19/01/2013
Biens mal acquis : Le tourisme sexuel de Magali Serre au Gabon
Les revoilà qui nous bassinent les tympans avec leur BMA (à ne pas confondre avec Bien Malheureux et Maladroits Articles) !
Comment en serait-il autrement dans un conglomérat de journaleux affairistes qui font des prétendus Biens mal acquis, leur fonds de commerce épisodique, de politiciens masqués de la société civile moutouki et pas assez courageux pour assumer leurs opinions.
Voilà qu’une certaine Magalie SERRE décide de se prêter à l’exercice, après s’être introduite dans le territoire gabonais par « effraction », selon ses propres aveux, sans y avoir été légalement invitée, conformément aux procédures liées à l’obtention d’un visa pour tout journaliste désireux de mener des investigations dans un Etat tiers.
Allons-y donc savoir par quels moyens « orthodoxes », notre bien pensante et généreuse franchouillarde a-t-elle réussi son coup de maître (ou ses coups de maitresse), de se retrouver grâce à son don d’ubiquité, à la fois à Oyem et Libreville.
Des villes dit-elle, où elle aurait observé une semaine de coupure d’eau, oubliant toutefois de rappeler que le principal auteur de cette incommodité révoltante, est une multinationale de son propre pays la France, dénommée VEOLIA. Oh turpitude quand tu nous tiens !
Dans son reportage, elle nous présente des images dégradantes du Gabon, des « bidonvilles » oubliant peut-être de rappeler que si l’argent de nos richesses nationales, notamment les milliards volés de notre Pétrole, n’avaient pas servi d’abord à embellir Paris et sa périphérie, le Gabon serait au même niveau de développement que sa France natale !
Aussi la question se pose de savoir, entre les 500 millions d’Euros de biens immobiliers des dirigeants africains, prétendument mal acquis à leurs peuples, et les Centaines de Milliards d’Euros pillés et spoliés à l’Afrique, de quel côté se situe le scandale des « Biens Mal Acquis » au juste? !
A force d’écouter et de tomber sous le charme de ses trois principaux aide-resquilleurs et menteurs patentés en mal de renommée et d’inscriptions sur leur liste d’une hypothétique conférence nationale souterraine, nous voilà en plein dans une farce médiatique d’un genre nouveau !
Ces nouvelles formes de manipulation des consciences gabonaises par voie de presse audiovisuelle interposée et connotée, nous rassure.
En effet, chaque fois qu’elles interviennent, elles coïncident étrangement avec de nouvelles avancées en ce qui concerne le Gabon Emergent sous la conduite du Président Ali BONGO ONDIMBA : Le récent Forum Gabon-UNITED KINGDOM Investment qui s’est tenu avec succès à Londres les 28 et 29 Novembre dernier, la visite récente du Premier Ministre Turc au Gabon qu’agrémentait un Forum économique Gabon-Turquie ou encore le succès diplomatique lié à la résolution pacifique de la crise en République Centrafricaine, sous les auspices du Premier des Emergents Gabonais, autant de raisons pour que certains « receleurs du Néocolonialisme » tentent à nouveau de faire peser l’épée du « Dieu Blanc » sur la tête du Petit Nègre Gabonais !
Chaque fois que le Gabon innove, inscrit des réussites à son actif, élargit son cercle d’amitié, d’investisseurs, sa notoriété internationale, le gang des apprentis-sorciers et ensableurs de couscous se livre à son exercice favori : l’amalgame, le mensonge nourris à la sauce du préjugé tenace de journaleux gauchistes, qui ne connaissent l’Afrique que dans les livres de géographie, les mythes et clichés (guerres, pauvreté, pandémies, etc.).
Et les voilà avec leurs relais, tocards identifiés et connus de tous, qui franchissent le Rubicon en essayant de salir le Président Ali BONGO ONDIMBA contre qui ils n’ont rien trouvé, malgré moult investigations vouées à l’échec éternel.
Chère salafiste apprentie Magalie SERRE, pour filmer la pauvreté et la saleté, vous auriez pu vous limiter à votre métro parisien et à sa banlieue. Un proverbe africain recommande de balayer devant sa propre case avant de s’occuper de celle du voisin…. éloigné.
