13/11/2012

Gabon: 5ème Conseil d`Orientation de l`Agence Nationale des Grands Travaux (ANGT)

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Libreville - 13 Novembre 2012 . La 5eme séance du Conseil d`Orientation de l`ANGT s`est tenue ce 13 novembre 2012 sous la présidence du Chef de l`Etat, Ali Bongo Ondimba en présence du Premier Ministre Raymond Ndong Sima et de plusieurs Ministres, de Membres du Cabinet Présidentiel  et des Directeurs généraux des départements budgétaires et financiers.

 

Le Président Ali Bongo Ondimba a exprimé sa satisfaction pour le travail abattu en deux ans depuis la création de cet outil indispensable à la mise en œuvre du Gabon Emergent et félicité le Directeur General Henri OHAYON et toute son équipe.

 

La Réunion de bilan et d`orientation a été également l`occasion de mesurer l`impact et la méthodologie structurante bâtie par l`ANGT, maitre d`ouvrage délégué pour les grands travaux par leurs montants et leur complicité pour tous les ministères concernés.

 

Le Conseil a permis a travers le rapport détaillé qui lui a été présenté d`apprécier l`importance de cet outil pour pouvoir mener à bien les chantiers au meilleur coût et selon les règles de l`art avec une prise en compte dès le départ de toutes les dimensions transversales

 

A ce titre l`ANGT a aidé à la réalisation d`une série d`études nécessaires à bâtir les cahiers des charges et à lancer les études, contribuant par une telle démarche et de tels investissements a la baisse des coûts.

 

L`expérience accumulée en deux ans a démontré la nécessite d`une plus grande Mobilité administrative avec possibilité d`un va et vient entre l`ANGT et les Administrations pour davantage de fluidité, de cohérence, d`efficacité et de résultats avec un ensemble de projets majeurs dans des secteurs clés de développement :

 

-          logement et habitat,

-          santé,

-          éducation : 11750 places de plus, nouvelles constructions, rénovation

-          routes

-          eau et assainissement

 

Apres l`énorme défi  tenu de l`organisation de la CAN avec ses effets induits sur plusieurs secteurs, 2012 aura été une année tremplin avec un accent sur la démarche qualité et la sécurité. L`instauration d`une boite à outils se généralise et les procédures (contractualisation, bons de commande,  suivi, contrôle et réception des travaux) s`adaptent et s`enrichissent du constat et du diagnostic à partir des réalités du terrain.

 

Les bureaux de contrôle et laboratoires agréés jouent leur rôle plus et mieux avec une présence permanente sur les sites des projets.

 

Au niveau de l`impact des petits projets, conformément a la vision du Chef de l`Etat de promotion de l`entreprenariat,  les PME locales sont favorisées. Aujourd`hui 149 d`entre elles sont utilisées par l`ANGT, grandissent, poussent et s`améliorent fortement avec plus de 6000 ouvriers en œuvre sur les chantiers.

 

Le Conseil a noté la nécessité d`accélérer le processus de paiement  tout en respectant les procédures en vigueur avec le support déjà réel et la synergie de la Direction Générale du Budget, de la Direction Générale des Marchés Publics et de la Trésorerie Payeur General.

 

Le Conseil a fait le point sur les divers projets sectoriels et sur les projets transversaux comme le Champ triomphal (Port Mole), tous prioritaires car de grande utilité publique.

 

Au moment où Mr Jim DUTTON prend le relais d`Henri OHAYON, les perspectives sont rassurantes et encourageantes car l`ANGT devrait atteindre sa vitesse de croisière en 2013 notamment en matière de logements, des routes et de nouvelles sources de croissance.

 

La finalité restera, comme le Président Ali Bongo Ondimba l`a rappelé fort opportunément l`efficacité au delà des intérêts particuliers, avec davantage de coopération et de partenariat, de croissance et de création d`emplois.

 

Le Premier Ministre Raymond Ndong Sima a exprimé son engagement et sa grande disponibilité à travailler avec l`ANGT et ses dirigeants en plus grande synergie pour un travail dans l`intérêt collectif. Cela passera par des réunions formelles et régulières pour capitaliser sur les résultats et les amplifier.

 

 

Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

·le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

·le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

·le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

A PROPOS DE L`ANGT

Instituée par l’Ordonnance 004/PR/2010 du 15 Février 2010, l’Agence sera au cœur de la programmation, de l’identification et de la maitrise d’ouvrage des grands projets et travaux publics classés prioritaires par le Chef de l’Etat.

 

L`objectif est d`amorcer une nouvelle phase s’amorce à divers niveaux pour accélérer le processus d’aménagement global du territoire, de conception, suivi, exécution et

 

Le Gabon s’est attaché récemment le partenariat et l’expertise de Bechtel avec La signature  d’un important accord d’assistance le 2 septembre 2010.

Bechtel est en effet la première entreprise américaine de travaux publics. Fondée  depuis 112 ans, elle emploie plus de 40 000 personnes dans près de cinquante pays et s’est distinguée dans la construction de plusieurs autres grandes réalisations comme le tunnel sous la Manche, la ville de Jubail  ou le Kingdom Center en Arabie saoudite, l'aéroport international de Hong Kong ou encore la reconstruction de l'infrastructure civile de l'Irak financée par l'agence des États-Unis pour le développement international (USAID).

Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


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05/11/2012

Gabon: Les chantiers de l’émergence ont tués l'opposition

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Depuis quelque temps, pour masquer leur honte de n’avoir pas pu faire oeuvre utile au profit du développement du pays et face aux efforts que ne cesse de déployer le président Ali Bongo Ondimba pour réaliser les grands projets destinés à moderniser et à aménager harmonieusement le territoire national, les leaders de l’opposition font plutôt grise mine.

Cela, en marmonnant que ces projets ont été programmés par lesdits opposants lors qu’ils étaient au gouvernement ou à de hauts postes de responsabilité publique.

Une hérésie lorsqu’on se souviendra toujours que ces leaders mentent grossièrement et tentent de tromper le peuple gabonais qui n’est nullement dupe.

Car comme l’affirment certains observateurs de la scène politique nationale, « non seulement certains de ces grands chantiers en cours ont été conçus et projeté, à l’époque, par feu le président Omar Bongo Ondimba, mais en plus ce sont ces actuels leaders de l’opposition qui se sont avérés incapables de les réaliser. »

A cet égard ce ne sont pas des gens de l’acabit de MM. Zacharie Myboto, André Mba Obame, Jean Eyéghé Ndong, Casimir Oyé Mba, Pierre Claver Maganga Moussavou, Jules Aristide Bourdès Ogouliguendé et bien d’autres de leurs compères de l’Union des forces du changement (UFC) qui nous démentiront.

Du fait que, pour la plupart d’entre eux, ils ont été aux avant-postes des départements ministériels juteux tels que les Travaux publics, l’intérieur, la Planification, la Fonction publique ou l’Education nationale.

Et cela, pendant que MM. Oyé Mba et Eyéghé Ndong étaient même arrivés jusqu’au rang de Premier ministre du défunt président Omar Bongo Ondimba et chef du gouvernement.

Aussi, en ces temps où ils étaient si puissamment installés aux commandes des affaires de l’Etat, c’est à se demander « pourquoi n’ont-ils pas pu mettre en oeuvre et mener à terme la réalisation des actuels chantiers repris efficacement par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. »

De plus, étant, à l’époque et pour la plupart. Tout-puissants ministres d’Etat pour les uns, Premiers ministres pour d’autres et même beaux-parents du défunt président pour certains, l’opinion ne cesse de se poser des questions sur « ce que ces supposés néo-leaders de l’opposition et ex-hiérarques de l’Etat ont pu faire des fonds publics dégagés jadis pour la réalisation de toutes les infrastructures sanitaires, scolaires, sportives, routières, aéroportuaires, portuaires, ferroviaires, énergétiques, hydrauliques, de communication et des télécommunications programmées pour la modernisation du pays. »

Sans oublier que, dans ce faux débat que veulent entretenir ces néo-opposants, l’on comprend mal pourquoi ceux-ci n’édifient pas les citoyens gabonais sur la destination prise par les différents fonds qu’allouait annuellement l’Etat pour la réalisation des diverses infrastructures de développement inscrites dans le cadre de la célébration des « fêtes tournantes de l’Indépendance ».

Lesquelles infrastructures devaient, selon feu le président Omar Bongo Ondimba l’initiateur de ces fêtes tournantes du « 17 août », « promouvoir les meilleures conditions d’embellissement et de modernisation de tous les centres urbains du pays ainsi que d’aménagement harmonieux global de l’ensemble du territoire national. »

Le tout assorti de la consolidation des bases d’un développement intégral, équilibré et durable de la totalité des provinces, départements et communes que compte le Gabon.

Aussi, c’est donc toute honte bue que les néo-opposants Myboto, Mba Obame, Eyéghé Ndong, Oyé Mba, Bourdès Ogouliguendé, Maganga Moussavou et consorts assistent à la reprise effective desdits projets par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Lequel les met efficacement en oeuvre, fait avancer les travaux sur les chantiers et les réalise au fil des temps.

L’actuel président de la République parvenant ainsi à réussir brillamment là où les Myboto et autres ex-hiérarques de l’Etat avaient visiblement et lamentablement échoué. Alors, que ceux-ci sont sans vouloir tricher avec la vérité des faits que le peuple gabonais connaît très bien.

En tout état de cause, leurs grossiers mensonges et vaines tentatives de s’approprier de manière éhontée une supposée paternité des anciens projets, initiés par feu Omar Bongo Ondimba et réalisés actuellement par l'actuel présiden t Ali Bongo Ondimba ne les épargneront nullement du mépris des Gabonais.

