13/11/2012

Gabon: 5ème Conseil d`Orientation de l`Agence Nationale des Grands Travaux (ANGT)

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Libreville - 13 Novembre 2012 . La 5eme séance du Conseil d`Orientation de l`ANGT s`est tenue ce 13 novembre 2012 sous la présidence du Chef de l`Etat, Ali Bongo Ondimba en présence du Premier Ministre Raymond Ndong Sima et de plusieurs Ministres, de Membres du Cabinet Présidentiel  et des Directeurs généraux des départements budgétaires et financiers.

 

Le Président Ali Bongo Ondimba a exprimé sa satisfaction pour le travail abattu en deux ans depuis la création de cet outil indispensable à la mise en œuvre du Gabon Emergent et félicité le Directeur General Henri OHAYON et toute son équipe.

 

La Réunion de bilan et d`orientation a été également l`occasion de mesurer l`impact et la méthodologie structurante bâtie par l`ANGT, maitre d`ouvrage délégué pour les grands travaux par leurs montants et leur complicité pour tous les ministères concernés.

 

Le Conseil a permis a travers le rapport détaillé qui lui a été présenté d`apprécier l`importance de cet outil pour pouvoir mener à bien les chantiers au meilleur coût et selon les règles de l`art avec une prise en compte dès le départ de toutes les dimensions transversales

 

A ce titre l`ANGT a aidé à la réalisation d`une série d`études nécessaires à bâtir les cahiers des charges et à lancer les études, contribuant par une telle démarche et de tels investissements a la baisse des coûts.

 

L`expérience accumulée en deux ans a démontré la nécessite d`une plus grande Mobilité administrative avec possibilité d`un va et vient entre l`ANGT et les Administrations pour davantage de fluidité, de cohérence, d`efficacité et de résultats avec un ensemble de projets majeurs dans des secteurs clés de développement :

 

-          logement et habitat,

-          santé,

-          éducation : 11750 places de plus, nouvelles constructions, rénovation

-          routes

-          eau et assainissement

 

Apres l`énorme défi  tenu de l`organisation de la CAN avec ses effets induits sur plusieurs secteurs, 2012 aura été une année tremplin avec un accent sur la démarche qualité et la sécurité. L`instauration d`une boite à outils se généralise et les procédures (contractualisation, bons de commande,  suivi, contrôle et réception des travaux) s`adaptent et s`enrichissent du constat et du diagnostic à partir des réalités du terrain.

 

Les bureaux de contrôle et laboratoires agréés jouent leur rôle plus et mieux avec une présence permanente sur les sites des projets.

 

Au niveau de l`impact des petits projets, conformément a la vision du Chef de l`Etat de promotion de l`entreprenariat,  les PME locales sont favorisées. Aujourd`hui 149 d`entre elles sont utilisées par l`ANGT, grandissent, poussent et s`améliorent fortement avec plus de 6000 ouvriers en œuvre sur les chantiers.

 

Le Conseil a noté la nécessité d`accélérer le processus de paiement  tout en respectant les procédures en vigueur avec le support déjà réel et la synergie de la Direction Générale du Budget, de la Direction Générale des Marchés Publics et de la Trésorerie Payeur General.

 

Le Conseil a fait le point sur les divers projets sectoriels et sur les projets transversaux comme le Champ triomphal (Port Mole), tous prioritaires car de grande utilité publique.

 

Au moment où Mr Jim DUTTON prend le relais d`Henri OHAYON, les perspectives sont rassurantes et encourageantes car l`ANGT devrait atteindre sa vitesse de croisière en 2013 notamment en matière de logements, des routes et de nouvelles sources de croissance.

 

La finalité restera, comme le Président Ali Bongo Ondimba l`a rappelé fort opportunément l`efficacité au delà des intérêts particuliers, avec davantage de coopération et de partenariat, de croissance et de création d`emplois.

 

Le Premier Ministre Raymond Ndong Sima a exprimé son engagement et sa grande disponibilité à travailler avec l`ANGT et ses dirigeants en plus grande synergie pour un travail dans l`intérêt collectif. Cela passera par des réunions formelles et régulières pour capitaliser sur les résultats et les amplifier.

 

 

Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

·le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

·le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

·le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

A PROPOS DE L`ANGT

Instituée par l’Ordonnance 004/PR/2010 du 15 Février 2010, l’Agence sera au cœur de la programmation, de l’identification et de la maitrise d’ouvrage des grands projets et travaux publics classés prioritaires par le Chef de l’Etat.

 

L`objectif est d`amorcer une nouvelle phase s’amorce à divers niveaux pour accélérer le processus d’aménagement global du territoire, de conception, suivi, exécution et

 

Le Gabon s’est attaché récemment le partenariat et l’expertise de Bechtel avec La signature  d’un important accord d’assistance le 2 septembre 2010.

Bechtel est en effet la première entreprise américaine de travaux publics. Fondée  depuis 112 ans, elle emploie plus de 40 000 personnes dans près de cinquante pays et s’est distinguée dans la construction de plusieurs autres grandes réalisations comme le tunnel sous la Manche, la ville de Jubail  ou le Kingdom Center en Arabie saoudite, l'aéroport international de Hong Kong ou encore la reconstruction de l'infrastructure civile de l'Irak financée par l'agence des États-Unis pour le développement international (USAID).

Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


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05/11/2012

Gabon: Les chantiers de l’émergence ont tués l'opposition

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Depuis quelque temps, pour masquer leur honte de n’avoir pas pu faire oeuvre utile au profit du développement du pays et face aux efforts que ne cesse de déployer le président Ali Bongo Ondimba pour réaliser les grands projets destinés à moderniser et à aménager harmonieusement le territoire national, les leaders de l’opposition font plutôt grise mine.

Cela, en marmonnant que ces projets ont été programmés par lesdits opposants lors qu’ils étaient au gouvernement ou à de hauts postes de responsabilité publique.

Une hérésie lorsqu’on se souviendra toujours que ces leaders mentent grossièrement et tentent de tromper le peuple gabonais qui n’est nullement dupe.

Car comme l’affirment certains observateurs de la scène politique nationale, « non seulement certains de ces grands chantiers en cours ont été conçus et projeté, à l’époque, par feu le président Omar Bongo Ondimba, mais en plus ce sont ces actuels leaders de l’opposition qui se sont avérés incapables de les réaliser. »

A cet égard ce ne sont pas des gens de l’acabit de MM. Zacharie Myboto, André Mba Obame, Jean Eyéghé Ndong, Casimir Oyé Mba, Pierre Claver Maganga Moussavou, Jules Aristide Bourdès Ogouliguendé et bien d’autres de leurs compères de l’Union des forces du changement (UFC) qui nous démentiront.