Si tant est que vous voulez soulager les maux des populations, que ne commenceriez-vous pas avec les 9 millions de personnes vivant sous le seuil de la pauvreté dans votre univers hexagonal ?
Non, on vous comprend avec vos allures de Sainte Nitouche effarouchée, l’Afrique des clichés et des préjugés, c’est aussi le tourisme …textuel et …c’est autrement plus excitant, n’est-ce pas ?
Car apparemment, vous vous souviendrez de vos nuits chaudes du Nord Gabon, mais cela, vous n’en pipez pas mot. Il faut être devin pour le deviner via Facebook et vos amis ou conquêtes (c’est selon) de circonstance.
Nous espérons que s’il n’y a pas eu d’eau à l’hôpital d’Oyem, vous avez pu quand même trouver du latex protecteur (mdrrrrr !!!!!).
Mais que peut-on attendre d’autre d’une meute de gueux vaniteux, jaloux, paternalistes et condescendants ?
Le Sieur Bourdon, avocat à ses heures perdues, est en plein dans son opération de communication. Lui, arrière-petit-fils MICHELIN, fortuné jusqu’ aux « dents », qui se substitue aux pétitionnaires nationaux, lesquels, chaque jour qui passe, voient leur rêve de Conférence Nationale Souterraine s’évaporer face au mépris que leur renvoie la majorité des gabonais à ce sujet, et aux réalisations visibles dans tous les domaines par chacun de nos compatriotes.
Cette campagne médiatique et judiciaire est et restera vaine en ce qui concerne le Gabon !
Sous l’impulsion du Président Ali BONGO ONDIMBA, qui lie l’acte à la parole, le Gabon suscite l’intérêt de pays développés et émergents, d’investisseurs de divers horizons, tant des pays et aires de coopération traditionnelle et historiques auxquelles il est lié par des siècles d’histoire, de langue en partage, notamment la France, que des nouveaux acteurs de l’économie mondiale.
Avec Ali BONGO ONDIMBA, le Gabon s’est engagé à mettre en place les facteurs irréversibles de développement : les infrastructures, l’énergie et le capital humain, la bonne gouvernance.
Il a su avec lucidité et courage faires sienne, la maxime selon laquelle « un Etat a des intérêts » en prenant la décision d’arrêt d’exportation des grumes et d’une nécessaire première ou seconde transformation locale, en faisant entrer le Gabon dans le capital d’ERAMET, en décidant, outre l’élaboration de nouveaux codes minier et pétrolier, de la création de la Société nationale des hydrocarbures qui vient de lever, sous l’impulsion du Ministre gabonais du Pétrole, sa premier cargaison de brut , d’une nouvelle politique énergétique, du partenariat avec Bechtel dans le cadre de l’Agence Nationale des Grands Travaux, de la mise en place d’un Fonds National Souverain parmi une multitude d’initiatives fortes et structurantes, sans oublier les nombreux chantiers en cours de réalisation et les structures en phase terminale à l’exemple du Centre Hospitalier Universitaire d’Angondjet et Son Institut de Cancérologie.
C’est au moment où ce Grand Leader Africain de la Nouvelle Génération fait mentir quotidiennement les pronostics ubuesques de quelques perdants éternels, encore assommés ou convalescents, et les autres oiseaux sinistrés par la clarté de sa vision, la déclinaison méthodique de son Plan Stratégique et des signaux forts de Bonne Gouvernance récemment corroborés par les derniers indicateurs de Transparency International , que l’acharnement atteint son paroxysme avec des procédures tout aussi ordurières que la psychologie de leurs instigateurs, qu’il s’agisse des « Has been » de la Françafrique aux accès coupés vers les Palais dorés du continent noir, ou de leurs relais et acolytes locaux et autres Oncles Tom tropicaux, apprentis en réactivation des réseaux décadents et pirouettes en tous genres.
La présente « War dance », sorte de danse du scalp et de préparation psychologique des agitateurs de quartiers ou conspirateurs et leurs moult agitations, ne continueront qu’à les confiner à la périphérie !