De même qu’avec l’issue que prendront la fin et la publication des résultats des différents audits commis sur la gestion antérieure des grands chantiers du Gabon, les sieurs Myboto, Eyéghé Ndong, Mba Obame, Oyé Mba et bien d’autres qui étaient aux affaires, ne manqueront pas de répondre de leurs actes peu élogieux et posés à l’époque.

Toujours est-il qu’ils ne perdent rien pour attendre le moment où les conclusions de tous ces audits vont mettre à découvert tous ceux et celles qui, de près ou de loin se sont rendus coupables de malversation dans la gestion ancienne des avoirs financiers, des biens matériels, du patrimoine immobilier ou des projets de l’Etat.


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Gabon: Insalubrité urbaine , rompre avec le laxisme d’antan

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Actuellement et plus que par le passé, plusieurs grands centres urbains de notre pays croulent sous le poids de l’insalubrité et ce, particulièrement Libreville la capitale gabonaise.

Principal responsable de cette triste situation et selon plusieurs observateurs: « le patent laxisme dont font preuve certaines administrations publiques face à l’incivisme des citadins et aux défaillances des prestataires de services commis à la tâche de collecter, traiter et valoriser les ordures.»

Et à l’évidence, il aura fallu la récente descente sur le terrain effectuée inopinément par le président Ali Bongo Ondimba, à travers certaines rues de Libreville et au marché Mont-Bouet, pour que des dispositions soient prises en vue de faire changer les choses.

Au demeurant, c’est à faveur d’une interpellation du ministre délégué à l’Intérieur, M. Aimé Popa Nzoutsi Mouyama, à l’Assemblée nationale, que l’on a appris que, « sur instruction du président de la République, le gouvernement va mettre en oeuvre un plan d’urgence destiné à débarrasser Libreville de ses tas d’immondices enlaidissant la capitale nationale. »

Un plan d’urgence dit de 3ème génération, financé par l’Etat et mettant à contribution plusieurs opérateurs économiques, Organisations non gouvernementales ainsi que les forces de défense et de sécurité.

Ce dans la mesure où, pour certains, « la mairie de Libreville et la Société de valorisation des ordures ménagères du Gabon (SOVOG) ont largement étalé leurs limites dans la jugulation de l’insalubrité et l’embellissement d’une ville qui ne fait que s’étendre davantage. »

Aussi, un tel plan d’urgence ne peut prospérer durablement que si les différents acteurs impliqués réussissent à rompre réellement avec les attitudes laxistes d’antan.

Lesquelles se traduisaient par le fait que les autorités municipales n’arrivaient pas à rappeler à l’ordre ou à sanctionner tous ceux qui enlaidissent la ville.

Notamment, les populations qui jettent leurs ordures ménagères hors des bacs et ne nettoient pas les abords de leurs habitations. Idem des commerçants et marchandes qui vendent sur les trottoirs et n’entretiennent pas ceux-ci.

Tout comme les garagistes, menuisiers, frigoristes et autres artisans déversant leurs ordures solides sur les bascôtés des voies publiques ou dans les caniveaux et canaux d’évacuation des eaux.

Autre acteur important dans la mise en oeuvre de ce plan d’urgence: l’Etat gabonais qui doit revoir de fond en comble l’ancienne convention signée avec la SOVOG et diversifier ses partenaires dans la gestion des ordures au niveau des communes voisines de Librevi l le et d’Owendo.

Car, au stade actuel et sans matériel qualitativement et quantitativement conséquent, la seule SOVOG ne peut plus donner entière satisfaction.

De même que, la décharge de Mindoubé étant actuellement saturée, l’Etat et la municipalité doivent tout faire pour octroyer aux sociétés concernées des terrains où elles pourront déverser, traiter ou valoriser l’ensemble des ordures ménagères et déchets solides collectés.

Encore que dans ce cadre précis, un accent particulier doit être mis désormais sur le volet lié à la valorisation des ordures et ce, en vue de transformer celles-ci en engrais et autres produits marchands propices à la diversification économique.

Autant dire que les instructions du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba doivent être respectées à la lettre, étendues à toutes les villes gabonaises et traduites dans les faits le plus rapidement possible.

Ce afin que nos centres urbains retrouvent leurs lustres d’antan, se développent harmonieusement et préservent les populations locales de tous risques de fléaux sanitaires suscités par l’insalubrité publique.

Reste en fin à ce que l’Etat et les autorités municipales mettent de plus en plus la pression sur les entreprises commises à la réalisation des travaux d’aménagement des divers bassins versants et autres canaux destinés à faciliter l’écoulement des eaux et à éviter les inondations.


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29/10/2012

LES RAISONS D’INVESTIR AU GABON

 

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Le Gabon dispose de plusieurs atouts propices à l’Investissement

 

Un succès économique reconnu

Une économie en pleine croissance : + 6,7% en 2011, elle devrait rester à un niveau comparable en 2012

Des finances publiques solides

Un endettement public en baisse régulière

Un environnement propice aux affaires

Une réforme complète de la gestion des finances et des services publics

Un renforcement de la bonne gouvernance

Des créations de lois pour favoriser l’investissement, comme la loi sur les partenariats public/privé

Un Centre de développement des entreprises (CDE),avec guichet unique, pour faciliter les démarches et accompagner les investisseurs

Une politique visant à favoriser l’exploitation et la valorisation locales des ressources

Un système bancaire fiable et dynamique

Un emplacement stratégique en Afrique

Une stabilité politique et sociale

Un accès à un marché sous-régional et régional de 120 millions de consommateurs

Une porte d’entrée de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC)

Un immense potentiel naturel à exploiter

3,7 milliards de barils de pétrole et 39 milliards de m3 gaz naturel en réserve

900 sites potentiels d’exploitation minérale (1 milliard de tonnes de fer ; 5,3 millions de tonnes de manganèse)

12,5 millions d’hectares de forêt et 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables

13 parcs nationaux

 

Un important programme de développement d’infrastructures

12,3 milliards USD d’investissements sur 5 ans dédiés aux infrastructures pour:

Améliorer le transport

Augmenter la production locale d’électricité verte et hydraulique

Créer des zones économiques spéciales

Renforcer la place de l’économie numérique (8e au classement africain de l’indice de développement des TIC en 2010)

Construction de 5000 à 7000 logements par an

Une fiscalité attractive et des mesures incitatives

De nombreux avantages pour les nouvelles entreprises :

Une exonération de l’impôt sur les sociétés pour le premier exercice bénéficiaire sur les 3 premiers exercices pour les entreprises éligibles aux codes spécifiques (Mines, Agriculture, Bois)

Un abattement de 50% pour le 2ème exercice bénéficiaire

Des avantages fiscaux importants dans les Zones Economiques Spéciales :

Exonération fiscale de la taxe sur les bénéfices / revenus pendant 10 ans. Au delà, taux d’imposition de 10% pendant 5 ans

Exonération totale de la TVA

Exonération des taxes douanières sur l’importation des équipements/machines et des pièces détachées

Liberté de rapatriement des fonds

Flexibilité pour le recrutement de main d’oeuvre étrangère

Exonération de la taxe sur la prestation

Baisse de 50% sur les factures d’électricité

Exonération des taxes retenues à la source

Les ventes faites à d’autres entreprises dans la SEZ seront considérées comme des exportations

Exonération de la taxe foncière sur les propriétés bâties et non bâties

Liberté d’effectuer dans/depuis la ZES des transferts de fonds via des institutions financières

 


GUIDE DE L’INVESTISSEUR

 

 

Créer une entreprise 

Depuis début 2012, les démarches de création d’entreprises se font auprès du Guichet Unique du Centre de Développement des Entreprises (CDE). Les opérateurs doivent se présenter à ce guichet munis de tous les actes constitutifs de la société et des documents requis. Ces actes, rédigés de préférence par un conseil juridique doivent faire l’objet d’un dépôt auprès d’un notaire.

Formes juridiques des sociétés

Les différentes formes juridiques reconnues par l’Acte Uniforme relatif au Droit des sociétés commerciales et du GIE de l’OHADA sont la Société en Nom Collectif (SNC), la Société en Commandite Simple (SCS), la Société à Responsabilité Limitée (SARL), la Société Anonyme (SA) et le Groupement d’Intérêt Economique (GIE).

Règles Comptables

Le plan comptable en vigueur est le plan OHADA qui ne s’applique toutefois pas à certains secteurs d’activités tels que :

- Les assurances, le code CIMA (Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurance),

- Les banques et établissement financiers: Code COBAC (Commission Bancaire de l’Afrique Centrale)

 

Banques et financements

En dehors des différents organismes bancaires locaux, les grandes institutions financières internationales sont présentes au Gabon. Le FODEX (par exemple), est un fond qui finance ou aide au financement des PME gabonaise à majorité gabonaise.

Salaires et charges sociales

Le revenu minimum mensuel est de 150 000 F CFA (hors employés de maison et personnel des collectivités locales). La sécurité sociale est gérée par un organisme public dénommé Caisse Nationale de Sécurité Sociales (CNSS). Les cotisations sont assises sur un plafond annuel de 18.000.000 F CFA au taux global de 22,60% dont 20,1% à la charge de l’employeur. A ces cotisations, il convient d’ajouter le Fond National pour l’Habitat (FNH) dont le taux est de 2% calculé sur les mêmes bases que les cotisations sociales. 

Un autre organisme, la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS), est chargé de l’assurance maladie obligatoire pour tous les habitants du Gabon et du versement des prestations familiales aux économiquement faibles. Son financement est essentiellement assuré par une redevance de 10% sur le chiffre d’affaires des opérateurs téléphoniques, Redevance Obligatoire pour l’Assurance Maladie (ROAM) et par une taxe de 1,5% sur les transferts d’argent.