Du fait que, pour la plupart d’entre eux, ils ont été aux avant-postes des départements ministériels juteux tels que les Travaux publics, l’intérieur, la Planification, la Fonction publique ou l’Education nationale.

Et cela, pendant que MM. Oyé Mba et Eyéghé Ndong étaient même arrivés jusqu’au rang de Premier ministre du défunt président Omar Bongo Ondimba et chef du gouvernement.

Aussi, en ces temps où ils étaient si puissamment installés aux commandes des affaires de l’Etat, c’est à se demander « pourquoi n’ont-ils pas pu mettre en oeuvre et mener à terme la réalisation des actuels chantiers repris efficacement par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. »

De plus, étant, à l’époque et pour la plupart. Tout-puissants ministres d’Etat pour les uns, Premiers ministres pour d’autres et même beaux-parents du défunt président pour certains, l’opinion ne cesse de se poser des questions sur « ce que ces supposés néo-leaders de l’opposition et ex-hiérarques de l’Etat ont pu faire des fonds publics dégagés jadis pour la réalisation de toutes les infrastructures sanitaires, scolaires, sportives, routières, aéroportuaires, portuaires, ferroviaires, énergétiques, hydrauliques, de communication et des télécommunications programmées pour la modernisation du pays. »

Sans oublier que, dans ce faux débat que veulent entretenir ces néo-opposants, l’on comprend mal pourquoi ceux-ci n’édifient pas les citoyens gabonais sur la destination prise par les différents fonds qu’allouait annuellement l’Etat pour la réalisation des diverses infrastructures de développement inscrites dans le cadre de la célébration des « fêtes tournantes de l’Indépendance ».

Lesquelles infrastructures devaient, selon feu le président Omar Bongo Ondimba l’initiateur de ces fêtes tournantes du « 17 août », « promouvoir les meilleures conditions d’embellissement et de modernisation de tous les centres urbains du pays ainsi que d’aménagement harmonieux global de l’ensemble du territoire national. »

Le tout assorti de la consolidation des bases d’un développement intégral, équilibré et durable de la totalité des provinces, départements et communes que compte le Gabon.

Aussi, c’est donc toute honte bue que les néo-opposants Myboto, Mba Obame, Eyéghé Ndong, Oyé Mba, Bourdès Ogouliguendé, Maganga Moussavou et consorts assistent à la reprise effective desdits projets par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Lequel les met efficacement en oeuvre, fait avancer les travaux sur les chantiers et les réalise au fil des temps.

L’actuel président de la République parvenant ainsi à réussir brillamment là où les Myboto et autres ex-hiérarques de l’Etat avaient visiblement et lamentablement échoué. Alors, que ceux-ci sont sans vouloir tricher avec la vérité des faits que le peuple gabonais connaît très bien.

En tout état de cause, leurs grossiers mensonges et vaines tentatives de s’approprier de manière éhontée une supposée paternité des anciens projets, initiés par feu Omar Bongo Ondimba et réalisés actuellement par l'actuel présiden t Ali Bongo Ondimba ne les épargneront nullement du mépris des Gabonais.

De même qu’avec l’issue que prendront la fin et la publication des résultats des différents audits commis sur la gestion antérieure des grands chantiers du Gabon, les sieurs Myboto, Eyéghé Ndong, Mba Obame, Oyé Mba et bien d’autres qui étaient aux affaires, ne manqueront pas de répondre de leurs actes peu élogieux et posés à l’époque.

Toujours est-il qu’ils ne perdent rien pour attendre le moment où les conclusions de tous ces audits vont mettre à découvert tous ceux et celles qui, de près ou de loin se sont rendus coupables de malversation dans la gestion ancienne des avoirs financiers, des biens matériels, du patrimoine immobilier ou des projets de l’Etat.


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Gabon: Insalubrité urbaine , rompre avec le laxisme d’antan

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Actuellement et plus que par le passé, plusieurs grands centres urbains de notre pays croulent sous le poids de l’insalubrité et ce, particulièrement Libreville la capitale gabonaise.

Principal responsable de cette triste situation et selon plusieurs observateurs: « le patent laxisme dont font preuve certaines administrations publiques face à l’incivisme des citadins et aux défaillances des prestataires de services commis à la tâche de collecter, traiter et valoriser les ordures.»

Et à l’évidence, il aura fallu la récente descente sur le terrain effectuée inopinément par le président Ali Bongo Ondimba, à travers certaines rues de Libreville et au marché Mont-Bouet, pour que des dispositions soient prises en vue de faire changer les choses.

Au demeurant, c’est à faveur d’une interpellation du ministre délégué à l’Intérieur, M. Aimé Popa Nzoutsi Mouyama, à l’Assemblée nationale, que l’on a appris que, « sur instruction du président de la République, le gouvernement va mettre en oeuvre un plan d’urgence destiné à débarrasser Libreville de ses tas d’immondices enlaidissant la capitale nationale. »

Un plan d’urgence dit de 3ème génération, financé par l’Etat et mettant à contribution plusieurs opérateurs économiques, Organisations non gouvernementales ainsi que les forces de défense et de sécurité.

Ce dans la mesure où, pour certains, « la mairie de Libreville et la Société de valorisation des ordures ménagères du Gabon (SOVOG) ont largement étalé leurs limites dans la jugulation de l’insalubrité et l’embellissement d’une ville qui ne fait que s’étendre davantage. »

Aussi, un tel plan d’urgence ne peut prospérer durablement que si les différents acteurs impliqués réussissent à rompre réellement avec les attitudes laxistes d’antan.

Lesquelles se traduisaient par le fait que les autorités municipales n’arrivaient pas à rappeler à l’ordre ou à sanctionner tous ceux qui enlaidissent la ville.

Notamment, les populations qui jettent leurs ordures ménagères hors des bacs et ne nettoient pas les abords de leurs habitations. Idem des commerçants et marchandes qui vendent sur les trottoirs et n’entretiennent pas ceux-ci.

Tout comme les garagistes, menuisiers, frigoristes et autres artisans déversant leurs ordures solides sur les bascôtés des voies publiques ou dans les caniveaux et canaux d’évacuation des eaux.

Autre acteur important dans la mise en oeuvre de ce plan d’urgence: l’Etat gabonais qui doit revoir de fond en comble l’ancienne convention signée avec la SOVOG et diversifier ses partenaires dans la gestion des ordures au niveau des communes voisines de Librevi l le et d’Owendo.

