25/01/2013
LUTTE CONTRE LE BRACONNAGE: Saisie d’un important stock d’ivoire (176 kg)
Les autorités judiciaires gabonaises ont saisi le 22 janvier 2013 au Port-Môle, à Libreville, 176 kg d’ivoire, deux cornes de sitatunga, 150 kg de requin salé et fumé et un gros carton de crevettes pêchées illégalement. Les trafiquants ont été arrêtés.
Suite aux informations recueillies par l’ONG Conservation Justice, partenaire du ministère des Eaux et Forêts (DGAP) en matière de répression des crimes liés à la faune, des trafiquants d’ivoires ont été filés depuis la ville d’Oyem jusqu’à au Port-Môle de Libreville, lieu à partir duquel de la marchandise allait être acheminée vers Cotonou, au Bénin.
Grâce à une action menée au siège de la société ACCOMAR, avec l’appui des autorités judiciaires gabonaises, les agents ont saisi 18 défenses d’éléphant – l’équivalent de neuf éléphants tués – d’un poids total de 178 kilogrammes, prêtes à être embarquées dans le navire passagers/Cargo, EMILIANA CARNEIRO, immatriculé L-05/IS/2012, appartenant à ACCOMAR et battant pavillon camerounais.
Le navire commandé par Manuel QUARESMA Dos Ramos, de nationalité saotoméenne, était à quai depuis trois semaines et était en instance de départ pour Sao Tomé, le Nigéria et le port de Cotonou au Bénin.
La découverte du stock d’ivoire a conduit à une fouille systématique du bateau, avec la collaboration de plusieurs autres administrations dont la Douane, la Marine marchande, la Gendarmerie du Port-Môle, les Eaux et Forêts, la Police de l’air et des frontières et l’ONG Conservation Justice.
Résultat :
150kg de requin salé et fumé enfouis dans le colis n° 0896;
deux cornes de sitatunga (espèce d’antilope) enfouies dans le colis n° 02363, appartenant à AGBE To KOMEFA et à destination de Cotonou ;
un carton de crevettes appartenant à CHIDIMA OKAFOR et à destination du Nigéria.
Les deux suspects en possession des deux colis d’ivoire, les nommés TCHITOMBI Pamphile de nationalité gabonaise, et FADIKPE Sylvain de nationalité togolaise, tous employés par l’ACCOMAR, représentant le navire EMILIANA CARNERO, ont été conduits à la police judiciaire, assistés du substitut du Procureur de la République.
Le Gabon est le foyer de plus de la moitié des éléphants de forêt d'Afrique, avec une population estimée à plus de 20.000 individus.
La population d'éléphants du Gabon est restée relativement stable, mais le massacre, ces deux dernières années, est de plus en plus observé, mettant en péril la survie de l’espèce.
Avec le prix de l’ivoire qui ne cesse d’augmenter chaque année sur le marché noir asiatique – plus de 1 000 000 FCFA (2000 USD) le kg actuellement – le pays, dernier refuge de l’animal emblématique, devient la cible de tous les braconniers de la pire espèce en Afrique centrale.
FIN
Pour plus d’informations, contacter :
Prof Lee White, Secrétaire Exécutif : +241 07 84 00 63, lwhite@parcsgabon.org
Christian Mbina, Directeur Technique : +241 07 87 79 35, cmbina@parcsgabon.org
Joseph Mayombo, Directeur de la Communication Adjoint : +241 07 84 00 15, jmayombo@parcsgabon.org ou jmayombo1@yahoo.com
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Le Gabon accueillera le Trophée des Champions 2013
Libreville, le 25 janvier 2013 – Le Gabon exprime sa grande satisfaction après l’annonce par la Ligue française de football professionnel (LFP) de sa décision d’organiser le Trophée des Champions 2013 le 3 août prochain à Libreville.
La 18e édition de ce Trophée, traditionnellement disputé hors de France depuis 2009, offrira à la capitale gabonaise un éclat médiatique international.
Après le Canada, la Tunisie, le Maroc et les États-Unis, le Gabon est le premier pays d’Afrique sub-saharienne à ouvrir ses pelouses aux champions de la Coupe et de la Ligue 1.
Avec le soutien total des autorités gabonaises, et l’assurance de trouver à Libreville le cadre idéal pour une grande fête du ballon rond, la Ligue de football professionnel (France) poursuit ainsi un développement à l’international qui fit étape à Montréal, Radès, Tanger et New-York.
« Ce choix constitue une opportunité, commente la Ligue, d’intensifier les échanges entre le football français et le football africain. Organiser le Trophée des Champions au Gabon est ainsi un moyen de rendre à l’Afrique, dont plus de 110 joueurs évoluent en Ligue 1 cette saison, ce qu’elle apporte au football français ».
Un an et demi après le succès de la CAN - au terme de laquelle le Gabon a été unanimement salué pour la qualité de son organisation et de ses infrastructures - la perspective de ce sommet des champions opposant les vainqueurs du championnat de L1 et de la Coupe de France vient à point nommé s’inscrire dans la dynamique de relance du football gabonais symbolisée par le coup d’envoi d’un championnat professionnel.
« Redorer le blason de notre football revêt un certain nombre d’objectifs stratégiques pour notre pays, indique Joël Anicet Birinda, président de la LINAF : d’une part offrir un football spectacle à la société gabonaise via le développement d’un championnat hautement compétitif ; d’autre part, mettre en place une industrie footballistique solide et capable de croître sur le long terme ; et en dernier lieu consolider une gouvernance, un professionnalisme et une image du football gabonais au niveau international ».
Le dispositif médiatique exceptionnel qui accompagne le Trophée des Champions, renforcé par le nouveau partenariat à l’international de la LFP avec Al Jazeera Sports, permettra une diffusion de l’événement du 3 août dans plus de 70 pays et offrira au Gabon une occasion particulière de faire mieux connaître ses installations de premier plan.
Naturellement chaleureux, brillant par son esprit sportif, amateur de beau jeu, le public gabonais aura à coeur de fêter ce jour-là le vainqueur et de saluer la ténacité du perdant.
Le choix du Gabon comme premier pays d’accueil du Trophée en Afrique sub-saharienne fait également écho aux engagements et aux ambitions du président Ali Bongo Ondimba.
S’exprimant à la tribune du forum mondial sur le sport "Doha Goals" en décembre 2012, le chef de l’État soulignait les vertus du sport, « un fédérateur des coeurs, un moment fort d’espoirs, de rêves, d’émulation, de performances et d’accomplissement individuel et collectif ».
Ajoutant : « Les championnats de football du monde entier accueillent leur légion de joueurs africains de haut niveau depuis des décennies ».
Ainsi, fort de l’énergie et de l’unité de son peuple, fier de ses propres vedettes et confiant dans ses capacités à héberger ou à organiser des événements sportifs d’ampleur internationale, le Gabon se prépare à célébrer les champions du ballon rond.
FIN
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/
La politique du Gabon Émergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.
Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/
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23/01/2013
Concertation politique opposition majorité autour du Président Ali Bongo Ondimba
Plusieurs acteurs politiques se sont retrouvés ce mardi avec le chef de l'Etat, à la Cité de la Démocratie, dans le cadre des concertations politiques pour débattre de la biométrie, du Conseil national de la démocratie (CND) et de la mise en place d'une commission de la CEMAC qui sera composée des acteurs politiques nationaux, opposition comme majorité.
L’opposition et la Majorité sont venus très nombreux et pris d’assaut, la salle de spectacles de la Cité de la Démocratie afin de prendre part à la concertation politique initiée par le Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba. Aux côtés des membres du gouvernement conduits par le Premier ministre, Chef du gouvernement, Raymond Ndong Sima, il y avait plusieurs personnalités dont les représentants de l’Assemblée Nationale en la personne du Professeur Daniel Ona Ondo, du Senat par Léonard Andjembé, le Conseil Economique et Social (C.E.S) par son Président Paul Biyoghé Mba et le Président du Conseil National de la Communication (CNC), Guy Bertrand Mapangou.
Dans son allocution de circonstance, Ali Bongo Ondimba qui s’est réjoui de la promptitude avec laquelle les uns et les autres avaient répondu massivement à son invitation a salué l’esprit républicain qui les a animés et a précisé que l’intérêt supérieur de la nation avait primé sur les considérations politiciennes. Il a par la suite expliqué les enjeux de la présente rencontre tout en souhaitant que chacun s’extirpe et donne le meilleur de lui-même en vue de faire avancer les dossiers proposés.
Rappelant au passage les circonstances ayant milité pour la remise à l’état des rudiments de la Démocratie, il a déploré que les contestations permanentes aux sorties des consultations aient malheureusement éloigné les citoyens des urnes, au point de les détourner purement de la politique. Il a rappelé que, depuis les accords de Paris, suivis de celles d’Arambo, plusieurs entités (CNE, CENAP) qui se sont succédées ont connu des fortunes diverses avec à chaque fois, des récriminations des hommes politiques.
Pour le Chef de l’Etat, le changement à répétition des arbitres n’a pas toujours facilité l’acceptation des résultats des votes et ce, malgré la bonne volonté et la qualification avérée des différents acteurs. D’où la nécessité pour tous de s’accorder en vue de la mise en branle de la biométrie dans le système électoral actuel.
Pour ce qui concerne le Conseil National de la Démocratie (CND), Ali Bongo Ondimba a déclaré qu’il pouvait représenter un cadre idéal d’échanges entre acteurs en vue de garantir un débat contradictoire ; lui-même important pour la vitalité d’une démocratie. De même que le Chef de l’Etat a laissé entendre que nulle part au monde, la Démocratie n’était une œuvre achevée car, elle nécessite une amélioration quotidienne.
Quant à la mise en place de la commission nationale de la Cemac, Ali Bongo Ondimba a manifesté un intérêt capital en ce que les enjeux communautaires étaient importants pour le rayonnement du Gabon sur le plan international. Il a pour cela invité les différents acteurs à prendre à bras le corps cette invite afin de rehausser, comme l’avait toujours fait en son temps, son prédécesseur à la tête de l’Etat, le flambeau diplomatique du Gabon.
Il a aussi demandé à ses interlocuteurs de lui proposer une feuille de route Cemac à même de répondre aux aspirations des intérêts régionaux. Au terme de son allocution, les représentants de chaque bord politique se sont exprimés sur les attentes du Chef de l’Etat.
Le premier à prendre la parole fut le Secrétaire Permanent de la Majorité Républicaine pour l’Emergence, M. Faustin Boukoubi. Il a regretté qu’aucun camp n’ait été averti pour l’intervention durant la présente cérémonie. Il a cependant exprimé la gratitude de la majorité envers le Chef de l’Etat et a salué son initiative qui va dans le sens de raviver le dialogue entre les acteurs politiques nationaux. Pour lui, le cadre de concertation patriotique ne peut qu’être louable dans la mesure où il démontre que, bien que chacun ait sa manière, tous aiment le Gabon. In fine, nul n’a le monopole de l’amour du Gabon.
Pour Maître Louis Gaston Mayila qui s’exprimait au nom de l’Union des Forces du Changement (UFC), l’initiative du Chef de l’Etat est salutaire et devrait être encouragée par tous car, c’est une aubaine pour les différents acteurs politiques d’échanger sur les principaux sujets à l’ordre du jour. Aussi, a-t-il félicité ceux des acteurs ayant répondu à l’appel du Président de la République. Il a par ailleurs affirmé que son groupe apportera sa modeste contribution dans les différentes commissions afin d’atteindre des objectifs escomptés.
Au terme des interventions des uns et des autres, le Président de la République a procédé à l’installation du Président de la Commission nationale de la présidence du Gabon à la Cemac en la personne de M.Jean Pierre Lemboumba Lepandou. Il a donné quelques indications aux membres des différentes commissions en leur proposant de faire appel, si possible, aux compétences neutres en vue de maximiser le résultat de leurs travaux.
Il faut rappeler que les commissions seront composées de dix membres pour chaque camp, soit 20 personnes au total et que les conclusions générales pourront être remises vers le 15 février 2013.
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19/01/2013
Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du Vendredi 18 Janvier 2013
A l’entame des travaux, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, dans son souci de poursuivre la concrétisation des actions prioritaires contenues dans le Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), a décidé de la création d’un Bureau de Coordination, de Suivi et d’évaluation du Plan Stratégique « Gabon Emergent », dénommé (BCPE).
Placé sous l’autorité de Son Excellence, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, le Bureau de Coordination, de Suivi et d’évaluation du Plan Stratégique Gabon Emergent, nouvel outil de gestion publique, vient compléter les dispositifs administratifs et gouvernementaux existants. A ce titre, il vise le renforcement de la gouvernance du Plan Stratégique Gabon Emergent.
Par la suite, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA est revenu sur les lenteurs observées dans la réalisation des projets hydroélectriques des Chûtes de FE II à Mitzic et de l’Impératrice Eugénie à Fougamou ; projets annoncés les 20 Décembre 2010 et 04 Octobre 2011 à la faveur des Conseils des Ministres délocalisés. A cet effet,Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a instruit le Premier Ministre, Chef du Gouvernement et les Ministres concernés, de tout mettre en œuvre pour l’aboutissement, dans les meilleurs délais, de ces deux (2) projets, en terme de :
- garantie de financement ;
- maîtrise des engagements ;
- répartition des parts en conformité avec les exigences internationales ;
- garantie du retour au domaine de l’Etat de ces infrastructures, dans un délai compatible avec les engagements de chaque partie.
De plus, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, a vivement déploré l’effectif trop important de la population carcérale en situation préventive.
Aussi, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a utilement rappelé que la détention est une mesure exceptionnelle. Elle ne peut être ordonnée ou maintenue que :
- lorsqu’elle est l’unique moyen de conserver les preuves, les indices matériels ou d’empêcher, soit une pression sur les témoins ou les victimes, soit une concertation frauduleuse entre les inculpés et complices ;
- lorsqu’elle est nécessaire pour préserver l’ordre public du trouble causé par l’infraction, pour mettre fin à ce trouble, pour prévenir son renouvellement ou pour garantir la représentation de l’inculpé devant la justice.
Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat a instruit, sans délai, le Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, des Relations avec les Institutions Constitutionnelles et des Droits Humains à :
- lui communiquer la liste des détenus préventifs existants dans chaque prison du pays, l’état de leurs dossiers, ainsi que la liste des Cabinets chargés de les instruire ;
- poursuivre l’organisation des sessions criminelles en cours et organiser des sessions criminelles extraordinaires et des audiences foraines afin d’apurer les dossiers des détenus en attente de jugement ;
- assurer un suivi rigoureux et soutenu des dossiers délictuels concernant les détenus en attente de jugement ;
Tout Magistrat ou Auxiliaire de Justice, qui se rendrait responsable de détentions préventives arbitraires ou de disparition de dossiers, devra en répondre devant l’instance disciplinaire.
Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres s’est félicité du renforcement du rayonnement de notre pays, et de la confirmation de l’aura du Gabon à travers :
- l’action diplomatique menée, de par le monde, par Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA dans le cadre d’un partenariat gagnant-gagnant ;
- l’implication personnelle de Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA dans la résolution des conflits qui minent la sous-région africaine et qui sévissent de par le monde ;
- par la pratique du sport, facteur de cohésion des peuples.
Le Conseil des Ministres s’est réjoui, pour en prendre encore la mesure, de la paix, de la stabilité politique et de la cohésion nationale dont bénéficie notre cher pays, cinquante deux (52) ans durant, grâce aux efforts déployés par les bâtisseurs de la Nation que sont les Présidents Léon MBA et Omar BONGO ONDIMBA.
Ces efforts, pour servir la paix, sans laquelle rien ne peut se construire, ont été inlassablement déployés et soutenus par Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, en gérant la somme des différences qui participe à la consolidation de l’état de droit, au renforcement du socle social.
Concernant la crise politico-militaire, qui sévit en République Centrafricaine, le Conseil des Ministres a vivement salué la capacité des Etats d’Afrique Centrale, à régler leurs problèmes.
La concertation des Chefs d’Etat, Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO du Congo, Son Excellence Théodoro OBIANG NGUEMA MBAZOGO de Guinée-Equatoriale, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA du Gabon, Son Excellence François BOZIZE de Centrafrique, concertation dirigée par Son Excellence Idriss ITNO DEBI du Tchad, Président en exercice de la Communauté Economique des Etats d’Afrique Centrale (CEEAC), a scellé le retour à la paix.
La force multinationale d’Afrique Centrale qui compte plusieurs centaines de militaires en Afrique dirigée par notre compatriote, le Commandant AKAGHA, a pour mission de consolider la paix.
Le Conseil des Ministres s’est félicité du succès diplomatique engrangé sur la terre gabonaise afin de ramener la paix en République sœur de Centrafrique.
Libreville, notre capitale, se distingue depuis longtemps comme la place de la paix dans notre sous-région.
Pour Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, la situation en Centrafrique ne saurait laisser indifférent le Gabon.
Le Président en exercice de la Communauté Economique et Monétaire d’Afrique Centrale, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, apôtre de la paix, a vivement réclamé de mettre un terme aux souffrances des populations de Centrafrique ; rappelant par là même son devoir de solidarité ; démontrant la disponibilité de son pays dans la préservation de la paix.
Le Conseil des Ministres a apprécié les positions prises par les partenaires, notamment, le Conseil de Sécurité des Nations Unies, la Commission de l’Union Africaine, la France en faveur du retour au dialogue et à la paix.
L’accord de cessez le feu, le maintien de l’actuel Président du Centrafrique, Son Excellence François BOZIZE au poste ; la formation d’un Gouvernement de transition, d’union nationale, constituent une victoire pour la Communauté d’Afrique Centrale et un succès diplomatique pour le Gabon.
Suite à la visite effectuée du 24 au 26 Mars 2011, dans notre pays, par Son Excellence Abdullah GÜL, Président de la République de Turquie, Monsieur le Premier Ministre Turc Recept TAYYP ERDOGAN a séjourné au Gabon du 06 au 08 Janvier 2013.
Le Premier Ministre, Son Excellence Recept TAYYP ERDOGAN a conduit une forte délégation composée de quatre (4) membres de son Gouvernement, et de près de trois cent (300) hommes d’affaires.
Il est essentiel de noter que la Turquie est la 17ème puissance économique mondiale. C’est un grand pays industriel et grand exportateur de produits agricoles.
Ce grand pays qu’est la Turquie vient, par son Premier Ministre, offrir son expérience au pays frère du Gabon, aux fins de bâtir une coopération solide basée sur un partenariat gagnant-gagnant.
Monsieur le Premier Ministre de Turquie, Son Excellence Recept TAYYP ERDOGAN a voulu décliner, devant l’Assemblée Nationale, la coopération que compte mener son pays et les possibilités de partenariat dans le cadre du Plan Stratégique Gabon Emergent.