A d’autres temps et d’autres générations, d’autres mœurs, d’autres valeurs, d’autres ambitions ! Il ne s’agit ni plus ni moins que des derniers coups de sabots du cheval mourant (The last kick of the dying horse).
L’option du Président Ali BONGO ONDIMBA porte la marque des nouveaux dirigeants, d’un nouveau partenariat, du co-développement et se heurte aux vicissitudes et vestiges de cercles groupusculaires de la Vieille France, celle de la mafia conspiratrice derrière ses rideaux de fumée selon l’expression de Pierre Péan.
Les tentatives des offreurs de services locaux, rats de rédactions ou autres activistes de l’hexagone habitués à vivre de tels fonds de commerce seront vaines. Le Gabon ne laissera pas utiliser une quelconque division avec la France !
Au Gabon : Malgré les frustrations et la hâte de vivre l’impact des changements en cours, les populations suivent et voient la démarche, le style, les effets des décisions du Président Ali BONGO ONDIMBA, au service de la Nation.
En France : l’Opinion Publique moralisatrice par nature, comprendra qu’il faille aujourd’hui moraliser tout ce qui était immoral hier et que tout comme la France, les autres pays en développements puissent aspirer à la gouvernance et à l’émergence.
Si, le reproche commun et dominant est la constitution de patrimoines mobiliers et immobiliers faramineux par des dirigeants dans les pays occidentaux, sur la base de l’extorsion des fonds publics de leur pays et populations appauvries, l’information exacte doit prévaloir sur le lynchage médiatique et la condescendance.
Les scandales, lorsqu’ils sont établis, d’un bord à l’autre de la Méditerranée et du Sahara, doivent être dénoncés et punis. Tous les scandales sans exclusive, indépendamment de l’exercice ou non de certaines fonctions ou de la posture du moment. Toute liste devra être inclusive, y compris les abonnés au pouvoir d’un hier récent.
Au sein d’une opinion publique, d’une action politique et d’une démarche économique qui devient de plus en plus internationale, la question n’est pas sans importance de voir ainsi livrées en pâture des personnalités qui effectuent depuis des années le juste combat de la survie de leurs Etats mais encore plus à l’encontre d’un dirigeant , symbole du nouveau leadership et de la nouvelle génération comme Ali BONGO ONDIMBA.
Elle engage en effet, non seulement leur réputation en tant qu’individu, mais plus encore, la capacité des peuples qu’ils représentent à exister dans l’âpre bataille que se mènent les nations, pour obtenir le plus de prospérité matérielle, la plus grande extension de libertés et le plus grand rayonnement culturel et social pour leurs peuples.
Au Gabon c’est tout le sens du pilotage par la vision pour aller vers l’émergence, le développement, le partage dans la paix, l’unité et la cohésion nationales. Pour que nul n’en ignore !
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Commentaires
Bravo!!! Tout est dit!!!
Écrit par : DUBOIS | 19/01/2013
Seul la Justice est juge ... ou est elle ?
Les ONG se sucrent sur ce pseudo scandale ...
Que veut dire 'biens mal acquis ?'. Rien.
J'en ai marre des donneurs de leçon, opportunistes et intéressés !!
Écrit par : diacre | 19/01/2013
Mr. Ogandaga,
Je pense qu il serait important de reconnaitre notre faiblesse dans le cadre de securite nationale. Comment une personne etrangere sans visa gabonais a pu s introduire sur le territoire Gabonais sachant que nous avons des agents based au niveau de nos frontieres? Cela prouve que notre securitee est menacee sur le plan nationale. Avec une telle faiblesse, le ministere de l interieure et de la defense doivent trouver des solutions pour que dans le future tel act ne se produise plus. Nos agents qui ont le role de la securitee du territoire doivent egalement etre concernee. Des measures doivent etre pris a cet egard. La construction des barrages modernes en matiere de securitee doivent etre implamenter. Cette journaliste doit etre poursuivis d avoir viole les droits d acces sur un territoire etranger sans visa de ces institutions. Elle doit etre condamne pour son acte et payee une amande. En France aucun journalist etranger ne peux se permettre d agir ainsi faute de condanation et d une amande.
Cette affaire est une offense a la nation Gabonaise. Merci
Écrit par : Edgard Mounguengui | 19/01/2013
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