Car, au stade actuel et sans matériel qualitativement et quantitativement conséquent, la seule SOVOG ne peut plus donner entière satisfaction.

De même que, la décharge de Mindoubé étant actuellement saturée, l’Etat et la municipalité doivent tout faire pour octroyer aux sociétés concernées des terrains où elles pourront déverser, traiter ou valoriser l’ensemble des ordures ménagères et déchets solides collectés.

Encore que dans ce cadre précis, un accent particulier doit être mis désormais sur le volet lié à la valorisation des ordures et ce, en vue de transformer celles-ci en engrais et autres produits marchands propices à la diversification économique.

Autant dire que les instructions du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba doivent être respectées à la lettre, étendues à toutes les villes gabonaises et traduites dans les faits le plus rapidement possible.

Ce afin que nos centres urbains retrouvent leurs lustres d’antan, se développent harmonieusement et préservent les populations locales de tous risques de fléaux sanitaires suscités par l’insalubrité publique.

Reste en fin à ce que l’Etat et les autorités municipales mettent de plus en plus la pression sur les entreprises commises à la réalisation des travaux d’aménagement des divers bassins versants et autres canaux destinés à faciliter l’écoulement des eaux et à éviter les inondations.


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31/10/2012

Gabon: 2,7 milliards ont été octroyés cette année à l’Office pharmaceutique national pour l’achat de médicaments.

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Libreville le 31 octobre 2012 : 2,7 milliards ont été octroyés cette année  à l’Office  pharmaceutique national pour l’achat de médicaments. Ce budget en nette augmentation par rapport aux années précédentes participe de l’ambition  du Président de la République de doter les structures sanitaires publiques  de médicaments en nombre suffisant afin de couvrir les besoins et assurer la prise en charge des malades.

Pour palier les dysfonctionnements à l’origine de la pénurie des médicaments dans les services publics de santé, l’Office pharmaceutique national, principale centrale d’achat de médicaments et de matériel médical essentiels au Gabon, a vu sa dotation budgétaire pour l’achat des médicaments passer de 1,3 milliard en 2011 à 2,7 milliards de franc CFA en 2012. 

 

Ce renforcement des dotations en médicaments de l’Office  vise d’une part à répondre efficacement aux besoins des 650  structures sanitaires publiques, et d’autre part, à  pérenniser   la politique de distribution gratuite du médicament sur l’ensemble du territoire.



L’Office réformé pour une plus grande efficacité

 

Le décret  de novembre 2011 portant réorganisation de l’Office pharmaceutique national renforce  désormais  son rôle de centrale d’achat des médicaments, tout en lui accordant  la personnalité juridique ainsi que l’autonomie de gestion administrative et financière.

Dans le même temps, la structure de l’OPN est passée d’une simple direction à une direction générale, donc plus étoffée, pour satisfaire aux exigences  des nouvelles missions qui lui sont assignées. Une nouvelle équipe, constituée de jeunes cadres compétents, a été désignée pour accompagner cette entité  stratégique dans la mise en œuvre de la politique sanitaire du pays.

 

L’Office garantira la disponibilité des médicaments et des dispositifs médicaux essentiels dans les structures sanitaires, veillera au respect des normes de qualité, contrôlera étroitement  le suivi de la qualité des médicaments et assurera la formation continue du personnel gestionnaire des médicaments.

 

L’office Pharmaceutique National a pour objectif final une meilleure distribution des médicaments sur l’ensemble du territoire gabonais afin d’assurer l’accès aux médicaments à bas prix pour tous. L’intention est que l’Office puisse à terme alimenter à hauteur de  80% les structures de santé publiques.

L’office pharmaceutique national  est aussi chargé de la gestion des stocks liés aux programmes de distribution d’antirétroviraux et de traitement de la tuberculose. En fonction des budgets, ressources et recommandations qui lui sont donnés, l’office achète et distribue les traitements dans les centres.

Afin de créer une structure viable et pour améliorer l’approvisionnement, l’Office souhaite que la gratuité des médicaments devienne une exception. Le prix des médicaments restera faible et inférieur à celui pratiqué par les centrales d’achat privées mais permettra de créer un fonds de roulement pour assurer les commandes et la distribution. Il s’agit pour l’Office de dépendre moins des budgets de l’Etat et de gagner en autonomie et en efficacité.

 

Politique sanitaire et sociale  du Chef de l’Etat



L’accès aux soins de qualité pour tous, la bonne gestion des prestations sociales et l’amélioration du niveau de vie sont autant de projets portés par la politique de développement du Président de la République.

Les principaux hôpitaux du pays ont été rénovés ou sont en cours de rénovation, des centres hospitaliers spécialisés ont été construits, des réformes pharmaceutiques sont en cours et l’assurance maladie s’est élargie  à 600 000 bénéficiaires.

Le « Plan Santé et protection sociale » consiste à restructurer les services hospitaliers publics, améliorer la qualité des soins, renforcer  l’accès aux soins spécialisés, garantir la bonne distribution des médicaments et  assurer la prise en charge des malades.L’Office, instrument stratégique dans la réalisation de ce plan, devrait ainsi  voir son budget d’achat de médicaments pour l’année 2013 porté à 3 milliards de franc CFA.


Fin


Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com


La politique du Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.

La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.

Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org


 

 

25/10/2012

UN GABON BILINGUE : POUR BOOSTER LES LEVIERS DE L’ÉMERGENCE

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Dans sa conférence de presse hebdomadaire, le Porte-parole de la Présidence de la République, M. Alain-Claude Billié-Bi-Nzé, a annoncé la décision des autorités gabonaises d’adopter l’anglais comme deuxième langue de travail.

Le Gabon intègre de fait le club très réduit de pays africains bilingues.

Quelques jours seulement après cette déclaration, le Président de la République, Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, était reçu à Kigali, par son homologue rwandais, Paul Kagamé. Celui-ci est, du reste, considéré à ce jour comme le chantre du bilinguisme en Afrique francophone.

Ces deux événements concomitants témoignent de la ferme volonté de notre pays de s’engager plus avant dans sa recherche d’un environnement linguistique plus large et plus prometteur, capable de servir de levier à la mise en place d’une société et d’une économie du futur imaginée par le Président de la République Ali Bongo Ondimba, dans un Gabon émergent, à la hauteur des enjeux du 21ème siècle.