Au terme de cette visite d’amitié et de travail, des accords ont été signés tant dans le cadre de la coopération touristique, diplomatique, ainsi que dans le cadre de la formation technique et scientifique.
Le Conseil des Ministres salue la formalisation et l’accélération que connaissent les relations de coopération.
Enfin, le Conseil des Ministres s’est réjoui du chemin parcouru par la Petite Reine « AMISSA BONGO ». La compétition organisée par l’Union Cycliste Internationale, confirme sa renommée au fil des étapes.
L’étape « Bitam au Gabon - Ebolowa au Cameroun », qui s’étend sur une distance de 845 Km, constitue la 8ème édition de la Tropicale AMISSA BONGO, qui rassemble et fait vibrer nos populations dans la concorde.
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION
Monsieur le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvé, un projet de décret pris en application des dispositions de l’article 51 de la Constitution et portant réorganisation de la Commission Nationale des Fêtes de l’Indépendance dénommée « Gabon Indépendance ».
Le texte susmentionné précise les missions de « Gabon Indépendance », notamment :
- réaliser, à l’occasion de la célébration de la fête du 17 Août, des investissements nécessaires au développement économique, social et culturel dans les provinces abritant cette célébration ;
- organiser des festivités relatives à cette célébration.
Aussi, « Gabon indépendance » est organisé ainsi qu’il suit :
- la Commission Nationale de Coordination ;
- le Comité Exécutif qui gère le Bureau Directeur ainsi que le Secrétariat Permanent composé du Comité National des Fêtes et des Comités Provinciaux.
MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE
Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant création et organisation de la Commission Permanente de Sécurité.
Pris en application des dispositions de l’article 33 de la loi n° 004/98 du 20 février 1998 portant organisation générale de la Défense Nationale et de la Sécurité Publique, la Commission Permanente de Sécurité est placée sous l’autorité de Monsieur le Ministre en charge de la Défense Nationale.
A cet effet, la Commission Permanente de Sécurité a pour mission de coordonner les plans sécuritaires spécifiques et de sécuriser les évènements majeurs organisés sur l’ensemble du territoire national.
MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant réorganisation de la Direction Générale des Marchés Publics, pris en application de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006 fixant les conditions de création, d’organisation et de gestion des services publics.
Le projet de décret susvisé s’articule autour de trois (3) chapitres :
- le chapitre I énonce les attributions de la Direction Générale des Marchés Publics ;
- le chapitre II décrit le cadre organisationnel, à savoir, les services d’appui, les services centraux, les délégations provinciales ainsi que les cellules de passation des Marchés Publics ;
- le chapitre III traite des dispositions finales.
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE
MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL
Monsieur le Ministre a fait au Conseil des Ministres, le rapport d’étape des concertations entre le Ministère en charge des pêches, la Commission « Gabon Bleu », ainsi que les opérateurs du secteur afin d’asseoir une stratégie de développement durable de la pêche dans notre pays.
Au terme de cette première phase, des Commissions composées des responsables des administrations, des pêcheurs et des partenaires ont été mises en place. Il s’agit de :
- la Commission sur les conditions d’accès à la ressource ;
- la Commission sur les zones de pêche ;
- la Commission sur les bonnes pratiques ;
- la Commission sur les procédures juridiques.
AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES
MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL
Monsieur le Ministre a sollicité et obtenu du Conseil des Ministres, l’autorisation pour l’organisation, le 31 Janvier 2013, à Libreville, d’une table ronde qui aura pour thème : « Le rôle des Gouvernements dans l’intensification des impacts positifs de l’industrie agricole ».
MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
Le Conseil des Ministres a marqué son accord à Monsieur le Ministre pour la tenue de la 2ème Assemblée Générale de l’Agence des Cafés Robusta d’Afrique et de Madagascar (ACRAM), les 30 et 31 Janvier 2013, à Libreville.
Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement.
La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.
Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
Bureau de Coordination du Suivi et d’Evaluation du Plan Stratégique Gabon Emergent (BCPSGE)
- Coordonnateur Général : M. Pacôme MOUBELET BOUBEYA.
- Coordonnateurs Généraux Adjoints :
MM.
- Yves Fernand MANFOUMBI ;
- Jean MINKO.
PRIMATURE
Département Economie et Finances
- Conseiller au Département Economie et Finances : M. Symolin ONDO METO’O, Administrateur Economique et Financier, en remplacement de M. Paul Henri NGUEMA MEYE.
MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE
- Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Gabonaise près la République de Namibie avec résidence à Luanda en Angola : Son Excellence Monsieur François MOUELY KOUMBA.
MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
Compagnie de Navigation Intérieure (CNI)
- Directeur Général : M. François OYABI, en remplacement de M. Léon FOLQUET.
Haute Autorité de Sûreté et de Facilitation de l’Aéroport Léon MBA
- Secrétaire Permanent : Colonel Noël NGABIMA, en remplacement du Général Constant EKOMI.
FIN.
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Biens mal acquis : Le tourisme sexuel de Magali Serre au Gabon
Les revoilà qui nous bassinent les tympans avec leur BMA (à ne pas confondre avec Bien Malheureux et Maladroits Articles) !
Comment en serait-il autrement dans un conglomérat de journaleux affairistes qui font des prétendus Biens mal acquis, leur fonds de commerce épisodique, de politiciens masqués de la société civile moutouki et pas assez courageux pour assumer leurs opinions.
Voilà qu’une certaine Magalie SERRE décide de se prêter à l’exercice, après s’être introduite dans le territoire gabonais par « effraction », selon ses propres aveux, sans y avoir été légalement invitée, conformément aux procédures liées à l’obtention d’un visa pour tout journaliste désireux de mener des investigations dans un Etat tiers.
Allons-y donc savoir par quels moyens « orthodoxes », notre bien pensante et généreuse franchouillarde a-t-elle réussi son coup de maître (ou ses coups de maitresse), de se retrouver grâce à son don d’ubiquité, à la fois à Oyem et Libreville.
Des villes dit-elle, où elle aurait observé une semaine de coupure d’eau, oubliant toutefois de rappeler que le principal auteur de cette incommodité révoltante, est une multinationale de son propre pays la France, dénommée VEOLIA. Oh turpitude quand tu nous tiens !
Dans son reportage, elle nous présente des images dégradantes du Gabon, des « bidonvilles » oubliant peut-être de rappeler que si l’argent de nos richesses nationales, notamment les milliards volés de notre Pétrole, n’avaient pas servi d’abord à embellir Paris et sa périphérie, le Gabon serait au même niveau de développement que sa France natale !
Aussi la question se pose de savoir, entre les 500 millions d’Euros de biens immobiliers des dirigeants africains, prétendument mal acquis à leurs peuples, et les Centaines de Milliards d’Euros pillés et spoliés à l’Afrique, de quel côté se situe le scandale des « Biens Mal Acquis » au juste? !
A force d’écouter et de tomber sous le charme de ses trois principaux aide-resquilleurs et menteurs patentés en mal de renommée et d’inscriptions sur leur liste d’une hypothétique conférence nationale souterraine, nous voilà en plein dans une farce médiatique d’un genre nouveau !
Ces nouvelles formes de manipulation des consciences gabonaises par voie de presse audiovisuelle interposée et connotée, nous rassure.
En effet, chaque fois qu’elles interviennent, elles coïncident étrangement avec de nouvelles avancées en ce qui concerne le Gabon Emergent sous la conduite du Président Ali BONGO ONDIMBA : Le récent Forum Gabon-UNITED KINGDOM Investment qui s’est tenu avec succès à Londres les 28 et 29 Novembre dernier, la visite récente du Premier Ministre Turc au Gabon qu’agrémentait un Forum économique Gabon-Turquie ou encore le succès diplomatique lié à la résolution pacifique de la crise en République Centrafricaine, sous les auspices du Premier des Emergents Gabonais, autant de raisons pour que certains « receleurs du Néocolonialisme » tentent à nouveau de faire peser l’épée du « Dieu Blanc » sur la tête du Petit Nègre Gabonais !
Chaque fois que le Gabon innove, inscrit des réussites à son actif, élargit son cercle d’amitié, d’investisseurs, sa notoriété internationale, le gang des apprentis-sorciers et ensableurs de couscous se livre à son exercice favori : l’amalgame, le mensonge nourris à la sauce du préjugé tenace de journaleux gauchistes, qui ne connaissent l’Afrique que dans les livres de géographie, les mythes et clichés (guerres, pauvreté, pandémies, etc.).
Et les voilà avec leurs relais, tocards identifiés et connus de tous, qui franchissent le Rubicon en essayant de salir le Président Ali BONGO ONDIMBA contre qui ils n’ont rien trouvé, malgré moult investigations vouées à l’échec éternel.
Chère salafiste apprentie Magalie SERRE, pour filmer la pauvreté et la saleté, vous auriez pu vous limiter à votre métro parisien et à sa banlieue. Un proverbe africain recommande de balayer devant sa propre case avant de s’occuper de celle du voisin…. éloigné.
Si tant est que vous voulez soulager les maux des populations, que ne commenceriez-vous pas avec les 9 millions de personnes vivant sous le seuil de la pauvreté dans votre univers hexagonal ?
Non, on vous comprend avec vos allures de Sainte Nitouche effarouchée, l’Afrique des clichés et des préjugés, c’est aussi le tourisme …textuel et …c’est autrement plus excitant, n’est-ce pas ?
Car apparemment, vous vous souviendrez de vos nuits chaudes du Nord Gabon, mais cela, vous n’en pipez pas mot. Il faut être devin pour le deviner via Facebook et vos amis ou conquêtes (c’est selon) de circonstance.
Nous espérons que s’il n’y a pas eu d’eau à l’hôpital d’Oyem, vous avez pu quand même trouver du latex protecteur (mdrrrrr !!!!!).
Mais que peut-on attendre d’autre d’une meute de gueux vaniteux, jaloux, paternalistes et condescendants ?
Le Sieur Bourdon, avocat à ses heures perdues, est en plein dans son opération de communication. Lui, arrière-petit-fils MICHELIN, fortuné jusqu’ aux « dents », qui se substitue aux pétitionnaires nationaux, lesquels, chaque jour qui passe, voient leur rêve de Conférence Nationale Souterraine s’évaporer face au mépris que leur renvoie la majorité des gabonais à ce sujet, et aux réalisations visibles dans tous les domaines par chacun de nos compatriotes.
Cette campagne médiatique et judiciaire est et restera vaine en ce qui concerne le Gabon !
Sous l’impulsion du Président Ali BONGO ONDIMBA, qui lie l’acte à la parole, le Gabon suscite l’intérêt de pays développés et émergents, d’investisseurs de divers horizons, tant des pays et aires de coopération traditionnelle et historiques auxquelles il est lié par des siècles d’histoire, de langue en partage, notamment la France, que des nouveaux acteurs de l’économie mondiale.
Avec Ali BONGO ONDIMBA, le Gabon s’est engagé à mettre en place les facteurs irréversibles de développement : les infrastructures, l’énergie et le capital humain, la bonne gouvernance.
Il a su avec lucidité et courage faires sienne, la maxime selon laquelle « un Etat a des intérêts » en prenant la décision d’arrêt d’exportation des grumes et d’une nécessaire première ou seconde transformation locale, en faisant entrer le Gabon dans le capital d’ERAMET, en décidant, outre l’élaboration de nouveaux codes minier et pétrolier, de la création de la Société nationale des hydrocarbures qui vient de lever, sous l’impulsion du Ministre gabonais du Pétrole, sa premier cargaison de brut , d’une nouvelle politique énergétique, du partenariat avec Bechtel dans le cadre de l’Agence Nationale des Grands Travaux, de la mise en place d’un Fonds National Souverain parmi une multitude d’initiatives fortes et structurantes, sans oublier les nombreux chantiers en cours de réalisation et les structures en phase terminale à l’exemple du Centre Hospitalier Universitaire d’Angondjet et Son Institut de Cancérologie.
C’est au moment où ce Grand Leader Africain de la Nouvelle Génération fait mentir quotidiennement les pronostics ubuesques de quelques perdants éternels, encore assommés ou convalescents, et les autres oiseaux sinistrés par la clarté de sa vision, la déclinaison méthodique de son Plan Stratégique et des signaux forts de Bonne Gouvernance récemment corroborés par les derniers indicateurs de Transparency International , que l’acharnement atteint son paroxysme avec des procédures tout aussi ordurières que la psychologie de leurs instigateurs, qu’il s’agisse des « Has been » de la Françafrique aux accès coupés vers les Palais dorés du continent noir, ou de leurs relais et acolytes locaux et autres Oncles Tom tropicaux, apprentis en réactivation des réseaux décadents et pirouettes en tous genres.
La présente « War dance », sorte de danse du scalp et de préparation psychologique des agitateurs de quartiers ou conspirateurs et leurs moult agitations, ne continueront qu’à les confiner à la périphérie !
A d’autres temps et d’autres générations, d’autres mœurs, d’autres valeurs, d’autres ambitions ! Il ne s’agit ni plus ni moins que des derniers coups de sabots du cheval mourant (The last kick of the dying horse).
L’option du Président Ali BONGO ONDIMBA porte la marque des nouveaux dirigeants, d’un nouveau partenariat, du co-développement et se heurte aux vicissitudes et vestiges de cercles groupusculaires de la Vieille France, celle de la mafia conspiratrice derrière ses rideaux de fumée selon l’expression de Pierre Péan.
Les tentatives des offreurs de services locaux, rats de rédactions ou autres activistes de l’hexagone habitués à vivre de tels fonds de commerce seront vaines. Le Gabon ne laissera pas utiliser une quelconque division avec la France !
Au Gabon : Malgré les frustrations et la hâte de vivre l’impact des changements en cours, les populations suivent et voient la démarche, le style, les effets des décisions du Président Ali BONGO ONDIMBA, au service de la Nation.
En France : l’Opinion Publique moralisatrice par nature, comprendra qu’il faille aujourd’hui moraliser tout ce qui était immoral hier et que tout comme la France, les autres pays en développements puissent aspirer à la gouvernance et à l’émergence.
Si, le reproche commun et dominant est la constitution de patrimoines mobiliers et immobiliers faramineux par des dirigeants dans les pays occidentaux, sur la base de l’extorsion des fonds publics de leur pays et populations appauvries, l’information exacte doit prévaloir sur le lynchage médiatique et la condescendance.
Les scandales, lorsqu’ils sont établis, d’un bord à l’autre de la Méditerranée et du Sahara, doivent être dénoncés et punis. Tous les scandales sans exclusive, indépendamment de l’exercice ou non de certaines fonctions ou de la posture du moment. Toute liste devra être inclusive, y compris les abonnés au pouvoir d’un hier récent.
Au sein d’une opinion publique, d’une action politique et d’une démarche économique qui devient de plus en plus internationale, la question n’est pas sans importance de voir ainsi livrées en pâture des personnalités qui effectuent depuis des années le juste combat de la survie de leurs Etats mais encore plus à l’encontre d’un dirigeant , symbole du nouveau leadership et de la nouvelle génération comme Ali BONGO ONDIMBA.
Elle engage en effet, non seulement leur réputation en tant qu’individu, mais plus encore, la capacité des peuples qu’ils représentent à exister dans l’âpre bataille que se mènent les nations, pour obtenir le plus de prospérité matérielle, la plus grande extension de libertés et le plus grand rayonnement culturel et social pour leurs peuples.
Au Gabon c’est tout le sens du pilotage par la vision pour aller vers l’émergence, le développement, le partage dans la paix, l’unité et la cohésion nationales. Pour que nul n’en ignore !
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14/01/2013
Gabon: Ali Bongo Ondimba doit-il dialoguer avec les leaders salafistes ?
S’adressant à ses compatriotes, ceux du Gabon réel, au soir du 31 décembre 2012, le président Ali Bongo Ondimba avait clairement dit, s’agissant des sempiternelles invectives politiciennes émanant du camp de l’opposition, qu’il dialoguera avec « tous les compatriotes qui désirent participer à l’ effort de construction nationale », qu’ils soient dans le camp de la majorité présidentielle pour l’émergence ou dans celui des partis de l’opposition qui y consentiront (sic).
C’est clair , Ali Bongo Ondimba ne forcera la main à personne parmi les mauvais perdants et les maître-chanteurs qui sont restés scotchés, « cimentés », aux résultats de l’élection présidentielle du 30 août 2009 ; élection remportée brillament et majestueusement par l’actuel président de la République.
On sait que depuis cette date, c’est par charrettes entières que des compatriotes avaient décidé de se placer en dehors de la République, certains parmi eux allant jusqu’à faire partie d’un gouvernement fantoche monté de toutes pièces par un pouvoiriste connu et reconnu qui croyait par-là, obtenir politiquement, c’est-à-dire par la ruse, ce qu’il ne pourra plus jamais obtenir par les urnes : le retour à la table du mangement.
Ce sont eux, ces compatriotes , qui tirent à boulets rouges sur leur soit-disant pays, tout en se pâvanant devant « la réussite » d’un pays frontalier qu’ils désignent comme étant le pays de leur coeur.
Habités par une solide mauvaise foi, ces compatriotes reconnaissables à des milliers de kilomètres ont depuis choisi la défiance et l’irrespect des autorités régulières comme méthode d’action et d’expression politique avec, à la clé, des appels répétés à l’insurrection et à la guerre civile car il leur faut reprendre « leur » pouvoir. Quel qu’en soit le prix à payer ?
Dans ces conditions, il paraît anodin d’entendre ici et là des gens « regretter » que le président ait fait mention de ceux, dans l’opposition, qui consentiront à répondre à ses invites au dialogue et autres concertations quand on se souvient du courrier expédié par ces rétifs suite à la concertation relative à la présidence gabonaise de la CEMAC.
Et puis, comment imaginer qu’on puisse tordre le bras de quelqu’un qui ne veut pas parler avec vous, et le forcer ainsi à le faire ?
De plus, sachant tout le succès dont jouissent les leaders des partis manioc de l’opposition au sein de l'opinion nationale, et même internationale, on peut, à raison, s’interroger sur la pertinence et la richesse des propositions qu’ils pourraient apporter aux débats !
D’où la nécessité de laisser choir tranquillement dans leur bulle, à l’écart du Gabon réel.
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13/01/2013
Voeux de nouvel an : L’exemple d'Ali Bongo Ondimba
A la faveur de la cérémonie des voeux pour 2013, Ali Bongo Ondimba n’a quasiment eu qu’un seul mot d’ordre: « inviter ses compatriotes à accélérer, tout au long de cette année, le rythme d’évolution de notre processus d’émergence du Gabon. » Autrement dit, sont impliqués tous les acteurs de la vie politique, économique, sociale et culturelle du pays.
