13/11/2012

Gabon: 5ème Conseil d`Orientation de l`Agence Nationale des Grands Travaux (ANGT)

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Libreville - 13 Novembre 2012 . La 5eme séance du Conseil d`Orientation de l`ANGT s`est tenue ce 13 novembre 2012 sous la présidence du Chef de l`Etat, Ali Bongo Ondimba en présence du Premier Ministre Raymond Ndong Sima et de plusieurs Ministres, de Membres du Cabinet Présidentiel  et des Directeurs généraux des départements budgétaires et financiers.

 

Le Président Ali Bongo Ondimba a exprimé sa satisfaction pour le travail abattu en deux ans depuis la création de cet outil indispensable à la mise en œuvre du Gabon Emergent et félicité le Directeur General Henri OHAYON et toute son équipe.

 

La Réunion de bilan et d`orientation a été également l`occasion de mesurer l`impact et la méthodologie structurante bâtie par l`ANGT, maitre d`ouvrage délégué pour les grands travaux par leurs montants et leur complicité pour tous les ministères concernés.

 

Le Conseil a permis a travers le rapport détaillé qui lui a été présenté d`apprécier l`importance de cet outil pour pouvoir mener à bien les chantiers au meilleur coût et selon les règles de l`art avec une prise en compte dès le départ de toutes les dimensions transversales

 

A ce titre l`ANGT a aidé à la réalisation d`une série d`études nécessaires à bâtir les cahiers des charges et à lancer les études, contribuant par une telle démarche et de tels investissements a la baisse des coûts.

 

L`expérience accumulée en deux ans a démontré la nécessite d`une plus grande Mobilité administrative avec possibilité d`un va et vient entre l`ANGT et les Administrations pour davantage de fluidité, de cohérence, d`efficacité et de résultats avec un ensemble de projets majeurs dans des secteurs clés de développement :

 

-          logement et habitat,

-          santé,

-          éducation : 11750 places de plus, nouvelles constructions, rénovation

-          routes

-          eau et assainissement

 

Apres l`énorme défi  tenu de l`organisation de la CAN avec ses effets induits sur plusieurs secteurs, 2012 aura été une année tremplin avec un accent sur la démarche qualité et la sécurité. L`instauration d`une boite à outils se généralise et les procédures (contractualisation, bons de commande,  suivi, contrôle et réception des travaux) s`adaptent et s`enrichissent du constat et du diagnostic à partir des réalités du terrain.

 

Les bureaux de contrôle et laboratoires agréés jouent leur rôle plus et mieux avec une présence permanente sur les sites des projets.

 

Au niveau de l`impact des petits projets, conformément a la vision du Chef de l`Etat de promotion de l`entreprenariat,  les PME locales sont favorisées. Aujourd`hui 149 d`entre elles sont utilisées par l`ANGT, grandissent, poussent et s`améliorent fortement avec plus de 6000 ouvriers en œuvre sur les chantiers.

 

Le Conseil a noté la nécessité d`accélérer le processus de paiement  tout en respectant les procédures en vigueur avec le support déjà réel et la synergie de la Direction Générale du Budget, de la Direction Générale des Marchés Publics et de la Trésorerie Payeur General.

 

Le Conseil a fait le point sur les divers projets sectoriels et sur les projets transversaux comme le Champ triomphal (Port Mole), tous prioritaires car de grande utilité publique.

 

Au moment où Mr Jim DUTTON prend le relais d`Henri OHAYON, les perspectives sont rassurantes et encourageantes car l`ANGT devrait atteindre sa vitesse de croisière en 2013 notamment en matière de logements, des routes et de nouvelles sources de croissance.

 

La finalité restera, comme le Président Ali Bongo Ondimba l`a rappelé fort opportunément l`efficacité au delà des intérêts particuliers, avec davantage de coopération et de partenariat, de croissance et de création d`emplois.

 

Le Premier Ministre Raymond Ndong Sima a exprimé son engagement et sa grande disponibilité à travailler avec l`ANGT et ses dirigeants en plus grande synergie pour un travail dans l`intérêt collectif. Cela passera par des réunions formelles et régulières pour capitaliser sur les résultats et les amplifier.

 

 

Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

·le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

·le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

·le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

A PROPOS DE L`ANGT

Instituée par l’Ordonnance 004/PR/2010 du 15 Février 2010, l’Agence sera au cœur de la programmation, de l’identification et de la maitrise d’ouvrage des grands projets et travaux publics classés prioritaires par le Chef de l’Etat.

 

L`objectif est d`amorcer une nouvelle phase s’amorce à divers niveaux pour accélérer le processus d’aménagement global du territoire, de conception, suivi, exécution et

 

Le Gabon s’est attaché récemment le partenariat et l’expertise de Bechtel avec La signature  d’un important accord d’assistance le 2 septembre 2010.

Bechtel est en effet la première entreprise américaine de travaux publics. Fondée  depuis 112 ans, elle emploie plus de 40 000 personnes dans près de cinquante pays et s’est distinguée dans la construction de plusieurs autres grandes réalisations comme le tunnel sous la Manche, la ville de Jubail  ou le Kingdom Center en Arabie saoudite, l'aéroport international de Hong Kong ou encore la reconstruction de l'infrastructure civile de l'Irak financée par l'agence des États-Unis pour le développement international (USAID).

Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


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05/11/2012

Gabon: Les chantiers de l’émergence ont tués l'opposition

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Depuis quelque temps, pour masquer leur honte de n’avoir pas pu faire oeuvre utile au profit du développement du pays et face aux efforts que ne cesse de déployer le président Ali Bongo Ondimba pour réaliser les grands projets destinés à moderniser et à aménager harmonieusement le territoire national, les leaders de l’opposition font plutôt grise mine.

Cela, en marmonnant que ces projets ont été programmés par lesdits opposants lors qu’ils étaient au gouvernement ou à de hauts postes de responsabilité publique.

Une hérésie lorsqu’on se souviendra toujours que ces leaders mentent grossièrement et tentent de tromper le peuple gabonais qui n’est nullement dupe.

Car comme l’affirment certains observateurs de la scène politique nationale, « non seulement certains de ces grands chantiers en cours ont été conçus et projeté, à l’époque, par feu le président Omar Bongo Ondimba, mais en plus ce sont ces actuels leaders de l’opposition qui se sont avérés incapables de les réaliser. »

A cet égard ce ne sont pas des gens de l’acabit de MM. Zacharie Myboto, André Mba Obame, Jean Eyéghé Ndong, Casimir Oyé Mba, Pierre Claver Maganga Moussavou, Jules Aristide Bourdès Ogouliguendé et bien d’autres de leurs compères de l’Union des forces du changement (UFC) qui nous démentiront.

Du fait que, pour la plupart d’entre eux, ils ont été aux avant-postes des départements ministériels juteux tels que les Travaux publics, l’intérieur, la Planification, la Fonction publique ou l’Education nationale.

Et cela, pendant que MM. Oyé Mba et Eyéghé Ndong étaient même arrivés jusqu’au rang de Premier ministre du défunt président Omar Bongo Ondimba et chef du gouvernement.

Aussi, en ces temps où ils étaient si puissamment installés aux commandes des affaires de l’Etat, c’est à se demander « pourquoi n’ont-ils pas pu mettre en oeuvre et mener à terme la réalisation des actuels chantiers repris efficacement par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. »

De plus, étant, à l’époque et pour la plupart. Tout-puissants ministres d’Etat pour les uns, Premiers ministres pour d’autres et même beaux-parents du défunt président pour certains, l’opinion ne cesse de se poser des questions sur « ce que ces supposés néo-leaders de l’opposition et ex-hiérarques de l’Etat ont pu faire des fonds publics dégagés jadis pour la réalisation de toutes les infrastructures sanitaires, scolaires, sportives, routières, aéroportuaires, portuaires, ferroviaires, énergétiques, hydrauliques, de communication et des télécommunications programmées pour la modernisation du pays. »

Sans oublier que, dans ce faux débat que veulent entretenir ces néo-opposants, l’on comprend mal pourquoi ceux-ci n’édifient pas les citoyens gabonais sur la destination prise par les différents fonds qu’allouait annuellement l’Etat pour la réalisation des diverses infrastructures de développement inscrites dans le cadre de la célébration des « fêtes tournantes de l’Indépendance ».

Lesquelles infrastructures devaient, selon feu le président Omar Bongo Ondimba l’initiateur de ces fêtes tournantes du « 17 août », « promouvoir les meilleures conditions d’embellissement et de modernisation de tous les centres urbains du pays ainsi que d’aménagement harmonieux global de l’ensemble du territoire national. »

Le tout assorti de la consolidation des bases d’un développement intégral, équilibré et durable de la totalité des provinces, départements et communes que compte le Gabon.

Aussi, c’est donc toute honte bue que les néo-opposants Myboto, Mba Obame, Eyéghé Ndong, Oyé Mba, Bourdès Ogouliguendé, Maganga Moussavou et consorts assistent à la reprise effective desdits projets par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Lequel les met efficacement en oeuvre, fait avancer les travaux sur les chantiers et les réalise au fil des temps.

L’actuel président de la République parvenant ainsi à réussir brillamment là où les Myboto et autres ex-hiérarques de l’Etat avaient visiblement et lamentablement échoué. Alors, que ceux-ci sont sans vouloir tricher avec la vérité des faits que le peuple gabonais connaît très bien.

En tout état de cause, leurs grossiers mensonges et vaines tentatives de s’approprier de manière éhontée une supposée paternité des anciens projets, initiés par feu Omar Bongo Ondimba et réalisés actuellement par l'actuel présiden t Ali Bongo Ondimba ne les épargneront nullement du mépris des Gabonais.

De même qu’avec l’issue que prendront la fin et la publication des résultats des différents audits commis sur la gestion antérieure des grands chantiers du Gabon, les sieurs Myboto, Eyéghé Ndong, Mba Obame, Oyé Mba et bien d’autres qui étaient aux affaires, ne manqueront pas de répondre de leurs actes peu élogieux et posés à l’époque.

Toujours est-il qu’ils ne perdent rien pour attendre le moment où les conclusions de tous ces audits vont mettre à découvert tous ceux et celles qui, de près ou de loin se sont rendus coupables de malversation dans la gestion ancienne des avoirs financiers, des biens matériels, du patrimoine immobilier ou des projets de l’Etat.


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Gabon: Insalubrité urbaine , rompre avec le laxisme d’antan

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Actuellement et plus que par le passé, plusieurs grands centres urbains de notre pays croulent sous le poids de l’insalubrité et ce, particulièrement Libreville la capitale gabonaise.

Principal responsable de cette triste situation et selon plusieurs observateurs: « le patent laxisme dont font preuve certaines administrations publiques face à l’incivisme des citadins et aux défaillances des prestataires de services commis à la tâche de collecter, traiter et valoriser les ordures.»

Et à l’évidence, il aura fallu la récente descente sur le terrain effectuée inopinément par le président Ali Bongo Ondimba, à travers certaines rues de Libreville et au marché Mont-Bouet, pour que des dispositions soient prises en vue de faire changer les choses.

Au demeurant, c’est à faveur d’une interpellation du ministre délégué à l’Intérieur, M. Aimé Popa Nzoutsi Mouyama, à l’Assemblée nationale, que l’on a appris que, « sur instruction du président de la République, le gouvernement va mettre en oeuvre un plan d’urgence destiné à débarrasser Libreville de ses tas d’immondices enlaidissant la capitale nationale. »

Un plan d’urgence dit de 3ème génération, financé par l’Etat et mettant à contribution plusieurs opérateurs économiques, Organisations non gouvernementales ainsi que les forces de défense et de sécurité.

Ce dans la mesure où, pour certains, « la mairie de Libreville et la Société de valorisation des ordures ménagères du Gabon (SOVOG) ont largement étalé leurs limites dans la jugulation de l’insalubrité et l’embellissement d’une ville qui ne fait que s’étendre davantage. »

Aussi, un tel plan d’urgence ne peut prospérer durablement que si les différents acteurs impliqués réussissent à rompre réellement avec les attitudes laxistes d’antan.

Lesquelles se traduisaient par le fait que les autorités municipales n’arrivaient pas à rappeler à l’ordre ou à sanctionner tous ceux qui enlaidissent la ville.

Notamment, les populations qui jettent leurs ordures ménagères hors des bacs et ne nettoient pas les abords de leurs habitations. Idem des commerçants et marchandes qui vendent sur les trottoirs et n’entretiennent pas ceux-ci.

Tout comme les garagistes, menuisiers, frigoristes et autres artisans déversant leurs ordures solides sur les bascôtés des voies publiques ou dans les caniveaux et canaux d’évacuation des eaux.

Autre acteur important dans la mise en oeuvre de ce plan d’urgence: l’Etat gabonais qui doit revoir de fond en comble l’ancienne convention signée avec la SOVOG et diversifier ses partenaires dans la gestion des ordures au niveau des communes voisines de Librevi l le et d’Owendo.

Car, au stade actuel et sans matériel qualitativement et quantitativement conséquent, la seule SOVOG ne peut plus donner entière satisfaction.

De même que, la décharge de Mindoubé étant actuellement saturée, l’Etat et la municipalité doivent tout faire pour octroyer aux sociétés concernées des terrains où elles pourront déverser, traiter ou valoriser l’ensemble des ordures ménagères et déchets solides collectés.

Encore que dans ce cadre précis, un accent particulier doit être mis désormais sur le volet lié à la valorisation des ordures et ce, en vue de transformer celles-ci en engrais et autres produits marchands propices à la diversification économique.

Autant dire que les instructions du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba doivent être respectées à la lettre, étendues à toutes les villes gabonaises et traduites dans les faits le plus rapidement possible.

Ce afin que nos centres urbains retrouvent leurs lustres d’antan, se développent harmonieusement et préservent les populations locales de tous risques de fléaux sanitaires suscités par l’insalubrité publique.

Reste en fin à ce que l’Etat et les autorités municipales mettent de plus en plus la pression sur les entreprises commises à la réalisation des travaux d’aménagement des divers bassins versants et autres canaux destinés à faciliter l’écoulement des eaux et à éviter les inondations.


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03/11/2012

Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du Vendredi 2 Novembre 2012

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A l’entame des travaux, le Conseil des Ministres a vivement salué la détermination opiniâtre de Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, qui, inlassablement, depuis son accession à la Magistrature Suprême, sillonne le territoire gabonais et les continents pour le rayonnement de notre cher pays, nouant des partenariats pour le développement du Gabon dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’énergie, de l’ habitat, des mines, de la protection de l’environnement ; prospectant les meilleures opportunités pour répondre dans les délais les plus raisonnables aux attentes existentielles et légitimes des populations.

 

Le Conseil des Ministres a noté avec satisfaction que le Président de la République, Chef de l’Etat démontre à suffisance l’ambition de voir se concrétiser le Programme Stratégique Gabon Emergent, confirmant ainsi que, seul, l’intérêt supérieur de la nation prédomine ; le bien-être des populations prévaut et que la paix est un trésor qu’on ne peut trop louer.

 

Aussi, le Conseil des Ministres réitère-t-il vivement l’adresse aux gabonaises et gabonais, à poursuivre à l’unisson, dans le respect des institutions, l’édification du Gabon Emergent.

 

La gouvernance de proximité du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA l’a conduit dans le plus grand marché de notre capitale et ses environs pour constater in situ et de visu l’effectivité des mesures prises en Conseil des Ministres aux fins d’alléger le panier de la ménagère.

 

Face au constat mitigé du Président de la République, Chef de l’Etat, le Conseil des Ministres a pris acte des mesures urgentes à mettre en œuvre pour la pratique d’une réduction des coûts des produits de première nécessité.

 

Le Conseil des Ministres s’est ensuite réjoui de la mise en œuvre d’une résolution de grande importance adoptée lors du Conseil des Ministres du 15 Septembre 2011.

 

En effet, dans le cadre du partenariat public privé avec la Compagnie Minière de l’Ogooué, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a posé la première pierre de l’Ecole des Mines et de  Métallurgie de Moanda, évènement phare commémorant le cinquantième anniversaire du Groupe ERAMET COMILOG.