Dans l’annonce qui a été faite, il ne s’agit pas d’abandonner l’usage de la langue française, il s’agit de lui adjoindre l’emploi de la langue anglaise, considérée à ce jour, comme la deuxième langue la plus parlée au monde après le mandarin, en usage en Chine, qui compte plus d’un milliard de locuteurs.

Placée en neuvième position, la langue française se présente, pour sa part, comme l’un des principaux liens entre les divers groupes linguistiques du Gabon, puis comme élément moteur de communication entre les Gabonais et le monde extérieur.

Il apparait évident, et tous les Gabonais le comprennent et l’y encouragent, que le Président de la République ambitionne de se donner les moyens de son époque.

Son programme politique et social, qui est résumé dans le slogan « Gabon émergent », lui impose de trouver des outils de travail modernes et contextuels. La langue de travail constitue de ce fait, un important levier dont il faut se servir.

Dans le Gabon émergent souhaité par le Président Ali Bongo Ondimba, il est important que chacun exprime librement son point de vue, sans restriction ni entrave, et s’approprie celui des autres dans les mêmes conditions, sans intermédiaire.

Or, dans la situation actuelle, les hauts fonctionnaires invités dans des forums de haut niveau, éprouvent de réelles difficultés à prendre part aux travaux lorsque ceux-ci sont déclinés dans une autre langue que le français ; de même, la plupart des étudiants gabonais consacrent leur première année à se perfectionner en anglais dès qu’ils sont appelés à poursuivre leurs études dans un pays anglophone.

C’est, par exemple, leur menu en Afrique du Sud ou au Ghana, où séjournent d’importants contingents d’étudiants gabonais.

Depuis près de trois ans de pouvoir, le Président tisse inlassablement des partenariats avec des opérateurs économiques de tous les horizons, les invitant à s’implanter au Gabon.

Certains d’entre eux, jusque-là éloignés par des barrières linguistiques, voudront maintenant franchir le pas en venant investir massivement dans notre pays, chose qu’ils ne pouvaient pas jusque-là à cause, justement, de la barrière que constituait le mono linguisme.

L’usage de l’anglais va contribuer désormais à lever la restriction injuste érigée à l’encontre du Gabon, en raison de ce système obtus de communication, dans le domaine du flux des capitaux.

Le défaut de locuteurs anglais dans des emplois de type primaire explique en partie cette situation ; il empêche notamment des embauches massives de personnels locaux.

Le tourisme, principalement l’hôtellerie, en souffre cruellement alors que certains autres secteurs, comme celui du pétrole par exemple, ressentent cette insuffisance de façon mineure, car l’usage de l’anglais y est souvent exigé comme un des principaux critères d’embauche.

On perçoit, dès lors, toute la valeur qui s’attache à l’usage de l’anglais comme langue de travail. L’anglais est désigné généralement comme la langue idéale du commerce et des sciences.

Le cas du Cambodge est patent à cet égard. Pays francophone, la fin des guerres dans la région (le Vietnam contre les Etats-Unis, par exemple) a suscité un engouement formidable des investisseurs anglo-saxons dans les économies voisines du Cambodge, de telle sorte que ses ressortissants, locuteurs français à l’origine, s’adonnèrent massivement à l’apprentissage de l’anglais pour décrocher un emploi dans ces pays avoisinants, majoritairement d’expression anglophone.

Aujourd’hui, l’économie cambodgienne est davantage tournée vers un emploi massif de locuteurs anglais. On la dit dynamique et en forte croissance, comme l’ensemble des économies de cette région du monde.

De même en France, la totalité des chercheurs s’expriment et publient en anglais ; les hommes politiques français, pour se faire entendre en Angleterre ou aux Etats-Unis, doivent s’escrimer pour tenir une conversation dans la langue de Shakespeare, de telle sorte que la presse française s’inquiétait déjà de ce phénomène il y a plus de dix ans.

Nous-mêmes, avions au Gabon, un francophile avéré, en la personne de feu Omar Bongo Ondimba, qui a pris part à tous les sommets de l’O.I.F. (Organisation Internationale de la Francophonie) et défendu chaque fois que possible, le développement de la langue française dans notre pays.

Cependant, il n’a jamais empêché la pénétration de l’anglais au sein de notre système éducatif. Au contraire, une multitude d’écoles privées bilingues sont sorties de terre et plusieurs d’entre elles ont pignon sur rue aujourd’hui dans notre pays. Tandis que dans les établissements publics, l’enseignement de l’anglais se poursuivait mais demeurait à un niveau largement en dessous de la moyenne.

Un pays voisin, le Cameroun, est foncièrement bilingue depuis son indépendance. Le dynamisme de ce pays dans la sous-région de l’Afrique centrale est très connu ; il est sans doute la conséquence de cette double culture française et anglaise.

On le voit, l’usage de l’anglais apporte un plus extraordinaire ; et, comme dit l’adage, il vaut mieux en effet disposer d’un 4X4 et ne pas avoir à s’en servir, que de ne pas en avoir du tout au moment où on en a besoin.

Les opportunités d’emplois au moment où le Gabon s’engage résolument sur la voie de développement, la facilité pour les étudiants et les hommes d’affaires ou les hommes politiques de se documenter ou de communiquer dans des instances de haut niveau, apportent la perspective d’un réel recul des frontières de la communication mono linguistique. Il s’instaurera alors avec l’autre, de nouveaux rapports de fraternité et d’amitié chers au Chef de l’Etat.

Les investisseurs s’intéresseront véritablement à notre économie et le Gabon boostera, assurément, son décollage vers l’émergence.


16/03/2012

GRÈVE UOB : COMMUNIQUÉ DU GOUVERNEMENT GABONAIS ...

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La vision de Monsieur le Président de la République, Chef de l'Etat, son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, de faire du Gabon un pays émergent, place l'éducation, l'enseignement, la formation et la recherche comme principaux vecteurs d'une réelle valorisation du capital humain.

C'est dans cette optique, que depuis son accession à la Magistrature suprême, en Octobre 2009 d'importants efforts sont déployés à la fois, pour moderniser les infrastructures scolaires et universitaires ainsi que les équipements, comme pour l'amélioration du statut social des enseignants et des mesures de nature à améliorer le niveau d'études des élèves et des étudiants.

En ce qui concerne les infrastructures et les équipements scolaires et universitaires, toutes les Gabonaises et tous les Gabonais se souviennent encore, comme si c'était hier, de l'inoubliable discours à la nation, du Président OMAR BONGO ONDIMBA, le 2 décembre 2007, lorsqu'il fustigeait ceux qui ont été à l'origine de la déstructuration épouvantable de l'ensemble du système éducatif national au même titre que le système de santé et les infrastructures routières, comme la gestion désastreuse des fêtes tournantes.