 

Fiscalité

La fiscalité gabonaise est réglementée par le Code Général des Impôts (CGI), la Charte des Investissements, et le Code des Douanes. A la réglementation de droit commun, il convient d’ajouter des dispositions spécifiques prévues au profit de certains secteurs d’activités comme les mines (Code Minier), l’exploitation forestière (Code Forestier), le tourisme (Loi sur les Investissements touristiques) et les Zones Economiques Spéciales (Mandji et Nkok). Il existe aussi un régime fiscal de faveur pour les sociétés mères gabonaises et filiales gabonaises.

Les principaux impôts

 

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LES RESSOURCES UTILES

 

• Le Centre de Développement des Entreprises (anciennement APIP)

La création du CDE est une des réformes dans l’amélioration du climat des affaires entreprise par le Président. Le CDE dispose d’un guichet unique dont la mission fondamentale est de faciliter l’accomplissement des formalités administratives nécessaires à la création des entreprises.

Aujourd’hui, il faut environ 10 jours pour créer son entreprise au Gabon contre 58 jours* avant la création du CDE. A terme, ce délai sera ramené à 48h. (*Doing business Gabon – 2011)

Contact : Mme Mélissa Linda Tsitsi Fatou, chef de service

Guichet Unique : +241 06 26 47 26

Centre de Développement des Entreprises CDE Okala, BP13740 Libreville – Gabon

La Chambre de Commerce, d’Agriculture, d’Industrie, des Mines et de l’Artisanat du Gabon :

La Chambre de Commerce et d’Industrie est destinée à appuyer les entreprises dans leurs démarches quotidiennes, questions administratives et recherches.

Contact :

M. Pierre BITEGHE, Directeur Général

+241 72 20 64/+241 04 35 87 62 / E-mail : chambredecommercedugabon@yahoo.fr

L’Agence de Promotion des Investissements et des Exportations (APIEX)

La création de cette nouvelle structure doit renforcer le cadre juridique et commercial des exportations de produits gabonais sur les marchés internationaux.

Les missions de l’APIEX s’articulent autour des principes suivants : Favoriser et inciter l’investissement direct étranger, informer, conseiller et orienter les investisseurs, accompagner et soutenir les entreprises exportatrices, et faciliter la mise en relation entre les producteurs et les acheteurs.

Contact : Tel : +241 04 58 24 24 / 04 58 25 25

Email : contact@apiex.ga

Site apiex.ga


 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26/10/2012

L’inestimable contribution de Sylvia Bongo Ondimba

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Actuelle Première dame gabonaise, Mme Sylvia Bongo Ondimba a réussi à faire, en trois ans de pouvoir de son illustre époux, oeuvre utile au profit de ses compatriotes et des citoyens les plus fragilisés du monde.

Dans ce cadre précis et sur le plan national, Mme Sylvia Bongo Ondimba s’est d’abord investie dans la promotion sociale des frappées physiquement et moralement par le coup du sort.

A cet égard, tout a commencé par l’organisation d’une inédite caravane qui a amené l’épouse du chef de l’Etat à parcourir, par voie terrestre, le trajet Libreville- Franceville.

Ce en sillonnant largement les localités tant rurales qu’urbaines des provinces de l’Estuaire, de l’Ogooué- Ivindo, de l’Ogooué-Lolo et du Haut-Ogooué.

L’occasion pour la Première dame de s’enquérir des préoccupations vitales et légitimes de ses compatriotes du Gabon profond, de partager un tant soit peu leur quotidien ainsi que de les doter des équipements élémentaires propices à un meilleur exercice des activités agricoles, de pêche et d’élevage.

Une caravane qui a profondément marqué les esprits des populations visitées qui n’ont pas manqué de s’émouvoir l’extraordinaire sens d’humilité, de sociabilité et de solidarité dont a fait preuve Mme Sylvia Bongo Ondimba tout au long des étapes parcourues.

Celle-ci ayant même réussi à convaincre son illustre époux, le président Ali Bongo Ondimba, de refaire avec elle le même itinéraire et de constater de visu les réalités vivantes du Gabon profond.

Puis, sur la base du constat établi lors de ces deux caravanes, Mme Sylvia Bongo Ondimba s’est donné pour objectif : l’amélioration relative des conditions de vie des personnes handicapées ainsi que des femmes et des jeunes les plus fragiles face à la vie quotidienne et aux épidémies sanitaires.

Aussi, pour ce qui est des handicapés physiques, la Première dame les gratifient, au fur et à mesure, d’innombrables matériels roulants voire des fauteuils électriques manuels et scooters.

Le tout assorti des modules de formation permettant aux personnes handicapées d’entretenir et de conserver durablement ces salutaires dotations matérielles.

Lesquelles leur offrent la possibilité de se mouvoir plus aisément, de mieux vaquer à leurs occupations quotidiennes et de se promouvoir davantage sur les plans tant social, économique que financier.

Quant aux compatriotes plus exposées aux risques de maladie, Mme Sylvia Bongo Ondimba et sa fondation éponyme se sont investies dans l’organisation des caravanes médicales.

Lesquelles sont destinées à doter les personnes moins nanties des trousses médicales familiales pour la protection sanitaire des enfants et des mères. Ce, contre les risques d’accouchement et les maladies telles que le paludisme et autres.

De plus et lors de ces caravanes, sont menées de vastes campagnes de sensibilisation permettant aux populations gabonaises de mieux se prémunir des pandémies telles que le Sida et toutes les autres maladies sexuellement transmissibles.

Et sur ce plan, le sommet a été atteint, dans cette lutte contre le VIH Sida, lors du déroulement de la CAN Orange de 2012 que le Gabon co-organisait avec la République soeur de Guinée.

Au demeurant, rappelons à l’occasion que soucieuse, de la promotion socio-économique et financière des femmes gabonaises entreprenantes et volontaristes, la Première Dame, par l’entremise de sa fondation Sylvia Bongo Ondimba, a réussi à mettre en place un inédit et salutaire système de microcrédits.

Ce, en partenariat avec la banque nationale BGFI et en vue du financement des activités économiques de toutes ces femmes qui veulent s’investir dans les affaires, entretenir correctement leurs familles respectives et contribuer positivement au développement du Gabon.

Et pour avoir osé dans ce domaine, Mme Sylvia Bongo Ondimba a favorisé l’émergence d’une classe de femmes gabonaises qui s’épanouissent actuellement sur le plans social, économique et financier.

Au niveau international et parallèlement aux multiples et fructueuses actions que mène son présidentiel époux Ali Bongo Ondimba, la Première dame gabonaise n’y est pas restée en marge.

Aussi, parmi ces « faits d’armes » les plus significatifs, on citera, entre autres, celui d’avoir su et pu initier la résolution, appuyée par l’Etat gabonais et adoptée par l’ONU, instituant la célébration d’une Journée internationale consacrée à la veuve et par incidence, à l’orphelin.

De même que l’on notera la Convention négociée fructueusement par Mme Sylvia Bongo Ondimba et signée au Royaume du Maroc entre la Fondation Sylvia Bongo Ondimba et l’Association Lalala Selma. Ce, en vue d’une meilleure lutte contre les divers cancers.

A noter que dans ce Royaume chérifien, la Première dame gabonaise a pris une part très active aux travaux de l’Organisation des Premières dames africaines.

Des travaux qui ont débouchés sur l’élaboration et la mise en oeuvre des stratégies propices à promouvoir davantage les conditions idoines d’accession des femmes africaines à l’exercice des activités économiques et à leur autonomisation socioéconomiques et financières.

Et cerise sur le gâteau, c’est grâce à l’entregent de Mme Sylvia Bongo Ondimba et de sa fondation éponyme que le Gabon a pu abriter, à Libreville en juin 2012, la toute première édition du forum international intitulé « Dialogue for act ion Africa ».

Des mémorables assises ayant permis à plusieurs élites internationales d’entrevoir et dégager des stratégies propices à l’émancipation intégrale des femmes et filles africaines.

A la lumière donc de tout ce qui précède, il est clair qu’en femme d’action et bonne opératrice économique qu’elle a toujours été, Mme Sylvia Bongo Ondimba a donné une nouvelle dimension au noble statut de Première dame d’un Etat.

Inscrivant désormais ainsi son nom dans le prestigieux registre de ces mémorables femmes qui ont confirmé élogieusement le sens de l’adage prédisant que « derrière un grand homme, oeuvre inévitablement et positivement une merveilleuse dame au grand coeur ».

Coup de chapeau donc à Maman Sylvia dont le dévouement, la perspicacité et l’humanisme nous réservent encore d’innombrables et merveilleuses surprises.


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29/02/2012

COMMUNIQUE DE PRESSE : UN GOUVERNEMENT DE MISSION ALIGNÉ AU PLAN STRATÉGIQUE DU GABON ÉMERGENT

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Libreville, le 28 Février 2012 - Le nouveau gouvernement de mission dirigé par le Premier Ministre Raymond NDONG SIMA se compose de 16 ministres et 12 ministres délégués avec un total de 8 femmes dont 3 à des postes clés.

Il s'illustre par la cohérence de sa structure avec la vision du Gabon Emergent du Chef de l'Etat, S.E. Ali Bongo Ondimba qui a voulu que chaque pôle ministériel prenne en charge un pan précis du Plan Stratégique du Gabon Emergent.

Le nouveau gouvernement se caractérise également par un renouvellement profond de l'équipe gouvernementale, au moins de moitié, une réduction de sa taille, une bonne représentation nationale et le souci de privilégier la compétence et le mérite.

La Coordination et le pilotage

Au niveau de la Coordination et du pilotage, le rôle du Premier Ministre, va faciliter et accélérer cette nécessité en termes d'efficacité des politiques publiques, d'atteinte des objectifs fixés par le Président de la République et de résultats concrets au bénéfice des populations.

