référence aujourd'hui en matière de cyclisme africain et international.

Retour au calme dans l'Université Gabonaise grâce, non pas à des solutions de rafistolage politique mais par une prise à bras le corps des problèmes de fond qui s'est traduit par le récent Conseil Présidentiel sur l'Éducation présidé par le Chef de l'État Himself, impulsion d'une dynamique de compétitivité, de compétence et de cohérence au sein de l'Administration Publique.

Mais non, vous semblez non préoccupés par cela, ce qui vous intéresse en revanche, ce sont les mallettes. Voilà ce qui fait battre vos cœurs, voilà où se trouve votre vrai raison de vivre ! Dictatures, tortures, répressions…, ces mots sont ceux que connaissent vos comptes bancaires ! Mais surtout pas le peuple gabonais ! Vos débats qui restent toujours au ras des pâquerettes sont la raison même de votre inertie. Le kongossa politique, les rumeurs, les affaires, les dossiers, voilà ce à quoi se résument vos passions.

Mais, chers messieurs, sachez qu'ici au Gabon, loin de vos engagements dans des grandes organisations internationales voulant leur part du gâteau africain, symbole du néocolonialisme dans lequel vous n'êtes que des pions, loin de vos démocraties dans lesquels seuls vous avez raison et où la contradiction se résume en injures et diffamation, il y'a un Gabon qui bouge et qui avance à pas de géant. Ce navire dont le capitaine est le Président Ali BONGO ONDIMBA, ne se laissera ni attaquer, ni détourner. Alors allez dire à vos seigneurs et à vos ONG de nous laisser avancer.

Qui se Cache Derrière l'Association Française " Survie " ?

Au juste, l'Association « Survie », parlons-en ! Cette organisation obscure est à l'image de son fondateur aujourd'hui décédé, François Xavier Verschave, dont les pratiques de son vivant et fidèlement reprises par ses successeurs, furent de nature à donner froid dans le dos.

Figurez-vous que ce fameux François-Xavier Verschave écrivait ses livres à partir de la presse. Il est assez peu allé en Afrique, ce qui, d'après un journaliste du Monde, ne l'intéressait pas. Le journal Le Monde du 2-3 juillet 2005, notera par exemple qu'il « découpait les articles glanés à droite et à gauche, écoutait ceux qui rendaient visite à l'association et, sans trop s'embarrasser de vérification, faisait de cette matière première la pâte de ses ouvrages ».

François-Xavier Verschave travailla comme coopérant français en Algérie à la « Direction des transports terrestres ». Il travailla avec « un duo peu banal » : Djelloul Benlhadj, énarque algérien du FLN, et un pied noir, Jacques Lengrand, qui avait combattu le FLN et fut dépossédé de son héritage constitué d'une des principales entreprises de transport algériens (Les Autocars Blidéens). Ces deux personnalités « ennemies » avaient décidé d'unir leurs efforts pour « reconstruire » les transports algériens. (Imaginez donc l'étrangeté du personnage, Paix à son âme).

A la lumière de ce qui précède, on peut en conclure qu'en s'acharnant régulièrement contre le Gabon et son Président de la République, la nébuleuse gauchiste appelée Survie qui s'octroie aujourd'hui la liberté d'insulter le Gabon, est définitivement entrée dans la catégorie des ONG dont Hubert Védrine, ministre des Affaires étrangères du gouvernement Jospin (1997-2002), résume ainsi le discours : combiné avec celui des médias, il vise « à décrédibiliser les gouvernements, à suspecter les États et à idéaliser la société civile dont les ONG seraient l'expression ( plus que le corps électoral! )…

Dans un monde de plus en plus privé de repères, où les idéologies ne sont plus guère à la mode, Survie a réussi à assurer la fortune d'un concept simplificateur dont la principale "vertu" est d'être immédiatement intelligible, de produire des analyses « radicales » qui semblent aller de soi. Une vision négative de l'Afrique comme principal outil de sa « Survie » financière.

Cependant, les Gabonais tiennent à lui dire qu'ils ne sont ni des handicapés mentaux, ni des incapables majeurs, ni des moutons de panurge, encore moins des vassaux au préjudice desquels "Survie" exercerait une assistance sociale ou morale ! Qu'elle commence par prouver la probité morale de ses membres et à nettoyer le paillasson de sa porte!

Auteur: La Jeune Garde Du Gabon Émergent !