Mais depuis octobre 2009, notamment avec le lancement de la phase 1 du plan d'urgence éducation Gabon émergent, les universités, lycées et écoles sont en voie de modernisation, d'arrimage aux standards internationaux. L'on peut constater des progrès importants :

- à l'Université Omar BONGO ONDIMBA ;
- à l'Université des Sciences de la Santé ;
- à l'Université des Sciences et Techniques de Masuku ;
- aux lycées Nelson MANDELA, Léon MBA et Paul INDJENDJE GONDJOUT, ainsi qu'aux écoles primaires de Mont-Bouët I et II et à Kinguélé ;
Les neuf (9) Lycées provinciaux et dix sept (17) Collège d'Enseignement Secondaire
transformés en Lycées sont également concernés par cette phase I.

S'agissant des enseignants :

- la Prime d'incitation à la Fonction Enseignante (PIFE) a été élargie à tous les enseignants ;
- soixante quinze (75) enseignants du primaire sont envoyés au Ghana pour la formation des formateurs en didactique de l'anglais à l'école primaire, conformément aux Etats Généraux de l'Education ;
- la formation des didacticiens en initiation de l'informatique à l'école primaire a déjà touché toutes les provinces ;
- les vacations aux examens et concours scolaires se payent désormais sans accuser d'arriérés d'année en année ;
- les vacations des enseignants du supérieur ont été substantiellement revues à la hausse;
- des nouvelles améliorations des revenus des enseignants chercheurs et des chercheurs ont été décidées par le Président de la République, chef de l'Etat, et le processus de leur mise en œuvre par le Gouvernement est très avancé.


En ce qui concerne les étudiants :

- la dotation de restauration des étudiants a été augmentée depuis 2010 pour l'ensemble des trois (3) Universités de Libreville, d'Owendo et de Franceville ;
- les résidences estudiantines des trois (3) universités ont été réhabilitées. L'un des pavillons de l'UOB, est désormais modernisé aux normes hôtelières ;
- le montant des bourses de chaque étudiant a été augmenté de 25 % au Gabon et de 10 % à l'étranger.


A
ussi, pour la seule année 2011, l'Etat a-t-il payé au titre de la bourse des étudiants, la somme de 39 milliards 200 millions de francs CFA dont 5 milliards 200 millions pour les élèves du secondaire.

En outre, le Président de la République, Chef de l'Etat, son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, informé que certains étudiants en situation de réussite, avaient perdu le droit à la bourse pour motif de limite d'âge, a décidé d'accompagner ces jeunes compatriotes sur deux (2) ans, afin de leur permettre de terminer leur cursus en mettant en place un Fonds de Soutien aux Etudes de ces derniers, soit 961 étudiants qui ont postulé pour la seule Université Omar BONGO.

Malgré toute cette volonté manifeste, traduite par des réalisations concrètes, force est de constater que certains enseignants chercheurs notamment au sein de la Faculté de Droit et des Sciences Economiques, soit par volonté de rétention aux desseins inavoués, soit par négligence, ont retardé la communication des notes pour calcul des résultats à transmettre à l'Agence Nationale des Bourses du Gabon (ANBG), avant de distiller dans l'opinion publique et particulièrement auprès des étudiants, des informations subversives sur le non payement des bourses.

En effet, comment expliquer que seule une Faculté, la Faculté de Droit et des Sciences Economiques, qui soit la seule de toutes les Facultés à se singulariser en transmettant les résultats des étudiants à l'ANBG pour l'année 2010-2011, seulement le 29 décembre 2011 rendant ainsi, laborieux, le travail de l' ANBG et surtout précarisant la plupart des étudiants de ladite Faculté.

Toutes les vérifications sur cette question seront faites et le Gouvernement avisera conformément aux lois et règlements applicables en la matière.

Dans le même temps, un groupe d'étudiants instrumentalisés à souhait, sous prétexte de retard dans le payement des bourses aux bénéficiaires du Fonds de Soutien Spécial aux Etudes, sont auteurs des troubles à l'ordre public au sein de l'UOB, de tentative de destruction des biens de l'Etat, d'atteinte à l'intégrité physique des dirigeants de l'Université, des enseignants et de la quasi-totalité des étudiants.

Leur seul tort serait, pour les uns d'être dans les salles de cours et pour les autres d'être à leur poste de travail.

Un tel amalgame ne saurait être recevable. En effet, tous les étudiants de l'Université Omar BONGO, postulants au Fonds Spécial de Soutien aux Etudes, sont conscients que leurs dossiers n'ont été transmis à l'ANBG que le vendredi 2 mars 2012 ; soit seulement onze (11) jours avant le déclenchement de leur mouvement d'humeur.

Plus grave, les neuf (9) instigateurs identifiés, ne sont pas éligibles à ce Fonds car, c'est pour ce motif qu'aucun des neuf n'a déposé de dossiers, parce que en situation d'échec.

Preuve supplémentaire de leur mauvaise foi, l'un d'eux n'est plus étudiant à l'UOB car exclu depuis l'année 2010.

Il s'agit d'un ensemble de comportements répréhensibles qui ne peuvent s'accommoder à une ère de consolidation de l'Etat de Droit.

En effet, conformément aux dispositions du Code Pénal, les faits ainsi énumérés qualifiés de violence et voies de faits, de coups et blessures volontaires et de destruction volontaire de biens publics exposent leurs auteurs à des poursuites pénales.

Les enquêtes sont en cours en vue d'établir les responsabilités


C'est sur le fondement de ces faits et des règles de Droit, que le Gouvernement de la République a pris un ensemble de mesures de nature à sauvegarder la scolarité des étudiants assidus et déterminés à poursuivre leurs études, à assurer leur sécurité ainsi que celle de tous les enseignants toujours dévoués à la chose publique.

Dans ce sens, suite à la levée des franchises universitaires par le Recteur, le Procureur de la République, assisté des Forces de Sécurité est rentrée à l'UOB pour constater tous les cas d'atteinte à la loi.

Les Forces de Sécurité, après avoir dispersé les manifestants, parmi lesquels plusieurs ont été identifiés comme n'étant pas étudiants ou pas en âge de le demeurer, ont libéré les autorités séquestrées et ont rétabli l'ordre dans tout le domaine universitaire.