La réforme de l'Etat est désormais rattachée au niveau du Premier Ministre, à travers un ministre délégué, ce qui va faciliter la prise en charge de cette mission transversale.


Les Ministères de souveraineté

Les Ministères suivants ont pour vocation d'asseoir la place du Gabon dans le monde en s'appuyant sur les valeurs de base que sont la paix, l'unité et la cohésion de la Nation. Ils poursuivront l'ancrage du système institutionnel sur des institutions solides et une gouvernance exemplaire.

Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, des Droits Humains et de Relations avec les Institutions Constitutionnelle, Porte Parole du Gouvernement

En plus de ses missions actuelles, ce ministère sera désormais chargé des relations avec les Institutions. Sa nouvelle dénomination renforce sa position de garant de la consolidation de l'Etat de Droit, condition première pour préserver la démocratie. Il assure l'égalité devant la loi et la protection juridique des couches sociales vulnérables.

Le Ministère des Affaires étrangères, de la Coopération Internationale, de la Francophonie chargé du NEPAD et de l'Intégration Régionale

Le périmètre de ce ministère reste inchangé. Plus qu'avant, ce ministère devra se positionner comme le levier du Gabon dans la dynamique de la mondialisation, à travers une diplomatie proactive au service de la nouvelle vision du Gabon Emergent. Le Ministre est assisté par deux Ministres délégués.

Le Ministère l'intérieur de la Sécurité Publique, de l'Immigration et de la Décentralisation

Le périmètre de ce ministère reste inchangé. La nouvelle dénomination marque la volonté de faire de la décentralisation une réalité, afin de rapprocher les services publics des citoyens et usagers. Une politique efficace de sécurité, de même qu'une politique d'immigration sélective, plus ouverte aux investisseurs.

Il se chargera également de la mise en œuvre de certains grands registres de l'Etat, notamment par l'introduction de la biométrie.

Le Ministère de Défense nationale

Le périmètre de ce ministère reste inchangé.


Les Ministères chargés de bâtir les fondements du Gabon Emergent


L'émergence n'est pas envisageable sans la construction progressive d'une infrastructure économique de base compétitive, qu'il s'agisse des infrastructures physiques, du capital humain, de l'environnement des affaires ou de la qualité de la gouvernance publique. L'objectif des quatre pôles ministériels ci-dessous est de créer ces fondements et de consolider les fondations sur lesquelles seront bâtis les piliers moteurs de croissance de demain.

Le Ministère de la Promotion des Investissements, des Infrastructures, des Travaux Publique, des Transports, de l'Habitat, du Tourisme, Chargé de l'Aménagement du Territoire

Ce ministère rassemble l'ensemble des composantes de la chaine des travaux publics, à savoir : l'aménagement du territoire, l'occupation des sols, l'édification des réseaux de transport, de distribution et des ouvrages associés, la construction de l'habitat. Il rassemble trois ministères actuels (Equipement et Infrastructures, Transports, Habitat et Urbanisme). Par ailleurs, la mission de promotion des investissements lui est désormais rattachée du fait des enjeux majeurs dans ce domaine. Il s'appuiera sur trois grandes agences d'exécution (ANGT, ANUTTC, APEX). Le développement de la politique touristique et l'attrait d'investissements et de réceptacles pour ce secteur pourvoyeur d'emplois lui incombe, en jouant sur les multiples atouts du Gabon, destination d'affaires et d'écotourisme.

Le Ministre assure les tâches critiques de coordination et de pilotage. Il est assisté par deux Ministres délégués (Transports, Habitat).

Le Ministère de l'Education et de l'Enseignement Supérieur, de l'Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle Chargé de la Culture, de la Jeunesse et des Sports

Ce ministère est chargé de développer le capital humain du Gabon et de doter le Gabon Emergent des ressources humaines qualifiées dont il aura besoin. Pour cela, il regroupera trois ministères actuels : le ministère de l'Education Nationale, de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche scientifique, de l'Innovation et de la Culture, le ministère de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle, ainsi que le ministère de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs. Le Ministre sera assisté par deux Ministres délégués (Culture, Jeunesse et Sports d'une part, Enseignement Technique et Formation Professionnelle d'autre part).

Le Ministère de l'Economie, de l'Emploi et du Développement Durable

Le périmètre de ce ministère évolue de façon à le focaliser sur ses missions de soutien de gestion et de régulation de l'économie. Dans ce cadre, la promotion de l'emploi lui est désormais dévolue, dans une perspective de gestion proactive et dynamique de l'emploi. Pour ce faire, les missions sectorielles ou de gestion des finances publiques sont réallouées à d'autres ministères. Le Ministre sera assisté par un Ministre délégué.

Le Ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l'Artisanat et du Commerce

Ce Ministère focalisé auparavant sur les PME et l'artisanat se voit rajouter le Commerce et aura pour mission essentielle de renforcer le tissu économique national dont les PME doivent être une composante de base et un catalyseur du développement.

Le Ministère du Budget, des Comptes Publics et de la Fonction Publique

Pour renforcer la cohérence d'action, ce ministère assure désormais l'ensemble de la gestion des finances publiques, avec le transfert du Ministère de l'Economie des programmes de gestion fiscale et de gestion des engagements financiers de l'Etat. Le Ministre est assisté par un Ministre délégué.


Les Ministères chargés des piliers du Gabon émergent


Ces Ministères sont chargés du renforcement ou de l'érection des moteurs de croissance du Gabon Emergent, à savoir le Gabon vert, le Gabon industriel et le Gabon des services.

Le Ministère de l'Economie numérique, de la Communication et de la Poste

Ce ministère reste le principal pilier du Gabon des services. Son intitulé a évolué dans ce sens (prise en charge explicite de l'économie numérique), le périmètre restant inchangé. Il devra travailler en forte collaboration avec l'ANINF au moment où le Gabon s'est engagé résolument dans la voie de la modernisation de ce secteur et d'exploitation de toutes les opportunités qu'il présente.

Le Ministre des Eaux et Forêts

Le périmètre de ce ministère reste inchangé et jouera de plus en plus son rôle dans un pays au potentiel forestier immense et stratégique à maints points de vue.


Le Ministère de l'Agriculture, de l'Elevage, de la Pêche et du Développement Rural

Ce ministère rassemble l'agriculture, l'élevage et la pêche. Il s'appuiera dans l'exécution des politiques sur les agences existantes (AGEOS) et créera notamment l'Agence de la Sécurité Alimentaire et l'Agence Nationale du Développement Rural. Le Ministre est assisté par un Ministre délégué.

Le Ministère de l'Industrie et des Mines

Ce ministère est focalisé sur le développement industriel hors énergie et Hydrocarbures. Il devra en particulier accompagner la mise en place d'un secteur industriel minier à forte valeur ajoutée et diversifiée (ferromanganèse, acier, or raffiné, alliages divers).

Le Ministère du Pétrole, de l'Energie et des Ressources Hydrauliques

Un nouveau pôle industriel est mis en place regroupant le pétrole, l'énergie et les Ressources hydrauliques.


Deux Ministères à vocation sociale et pour la prospérité partagée


Le Ministère de la Santé

Son rôle sera central dans la définition, la prise en charge des politiques de prévention, de santé et de bien-être ainsi que dans l'atteinte des Objectifs spécifiques du Millénaire pour le Développement (OMD).

Le Ministère de la Famille et des Affaires Sociales

Il synthétise les ambitions de solidifier la base même de la société qu'est la cellule familiale. Il traduit les aspirations à accroître sensiblement et durablement le bien-être des populations par une politique de prévoyance sociale appropriée.




FIN


La politique du Gabon Emergent

Depuis l'élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd'hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l'horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert
pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d'hectares de forêt, 1 million d'hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l'industrie du bois, l'agriculture et l'écotourisme ;

· le Gabon Industriel
pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l'économie nationale ;

· le Gabon des Services
pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l'objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l'information, les métiers de l'économie verte, de l'enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d'ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d'investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d'information, merci de visiter  http://www.presidentalibongo.com/  ou contacter http://www.cocom.rggov.org/

 



MICHEL OGANDAGA  
https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

 

13/11/2011

Gabon: COMMUNIQUÉ FINAL DU CONSEIL DES MINISTRES DU JEUDI 10 NOVEMBRE 2011 + NOMINATIONS ...

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A l'entame des travaux, le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a informé le Conseil des Ministres, de la décision prise pour répondre à l'appel de fonds sollicité par Madame IRINA BOKOVA, Directrice Générale de l'UNESCO. En effet, le Gabon va apporter une contribution exceptionnelle au fonds extra-budgétaires à hauteur de deux (2) millions de dollars Américains démontrant ainsi son attachement à cet organisme scientifique et culturel.

Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres se félicite de l'excellence des axes de coopération qui existent entre la Chine et le Gabon. Aussi, en prélude à l'organisation de la Coupe Africaine des Nations (CAN 2012), l'inauguration solennelle du Stade de l'Amitié Sino-Gabonais aura lieu le 27 Novembre 2011. La cérémonie inaugurale sera marquée, entre autres, par le match amical qui opposera l'équipe junior de Chine à celle du Gabon.

Par ailleurs, le Conseil des Ministres s'est réjoui de la sollicitude du Président de la République, Chef de l'Etat à l'endroit de la jeunesse gabonaise, voire internationale, par l'organisation du match amical test entre le Gabon et le Brésil ce 10 Novembre 2011 au Stade de l'Amitié Sino-Gabonais sise à Angondjé.



AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES

MINISTERE DU TRAVAIL, DE L'EMPLOI ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

Madame le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l'a adopté, le projet de décret portant attributions et réorganisation du Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Prévoyance Sociale.

Pris en application des dispositions de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006, le présent texte comporte deux (2) titres, à savoir, les Attributions et l'Organisation, qui se déclinent en six (6) Chapitres.