A l’adresse des leaders de la classe politique gabonaise, il a « réaffirmé sa ferme volonté et son inébranlable détermination à maintenir le cycle des concertations périodiques initiées, depuis son accession à la magistrature suprême, avec toutes les composantes politiques, économiques, religieuses et civiles du pays. »
Cela afin « de renforcer, au sein de l’ensemble des populations gabonaises, les nobles valeurs de rassemblement, d’unité nationale, de cohésion sociale, de solidarité agissante et de mobilisation générale. »
But : faire du Gabon un pays de paix et de stabilité des institutions, de développement économique, de progrès social, de partage équitable des effets de la croissance et d’aménagement harmonieux du territoire national.
Aux membres du gouvernement et aux hiérarques de l’administration publique, le président a demandé de « tout faire pour réaliser le Plan stratégique Gabon émergent (PSGE) en vue de la concrétisation des chantiers inscrits dans le projet de société » .
Il s’agit pour le gouvernement et la haute administration de l’impératif d’« oeuvrer pour la diversification des bases de l’économie nationale et des partenaires au développement du pays, l’accroissement de la contribution financière des secteurs non pétroliers dans la constitution du PIB et juguler le phénomène de la pauvreté. »
Idem pour ce qui est de « la modernisation et de la redynamisation des structures de gestion de l’Etat, de la réalisation des infrastructures socioéconomiques de développement, de la densification du marché national de l’emploi ainsi que de l’amélioration conséquente et continue des conditions de vie des populations gabonaises. »
Toutes choses appelant l’équipe du Premier Ministre à s’efforcer davantage en vue de « recouvrer la quasi-totalité des recettes de l’Etat, réduire drastiquement les dépenses de fonctionnement de l’administration publique, gérer rigoureusement les fonds destinés au financement des investissements propices au développement ainsi que lutter efficacement contre toutes les formes vicieuses de corruption et d’enrichissement illicite.»
Interpellant les institutions constitutionnelles, le chef de l’Etat a recommandé qu’elles jouent « pleinement leurs rôles respectifs prescrits par la Constitution et les divers textes tant légaux que règlementaires en vigueur dans notre pays.»
S’agissant de l’Assemblée nationale et du Sénat, Ali Bongo Ondimba a indiqué que « ces deux chambres parlementaires doivent remplir quotidiennement et davantage leurs missions de voter la loi, de consentir l’impôt et surtout de contrôler l’action gouvernementale. »
De même qu’au niveau du corps judiciaire, il s’agit pour ses membres d’ « assurer aux populations gabonaises, les garanties d’une justice forte, équitable, indépendante, crédible, s’imposant à toutes les couches et catégories sociales. »
Quant à l’adresse aux responsables de la société civile et des communautés religieuses, le président les a invités à faire davantage oeuvre utile au profit des populations : « En s’impliquant totalement et mieux que jadis dans la réalisation des actions propices à la moralisation des citoyens, à la formation des élites nationales et à la promotion des valeurs spirituelles dans notre pays. »
Tout comme ils doivent prendre une part active dans les différentes luttes destinées à juguler radicalement « les phénomènes que sont la dépravation des moeurs, le grand banditisme, les crimes de sang ou ceux dits rituels ainsi que les relents de repli identitaire et d’exclusion des autres…»
Autant de recommandations sur lesquelles des observateurs ont réagi. En voici l’économie : « Les acteurs de la vie gabonaise sont invités à jouer franc jeu. Il s’agit pour eux d’appliquer effectivement, harmonieusement, solidairement et avec performance, leurs partitions respectives. »
Depuis son accession au pouvoir, Ali Bongo Ondimba n’a eu de cesse de donner l’exemple, sinon un seul exemple. Un exemple dont la constance se passe de commentaires. Cela a un nom : l’Emergence du Gabon !
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07/01/2013
Le Gabon et la Turquie renforcent leurs relations économiques
Lundi 7 janvier 2012, Libreville - Libreville et Ankara ont convenu de renforcer leur coopération à l'occasion d'une visite du Premier ministre turc, Recep Tayip Erdogan, aux autorités gabonaises.
Plusieurs accords ont été signés au niveau ministériel lors de cette visite, notamment dans les domaines de la santé, de l'agriculture et au niveau diplomatique.
« C'est une nouvelle période qui s'ouvre désormais » dans les relations bilatérales entre le Gabon et la Turquie. C'est ainsi que le Premier ministre turc, Recep Tayip Erdogan , décrit la visite qu'il effectue à Libreville.
Le Chef de l'Etat gabonais Ali Bongo Ondimba et le Premier ministre turc qui ont eu, en fin de matinée , un long tête-à-tête au palais présidentiel ont affiché leurs ambitions de diversifier les champs de coopération entre les deux pays
Outre la signature d'accords touchant la santé, l’agriculture et la suppression des visas pour les détenteurs des passeports diplomatiques , la Turquie a marqué sa volonté de coopérer avec le Gabon dans d'autre secteurs tels : l'industrie du bois, le tourisme, les mines, les hydrocarbures, l'énergie, les NTIC, l'habitat, les infrastructures et la finance.
« Nous considérons le Gabon comme une étape importante pour une série d'initiatives et de relations que nous comptons développer en Afrique » a indiqué , Recep Tayip Erdogan.
La forte délégation qui accompagnait le Chef du gouvernement turc comprenait 300 hommes d'affaires dont 175 présentant un chiffre d'affaires total de 65 milliards de dollars ce qui ,de l'avis de plusieurs observateurs, illustre l'intérêt que le Premier ministre turc attachait à ce déplacement de la capitale gabonaise.
Si pour l'heure le volume des échanges commerciaux se chiffre à 50 millions de dollars, les dirigeants des deux pays ambitionnent de le porter à plus de 100 millions en 2015.
Une coopération en constante évolution
La Turquie et le Gabon entretiennent des relations diplomatiques depuis 1998. Ces relations ont été renforcées par la signature le 21 septembre 2000 de l'Accord Général de coopération commerciale, économique, culturelle et technique.
Depuis cette date, les deux pays ont accéléré leurs échanges, en témoignent les visites respectives à Libreville et Ankara des Présidents turc et gabonais, Abdullah Gül et Ali Bongo Ondimba, et celle ce lundi 7 janvier du Chef du gouvernement turc.
L'autre temps fort de cette visite a été marqué par l'ouverture d'une ambassade turque à Libreville. Par ailleurs la compagnie aérienne, Turkish Airlines, desservira la capitale gabonaise dans le courant du mois de janvier, a confirmé la partie turque.
Mais au-delà des potentialités économiques qu'offre le Gabon, l'intérêt d'Ankara pour Libreville trouve aussi son explication par un cadre rendu plus attractif pour les investisseurs depuis 2009 par le Président gabonais.
En effet, le climat des affaires a été significativement amélioré grâce aux réformes institutionnelles et juridiques. Il s'agit, entre autres, de la création des entreprises avec le Centre de développement des entreprises ou de la restructuration de la Chambre de commerce.
A ces exemples, il faut ajouter la réforme de la fiscalité en cours, axée sur une baisse de l'impôt sur les sociétés, la création des Zones économiques spéciales, et la mise en oeuvre d'un cadre propice à un partenariat public-privé.
Autant d'éléments qui contribuent à une meilleure perception du Gabon auprès des partenaires extérieurs y compris les Turcs.
« Nous souhaitons avec tous les entrepreneurs présents commencer une période de transformation et de changement au Gabon », a réaffirmé, en guise de conclusion, le Premier ministre turc, Recep Tayip Erdogan, devant la presse rassemblée dans les bureaux du Chef du gouvernement gabonais.
FIN
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/
La politique du Gabon Émergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.
Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/
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01/01/2013
ALLOCUTION NOUVEL AN de S.E. Ali Bongo Ondimba , Président de la République Gabonaise, Chef de l’Etat .
Mes Chers Compatriotes
C’est avec le même plaisir que je m’adresse à vous, chaque année en cette période festive, pour vous présenter mes vœux chaleureux de bonheur, de santé, de prospérité et de paix.
Ce rendez-vous annuel me permet, comme à l’accoutumée, de vous entretenir de l’état de notre pays et des ambitions que je continue à nourrir pour notre Cher Gabon et pour chacune et chacun d’entre vous.
Aujourd’hui, nous pouvons constater, tous ensemble, le chemin accompli, les progrès réalisés, les ruptures opérées.
Nous mesurons également les défis qui jalonnent le présent et qu’il nous faut relever avec le pragmatisme et la détermination qui ont caractérisé jusqu’ici notre action.
Face à nos ambitions et à l’étendue des tâches à mettre en œuvre, il nous a fallu réorganiser progressivement notre administration. Ce travail, enrichi par nos expériences au contact de l’administration se poursuivra encore plus et mieux en 2013.
Je ne ménagerai aucun effort pour y parvenir.
Ma responsabilité de Président de la République Gabonaise, m’oblige de fixer le cap de nos ambitions, d’indiquer la voie que nous devons suivre et de veiller aux grands équilibres de notre Nation.
Le Gouvernement de la République a la mission et le devoir de mettre en œuvre les politiques publiques conduisant au cap fixé, dans un esprit de responsabilité qui privilégie la culture du résultat au-delà de toute autre considération.
Qu’il s’agisse de certaines décisions des Conseils des ministres décentralisés, des Conseils Présidentiels sur l’éducation et sur l’habitat , de la revalorisation de la situation dans plusieurs foncions , notamment de l’enseignement de rang magistral que du commandement territorial, je constate des pesanteurs , lenteurs et lacunes dans leur exécution coordonnée et diligente.
Cela n’est pas acceptable. Tout ce que nous disons et décidons doit être fait.
Mes Chers Compatriotes
Mon objectif ultime demeure la satisfaction de vos attentes et besoins dans tous les domaines.
Je ne pourrais être heureux que lorsque toutes et tous, Gabonaises et Gabonais vous vivrez le bien-être dans nos villes, villages et quartiers de toutes nos provinces.
En cela, je demeure fidèle et attaché à cette philosophie agissante du partage et de la solidarité, dans un Gabon plus juste, qui donne sa chance à chacun, grâce à son travail, à ses efforts, à son mérite, à sa compétence, en dehors de tout autre critère que ce soit l’ethnie, le parti politique, le clan ou le copinage.
Ce sont là des messages essentiels que j’ai voulu porter devant les chambres du Parlement réuni en congrès le 12 septembre dernier.
J’ai réitéré devant les représentants élus de la Nation, mon ambition que nous construisions, ensemble, un nouveau Gabon fort, uni et rassemblé , un Gabon où il fait bon vivre, un Gabon de l’ambition, un Gabon Emergent. Cela est possible, nous pouvons le faire et nous le ferons, ensemble.
Notre pays, a démontré au cours de son histoire et de la période la plus récente, qu’il pratiquait un système politique ouvert, structuré et innovant, mais également soucieux de la préservation de nos acquis les plus précieux que sont la paix et l’unité nationale.
C’est le lieu aussi de féliciter et d’encourager, celles et ceux qui font la différence, jour après jour, et qui contribuent à la consolidation de ces acquis, quelque soient leurs croyances, opinions et engagements.
Mes Chers Compatriotes
Nous sommes parvenus, en ce début d’année qui s’achève, à tenir le pari de l’organisation et de la participation honorable à la Coupe d’Afrique des Nations coorganisée avec la République sœur de Guinée Equatoriale.
Nous avons tous ensemble donné corps et forme à ce vaste projet.
Nous avons tous ensemble démontré notre capacité à nous préparer, à surmonter écueils et difficultés, à tenir nos engagements pour organiser un événement international parmi les cinq plus importants au niveau mondial.
Il s’agit pour nous, après la réussite de la CAN 2012, d’utiliser à bon escient les infrastructures et installations réalisées.
Par delà le formidable événement sportif que nous avons vécu, et la communion d’esprit et de cœur constatée, nous pouvons nous appuyer sur notre savoir-faire désormais reconnu, pour inscrire notre pays au rang des Nations qui érigent le sport en ambition partagée et en projet économique et social viable.
Mes Chers Compatriotes
Je sais que vos attentes sont multiples.
Je sais combien la jeunesse compte sur nous, responsables pour se former et trouver un emploi.
Je vois combien vous avez besoin, partout, dans la capitale mais aussi dans toutes nos provinces d’infrastructures diverses pour vous déplacer et vous soigner.
Je comprends qu’en ce siècle de modernité, l’accès permanent à toutes les commodités de base comme l’eau potable source de vie, ou encore l’électricité, doit être la règle et non l’exception ou le privilège de quelques uns.
Je partage vos besoins de mobilité, d’accès à un logement décent ou à une parcelle viabilisée, mais aussi nos besoins de distraction et d’épanouissement.
Je partage aussi votre aspiration à vivre et à vous mouvoir en tous lieux et en toutes circonstances dans la sécurité.
Je continuerai à me battre sans relâche pour vos besoins de protection sociale qui doit être étendue à vos familles afin de lever vos craintes de précarité et de vulnérabilité.
Je sais que vous exigez la transparence, la maitrise des coûts et une saine gestion des deniers publics.
Je sais votre profonde aspiration à la justice sociale et à la justice rendue par les cours et tribunaux.
C ‘est fort de ces certitudes et conscient de mes devoirs que je procède, depuis que vous m’avez confié les rênes de notre pays à concrétiser ma vision et à la traduire dans des plans couvrant tous les secteurs de la vie nationale.
Le Gabon, notre pays, se déploie visiblement comme un vaste chantier multiforme.
Près de 6000 nouveaux emplois ont été créés dans le secteur du BTP et sont actuellement occupés dignement par de jeunes compatriotes.
Nous pouvons nous réjouir également des premiers résultats atteints dans le secteur du bois, qui a connu en 2011 et 2012 un accroissement significatif tant du nombre d’unités de transformation créées que du nombre d’emplois générés.
Tous ces grands chantiers en cours d’exécution servent à rattraper le retard constaté dans divers secteurs et à répondre à vos attentes.
Nous devons persévérer dans cette voie avec obstination.
Mes Chers Compatriotes
L’année 2013 devra marquer l’effectivité du transfert des compétences de la CNSS vers la CNAMGS, en ce qui concerne les prestations de santé et de maternité.
Ce transfert des compétences, qui conditionne le lancement des activités du Fonds d’assurance maladie du secteur privé, viendra ainsi parachever la mise en place du système de couverture maladie universelle dans notre pays.
Dans cette perspective, les opérations d’immatriculation des salariés du secteur privé doivent démarrer sur l’ensemble du territoire national dès le premier trimestre 2013.
Avec le Fonds d’assurance maladie du secteur privé, après les Fonds des Gabonais économiquement Faibles et des Agents de l’Etat, l’édification complète de la CNAMGS sera ainsi effective.
La mise en place d’un organisme autonome de protection sociale chargé de la gestion des retraites et des prestations familiales des agents de l’Etat devra faire partie de la réforme d’ensemble. Celle-ci doit conduire à une meilleure lisibilité et cohérence du système gabonais de protection sociale.
Mes Chers Compatriotes
Je vous réitère par conséquent ma détermination à persévérer sur la voie du pragmatisme, de l’action, de l’exécution et de la conduite à bonne fin de tous nos projets.
A cet effet, j’ai joué et continue à jouer mon rôle, à prendre et à faire prendre les décisions politiques et les mesures administratives relevant de mes compétences de Chef de l’Etat.
Mais pour arriver à nos objectifs communs et aux résultats bénéfiques à tous, chacun doit jouer le sien et faire preuve de patriotisme et de responsabilité car il s’agit de l’intérêt général et de causes d’utilité publiques nationale. Comme je le dis souvent : nous n’avons pas de pays de rechange.
Les retards pris dans la réalisation des logements en sont une illustration. La notion de terrains ancestraux, les délits d’initiés, la spéculation foncière outrancière, le domaine cadastral bradé sont autant de freins à l’exécution des projets étudiés, financés, réalistes dont nos populations ont besoin.
Il faudra expliquer et conscientiser davantage, exproprier et indemniser là ou les droits sont incontestables mais aussi faire prévaloir la force de la loi là ou les prétentions et résistances sont illégitimes et illégales
Notre pays a besoin de routes, de logements, d’infrastructures scolaires, sanitaires, sociales, culturelles et sportives, d’espaces verts public, de ses corridors de développement et de tant d’autres facilités et commodités modernes.
Pour les aménager, il faut des espaces que nous n’irons chercher nulle part ailleurs que sur notre territoire national.
Nous devons tous faire preuve, ici comme ailleurs de conscience citoyenne.
Mes Chers Compatriotes
Nous sommes tous, à un niveau ou à un autre, confrontés aux difficultés de la vie quotidienne, à ses coûts, notamment des denrées alimentaires, surtout pour les plus démunis d’entre nous.
J’ai instruit, il y a quelques mois, au Gouvernement d’alléger le fardeau de la consommation des ménages en suspendant certains droits et taxes sur 9 familles de produits de première nécessité.
J’ai fait des visites inopinées sur le terrain pour me rendre compte de leur effectivité.
Je me réjouis que des opérateurs du secteur de la distribution et des commerçants aient compris le sens et la portée de telles mesures et les aient appliquées. Par contre pour ceux qui jusqu’ici persistent dans un statut quo injustifié, je réitère mes instructions aux administrations concernées pour les ramener sur le chemin de la légalité. Les consommateurs que vous êtes, devrez aussi exercer votre droit de vigilance pour le respect des mesures prises à votre bénéfice.
Tout en poursuivant l’étude de solutions plus durables, les mêmes mesures seront reconduites afin d’alléger les difficultés de ceux d’entre nous qui souffrent le plus de la vie chère.
Parmi celles ci, le développement de notre potentiel et de nos ressources agricoles et halieutiques s’avère de plus en plus nécessaire et urgent, afin de garantir notre sécurité alimentaire.
Mes Chers Compatriotes
Comme à chaque fois qu’il s’agit du Gabon, d’enjeux majeurs pour notre pays, je continuerais à solliciter le point de vue des diverses composantes politiques, associatives, civiles et religieuses de notre pays.
Au mois de juillet dernier, les Chefs d’Etats de la CEMAC m’ont porté à la tête de notre organisation sous-régionale.
C’est dans le cadre de ce mandat que j’ai initié des rencontres avec les partis politiques de la majorité et de l’opposition, du 14 au 16 novembre dernier.
Je voudrais saluer ici l’esprit patriotique et républicain des leaders qui ont répondu à mon invitation.
Le but essentiel de ces rencontres était d’aboutir à des consensus sur la vision qui doit être la nôtre, quant à l’avenir de notre espace commun.
Au terme de nos échanges riches et fructueux, j’ai décidé de réunir dans une commission de réflexion sur l’Agenda CEMAC du Gabon, les partis politiques de la majorité et de l’opposition. J’installerai cette commission dans les tous prochains jours. Elle devra, dans un délai qui n’excèdera pas trente jours, me proposer le fruit de ses réflexions.
D’autres questions comme la représentativité des femmes et des jeunes, celle de l’unité nationale, de la lutte contre le tribalisme, celle du changement climatique et du développement durable et tant d’autres questions majeures feront l’objet de concertations similaires.