 

La prochaine école à vocation régionale témoigne, s’il en était encore besoin, que la formation des gabonais et la lutte contre le chômage demeurent une des préoccupations du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, conformément à l’axe n° 9 de notre Programme de Société « l’Avenir en Confiance ».

 

Un autre défi est à relever dans le cadre du partenariat Etat gabonais/ Groupe ERAMET COMILOG dans la transformation sur place, à Lambaréné, du niobium, des terres rares, d’uranium, projet tant attendu car porteur et générateur d’emplois.

 

Sur le plan international, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part aux assises du Sommet de la francophonie à Kinshasa.

 

Le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, était accompagné de la Première Dame.

 

Pour le Conseil des Ministres, le Gabon, membre fondateur de cette Organisation, a marqué par la forte présence du  Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, tout l’engagement de notre pays dans le concert des Nations francophones.

 

Ce Sommet qui a regroupé soixante quinze (75) pays, Etats membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie a débattu de grandes préoccupations au-delà même de la francophonie autour du thème central « Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à une gouvernance mondiale ».

 

Outre la question des droits de l’homme, l’impunité, la démocratie, d’autres questions préoccupantes ont été soulevées, notamment, celles des crises qui sévissent dans certains pays essentiellement :

-         au Mali et la nécessité d’engager une force de maintien de la paix dans le Nord de ce pays ;

-        les divergences entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo.

 

Le Conseil des Ministres a salué la vision pragmatique et futuriste du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, qui confirme l’introduction de l’anglais dans le programme scolaire dès les classes primaires.

 

Le Conseil des Ministres affirme que notre pays sous la haute impulsion du Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, s’est ouvert à l’international et doit s’adapter aux défis futurs du Gabon Emergent.

 

Le Conseil des Ministres s’approprie cette mesure qui renforce les aptitudes du Gabon Emergent sans rejet de l’idéal francophone.

 

Par ailleurs, à l’invitation de la Commission Européenne, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part aux travaux des 7èmes Journées européennes de développement aux côtés de ses pairs africains.

 

De plus, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a profité de cette auguste tribune d’échanges auquel le Gabon appartient, depuis sa création, à faire entendre la voix de notre cher pays grâce à la promotion du Programme de Société « l’Avenir en Confiance ».

 

Le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a décliné les réformes multisectorielles initiées, bien perceptibles pour le développement de notre pays et le bien-être des populations.

 

De plus, le Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part au Forum Mondial sur l’énergie à Dubaï.

 

Devant une vingtaine de Chefs d’Etat, le Président de la République, Chef de l’Etat a fortement suggéré la création d’un fonds africain pour l’énergie et les infrastructures.

 

L’argumentaire développé par le Président de la République, Chef de l’Etat a pour objectif de réduire la fracture entre l’Occident et le Sud.

 

L’Afrique est pour sûr, un vieux continent d’avenir. Les grandes lignes de la vision énergétique du Gabon énoncées par le  Président de la République, Chef de l’Etat,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, sont conformes aux prescriptions du Pilier Gabon Vert et à la nécessité urgente de garantir à toutes les populations l’énergie placée au centre du développement.

 

Les lignes de la vision énergétique du Gabon déclinées par le Président de la République, Chef de l’Etat consiste à doubler la capacité énergétique en 2013 pour produire 1200 méga watt à l’horizon 2020.

 

 

AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET  REGLEMENTAIRES

 

 

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

Madame le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a adopté, le projet de loi fixant le cadre d’exercice de la profession d’Avocat en République Gabonaise.

 

Pris en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, le texte suscité est subdivisé en neuf (9) chapitres qui traitent outre les dispositions générales :

 

·       du statut et des prérogatives de l’Avocat ;

·       de l’admission au barreau, du stage, de l’inscription au tableau, de l’omission, de la radiation et de l’installation ;

·       des incompatibilités, restrictions, empêchements et obligations ;

·       de l’organisation ;

·       des garanties et des devoirs liés à la déontologie de la profession ;

·       du régime disciplinaire ;

·       de la sécurité des fonds et de l’assurance ;

·       des dispositions diverses et finales.

 

 

MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

 

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant application du système Licence, Master, Doctorat dans les établissements d’enseignement supérieur en République Gabonaise.

 

Ce texte vise à harmoniser les questions pédagogiques au niveau de toutes les universités et établissements d’enseignement supérieur. Il dispose également de ce que le passage conditionnel est désormais admis lorsque l’étudiant a obtenu 75 % des unités d’enseignements représentant au moins 80 %  des crédits des semestres et la compensation à l’intérieur d’une même unité d’enseignement est autorisée.

 

Par ailleurs, le passage d’un cycle à un autre est subordonné à l’obtention du diplôme du cycle précédent. Enfin, le texte fixe le séjour à l’intérieur de chaque cycle.

 

 

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE

 

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

 

Madame le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvé, le rapport initial du Gabon sur la mise en œuvre de la Charte africaine des Droits de l’homme et des peuples (1986-2012). Ce document a été élaboré en prenant en compte les contributions des Institutions gouvernementales et non gouvernementales retenues dans le décret n° 000102/PR/MDHLCCLCI du 15 Janvier 2007 portant création et organisation du Comité national de rédaction des rapports sur les droits humains.

 

 MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI  ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

Le Ministre a informé le Conseil des Ministres, de ce que la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS) procèdera, à compter du Lundi 05 Novembre 2012, au paiement des allocations familiales et de rentrée scolaire aux gabonais économiquement faibles, sur l’ensemble du territoire national. Le montant débloqué par l’Etat pour cette échéance est de 4.580.193.000 F CFA qui se décompose en :

 

·       4.031.088.000 F CFA pour les allocations familiales ;

·       549.105.000 F CFA pour les allocations de rentrée scolaire.



AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES

 

 

MINISTERE DE LA SANTE

 

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a autorisé l’organisation, en partenariat avec le Bureau Régional de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS AFRO), le Centre de Contrôle des Maladies des Etats-Unis (CDC) et le Centre de Contrôle des Maladies de la Chine, d’une Conférence sur le concept « une seule santé » qui se tiendra, du 12 au 14 Novembre 2012 à Libreville.

 

Au cours de cette rencontre, les thèmes suivants seront abordés :

 

·       compréhension de l’interface entre santé animale, santé humaine et environnement ;

·       préventions et riposte des menaces d’anthropozoomoses émergentes.

 

MINISTERE DES EAUX ET FORETS

 

Le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour l’organisation, du 15 au 16 Décembre 2012, de la Conférence des Parlementaires des pays ACP et des Parlementaires Européens sur le développement du processus FLEGT dans les pays producteurs et exportateurs de bois.

 

  

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement. 

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

 

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

 

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

 

CABINET DE LA PREMIERE DAME

 

-        Attachée de Presse : Mme Lisa Marie BONGOTHA, précédemment en service à la Cour Constitutionnelle.

 

MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE

 

 

DIRECTION GENERALE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Directeur Général : M. MVOME-NZE Edouard, Docteur en Géographie.

 

-        Directeurs Généraux Adjoints :

 

-        Mme MBOUMBOU BOUANGA Célestine, Ingénieur Géographe.

 

-        M. KOMBILA MOUSSAVOU Brant, Juriste urbaniste.

 

-        Chargés d’Etudes :

 

·       Mme AYANG Léa Augustine.

 

·       M. MANGONGO BOUNGUEDZA Yves, Administrateur Civil.

 

 

DIRECTION DE L’URBANISME

 

 

-          Directeur : M. NGODJO Guy-Félix, Architecte MBA.

 

 

SERVICE DES ETUDES D’URBANISME

 

 

-        Chef de Service : M. BABOLONGO Igor Davy, Ingénieur.

 

SERVICE DES ARCHIVES ET DE LA DOCUMENTATION

 

-         Chef de Service : Mme ANGUE MBA Véronique, Archiviste.

 

 

SERVICE DES EQUIPEMENTS URBAINS

 

-        Chef de Service : Mme MOUSSOUNDA MOUSSIALLY Linda Carine, Ingénieur Aménagiste-Urbaniste.

 

 

DIRECTION DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-          Directeur : M. MOUNZIEGOU MIHINDOU Didier, Ingénieur Génie Civil.

 

 

 

 

SERVICE ETUDES DE LOTISSEMENTS

 

 

-          Chef de Service : M. MAVOUNGOU Bernard, Architecte.

 

 

SERVICE DE CONTRÔLE DES TRAVAUX DE LOTISSEMENTS

 

 

-          Chef de Service : M.  ASSOUMOU Augustin Steeve, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX D’AMENAGEMENT DE TERRAINS

 

 

-         Chef de Service : M. IWANGOU MAPANGOU Ghislain, Ingénieur Géographe.

 

 

DIRECTION DES ENQUETES SOCIO-ECONOMIQUES

 

 

-          Directeur : M. BINANGA Jean Marie, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DES ENQUÊTES SOCIO-ECONOMIQUES

 

-          Chef de Service : M. MENGUE NDONG Constant, Architecte-Urbaniste.

 

 

SERVICE DES CONSTATS DES INFRACTIONS

 

-        Chef de Service : M. ROGOVENY Jean René, Urbaniste.

 

-          Chef de Service de la Statistique Urbaine : M. POUGHIDI NDZOGHA Axel Terrence, Ingénieur Statisticien Economiste.

 

DIRECTION GENERALE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-         Directeur Général : Monsieur MIPOHAN Basile, Ingénieur Géographe.

 

-        Directeurs Généraux Adjoints : 

 

MM.

 

·       BIYOGHO BI ONDO Bernard Barthelemy, Architecte ;

 

·       MBOUMBA Modeste, Ingénieur Cartographe, Géomaticien.

 

-         Chargés d’Etudes :

 

·       M. RAGNOGANDI Gildas Davy, Technicien en Urbanisme.

 

·       Mme OYE NANG Claudine, Informaticienne.

 

 

DIRECTION DES CONTROLES CADASTRAUX

 

-         Directeur : M. MBA ESSONE Emmanuel, Ingénieur cartographe.

 

 

SERVICE DE LA PROCEDURE D’ATTRIBUTION DE TERRAINS

 

 

-         Chef de Service : Mme EKOTTO EPANGO, Ingénieur du Cadastre.

 

 

 

SERVICE DE CONSTAT DE MISE EN VALEUR ET DES EVALUATIONS CADASTRALES

 

 

-         Chef de service : Mme BAYADI Sogni Eulalie, Ingénieur Topographe.

 

 

SERVICE DU FICHIER CADASTRAL ET DE LA DOCUMENTATION FONCIERE

 

 

-        Chef de Service : Mme MAMBISSA BAKAKAS Inès Laetitia, Ingénieur Topographe.

 

 

DIRECTION DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES

 

-        Directeur : Mme MENGUE ALLOGO Elise Valérie, Ingénieur Topographe.

 

 

SERVICE DES INFRASTRUCTURES TOPOGRAPHIQUES

 

 

-        Chef de Service : M. ASSOUMOU Jean Pierre, Ingénieur des Techniques Génie Civil.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX DE DESSIN

 

-        Chef de service : Mme SOUGOU LATSIERE Alix Bertille, Urbaniste.

 

 

DIRECTION GENERALE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Directeur Général : M. Jean Paul TCHIBINDA, Ingénieur Géographe.

 

-        Directeurs Généraux Adjoints :

 

MM. 

 

·       TSINGA Jacob Eric, Docteur en Géographie Economique ;

·       MANFOUMBI Alexis, Architecte-Urbaniste.

 

-        Chargés d’Etudes :

 

Mmes

 

·        NZEDI NGOMA Mariam Stella, Administrateur Civil ;

 

·       MBOKOBADI ASSINGA Alice, Ingénieur Informaticien ;

 

·       NDOMBI SIMBA Lorrys Linda,  Administrateur Civil.

 

 

 

DIRECTION DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Directeur : M. ESSONO NGUEMA Marc Zéphirin, Architecte.

 

 

SERVICE DES ETUDES ET DE LA RECHERCHE

 

-        Chef de service : M. OYANE MENDOGO Alain Gérald, Ingénieur des Travaux Publics.

 

 

 

SERVICE DU LOGEMENT

 

-        Chef de Service : M. LEYINDA BOUCKEGHET, Urbaniste.

 

SERVICE DE L’HABITAT RURAL

 

-        Chef de Service: Mme ASSANDA Cosette, Administrateur Economique et Financier.

 

 

DIRECTION DE L’ASSISTANCE A L’AUTO-CONSTRUCTION

 

-        Directeur : M. MAPOUILAT Christophe, Ingénieur du cadastre.

 

 

SERVICE DE LA GESTION

 

-        Chef de Service : Mme BOMA Flore Nadine, Attachée d’Administration.

 

SERVICE ASSISTANCE ET CONTRÔLE DES TRAVAUX

 

-        Chef de service : M. ASSOUMOU MBA Sylvain, Ingénieur des Techniques Génie Civil.

 

 

SERVICE DE LA MAINTENANCE

 

- Chef de service : M. MENIE M’ESSONO Jean Baptiste, Ingénieur des Techniques Electricité.                                                                         

 

 

SERVICE DE LA PRODUCTION DES MATERIAUX

 

-        Chef de service : M. YANGARI Edgard Rodolphe, Projeteur en bâtiment.

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’ESTUAIRE

 

-        Directeur : M.  BABIA Théophane, Architecte.

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-          Chef de service : M. NGUIE-EKOMI Paul Maximin, Ingénieur Bâtiments.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

 

-          Chef de service : M. Roger TSANGA BANDOUNGOU, Opérateur-Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-         Chef de Service : M. OBAME NGOME Jean, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. MAWORA Clément Vincent.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DU HAUT OGOOUE

 

-        Directeur : M.  MIBESSI Jean Pierre, Ingénieur  Géographe.

 

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

 

-        Chef de service : M. LOUEMBET  Régis Prosper, Ingénieur Technique.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-          Chef de service : M. KOLITE ZOUZE Gustave.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. ZUE Vincent, Architecte Urbaniste.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. BIYOGHO TCHOUA Jean Pierre Pierrot, Géomètre.

 

DIRECTION PROVINCIALE DU MOYEN OGOOUE

 

-          Directeur : M. MINKOUE Jean-Louis, Géographe.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M.  BOULAMBA MABIKA Brice, Urbaniste.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

 

-        Chef de service : M. EKOUME ONDO Herbert Davis, Opérateur-Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. MOUNANGA Kevin Boris, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. ENGO MEMIAGHE Clément, Licence de Sciences Juridiques.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE LA NGOUNIE

 

-          Directeur : M. MALI MPEME, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. HAMANN HAMZA, Technicien Urbaniste.

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M.  BOUTGOU MABOUNDA Dieudonné, Ingénieur.

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. LEKANDA Arlien, Ingénieur.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-          Chef de service : M.  BIBOUTOU BIKOUATI  Fleur Edo, Cartographe.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE LA NYANGA

 

-        Directeur : M. LOLOS RAPOTCHOMBO Auguste, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. TEMBO LIBINDZOU Armel Gaëtan, Technicien en Urbanisme.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. MOUITY NZILA Fidèle, Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-          Chef de service : M. NDONG OBAME Jean Joël, Architecte Urbaniste.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. MBOUMBA Joseph Michel, Technicien Topographe.

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUE IVINDO

 

-          Directeur : M.  BIDZANG BI NDZIGHE Philippe, Ingénieur géographe Aménagiste.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. MABICKA MAGANGA Aimé Serge, Urbaniste.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. ONKAGUI Moïse, Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. NKOGHE Jonathan, projeteur en  bâtiment.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. EKOGA ALLO’O  Brice, Géomètre.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUE-LOLO

 

-          Directeur : M. NGBWANA PAUL, Architecte.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : Mme ONGUILAT ONGAYE Ange Ornella, Urbaniste.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. MBOUISSOU Franck Nicaise, Géomètre.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-          Chef de service : M. MAISSA Ludovic, Ingénieur Géographe.