Novateurs en plusieurs points, le décret susvisé crée les Directions Générales suivantes:

• la Direction Générale du Travail, autrefois dénommée Direction Générale du Travail, de la Main d'œuvre et de l'Emploi. Celle-ci se bornera à la conception de la politique du Gouvernement en matière de travail ;

• l'érection de la Direction Générale des Ressources Humaines en Direction Générale de l'Emploi. Les questions de l'emploi étant désormais au cœur des préoccupations gouvernementales, il est apparu nécessaire de former une telle Direction dont le but serait d'étudier et de proposer des politiques d'emploi ;

• la Direction Générale de la Prévoyance Sociale auparavant dénommée Direction Générale de la Protection Sociale ;

• la Direction Générale de la Sécurité et de la Santé au Travail, autrefois intitulée Inspection Générale de l'Hygiène et de la Santé au Travail ;

• enfin, une Inspection Générale du Travail, de l'Emploi, de la Prévoyance Sociale, de la Santé et de la Sécurité au Travail assurera la coordination des services provinciaux et départementaux dans les domaines y relatifs.

MINISTERE DE L'ECONOMIE, DU COMMERCE, DE L'INDUSTRIE ET DU TOURISME

Le Ministre a fait approuver par le Conseil des Ministres, le projet de décret déterminant les critères et la procédure de classement des hôtels, restaurants et établissements assimilés.

Pris en application de l'ordonnance n° 2/2000/PR du 12 Février 2000, portant régime applicable aux investissements touristiques, ce texte traite entre autres, des critères de classement, des effets du classement, des contrôles et des sanctions.

La Commission pour le classement des hôtels, restaurants et établissements assimilés comprend :

- le Ministre chargé du Tourisme ou son représentant, Président ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Administration du Territoire, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Industrie, membre ;
- un représentant du Ministère chargé des Travaux Publics et de la Construction, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Aménagement du Territoire, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Economie, membre ;
- un représentant du Ministère chargé du Commerce, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de la Consommation et de la Concurrence, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Urbanisme, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de la Santé Publique, membre ;
- un représentant du Ministère chargé des Petites et Moyennes Entreprises, membre ;
- le Président de la Chambre de Commerce ou son représentant, membre ;
- un représentant de la Petite et Moyenne Hôtellerie, membre ;
- un représentant de la Grande Hôtellerie, membre ;
- un représentant des professionnels de la Restauration, membre.

MINISTERE DE LA SANTE, DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SOLIDARITE ET DE LA FAMILLE

Le Ministre a fait adopter par le Conseil des Ministres, le projet de décret portant réorganisation de l'Officie Pharmaceutique Nationale (OPN).

Pris en application de la loi n° 020/2005, la réorganisation consacrée par le texte suscité porte sur la redéfinition des attributions et de l'organisation de l'Office Pharmaceutique National, établissement public à caractère industriel et commercial, doté de la personnalité juridique et jouissant de l'autonomie de gestion administrative et financière.

Placé sous la tutelle du Ministère de la Santé, l'Office Pharmaceutique National (OPN) est une centrale d'achat dont l'objet principal est la distribution de médicaments et de dispositifs médicaux essentiels nécessaires au fonctionnement des formations publiques et privées.

L'Office National Pharmaceutique comprend :

- le Conseil d'Administration ;
- la Direction Générale ;
- l'Agence Comptable.

Le Conseil d'Administration, outre le Président, est constitué des membres ci-après :

• le Secrétaire Général du Ministère de la Santé ;
• le Secrétaire Général du Ministère du Budget ;
• le Directeur Général du Service de Santé Militaire ou son adjoint ;
• le Directeur Général de la CNAMGS ou son adjoint ;
• un Directeur de Centre Hospitalier Universitaire ;
• un Directeur de Centres Hospitaliers Régionaux ;
• le Président de l'Ordre National des Pharmaciens ;
• un représentant des partenaires au développement.



MINISTERE DES TRANSPORTS

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l'a adopté, le projet de décret portant attributions et organisation de la Direction Générale de la Sécurité Routière.

Pris en application des dispositions de la loi n° 010/2005 du 03 Janvier 2006, le présent texte définit le cadre général dans lequel la Direction Générale de la Sécurité Routière (DGSR) doit assurer ses missions.

Aussi, le décret référencé dispose que la Direction Générale de la Sécurité Routière est dotée, pour son fonctionnement, de :

- Services d'appui ;
- Directions Centrales ;
- Directions Provinciales.

Le Directeur Général est assisté de deux (2) adjoints et de chargés d'études.

MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE, CHARGE DE LA REFORME ADMINISTRATIVE

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté la loi de finances rectificative pour l'exercice 2011, qui se justifie essentiellement par :

• La nécessité de finaliser dans les délais les chantiers de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2012);
• Le renforcement des crédits alloués à l'organisation des élections législatives ;
• La prise en compte des mesures annoncées lors des séances des Conseils des Ministres délocalisés.

Aussi, en l'absence des ressources additionnelles, il s'agit de redéployer les crédits alloués initialement au Fonds Souverain qui serviront à :

- Maintenir la politique d'investissement initiée depuis 2010 ;
- Poursuivre le programme d'aménagement routier ;
- Elargir les mesures à caractère social visant l'amélioration des conditions de vie des populations ;
- Réaménager le plan d'urgence dans le secteur de l'éducation.

A ce titre, la présente loi dispose que l'ensemble des charges reste à son niveau initial de deux mille trois cent soixante dix milliards huit cent millions (2.370,8 milliards) de FCFA, qui se répartissent ainsi qu'il suit :


- charges de la dette publique : trois cent quatre vingt seize milliards deux cent millions (396,2 milliards) de FCFA ;
- dépenses de fonctionnement : mille quarante trois milliards neuf cent millions (1.043,9 milliards) de FCFA ;
- dépenses d'investissement : huit cent cinquante sept milliards (857 milliards) de FCFA ;
- prêts et avances : soixante treize milliards six cent millions (73,6 milliards) de FCFA.

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE

MINISTERE DE L'HABITAT, DE L'URBANISME, DE L'ECOLOGIE ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

Le Ministre a sollicité et obtenu l'accord du Conseil des Ministres, pour l'organisation de l'Atelier National de lancement de la Stratégie Nationale de Développement Durable, à Libreville, les 19 et 20 Décembre 2011.

AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX

Madame le Ministre a sollicité et obtenu du Conseil des Ministres, l'autorisation pour l'organisation, en partenariat avec l'Ambassade de France, d'une session de formation en Droit de l'Environnement, du 15 au 18 Novembre 2011, à Libreville.

MINISTERE DE L'ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES

Le Conseil des Ministres a marqué son accord avec la tenue, du 20 au 23 Novembre 2011, à Libreville, de la 4ème réunion annuelle du Comité Régional de Coordination du projet de Facilité Energie CEMAC.



Le Conseil a autorisé un certain nombre de missions à l'étranger des membres du Gouvernement.

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

MINISTERE DES TRANSPORTS

CABINET DU MINISTRE

Conseillers du Ministre

- Conseiller chargé du suivi des Projets d'Equipements et d'Infrastructures de Transport : M. Henry Marcel DAGUINO WORA, en remplacement de M. AVOUYA John Peter appelé à d'autres fonctions.

- Conseiller chargé de l'Organisation du Transport Terrestre, Ferroviaire et de la Sécurité Routière : M. OKOUMBA MBOUROU Jonas, en remplacement de M. MBOUMBA Etienne appelé à d'autres fonctions.

- Chargé de Missions du Ministre : M. ABOGHE EYA Jean Jacques, en remplacement de M. ENZEMA OYONE Félix Serges.

INSPECTION GENERALE DES SERVICES

- Inspecteur général : M. Cyprien NDONG, confirmé.

- Inspecteur général adjoint 1 : M. MIKOUANDZA TONDA Justin.

- Inspecteur général adjoint 2 : M. MBOUMBA Étienne.

SECRETARIAT GENERAL

Centre National d'Edition et Délivrance des Documents de Transports (CNEDDT)
- Directeur : M. BIBOUNDZA PANGO Jean Bernard.
- Directeur adjoint : M. ONANGA Jean de Dieu.

Chefs de services

- Chef de Service du Permis de Conduire : M. Didier BOUKA MBANDZA.

- Chef de Service de la Carte Grise et de l'Immatriculation : Mme Marcelle NYINGONE NZE.

- Chef de Service Technique et Informatique : M. OWANGA TCHOUKUE Ulrich Armand.

- Chef de Service du Personnel et des Moyens : Mme Pulchérie MANGAYI, épouse DEAN, administrateur des services économiques et financier.

- Chef de Service des Archives et des Statistiques : M. MENGOME NZUE Jean Serge.

Centre National de l'Examen du Permis de Conduire des Véhicules Terrestres à Moteur (CNEPC)
- Directeur : M. OBOUNOU NTOMA Florent, précédemment Directeur général adjoint 1 à la direction générale des transports terrestres.

- Directeur adjoint : Mme BITOUDI Corine Anna.

Chefs de services

- Chef de Service des Examens et de la Validation : M. NDEMBI Jean Pierre.

- Chef de Service Technique, Informatique, Archives et Statistiques : M. NTOUTOUME Marc Landry, précédemment chef de service informatique à la Direction Générale des transports terrestres.

- Chef de Service Administratif et Financier : Mme Véronique Anushka MBOUMBA NZAMBA.

ADMINISTRATION CENTRALE

Direction Générale des Transports Terrestres

- Directeur général : M. AVOUYA John Peter, en remplacement de M. OKOUMBA MBOUROU Jonas appelé à d'autres fonctions.

- Directeur général adjoint 1, chargé de l'informatique et des examens de permis de conduire : Mme LOUPDY MATIGA Clémence.