Je reste et demeure donc à l’écoute de tous les citoyens.
Comme je l’ai indiqué à plusieurs reprises, je m’ouvrirai à tous les compatriotes qui désirent participer à notre effort de construction nationale et ce, aussi longtemps que le Gabon en sera le mobile essentiel.
C’est pourquoi, s’agissant de notre volonté commune de connaître des lendemains électoraux plus apaisés et, ayant tous opté pour l’introduction de la biométrie dans notre système électoral, je réunirai à nouveau les partis politiques de la majorité et ceux de l’opposition qui y consentiront.
L’objectif, sera, autour du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, d’examiner et de me proposer, le 15 février au plus tard, les modalités de mise en œuvre effective de la biométrie, dans le strict respect des dispositions législatives et règlementaires en vigueur.
C’est dans ce même esprit de renforcement de notre démocratie que j’ai annoncé, en septembre dernier, la reprise des activités du Conseil National de la Démocratie.
La démocratie n’est, nulle part au monde, une œuvre achevée. Elle est au contraire une construction permanente, qui doit s’adapter au temps et à l’espace, à la culture et à la société.
Notre démocratie qui est jeune, doit donc voir son fonctionnement amélioré chaque jour par un travail acharné et déterminé.
A cet égard, le Conseil National de la Démocratie doit s’ériger comme un outil pertinent du dialogue politique.
Une commission composée de représentants de partis politiques, de juristes, et d’experts du Ministère de l’Intérieur, devra se réunir dès le 21 janvier, afin de proposer les modifications et adaptations nécessaires pour que cette institution puisse jouer pleinement son rôle. Les résultats de ce travail, une fois adoptés par le Gouvernement seront soumis au Parlement dès sa prochaine session.
Dans le même ordre d’idées, il nous faut engager une réflexion globale sur les partis politiques, leur vie, leur fonctionnement et leur contribution effective à l’expression du suffrage universel et à la vie de la Nation.
Mes Chers Compatriotes
Nous devons tous contribuer, chacun à la place qui est la sienne, à faire de notre pays une Nation forte, dont nous puissions tous être fiers.
Nous n’avons plus de temps à perdre dans des bavardages.
Nous devons nous mettre tous de plus en plus résolument au travail pour développer notre pays et le hisser au rang des nations respectées.
Je parle volontairement de nation, parce qu’il doit s’établir entre toutes les générations, des liens puissants fondés sur des valeurs partagées de travail, de fraternité, de générosité et de don de soi.
A notre jeunesse, force vive pétrie de notre culture, de nos valeurs et ouverte au monde moderne, avide de savoir et de savoir-faire, je réitère ma confiance.
Je sais sa détermination et sa capacité à prendre son destin résolument en mains par l’éducation, la formation professionnelle, le travail, l’intégrité et le culte de l’excellence.
Notre élite sportive, incarnée parmi d’autres par notre premier médaillé olympique Anthony Obame a tracé de manière indélébile la voie à emprunter : celle de l’effort, de la persévérance, de la confiance et du succès.
Mes Chers Compatriotes
Le devoir de l’Etat est de veiller à ce que tous les enfants soient instruits et élevés de manière à devenir de vrais citoyens, conscients de leurs droits mais aussi de leurs devoirs envers la Patrie.
C’est dans ce cadre que j’envisage la mise en place dès 2014, d’un corps national des Volontaires de l’Emergence. Ce corps civil se devra d’être le creuset et le vivier de la solidarité nationale.
Et c’est au nom de cette solidarité que je voudrais penser spécialement à toutes les personnes du troisième âge, seules, abandonnées et qui se trouvent parfois en grande détresse.
Je pense tout particulièrement à celles et à ceux d’entre vous qui n’avez ni revenu, ni enfant pouvant subvenir à vos besoins, je voudrais vous dire que la Nation pense à vous.
C’est pourquoi, j’instruis le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, de faire en sorte qu’il soit créé d’ici au 30 juin 2013, dans les limites budgétaires actuelles, un « panier minimum vieillesse » pour manifester la solidarité de la Nation à l’égard des personnes du troisième âge.
A ces ainés qui ont forgé le socle de notre pays et jeté les bases de son avenir, j’exprime notre affectueuse et respectueuse reconnaissance.
Les instants de réjouissance que nous vivons à l’occasion de cette nouvelle année, ne doivent pas occulter la situation de ceux qui, seuls, malades ou endeuillés sont dans la souffrance.
Je voudrais avoir, à leur endroit, une pensée toute particulière.
A toutes les femmes Gabonaises, je voudrais rendre un hommage particulier. Elles sont le pilier de notre société. Ce sont elles qui vivent et subissent au quotidien les difficultés du foyer et y apportent des solutions avec foi et courage.
Je salue l’action discrète et désintéressée de la Première Dame Sylvia Bongo Ondimba, et de toutes celles qui, chaque jour, puisent généreusement dans leur dévouement, leur intelligence et leurs cœurs, les motifs et les moyens d’accompagnement des franges les plus fragiles de notre société.
Gabonaises, Gabonais, mes Chers Compatriotes,
A votre nom à tous, j’exprime mes remerciements et ma gratitude nos partenaires et amis, qui, à travers le monde me font l’honneur d’accueils exceptionnels, lors de mes déplacements.
Convaincus de la justesse de nos ambitions, de la stratégie et des actions, que nous mettons en œuvre, de plus en plus de pays, d’entreprises, d’investisseurs, décident de venir nous accompagner et d’investir chez nous.
Les uns et les autres auront compris que le Gabon, notre Gabon est une terre séculaire d’accueil et d’opportunités.
Mes Chers Compatriotes,
Notre pays a d’énormes atouts.
Le Gabon a un potentiel immense.
Notre bilan dans le secteur du pétrole, de l’énergie, des ressources hydrauliques et du bois le corroborent amplement.
J’ai l’immense plaisir de vous annoncer que le premier chargement de pétrole de Gabon Oil Company, notre Société Nationale des Hydrocarbure a été effectif le 25 décembre 2012.
Les perspectives dans ces secteurs mais aussi dans celui des mines, des ressources agricoles et halieutiques, l’amélioration continue de l’environnement des affaires et la diversification croissante de notre économie nous confortent dans nos ambitions.
Les entreprises gabonaises devront s’impliquer davantage dans ces secteurs par une présence effective à tous les niveaux notamment décisionnel et entrepreneurial, tout en contribuant à créer des emplois.
C’est ainsi que nous pourrons accroître la part de ces secteurs dans le produit intérieur brut, par la création de plus de richesse.
Mes Chers Compatriotes
Nos options stratégiques, économiques et éducatives justifient que nous placions notre pays dans le cercle des nations modernes et compétitives
C’est tout le sens de nos innovations technologiques et de notre choix du pluralisme linguistique, conformément aux recommandations des Etats Généraux de l’Education, de la Recherche et de la Formation.
Il nous faut croire en nous-mêmes et faire ce que nous avons à faire.
Il nous faut travailler et relever notre défi générationnel.
Nous y arriverons avec le leadership qui doit accompagner notre vision d’aujourd’hui et de demain.
C’est avec cette conviction réaffirmée que je souhaite entamer 2013.
Cette nouvelle année sera marquée par deux évènements majeurs.
Le premier sera le rendez-vous que je souhaite le plus ouvert, vivace et caractéristique de notre maturité démocratique : celui des élections locales.
2013 marquera aussi le centenaire de l’arrivée du Docteur Albert Schweitzer, médecin, théologien, musicologue Alsacien, Prix Nobel de la Paix en 1953.
Installé dans notre pays, à Lambaréné, il fit le serment d'y mourir loin de sa patrie d’origine et de sa famille. C’est pour cette raison et pour son immense contribution à la science et à l’humanisme, que notre pays rendra hommage, à sa manière, à celui qui en 1960 disait aux Gabonais : "Je vous appartiens jusqu'à mon dernier souffle."
Gabonaises, Gabonais, Mes Chers Compatriotes
A chacune et à chacun d’entre vous,
A tous nos amis et à toutes celles et tous ceux qui veulent le bien et le bonheur du Gabon et des Gabonais, je dis Excellente Année 2013 !
Que Dieu Bénisse le Gabon !
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28/12/2012
Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du jeudi 27 Décembre 2012
A l’entame des travaux le Conseil des Ministres a salué la détermination et le dynamisme sans faille du Président de la République, Chef de l’Etat, qui ayant offert à ses compatriotes le pacte social et économique « l’Avenir en Confiance » aux fins de hisser notre pays dans le peloton des pays émergents à l’horizon 2025, a effectué depuis son accession à la Magistrature Suprême plusieurs visites d’Etat, plusieurs visites officielles à travers les continents.
Tel un pèlerin, privilégiant le partenariat « gagnant-gagnant » Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, fait la promotion de notre cher Gabon, pays naturellement riche où règnent la paix et la stabilité politique. C’est ainsi que Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, s’est rendu tour à tour au Royaume Uni, au Qatar et en Guinée Equatoriale.
Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a saisi chaque opportunité pour décliner les grands desseins pour le bien être des populations gabonaises, le développement du Gabon s’appuyant sur les trois (3) pôles que sont : le Gabon Vert, le Gabon Industriel, et le Gabon des Services.
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a séjourné à Londres. A la tête d’une forte délégation, Son Excellence Monsieur le Président de la République Chef de l’Etat, y a présidé le premier Forum d’Investissements du Gabon, devant une assemblée de quatre cents (400) responsables et représentants de sociétés britanniques.
Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, a fort aisément, magnifier la destination Gabon et les possibilités d’investissement qu’offre notre pays dans les secteurs de la pêche, de l’agriculture, du tourisme, des infrastructures, de l’énergie et du pétrole, des mines…tel que prévus dans notre plan national de développement.
Le Président de la République, Chef de l’Etat, a rappelé que sa stratégie de développement était indissociable d’un secteur privé compétitif, soucieux de l’environnement et créateur d’emplois.
Pour bien marquer son engagement aux côtés du Gabon, le Gouvernement Britannique vient d’ouvrir dans la capitale gabonaise un bureau, le premier du genre, destiné à favoriser les relations d’affaires avec notre pays.
Après le séjour londonien consacré à l’investissement Royaume Uni/Gabon, le Président de la République, s’est rendu à Doha, au Qatar sur invitation de l’Emir, pour prendre part successivement à la 18ème session de la Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et au Forum International sur le sport dénommé « Forum Doha Goals ».
La Convention-Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques qui a pour objectif de définir et de mettre en œuvre les mesures visant à limiter les émissions de gaz à effets de serre d’ici à 2020, a permis au Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, de réaffirmer les positions du Gabon en matière de protection de l’environnement.
Depuis l’accession de Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, à la Magistrature Suprême, la protection de l’environnement est une réalité.
Elle se matérialise notamment par l’interdiction des torchers, l’interdiction de l’exportation des grumes, la protection des écosystèmes, de la faune et de la flore mais aussi la volonté de développer un tourisme d’affaires au Gabon.
Toutes ces dispositions concrètes ont pour résultante le Plan National Climat.
Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, a soutenu un plaidoyer sur la nécessité d’émergence d’une nouvelle conscience, de partage d’une même planète ainsi que le devoir d’une meilleure gestion des biens planétaires communs à toute l’humanité.
Au cours de ce séjour Qatari, l’Emir a affirmé que son pays est prêt à investir au Gabon au travers de Qatar Holding et le Fonds d’Investissements Qatari qui sont des organismes financiers.
Aussi, le Président de la République, Chef de l’Etat, a-t-il souligné la position centrale du Gabon pour atteindre d’autres pays de la sous région du Golfe de Guinée.
Après cet évènement de haute portée sur l’environnement, le tour est revenu au sport de fédérer les synergies à travers le Forum « Doha Goals ».
A la faveur de cet évènement qui rassemble la participation des légendes et autres vedettes du monde sportif, le Président de la République, Chef de l’Etat, sur invitation du Sheikh Tamun Bun Hamad, a décliné les actions et les attentes du Gabon en matière sportive ainsi que leur impact sur le développement social et économique de notre pays.
En sa qualité de Président en exercice de la Communauté Economique et Monétaire d’Afrique Centrale (CEMAC), Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat, conformément à l’annonce faite lors de son passage devant les chambres du Parlement réunies en congrès, a tenu à impliquer la classe politique dans son plan d’actions.
Les partis de l’opposition présents à cette consultation ont fort apprécié cette initiative de rapprochement et de concertation.
Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, s’est rendu en République Sœur de Guinée Equatoriale, à la faveur de la célébration du 40ème anniversaire de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC).
Le Président en exercice de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, a demandé la création d’un comité inter Etat qui réfléchirait aux moyens d’attirer davantage de capitaux vers cette zone en développement.
Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, a recommandé de mener une réflexion pour la mise en place de nouveaux mécanismes, aux fins de répondre aux aspirations du développement véritable de la sous région.
La réalisation de ces objectifs passe par le renforcement des capacités institutionnelles de la Commission Bancaire d’Afrique Centrale et par la stabilité des échanges, a soutenu Monsieur le Président de la République.
Par la suite, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a pris part aux côtés de ses pairs au 7ème Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement d’Afrique, Caraïbes et Pacifique.
Cette tribune des Chefs d’Etat et de Gouvernement, a offert l’occasion de redéfinir le partenariat avec l’Union Européenne.
Les Chefs d’Etat ont également abordé les questions relatives à la paix, à la sécurité, à la bonne gouvernance des Etats et régions ACP, à l’avenir et au financement du groupe ACP.
Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres s’est réjoui de la distinction de Grand Croix de l’Ordre International des Palmes Académiques du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) décernée à Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, au terme du 16ème Concours d’Agrégation de Médecine Humaine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine Vétérinaire et Production Animale qui s’est tenu à Libreville.
D’après le CAMES la haute distinction de l’Ordre attribuée à Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, n’est que la juste récompense à un leader qui a su identifier la formation et la recherche comme leviers de développement et de prospérité durables.
Par ailleurs, le Conseil des Ministres a tenu à rendre un vibrant hommage à Madame la Première Dame qui s’investit résolument et de façon soutenue pour l’émancipation des femmes et l’épanouissement des enfants.
Madame la Première Dame s’est engagée à agir au profit des plus démunis, n’hésitant pas à vivre leur quotidien. La Première Dame qui œuvre, sans répit, pour alléger les difficultés existentielles des handicapés, des mineurs en détention, des orphelins, des veuves, a bénéficié des hommages mérités à l’international.
Madame la Première Dame Sylvia BONGO ONDIMBA, s’est dernièrement rendu au Cap Esterias en tant que Présidente d’honneur de la Croix Rouge, faire dispenser des soins médicaux aux populations.
Pour ces grandes œuvres humanitaires à l’adresse de ses compatriotes, le Conseil des Ministres exprime sa déférence et sa profonde gratitude à Madame la Première Dame.
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT
Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres qui les a adoptés, cinq (5) projets de décrets pris en application des dispositions de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006 portant création et organisation des fonctions supports.
Il s’agit :
• du projet de décret portant création et organisation d’une Direction Centrale de la Communication dans les Ministères ;
• du projet de décret portant création et organisation d’une Direction Centrale des Statistiques et des Etudes dans les Ministères ;
• du projet de décret portant création et organisation d’une Direction Centrale des Archives et de la Documentation dans les Ministères ;
• du projet de décret portant création et organisation d’une Direction Centrale des Affaires Juridiques dans les Ministères ;
• du projet de décret portant création et organisation d’une Direction Centrale des Systèmes d’Information dans les Ministères.
Les fonctions supports visées par ces textes sont des services administratifs érigés en Directions Centrales dans les domaines de l’informatique, la gestion des ressources humaines, les affaires juridiques, la communication, les statistiques et les études ainsi que les archives et la documentation.
Ces fonctions interviennent de manière transversale dans tous les domaines de compétences d’un Département Ministériel. Les Directions Centrales sont toutes rattachées au Secrétariat Général des Ministères.
MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL
Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvé, le projet de loi portant extension du régime fiscal et douanier incitatif institué en faveur des exploitants agricoles.
Pris en application des dispositions de l’article 3 de la loi n° 027/2008 du 22 Janvier 2009 portant code général des impôts, le présent projet de loi vise l’extension du régime fiscal et douanier incitatif institué en faveur des exploitants agricoles.
Aussi, dispose-t-il en ces articles 2, 3, 4, 5 et 6 de ce que :
Article 2 : Le bénéfice des avantages fiscaux et douaniers prévus par les dispositions des articles 21 et suivants de la loi n° 22/2008 du 10 Décembre 2008 portant Code Agricole en République Gabonaise est étendu aux entreprises agricoles non expressément visées par cette loi, réalisant un minimum d’investissement de cent cinquante millions de francs cfa et un minimum d’effectif de trente personnes de nationalité gabonaise, notamment :
• les Sociétés de coopératives agricoles ;
• les Sociétés d’aménagement des terres agricoles ou des zones économiques agricoles ;
• les Sociétés agro-industrielles ;
• les groupements d’intérêts économiques à vocation agricole.
Article 3 : Les impôts, taxes, droits, redevances et autres prélèvements visés par la présente loi comprennent notamment :
• la patente ;
• la TVA ;
• les taxes foncières ;
• toute retenue à la source, à l’exclusion des retenues sur salaires et charges sociales ;
• les impôts sur la propriété, notamment les contributions foncières sur les propriétés bâties et non bâties ;
• les impôts de distribution ;
• les prélèvements au titre des prestations du Conseil Gabonais des Chargeurs ;
• les prélèvements au titre de la concurrence et de la consommation.
Article 4 : L’exonération de la TVA porte sur l’acquisition sur le marché local ou à l’importation :
• des biens, matériels et équipements industriels spécifiques ou non destinés aux activités agricoles et de transformation de produits ;
• des intrants, notamment les engrais, la provende, les produits phytosanitaires et zoosanitaires nécessaires aux activités agricoles.
Article 5 : Les entreprises agricoles visées à l’article 2 ci-dessus bénéficient du remboursement de la TVA facturée par les fournisseurs nationaux.
Article 6 : Les entreprises agricoles visées par la présente loi bénéficient d’une exonération de l’impôt sur les Sociétés, y compris le minimum, pour l’ensemble des activités de production, de transformation, de vente locale et d’exportation des produits agricoles.
Au terme de la période d’exemption, le taux de l’impôt sur les Sociétés est fixé à 25 % pendant les dix (10) années suivantes. Au-delà, le droit commun s’applique.
MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté deux (2) projets de décrets portant déclaration d’utilité publique (DUP), pris en application des dispositions des articles 1er et 2 de la loi n° 6/61 du 10 Mai 1961 portant déclaration d’utilité publique.