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. NDZEDI Hugues Gaëtan.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DE L’OGOOUE MARITIME

 

-         Directeur : M. NKOGHE Francis Roland, Architecte Urbaniste.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. MAILAT MOUTSINGA Claude Séverin, Ingénieur Cartographe.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE

 

-        Chef de service : M. YOUBOU IPAUTA Aimé Gaëtan, Géomètre-Topographe.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M.  NGUEMBI Delphin, Ingénieur Géographe.

 

 

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M.  BOUBALA Franck  Simplice,  Géomètre.

 

 

DIRECTION PROVINCIALE DU WOLEU-NTEM

 

-          Directeur : M. BIBANG BI NKOGHO Florentin, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE L’URBANISME ET DES AMENAGEMENTS FONCIERS

 

-        Chef de service : M. NDONG Obiang Gilbert, Urbaniste.

 

Service des Travaux Topographiques et du Cadastre

 

-        Chef de service : M. TCHINDI Gislain, Ingénieur.

 

 

SERVICE DE L’HABITAT ET DU LOGEMENT

 

-        Chef de service : M. MAYI TSAMBA Porcel, Ingénieur du cadastre.

 

SERVICE DE LA LEGISLATION ET DU CONTENTIEUX

 

-        Chef de service : M. NTOUTOUME EDZAN Félicien, Administrateur Civil.

 

 

ECOLE NATIONALE DU CADASTRE ET DES SCIENCES GEOGRAPHIQUES

 

-        Directeur Général : Mme ITONGO Marie Thérèse, Docteur en Géographie Physique.

 

 

DIRECTION DES AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES

 

-        Directeur : M. INOUSSA ONANGA MOUSSILYON Stéphane Ulrich, Attaché des Sciences Economiques et Financiers.

 

 DIRECTION DES ETUDES ET STAGES

 

-        Directeur : M. NDOUNGA M’BIAKA Sylvain.

 

 

CENTRE TECHNIQUE DE L’HABITAT

 

-        Directeur : M. EDZANG NDOUTOUME Félicien, Administrateur Civil.

 

BRIGADES SPECIALES DE L’URBANISME ET DE LA CONSTRUCTION

 

 

-        Directeur : M. MENGUE M’ENDOUME Robert, Ingénieur Géographe.

 

 

INSTITUT NATIONAL DE LA CARTOGRAPHIE

 

-        Directeur Général : M. GNONDA Alain Jean De Dieu, Architecte.

 

 

-        Directeurs Généraux Adjoints :

 

MM.

 

·       NDOUMADIAMBA Rodrigue, Ingénieur en Informatique ;

 

·       OSSAT NZE Nicaise, Ingénieur Géographe.

 

-        Conseillers du Directeur Général :

 

MM.

 

·       MEZUI Joël Bolivar, Administrateur Civil ;

·       KOUMBA LOULESSI Jean Léonard, Ingénieur cartographe.

 

-        Chargés d’Etudes :

 

MM.

 

·       OBAME NGUEMA Emmanuel, Ingénieur  Cartographe ;

·       BOUSSENGUI Edouard,  Ingénieur  Cartographe.

 

 

DIRECTION DE LA DOCUMENTATION ET DES RELATIONS EXTERIEURES

 

-        Directeur : M. MBOUALA Pierre, Ingénieur Cartographe.

 

 

SERVICE DES RELATIONS DOCUMENTATION

 

-        Chef de service : M. EYI EYA’A Richard, Ingénieur cartographe.

 

 

SERVICE DES RELATIONS COMMERCIALES

 

-        Chef de service : M. EYELE NZE Daniel Francis, Ingénieur Cartographe.

 

DIRECTION DE LA PRODUCTION

 

-        Directeur : M. BIRINDA Jean Prince, Ingénieur Cartographe.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES

 

 

-        Chef de service : M. SOUGOU Gracia ; précédemment Directeur Provincial de la NGOUNIE.

 

 

SERVICE DES TRAVAUX CARTOGRAPHIQUES

 

-        Chef de Service : M. BIYAMBOU NZENGUE Norbert Bradley ; Cartographe.

 

 

DIRECTION DE LA CARTOGRAPHIE THEMATIQUE

 

-        Directeur : M. MOUSSOUNDA DILEBOU Jean Marie, Ingénieur  cartographe.

SERVICE DE LA REALISATION CARTOGRAPHIQUE

 

-        Chef de Service : Mme MAROUNDOU MOUANGA Claude Amélie, Cartographe.

 

 

SERVICE RECHERCHE

 

-        Chef de Service : M. METOHO ME ZUE Dieudonné,  Cartographe.

 

 

DIRECTION DES AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES

 

 

-        Directeur : M. HOUSMAN MAMADOU.

 

 

SERVICE FINANCIER

 

-        Chef de Service : M. NGOMA Jean Joseph Aimé.

 

 

SERVICE ADMINISTRATIF

 

-        Chef de Service : M. ONWANLELE Guy Patrick.

 

 

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

 

 

-        Commissaires Permanents de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel (CNPDCP) :

 

MM. :

·       Blaise Lionel MEMIAGHE ;

·       Léon Paul MVOUBA ;

·       Roger LAYAUD ;

·       Adrien MBADINGA ;

·       Emmanuel OGANDAGA ;

·       Alain MOUPOPA ;

·       Jean Bernard OGANDAGA ;

Mme :

Lydie IMMONGAULT

 

-        Commissaires non Permanents de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractères Personnel (CNPDCP) :

MM.

·       Barnabé INDOUMOU MAMBOUNGOU ;

·       Crépin ATENDE ;

·       Guy Martial BOUCALT ;

·       Pierre BITEGHE.

 

-        Président de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel (CNPDCP) : M. Blaise Lionel MEMIAGHE.

 

-        Secrétaire Général de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel (CNPDCP) : M. Georges OBOLO.

 

MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

BANQUE GABONAISE DE L’HABITAT

 

-        Directeur Général Adjoint : M. Yvon TCHICOT, Administrateur des Services Economiques et Financiers, en remplacement de Mme Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA, appelée à d’autres fonctions.

 

                                       FIN.


 

 

31/10/2012

Gabon: 2,7 milliards ont été octroyés cette année à l’Office pharmaceutique national pour l’achat de médicaments.

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Libreville le 31 octobre 2012 : 2,7 milliards ont été octroyés cette année  à l’Office  pharmaceutique national pour l’achat de médicaments. Ce budget en nette augmentation par rapport aux années précédentes participe de l’ambition  du Président de la République de doter les structures sanitaires publiques  de médicaments en nombre suffisant afin de couvrir les besoins et assurer la prise en charge des malades.

Pour palier les dysfonctionnements à l’origine de la pénurie des médicaments dans les services publics de santé, l’Office pharmaceutique national, principale centrale d’achat de médicaments et de matériel médical essentiels au Gabon, a vu sa dotation budgétaire pour l’achat des médicaments passer de 1,3 milliard en 2011 à 2,7 milliards de franc CFA en 2012. 

 

Ce renforcement des dotations en médicaments de l’Office  vise d’une part à répondre efficacement aux besoins des 650  structures sanitaires publiques, et d’autre part, à  pérenniser   la politique de distribution gratuite du médicament sur l’ensemble du territoire.



L’Office réformé pour une plus grande efficacité

 

Le décret  de novembre 2011 portant réorganisation de l’Office pharmaceutique national renforce  désormais  son rôle de centrale d’achat des médicaments, tout en lui accordant  la personnalité juridique ainsi que l’autonomie de gestion administrative et financière.

Dans le même temps, la structure de l’OPN est passée d’une simple direction à une direction générale, donc plus étoffée, pour satisfaire aux exigences  des nouvelles missions qui lui sont assignées. Une nouvelle équipe, constituée de jeunes cadres compétents, a été désignée pour accompagner cette entité  stratégique dans la mise en œuvre de la politique sanitaire du pays.

 

L’Office garantira la disponibilité des médicaments et des dispositifs médicaux essentiels dans les structures sanitaires, veillera au respect des normes de qualité, contrôlera étroitement  le suivi de la qualité des médicaments et assurera la formation continue du personnel gestionnaire des médicaments.

 

L’office Pharmaceutique National a pour objectif final une meilleure distribution des médicaments sur l’ensemble du territoire gabonais afin d’assurer l’accès aux médicaments à bas prix pour tous. L’intention est que l’Office puisse à terme alimenter à hauteur de  80% les structures de santé publiques.

L’office pharmaceutique national  est aussi chargé de la gestion des stocks liés aux programmes de distribution d’antirétroviraux et de traitement de la tuberculose. En fonction des budgets, ressources et recommandations qui lui sont donnés, l’office achète et distribue les traitements dans les centres.

Afin de créer une structure viable et pour améliorer l’approvisionnement, l’Office souhaite que la gratuité des médicaments devienne une exception. Le prix des médicaments restera faible et inférieur à celui pratiqué par les centrales d’achat privées mais permettra de créer un fonds de roulement pour assurer les commandes et la distribution. Il s’agit pour l’Office de dépendre moins des budgets de l’Etat et de gagner en autonomie et en efficacité.

 

Politique sanitaire et sociale  du Chef de l’Etat



L’accès aux soins de qualité pour tous, la bonne gestion des prestations sociales et l’amélioration du niveau de vie sont autant de projets portés par la politique de développement du Président de la République.

Les principaux hôpitaux du pays ont été rénovés ou sont en cours de rénovation, des centres hospitaliers spécialisés ont été construits, des réformes pharmaceutiques sont en cours et l’assurance maladie s’est élargie  à 600 000 bénéficiaires.

Le « Plan Santé et protection sociale » consiste à restructurer les services hospitaliers publics, améliorer la qualité des soins, renforcer  l’accès aux soins spécialisés, garantir la bonne distribution des médicaments et  assurer la prise en charge des malades.L’Office, instrument stratégique dans la réalisation de ce plan, devrait ainsi  voir son budget d’achat de médicaments pour l’année 2013 porté à 3 milliards de franc CFA.


Fin


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com


La politique du Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org


 

 

29/10/2012

LES RAISONS D’INVESTIR AU GABON

 

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Le Gabon dispose de plusieurs atouts propices à l’Investissement

 

Un succès économique reconnu

Une économie en pleine croissance : + 6,7% en 2011, elle devrait rester à un niveau comparable en 2012

Des finances publiques solides

Un endettement public en baisse régulière

Un environnement propice aux affaires

Une réforme complète de la gestion des finances et des services publics

Un renforcement de la bonne gouvernance

Des créations de lois pour favoriser l’investissement, comme la loi sur les partenariats public/privé

Un Centre de développement des entreprises (CDE),avec guichet unique, pour faciliter les démarches et accompagner les investisseurs

Une politique visant à favoriser l’exploitation et la valorisation locales des ressources

Un système bancaire fiable et dynamique

Un emplacement stratégique en Afrique

Une stabilité politique et sociale

Un accès à un marché sous-régional et régional de 120 millions de consommateurs

Une porte d’entrée de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC)

Un immense potentiel naturel à exploiter

3,7 milliards de barils de pétrole et 39 milliards de m3 gaz naturel en réserve

900 sites potentiels d’exploitation minérale (1 milliard de tonnes de fer ; 5,3 millions de tonnes de manganèse)

12,5 millions d’hectares de forêt et 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables

13 parcs nationaux

 

Un important programme de développement d’infrastructures

12,3 milliards USD d’investissements sur 5 ans dédiés aux infrastructures pour:

Améliorer le transport

Augmenter la production locale d’électricité verte et hydraulique

Créer des zones économiques spéciales

Renforcer la place de l’économie numérique (8e au classement africain de l’indice de développement des TIC en 2010)

Construction de 5000 à 7000 logements par an

Une fiscalité attractive et des mesures incitatives

De nombreux avantages pour les nouvelles entreprises :

Une exonération de l’impôt sur les sociétés pour le premier exercice bénéficiaire sur les 3 premiers exercices pour les entreprises éligibles aux codes spécifiques (Mines, Agriculture, Bois)

Un abattement de 50% pour le 2ème exercice bénéficiaire

Des avantages fiscaux importants dans les Zones Economiques Spéciales :

Exonération fiscale de la taxe sur les bénéfices / revenus pendant 10 ans. Au delà, taux d’imposition de 10% pendant 5 ans

Exonération totale de la TVA

Exonération des taxes douanières sur l’importation des équipements/machines et des pièces détachées

Liberté de rapatriement des fonds

Flexibilité pour le recrutement de main d’oeuvre étrangère

Exonération de la taxe sur la prestation

Baisse de 50% sur les factures d’électricité

Exonération des taxes retenues à la source

Les ventes faites à d’autres entreprises dans la SEZ seront considérées comme des exportations

Exonération de la taxe foncière sur les propriétés bâties et non bâties

Liberté d’effectuer dans/depuis la ZES des transferts de fonds via des institutions financières

 


GUIDE DE L’INVESTISSEUR

 

 

Créer une entreprise 

Depuis début 2012, les démarches de création d’entreprises se font auprès du Guichet Unique du Centre de Développement des Entreprises (CDE). Les opérateurs doivent se présenter à ce guichet munis de tous les actes constitutifs de la société et des documents requis. Ces actes, rédigés de préférence par un conseil juridique doivent faire l’objet d’un dépôt auprès d’un notaire.

Formes juridiques des sociétés

Les différentes formes juridiques reconnues par l’Acte Uniforme relatif au Droit des sociétés commerciales et du GIE de l’OHADA sont la Société en Nom Collectif (SNC), la Société en Commandite Simple (SCS), la Société à Responsabilité Limitée (SARL), la Société Anonyme (SA) et le Groupement d’Intérêt Economique (GIE).

Règles Comptables

Le plan comptable en vigueur est le plan OHADA qui ne s’applique toutefois pas à certains secteurs d’activités tels que :

- Les assurances, le code CIMA (Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurance),

- Les banques et établissement financiers: Code COBAC (Commission Bancaire de l’Afrique Centrale)

 

Banques et financements

En dehors des différents organismes bancaires locaux, les grandes institutions financières internationales sont présentes au Gabon. Le FODEX (par exemple), est un fond qui finance ou aide au financement des PME gabonaise à majorité gabonaise.

Salaires et charges sociales

Le revenu minimum mensuel est de 150 000 F CFA (hors employés de maison et personnel des collectivités locales). La sécurité sociale est gérée par un organisme public dénommé Caisse Nationale de Sécurité Sociales (CNSS). Les cotisations sont assises sur un plafond annuel de 18.000.000 F CFA au taux global de 22,60% dont 20,1% à la charge de l’employeur. A ces cotisations, il convient d’ajouter le Fond National pour l’Habitat (FNH) dont le taux est de 2% calculé sur les mêmes bases que les cotisations sociales. 

Un autre organisme, la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS), est chargé de l’assurance maladie obligatoire pour tous les habitants du Gabon et du versement des prestations familiales aux économiquement faibles. Son financement est essentiellement assuré par une redevance de 10% sur le chiffre d’affaires des opérateurs téléphoniques, Redevance Obligatoire pour l’Assurance Maladie (ROAM) et par une taxe de 1,5% sur les transferts d’argent.

 

Fiscalité

La fiscalité gabonaise est réglementée par le Code Général des Impôts (CGI), la Charte des Investissements, et le Code des Douanes. A la réglementation de droit commun, il convient d’ajouter des dispositions spécifiques prévues au profit de certains secteurs d’activités comme les mines (Code Minier), l’exploitation forestière (Code Forestier), le tourisme (Loi sur les Investissements touristiques) et les Zones Economiques Spéciales (Mandji et Nkok). Il existe aussi un régime fiscal de faveur pour les sociétés mères gabonaises et filiales gabonaises.

Les principaux impôts

 

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LES RESSOURCES UTILES

 

• Le Centre de Développement des Entreprises (anciennement APIP)

La création du CDE est une des réformes dans l’amélioration du climat des affaires entreprise par le Président. Le CDE dispose d’un guichet unique dont la mission fondamentale est de faciliter l’accomplissement des formalités administratives nécessaires à la création des entreprises.