- Directeur général adjoint 2, chargé de la réglementation et des inspections provinciales : Mme Nadine Murielle OBIANG née OGOULA.

Chefs de services

- Chef de service Equipement et Matériel : M. Alain NKOGHE.

- Chef de service Administratif et Financier : Mme Valérie ONDO SHOSHANA.

- Chef de service informatique : M. François NDJIEBANDA.

Direction de la circulation routière et des contrôles techniques

- Directeur : Mme Hortense MBA, en remplacement de M. BIBOUNDZA PANGO Jean Bernard, appelé à d'autres fonctions.

Chefs de services

- Chef de service Circulation Routière : M. MOUELE NZEBI Patrick.

- Chef de service Contrôle Technique : M. Jérôme OBAME MEVIE

Direction des Transports Routiers

- Directeur : M. Martin NTOUTOUME NDONG.

Chefs de services

- Chef de service Transport voyageurs : Mme Isabel MOUNGOMO.
- Chef de service Transport Marchandises : Mme Catherine MADOLA ANGUILET.

Direction des Liaisons Intermodales et de la Statistique

- Directeur : M. Gervais MIHINDOU MAMBOUNDOU, confirmé.
Chefs de services

- Chef de service Liaisons Intermodales : M. Franck OYINI NZAMBA.

- Chef de service Statistiques : M. MVE MENIE Michel.

INSPECTEURS PROVINCIAUX

- Inspecteur de l'Estuaire : Madame Hélène MOUSTINGA.

- Inspecteur du Haut-Ogooué : M. André JOUMAS.

- Inspecteur du Moyen-Ogooué : M. Pierre NGUEMA NDONG.

- Inspecteur de la Ngounié : M. Alain Francis MANGHADY PENDI.

- Inspecteur de la Nyanga : M. Félicien TIYINOT.

- Inspecteur de l'Ogooué-Ivindo : M. Ange Gabriel MOUBELE.

- Inspecteur de l'Ogooué-Lolo : M. Jeannot BIYEGHE-BIOVALE.

- Inspecteur de l'Ogooué-Maritime : M. Jean Louis NZAMBA.

- Inspecteur du Woleu-Ntem : M. Alain OYINO OKOMBA.

DIRECTION GENERALE DE LA MARINE MARCHANDE

Direction des Affaires Portuaires et des Activités Connexes aux Transports Maritimes

Directeur : M. NKOULOU MEZUI Claver, Administrateur des Affaires Maritimes.

Chefs de services

Chef de service des Affaires Portuaires : Mme AVOME ANGUE Frédérique, administrateur des Affaires Maritimes.

Chef de service des Activités Connexes : M. NZIENGUI NZIENGUI, Attaché d'Administration des Affaires Maritimes.

Chargée d'Etudes : Mme NGUEMA MBANG Annie Carole.

Direction de la Flotte de Commerce et de l'Équipement Naval

Directeur : M. TCHIBINDA IPANDI Ladislas, Officier Mécanicien 1ère classe confirmé.

Chefs de services

Chef de Service de la Flotte de Commerce : Mme DOUCKAGA née MADZINZA YANGOU.

Chefs de Service de l'Équipement Naval : M. ZUE EDZANG Emmanuel.

Chargés d'Etudes

Mme OBOULOU Stella ép. MOUMBANGOU ;
M. NZAMBA ILOUMA Guy.

Direction des Gens de Mer, de la Navigation et de la Sécurité Maritimes

Directeur : M. AUBAME Gérard Philippe, Administrateur des Affaires Maritimes, confirmé.

Chefs de services

Chef de Service des Gens de Mer : Mme NZIENGUI Ernestine, Juriste Maritime.

Chef de Service de la Navigation Maritime : M. ONDZAGHA MINKO Benjamin, Officier Naviguant.

Chef de Service de la Sécurité Maritime : M. BOUROBOU Clovis Augustin, Officier Naviguant.

Chargés d'Etudes :
Mmes

-NTSELE Solange.
-MANOMBA Marie ;
-MBATCHI Mature Scholastique.

Direction de la Réglementation et de la Coopération

-Directeur : M. NZIBE RUBEN, Administrateur des Affaires Maritimes.

Chefs de services

-Chef de service de la Coopération : Mme IGOUE ODOUKA ANTCHOUE Line.

-Chef de service de la Réglementation : Monsieur NONEWA ASSOUMOU Bonaventure.

Chargés d'Etudes

-Mme KOUNA Roseline ;
-M. OSSINGA Etienne ;
-M. ZUE NGUEMA Bertrand.

Centre d'Etudes, de Documentation et de Recherches Maritimes

-Directeur : M. NTAWANGA William André, Administrateur des Affaires Maritimes.

Chefs de services

-Chef de service de la Documentation : M. NZIGOU Wilfried, confirmé.

-Chef de service Statistiques : M. MOSSE KOUNOU Bernard Bertin.

Chargés d'Etudes :

Mmes

-MASSALA NKOROUNA Lucienne Patricia, confirmée.
-BOUYOU Rose Carine.

Délégations Maritimes

- Délégué maritime de la province de l'Estuaire : M. SOUNDA Patrick, Administrateur des Affaires Maritimes, en remplacement de Mr IGAMBA AWORET Etienne.

- Délégué maritime de la province de l'Ogooué maritime : M. MIVINGA Paul, Inspecteur des Affaires Maritimes en remplacement de M. MOMBO TSOUNGOU Maurice.
- Délégué maritime de la province du Moyen Ogooué : M. OBAME NZE Wilfried, Administrateur des Affaires Maritimes, en remplacement de M. NTAMBI Gabriel.

- Délégué maritime de la province de la Nyanga : M.ITOUMBA Landry, Inspecteur des Affaires Maritimes en remplacement de M. SOUNDA Patrick.

Direction Générale de la Météorologie (DGM)

- Chargés d'études :

Mmes

• Mathilde ASSENGONE NDONG, ingénieur adjoint météo Monsieur Pierre ZUE EYA, ingénieur adjoint météo.

• Rosalie NDOUNA née BATHALAT.


SERVICES RATTACHES

- Chef de Service des Ressources Humaines et de la Formation : M. Gilbert ONDO NDONG, précédemment chef de service climatologie.

- Chef de Service Financier et du Patrimoine : Mme. AVOMO OBIANG Ghislaine.

- Chef de Service des Archives et du courrier : M. Ferdinand MOUNGUENGUI, précédemment chef de service des Relations Extérieures.

DIRECTION DE L'EXPLOITATION

- Directeur d'Exploitation: M. Lambert ELLA ASSEKO, ingénieur météo, précédemment Inspecteur des services météorologique.

- Chef de service Prévision météo : M. Ghislain Claude NKOMBE, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service Climatologie : M. Lambert EKANG, ingénieur adjoint météo, précédemment chef de service informatique.

- Chef de service Publication : M. Joseph IGUENGA NGORI, ingénieur météo.

DIRECTIONS DES APPLICATIONS

- Directeur des Application : Mme MBOUMBA Joséphine, ingénieur météo, précédemment Inspecteur des services météorologiques.

Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie : M. Pierre MVE AKWE, ingénieur adjoint agrométéorologique.

- Chef de service Hydrométéorologie : Mme Félicienne Nathalie MAPENDZA.

- Chef de service météo Aéronautique : M. David Claude NGUEMA, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service météo Marine: Mme Hélène KENGUE, ingénieur adjoint météo.

Direction de la Recherche et du Contentieux

- Directeur : M. Fernand NZE MINKO.

Chefs de services

- Chef de service des Litiges et du Contentieux : Mme Isabelle BADJINA.

- Chef de service des Etudes et de la Recherche: Mr. Guy Roger SOUNDA, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service des Satellites et Télécommunication: M. Emmanuel NDZENG OKOUE, ingénieur adjoint météo.

Direction du Réseau Météorologique

- Directeur du Réseau météorologique : Mme OYE NTO Jacqueline, ingénieur adjoint météo.

Chefs de services

- Chef de service d'Installation et de Maintenance : Mme Mathilde ASSENGONE NDONG, ingénieur adjoint météo précédemment chef de service des réseaux météo.

- Chef de service de Normalisation des Codes et Méthodes d'Observations : M. Luc MVE NDONG, ingénieur adjoint météo.

DIRECTIONS DE ZONES

Direction Territoriale Zone Nord (Woleu-Ntem-Ogooué Ivindo)

- Directeur : M. Michel KOMBILA, ingénieur météo, précédemment chef de service provincial de la Ngounié.

Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie: M. Serge OKOUROU NGUEMA, ingénieur adjoint agrométéorologique.

- Chef de service Climatologie: Mme Marie Hélène MBOUMBA, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service des Réseaux Météo: M. Roger MENGUE.

Direction Territoriale Zone Ouest (Estuaire-Ogooué-Maritime)

- Directeur : M. Alain NDZIE MEVIANE, ingénieur météo.



Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie : Mme Jeannette MOUNGUENGUI, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service Climatologie: M. Noël Parfait OBAME MINKO.
- Chef de service des Réseaux Météo: Mme Albertine BENDOME.

Directeur Territoriale Zone Centre (Ngounié, Moyen Ogooué, Nyanga)

- Directeur : M. MBA NKOGHE Toussaint, ingénieur météo, précédemment chef de service provincial du Moyen- Ogooué.

Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie : M. Jean MBA NZE, ingénieur adjoint météo, précédemment chef de service provincial de l'Estuaire.

- Chef de service Climatologie: M. Jacques NGUEMA, ingénieur adjoint météo, précédemment chef de service provincial du Woleu-Ntem.

- Chef de service des Réseaux Météo: Mme Catherine MAKANGA Epouse SOUNGANI POSSO, précédemment chef de service provincial par intérim de la Nyanga.