Il s’agit respectivement :
• de l’occupation par l’Etat d’une bande de terrain de trente (30) mètres d’emprise située de part et d’autre, de l’axe du lit de la rivière MEKANGOUE du bassin versant de Nzeng-Ayong, en vue de la construction d’un canal en béton armé pour le drainage des eaux pluviales et d’une piste de service pour l’entretien de ces ouvrages ;
• de l’occupation par l’Etat, dans la Commune de Libreville, d’une bande de terrain de vingt (20) mètres d’emprise, située de part et d’autre, de l’axe de la route locale n° 100, allant de l’échangeur de Lalala à droite au pont du marché d’Oloumi, en vue de son aménagement en deux (2) fois deux (2) voies.
MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION
Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret fixant l’organisation du Secrétariat Général de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel.
Pris en application des dispositions de l’article 37 de la loi n° 001/2011 du 25 Septembre 2011 fixant l’organisation du Secrétariat Général de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel, le présent texte dispose que le Secrétariat Général assiste la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel, ci-après désignée « La Commission ».
Du point de vue de son organisation, le Secrétariat Général est dirigé par un Secrétaire Général et comprend les Services d’appui et les Directions suivantes:
1- Les Services d’Appui :
• le Service Central du Courrier ;
• le Service de la Coopération ;
• le Service de la Documentation et des Archives ;
• le Service de la Séance ;
• le Service des Relations Publiques.
2- Les Directions :
• la Direction des Affaires Juridiques ;
• la Direction Administrative, Financière et des Moyens ;
• la Direction de l’Expertise Informatique et des Contrôles.
MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE
Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui les a adoptés, trois (3) projets de décret :
1- Le projet de décret portant réorganisation de l’Ecole d’Etat Major de Libreville. Pris en application des dispositions de l’article 33 de la loi n° 004/98 du 20 Février 1998, le texte susvisé redéfinit les attributions, l’organisation et le fonctionnement de l’Ecole d’Etat Major de Libreville.
2- Le projet de décret fixant l’organisation, la composition et le fonctionnement du Conseil Supérieur de la Défense Nationale et de la Sécurité Publique. Pris en application des dispositions de l’article 11 de la loi n° 004/98 du 20 Février 1998 qui fixe l’organisation, la composition et le fonctionnement du Conseil Supérieur de la Défense Nationale et de la Sécurité Publique, le présent texte dispose que le Conseil Supérieur de la Défense Nationale et de la Sécurité Publique est présidé par le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef Suprême des Forces de Défense et de Sécurité.
Il comprend comme membres :
• le Premier Ministre, Chef du Gouvernement ;
• le Ministre chargé de la Défense Nationale ;
• le Ministre chargé de la Sécurité Publique ;
• le Ministre chargé des Affaires Etrangères ;
• le Ministres chargé de l’Economie ;
• le Ministre chargé du Budget ;
• le Ministre chargé de l’Energie ;
• le Ministre chargé des Transports ;
• le Ministre chargé des Communications ;
• le Secrétaire Général du Conseil National de Sécurité.
Le Conseil Supérieur de la Défense Nationale et de la Sécurité Publique peut faire appel, en fonction des questions inscrites à son ordre du jour, à toute autre autorité, notamment :
• aux autres membres du Gouvernement ;
• au Secrétaire Général du Ministère de la Défense Nationale ;
• au Secrétaire Général du Ministère en charge de la Sécurité ;
• au Chef d’Etat Major Général des Forces Armées ;
• aux Commandants en Chef des Forces de Défense et de Sécurité ;
• aux Directeurs Généraux du Service de Santé Militaire et du Génie Militaire.
3- Le projet de décret fixant l’organisation, la composition et le fonctionnement du Comité de Défense Militaire. Pris en application des dispositions de l’article 12 de la loi n° 004/98 du 20 Février 1998 qui fixe l’organisation, la composition et le fonctionnement du Comité de Défense Militaire, le décret ci-dessus cité dispose que conformément à l’article 22 de la Constitution, le Président de la République préside le Comité de Défense Militaire qui comprend comme membres :
• le Premier Ministre, Chef du Gouvernement ;
• le Ministre chargé de la Défense Nationale ;
• le Secrétaire Général du Ministère de la Défense Nationale ;
• le Chef d’Etat-Major Général des Forces Armées ;
• le Commandant en Chef de la Gendarmerie Nationale ;
• le Commandant en Chef de la Garde Républicaine ;
• le Secrétaire Général du Conseil National de Sécurité.
MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
Le Ministre a présenté au Conseil, qui les a approuvés, quatre (4) projets de textes dont un projet de loi et trois (3) projets de décrets :
• projet de loi portant institution et organisation du Système Statistique National ;
• projet de décret portant recensement général de la population et des logements en République Gabonaise ;
• projet de décret organisant les procédures des projets publics cofinancés ;
• projet de décret portant création, attributions et organisation d’un Observatoire National de l’Emploi et de Formation.
Pris en application de l’article 47 de la Constitution, le projet de loi portant institution et organisation du Système Statistique National a pour objet de définir les principes fondamentaux de la statistique officielle et le cadre institutionnel qui doit désormais régir les activités statistiques au Gabon. Il précise les principales règles à observer.
Aussi, traite-t-il respectivement :
• des mesures et des objectifs ;
• des principes et des prérogatives ;
• de la procédure, des obligations et des pratiques ;
• des dispositions répressives ;
• du cadre institutionnel ;
• du financement ;
• des dispositions diverses et finales.
S’agissant du projet de décret portant organisation d’un Recensement Général de la Population et des Logements 2013, en abrégé « RGPL 2013, il est pris en application des dispositions de l’ordonnance n° 001/92/PR du 14 Février 1992 portant organisation d’un Recensement Général de la Population et de l’Habitat en République Gabonaise. Placé sous la tutelle technique du Ministère de l’Economie, le Recensement Général de la Population et des Logements 2013 comprend les organes suivants :
• la Commission Nationale du Recensement (CNR) présidée par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement ;
• la Direction Nationale du Recensement (DNR) ;
• le Bureau Central du Recensement (BCR).
La Commission Nationale, présidée par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement est composée de la manière suivante :
• le Ministre Chargé de l’Economie ;
• le Ministre Chargé de la Justice ;
• le Ministre Chargé de l’Habitat ;
• le Ministre Chargé du Budget ;
• le Ministre Chargé de l’Agriculture ;
• le Ministre Chargé de l’Intérieur ;
• le Ministre Chargé de la Santé ;
• le Ministre Chargé de l’Education Nationale ;
• le Ministre Chargé des Affaires Sociales ;
• le Ministre Chargé de la Défense ;
• le Ministre Chargé de la Communication ;
• deux (2) représentants par Association et Organisation non gouvernementale de Défense des Droits de l’Homme, légalement déclarées ;
• deux (2) représentants du Patronat gabonais ;
• trois (3) représentants des Partenaires au Développement.
En ce qui concerne le projet de décret organisant les procédures d’exécution des projets publics et cofinancés, pris en application de la loi organique n° 31/20/10 du 21 Octobre 2010 relative aux lois de finances et à l’exécution du budget, il traite respectivement :
• de la mise à disposition des fonds de contrepartie ;
• de l’exécution des fonds de contrepartie ;
• de l’exécution des financements extérieurs.
Quant au projet de décret portant création, attributions et organisation d’un Observatoire National de l’Emploi et de la Formation, pris en application de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006 fixant les règles de création, d’organisation et de gestion des services de l’Etat, il dispose de ce qu’il est créé et placé sous la tutelle technique du Ministre chargé de l’emploi, un établissement à caractère scientifique dénommé Observatoire National de l’Emploi et de la Formation (O.N.E.F), doté de la personnalité juridique et de l’autonomie de gestion administrative et financière.
L’ONEF comprend :
• un Conseil d’Administration ;
• une Direction Générale ;
• une Agence Comptable.
MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE
Le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant création et organisation de la Direction Centrale des Ressources Humaines, présentée par Madame le Ministre.
Pris en application des dispositions de la loi n° 001/2005 du 04 Février 2005, portant statut général de la fonction publique et de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006 fixant les règles de création, d’organisation et de gestion des services de l’Etat.
Le texte susvisé précise que les Directions Centrales des Ressources Humaines sont désormais des organes délégués de gestion, placés sous l’autorité et pour le compte de l’organe central qu’est la Direction Générale de l’Administration et de la Fonction Publique.
Les Directions Centrales des Ressources Humaines assurent la gestion des structures et des emplois. Aussi, cette réforme vise-t-elle la déconcentration de l’administration de la fonction publique en vue d’une plus grande efficacité dans la gestion des agents publics et des structures administratives.
MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DES MINES
Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui les a adoptés, deux (2) projets de textes :
• le projet de loi relative au système national de normalisation ;
• le projet de décret instituant le Prix Gabonais de la Qualité.
S’agissant du projet de loi prise en application des dispositions de l’article 47 de la Constitution, elle comprend quatre (4) chapitres et traite respectivement:
• des définitions ;
• du système national de normalisation ;
• de la marque nationale de qualité et du contrôle de qualité ;
• des infractions et des sanctions ;
• des dispositions diverses et finales.
Quant au projet de décret pris, en application des dispositions de l’article 51 de la Constitution, il institue, en République Gabonaise, un prix dénommé « Le Prix Gabonais de la Qualité », en abrégé « PGQ ».
Le Prix Gabonais de la Qualité a pour objet de contribuer au développement de la Normalisation en général, et de promouvoir la qualité des produits, des biens et des services.
Il constitue également une évaluation de référence, un outil de mesure de la performance en matière de Management par la qualité des entreprises et des administrations.
Un concours pour son attribution est organisé par l’Agence Gabonaise de Normalisation. Il est ouvert à toute entité du secteur marchand ou non marchand, de droit gabonais, quel que soit son domaine d’activités.
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE
MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE
Le Conseil des Ministres a marqué son accord aux demandes d’agréments de leurs Excellences :
• Monsieur Kenj El HAJAL, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Liban près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;
• Madame Pearl Nomvume MAGAQA, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République d’Afrique du Sud près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;
• Monsieur Bo JENSEN, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Royaume du Danemark près la République Gabonaise, avec résidence à Ouagadougou au Burkina Faso ;
• Monsieur Joachim OEPINGER, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République d’Autriche près la République Gabonaise, avec résidence à Abuja au Nigéria ;
• Monsieur David JAMIESON, en qualité de Consul Honoraire du Danemark, à Libreville ;
• Monsieur Noureddine BEDOUI, en qualité de Consul Honoraire de Turquie à Port-Gentil ;
• Colonel-Major Bastien KAH, en qualité d’Attaché de Défense de la République de Côte d’Ivoire près la République Gabonaise, avec résidence à Yaoundé au Cameroun ;
• Madame Marie Evelyne PETRUS BARRY en qualité de Représentante résidente du PNUD en République Gabonaise.
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS
Le Conseil des Ministres a approuvé la mise en place d’une Commission de réactualisation de l’histoire du Gabon proposée par le Ministre.
En outre, le Conseil des Ministres a marqué son accord pour la tenue du Carnaval International de Libreville, dans la deuxième (2ème) quinzaine du mois de Février 2013 sous le thème : « Nature, Culture et Diversité ».
MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES
Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvé, la Stratégie Nationale d’Egalité et d’Equité du Genre. Par ailleurs, le Conseil des Ministres a adopté le rapport final de l’analyse de situation du phénomène des enfants sans acte de naissance au Gabon ; rapport réalisé avec l’appui de l’UNICEF, du 15 Septembre au 30 Novembre 2011.
AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES
MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE, DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE
Le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour la tenue la Conférence de Lancement International de la Campagne Médiatique du FESPACO sur le continent africain, le 04 Janvier 2013, à Libreville.
Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement. La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.
Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
- Conseiller Spécial du Président de la République chargé du Programme Gabon Bleu : Dr. J. Michael FAY, précédemment, Directeur Technique de l’Agence Nationale des Parcs Nationaux.
AGENCE NATIONALE DES PARCS NATIONAUX
- Conseiller Juridique du Secrétaire Exécutif de l’agence Nationale des Parcs Nationaux : M. Jean Mathieu ANGOUE ONDO, en remplacement de M. Serge ABESSOLO.
- Chargés d’Etudes du Secrétaire Exécutif de l’Agence Nationale des Parcs Nationaux :
• Mme Natacha ONA ABIAGA,
• M. Vianet MIHINDOU, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.
- Directeur Technique de l’Agence Nationale des Parcs Nationaux : M. Christian MBINA, Ingénieur Ecologue, expert en Biodiversité Tropicale, en remplacement du Dr. J. Michael FAY.
- Directeur des Opérations : M. Christian TCHEMAMBELA, précédemment Responsable suivi-évaluation.
- Directeur Technique Adjoint : M. Christian JOHNSON.
- Conservateur Sénior chargé des Parcs Tridom (Minkébé, Ivindo, Mwagna) : Dr. Joseph Vivien OKOUYI, précédemment Conservateur du Parc National d’Ivindo.
- Conservateur Sénior chargé des Parcs de Loango, Moukalaba Doudou et Mayumba : M. Brice Léandre MEYE, précédemment Conservateur du Parc National de Loango.
- Conservateur Sénior chargé des Parcs de Lopé, Plateaux batéké et des monts du Chaillu (Waka, Birougou) : M. Sosthène NDONG OBIANG, précédemment Conservateur du Parc National de la Lopé.
- Conservateur Sénior chargé des Parcs de l’Estuaire ; Akanda, Pongara , Monts de Cristal : M. Jean Jacques TANGA, précédemment Conservateur du Parc National d’Akanda.
- Gestionnaire de l’arboretum Raponda Walker : Mme Anne Marie NDONG OBIANG, Ingénieur des Eaux et Forêts.
- Responsable suivi-évaluation : M. Nestor BOUENGUE, Ingénieur des Eaux et Forets, en remplacement de M. Christian TCHEMAMBELA.
- Chef de Service chargé des Investigations, de la surveillance et de la Protection : M. Hervé NDONG ALLOGHO, précédemment Conservateur du Parc National de Minkébé.
- Chef de Service chargé des zones humides : Mme Solange NGOUESSONO, précédemment Conservateur du Parc National de Mayumba.
- Chef de Service chargé des zones périphériques : M. Roger AZIZET, Ingénieur des Techniques des Eaux et forêts.
- Chef de Service chargé de l’Implication des Communautés Locales : M. Patrick-Daniel ABAGHA OLLOMO.
- Chef de Service chargé de l’Aménagement des Parcs : M. Jean-Baptiste SQUARCINI.
- Chef de Service chargé du Tourisme : M. Aristide KASSANGOYE.
- Chargé d’Etude du Directeur Technique : M. Boris MAPIKOU, Ingénieur Forestier, en remplacement de M. Sylvain MBADOU.
CONSERVATEURS
- Conservateur du Parc National d’Akanda : M. Clotaire MOUKAGNI SIKA, précédemment Conservateur adjoint du Parc National de Loango, en remplacement de M. Jean-Jacques TANGA.
- Conservateur du Parc National de Pongara : M. Guy Philippe SOUNGUET, en remplacement de M. Eric DEBONGUSTH AUGOWET.
- Conservateur du Parc National des Monts de Cristal, secteur SENI : M. Nazaire MADAMBA, précédemment Conservateur adjoint de la Réserve Présidentielle de Wonga Wongué, en replacement de M. Simon ANGOUE, admis à faire valoir ses droits à la retraite.
- Conservateur du Parc National des Monts de Cristal, secteur Mbe : M. Kévin Ulrich LEKOGO KIANA, précédemment Chef de Service de la programmation et de la planification à la Direction Technique.
- Conservateur du Parc National de Loango : M. Anicet MEGNE, précédemment Conservateur adjoint du Parc National de Moukalaba Doudou, en remplacement de M. Brice Léandre MEYE.
- Conservateur du Parc National de MOUKALABA-Doudou : M. Daniel Arnaud NDZAME, précédemment Conservateur du Parc National de Birougou, en remplacement de M. Roger NYAMENGO, remis à la disposition de son administration d’origine.
- Conservateur du Parc National de Mayumba : M. Eric DEBONGUSTH AUGOWET, précédemment Conservateur du Parc National de Pongara, en remplacement de Mme solange NGOUESSONO.
- Conservateur du Parc de Minkébé : M. Franck BIBANG BI NGOMO, précédemment Conservateur Adjoint du Parc National de Mwagna, en remplacement de M. Hervé ALLOGHO.
- Conservateur du Parc National d’Ivindo : M. Rostand ABA’A NSEME, en remplacement du Dr Joseph Vivien OKOUYI.
- Conservateur du Parc National de Mwagna : M. Sylvain MBADOU, précédemment chargé d’Etudes du Directeur Technique, en remplacement de M. Serge NKALA Y ETENO, remis à son administration d’origine.
- Conservateur du Parc National de la Lopé : M. Benoit NZIENGUI, précédemment Conservateur du Parc National de Waka, en remplacement de M. Sosthène NDONG OBIANG.
- Conservateur du Parc National de Waka : M. Simplice Hervé OCKOY ELINGOU, en remplacement de M. Benoit NZIENGUI.
- Conservateur du Parc National de Birougou : M. Franck LEPEMANGOYE, précédemment en service à la Direction des Etudes de la Faune au Ministère des eaux et Forêts, en remplacement de M. Daniel Arnaud NDZAME.
- Conservateur du Parc National des Plateaux Batéké : M. André Pierre TCHANDI OTIMBO, Ingénieur des Eaux et Forêts, précédemment en service à la Direction de la Lutte Anti Braconnage, en remplacement de M. Jean TONANGOYE, remis à son administration d’origine.
PRIMATURE
CABINET MILITAIRE DU PREMIER MINISTRE, CHEF DU GOUVERNEMENT
- Attachés de Cabinet du Premier Ministre :
• Lieutenant Major BITEGHE Clément ;
• Sous Lieutenant BIYE OBIANG Marie Flore ;
• Sous Lieutenant TOUPI Daniel ;
• Brigadier Chef TSIONDZO Marcelin;
• Adjudant Chef BEMI Anaclet.
- Secrétaires Particulières :
• Adjudant Chef Major EYANG MINKO Clémentine.
• Maréchal de Logis Chef ANKAMA DIAVIE.
- Secrétaires Techniques :
• Sous Lieutenant BWITY Evelyne ;
• Adjudant Chef MOUBIDZA François ;
• Adjudant Chef TSOUMBA Gaétan ;
• Adjudant MEBALEY ABAGHA Vincent ;
• Brigadier KOUMBA ;
• Brigadier MAOUNDOU ASTRID Isabelle ;
• Sergent Chef ADA MENGOME Mireille Flore ;
• Maréchal de Logis Chef APASSI PASTOR ;
• Maréchal de Logis Chef NIANGUI Benedicta.
- Chauffeur : Sergent OBAME EYEGHE SYDNEY.
Les autres Personnels sont remis à la disposition de leur corps d’origine.
MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT
CABINET DU MINISTRE
- Secrétaire Particulière : Mme Suzanne Laure ITOUMBA ISSEMBE épouse DRAME, en remplacement de Mme BOUANGA Rosalie épouse MPAGA.
SECRETARIAT GENERAL
DIRECTION GENERALE DE LA COMMUNICATION, DE L’INFORMATIQUE ET DES STATISTIQUES DIRECTION DE LA COMMUNICATION
- Directeur : Mme HERVO AKENDENGUE Marie-Sylvie.
CONSEIL D’ETAT
CABINET DU PREMIER PRESIDENT
- Attaché de Cabinet : Mme MOUSSAVOU Félicité.
CABINET DU COMMISSAIRE GENERAL A LA LOI
- Secrétaire Particulière : Mme ZANG OVONO Sylvie ;
- Attachée de Cabinet : M. SIMA MINTSA Pierre ;
- Chef du Protocole : Mme AVOMO ELLA Françoise ;
- Agent de Sécurité : M. ANVAME BITOME Gervais ;
- Chauffeur Particulier : M. NDONG NANG Guy Serge.
CABINET DU SECRETAIRE GENERAL
- Secrétaire Particulière : Mme BOUYI MBEMBO Marie Clémence ;
CABINETS DES PRESIDENTS DES CHAMBRES
- Secrétaire Particulière du Président de la Première Chambre Contentieuse : Mme SIKA MATAYA Thérèse ;
- Secrétaire Particulière de la Deuxième Chambre des Requêtes : Mme ANGO Thierry Sabine épouse NZE MENDOME ;
- Secrétaire Particulière du Président du Service de la Documentation et des Etudes : Mme MOUSSAVOU MABOUNDA Mercedes.
CABINET DES COMMISSAIRES GENERAUX ADJOINTS A LA LOI
- Secrétaire Particulière du Commissaire Général à la loi près la Première Chambre Règlementaire : Mme MANOMBA NGUIMBI Christiane.
- Secrétaire Particulière du Commissaire Général à la loi près la deuxième Chambre Règlementaire : Mme KOUMA NDOUTOUME ELLA Natacha.
COUR DE CASSATION
CABINET DU PREMIER PRESIDENT
- Chef de Cabinet : M. GNIMBI Maurice ;
- Secrétaire Particulière : Mme OUGNOUNZA BOUSSOUGOU Stéphanie ;
- Secrétaire de Cabinet : Mme BOURDES W’EMPIRA Reine Carine ;
- Chef de Protocole : M. EBANE EKOGHA Emmanuel ;
- Conseiller en Communication : Mme ZANG OBIANG Angélique, précédemment Attaché de Presse ;
- Aide de Camp : Sous Brigadier MANFOUMBI Marcel, précédemment en service à la Direction Générale de la Logistique.
- Agents de Sécurité :
• Brigadier de Police, MIHINDOU Jean Pierre, précédemment en service à l’Ecole de Police (ESCAP) ;
• Gardien de Paix, NGOUBA-MBIGUI Lionel Ashley.
SENAT
CABINET DU PRESIDENT
- Directeur de Cabinet : M. David IKOGHOU MENSAH, cumulativement avec ses fonctions d’Enseignant à l’Université Omar BONGO ONDIBA, en remplacement de M. Christian QUENTIN BAPTISTE.
COMMISSION DE LUTTE CONTRE L’ENRICHISSEMENT ILLICITE
- Agent de Sécurité du Commissaire : M. IGALLA NGOMA Judicaël, en remplacement de M. ANGOUE EBOUANG Stéphane Olivier, remis à la disposition de son administration d’origine.
MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE
CABINET DU MINISTRE
- Conseiller Chargé des Organisations Internationales : Mme Clémence Eliane ANIAMATSIE MBELE, Conseiller des Affaires Etrangères.
- Conseiller Chargé de la Prospective : M. Serge MOMBEY, Administrateur Civil en Chef.
- Chargés d’Etudes :
• M. Germain BIAHODJOW, Conseiller des Affaires Etrangères ;
• Mlle Sonia OLENDO.
MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PECHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL
CABINET DU MINISTRE
- Chargé d’Etudes : M. Jean AMPARI.
- Conseiller chargé du Développement Rural et des Aménagements des Terres Agricoles : M. Sylvestre MAKANGA, Master en Economie du Système Agro-Industriel, en remplacement de M. Jean-René NZAMA MOMBO.
SECRETARIAT GENERAL
- Secrétaire Général Adjoint 1 : M. Barthélémy BONGO AKANGA NDJILA, en remplacement de M. Jean NGOUELE, remis à la disposition de son administration d’origine.
ADMINISTRATION CENTRALE
– DIRECTIONS GENERALES DIRECTION GENERALE DE L’AGRICULTURE
- Directeur Général : M. Jean René NZAMBA MOMBO, Ingénieur Agronome.
- Directeur Général Adjoint : Mme Clarisse PONGA, confirmée.
DIRECTION GENERALE DE L’ELEVAGE
- Directeur Générale de l’Elevage : M. Daniel OBAME ONDO, Docteur Vétérinaire, en remplacement de Mme Aubierge MOUSSAVOU.
- Directeur Général adjoint : M. Bruno Franck MIHINDOU MOUSSAVOU, Docteur Vétérinaire, en remplacement de M. MBA BEKOUNG.
DIRECTION GENERALE DE LA PECHE ET DE L’AQUACULTURE
- Directeur Général : Docteur Guy Anicet RERAMBYATH, confirmé.
- Directeur Général Adjoint : Mme Louise ALLELA, Ingénieur Pêche et Aquaculture, en remplacement de M. Jean AMPARI.
DIRECTIONS
- Directeur des Pêches Industrielles : Mme Pulchérie MENGUE M’ADZABA, Ingénieur Pêche et Aquaculture.
- Directeur des Pêches artisanales : M. Jean de Dieu DOUMABILA, Ingénieur Halieute.
- Directeur de la Qualité et des Inspections Sanitaires M. Gilles Aurélien BOUPANA MAPEYI, Docteur Vétérinaire.
- Directeur de l’Aquaculture : M. Franck Aristide BIGNUMBA MOMBO, Ingénieur Agronome, spécialiste en production halieutique.
- Directeur des Affaires Juridiques et de la Surveillance : M. Jean Yvon ELANGMANE.
- Directeur Provincial des Pêches de l’Ogooué Maritime : M. Samuel Renaud JOCKTANE.
DIRECTION GENERALE DU DEVELOPPEMENT RURAL
- Directeur Général : M. Calixte MBENG, Ingénieur Agronome, précédemment Directeur Général de l’ONADER, en remplacement de M. Barthélémy BONGO AKANGA NDJILA.
- Directeur Général Adjoint M. Voga MOUDOUBOU.
DIRECTION GENERALE DES ETUDES ET STATISTIQUES AGRICOLES
- Directeur Général : M. Denis NZOGHE, Docteur en Agronomie Tropicale, confirmé.
- Directeur Général adjoint : M. Fernand DIABA MOUISSI, Ingénieur Statisticien.
ORGANISMES SOUS TUTELLE OFFICE DES RECHERCHES, D’INTRODUCTION, D’ADAPTATION ET DE MULTIPLICATION DU MATERIEL, VEGETAL (ORIAM)
- Directeur Général : M. Henri-Grégoire NGOUA ASSOUME.
- Directeur Général Adjoint M. Isidore MBINA.
DIRECTION GENERALE DE L’OFFICE NATIONALE DU DEVELOPPEMENT RURAL (ONADER)
- Président du Conseil d’Administration : Paul Steeve Flavien ONDZOUNGA, en remplacement de M. PASSAKA Bernard, décédé.
- Directeur Général : M. Blaise ESSIELE, Ingénieur Agronome, en remplacement de M. Calixte MBENG.
- Directeur Général adjoint : M. Michael RONOUBIGOUWA AVARO, Docteur en Agronomie.
- Directeur des Etudes et Recherches : Mme Nadine AWA NDONG, Ingénieur agronome.
- Directeur du Conseil Agricole et Rural : M. Lazard OSSENDE ESSANGA, Docteur en Science Agronomique tropicale.
- Directeur de la Production et des aménagements : M. Urbain NGUEMA MBA.
- Directeur Administratif et Financier : M. Florent Jasmin LIYOKO M’BINGA, Administrateur Economique et Financier, Confirmé.
AGENCE GABONAISE DE SECURITE ALIMENTAIRE (AGASA)
- Directeur Général : Dr Sylvain Patrick ENKORO, Docteur en Médecine Vétérinaire.
- Directeur Général Adjoint : Mme Yvette SOUNDA, Docteur Vétérinaire.
AGENCE DE COLLECTE ET DE COMMERCIALISATION DES PRODUITS AGRICOLES (ACCOPA)
- Directeur Général : M. Chris MOMBO NZASSI, précédemment Directeur Général de l’AGASA.
- Directeur Général Adjoint : M. Pelage AKOGHE NSOME, Ingénieur Agronome, spécialiste en Conditionnement.
OFFICE NATIONAL DE LABORATOIRES AGRICOLES (ONALA)
- Directeur Général : M. Patrick MBA BEKOUNG, Docteur Vétérinaire.
- Directeur Général adjoint : Mme Yolande BIVIGOU épouse MBENG.
DIRECTION NATIONALE DU FONDS INTERNATIONAL DE DEVELOPPEMENT AGRICOLE (FIDA)
- Directeur National : Mme Rachelle EWOMBA JOCKTANE, en remplacement de Mme Yolande BIVIGOU épouse MBENG. INSTITUT GABONAIS D’APPUI AU DEVELOPPEMENT (IGAD)
- Directeur Général adjoint : M. Alain MAKAYA, Ingénieur Zootechnicien.
MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE
CABINET DU MINISTRE
- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mlle Olga BIANG-MANE NGOUA.
MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION.
COMMISSION NATIONALE POUR LA PROTECTION DES DONNEES A CARACTERE PERSONNEL
- Représentant de l’Ordre des Avocats : Maître Sylver Denis RETENO NDIAYE.
MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES
CABINET DU MINISTRE
- Madame Pierrette BOUNDA est remise à la disposition du Ministère de la Justice, Garde des Sceaux, des Droits Humains et des Relations avec les Institutions Constitutionnelles, porte-parole du Gouvernement, son administration d’origine.
MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DES MINES
CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’AGENCE DE NORMALISATION ET DE TRANSFERT DE TECHNOLOGIE (ANTT)
- Président du Conseil d’Administration de l’ANTT : M. : Michel MBOMO UPIANGOU, Ingénieur Informaticien en Chef de l’Administration Gabonaise.
MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
CABINET DU MINISTRE
RESPONSABLES DU BUREAU CENTRAL DU RECENSEMENT
- Directeur du Bureau Central du Recensement (DBCR) : M. Noël MOUSSAVOU.
- Directeur Adjoint du Bureau Central du Recensement (DABCR) : M. Jean Pierre ZIMA MEFE.
CHEFS DE SECTIONS
- Chef de Section Cartographie : M. Désiré ZE NGUEMA.
- Adjoint au Chef de Section Cartographe : M. Serges MAGANGA.
- Chef de Section Collecte et Méthodologie : Mme Hélène BENGOBSAME.
- Adjoint au Chef de Section Collecte et Méthodologie : M. Daniel EDJO MVE.
- Chef de Section Analyse, Exploitation et Diffusion : Mme Nicole NTSAME ONDO.
- Adjoint au Chef de Section Analyse, Exploitation et Diffusion : M. Jean NDONG NKOGHO.
- Chef de Section Administration et Finance : Mme Jeannine BAKENDA.
- Adjoint au Chef de Section Administration et Finance : Mme Elvire REVAZA.
- Chef de Section Communication et Sensibilisation : Mme Edwige OYE NDONG.
- Adjoint au Chef de Section Communication et Sensibilisation : M. Yves Roger MOUANAMBATSI.
CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS
- Membre du Conseil de Surveillance de la Caisse des Dépôts et Consignations pour le Compte du Ministère de la Justice, Garde des Sceaux : M. Alphonse NKOROUNA, Directeur des Affaires Pénales et des Grâces au Ministère de la Justice, Garde des Sceaux, des Droits Humains et des Relations avec les Institutions Constitutionnelles, en remplacement de M. BIBANG BI NDONG Simon Michel.
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Gabon: Conférence de Presse du Porte Parole de la Présidence de la République
ORDRE DU JOUR
I/- LE CALENDRIER DE PRESENTATION DES VŒUX AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
II/- LA VISITE DU PREMIER MINISTRE TURC AU GABON.
III/- LA VISITE DU DIRECTEUR EXECUTIF DU FONDS DES NATIONS UNIES POUR LES POPULATIONS AU GABON
IV/. RENCONTRE DES MINISTRES DES AFFAIRES ETRANGERES DE LA CEEEAC
I/- LE CALENDRIER DE PRESENTATION DES VŒUX 2013 AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Les 3, 4, 9 et 10 janvier 2013, le Président de la République, Chef de l’Etat et Madame Ali BONGO ONDIMBA recevront les vœux de la République pour l’année 2013 au Palais de la Présidence de la République selon le calendrier ci-après :
Jeudi 03 janvier 2013
En matinée : le corps diplomatique (Salle d’Apparat du 2ème étage).
Dans l’après-midi : le Gouvernement et l’Administration Centrale, le Sénat, l’Assemblée Nationale, la Cour Constitutionnelle et le Corps Judiciaire, le Gouvernorat (Salle d’Apparat du 2ème étage).
Vendredi 04 janvier 2013
En matinée : les Forces de défense et de Sécurité (Salle d’Apparat du 2ème étage).
Dans l’après-midi : La Présidence de la République (Salle d’Apparat du 2ème étage)
Mercredi 09 janvier 2013
En matinée : le CNC, le CES, les Commissions indépendantes (CENAP, CNLCEI, MEDIATURE), les Mairies et les Confessions religieuses (Salle d’Apparat du 2ème étage).
Dans l’après-midi : les Confédérations syndicales (Salle d’Apparat du 2ème étage).
Jeudi 10 janvier 2013
En matinée uniquement : la Presse (Salle de Presse Bâtiment Bureaux)
II/- LA VISITE DU PREMIER MINISTRE TURC AU GABON
Le Président de la République recevra le 7 janvier prochain le Premier Ministre de la Turquie Monsieur Recep TAYYIP ERDOGAN qui sera accompagné de quatre Ministres et d’une délégation d’hommes d’affaires.
Il faut rappeler que cette visite fait suite à la rencontre en Turquie il y a quelques mois entre le Président Ali Bongo Ondimba et son homologue turc, Son Excellence Abdullah Gül, qui s’étaient entretenus sur les possibilités de partenariats entre nos deux pays.
C’est l’occasion de noter que les efforts engagés par le Président de la République qui, depuis son accession à la Magistrature Suprême, a effectué plusieurs visites officielles à travers le monde pour vendre l’image du GABON, rencontrent un intérêt véritable dans nombreux pays et auprès de nombreux investisseurs.
La Turquie est en effet la 1re puissance économique du Moyen-Orient devant l'Iran et l'Arabie saoudite[], la 7e puissance économique d'Europe et la 15e puissance économique mondiale[].
Membre du G20 et de l'Union Douanière Européenne, la Turquie a officiellement entamé ses négociations d’adhésion avec l’Union Européenne en octobre 2005.
En Europe justement, la Turquie est :
- le 1er fabricant de téléviseurs ;
- le 4e dans les pièces détachées automobiles ;
- le 1erproducteur d’engrais chimiques ;
- le 3e producteur sidérurgique ;
- le 3e fabricant de céramique ;
- le 6e fabricant de réfrigérateurs ;
- et le 4e marché de télécoms.
III/- LA VISITE DU DIRECTEUR EXECUTIF DU FONDS DES NATIONS UNIES POUR LA POPULATION AU GABON
Le 7 janvier prochain, le Directeur Exécutif du Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP) sera en visite de travail au Gabon. Il sera reçu en audience par le Président de la République, Chef de l’Etat.
Cette visite fait suite aux différents entretiens que les deux personnalités ont eu lors de la dernière session ordinaire de l’Assemblée Générale des Nations Unies à New York.
Il s’agira de faire le point de la coopération entre le Gabon et le FNUAP dans tous les domaines, notamment sur la contribution du Gabon à la réduction de la mortalité maternelle au Gabon et sur le Continent africain.
Il est à rappeler que cette question sera abordée lors du prochain sommet des Chefs d’Etats et de Gouvernements de l’Union Africaine prévu fin janvier 2013 à Addis-Abeba en Ethiopie.
IV/. RENCONTRE DES MINISTRES DES AFFAIRES ETRANGERES DE LA CEEEAC
Les ministres des Affaires Etrangères de la CEEAC vont s’entretenir aujourd’hui dans notre Capitale pour évaluer la situation qui prévaut en République Centrafricaine.
Une situation que le Président de la République suit de très près en sa double qualité de Président de la République gabonaise et de Président en exercice de la CEMAC.
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21/12/2012
Gabon: Les veuves et leurs enfants célèbrent Noel au Centre Mbandja
Nous avons eu le plaisir d’accueillir cet après midi, dans les locaux du Centre Mbandja une partie de notre grande famille : Des femmes d’exception qui se battent au quotidien pour leurs droits et ceux de leurs enfants. Je parle bien entendu des Veuves.
Très émues et touchées par cette surprise, ces femmes parmi les plus démunies suivis par la cellule veuves ont vu leurs enfants recevoir un cadeau de noël et ont reçu pour leur part un panier garni de produits alimentaires, d’entretien, personnels ainsi qu’un bon d'achat pour des produits de la vie de tous les jours a valoir dans les supermarchés de Libreville .
En période de fêtes il nous semblait indispensable d’être aux côtés de ces femmes et de leurs enfants. " Où est maman Sylvia, on veut la remercier " ont lancé quelques femmes présentes m’ont rapporté les membres de mes équipes.
Sachez que je suis et serai toujours à vos côtés. Ce moment vous appartenait, c’était le vôtre. Nous aurons d’autres occasions de nous retrouver en 2013.
Merci à toutes mes équipes pour le travail qu’elles accomplissent au quotidien. Avec un peu d’avance ….
Bonnes fêtes de fin d’année à vous tous.
Bonne soirée à tous !
Sylvia Bongo Ondimba
http://www.fondationsylviabongoondimba.org/
https://www.facebook.com/pages/Sylvia-Bongo-Ondimba/155356889540
BP 20495 Libreville |
L’objectif général du Centre Mbandja est le renforcement des capacités des ONG, et particulièrement celles oeuvrant dans le domaine humanitaire et social en faveur de la femme
http://www.fondationsylviabongoondimba.org/fr/nos-engagements/droits-et-promotion-de-la-femme/centre-mbandja
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17/12/2012
Gabon: Condoléances d'Ali Bongo Ondimba à Barack Obama
Vendredi 14 décembre dernier, une terrible fusillade dans une école primaire de Newton, dans le Connecticut (Etats-Unis) a fait 26 victimes. Le Président gabonais, Ali Bongo Ondimba adresse un message de soutien à toutes les familles des victimes et au Président Barack Obama.