Aujourd’hui, il faut environ 10 jours pour créer son entreprise au Gabon contre 58 jours* avant la création du CDE. A terme, ce délai sera ramené à 48h. (*Doing business Gabon – 2011)

Contact : Mme Mélissa Linda Tsitsi Fatou, chef de service

Guichet Unique : +241 06 26 47 26

Centre de Développement des Entreprises CDE Okala, BP13740 Libreville – Gabon

La Chambre de Commerce, d’Agriculture, d’Industrie, des Mines et de l’Artisanat du Gabon :

La Chambre de Commerce et d’Industrie est destinée à appuyer les entreprises dans leurs démarches quotidiennes, questions administratives et recherches.

Contact :

M. Pierre BITEGHE, Directeur Général

+241 72 20 64/+241 04 35 87 62 / E-mail : chambredecommercedugabon@yahoo.fr

L’Agence de Promotion des Investissements et des Exportations (APIEX)

La création de cette nouvelle structure doit renforcer le cadre juridique et commercial des exportations de produits gabonais sur les marchés internationaux.

Les missions de l’APIEX s’articulent autour des principes suivants : Favoriser et inciter l’investissement direct étranger, informer, conseiller et orienter les investisseurs, accompagner et soutenir les entreprises exportatrices, et faciliter la mise en relation entre les producteurs et les acheteurs.

Contact : Tel : +241 04 58 24 24 / 04 58 25 25

Email : contact@apiex.ga

Site apiex.ga


 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26/10/2012

L’inestimable contribution de Sylvia Bongo Ondimba

Gabon,Paris,france,libreville

Actuelle Première dame gabonaise, Mme Sylvia Bongo Ondimba a réussi à faire, en trois ans de pouvoir de son illustre époux, oeuvre utile au profit de ses compatriotes et des citoyens les plus fragilisés du monde.

Dans ce cadre précis et sur le plan national, Mme Sylvia Bongo Ondimba s’est d’abord investie dans la promotion sociale des frappées physiquement et moralement par le coup du sort.

A cet égard, tout a commencé par l’organisation d’une inédite caravane qui a amené l’épouse du chef de l’Etat à parcourir, par voie terrestre, le trajet Libreville- Franceville.

Ce en sillonnant largement les localités tant rurales qu’urbaines des provinces de l’Estuaire, de l’Ogooué- Ivindo, de l’Ogooué-Lolo et du Haut-Ogooué.

L’occasion pour la Première dame de s’enquérir des préoccupations vitales et légitimes de ses compatriotes du Gabon profond, de partager un tant soit peu leur quotidien ainsi que de les doter des équipements élémentaires propices à un meilleur exercice des activités agricoles, de pêche et d’élevage.

Une caravane qui a profondément marqué les esprits des populations visitées qui n’ont pas manqué de s’émouvoir l’extraordinaire sens d’humilité, de sociabilité et de solidarité dont a fait preuve Mme Sylvia Bongo Ondimba tout au long des étapes parcourues.

Celle-ci ayant même réussi à convaincre son illustre époux, le président Ali Bongo Ondimba, de refaire avec elle le même itinéraire et de constater de visu les réalités vivantes du Gabon profond.

Puis, sur la base du constat établi lors de ces deux caravanes, Mme Sylvia Bongo Ondimba s’est donné pour objectif : l’amélioration relative des conditions de vie des personnes handicapées ainsi que des femmes et des jeunes les plus fragiles face à la vie quotidienne et aux épidémies sanitaires.

Aussi, pour ce qui est des handicapés physiques, la Première dame les gratifient, au fur et à mesure, d’innombrables matériels roulants voire des fauteuils électriques manuels et scooters.

Le tout assorti des modules de formation permettant aux personnes handicapées d’entretenir et de conserver durablement ces salutaires dotations matérielles.

Lesquelles leur offrent la possibilité de se mouvoir plus aisément, de mieux vaquer à leurs occupations quotidiennes et de se promouvoir davantage sur les plans tant social, économique que financier.

Quant aux compatriotes plus exposées aux risques de maladie, Mme Sylvia Bongo Ondimba et sa fondation éponyme se sont investies dans l’organisation des caravanes médicales.

Lesquelles sont destinées à doter les personnes moins nanties des trousses médicales familiales pour la protection sanitaire des enfants et des mères. Ce, contre les risques d’accouchement et les maladies telles que le paludisme et autres.

De plus et lors de ces caravanes, sont menées de vastes campagnes de sensibilisation permettant aux populations gabonaises de mieux se prémunir des pandémies telles que le Sida et toutes les autres maladies sexuellement transmissibles.

Et sur ce plan, le sommet a été atteint, dans cette lutte contre le VIH Sida, lors du déroulement de la CAN Orange de 2012 que le Gabon co-organisait avec la République soeur de Guinée.

Au demeurant, rappelons à l’occasion que soucieuse, de la promotion socio-économique et financière des femmes gabonaises entreprenantes et volontaristes, la Première Dame, par l’entremise de sa fondation Sylvia Bongo Ondimba, a réussi à mettre en place un inédit et salutaire système de microcrédits.

Ce, en partenariat avec la banque nationale BGFI et en vue du financement des activités économiques de toutes ces femmes qui veulent s’investir dans les affaires, entretenir correctement leurs familles respectives et contribuer positivement au développement du Gabon.

Et pour avoir osé dans ce domaine, Mme Sylvia Bongo Ondimba a favorisé l’émergence d’une classe de femmes gabonaises qui s’épanouissent actuellement sur le plans social, économique et financier.

Au niveau international et parallèlement aux multiples et fructueuses actions que mène son présidentiel époux Ali Bongo Ondimba, la Première dame gabonaise n’y est pas restée en marge.

Aussi, parmi ces « faits d’armes » les plus significatifs, on citera, entre autres, celui d’avoir su et pu initier la résolution, appuyée par l’Etat gabonais et adoptée par l’ONU, instituant la célébration d’une Journée internationale consacrée à la veuve et par incidence, à l’orphelin.

De même que l’on notera la Convention négociée fructueusement par Mme Sylvia Bongo Ondimba et signée au Royaume du Maroc entre la Fondation Sylvia Bongo Ondimba et l’Association Lalala Selma. Ce, en vue d’une meilleure lutte contre les divers cancers.

A noter que dans ce Royaume chérifien, la Première dame gabonaise a pris une part très active aux travaux de l’Organisation des Premières dames africaines.

Des travaux qui ont débouchés sur l’élaboration et la mise en oeuvre des stratégies propices à promouvoir davantage les conditions idoines d’accession des femmes africaines à l’exercice des activités économiques et à leur autonomisation socioéconomiques et financières.

Et cerise sur le gâteau, c’est grâce à l’entregent de Mme Sylvia Bongo Ondimba et de sa fondation éponyme que le Gabon a pu abriter, à Libreville en juin 2012, la toute première édition du forum international intitulé « Dialogue for act ion Africa ».

Des mémorables assises ayant permis à plusieurs élites internationales d’entrevoir et dégager des stratégies propices à l’émancipation intégrale des femmes et filles africaines.

A la lumière donc de tout ce qui précède, il est clair qu’en femme d’action et bonne opératrice économique qu’elle a toujours été, Mme Sylvia Bongo Ondimba a donné une nouvelle dimension au noble statut de Première dame d’un Etat.

Inscrivant désormais ainsi son nom dans le prestigieux registre de ces mémorables femmes qui ont confirmé élogieusement le sens de l’adage prédisant que « derrière un grand homme, oeuvre inévitablement et positivement une merveilleuse dame au grand coeur ».

Coup de chapeau donc à Maman Sylvia dont le dévouement, la perspicacité et l’humanisme nous réservent encore d’innombrables et merveilleuses surprises.


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25/10/2012

UN GABON BILINGUE : POUR BOOSTER LES LEVIERS DE L’ÉMERGENCE

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Dans sa conférence de presse hebdomadaire, le Porte-parole de la Présidence de la République, M. Alain-Claude Billié-Bi-Nzé, a annoncé la décision des autorités gabonaises d’adopter l’anglais comme deuxième langue de travail.

Le Gabon intègre de fait le club très réduit de pays africains bilingues.

Quelques jours seulement après cette déclaration, le Président de la République, Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, était reçu à Kigali, par son homologue rwandais, Paul Kagamé. Celui-ci est, du reste, considéré à ce jour comme le chantre du bilinguisme en Afrique francophone.

Ces deux événements concomitants témoignent de la ferme volonté de notre pays de s’engager plus avant dans sa recherche d’un environnement linguistique plus large et plus prometteur, capable de servir de levier à la mise en place d’une société et d’une économie du futur imaginée par le Président de la République Ali Bongo Ondimba, dans un Gabon émergent, à la hauteur des enjeux du 21ème siècle.

Dans l’annonce qui a été faite, il ne s’agit pas d’abandonner l’usage de la langue française, il s’agit de lui adjoindre l’emploi de la langue anglaise, considérée à ce jour, comme la deuxième langue la plus parlée au monde après le mandarin, en usage en Chine, qui compte plus d’un milliard de locuteurs.

Placée en neuvième position, la langue française se présente, pour sa part, comme l’un des principaux liens entre les divers groupes linguistiques du Gabon, puis comme élément moteur de communication entre les Gabonais et le monde extérieur.

Il apparait évident, et tous les Gabonais le comprennent et l’y encouragent, que le Président de la République ambitionne de se donner les moyens de son époque.

Son programme politique et social, qui est résumé dans le slogan « Gabon émergent », lui impose de trouver des outils de travail modernes et contextuels. La langue de travail constitue de ce fait, un important levier dont il faut se servir.

Dans le Gabon émergent souhaité par le Président Ali Bongo Ondimba, il est important que chacun exprime librement son point de vue, sans restriction ni entrave, et s’approprie celui des autres dans les mêmes conditions, sans intermédiaire.

Or, dans la situation actuelle, les hauts fonctionnaires invités dans des forums de haut niveau, éprouvent de réelles difficultés à prendre part aux travaux lorsque ceux-ci sont déclinés dans une autre langue que le français ; de même, la plupart des étudiants gabonais consacrent leur première année à se perfectionner en anglais dès qu’ils sont appelés à poursuivre leurs études dans un pays anglophone.

C’est, par exemple, leur menu en Afrique du Sud ou au Ghana, où séjournent d’importants contingents d’étudiants gabonais.

Depuis près de trois ans de pouvoir, le Président tisse inlassablement des partenariats avec des opérateurs économiques de tous les horizons, les invitant à s’implanter au Gabon.

Certains d’entre eux, jusque-là éloignés par des barrières linguistiques, voudront maintenant franchir le pas en venant investir massivement dans notre pays, chose qu’ils ne pouvaient pas jusque-là à cause, justement, de la barrière que constituait le mono linguisme.

L’usage de l’anglais va contribuer désormais à lever la restriction injuste érigée à l’encontre du Gabon, en raison de ce système obtus de communication, dans le domaine du flux des capitaux.

Le défaut de locuteurs anglais dans des emplois de type primaire explique en partie cette situation ; il empêche notamment des embauches massives de personnels locaux.

Le tourisme, principalement l’hôtellerie, en souffre cruellement alors que certains autres secteurs, comme celui du pétrole par exemple, ressentent cette insuffisance de façon mineure, car l’usage de l’anglais y est souvent exigé comme un des principaux critères d’embauche.

On perçoit, dès lors, toute la valeur qui s’attache à l’usage de l’anglais comme langue de travail. L’anglais est désigné généralement comme la langue idéale du commerce et des sciences.

Le cas du Cambodge est patent à cet égard. Pays francophone, la fin des guerres dans la région (le Vietnam contre les Etats-Unis, par exemple) a suscité un engouement formidable des investisseurs anglo-saxons dans les économies voisines du Cambodge, de telle sorte que ses ressortissants, locuteurs français à l’origine, s’adonnèrent massivement à l’apprentissage de l’anglais pour décrocher un emploi dans ces pays avoisinants, majoritairement d’expression anglophone.

Aujourd’hui, l’économie cambodgienne est davantage tournée vers un emploi massif de locuteurs anglais. On la dit dynamique et en forte croissance, comme l’ensemble des économies de cette région du monde.

De même en France, la totalité des chercheurs s’expriment et publient en anglais ; les hommes politiques français, pour se faire entendre en Angleterre ou aux Etats-Unis, doivent s’escrimer pour tenir une conversation dans la langue de Shakespeare, de telle sorte que la presse française s’inquiétait déjà de ce phénomène il y a plus de dix ans.

Nous-mêmes, avions au Gabon, un francophile avéré, en la personne de feu Omar Bongo Ondimba, qui a pris part à tous les sommets de l’O.I.F. (Organisation Internationale de la Francophonie) et défendu chaque fois que possible, le développement de la langue française dans notre pays.

Cependant, il n’a jamais empêché la pénétration de l’anglais au sein de notre système éducatif. Au contraire, une multitude d’écoles privées bilingues sont sorties de terre et plusieurs d’entre elles ont pignon sur rue aujourd’hui dans notre pays. Tandis que dans les établissements publics, l’enseignement de l’anglais se poursuivait mais demeurait à un niveau largement en dessous de la moyenne.

Un pays voisin, le Cameroun, est foncièrement bilingue depuis son indépendance. Le dynamisme de ce pays dans la sous-région de l’Afrique centrale est très connu ; il est sans doute la conséquence de cette double culture française et anglaise.

On le voit, l’usage de l’anglais apporte un plus extraordinaire ; et, comme dit l’adage, il vaut mieux en effet disposer d’un 4X4 et ne pas avoir à s’en servir, que de ne pas en avoir du tout au moment où on en a besoin.

Les opportunités d’emplois au moment où le Gabon s’engage résolument sur la voie de développement, la facilité pour les étudiants et les hommes d’affaires ou les hommes politiques de se documenter ou de communiquer dans des instances de haut niveau, apportent la perspective d’un réel recul des frontières de la communication mono linguistique. Il s’instaurera alors avec l’autre, de nouveaux rapports de fraternité et d’amitié chers au Chef de l’Etat.

Les investisseurs s’intéresseront véritablement à notre économie et le Gabon boostera, assurément, son décollage vers l’émergence.


22/10/2012

Ali Bongo Ondimba au Forum mondial de l’énergie 2012 : L’énergie durable et la responsabilité climatique

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Doubaï, le 22 octobre 2012 –Le président de la République gabonaise, chef de l’État, Ali Bongo Ondimba a pris la parole lundi 22 octobre 2012 à la tribune du Forum mondial de l’énergie, qui s’est ouvert à Dubaï sous le haut patronage de Cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, le Vice-président et Premier ministre des Émirats arabes unis, pays siège de l’Agence internationale des énergies renouvelables.


Devant un aréopage de chefs d’État et de gouvernement, de chercheurs de renommée internationale, de leaders d’opinion et de grands patrons, le président gabonais a prononcé un plaidoyer mobilisateur et engagé pour la sécurité énergétique africaine, dans l’objectif d’atteindre - comme le souhaitent les Nations Unies - l’accès universel à l’énergie en 2030.  

L’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé l'année 2012, Année internationale de l'énergie durable pour tous. Prenant la pleine mesure des défis du temps, au diapason des exigences énergétiques, Ali Bongo Ondimba a tenu à souligner à quel point « l’investissement dans le secteur de l’énergie est un point-clé de la vision du Gabon émergent ». Mieux encore, « l’accès facilité au réseau a un impact direct et immédiat sur la qualité de l’éducation, grâce aux apports des nouvelles technologies du web, mais aussi sur l’industrie, effaçant le cliché d’une Afrique source de matières premières vouées à être transformées en d’autres endroits de la planète ». « Nous nous battons pour parvenir à assurer un accès électrique à 100% des Gabonais en 2016 ; et ce sera une énergie 100% propre, renouvelable à 80 % ».



Mix énergétique gabonais 2020 : 100% propre, dont 80%  renouvelable


Au Gabon, la production d’électricité par les énergies renouvelables passera donc de 40% en 2010 à 80% en 2016, ceci grâce au développement de l’hydroélectricité, un secteur porté par 2,4 milliards de dollars d’investissements.

A cette échéance, l’ensemble de la production d’électricité au Gabon reposera sur 100% d’« énergie propre », produite uniquement par l’hydroélectricité et le gaz, en substitution complète aux centrales thermiques utilisant des combustibles pétroliers.

« Nous nous inscrivons pleinement dans les objectifs dessinés par les Nations Unies d’une énergie durable pour tous », souligne Ali Bongo Ondimba.