Les Forces de Sécurité ont pour mission de veiller à la sécurité des enseignants, des étudiants et d'autres personnels et usagers de l'UOB qui peuvent, à chaque fois, les solliciter en tant que de besoin.

Enfin, la Justice a été saisie du dossier pour dire le droit.

Fait à Libreville, le jeudi 15 mars 2012

P. Le Gouvernement de la République
Le Ministre Porte Parole du Gouvernement


Ida RETENO ASSONOUET



MICHEL OGANDAGA  https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA



15/03/2012

HONTE A CES ETUDIANTS GABONAIS QUI N'ÉTUDIENT PAS ALORS QU'ILS SONT LES PLUS GÂTÉS DE TOUTE L'AFRIQUE .

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Si la démocratie prône la liberté des individus, il y en a qui savent bien valoriser la leur.

Depuis presque une décennie, une confusion semble s'être installée à l'université omar bongo de libreville, où une année académique s'étend désormais sur autant d'années que veulent les étudiants – surtout pas une seule !

Pour un oui ou pour un non, des grèves se succèdent et on pourrait ironiquement se demander si la grève n'est pas le principal cours dispensée dans cette institution académique, et surtout le cours le mieux assimilé.

Aujourd'hui les écoles privées sont en train de démontrer leur compétitivité à travers la qualité des lauréats qu'elles mettent sur le marché du travail, alors que les étudiants de l'UOB s'enlisent dans des revendications interminables qui excluent celle qui devrait être la plus légitime, c'est-à-dire celle d'étudier.

Faudrait-il alors les appeler des étudiants de l'université ou bien des grévistes de l'université?

Les étudiants du secteur privé paient tout et acceptent volontiers de maximiser toutes leurs énergies afin d'atteindre leur ultime objectif : le diplôme. Et ils y réussissent au moment où l'Etat paie tout pour ceux du public qui ne veulent pas étudier.

Ici nous ne globalisons pas car nous avons du respect pour ceux-là (et ils sont nombreux) qui voudraient bien étudier et qui se retrouvent pris en otages par les récalcitrants.

Sachant qu'un étudiant Gabonais touche une bourse mensuelle d'environ 80 .000 francs , que dira alors ce fonctionnaire , chef de ménage qui paie le loyer, l'eau, l'électricité, les frais scolaires des enfants et autres à charge, la ration alimentaire etc. pour toutes ces personnes à sa charge ainsi que d'autres obligations sociales avec les salaires que nous connaissons ?

Nous ne devons pas ignorer que le Gabon entre pleinement dans la compétition internationale et qu'il y rejoint des pays qui sont très avancés en matière d'éducation, et donc très compétitifs sur le marché de l'emploi. Il suffit d'aller dans les rencontres avec des ressortissants de ces pays. Quand on passe aux présentations, c'est Dr tel, Dr tel, Dr tel…, rarement Dr pour un Gabonais.

Ceci nous interpelle à redoubler d'efforts pour rattraper les autres au lieu de poursuivre la récréation des temps de la guerre et de développer des stratégies pour affronter la police comme c'est le cas aujourd'hui à l'université omar bongo de libreville.

Mais ceci ne pourra jamais se réaliser avec des diplômes de licence en 8 ans et des doctorats en 15 ans.

Les efforts fournis par le Président Ali Bongo Ondimba à l'attention des étudiants Gabonais sont considérables , entre autre , on notera en
septembre 2011 , sa participation à titre personnel en fond propre un financement de trois milliards de francs CFA destinés à la construction de nouvelles résidences étudiantes aux normes modernes , à raison d'un milliard pour l'Université des Sciences de la Santé ( USS ) et un milliard pour l'Université des Sciences et Techniques de Masuku ( USTM ), le reste étant consacré à la réhabilitation des chambres de l'UOB.

D'autre part ,
le 16 août 2011 , première année de mise en oeuvre des conclusions des Etats Généraux de l'Education de mai 2011, on retiendra :

1) 
L'augmentation du montant de l'allocation d'études de 10% pour les étudiants inscrits à l'étranger ;

2)
L'augmentation du montant de l'allocation d'études de 25% pour les étudiants inscrits localement ;

3)
La création de la bourse du mérite ;

4) L'apport d'une dotation spéciale de un million ( 1.000.000 ) de francs CFA , par doctorant , en plus du trousseau scolaire ;

5) La mise à disposition d'une enveloppe de 5 milliards FCFA , pour les ayants droit à la PIFE qui ne l'ont pas perçue ;

6) Le règlement de la prime d'incitation à la recherche (PIR) pour le 3ème trimestre 2011 et une mise à disposition des fonds nécessaires pour le 4ème trimestre 2011 ;

7) L'harmonisation de l'indemnité de logement pour les enseignants expatriés ;

8) L'octroi des postes budgétaires aux enseignants diplomés de l'ENS issus de la promotion 2009-2010 ainsi que 2011 ;

9) L'intégration dans la Fonction Publique des moniteurs auxiliaires ;

10) La mise en place d'une Agence comptable au sein du Ministère de l'Education Nationale , pour l'ensemble des établissements scolaires ; Le règlement de la prime d'éloignement prévue par la loi depuis 1993 mais qui n'était jamais rentrée en vigueur ;

11)
L'octroi aux enseignants de rang magistral et aux médecins spécialistes, de divers avantages , en adéquation avec leur parcours académique, en leur conférant un statut spécial ;


Quand aux travaux en cours de réalisation , le processus est le suivant :

Phase 1a : Rentrée 2011, date butoir de livraison le 22 novembre 2011 :

Pour l'UOB , l'USS , l'USTM , l'ENS , l'ENSET , et les ENI de Libreville et Franceville , ainsi que le Lycée National Léon MBA , le Lycée Paul INDJENDJET NGONDJOUT, le Lycée Nelson MANDELA , les Ecoles Primaires de Mon-bouet 1 et 2 , les neufs Lycées provinciaux et les CES transformés en Lycées en 2010 :

- Sécurisation des acces, signalisation et aménagements extérieurs ;

- Augmentation des capacités d'accueil des élèves et étudiants en salles de classes , et en bureaux des chefs de départements à l'aide des structures temporaires ;

- Sécurisation de l'acces à l'électricité , à l'eau et aux équipements sanitaires ;

Phase 1b : date butoir : 1 janvier 2012

- Augmentation de la capacité d'accueil en hébergement ;

Phase 2 : septembre 2012-2013

- Modernisation des bâtiments existants ;

Augmentation des capacités d'accueil en hébergement , salles de classe et bureaux , avec des installations permanentes ;

- Réhabilitation des réseaux électriques , eau et assainissement ;

Phase 3 : Rentrée 2012-2016

- Nouveaux établissements du Pré-Primaire, Primaire, Secondaire et Supérieur , ainsi que nouveaux Centres de recherche.