« Monsieur le Président,
C’est avec tristesse et consternation que j’ai appris la nouvelle de l’effroyable tuerie qui s’est déroulée vendredi 14 décembre 2012 dans une école primaire de Newton, dans le Connecticut à la suite de la fusillade qui a fait une vingtaine de morts et des blessés.
Cette affligeante circonstance, qui survient dans votre pays, chantre des valeurs de liberté et de tolérance, nous attriste d’autant que les victimes sont pour la plupart des enfants de très bas âge dont le devenir est cruellement et définitivement arrêté par la folie meurtrière d’un homme.
Cette tragédie demeure pour nous parents, un événement déplorable et condamnable à tous points de vue.
Aussi, voudrais-je, au nom du peuple gabonais, du Gouvernement de la République, de la Première Dame du Gabon et au mien propre, vous adresser mes plus vives et sincères condoléances et assurer à votre Excellence, aux familles des victimes ainsi qu’à l’ensemble du peuple américain ami, de notre soutien et de notre compassion.
Je reste convaincu que vous saurez puiser dans cette terrible épreuve, qui affecte profondément la Nation américaine, toute l’énergie et la détermination nécessaires pour trouver les solutions qui sécuriseraient d’autres innocents et empêcheraient des tragédies semblables.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’assurance de ma haute considération ».
Ali Bongo Ondimba
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16/12/2012
Conférence de presse du Conseil supérieur islamique du Gabon (Cesaig) : ‘’Au Gabon, l’islam doit rester hors du champ politique.’’
Samedi 15 Décembre 2012, Libreville - C’est la salle de conférence ‘’Arambo’’ du ministère de l’économie et des finances, qui a servi de cadre à une séance de restitution de la vérité, dont le conférencier principal était Monsieur Ali Akbar Onanga Y’Obegue, Secrétaire Général Adjoint de la Présidence de la République, et Conseiller Spécial du Raïs de la Communauté Musulmane du Gabon, Son Excellence Hadj, Ali Bongo Ondimba.
Depuis plusieurs semaines, de nombreuses allégations ternissent l’image du Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Gabon (CSAIG), faisant le lit à des interprétations les plus maladroites et non fondées.
Au nombre de ces allégations, l’adhésion de la communauté islamique à la tenue d’une conférence nationale souveraine, et la vaste cabale médiatique de dénigrement autour de la personne du Grand Imam du Gabon, Président du CSAIG, Ismael Oceni Ossa.
Pour lever tout point d’ombre sur cette vaste conspiration, le Conseiller du Spécial du Raïs de la Communauté Musulmane du Gabon, Ali Akbar Onanga Y’Obegue, a eu une réaction et des propos sans équivoques.
Concernant la pseudo adhésion de la communauté musulmane à la tenue d’une conférence nationale souveraine, Monsieur Ali Akbar, a restitué la teneur et la tonalité d’une rencontre interne d’éclaircissement, tenue la veille, entre le bureau directeur du CSAIG et le principal concerné, à savoir Monsieur Omar Omanda, membre du bureau exécutif du CSAIG.
A la demande d’explications qui lui était faite à l’occasion de cette réunion, Monsieur Omar Omanda a dit avoir signé non pas au nom du CSAIG, mais au nom de l’association dont il est le fondateur, à savoir la Fondation Islamique pour laRéhabilitation des Musulmans du Gabon.
Selon lui, la parution dans la presse de cet acte constitue une déformation de l’information, et une instrumentalisation de sa signature.
En tout état de cause, l’acte posé a été reconnu comme violant les dispositions de l’article 12 de la charte de la Communauté Musulmane du Gabon, qui exclut de son champs d’activité toute préoccupation ou participation politique, par le CSAIG lui même, y compris par les associations qu’il reconnaît et qui lui sont affiliées.
C’est pourquoi, en raison des faits reprochés à Monsieur Omar Omanda, le bureau a, à la majorité des 2/3, adopté une proposition d’exclusion de ce dernier qu’il va soumettre au Raïs qui a seul pouvoir de nomination et de destitution des membres du bureau du CSAIG.
L’IMAM ALI DZIMBENA fut la deuxième personne signataire de l’appel à la tenue de la conférence nationale souveraine, et selon Monsieur Ali Akbar, il serait également auteur présumé des articles de presse injurieux, calomniateurs, diffamateurs et proprement mensongers à l’égard de l’Islam, du CSAIG et de ses principaux responsables, principalement son Président, l’Imam Ismael OCENI OSSA.
Invité à s’expliquer sur les motivations de ses agissements, ce dernier s’est refusé à fournir une quelconque explication au bureau du CSAIG, sous le fallacieux prétexte que ce bureau n’avait pas qualité pour l’auditionner en sa qualité d’Imam
Devant son refus de s’expliquer, le bureau entend prendre toutes les sanctions qui s’imposent contre cet Imam qui du seul fait de ses agissements a perdu le droit à cette fonction, car au Gabon, a dit Monsieur Ali Akbar, les Imams ont vocation à rester dans les mosquées et non pas dans les meetings politiques!
Motivant sa position et son regret face à une telle situation, le Conseiller spécial du Rais, Monsieur Ali Akbar a indiqué que l’interférence passionnée de l’islam dans les questions d’ordre politique a été préjudiciable dans bon nombre de pays.
Prenant à témoin l’opinion nationale Monsieur Ali Akbar a indiqué que l’Islam au Gabon n’est pas dans le champ politique, n’a pas d’idéologie politique et que par conséquent les hommes politiques du Gabon doivent respecter ce positionnement pour éviter d’ouvrir des portes qui pourraient conduire le pays dans une voie sans issue et aux conséquences dommageables certaines.
D’autres sujets ont été abordés lors de cette conférence de presse, et concernant l’actuel Président du Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Gabon, le Grand Imam Ismael Océni Ossa, parmi lesquels on peut retenir : la gestion du drame survenu lors de l’édition 2012 du pèlerinage à la Mecque ; la prétendue arrestation de l’Imam avec de nombreuses devises à l’aéroport ; la demande de démission de l’Imam par certains membres en raison de la mauvaise gestion de la communauté musulmane par le président du Conseil, la mauvaise gestion de la mort du défunt pèlerin, Djibril Ndzéyi, etc.
En réponse, point par point à toutes ces questions, l’orateur, le Conseiller Spécial du Raïs, Ali Akbar n’y est pas allé par quatre chemins pour rétablir les faits dans leur véracité.
Jamais l’Imam Océini n’a été, ni de près, ni de loin mêlé à quelque affaire de devises, encore moins arrêté à quelque aéroport.
Au sujet de la mort du pèlerin Djibril Ndzéyi, le Conseiller Spécial du Raïs a rappelé qu’aucun effort n’a été ménagé pour lui venir en aide, et qu’il a été malheureusement, le seul des onze pèlerins atteints par la pathologie qui l’a emporté.
Aussi, la décision de l’enterrement en terre sainte a été consécutive à un accord de la famille éplorée.
Enfin, s’agissant de la prétendue demande du départ de l’Imam Ismael OCENI OSSA par les musulmans, Ali Akbar a indiqué que les membres du CSAIG et la majorité des musulmans du Gabon ne se reconnaissent pas dans une telle démarche, d’abord parce que le travail du Président du CSAIG est apprécié du plus grand nombre, ensuite parce qu’une telle prérogative ne leur appartient même pas, car elle est du ressort du RAÏS de la Communauté Musulmane du Gabon qui, aux termes des dispositions cumulées des articles 10 et 16 de la Charte nomme le Président et met fin à tout moment à ses fonctions.
Or, justement, le management de l’Imam Océni n’a jamais été remis en cause par le Raïs de la Communauté musulmane, son Excellence Hadj Ali Bongo Ondimba lequel, au contraire, manifeste sa très grande satisfaction dans le management du CSAIG par le Président Ismael OCENI OSSA, et lui exprime, chaque fois que possible son soutien dans son action.
FIN
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La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.
La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.
Cette stratégie repose sur trois piliers :
· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org
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14/12/2012
Le Gabon, nouveau membre de la Fédération Internationale Automobile (FIA)
Jeudi 13 Décembre 2012, Libreville - Suite à l'assemblée générale annuelle de la Fédération Internationale Automobile (FIA) qui s'est déroulée à Istanbul (Turquie), du 3 au 7 décembre 2012, la République Gabonaise a vu sa demande d'affiliation accordée et devient un nouveau membre à part entière de la FIA, connue dans le monde entier pour ses actions de prévention de la sécurité routière et pour lʼorganisation des plus importantes épreuves sportives automobiles homologués.
Par cette affiliation, le Gabon entend notamment améliorer sa sécurité routière et à terme, ouvrir des possibilités de développement dans le sport automobile.
Amélioration de la Sécurité routière au Gabon .
Afin de diminuer le nombre d’accidents de la route, plusieurs axes sont à retenir pour cette nouvelle collaboration entre l’Etat gabonais et la FIA :
• La sensibilisation et l‘éducation à travers des campagnes récurrentes contre l’alcoolisme, la vitesse au volant, le port de la ceinture... Mais également des campagnes spécifiques sur la sécurité des piétons.
Environ 46% des personnes qui meurent sur les routes dans le monde sont piétonnes, cyclistes, conducteurs ou des passagers de deux-roues motorisés, des usagers dits «vulnérables» (Source OMS);
• Le renforcement de la législation et l’amélioration des capacités permettant le recueil de données;
• L’organisation du parc automobile notamment des filières d’import ou de deuxième main. Ces véhicules, en général plus âgés et vétustes, ne disposent pas des dernières évolutions technologiques telles que le système de freinage ABS et sont par conséquent considérés davantage à risque.
A terme, l’objectif est de réduire le nombre d’accidents de la route de manière significative.
Le développement du sport automobile
Plusieurs pays africains sont déjà membres de la FIA parmi lesquels l’Afrique du Sud, le Maroc, l’Ile Maurice, la Côte d’Ivoire ou le Kenya.
A l’instar de ces pays, le Gabon pourra organiser des activités de sports automobiles, encadrées par la Fédération dans le respect des règles de sécurité, de canevas précis et aussi à terme créer un circuit homologué.
FIN
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La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.
La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.
Cette stratégie repose sur trois piliers :
· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
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13/12/2012
COP 18 et DOHA GOALS : UN SEJOUR AU QATAR AVEC DE NOMBREUSES RETOMBEES
Mercredi 12 Décembre 2012, Doha - Le Président Ali BONGO ONDIMBA a pris part à deux évènements de portée internationale. L’un dans les domaines de l’environnement, et l’autre touchant au sport. Deux domaines où le Gabon a marqué son leadership et son positionnement avec des ambitions réitérées à travers des actes et des symboles forts.
COP 18, un plaidoyer pour l’avènement d’une planète plus verte Du 26 novembre au 7 décembre 2012, Doha a abrité les assises de la 18e Conférence des Parties (COP-18) à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et 8e Conférence des Parties siégeant en tant que Réunion des Parties au Protocole de Kyoto.
Première COP ayant eu lieu depuis l’établissement de la « Plateforme de Durban pour une action renforcée », cette rencontre, à laquelle a pris part le Président Ali Bongo Ondimba, a été pour le numéro un Gabonais l’occasion de prendre la parole pour réitérer son engagement et le positionnement de son pays sur les questions environnementales.
Environnement, changement climatique et développement durable, telles furent les axes sur lesquels le Chef de l’Etat gabonais s’est illustré par son engagement pionnier et visionnaire, réitérant un leadership affirmé lors des diverses conférences sur ces sujets depuis son accession à la magistrature suprême ; Nagoya, Durban, Libreville, Rio, etc…
Comme à son habitude, le Chef de l’Etat gabonais a voulu rompre avec les refrains habituels et s’inscrire dans un langage de vérité et d’objectivité, à un moment crucial où Dame Nature et les générations futures se retrouvent de plus en plus vulnérables face à des dégâts imprévisibles.
Le Président Gabonais a fait un plaidoyer sur la nécessité d’émergence d’une nouvelle conscience de partage d’une même planète, ainsi que le devoir d’une meilleure gestion des biens planétaires communs à toute l’humanité.
Lenteur des progrès dans les négociations, division de fait des peuples et des nations, perte de confiance sont apparus dans le discours du numéro un gabonais comme des entraves à l’avènement d’une planète plus verte. Il a donc exhorté et prôné de ce fait des actions communes, concertées, responsables et effectives.
Quelques jours après cet évènement de haute portée sur l’environnement, ce fut au sport de fédérer les synergies à travers le forum Doha Goals, où le Chef de l’Etat Gabonais a également fait une forte impression, à travers sa brillante participation.
DOHA GOALS : Le sport, une industrie au service du développement économique et social.
Premier rendez-vous mondial organisé autour du sport, les Doha Goals sont une initiative conjointes du Qatar et du groupe ‘’Richard Attias & Associates’’. Evènement exceptionnel ayant réuni les plus grandes légendes du monde sportif, le Doha Goals s’est tenu du 10 au 12 Décembre 2012, avec la participation d’icônes sportives mondiales venues des quatre coins du monde.
A la faveur de cet évènement, le président gabonais Ali Bongo Ondimba, dont le pays nourrit de nobles ambitions sportives, consécutives à l’organisation de la CAN 2012, a prononcé un discours fort mémorable le 11 Décembre.
Le message du Président Ali Bongo Ondimba était essentiellement axé sur les enjeux du sport et leurs implications sur les secteurs clés de développement. A travers des exemples concrets, le numéro Un gabonais a décliné ses ambitions pour ses concitoyens ainsi que l’orientation de la politique sportive de son pays.
Les Doha Goals furent l’occasion pour le Président gabonais et sa délégation de nouer des contacts stratégiques susceptibles d’être bénéfiques pour les disciplines sportives essentielles au Gabon.
Cette délégation était composée du Ministre Séraphin Moundounga, en charge de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et Technique, de la Formation Professionnelle, chargé de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, des membres du Cabinet Présidentiel, des responsables de structures sportives et des sportifs dont Daniel Cousin, capitaine des Panthères.
Plusieurs projets en cours de discussion ont touché tant à la formation dans les disciplines des sciences et d'éducation sportives, qu'à leur encadrement et accompagnement ouvrant ainsi de nouvelles opportunités.
A cet effet, de nombreux professionnels internationaux ont signifié leur souhait de s'impliquer activement dans le développement du sport au Gabon, telles que la championne du monde kenyane Tegla Loroupe, détentrice de plusieurs records du monde et première athlète africaine à gagner le marathon de New York en 1994, la Federation Française de Football, etc…
D’autres personnalités, également sensibles à la prestation du Chef de l'état gabonais et sa vision, ont adhéré à son ambition, telles que : l'arbitre internationale sénégalaise Fatou Gaye qui a officié lors de deux Coupes d'Afrique et deux Coupes du Monde, le Tchadien Bah Pna Dahane, Consultant International en marketing sportif et développeur de projets pour le basket-ball.
En marge de l'édition du New York Forum Africa , il avait joué un rôle majeur pour la présence du préparateur physique camerounais Joe Touomou, fondateur de Joe Touomou Training Center, aux Etats Unis et des Kossengwe Camps à Yaoundé, est venu à la rencontre des jeunes basketteurs gabonais du centre sportif Ballon d’Or de Libreville.
Les Doha Goals, c’était également l’impressionnante participation de plus de 400 étudiants venus d'une trentaine de pays, la présence de l'université de Paris 1 Panthéon Sorbonne et l'annonce d'un palmarès des meilleures pratiques en matière d'intégrité sportive, résultant d'une étude de la chaire "Ethique et sécurité sportive".
A travers Doha Goals , s'exprime une perspective d’offrir une convergence de vue et d'ambitions entre le President Ali Bongo Ondimba et Son Altesse Sheikh Hamad Bin Khalifa Al Thani , entre le Gabon et le Qatar dans la place du sport dans la société et dans le monde d'une part et dans la volonté de toujours plus et mieux satisfaire des publics croissants et avides d’émotions, de sensations, de records et de spectacles.
Ces ambitions partagées portent aussi sur les politiques d'aménagement d'infrastructures de haut niveau, fort de la conviction que les nations qui réussissent dans les sphères sportive et culturelle sont celles-là même qui connaissent ou finissent par connaître le succès économique et social.
Les Doha Goals, c’était enfin la confirmation de l'affiliation du Gabon à la Fédération Internationale d'Automobile (FIA).
FIN
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La politique du Gabon Émergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.
Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Émergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
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11/12/2012
DOHA GOALS : ALLOCUTION DE S.E. ALI BONGO ONDIMBA, Président de la République Gabonaise, Chef de l’Etat
Son Altesse Sheikh Hamad Bin Khalifa Al Thani, Emir du Qatar,
Monsieur le Directeur Exécutif de DOHA GOALS,
Mesdames, Messieurs les Ministres et Ambassadeurs
Chers Champions,
Mesdames, Messieurs,
Notre assemblée d’aujourd’hui est inédite dans sa composition et son format et je me réjouis de cette initiative particulièrement pertinente.
Je suis ici comme sportif.
Ne vous y méprenez pas même si j’ai pris un peu de poids et que je ne puisse pas me prévaloir de vos carrières, médailles et performances. Mais toujours est-il que je suis n sportif et un fan de sport.
Le sport, aujourd’hui, est devenu de plus en plus un fédérateur des cœurs, un moment fort d’espoirs, de rêves, d’émulation, de performances et d’accomplissement individuel et collectif.
Il passionne et draine les peuples et les foules, les stades et aires de jeux et occupe une place de premier choix parmi les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs et internautes.
En Afrique, il aura permis de dépasser certains complexes d’infériorité et reste un moyen de valorisation sociale, de reconnaissance et de respect au niveau international.
Nos sportifs, à côté de certains de nos artistes, sont des célébrités, des ambassadeurs de notre continent, auquel ils apportent une visibilité réelle et positive.
Ils ont été les premiers a mettre l’Afrique sur la carte du monde.
La récente performance olympique de Anthony Obame, médaillé d’argent a Londres en Taekwondo, a permis aux téléspectateurs du monde entier de découvrir l’émergence du Gabon dans le domaine du sport.
De même, Daniel Cousin, ici présent, capitaine des Panthères, l’équipe nationale de football du Gabon, est plus connu des gabonais et sportifs du continent que la plupart de nos hommes politiques.
Qui ne connait Abebe Bikila, Samuel Etoo, Didier Drogba, , Hicham El Guerrouj, Akim Olajuwon, Tegla Loroupe ici présente aujourd’hui et tant d’autres célébrités et performeurs ?
Ces légendes vivantes sont le symbole de la persévérance, de la performance et des modèles de réussite.