D’après une étude qu’a fait mener le Programme des Nations Unies pour l’environnement, les investissements effectués à l’échelle mondiale dans les énergies renouvelables ont atteint le chiffre record de 211 milliards en 2010, et, pour la première fois, la moitié de ces investissements ont été réalisés dans des pays en développement.



Trois objectifs mondiaux 2030

Invité à prononcer le discours inaugural au nom du Secrétaire général de l’ONU, Wu Hongbo, Secrétaire général adjoint des Nations Unies pour les affaires économiques et sociales a rappelé les trois objectifs principaux de l’agenda mondial de l’énergie 2030 : l’accès universel aux services énergétiques modernes ; le doublement du taux d’amélioration de l’efficacité énergétique; une augmentation de 50 % de l’utilisation des énergies renouvelables dans le monde.

« Pour vaincre la pauvreté et sauver la planète, indiquait Ban Ki-moon dans la Déclaration de principes sur l’énergie pour tous présentée en novembre 2011, nous pouvons et devons assurer une énergie durable pour tous à l’horizon 2030. Pour y parvenir, tous les pays et tous les secteurs devront s’employer à donner forme aux politiques et aux investissements requis pour dessiner de meilleures perspectives énergétiques. Les pays en développement qui, pour la plupart, connaissent une croissance rapide et à grande échelle, peuvent faire l’impasse sur les solutions énergétiques classiques et passer directement à des solutions plus propres capables de favoriser la croissance et le développement économique et social. »



Une personne sur cinq privée d’électricité

Dans les pays en développement, plus de trois milliards de personnes sont tributaires de la biomasse traditionnelle et du charbon pour cuisiner et se chauffer (95% vivent en Afrique ou en Asie).

Un milliard et demi (un Terrien sur cinq) ne disposent pas de l’électricité et, même lorsque des services énergétiques modernes sont disponibles, ils sont trop coûteux pour des millions de personnes connaissant des difficultés économiques.

Les « pauvres de l'énergie », selon l’expression de l’ONU, subissent les conséquences sanitaires de la combustion inefficace de combustibles solides dans des bâtiments mal ventilés (2 millions de décès par an), ainsi que les conséquences économiques de la productivité insuffisante des activités lucratives.

En l'absence d'un accès adéquat à l'énergie, ni les hôpitaux, ni les écoles ne peuvent fonctionner correctement. De même, l'accès à l'eau potable et l'assainissement sont dépendants d'une capacité de pompage efficace.



Un appel à la responsabilité climatique

Les modes actuels de production et de consommation d'énergie non durable menacent l'environnement à l'échelle locale et mondiale. Les émissions de la combustion fossile sont la cause principale du changement climatique, de la pollution de l'air urbain et de l'acidification des sols et de l'eau.

La réduction des émissions de carbone liées à la consommation d'énergie est une priorité. L’économie mondiale devant doubler de taille au cours des vingt prochaines années, la consommation mondiale de l'énergie augmentera également de manière significative si l'approvisionnement énergétique, la conversion et l'utilisation continuent d'être inefficaces.

Pour le président gabonais, « la réduction des gaz à effet de serre est inévitable pour assurer un futur aux générations qui viennent ». Et d’inviter à la mobilisation générale : « Parce que l’avenir de la planète est en jeu, la prochaine conférence de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (ndlr – Doha, novembre 2012) doit conduire à un nouvel engagement ».  Kyoto est dans tous les esprits à Doubaï.



Passage obligé

 

Devant la vingtaine de chefs d’État présents au Forum mondial, le président Bongo Ondimba a martelé : « Les énergies durables ne constituent ni un luxe, ni même une option, tant elles représentent le passage obligé vers l’avenir, pour espérer construire un futur viable pour l’ensemble de l’humanité ». 

Rappelant les trois grands piliers de son action, le Gabon vert, le Gabon industriel et le Gabon des services, le chef de l’État, qui s’exprimait en anglais, a apporté son plein soutien aux efforts de la communauté internationale en faveur de l’universalisation des bénéfices de l’énergie, sans manquer de souligner la détermination environnementale qui est celle du peuple gabonais.



FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com


La politique du Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org


 

Gabon: Tournée républicaine, une expérience inédite au contact du pays profond

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Depuis sa prestation de serment et sa prise officielle de fonction intervenues le 16 octobre 2009, l’un des souvenirs les plus vivaces que les Gabonais gardent de l’action du président Ali Bongo Ondimba est sans nul doute sa mémorable tournée républicaine et interprovinciale effectuée à travers le territoire national.

Une tournée au cours de laquelle le chef de l’Etat tenait d’abord à exprimer directement ses remerciements à l’ensemble des populations gabonaises qui lui ont majoritairement accordé leurs suffrages lors de la présidentielle anticipée d’août 2009.

Ensuite, le président Ali Bongo Ondimba saisissait l’opportunité de cette tournée pour s’enquérir des préoccupations tant légitimes que spécifiques de ces compatriotes et de débattre avec eux des moyens de répondre positivement à ces préoccupations.

Aussi, à la faveur de ce périple à travers les différents chefs-lieux de départements et capitales provinciales que compte le Gabon, le président de la République a mis un accent particulier sur la nécessité pour les populations gabonaises de consolider la paix, l’unité nationale et la cohésion sociale.

De même que ces populations doivent cultiver les vertus de l’amour du prochain, du travail bien fait, du civisme, du patriotisme ainsi que du respect des règles de l’Etat de droit et des principes de la démocratie plurielle.

Tout comme le N° 1 gabonais a invité les Gabonais à mieux s’impliquer dans la création des petites et moyennes entreprises ainsi qu’à la construction du pays. Ce, afin de renforcer les conditions idoines de production des richesses nationales, de croissance économique et de développement de la nation.

Dans ce cadre précis et déterminé à apporter des solutions aux problèmes que connaissent les diverses couches sociales des différentes provinces du pays et s’agissant des autorités administratives et sécuritaires locales, le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba a fait oeuvre utile.

Ce, en renforçant les capacités opérationnelles de ces autorités locales et cela, par des dotations conséquentes en matériel de travail et en moyens roulants. Des dotations assorties de la réhabilitation des cités administratives et casernes des forces locales de défense et de sécurité.

Ce qui permet maintenant aux services administratifs et militaires concernés de couvrir leurs rayons d’action, de vivre plus décemment et d’accomplir efficacement leurs missions régaliennes respectives.

Concernant les populations de centres urbains, le chef de l’Etat les a gratifiées d’un certain nombre de projets liés à la réhabilitation, la modernisation et la consolidation des infrastructures scolaires, sanitaires, sportives, routières, aéroportuaires, énergétiques et hydrauliques.

Idem pour ce qui est des infrastructures commerciales, de communication et des télécommunications. Toutes des infrastructures qui embellissent les capitales provinciales et chefs-lieux des départements.

Tout comme dans leur réalisation et entretien, lesdites infrastructures procurent des emplois, augmentent ainsi les revenus des populations locales et améliorent considérablement les conditions de vie dans les localités concernées.

Pour ce qui est des populations rurales, le chef de l’Etat a ordonné la réfection et la densification des réseaux routiers départementaux ainsi que la poursuite accélérée du programme national d’hydraulique villageoise et la vulgarisation de l’énergie solaire.

Permettant ainsi à ces populations de produire davantage, de mieux écouler leurs produits et d’améliorer leurs conditions de vie dans les villages ou regroupements de villages.

De même qu’à travers les grands projets économiques et industriels initiés et annoncés par le président Ali Bongo Ondimba tout au long de cette mémorable tournée républicaine, les 9 provinces visitées connaîtront désormais un formidable essor socio-économiques.

Et les populations locales disposent dorénavant davantage d’opportunités pour mieux se promouvoir économiquement, financièrement et socialement.

Quant aux jeunes des provinces, ceux-ci ont été invités par le président de la République à s’adonner principalement à leurs études.

Ce d’autant plus qu’avec la consolidation Tournée républicaine : des infrastructures scolaires et la délocalisation de plusieurs grandes écoles à l’intérieur du pays, ces jeunes ne souffriront plus du dépaysement et seront formés en phase avec les réalités économiques du pays.

Sur un tout autre plan, le chef de l’Etat a demandé à ces mêmes jeunes a insi qu’aux adultes de se préserver du Sida et autres maladies sexuellement transmissibles qui font actuellement rage au Gabon et dans le monde entier.

C’est dire donc que cette tournée républicaine et interprovinciale a été très riche en enseignements et en projets initiés au profit de l’ensemble des populations des 9 provinces du pays.

D’où l’enthousiasme débordant des populations gabonaises et l’accueil délirant qu’elles ont réservé au président Ali Bongo Ondimba tout au long de cette tournée. Surtout que celle-ci a été ponctuée, dans chaque province, par la tenue d’un Conseil des ministres délocalisé.

Lequel, présidé par le chef de l’Etat lui même, confirmait les décisions prises à chaque chef-lieu de département et ce, pour le mieux-être des Gabonaises et Gabonais.

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Gabon: Trois premières années de pouvoir d'Ali Bongo, point de vue de la Coalition de la Société civile gabonaise

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Intervenant dans le cadre de la commémoration des trois premières années de pouvoir du président de la République, chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, La Coalition de la société civile gabonaise, par la voix de son porte-parole Dr Guy René Mombo Lembomba , donne son point de vue.

Lorsqu’on fait le bilan global de l’action menée par le Président de la République au cours de ces trois premières années de mandat, il nous apparait prometteur au vu des premiers pas accomplis dont une appréciation plus appliquée est désormais rendu possible grâce à la production récente du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE) présenté lors de son adresse aux deux chambres du parlement réunis en congrès, outil important que les Gabonais devront consulter.

Plus concrètement, les objectifs visés par son projet de société nous semblent en phase de démarrage aux plans socio-économique et même dans le cadre du fonctionnement général de l’Etat gangrené depuis plusieurs décennies par des pratiques peu orthodoxes auxquelles des solutions inédites sont appliquées.

Quelques exemples : Au plan du fonctionnement général de l’Etat, nous en voulons pour preuve sans pour autant être exhaustif La création des agences ; La mise en sommeil du Ministère de l’habitat ; Le renouvellement massif des cadres de l’administration, le cabinet du Président de la République n’étant pas en reste.

Sur le plan socio-économique et politique La réalisation de l’épine dorsale de l’Economie en construction à travers l’avancée effective des chantiers routiers ; L’amorce des travaux importants dans d’autres secteurs tels les barrages hydroélectriques

L’ouverture du centre de formations aux métiers du pétrol à Port Gentil et l’école des mines et de la métallurgie de Moanda ; Les mesures de révision à la baisse de la mercuriale pour lutter contre la vie chère devenue galopante depuis quelques années etc.

Sur le plan politique L’introduction des données biométriques dans le processus électoral ; L’organisation réussie de la ténue des élections législatives en 2011, pour laquelle la société civile a été partie prenante comme observateur.

 

Dr Guy René Mombo Lembomba 

Porte-parole de la Coalition de la société civile gabonaise.


Gabon: BILAN à mi-mandat du Président Ali Bongo par Regis IMMONGAULT

 

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AU PLAN POLITIQUE

C’est sans conteste le principal point fort de la politique du Chef de l’Etat au cours de ces trois années qu’il préside aux destinées au Gabon.

Un volontarisme avéré, une ambition et une détermination de faire du Gabon un pays émergent clairement affichée et un plan stratégique pour y parvenir élaboré avec précision et mis en oeuvre avec méthode.


SUR LE FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS

La stabilité des institutions constitutionnelles a été renforcée avec le renouvellement des membres de la Cour Constitutionnelle, du CNC et du CES.

Un accent particulier a également été accordé au renforcement de l’Etat de droit. Le Président de la République a instruit notamment la justice de mettre fin aux crimes rituels en instaurant des tribunaux spéciaux. Dans l’ensemble, il a oeuvré pour une justice libre et impartiale.


SUR LA DEMOCRATIE

Depuis 2009, le Gabon s’est attelé à organiser toutes les élections dans les délais constitutionnels. Toutefois, la transparence électorale étant le principal tendon d’Achille du système démocratique posant clairement le problème de la légitimité des élus et augmentant ainsi la défiance de la population vis-à-vis des responsables politiques, le Président de la République a instruit le Gouvernement à introduire la biométrie dans le système électoral.

Dans le cadre du dialogue avec les forces vives de la nation, le Président a instauré le forum de la jeunesse pour former l’élite de demain et associé la classe politique sur les questions d’intérêt national tels que le conflit territorial de l’île Mbanié, l’introduction de la biométrie dans le processus électoral et très prochainement sur la CEMAC dont le Gabon assure la présidence actuelle.

Tout récemment, le Chef de l’Etat a annoncé la réactivation du Conseil National de la Démocratie et modifier son fonctionnement pour servir de cadre au dialogue entre la majorité, l’opposition et la société civile.


SUR LA DIPLOMATIE

Longtemps orientée vers la résolution des conflits sous-régionaux, le Président a imprimé sa marque à la diplomatie gabonaise en consolidant les acquis et en l’orientant vers une diplomatie d’affaires.

De même, il a pris clairement le leadership continental sur la protection de l’environnement et le changement climatique. Le Président a d’ailleurs été désigné porte parole de la position africaine sur la biodiversité lors du sommet de Rio+20.

Le Gabon a obtenu en trois ans des succès retentissants avec l’obtention de la place de membre non permanent au Conseil de sécurité des Nations Unies en récompense de son engagement en faveur de la paix et de la solidarité entre les peuples. A l’initiative de la première dame, le Gabon a également obtenu du système des nations unies la célébration de la « Journée internationale de la veuve et de l’orphelin ».

Au niveau continental, bien que le Gabon ait perdu la présidence de la commission de l’UA malgré une implication personnelle et un soutien indéfectible à la candidature de Jean PING, le Président a été porté à la tête de la CEMAC par ses pairs.


SUR LE GOUVERNEMENT

Traditionnellement basé sur une géopolitique en faveur des ressortissants de la province de l’Estuaire, le Président de la République a maintenu la dynamique de changement entamée depuis 2009, en nommant un Premier Ministre issu d’une province autre que l’Estuaire à la tête du Gouvernement.

Le Président de la République a mis fin aux équipes gouvernementales pléthoriques, réservé une place plus importante aux femmes et aux technocrates et a restreint les membres des cabinets ministériels. Le Gouvernement est désormais soumis à un système d’évaluation et à un code de déontologie.

L’initiative prise par le Président de la République d’instaurer les conseils de ministres délocalisés ainsi que des opérations ponctuelles telles que « la caravane Gabon profond » ont permis au gouvernement de mieux s’imprégner des préoccupations de nos compatriotes et d’agir en conséquence.


LA GOUVERNANCE ET LA MORALISATION DE LA VIE PUBLIQUE

Bien que les résultats de la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite n’aient pas encore produit les effets attendus et les indicateurs de gouvernance restent perfectibles, le Président a engagé une vaste reforme de l’Etat et de la moralisation de la vie publique.

Dans le cadre de la gestion des finances publiques, plusieurs audits ont été lancés dont les plus emblématiques sont l’audit de la fonction publique, l’audit de la dette intérieure, l’audit du secteur pétrolier, l’audit de la SEEG, l’audit des fêtes tournantes, etc. qui ont permis de connaître l’état des secteurs concernés, établir les responsabilités et mettre en place des mesures correctives.

Un système de la journée continue a été instauré afin d’améliorer la performance de l’Administration, trouver un meilleur équilibrage entre vie professionnelle et vie privée, permettre un meilleur suivi parental pour l’éducation des enfants et favoriser le développement de la pratique des loisirs et des activités sportives.

Pour améliorer la gouvernance du secteur parapublic, le Président a décidé du plafonnement des salaires des dirigeants afin de mettre un terme à la gabegie qui prévalait dans ces entreprises.

Un certain nombre d’agences ont été également créées pour renforcer l’efficacité de l’Etat dans la réalisation des projets et limiter ainsi le phénomène d’éléphants blancs en palliant les faiblesses des administrations notamment dans la maitrise d’oeuvre, le suivi et le contrôle des travaux.