RAPPEL IMPORTANT :

Dès la rentrée scolaire 2011, le Chef de l'Etat , Ali Bongo Ondimba , avait décidé d'accorder :

1) Une bourse du mérite d'un montant de 166 000 CFA au Gabon pour tout étudiant ayant au minimum une moyenne de 13/20 .

2) Une bourse de l'émergence d'un montant de 332 000 CFA au Gabon pour tout étudiant ayant au minimum une moyenne de 15/20 .

3) Une allocation de recherche annuelle , d'un montant de 1 million de F CFA , en plus du trousseau scolaire , pour chaque étudiant préparant un doctorat.

Pour le Chef de l'Etat , Ali Bongo Ondimba , la principale matière première du Gabon doit être la matière grise.

 

MICHEL OGANDAGA  https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

 

INTERVIEW DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE GABONAISE , ALI BONGO ONDIMBA , SUR FRANCE 24 .

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Le président Ali Bongo Ondimba s'est livré à une interview avec Alain Foka de Radio France internationale (RFI). L'entrevue a été diffusée ce mercredi 14 mars 2012 sur France24 .

Alain Foka : Dernière actualité au Gabon avec la nomination d'un nouveau gouvernement avec un nouveau Premier ministre. Un gouvernement plutôt réduit mais où ne rentre pas l'opposition, c'est la fin de la réconciliation, c'est la fin du dialogue ?

Ali Bongo Ondimba : D'abord concernant le gouvernement, il est important de noter effectivement que tel que nous étions engagés, nous avons procédé à une réduction des membres du gouvernement. En fait, depuis 2008 on peut dire que nous sommes passés de plus 40 ministres à moins de 30 ministres. C'est quelque chose qui était attendu et c'est ce que nous avons fait. À chaque période correspond un type de gouvernement. Pour nous, il était important qu'après les législatives nous puissions mettre en place une équipe plus restreinte mais que je veux beaucoup plus performante et qui puisse permettre d'accélérer tous les programmes que nous avons en cours.

Est-ce la fin du consensus, ou de la réconciliation ? Parce que là, il n'y a aucun membre de l'opposition

Juste après les élections présidentielles, j'ai tendu la main comme vous le savez bien. Moi, j'ai fait ce geste-là. J'ai invité tout homme, toute femme politique à venir nous retrouver pour mettre en place le programme pour lequel je m'étais présenté pour solliciter les suffrages de mes compatriotes. Lorsque nous avons organisé les dernières législatives, à notre grande surprise nous avons vu qu'un certain nombre de mouvements, parmi lesquels l'opposition, réclamaient le boycott. Dieu merci il n'y en a pas eu.

Cependant il y a eu 65 % d'abstention

Monsieur Foka, vous êtes un observateur de la question politique en Afrique, vous pouvez aisément vérifier que depuis plus de 20 ans au Gabon comme partout ailleurs, nous avons des taux de participations qui sont faibles et nous le déplorons, mais c'est ainsi. La dernière élection législative que nous avons eue à organiser dans notre pays ne déroge pas à la règle. Les taux sont les mêmes et parfois par rapport aux élections antérieures ces taux sont supérieurs au niveau de la participation, donc il n'y a rien d'extraordinaire.

Pour vous 34 % de participation c'est normal à une élection législative ?

Je ne dirai pas que c'est normal. Moi, je souhaiterais plus de participation, mais c'est un phénomène que nous observons sur toute l'Afrique et ailleurs. Beaucoup de personnes vont moins aux urnes. Dans la cadre purement gabonais, nous avons noté que ce chiffre est en légère hausse par rapport aux dernières élections.

On a vu partir pas mal de barons du régime de l'époque de votre père. Le fils en a assez de travailler avec les anciens, avec les proches de son père ? Vous voulez effacer la période Omar Bongo Ondimba ?

Il est impossible pour nous d'effacer cette période. Comme je vous l'ai indiqué, le gouvernement actuel répond à un souci qui est, normalement et pour moi, principal pour l'attente des Gabonais, celle de voir ce gouvernement accélérer les réformes.

Ceux-là n'étaient pas capables d'accélérer les réformes ?

Non, je ne dis pas qu'ils n'en étaient pas capables. Mais je dirai qu'aujourd'hui pour certains, après un certaintemps passé aux affaires, ils pourront se consacrer à autre chose. Ce n'est pas surprenant que certains quittent le gouvernement. D'autres de la période que vous citez sont encore là. En plus de cela, j'avais autour de moi des collaborateurs qui sont aujourd'hui, à la présidence, ma garde rapprochée. Je ne me suis pas totalement coupé des barons de la période de mon père comme vous le dites. Au titre de ses collaborateurs, je suis le premier, je suis bien là .

Aujourd'hui, votre principal opposant, André Mba Obame, se trouve en exil, loin du Gabon. Est-ce que, maintenant que vous êtes légitimé, que vous avez un gouvernement, que vous vous êtes fait élire, que la paix est revenue, que vous dites que vous êtes démocrate, il peut regagner le Gabon ?

Nous sommes en paix au Gabon. C'est vous qui parlez d'exil. Vous a-t-il dit qu'il était en exil ? À ma connaissance, il n'est pas en exil.

Vu les conditions dans lesquelles il est parti…

Les conditions réelles pour lesquelles il a quitté le territoire relèvent de problèmes médicaux.

Tout le monde sait bien que ce n'était pas seulement pour des raisons médicales qu'il est parti. Il y a aussi des raisons politiques.

Pourquoi ? Était-il pourchassé, inquiété ?

Il a dit qu'il était inquiété.

C'est lui qui l'a dit. En attendant, si vous allez consulter ses militants, on vous dira qu'il poursuit sa rééducation et lorsqu'il aura retrouvé l'aptitude de tous ces moyens physiques, je ne doute pas qu'il revienne au Gabon. Et pour le connaitre un peu, je sais que c'est quelqu'un qui aime l'action.

Donc vous l'attendez ?

Moi principalement non, mais je sais que ses militants l'attendent lui.