Les championnats de football du monde entier accueillent leur légion de joueurs africains de haut niveau depuis des décennies.
Notre continent a aussi accueilli avec succès la Coupe du Monde FIFA 2010 en Afrique du Sud.
Le monde entier du sport accueille de plus en plus d’Africains de haut niveau.
Votre Altesse, Mesdames, Messieurs,
En Janvier et Février 2012, le Gabon a coorganisé avec la Guinée Equatoriale la 28ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations de Football, la CAN.
Cet événement sportif majeur, figure parmi les cinq plus grandes manifestations sportives au monde. Elle demeure de loin la première et la plus populaire de notre Continent.
Permettez moi ici, de partager avec vous, cette expérience qui fut un formidable défi national et régional à relever.
Nous avions une vision, des objectifs, un plan et des projets qui dépassaient la seule exigence d’organisation d’un évènement sportif et intégraient les besoins et aspirations diverses des populations.
Au-delà des lieux de compétitions, il s’agissait d’implanter des infrastructures transversales, telles que des routes, les télécommunications, les travaux d’adduction d’eau et d’électricité, ou aménagements urbains, qui demain, continueront a bénéficier au plus grand nombre. Aussi, plusieurs infrastructures ont été réalisées pour les entrainements des équipes.
Au total, une douzaine d’hôtels nouvellement construits auront également servi à l’instar de l’hôtel de Nzeng Ayong, qui accueille désormais la fondation Samuel Eto’o, en partenariat avec l’équipe du Berça.
Nous avons créé et confié à une Agence Nationale des Grands Travaux, la maitrise d’ouvrage et le contrôle des projets, en recourant aux services de sociétés parmi les plus expérimentées et réputées au monde comme la société américaine Bechtel tout en veillant a la maitrise des couts et au meilleur rapport qualité prix.
Au niveau sanitaire, nous avions intégré dans nos objectifs les infrastructures dont les populations ont tant besoin, notamment l’incorporation d’infrastructures médicales et le renforcement des services d’urgences.
Le sport étant un domaine ou l’argent a sa place, un rapport financier dans lequel se trouve toutes les statistiques et indicateurs clés a été édité en avril 2012 par le Comite d’Organisation de la CAN ceci en partenariat avec un Cabinet d’audit international.
Mais le Sport va au delà d’une question d’argent.
Les vertus sportives comme l’esprit d’effort, la persévérance et l ‘excellence concordent avec le management, le leadership et le succès. Elles s’appliquent à plusieurs aspects de la vie.
En tant qu’Homme d’Etat, j’ai beaucoup appris de ces principes universels forts et nobles.
Je sais qu’il peut m’arriver de gagner quelquefois et d’autres fois de perdre même si cela ne me plait pas.
C’est bien cela la sportivité!
Le Sport permet de sortir le meilleur de soi, en chaque individu, quel que soit son statut social, qu’il soit riche ou pauvre, noir ou blanc.
Personnellement je parle sport, je pense sport et je vis le sport.
Une chose que j’ai apprise est qu’en tant que sportif, vous vous préparez à toute compétition psychologiquement et physiquement.
Ces valeurs et acquis du Sport tel qu’un moral fort, la confiance, une préparation méticuleuse et le courage aident à surmonter tout autre défi de la vie.
Nous nous y appuierons pour rejoindre le rang des nations émergentes.
Avec la CAN, nous avons capitalisé une immense expérience de structuration organisationnelle, d’administration et de planification, de promotion et de commercialisation, de réalisation d’infrastructures, de livraison d’événement mais aussi de maitrise des coûts et de bonne gouvernance.
La restructuration de la Ligue Nationale de Football en est un exemple.
Des opportunités nouvelles ont été créées pour notre jeunesse, des curricula inédits se conçoivent et se mettent en place en matière de sciences et d’éducation sportive.
Nous avons formé des milliers de jeunes volontaires et employés gabonais et appris des leçons clés qui, nous le pensons, auront un impact soutenu dans beaucoup de secteurs de notre vie nationale.
Mesdames, Messieurs,
Que de chemin parcouru depuis un 4 septembre 2006 quand le Gabon et la Guinée Equatoriale ont présenté leur candidature commune.
A l’heure du bilan et avec le recul, c’est un souvenir à jamais gravé dans notre mémoire individuelle et collective pour avoir tenu haut le pari de l’organisation et de la participation de ce qui est considéré à ce jour comme la meilleure CAN de l’histoire du football africain.
Votre Altesse, Mesdames, Messieurs, Chers Amis,
Le sport doit contribuer à l’harmonie, à l’amitié entre les peuples, à l’union, même si disciplines soulèvent des passions souvent bien compréhensibles.
Le sport peut être un ciment de l’unité nationale.
Les Gabonais étaient tous simplement des supporters de leur équipe nationale durant la Coupe d’Afrique des Nations 2012 lorsque les ‘Panthères” jouaient face a une opposition farouche. .
Ce furent des moments de pic sans précédent.
Nous devons des remerciements a tous les sportifs, hommes et femmes pour les grands moments e bonheur qui ont rempli nos cœurs.
Nous leur devons de meilleures conditions pendant leur carrière et après.
C’est pourquoi, je voudrais féliciter l’équipe et les partenaires de Doha Goals d’offrir une telle plateforme de convergence entre sportifs, leaders politiques, hommes d’affaires, medias avec la finalité de toujours plus et mieux satisfaire des publics croissants et avides d’émotions, de sensations, de records et de spectacles.
Je voudrais aussi saluer les ambitions et efforts du Qatar en matière sportive, que nous nourrissons également pour notre pays.
Les nations qui réussissent dans les sphères sportive et culturelle sont celles la même qui finissent par connaître le succès économique et social.
C’est notre conviction et nous y œuvrons avec foi.
Son Altesse Sheikh Hamad Bin Khalifa Al Thani l’a fort heureusement compris et intégré dans sa stratégie pour ce pays ami du Gabon, qui compte prendre toute sa place dans le calendrier sportif international.
Nous partageons des ambitions similaires.
Je voudrais profiter aussi de l’occasion pour faire appel à ce que le Centre Aspire s’affirme comme une pépinière, un réceptacle, un lieu de convergence et d’échanges au service de tous les talents sportifs, notamment du continent africain, grand pourvoyeur de sportifs au monde entier.
Ce faisant, d’ici la coupe de Monde de Football 2022 de Doha, les efforts porteront leurs fruits.
Que la Paix soit sur chacun de nous et dans le sport, facteur de paix dans le monde et de promotion des échanges culturels !
ASSALAMOU ALEIKOUM WA RAKHMATOULAH TALA WA BARAKATOUHOU !
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10/12/2012
Droits de l’Homme : La consécration d'Ali Bongo Ondimba et du Gabon
Décidément, depuis ces derniers temps et particulièrement avec l’arrivée au pouvoir du président Ali Bongo Ondimba qui a déjà présidé le Conseil de sécurité des Nations unies, le Gabon devient un pays qui compte de plus en plus dans le concert des nations du monde.
La dernière preuve en date est la brillante élection du Gabon à la célèbre Commission de l’Organisation des Nations unies (ONU) pour les droits de l’Homme. Et ce, par 187/193 voix des pays membres de la mythique institution internationale.
Une élection intervenue le 12 novembre dernier et qui rabat à jamais le caquet à tous les médisants de l’opposition gabonaise ayant osé traiter le régime du président Ali Bongo Ondimba de « dictature émergente ». Comme si la communauté internationale était aussi dupe que ne le sont nos bangandos…
Autant dire que, par cette élection au sein du club très huppé des membres de la Commission des droits de l’Homme de l’ONU, notre pays le Gabon d’Ali Bongo Ondimba est, de l’avis de plusieurs observateurs avertis, « pleinement confirmé dans sa position avant-gardiste de grand combattant au profit de la protection et de la promotion des droits de tous les citoyens. »
Et cela, ajoutent ces observateurs, particulièrement au vu « des mesures salutaires initiées par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba en faveur des couches sociales gabonaises les plus fragiles que sont les enfants, femmes, veuves et leurs progéniture ainsi que les personnes diminuées physiquement, mentalement ou économiquement. »
Aussi, l’élection du Gabon à la Commission internationale des droits de l’Homme n’est que la consécration de l’ensemble des réformes initiées et des efforts consentis par le président Ali Bongo Ondimba ainsi que des actions déployées tant par le gouvernement gabonais qu’au niveau des instances judiciaires nationales dans ce sens.
Lesquels efforts de réformes et d’actions ont été conçus, mis en oeuvre et réussis dans un véritable élan généreux de préservation et de promotion des droits de l’Homme, de la justice sociale et de la paix au Gabon.
Cette élection est aussi le fait du récent passage très brillant, remarqué et remarquable du Gabon, lors de la présentation en Suisse de son rapport national sur les droit de l’Homme et ce, auprès des instances spécialisées des Nations unies.
C’est donc une double victoire pour l’actuel régime politique du président Ali Bongo Ondimba qui voit d’abord en cette élection, « un énième couronnement international de ses premières actions en faveur de la promotion des droits de l’Homme et du citoyen » Et ce, après avoir réussi à initier et faire adopter par le Conseil de sécurité des Nations unies, la résolution relative à l’institutionnalisation de la Journée internationale de la veuve et partant, de l’orphelin.
De même qu’il s’agit, pour M. Eric Dodo Bounguendza, le directeur général du département des droits de l’Homme au Gabon, et les pouvoirs publics gabonais, de constater ensuite que « cette brillante élection constitue un cinglant démenti flanqué aux visages de tous ceux qui, à l’intérieur ou à l’extérieur, prennent un cynique plaisir à s’ériger en détracteurs de l’action globale du président Ali Bongo Ondimba. »
Ce qui motive logiquement et de plus en plus les autorités nationales de notre pays à « poursuivre leurs efforts dans la consolidations des nouvelles positions acquises en matière de promotion des droits de l’Homme sur le plan tant national qu’international. »
Ce, d’autant plus que pour le président Ali Bongo Ondimba et en la matière, « le combat quotidien réside dans la consolidation des principes d’un Etat de droit reposant sur la promotion d’une justice indépendante, impartiale et accessible à tous les citoyens. »
Un Etat de droit qui, précise le chef de l’Etat, « puisse garantir durablement au pays les conditions idoines de stabilité des institutions républicaines, de paix sociale, de sécurité des personnes et des biens ainsi que de protection des droits des citoyens les plus vulnérables. »
Idem pour ce qui est de « la prévention et de la jugulation des vils phénomènes résultant des extrémismes et intolérances de tous bords tant politiques, économiques, sociaux, religieux que culturels. »
C’est donc dans ce sens que le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba ne cesse d’initier et de faire adopter des lois renforçant les moyens de protection des droits fondamentaux et légitimes de l’ensemble des citoyens exposés aux rétrogrades relents inhumains de discrimination, d’exclusion et d’exploitation de certaines catégories sociales par d’autres.
Des lois dont la promotion sur le terrain est relayée par l’action des structures privées telles que la Fondation Sylvia Bongo Ondimba que préside la Première Dame gabonaise et qui participent énormément à l’autonomisation économico-financière et à l’intégration sociale des personnes les plus vulnérables.
En somme, si les droits de l’Homme constituent un noble idéal que poursuivent tous les Etat du monde, il devient indéniable que grâce à l’action soutenue du président Ali Bongo Ondimba, le Gabon connaît en la matière des évolutions très significatives et marquantes.
La bataille étant, pour le N° 1 gabonais, que « cet idéal commun et universel s’avère être au sérieux gage de développement économique, de progrès social, d’émancipation culturelle et d’aura diplomatique du pays. »
Honte donc à tous les médisants dont l’élection du Gabon du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba à la Commission onusienne des droits de l’Homme vient de rabattre fermement le caquet.
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08/12/2012
Le Président Ali Bongo Ondimba rencontre l’émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani,
Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba a s’est entretenu jeudi à Doha avec l’émir de l’Etat du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, en marge de la 18ème conférence des nations unies sur les changements climatiques.
Au cours de cette rencontre, les deux hommes ont abordé les questions liées à la coopération entre le Gabon et l’Etat du Qatar. La rencontre a été marquée par la claire et ferme volonté des deux dirigeants à développer les relations entre leurs pays respectifs.
Une perspective énoncée par l’émir Al Thani, rappelant d’emblée à son hôte, l’importance des sujets abordés lors de leurs deux premières entrevues à Syrte ( Libye) et Paris ( France), en marge du sommet Afrique-monde arabe et de la rencontre internationale sur la Nouvelle Libye organisée à l’initiative de la France.
La visite effectuée peu après à Libreville par une importante délégation de responsables qatarie qui ont échangé avec la partie gabonaise sur les axes de la coopération économique future s’inscrivait dans la ligne droite de ces entrevues.
Le Qatar ayant marqué son intérêt pour le Gabon, il reste, notamment, comme l’a exprimé son émir, d’obtenir toutes les informations nécessaires ainsi que la désignation par la partie gabonaise d’un interlocuteur chargé spécialement de suivre l’évolution de cette coopération.
Celle-ci devrait être dynamisée et intensifier après seulement la conclusion dans les meilleurs délais de plusieurs accords.
Ces accords sont, notamment, l’accord de coopération générale, l’accord fiscal ainsi que celui relatif à la promotion et protection des investissements.
Ces cadres juridiques sont indispensables d’autant que les domaines de coopération économique et commerciale sont aussi divers que variés.
Le chef de l’Etat gabonais, qui n’hésite pas de promouvoir le Gabon dans tous ses déplacements, a énoncé les secteurs pouvant intéresser ses hôtes.
Ceux-ci ont trait aux mines, plus particulièrement la recherche, l’exploitation e le développement. Dans cet ordre d’idées qu’il a été évoqué la possibilité offerte à Qatar Still d’investir sur ce registre.
Il faut dire que ce pays du Golfe, riche en pétrole ayant une expérience reconnue au plan Off Shore, l’expertise qatari peut être mis à profit également dans la production et le transport du pétrole et le gaz.
La gestion des forêts au plan de l’aménagement, de la production, la transformation du bois est aussi un domaine présenté par Ali Bongo Ondimba, comme pouvant accueillir les investissements de cet Emirat.
Lequel a également une expérience utile au Gabon dans la réalisation de l’important projet de construction de la cité verte. L’émir du Qatar a dit que son pays était prêt à investir au Gabon.
Pour ce faire, Qatar holding et le Fonds d’investissement qatari, qui sont des organismes financiers investissant dans de nombreux pays, n’attendent plus que les deux parties lancent les discussions.
Le président gabonais résolu, pour sa part, à amener les autorités du Qatar à saisir les opportunités d investissements qu’offre notre pays, a fait valoir la position centrale du Gabon pour atteindre d’autres pays de la sous région et même du Golfe du Guinée avec forte population, tel que le Nigéria.
La coopération doit être assise sur le gagnant-gagnant et sur des outils de partenariats orientés vers la création joint-venture ainsi que la prise d’actions réciproques dans les sociétés gabonaise et qatari.
C’est le souhait exprimé, par ailleurs, par l’émir Al Thani, qui a manifesté un intérêt majeur pour le Gabon et son président Ali Bongo Ondimba, dont la présence à Doha où se discute l’avenir du protocole de Kyoto, a été très appréciée.
Le chef de l’Etat gabonais qui s’y est rendu à l’invitation de l’émir, a vu son leadership sur les questions de développement durable réaffirmer, en présentant l’enjeu majeur qui est aujourd’hui de maintenir le protocole de Kyoto.
Ce, alors que les discussions achoppaient encore hier à deux jours de la fin de la COP 18, sur la mise en place d’un nouveau cadre de réglementation dans la lutte contre les changements climatiques ainsi que le financement du Fonds vert sur lequel s’arc-boutent les pays en développement, plus touchés par les changements climatiques.
Peu après cette entrevue, Ali Bongo Ondimba a visité l’académie du Sport de Doha.
Sur les lieux, à la tête de la délégation gabonaise comprenant outre, le ministre des Affaires étrangères, Franck Issoze Ngondet, des membres du Cabinet présidentiel, les leaders de partis politiques de la majorité et de l’opposition Paul Mba Abessole ( RPG ), Faustin Boukoubi ( PDG), Dieudonné Pambo( ADERE) et Séraphin Akuré Davain, a pu se faire une idée du fonctionnement et de l’état des structures de cette institution de formation des futures champions et élites du sport.
Une visite très utile d’autant qu’elle a permis à la délégation gabonaise d’apprécier l’investissement colossal qatari pour se doter dans l’enceinte du complexe des infrastructures favorisant la formation des jeunes en matière de sport, en général.
Avant de prendre part dimanche prochain à l’évènement baptisé Doha Goals, une rencontre inédite qui réunira dans la capitale qatari des légendes et vedettes de tous les sports et de tous les continents, et quelques rares dirigeants de pays, pour un échange sur le sport dans toutes ses dimensions, le président gabonais s’est rendu jeudi à Djeddah en Arabie Saoudite pour le pèlerinage à la Mecque.
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La deuxième étape d’iSchool lancée par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba
La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille qui développe des actions en faveur de la famille , de la participation de la jeunesse et de la femme au développement du Gabon, a lancé la deuxième étape de son projet pilote Ischool, destiné aux jeunes des établissements scolaires de la capitale gabonaise et de sa périphérie.
Ischool est un programme qui vise à développer l’utilisation de l’outil informatique dans les écoles par le biais de l’utilisation de l’Ipad. La première étape consistait à former les maîtresses et maîtres d'écoles à l'utilisation de l'Ipad.
Sylvia Bongo Ondimba : « Je suis très fière d’annoncer la mise en place de la seconde étape du projet pilote Ischool. Cette expérience implique 258 élèves de CE2 de deux écoles publiques et d’une école publique conventionnée de Libreville et de la zone péri urbaine de la capitale.
A travers ce projet, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille souhaite mesurer l’impact des technologies de l’information et de la communication (TIC) sur l’apprentissage des élèves mais également promouvoir la place des TIC dans l’enseignement au Gabon.
Au total , ce sont : 87 ipads avec des installations d'applications éducatives , 2 ordinateurs Mac Book Air , 2 rétroprojecteurs , 3 chariots chargeurs permettant de ranger les ipads, de les charger tous ensemble, de transférer des données de l'ordinateur ( ou ipad ) de l'enseignant vers les ipads des élèves, mais également 1 school in a box, valise comprenant tout le matériel et des panneaux solaires transmise dans l'école semi-rurale .
Cette nouvelle étape intervient 1 mois après le début des formations des 14 enseignants aux fonctionnalités du Ipad.
Ce programme mené en collaboration avec le Ministère de l’Education et la Fondation Gauff a pour ambition de développer des méthodes d’enseignement et d’apprentissage innovantes.
Mon souhait est que chaque élève gabonais puisse travailler et s’approprier les outils incontournables de demain. »
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