Dans le cadre de la moralisation de la vie publique, le Président a décidé de la fermeture des débits de boissons à partir de 22h, de l’interdiction de servir de l’alcool aux mineurs, de la fermeture des débits de boisson à côté des établissements scolaires et a instruit les agents de sécurité d’adopter un comportement exemplaire pour restaurer l’autorité de l’Etat.


AU PLAN ECONOMIQUE

Au plan économique, des mesures courageuses ont été prises pour transformer le tissu économique et asseoir les conditions d’une croissance forte et durable.

Dès sa prise de pouvoir, le Président a pris deux mesures phares : l’interdiction d’exportation des grumes et le torchage du gaz dans l’industrie pétrolière.

Les effets sont désormais visibles avec l’accélération de l’industrialisation de la filière bois et les projets de développement de la pétrochimie et de la production électrique à partir du gaz.

Des reformes structurelles visant à libérer la croissance ont été prises, notamment dans le cadre des Zones économiques à régime privilégié (ZERP) pour favoriser le développement des partenariats stratégiques.

Dans ce domaine, le Président a initié personnellement un partenariat stratégique d’envergure internationale avec le groupe OLAM dont le coût est d’environ 2,5 milliards USD et concerne 5 projets agro-forestiers dans la ZES de Nkok et le développement de la ZES de l’Ile Mandji.

Il s’agit d’un vaste projet ayant un impact sur le PIB, la diversification de l’économie, la création d’emplois et la réduction de la pauvreté.

L’activité du Chef de l’Etat sur la scène internationale a contribué à l’amélioration de l’attractivité du Gabon pour les investissements. Ainsi, sur la période 2010-2012, le Gabon a ainsi attiré plus de 4 milliards de $ d’IDE et plusieurs entreprises majors font confiance au Gabon.

Dans le domaine des infrastructures pour soutenir la croissance économique et améliorer les conditions de vie des populations, sous l’impulsion du Président, le Gabon a construit plus de routes en 3 ans qu’au cours de 10 dernières années.

D’autres infrastructures de base sont réalisées ou en cours de réalisation, notamment dans le secteur de l’énergie avec la construction des centrales thermiques à gaz, des barrages hydroélectriques et des réseaux interconnectés, pour fournir une énergie abondante, propre et à moindre coût.

De même, le Président de la République a décidé de mettre un terme aux problèmes d’adduction d’eau, en particulier à Libreville avec le projet de construction de la 3e conduite entre Ntoum et Libreville et d’une nouvelle station de potabilisation Ntoum 7.

Grâce à ces réformes, le taux de croissance de l’économie ne cesse de progresser en dépit de la crise mondiale, avec une nette accélération de la croissance du secteur hors pétrole qui a atteint 11,7% en 2011.

Les performances macroéconomiques du Gabon et les indicateurs d’attractivité sont sur une trajectoire positive. Ainsi, la note souveraine du Gabon a été révisée à la hausse par l’Agence Fitch Ratings passant de BB- à BB.

Le Gabon est désormais la 9ème économie la plus compétitive d’Afrique selon le dernier rapport du Forum Economique Mondial, il occupe le 10ème rang en Afrique dans le classement du risque pays de la COFACE et la 1ere place dans la zone CEMAC.


AU PLAN SOCIAL

Si le principal point noir du bilan du Président de la République au plan social reste la question de l’accès au logement (où un effort de rattrapage est entrain d’être réalisé par le Gouvernement) et dans une moindre mesure celle du transport urbain, c’est également dans ce domaine qu’il y a plusieurs motifs de satisfaction.

Le fonctionnement de plus en plus optimal de la CNAMGS apporte un véritable soulagement dans la prise en charge des malades, en particulier des gabonais économiquement faibles.

Plusieurs mesures à caractère social ont également été prises en faveur de certaines catégories de la population.

Les bourses des étudiants ont été revalorisées, le Président a révisé à la hausse la prime de transport, harmoniser l’aide au logement pour les agents de l’Etat et instaurer un revenu minimum à 150 000 fcfa.

A l’initiative de la première dame, de nombreuses actions de lutte contre le VIH SIDA ont été renforcées se traduisant par une baisse relative du taux de prévalence.

De même, grâce à la fondation Sylvia Bongo Ondimba, un nombre important d’handicapés et des personnes à mobilité réduite ont acquis des fauteuils automatiques de dernière génération.

Dans le domaine sanitaire, la construction du CHU d’Angondjè, la restauration du CHU de Libreville, la mise en chantier de l’HPO d’Owendo, le démarrage du projet du CHU international Albert Schweitzer de Lambaréné, sont également à mettre à l’actif du Président de la République qui souhaite mettre à la disposition des populations une offre de soin de rang international.

Concernant le pouvoir d’achat, outre les décisions antérieures visant à contenir le prix des produits de première nécessité, le Président vient de décider de la suspension de la TVA et des droits de douanes pour six mois sur les denrées alimentaires pour faire face à la flambée des prix.


AU PLAN SPORTIF ET CULTUREL

Sur le plan sportif, le Président de la République ainsi que la première dame sont les premiers supporters des sportifs et des équipes nationales. Sous leur impulsion, le Gabon a obtenu des succès sportifs de haut niveau.

L’organisation de la CAN Orange 2012 a été un succès sportif à mettre à l’actif du Chef de l’Etat.

L’équipe fanion des panthères a atteint les ¼ de finale de la coupe d’Afrique des nations, les catégories inférieures affichent une réussite inédite ;

les moins de 20 ans ont été sacrés champions d’Afrique de leur catégorie et ont participé pour la première fois aux jeux olympiques de Londres ;

les moins de 17 ans sont qualifiés pour la coupe d’Afrique « Alger 2013 » de leur catégorie. Ainsi, pour maintenir ce niveau de performance et passer un nouveau cap, le Président de la République a décidé de l’instauration à partir de cette année d’un championnat professionnel de football.

Au plan individuel, l’athlétisme écrit des belles pages de l’histoire du Gabon dans cette discipline avec la sprinteuse Ruddy Zang Milama soutenue par la fondation Sylvia Bongo et qui est devenue championne d’Afrique du 100 m aux derniers jeux africains à Cotonou ;

Les succès sportifs du Gabon largement imputables au soutien sans faille du Président de la République ont été couronnés à Londres lors des jeux olympiques grâce au taekwondo, avec la première médaille remportée par notre compatriote Anthony OBAME.


Régis Immongault

Ministre des Mines et de l’Energie

 

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19/10/2012

Gabon: Conférence de presse du porte-parole de la présidence de la République, Alain Claude Bilié By Nzé

 

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ORDRE DU JOUR

 

I/- le president de la republique au xiv ème SOMMET DE LA FRANCOPHONIE A KINSHASA EN RDC : DU 13 AU 14 OCTOBRE 2012

 

II/- LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AUX JOURNEES EUROPEENNES DE DEVELOPPEMENT A BRUXELLES AU ROYAUME DE Belgique : LES 16 ET 17 OCTOBRE 2012

 

 

Annonce :

PARTICIPATION DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AU SOMMET MONDIAL DE L’ENERGIE DURABLE A DUBAI LE 22 OCTOBRE 2012

 

 

I/- Sommet de la Francophonie à KINSHASA EN RDC : du 13 au 14 octobre 2012

 

Le Président de la République, Chef de l’Etat a pris part au 14ème  Sommet de la Francophonie qui s’est tenu à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, les 13 et 14 octobre 2012.

 

Ce sommet a réuni les Chefs d’Etat et de gouvernements des pays membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).  

 

Il avait pour thème:« Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à la gouvernance mondiale ».

 

La journée du 13 octobre a été consacrée à la phase protocolaire marquée, entre autres, par la cérémonie d’ouverture, les discours des délégations et la passation des pouvoirs entre la Suisse et la RDC qui a assuré la présidence du sommet. 

 

La journée du 14 octobre était principalement réservée aux communications sur les thèmes suivants :

 

1.     Langue française, diversité culturelle et éducation

 

2.     Enjeux environnementaux et économiques

 

3.     L’Afrique dans la Francophonie et dans la gouvernance mondiale

 

4.     Gouvernance démocratique et droits de l’homme

 

Ces communications ont été suivies de celles de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie et des Etats associés.

 

Les chefs d’Etat et de gouvernement francophones réunis au sommet de Kinshasa ont adopté 5 résolutions à l’issue de leurs travaux. Il s’agit de :

·         Résolution pour appeler la communauté internationale au renforcement de la lutte contre la piraterie maritime dans le golfe de Guinée ;

 

·         Résolution sur la bonne gouvernance dans les industries extractives ;

 

 

·         Résolution sur les situations de crise, de sortie de crise et de consolidation de la paix dans l’espace francophone ;

 

·         Résolution sur la situation au Mali ;

 

·         Résolution sur la situation en République Démocratique du Congo.

 

Toutes ces résolutions ont été adoptées à l’unanimité des délégations présentes, à l’exception de celle relative à la situation en RDC qui a donné lieu à la réserve du Rwanda,  à cause de l’éventuelle responsabilité de ce pays dans l’instabilité qui prévaut à l’Est de la RDC.

 

Dans la recherche d’une sortie de crise, les chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de l’OIF ont invité la RDC et le Rwanda à poursuivre et développer le dialogue afin de renforcer la confiance nécessaire à l’instauration et à la consolidation de la paix.

 

Au terme de leurs travaux, les chefs d’Etat et de gouvernement des pays ayant le français en partage ont adopté une déclaration commune qui fixe les grandes priorités de la coopération multilatérale francophone pour les deux années à venir et qui se rapportent aux sous-thèmes du sommet énoncés plus haut.

 

Il est à noter que le 14ème sommet de la Francophonie a rappelé aux pays francophones l’intérêt de promouvoir la langue qu’ils ont en partage sans toutefois s’opposer à la promotion de la diversité des expressions culturelles et linguistiques.

 

Ce rappel vient donc mettre un terme à la polémique entretenue par une certaine opposition sur le renforcement de l’apprentissage de l’anglais au Gabon et révéler, s’il en était encore besoin, la clairvoyance du Chef de l’Etat, dans ses choix politiques.

 

Le prochain sommet de la francophonie aura lieu, en 2014, au Sénégal.

 

II/- 7ème Edition des Journées Européennes de Développement à Bruxelles au ROYAUME DE Belgique: les 16 et 17 octobre 2012

 

Le Président Ali BONGO ONDIMBA, a séjourné à Bruxelles en Belgique, les 16 et 17 octobre 2012, sur invitation de la présidence du Conseil de l’Union Européenne, où il a pris part à la septième édition des Journées Européennes de Développement.

 

D’autres leaders africains, en l’occurrence, les présidents Thomas Yayi Boni du Bénin, Macky Sall du Sénégal, Joyce Banda du Malawi et Armando Guebuza du Mozambique y ont aussi été invités.

 

On y a également noté la présence de plusieurs personnalités des organisations internationales et de la société civile.

 

La Commission Européenne était présente à travers son Président, Monsieur Manuel Barroso qu’accompagnaient le Commissaire au Développement et le Commissaire au Commerce.

 

Les Journées Européennes du Développement sont une tribune annuelle de rencontres et d’échanges entre tous les acteurs du développement sur les grandes questions qui préoccupent le monde.

 

Le thème retenu pour l’édition de cette année était « La croissance inclusive et durable » sous-tendu par les thématiques suivantes :

-         Agriculture durable, sécurité alimentaire et résilience ;

-         Engagement du secteur privé dans le développement ;

-         Responsabilisation des populations pour une croissance inclusive.

 

L’édition 2012 des Journées Européennes a enregistré la participation de près de 6000 personnes et plus de 1500 organisations régionales, sous-régionales et non gouvernementales.

 

Au cours de ce séjour belge, le Président Ali Bongo ONDIMBA a prononcé deux discours dont l’un au siège de la Commission Européenne et l’autre au siège du Groupe Afrique-Caraïbes-Pacifique.

 

A la Commission Européenne, le Président Ali BONGO ONDIMBA a présenté les actions abouties, celles en cours ainsi que les projets que le Gabon compte réaliser dans sa course vers l’émergence.

 

Le Chef de l’Etat a interpellé les gouvernements de l’Union Européenne en ces termes « Je suis venu ici pour rencontrer des gens, pour écouter et discuter des idées, et partager ma vision avec vous, en particulier ma vision d’un Gabon Emergent au cœur d’une Afrique qui travaille dur afin de réaliser son potentiel.

 

Je vous invite à porter un autre regard sur l’Afrique. Nous devons cesser de regarder l’Afrique sur le plan de ses ressources naturelles uniquement, mais plutôt la voir comme un continent en mouvement, avec une jeunesse ambitieuse, une classe moyenne qui enregistre la plus rapide croissante que n’importe où dans le monde et plus que tout une économie dynamique avec un taux de croissance moyen supérieur à 5%. »

 

Il a notamment, dans la filière bois, fait le bilan des réformes engagées, lesquelles ont permis en trois ans, avec la transformation locale du bois, de voir les unités de transformation accroître de 40% et le nombre d’emplois augmenter de plus de 80% dans ce secteur.

 

Le Chef de l’Etat a donc souhaité que les mesures restrictives en cours en Europe ne viennent pas freiner la commercialisation de nos produits.

 

Aussi, a-t-il estimé nécessaire, en raison des efforts supplémentaires qui doivent être faits dans le développement des infrastructures de transports, des télécommunications et des énergies propres, que les acteurs européens saisissent les nouvelles opportunités que leur offre le nouveau cadre des affaires pour pouvoir investir au Gabon. Le Gabon offre aujourd’hui une meilleure protection des investissements étrangers sur son sol et c’est à ce titre, que 4,5 milliards de dollars d’investissements directs asiatiques ont pu être sécurisés.

 

Le Président de la République a en outre présenté à l’assistance les efforts des autorités gabonaises en matière de bonne gouvernance démocratique par l’introduction de la biométrie dans notre système électoral.

 

 

Il a par ailleurs présenté les efforts du Gabon dans sa lutte contre la corruption, en rappelant que le Gabon a mis en place une Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite chargée d’éradiquer cette activité immorale, en vue de créer un environnement plus favorable au développement du secteur privé.

 

Le Chef de l’Etat a rappelé aux chefs de gouvernements européens qu’ils devraient travailler de concert avec les pays africains sur ce fléau, car les responsabilités sont partagées de parts et d’autres.

 

Il a également fait un plaidoyer en faveur de la protection de l’environnement, en tant que  bien commun de l’humanité, par l’application stricte des différents protocoles en la matière.

 

Il a  par conséquent, appelé les décideurs mondiaux à ratifier le protocole de Nagoya qui intervient après celui de Kyoto.

 

A ce jour, seuls 6 pays dont le Gabon, ont ratifié ce protocole alors que son entrée en vigueur exige qu’il soit ratifié par 92 pays.

 

Devant les ambassadeurs de l’ACP, le Président de la République a décliné sa vision de faire du Gabon un pays émergent à l’horizon 2025.

 

Aussi, a t-il rappelé l’engagement de son pays  à œuvrer pour l’intensification des relations entre l’ACP et l’Union Européenne ainsi que pour le respect des accords intervenus entre ces deux entités.

 

Dans la foulée des journées, le Chef de l’Etat a eu des entretiens avec certaines personnalités responsables des institutions européennes notamment :

-      le Président de la Commission Européenne, Monsieur José Manuel BARROSO;

 

-      le Président du Parlement Européen, Monsieur Louis MICHEL;

 

-      le Vice-président de la Banque Européenne d’Investissement, Monsieur Pim Van BALLEKOM;

 

-      le Commissaire Européen au Développement, Monsieur Andris PIEBALGS.

 

Les échanges entre le Président Ali BONGO ONDIMBA et ces hautes personnalités ont porté, entre autres, sur la nécessité du renforcement et du raffermissement de la coopération entre l’Union Européenne et notre pays ainsi que sur les opportunités d’affaires que le Gabon peut offrir à l’espace européen.

 

Dans le cadre bilatéral, le Président Ali BONGO ONDIMBA s’est entretenu avec son homologue, le Président Joyce Banda du Malawi.