Directeur Territoriale Zone Est (Ogooué-Lolo, Haut- Ogooué)

- Directeur : M. MEFFOUET MENDONG Joseph, Ingénieur des Techniques météorologiques.

Chefs de services
- Chef de service Agrométéorologie : M. Guy Franly DIZAMBOU, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service Climatologie: M. Samuel NGUEMA, ingénieur adjoint de la météorologie.

- Chef de service des Réseaux Météo: M. MBELE Pierre.

AGENCE DE REGULATION DES TRANSPORTS FERROVIAIRES (ARTF)

- Conseillers du Président du Conseil de Régulation :

MM.

• EBOUMI ANDJARA Fidèle, Administrateur Civil, en remplacement de M. KAKOUNDJA Damas, appelé à d'autres fonctions ;
• Jean de Dieu MELOLE, Administrateur Civil.

MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DE L'INNOVATION ET DE LA CULTURE

D
IRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
- Chargé d'Etudes : M. MBA ESSOGHO Léonard, Master en didactique H/G

DIRECTION DES AFFAIRES SOCIALES
Service des Congés
- Chef de service : M. AFOURAGA Denis Jacques, Attaché d'Administration Générale

INSTITUT PEDAGOGIQUE NATIONAL
Service Appliqué à l'Enseignement Normal
- Chef de service : M. BIBANA Jean de la Croix, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. ANGOUE Georges Edgard, appelé à d'autres fonctions.

DIRECTION GENERALE DE L'ENSEIGNEMENT SCOLAIRE ET NORMAL
Chargés d'Etudes :
- Mme MOUSSOUMBI MBOUGA Annie, Attachée d'Administration Scolaire et Universitaire.

MM.

• MOUANDZA Alphonse, Inspecteur Pédagogique ;

• BOUDZANGA Anatole, Attachée d'Administration Scolaire et Universitaire ;

• LEPOUKOU Prosper, Professeur du Secondaire, précédemment Principal de collège.

ECOLE NORMALE DES INSTITUTEURS DE LIBREVILLE
- Surveillant Général Adjoint : Mme NKENE NDONG Lucie Clara, Institutrice principale.

DIRECTION GENERALE DES STATISTIQUES DE LA PLANIFICATION ET DE LA PROSPECTIVE
DIRECTION DE LA PLANIFICATION
- Directeur : Mme OBONO Anastasie, Enseignante à l'ENS, en remplacement de M. YOUMBA Elie, appelé à d'autres fonctions.

- Directeur Adjoint : Mme ROLENGA ZIZA Ep. MPIRA Solange Eliane, Conseiller de Planification de l'Education, en remplacement de Mme OBONO Anastasie, appelée à d'autres fonctions.

DIRECTION GENERALE DU CENTRE NATIONAL DES ŒUVRES UNIVERSITAIRES (CNOU)
- Directeur Général : M. Aubert Aimé NDJILA, en remplacement de M. Michel MBOU KIKI, appelé à d'autres fonctions.

DIRECTION DU COU-UOB
Service Restauration
- Chef de service : M. MIPETO Justin, Administrateur scolaire et universitaire, en remplacement de M. NGOMA Ruffin, remis à la disposition de son administration d'origine.

- Econome : Mme MONDOUBE Gisèle EP. MAGNANGA : Attachée d'Administration Scolaire et Universitaire, en remplacement de M. NYAMA IKAPI Arnaud, appelé à d'autres fonctions.

DIRECTIONS D'ACADEMIES PROVINCIALES
DIRECTION D'ACADEMIE PROVINCIALE DU MOYEN-OGOOUE
- Chargé d'Etudes : M. NGOMA MICKOLO Alpin, Inspecteur du Primaire, précédemment chef de service Pré-primaire et Primaire.

Service Pré-primaire et Primaire
- Chef de service : Mme WILSON AKAGAH Stéphanie Brazza, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. NGOMA MICKOLO Alpin, muté.

DIRECTION D'ACADEMIE PROVINCIALE DE LA NYANGA
- Chargé d'Etudes : M. LATISSI MAKOSSO René, Professeur du secondaire, promu

DIRECTION D'ACADEMIE PROVINCIALE DE L'OGOOUE-MARITIME
Service Provincial de la Carte Scolaire
- Chef de service : Mme NTOKOME ONDO Aimée, Attachée de planification, promue.

Service Provincial des Œuvres Scolaires et Universitaires
- Chef de service : M. OGOULA Moïse, Professeur du secondaire, promu.

BASE PEDAGOGIQUE
NYANGA
- Chef de Base Pédagogique de Mabanda : M. NZE André Martial, Conseiller Pédagogique, en remplacement de M. BOUSSOUGOU KOMBILA Yves Michel, admis en stage.

EQUIPES DIRIGEANTES DES ETABLISSEMENTS SECONDAIRES PUBLICS
(Additif)
PROVINCE DE L'ESTUAIRE
LYCEES
LYCEE NATIONAL LEON MBA (LIBREVILLE)
- Surveillant Général : M. MINKO MI BINE Jean Charles, Professeur Adjoint d'Enseignement normal, en remplacement de Mme ONDO née ALLOUMBA Mireille.

- Surveillant Général Adjoint : M. INDANGA Gabriel, Chargé de l'internat, promu

LYCEE DE BIKELE

- Censeur II vie Scolaire : Mme DEDJIE AWORET Jacqueline Huguette, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. POUNDOU Edouard, démissionnaire.

LYCEE GEORGES MABIGNATH (LIBREVILLE)

- Surveillant Général Adjoint : Mme GNINGONE OBIANG ép. TOVIGNON, Institutrice, promue.

LYCEE NDONG BYE (KANGO)

- Censeur I Pédagogique : M. BILIMA Cévérin Melvil, Professeur du Secondaire, précédemment Censeur I Pédagogique au Lycée Lubin Martial NTOUTOUME de Ntoum, poste vacant.

- Censeur II vie scolaire : M. AUBAME ONDZAGA Franck, Professeur du Secondaire poste vacant, promue.

LYCEE Lubin Martial NTOUTOUME OBAME (Ntoum)

- Censeur II vie scolaire : M. MABOKO Dieudonné, Professeur du Secondaire poste vacant, promu.
CES AVORBAM (Agondjé)

- Directeur des Etudes vie scolaire : M. BE NDONG Albert, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MISSIE POUHO, promu Principal.

CES BA OUMAR (Bas de Gué-Gué)
- Directeur des Etudes pédagogiques : M. ZINGA Pierre Louis Bather, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. ATOMO MENGUE Pierre Claver, remis à la disposition de la DAP-Estuaire.

PROVINCE DU HAUT-OGOOUE
LYCEE Eugène Marcel AMOGHO (Franceville)

- Censeur I Vie scolaire : M. LANGOUORI Martin, Professeur Adjoint du Secondaire, en remplacement de M. AKOUMA Albert, admis en stage.

LYCEE D'EXCELLENCE (Franceville)
- Intendant : Mme ODINA Solange, précédemment intendant au CES Mamadou LEWO, en remplacement de M. ODOUNA Raymond, décédé.

LYCEE Rigobert LANDJI (Moanda)
- Censeur I Vie scolaire : M. MABEDOU POUSSOU Saturnin, Professeur du Secondaire, poste vacant, promu.

- Surveillant Général : Mme TSONO Pauline, Institutrice, en remplacement de M. NZALOUYA Vivien, muté.

- Surveillant Général Adjoint : M. YAMBA Jean, Instituteur, promu.

CES Pierre OUTOU BOUKOUYA (Boumango)
- Directeur des Etudes vie scolaire : M. ONGOUYALT Georges Martin, Professeur du Secondaire, en remplacement de Mme MEZENE NDONG Carole, remis à la disposition de la DAP Haut-Ogooué.

CES Zacharie MAIKA (Bakoumba)
- Surveillant Général : M. NDOMBA Christophe, Instituteur, promu, en remplacement de M. OKAPA Placide, remis à la disposition de la DAP Haut-Ogooué.

CES KAKOGHO (Léconi)
- Principal : M. NZIENGUI Christian, précédemment Principal au CES Lucien KOUNA de Bongoville, en remplacement de M. KABELE Julien, ancien Principal.

CES Lucien KOUNA (Bongoville)
- Principal : M. NDZIAMI Jacques, précédemment Principal au CES KAKOGHO de Leconi, en remplacement de M. NZIENGUI Christian, muté.

PROVINCE DU MOYEN-OGOOUE

LYCEE François MEYE (Ndjolé)

- Censeur II Pédagogique : M. EWOURE Francis Désiré, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MELINDANGA Billy Joachim, appelé à d'autres fonctions.

PROVINCE DE LA NGOUNIE
CES DE MALINGA
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MOUKAGNI NZAMBE, Professeur du secondaire, poste vacant, promu.

CES Amiar NGAHANG (Mbigou)

- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. NDINGA MAYOMBO Maurice Ulrich, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MANGOURA Patrice, appelé à d'autres fonctions.

- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MASSOUKOU Benjamin : Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NDINGA MAYOMBO Maurice Ulrich, appelé à d'autres fonctions.

CES Alexandre MADOUNGOU MBARI (Mimongo)
- Intendant : M. CHASSA MIKOLO Damas, Attaché d'Administration Scolaire, en remplacement de M. LETEMBET BICKOTO Rigobert, appelé à d'autres fonctions.

CES Albert Martin SAMBAT (Mouila)
- Intendant : M. LETEMBET BICKOTO Rigobert, Attaché d'Administration Scolaire, en remplacement de M. MBOMBET Jean Honoré, admis en stage à l'ENI.

PROVINCE DE LA NYANGA
LYCEE Jean Baptiste MOANDAT (Mayumba)
- Censeur I Vie scolaire : M. MBOUROUTOU Brice Pierre, Professeur du secondaire, poste vacant, promu.