 

En outre, le Chef de l’Etat a visité le Musée Royal d’Afrique Centrale. Ce musée créé en 1898, renferme un riche patrimoine de la sous-région d’Afrique Centrale.



BONNE GOUVERNANCE : LE GABON AFFICHE DE BONS RESULTATS

 

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Libreville, le 19 octobre 2012 :   D’après le nouveau rapport 2012 de l’Indice Mo Ibrahim, le Gabon est le premier pays d’Afrique centrale en matière de bonne gouvernance et le 22e à l’échelle continentale.

Ces  bons résultats, reconnus par le principal  Indice d’évaluation de  gouvernance sur le continent, sont à mettre à l’actif des autorités du pays dont le Président Ali Bongo Ondimba engagé, depuis son arrivée en 2009 à la tête du Gabon, dans une politique ambitieuse de faire du Gabon un pays émergent à l’horizon 2025. 

Selon l’Indice de la bonne gouvernance africaine, le Gabon a enregistré cette année un score de 53,6/100  contre  50,4 en 2011.  Ce qui le classe ,au sein de  la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, en première position  devant le Cameroun (37e), la Guinée Equatoriale (45e), la République centrafricaine (48e), et le Tchad (51e).

Selon cette même  étude, le score du Gabon est supérieur à la moyenne régionale (40 points) et au dessus de la moyenne continentale (51 points).  

Le pays, depuis 2006,  ne cesse d’améliorer ses performances  dans plusieurs secteurs, notamment en  « Sécurité individuelle » où, d’après l’Indice,  il occupe le 7e rang en Afrique.

Le Gabon gagne aussi deux places dans la catégorie « Développement économique durable », partant du  35ème  rang en 2011 à 32ème dans le classement de cette année, soit une progression  de +9,5 depuis 2006.

Concernant le « Développement humain », le pays remporte  un point.  Classé 16ème l’année dernière, il est   désormais 15ème, soit une progression de +5,0 depuis 2006.


 

Des résultats liés à d’importantes  reformes structurelles

 

Des  réformes majeures ont été lancées pour améliorer l’environnement des affaires au Gabon et rendre le Gabon plus attractif et plus compétitif pour les investisseurs étrangers : la restructuration de la Chambre de commerce.

Celle-ci devient un bureau d’information apte à donner des renseignements sur l’économie nationale et de mettre des investisseurs étrangers en rapport avec des opérateurs économiques gabonais.

L’APIP (Agence de Promotion des Investissements Privés) a aussi été restructurée. L’APIP connue désormais sous  l’appellation de  Centre de Développement des Entreprises est un guichet unique opérationnel et efficace, non seulement  pour des investisseurs étrangers mais aussi dans la réduction de la durée de création d’une entreprise.

L’Agence de Promotion des Investissements et des Exportations - APIEX : cette nouvelle structure doit renforcer le cadre juridique et commercial des exportations des produits gabonais sur le marché international.

Les missions de l’APIEX s’articulent autour des principes suivants : favoriser et inciter l’investissement direct étranger, informer, conseiller et orienter les investisseurs, accompagner et soutenir les entreprises exportatrices, renforcer les capacités d’exportation et promouvoir le dialogue export des entreprises auprès de la cible étrangère.

Afin d’assainir l’environnement des affaires, les autorités ont également entrepris :

-          La restructuration du cadre budgétaire ( LOLF : loi organique relative à la loi des finances )

         La création du Fonds Gabonais d’Investissement Stratégique

-          La création de la Caisse de Dépôts et de Consignation

         L’actualisation des codes des secteurs phares.

-          La création de plan directeurs pour les activités nouvelles.

         Une loi sur les partenariats publics privés.


Pour s’assurer de la bonne marche et du suivi des grands chantiers, l’Etat a mis en place des agences dont l’Agence Nationale des Grands Travaux chargée de la coordination de tous les projets d’infrastructures. Elle assiste l’Etat dans l’identification, la programmation et le suivi des grands projets de travaux publics.

En parallèle, le gouvernement s’est approprié de nouvelles  valeurs et des normes de conduite pour soutenir toute cette nouvelle vision portée à développer véritablement le Gabon.

Le Gabon depuis la mise en œuvre de toutes ces reformes bénéficie de la confiance des investisseurs. Plusieurs contrats, portant sur des projets structurants, d’un montant de plus de 4 milliards de dollars, ont été signés depuis 2010 dans les secteurs du bois, de l’agriculture et des infrastructures.

En avril 2012, l’agence Fitch a ainsi revu la perspective du Gabon à « positive » et confirmé sa notation « BB», preuve que les agences de notation reconnaissent la volonté de reformes du pays et la stratégie économique mise en place

Crée en 2007, l’Indice Mo Ibrahim constitue le recueil le plus complet de données quantitatives conduisant à une évaluation annuelle de la performance en matière de gouvernance dans chaque pays.



FIN


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com

 

La politique du Gabon Emergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org

 

https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

 

 

 

18/10/2012

Journées Européennes du Développement Le Gabon Émergent décliné devant l`Europe

 

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Dans le cadre de la 7ème édition des Journées Européennes de Développement,  la première participation du Chef de l’Etat, sur invitation du Président de la Commission Européenne, José Manuel Barosso, a confirmé l`arrivée sur la scène internationale d`une nouvelle génération de dirigeants africains, désireux de repenser et de redéfinir les relations entre l’Europe et l`Afrique et avec un nouveau discours.

« Je voudrais aussi profiter de cette circonstance solennelle pour dire que le monde entier et le Gabon en particulier célèbrent l’année prochaine l’œuvre d’un autre prix Nobel de la paix, le Docteur Albert Schweitzer, réellement européen avant l’heure. »

« A l’occasion de cette célébration, je souhaite vous inviter à Lambaréné pour participer à cet événement qui a pour objet de montrer que l’esprit humanitaire initié par le docteur Schweitzer est toujours vivant. »


Ce sont en ces termes  que le Président Ali BONGO ONDIMBA a commencé
son discours qui a été essentiellement axé sur la Déclinaison des ambitions du Gabon Emergent afin de positionner le Gabon comme une des économies africaines les plus compétitives grâce à la mise en œuvre d’une stratégie globale et cohérente à savoir,  le Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), qui comporte trois axes stratégiques : le Gabon Vert, le Gabon Industriel et le Gabon des services.

Pour le Chef de l`Etat qui inaugurait ainsi son premier face a  face avec l’Europe des  institutions, l’émergence devra également se refléter à travers la qualité des Institutions, la consolidation de l’Etat de Droit, la lutte contre la corruption, le respect de la Démocratie, l’amélioration de l’environnement des affaires.


« Changeons de regard sur l’Afrique »

La présence du Président Gabonais à cette rencontre, s’est inscrite dans une perspective d’échange et de partage avec ses pairs de ses ambitions pour une Afrique meilleure. Il en a profité pour repréciser sa vision du Gabon Emergent, au cœur d’une Afrique qui ne ménage aucun effort pour décupler ses potentiels.

A cet effet, il a estimé que le moment était venu de regarder l’Afrique sous des prismes plus objectifs et que désormais l’Europe et l’Afrique doivent construire le futur sur de nouvelles bases.

Pour lui, il s’agit désormais de percevoir le continent africain comme un espace en mouvement, avec une jeunesse ambitieuse, une classe moyenne affichant la plus forte croissance partout dans le monde et une économie de plus en plus dynamique, avec un taux de croissance moyenne de plus de 5%.


Des exemples concrets de mutations en cours au Gabon.


« A titre d’exemple, avant 2009, plus de la moitié de la ressource forestière
exploitée était vouée au gaspillage.  La mise en place d’un processus de transformation et de valorisation locale permet désormais d’inverser la tendance pour atteindre une utilisation maximale. » 
C’est ce qu’a indiqué le Président Ali BONGO ONDIMBA, avant de poursuivre que trois années ont permis d’accroitre de 40% le nombre d’unités de transformation du bois et d’augmenter de 80% le nombre d’emplois créés dans la filière.

Il ajoute ensuite que le Gabon a pu sécuriser, en deux ans, près de 4,5 milliards de dollars d’investissements directs étrangers en provenance du sud-est asiatique, ce qui apparait comme le gage d’une confiance retrouvée.


 

Créer des pôles économiques dynamiques

Le développement, selon le Chef de l’Etat Gabonais, ne peut être atteint sans le renforcement des capacités, un effort considérable de mise à niveau de sorte à permettre de développer davantage d’infrastructures de base dans les domaines des transports, des télécommunications et des énergies propres.

Quant aux partenaires européens, leur intervention est principalement attendue sur le plan du secteur privé, afin de bénéficier de la mise en place des opportunités offertes en Afrique par la conception de nouveaux cadres d’affaires pour investir dans ces secteurs structurants de notre économie.

 

Un accent mis sur le Capital Humain

L’émergence du Gabon ne saurait se réaliser sans un capital humain de qualité basé sur une éducation à même de former les compétences indispensables au développement, c’est à dire l’adéquation formation-emploi, rappelant que le projet de la cité verte de l’éducation positionnera le Gabon comme pôle régional de référence dans la formation supérieure. Le Président Gabonais indique aussi que depuis 3 ans, une politique ambitieuse de soutien à la formation permet déjà à 60% des étudiants de bénéficier d’une bourse d’étude. Il en profite pour lancer un appel aux pays européens afin qu’ils assouplissent leurs législations pour l’accueil des étudiants et stagiaires africains dans leurs universités et grandes écoles.


 

La bonne Gouvernance, une nécessité 

Facteur de choix dans l’attractivité d’un pays, la bonne gouvernance se révèle critique dans les choix des investisseurs, et a été mise au cœur de la stratégie de création et de redistribution des richesses au Gabon.

En effet, l’aspiration des peuples à plus de justice, d’équité, de démocratie, de respect des droits de l’homme et de lutte contre la corruption doit être prise en compte dans toutes les politiques publiques tant au niveau national que dans la coopération et, partant, entre le Gabon et l’Union Européenne.


La Biométrie, gage d’élections fiables

A propos de la gouvernance démocratique, le Président Ali Bongo Ondimba a indiqué que son pays s’est engagé, par une Loi votée au parlement, à introduire les technologies biométriques dans l’identification des électeurs pour la constitution d’un fichier électoral de plus en plus fiable afin d’aboutir à des élections plus transparentes pour éviter toute contestation. Il poursuit en soulignant que le Gabon dispose, de l’une des lois électorales les plus strictes au monde, fruit d’une active concertation entre la majorité, le gouvernement et l’opposition. Elle garantit à chaque candidat et à chaque parti politique, une présence effective dans tous les niveaux de décision et d’organisation du processus électoral.

 

 

Positionnement du Gabon sur les questions de développement durable

Conscient des atouts naturels de son pays, le Président Gabonais s’est également engagé à faire jouer au Gabon son rôle face aux défis environnementaux auxquels la planète doit faire face, à savoir le changement climatique et l’érosion de la biodiversité.

Pour atteindre ces objectifs, le gouvernement gabonais  a pris un certain nombre de mesures parmi lesquelles : la création d’un Ministère de l’Economie chargé du développement durable pour une meilleure intégration de la dimension environnementale dans toutes les politiques publiques de développement ; l’adoption par le Conseil des Ministres d’un projet de loi d’orientation sur le développement durable dont l’objectif principal est de cadrer l’action des différents acteurs de la société gabonaise ; la mise en œuvre d’un plan d’affectation des terres qui permettra d’éviter les conflits d’usage et d’optimiser au mieux nos atouts naturels ; la création d’une station d’acquisition d’images satellitaires pour la surveillance environnementale au Gabon, mais aussi pour plus d’une vingtaine de pays africains.

De même lors de la dernière conférence de Durban sur le changement climatique, le Gabon a présenté sa stratégie nationale de lutte contre le changement climatique avec pour objectifs de réduire de manière significative ses émissions de gaz à effet de serre par une meilleure utilisation des gaz torchés, et par une gestion plus rationnelle de son patrimoine forestier.

Autant d’efforts consentis au profit de l’humanité tout entière et qui doivent être soutenus par un engagement plus ambitieux et opérationnel des pays européens à la veille de la fin de la première période d’engagement du protocole de Kyoto. A Nagoya au Japon, le Gabon a eu l’honneur de porter la voix de l’Afrique en matière de lutte contre l’érosion de la biodiversité, étant ainsi le premier pays à avoir ratifié le protocole de Nagoya. A ce jour, seuls 6 pays l’ont fait sur les 92 nécessaires pour l’entrée en vigueur de ce protocole.

Le Président Ali BONGO ONDIMBA en a donc profité pour demander aux pays membres de l’Union Européenne qui ne l’ont pas encore fait, de le ratifier à leur tour.  Une invitation qui a suscité l’applaudissement de toute l’Assemblée.



FIN

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La politique du Gabon Emergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org

 

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ACP Bruxelles: Plaidoyer du Président ALI BONGO ONDIMBA pour un engagement commun et une solidarité plus accrue.

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Dans le cadre de la 7ème édition des Journées Européennes de Développement, le Président Ali BONGO ONDIMBA a été convié à une séance de travail avec l’assemblée des ACP.

Ce fut pour le Numéro 1 Gabonais l’occasion de repréciser sa vision pour le Gabon, avec les perspectives de développement attendues des mutations amorcées et à venir.

Appréciant et louant les actions menées par ses pairs dans le sens de l’amélioration du mieux-être de leurs concitoyens respectifs, le Président Ali BONGO ONDIMBA a rappelé que cette dynamique cadre davantage avec les nouvelles exigences socio - politiques et économiques contemporaines.

Insistant sur le développement de secteurs clés tels que la santé, l’éducation, le logement, l’eau, l’électricité, le transport et les télécommunications, le Chef de l’Etat Gabonais a renouvelé les nobles ambitions nourries pour son pays, résolument engagé dans la mise en œuvre du Plan Stratégique du Gabon Emergent qui concentre la vision du pays à l’horizon 2025.

Après avoir déploré les insuffisances de l’économie de rente le Président Ali BONGO ONDIMBA a évoqué la nécessité d’un changement de paradigme, pour impacter positivement les secteurs sociaux, en l’occurrence, la santé, la sécurité alimentaire, le logement et le développement des infrastructures.

L’ambition de l’émergence, est de positionner le Gabon comme une des économies africaines les plus compétitives grâce à la mise en œuvre d’une stratégie globale et cohérente.

Pour le Président de la République, l’émergence devra également se refléter à travers la qualité des Institutions, la consolidation de l’Etat de Droit, la lutte contre la corruption, le respect de la Démocratie, l’amélioration de l’environnement des affaires.

Ce dispositif d`ensemble contribue au positionnement de choix du Gabon sur la scène régionale et internationale.

Pour matérialiser cette vision ainsi décrite, le Gabon a aussi besoin du concours des pays amis, notamment de ceux du Groupe ACP et de l’Union Européenne avec lesquels une coopération ancienne est entretenue et sous-tendue par les Accords de Yaoundé, Lomé et Cotonou.

A cet effet, le Président Ali BONGO ONDIMBA a lancé un appel au nécessaire renforcement de la solidarité au sein du Groupe ACP, pour mieux faire face aux défis multiformes auxquels nous sommes tous confrontés.

Vers une solidarité plus probante

La nécessité d’un renforcement des liens de solidarité entre Etats membre apparait, pour le Président Ali Bongo Ondimba comme un nécessaire préalable à l’atteinte des ambitions communes et partagées.

Il a donc indiqué que le septième Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement ACP qui se tiendra très prochainement en Guinée Equatoriale, donnerait l’occasion de réaffirmer cet état d’esprit et d’exprimer plus fortement la foi dans la capacité de ce Groupe à tirer le meilleur profit de son partenariat avec l’Union Européenne en définissant des orientations encore plus prévoyantes et innovantes.

Pour finir, le Chef de l`Etat a indiqué que « …dans un monde sans cesse en mouvement, le Gabon évolue, les ACP évoluent, l’Europe doit aussi évoluer dans son approche et garder toute sa place à nos côtés dans un esprit de solidarité. »


FIN

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La politique du Gabon Emergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

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16/10/2012

Gabon: Sylvia Bongo Ondimba prend part au XIVème sommet de la Francophonie à Kinshasa

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Libreville, le 16 octobre 2012 - A l’occasion du 14ième sommet de la Francophonie qui s’est tenu les 13 et 14 octobre 2012, la Première Dame du Gabon a assisté aux différentes cérémonies officielles aux côtés du Président de la République, Chef de l’Etat.

Le Samedi 13 octobre, Madame Sylvia BONGO ONDIMBA a participé à la cérémonie d’ouverture du sommet marquée par la présence d’une quinzaine de chefs d’Etat des pays membres de la Francophonie et des représentants des organisations internationales.

Au cours de cette cérémonie, ces officiels sont intervenus sur des questions de développement, de paix, d’éducation et des femmes qui intéressent la Première Dame dans le cadre de ses actions.

Aussi, la Première Dame a pris part au déjeuner des Premières Dames à l’invitation de Madame Olive KABILA, Epouse de Chef d’Etat de la République Démocratique du Congo (RDC).

Ce moment particulièrement riche en échanges lui a permis de s’imprégner de l’évolution des actions que mènent ses consœurs dans leurs pays et de présenter les initiatives de sa Fondation auprès des populations fragilisées au Gabon.

Ce cadre de rencontre plus informel a réuni les Premières Dames du Cameroun et du Burundi.

En marge des manifestations officielles, Madame Sylvia BONGO ONDIMBA a effectué la visite de l’Académie des Beaux Arts de Kinshasa le samedi 13 octobre.

Créée en 1943, cet institut d’enseignement des arts visuels et des arts appliqués a formé de nombreux artistes, dont des Gabonais, dans les domaines artistiques de la céramique, la décoration intérieure, la peinture et la sculpture.

De plus, la Première Dame s’est déplacée sur un site hébergeant des chimpanzés nains (bonobos en langue locale) qui est situé dans la banlieue sud de la capitale congolaise.

Ce site compte aujourd’hui plus de cinquante bonobos et une équipe de vétérinaires.

Le bonodo qui vit exclusivement dans les forêts pluviales de la République Démocratique du Congo figure sur la liste rouge de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) des espèces menacées.


FIN

 

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Des informations supplémentaires sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba sont disponibles aux liens suivants :

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

https://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/15535...

- Contacts Communication : presse@fondationsbo.org


15/10/2012

Gabon: Ali Bongo Ondimba , un homme pressé au seul service du peuple

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Le mardi 16 octobre 2012 , le Président de la République Gabonaise , Ali Bongo Ondimba , totalisera trois ans à la tête de Gabon. Il a été élu pour un mandat de 7 ans , et depuis qu'il a pris les rênes du pays, il agit en homme pressé.

C'est ainsi qu'il s'est lancé dans une dynamique de réformes qui n'ont épargné aucun secteur, sinon presque . Conscient du poids de l'héritage de ses prédécesseurs, qu'il ne doit pas assumer tout seul, il s'est mis dans une posture d'homme de rupture. Aussi bien dans le choix des objectifs que dans la manière de les atteindre.

Dans ce cadre , le numéro un gabonais a défini clairement son ambition : faire du Gabon un pays émergent. Mais cela ne se fera pas dans le désordre, plutôt en respectant un canevas bien précis. Lequel se résume à trois axes : Gabon vert, Gabon industriel et Gabon des services. Le tout se faisant avec en tête le triptyque " Paix - Développement - Partage " dans lequel chacun devrait se reconnaître...

Depuis bientôt trois ans , le Gabon vit au rythme des réformes et des projets de développement , preuves incontestables de la volonté de changement qui caractérise son nouveau président. Des chantiers sont visibles, de nouveaux textes sont initiés, etc .

Pendant que certains applaudissent et encouragent, d'autres minimisent, contestent et font parfois dans la mauvaise foi. Politique politicienne et aigreur semblent perdurer.

En trois ans seulement de magistrature, Ali Bongo Ondimba a réussi un pari impensable : remettre le Gabon au travail, supprimer les privilèges, tordre le cou aux mauvaises habitudes, restaurer l'autorité de l'Etat, privilégier l'intérêt général, bref oser proclamer la révolution dans notre pays. Une révolution au sens propre comme au sens figuré du terme avec pour finalité faire du Gabon un pays émergent.

Frappé par une sorte d'apathie au sortir de la présidentielle de 2005 jusqu'à celle d'août 2009, le pays tournait au ralenti. L'autorité de l'Etat était trop souvent bafouée ; la corruption avait atteint un niveau inacceptable ; la justice sur la-quelle comptent les citoyens pour se mettre à l'abris des " puissants " s'était désintégrée ; en somme le pays était en train de " foutre le camp ".

Feu le Président Omar Bongo Ondimba l'avait d'ailleurs reconnu en 2007 , dans son discours bilan de ses 40 ans de pouvoir et avait dénoncé cette dérive qui menaçait les fondements de la Nation.

Nombreux était nos compatriotes qui ne croyaient plus à la résurrection de notre pays . Et ne pouvaient pas parier sur la capacité d'Ali Bongo Ondimba à refonder la Nation . Tout le monde s'était tromper.

En trois ans , il a prouvé aux Gabonais que " lui , c'est lui " et que , bien qu'assumant l'héritage du passé il était capable de changer la vie avec sa vision : celle de faire du Gabon une nation forte, prospère et solidaire dont la fondation repose sur l'unité et le travail.

Après l'avoir vu à l'oeuvre , bien des gabonais regrette aujourd'hui de ne pas l'avoir eu un peu plus tôt, lui , Ali à la barre du navire Gabon. Il les aurait déjà menés vers des horizons prometteurs.

A preuve , malgré les tempêtes , le navire avance avec sérénité. Et notre pays , qui a accumulé un grand retard sur le plan de son développement économique et social retrouve peu à peu ses marques et sa crédibilité.

Le pays se construit . Les chantiers ne se comptent plus . les investisseurs se bousculent pour trouver une place . Des signes qui ne trompent pas .

Notre pays a retrouvé sa santé d'antan qui faisait notre fierté.

Autre révolution , celle qui bouscule le fondement même de la société gabonaise. Dans le passé, pour accéder aux lumières de la République , il fallait être un homme du sérail , fils à papa, disposer de passe-droits. Désormais , dans le public ou dans le privé , le système Ali9 a institué la " méritocratie ".

Désormais l'appartenance aux castes et aux clans n'est plus la condition de distinction sociale. A l'éducation nationale , l'école devient véritablement républicaine. Les mêmes critères d'octroi de la bourse de l'Etat sont appliqués à tous, fils de riche comme de pauvre.

Devenir un propriétaire n'est bientôt plus un mythe pour des milliers de compatriotes. L'assurance maladie universelle accessible à tous suscite l'admiration de toute l'Afrique. L'Etat de droit qui se consolide ne va pas sans l'établissement de règles et le respect de celles-ci.

Un nouveau vent souffle et nous débarrasse de nos incertitudes d'hier pour nous fixer un cap : le Gabon sera un Etat de droit. La promesse est faite .

Il y aura des audits sur l'utilisation des fonds alloués pour l'organisation des fêtes tournantes. Tous ceux qui seront coupables de détournements de l'argent des contribuables gabonais iront purement et simplement en prison. La fin de l'impunité , n'est-ce-pas là aussi une révolution.

Les multiples chantiers ouverts sur tous les fronts et les mesures sociales au bénéfice du plus grand nombre depuis deux ans par le Président Ali Bongo Ondimba sont des signes encourageants et suscitent espoir. Tout le monde est unanime pour reconnaître que leur aboutissement contribuera à améliorer considérablement le quotidien des citoyens et le visage du Gabon.

Il revient au Chef de l'Etat de maintenir la pression , pour vaincre les forces d'inerties encore tapies dans la haute administration , et d'user aussi de l'arme de la sanction , afin que le train de l'émergence arrive à l'heure.

 

MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA 


14/10/2012

Gabon: Ali Bongo Ondimba réaffirme l’importance de la paix, du développement économique durable et de la préservation de l’environnement

 

 

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Kinshasa, le 14 octobre 2012 – A Kinshasa depuis 2 jours, pour participer au XIVe Sommet de la Francophonie, dont le thème cette année est « Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à la gouvernance mondiale », le Président gabonais Ali Bongo Ondimba a réaffirmé l’importance de la paix, du développement économique durable et de la préservation de l’environnement pour construire l’avenir de l’Afrique mais aussi la nécessité de réformer la gouvernance internationale.

Au cours des travaux sur les « Enjeux environnementaux et économiques » qui se sont tenus ce dimanche 14 octobre, le Président Gabonais s’est exprimé sur la nécessité de trouver des solutions pour faire en sorte que, conflit, pauvreté et dégradation de l’environnement, des problématiques majeurs en Afrique, se transforment en un cercle vertueux de paix, développement économique durable et préservation de l’environnement.

Reprenant les propos de son homologue béninois Yayi Boni, Ali Bongo Ondimba, a déclaré que « l’Afrique a besoin de paix pour se développer » et pour envisager un « avenir qui repose sur des atouts économiques et environnementaux considérables ».

Mais, il est aussi nécessaire de « bâtir des économies robustes, fondées sur une meilleure valorisation des ressources naturelles, sur une plus grande résilience à la volatilité des prix des matières premières, sur une diversification des activités économiques et des partenariats et sur des ressources humaines bien formées ». « La lutte contre le chômage de la jeunesse doit en être le moteur ». a t il ajouté.

De plus, pour le chef d’Etat gabonais, une comptabilité entre les économies africaines et les contraintes environnementales majeures, auxquelles la planète doit faire face, à savoir le changement climatique, l’érosion de la biodiversité et la dégradation des sols, est primordiale.

« La faible empreinte écologique des pays africains membres de la Francophonie, constitue une opportunité de faire de l’espace francophone un exemple de développement durable ». Mais pour cela, les pays doivent bénéficier des savoirs et technologies pour un développement sobre en émission de gaz à effet de serre.

Le chef de l’Etat gabonais a ensuite ajouté que « l’Afrique a besoin d’une gouvernance environnementale mondiale qui soit opérationnelle et à la hauteur des enjeux ». Pour lui, il est important de réformer cette gouvernance internationale.

En effet, « la multiplicité des agences et des programmes ne permet pas d’atteindre la coordination et l’efficacité indispensable à la mise en œuvre des décisions internationales ». De plus, il existe  un « manque de volonté politique au regard des lourdes menaces qui pèsent sur l’avenir de la planète, qui ne permet pas de changer les trajectoires actuelles ; pour preuve, le Monde s’inquiète de l’érosion galopante de la biodiversité indispensable à la vie, mais à ce jour, seuls 6 Etats ont ratifié le protocole de Nagoya », dont le Gabon. Enfin, parce que « la question des biens communs de l’Humanité, doit pouvoir trouver des réponses à la hauteur des inquiétudes et des aspirations des peuples à se développer ».

Le président a conclu son intervention en ajoutant qu’ « une Francophonie dynamique et audacieuse doit pouvoir permettre de contribuer à assainir la gouvernance environnementale mondiale actuelle pour en améliorer les performances».

Les chefs d’Etats et de gouvernements présents ont salué l’intervention du président gabonais qui renforce la déclaration de Kinshasa, adoptée à l’unanimité au terme de ces deux journées de travaux.

Ce XIVe Sommet de la Francophonie a été marqué par un consensus autour de toutes les questions à l’ordre du jour. La Francophonie s'est globalement engagée à soutenir l'Afrique dans tous les domaines, dans sa déclaration de Kinshasa en 60 points, résumant les engagements des 57 pays membres et 20 observateurs. De plus, tout comme le Président gabonais lors de son intervention à la 67e Assemblée Générale des Nations Unies de septembre dernier, l’organisation internationale de la francophonie a de nouveau plaidé pour " l'indispensable réforme du Conseil de sécurité " afin d’y " donner aux pays africains toute leur place ".

Le prochain sommet se tiendra en 2014 à Dakar, au Sénégal.

 

FIN

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La politique du Gabon Emergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

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Gabon: Le président Ali Bongo Ondimba pose la première pierre de l’École des Mines

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Moanda, le 12 octobre 2012 – S.E. Ali Bongo Ondimba, président de la République Gabonaise, chef de l’État, a posé la première pierre de l’École des Mines et de la Métallurgie de Moanda (Haut-Ogooué), vendredi 12 octobre 2012 en fin de matinée.

Accueilli sous un chaud soleil par les populations et les groupes de danseurs traditionnels, l’hélicoptère présidentiel s’est posé à 10h45 sur la terre rouge des hauts plateaux moandais.

Le chef de l’État a été rejoint pour cette cérémonie - premier événement des célébrations du cinquantenaire de la Comilog – par le Premier ministre, le ministre de l’Industrie et des Mines, le gouverneur de la province, des parlementaires ainsi que l’ambassadeur de France et les représentants des organismes de coopération.

Véritable école d’application d’envergure régionale destinée à former des techniciens supérieurs et des ingénieurs, l’EMMM recrutera dès septembre 2015 à Bac+2 pour conduire les étudiants à un niveau de licence professionnelle/technicien supérieur et à Bac+4 pour atteindre un niveau de maîtrise professionnelle/ingénieur, le tout dans des spécialités variées, de la géologie à la minéralurgie, de l’hydrométallurgie à la pyrométallurgie.

La première promotion de techniciens sera diplômée fin 2016 et la première promotion d’ingénieurs sera diplômée en juin 2017.

Audacieux projet du cabinet librevillois Maïssa-Architectures, l’établissement se présente pour l’heure sous la forme d’une maquette d’écrin minéral, tout en transparence et en découpes nettes et obliques, traversé de murs rideaux à ossature de bois.

Une création tendue vers la forêt environnante dans les courbes draineront les eaux de pluie et dégageront des volumes intérieurs naturellement ventilés par l’emprisonnement de l’air chaud dans des plénums.

L’École des mines et de la métallurgie de Moanda est un projet important qui s'insère dans la politique du " Gabon émergent " initiée par le président Ali Bongo Ondimba et qui répond à la volonté des autorités gabonaises de développer les compétences de ses cadres nationaux dans un secteur minier appelé à se développer.

À l’horizon 2020, le Gabon « doit devenir un pôle métallurgique avec un tissu de PME-PMI », indiquait en 2011 le président de la République. Le campus de l’EMMM, bénéficiera du savoir-faire du pôle Mines de Nancy qui pilotera un consortium composé de l’École nationale supérieure de géologie de Nancy, l’École des mines de Nancy, l’Université de Lorraine, l’École des mines de Paris, l’École des mines d’Alès, et l’Université de Montpellier II.

Comme l’a souligné, dans son allocution, le ministre de l’Industrie et des Mines Régis Immongault Tatangani, « l’avenir est dans la transformation du minerai au Gabon, afin de développer une chaîne de valeur autour d’une grappe d’entreprises sous-traitantes locales ».

Avant de poursuivre, à l’adresse de la Comilog : « Moanda hébergera un pôle de compétitivité où entreront en synergie les technologies extractives, l’ingénierie financière et l’espace cognitif ; pour cela, il nous faut des entreprises citoyennes qui prennent en compte le développement social et les codes environnementaux. »

Prenant la parole devant le président Bongo Ondimba, le PDG du groupe français Eramet-Comilog, Patrick Buffet, a souligné la nécessité de poursuivre « l’œuvre et l’esprit des bâtisseurs » à l’origine de la mise en exploitation du gisement de manganèse de Moanda il y a exactement cinquante ans.

« Comilog – qui demeure un des premiers employeurs du pays - va connaître une mutation et se tourner plus que jamais vers le futur, avec cette école exceptionnelle et le Complexe Métallurgique de Moanda (C2M) », dont le chantier a pu être visité par Ali Bongo Ondimba lors de cette même journée.

Concrétisation du vœu de feu le président Omar Bongo Ondimba de transformer localement les matières premières, ce site déployé sur 50 ha et opéré par 400 postes de travail produira à la fin 2013 quelque 65 000 tonnes de silicomanganèse et 20 000 tonnes de manganèse métal. Objectif : faire de Comilog un « leader mondial gabonais ».


FIN

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La politique du Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.

Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

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