- Censeur II Vie scolaire : Mme NGOMA Léonie, Professeur du Secondaire, poste vacant, promue.

LYCEE Edouard MOSSOT(Moabi)
- Censeur II Pédagogique : M. MOUNDOU Guy Serge, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. OVONO ELLA Jean Louis.

- Censeur II Vie Scolaire : M. AMADI OSSAVOU Guy Léopold, Professeur du secondaire, poste vacant, promu.

LYCEE Général Nazaire BOULINGUI
- Censeur I Pédagogique : M. METOUGHE Yvon, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. EYI MESSA Constant, démissionnaire.

- Surveillant Général : M. MAMBOUNDOU MAMBOUNDOU Elie, Instituteur, en remplacement de M. MICKALA MBINA Jean de Dieu, décédé.

- Intendant : M. BOUSSOUGOU Jean Louis Ousmane, précédemment en service à Moulengui-Binza, en remplacement de M. MOUSSAVOU MOMBO Guy, remis à la disposition de la DAP.

- Econome : Mme BOUNDA Amélie, Administrateur Scolaire et Universitaire, en remplacement de M. BOUASSA Gérard, décédé.

CES KOUMBA NZIENGUI (Tchibanga)
- Directeur des Etudes Vie scolaire : M. KASSA Ange Corneille, en remplacement de M. MOGOULI Cyprien, admis en stage à l'ENS.

CES DE MABANDA (Mabanda)
- Directeur des Etudes Vie scolaire : M. BOUKEGHET FOUECHI Séverin, Professeur du Secondaire, poste vacant, promu.

- Surveillant Général Adjoint : M. MASSALA Jean Pierre, Instituteur, promu.

PROVINCE DE L'OGOOUE-IVINDO
LYCEE Alexandre SAMBAT (Makokou)

- Censeur I vie scolaire : M. OUMARE BOUCKAL BAKOT, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NDJEMBI ILAGOU, muté.

LYCEE Daniel KOSSE (Booué)
- Surveillant Général : M. MBAMI Philippe, Instituteur, poste vacant, promu.

CES DE MAKOKOU (Makokou)
- Principal : M. MALELA MBELOU Samuel, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. PAZOCK MAYELE Jérémie, muté.

- Surveillant Général Adjoint : M. MENDOUME ABOGHE Nasser, Instituteur, en remplacement de M. MELONG Patrice, admis en stage.

PROVINCE DE L'OGOOUE-LOLO
LYCEE Jean Arsène BOUNGUENDZA
- Censeur II Pédagogique : M. IKOUYOU Chrysanthème, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NGUEMA Jérôme, remis à la disposition de la DAP Ogooue-lolo.

- Surveillant Général Adjoint : M. LINDZONDZO Jean Jérôme, Instituteur, promu.

PROVINCE DE L'OGOOUE-MARITIME

LYCEE AMBOUROUET AVARO (Port-Gentil)

- Censeur I vie scolaire : Mme ESSOMEYO NKOGHO Clarisse, Professeur du secondaire, poste vacant, promue.

LYCEE Thuriaf BANTSANTSA (Port-Gentil)
- Proviseur : M. NEYER OLOURI Guylain, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MIHINDOU MOUSSAVOU, muté.

- Intendant : M. ESSONO OKEMVELE Maxime, Attaché d'Administration Scolaire et Universitaire, en remplacement de M. MESSI Arthur, remis à la disposition de la DAP.

CES Julien MBOUROU (Omboué)

- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. GOMEZ RAPONTCHOMBO YOMBEYENI Denis, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NGUEDI Denis, démissionnaire.

CES BAC AVIATION (Port-Gentil)

- Principal : M. MIHINDOU MOUSSAVOU, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NEYER OLOURI Guylain, muté.

- Intendant : M. NGANDA Eric, Attaché d'Administration Scolaire et Universitaire, poste vacant, promu.

PROVINCE DU WOLEU-NTEM

LYCEE Ambroise OBAME NDONG (Medouneu)
- Econome : M. MINTSA ZOLO Jean Pierre, Attaché d'Administration Scolaire et Universitaire, poste vacant, promu.

LYCEE Richard NGUEMA BEKALE (Oyem)

- Censeur II vie scolaire : M. NDEAUX Constant Confort, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. LOUBANGOYE Fidèle Gontran, remis à son administration d'origine.

LYCEE ASSOGHO EYEME DE MINVOUL

- Censeur II vie scolaire : M. NDONG EBONA Simon Pierre, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NGAMA ESSALA Camille, admis en stage à l'ENS.

- Surveillant Général Adjoint : Mme NTOUTOUME ME NNANG Yvonne ép. MBO'O, Institutrice, en remplacement de M. AMENGLE AKONO Jean Pierre.


MINISTERE DES RELATIONS AVEC LE PARLEMENT, LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, DE L'INTEGRATION REGIONALE CHARGE DES DROITS DE L'HOMME ET DU NEPAD

COMMISSION NATIONALE DE LUTTE CONTRE L'ENRICHISSEMENT ILLICITE
CABINET DU PRESIDENT
- Chef de Cabinet : M. ASSAPI Michel.
- Secrétaire Particulière : Mme EPOGO Audrey.
- Conseiller en Communication : M. ASSEYI MAMADOU Rodrigue.
- Conseiller Technique : M. MOUNDOUNGOU Michel.
- Secrétaire de Cabinet : Mme MOUSSIROU MOUKAGNI Ginette Christelle.
- Chargé d'Etudes : M. DJIMBI MAKOSSO Prosper.
- Chargé du Protocole : M. OKASSA Rodrigue.
- Aide de Camp : M. MBANGANGOYE Franck.
- Agents de Sécurité : MM.

• MBENABI TABA Christophe.
• BOUCAH Marc Thierry.

- Chauffeur Particulier : M. OMBANGO Sabin.
CABINET DU COMMISSAIRE MEMBRE
- Chargé d'Etudes : M. NDONG MBA Christian Noël.
- Agent de Sécurité : M. ANGOUE EBOUANG Stéphane Olivier.
- Chauffeur Particulier : M. IGALLA NGOMA Judicaël.
CABINET DU COMMISSAIRE DU GOUVERNEMENT
- Secrétaire Particulière : Mme BOUYON Marie Louise.
SECRETARIAT GENERAL
- Chef de Service Courrier : M. EKOMI Jean Claude.
- Chef de Service Archive : M. MANGAKA TONDA Samson.
- Chef de Service Documentation : Mme OTOUNGA Cochita.
MINISTERE DE L'AGRICULTURE, DE L'ELEVAGE, DE LA PECHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

CHEFS DE PROVINCE AGRICOLE

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Estuaire : M. BANGA Paul, Ingénieur Agronome.
- Chef de Service Provincial de l'Agriculture du Haut-Ogooué : M. MOUSSAVOU MOUSSAVOU Jean-Baptiste, Ingénieur des Techniques Agricoles.
- Chef de Service Provincial de l'Agriculture du Moyen-Ogooué : M. NZAOU Marius Trésor, Ingénieur Agronome.

- Chef de Service Provincial de l'Elevage de la Ngounié : Mme KOMBA Suzanne, Ingénieur des Techniques d'Elevage.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de la Nyanga : M. BIBANG Severin Arnaud, Ingénieur Agronome.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Ogooué-Ivindo : M. IFADA Anaclé, Ingénieur des Techniques Agricoles.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Ogooué-Lolo : M. LOLA MEHOULA Gabriel, Ingénieur des Techniques Agricoles.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Ogooué-Maritime : M. MEDZA ABESSOLO Magloire, Ingénieur Agronome.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture du Woleu-Ntem : M. NGOUNGA PAMBOU Louis Clotaire, Ingénieur des Techniques Agricoles.

CHEFS D'INSPECTION PROVINCIALE DES PECHES ET DE L'AQUACULTURE
- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Estuaire : M. IBOUANGA YEMBI Joseph, Ingénieur des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture du Haut-Ogooué : M. MICKOMBA Pierre Claver, Ingénieur Halieute.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture du Moyen-Ogooué : Mme NTSAME BIYOGHE Gwladys, Ingénieur des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de la Ngounié : M. MOUNDOUNGA Gustave, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de la Nyanga : M. OBAME MEBIAME Jean Fulbert, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Ogooué-Ivindo : M. OMPIBA Jean Patrice, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Ogooué-Lolo : M. MOUELE Fabrice Nicodème, Ingénieur des Techniques d'Elevage.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Ogooué-Maritime : M. ELLA ABOGHE Ghislain Mermoz, Docteur Vétérinaire.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture du Woleu-Ntem : M. NGAMBA NDIANGOU Jean Médard, Ingénieur Halieute.

CENTRE DE MULTIPLICATION DU CACAO D'ELITE (CMCE)

- Directeur : M. ZOGO ONDO Claude Corneille, Ingénieur des Techniques Agricoles.

MINISTERE DE LA COMMUNICATION, DE LA POSTE ET DE L'ECONOMIE NUMERIQUE
SECRETARIAT GENERAL


D
IRECTION GENERALE DE LA POSTE
- Directeur Général Adjoint : M. Léonard NZAOU, précédemment Secrétaire Exécutif Adjoint de l'Agence de Régulation des Communications Electroniques et de la Poste.

AGENCE DE REGULATION DES COMMUNICATIONS ELECTRONIQUES ET DE LA POSTE (ARCEP)
- Secrétaire Exécutif Adjoint : M. Dosithée MICKALA, précédemment Conseiller du Président de la République.

 

 

MICHEL OGANDAGA  http://michelogandaga.blog.fr/  http://sylviabongondimba.blog.fr/

https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA http://www.presidentalibongo.com/

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/