Il y a quelques semaines la police, en France, débarquait dans le logement d'un fils de président voisin, celui de la Guinée équatoriale, pour effectuer une formidable perquisition. On parle d'une caverne d'Ali Baba avec tout ce que l'on a retrouvé sur place, et l'avocat de Transparency international, dans l'affaire des biens mal acquis, a dit dans quelque temps peut-être vous aussi, vous serrez inquiété, parce qu'il y aura aussi une perquisition chez vous. Est-ce que vous viendriez si la justice française vous convoque ? N'avez-vous pas peur d'une perquisition chez vous ?

Voici des propos surprenants, car visiblement cette personne en sait plus sur moi que moi-même. Je n'ai aucune inquiétude dans la mesure où pour venir chez moi et perquisitionner, il faut que j'ai un chez moi. Je n'ai pas de biens en France.

Et tous ces appartements, tous ces hôtels particuliers, dont on parle, dont on diffuse des images à longueur de journée ? Vous ne pouvez quand même pas dire que vous n'en avez pas du tout ?

Monsieur Foka, je vous connais de réputation. Certainement avant de débarquer dans votre avion pour Libreville, vous aviez fait vous-même des investigations et je m'attendais plutôt à ce que vous me posiez des questions plus précises, du genre «et votre bien qui se trouve à tel endroit ? Et votre immeuble qui se trouve à tel endroit et votre maison qui se trouve à tel endroit ?» Or, ce n'est pas ce que vous faites. Ça veut simplement dire que vous avez vérifié et vous vous êtes rendu compte que je n'ai pas de biens en France.

Récemment on publiait dans un magazine parisien, les dépenses de votre épouse Sylvia Bongo, qui avait dépensé un million d'euros dans un magasin de luxe à Paris.

Vous voyez monsieur Foka que la méthode est toujours la même : on n'annonce que l'on va bientôt débarquer chez Ali Bongo, alors qu'on sait très bien qu'Ali Bongo n'a pas de biens en France. Mais bon, c'est le scoop. Ça fait bien pour vendre un peu de papier et susciter un peu l'attention, et après on parle des achats de madame Bongo, et on s'étonne qu'elle ait des cartes de crédit. Vous n'avez pas de carte de crédit, vous ?

Je ne peux pas dépenser un million d'euros.

Mais qui vous dit qu'elle a dépensé un million d'euros ?

Les chiffres sont là.

Lesquels et c'est de qui ? Je voudrais faire plusieurs observations à ce niveau là. D'abord, ce n'est pas un crime que d'avoir des cartes de crédit ; ce n'est pas un crime de dépenser de l'argent qu'on a proprement gagné et qui est le sien. A ce sujet je voudrais vous dire que ni madame Bongo, ni moi-même ne découvrons l'argent aujourd'hui. Nous avons travaillé. Mon épouse a travaillé plus de vingt ans et si un certain nombre de personnes faisaient un peu l'effort de venir au Gabon, ils se rendront compte que tous les Gabonais savent que nous avons travaillé. Nous n'avons pas, un jour, débarqué de la lune et découvert l'argent comme on veut bien le dire, et ce n'est pas vrai. Tout ceci n'est en fait qu'une campagne que je ne qualifierai pas, pour détourner l'attention des gens. Ali Bongo est un personnage public, il est aujourd'hui chef de l'État. Qu'on vienne le juger de par son action, et non aller chercher des petits superflus ici et là qui n'ont aucun intérêt à Libreville.

En plus j'aimerai faire remarquer, deuxièmement, nous avons été surpris de découvrir aujourd'hui qu'il existe un nouveau délit. On parle de délit de patronyme. Apparemment je ne porte pas le bon nom, si peut-être je m'appelais Ali Foka, je n'aurai pas les mêmes problèmes que j'ai aujourd'hui.

Mais vous n'auriez pas les mêmes avantages…

Monsieur Foka encore pour une fois, nous avons travaillé pour être là. Ce n'est pas arrivé par le fruit du hasard. Nous avons travaillé.

Pour vous, vous êtes victime du délire de patronyme ?

Je suis victime du délire de patronyme.

Vous n'avez pas peur de cette justice qui avance, puisque cette plainte, aujourd'hui, est recevable en France ?

Pourquoi devrais-je être inquiet ? Je le rappelle encore une fois, j'ai travaillé toute ma vie. Donc, je n'ai pas de crainte par rapport à une quelconque enquête que l'on puisse décider aujourd'hui. Je n'ai pas de biens en France, donc qu'est-ce que c'est ?

En une minute, monsieur le président, puisque le temps tourne très très vite. Nous avons vu venir ici successivement ces derniers temps, Jean Pierre Raffarin, Laurent Fabius. C'était pour la campagne ? Ils venaient chercher les fameuses valises de Bourgi ? Vous aussi vous en donnez ?

Vous voyez comment vous êtes !

Vous savez que c'était la tradition à l'ancienne époque et monsieur Bourgi l'a fait connaitre au grand public. Est-ce que cela continue monsieur Ali ?

Est-ce que, lorsque vous êtes venu me rencontrer, je vous ai donné quelque chose ? Est-ce qu'il est prévu que je vous donne quelque chose quand vous partirez ?

Je ne suis pas un homme politique.

Vous me parlez de tradition. Depuis que moi je suis président de la République, personne n'a vu une seule valise quitter le palais. Monsieur Raffarin et monsieur Fabius sont venus dans un cadre bien précis : un partenariat, un échange avec HEC Paris et dans un programme de partenariat avec notre école d'administration. Ce sont deux personnalités, deux anciens ministres, je les ai reçus. On a échangé nos vues sur la coopération et le partenariat qui existe entre nos deux pays. Il n'y a rien d'autre. Malheureusement, je sais que ce genre d'information ne fait pas scoop, ne fait pas vendre. Il est préférable de dire qu'ils sont venus et qu'il y avait pré-campagne. Ça ne ce passe pas comme ça et ça ne se passera plus comme ça. N'en déplaise à certains, qui, je sais, sont nostalgiques de certaines époques.

Merci monsieur le président

Merci .

 

 

 


MICHEL OGANDAGA  https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

 

PAPY OGOULIGUENDE ET SES COMPÈRES , LEUR MALADIE C'EST LA FOLIE !

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La récente déclaration de la nébuleuse coalition retraités politiques de l'opposition Régab de Nkembo et parti politique moutouki "ça suffit comme ça" est un signe qui ne trompe pas que les sorciers nocturnes incarnée à la fois par les perdants des élections de 2009 et de la soi-disant société civile, garde encore, la force illusoire de nuire à la détermination du peuple Gabonais dans ses efforts de développement du pays.

Depuis un bon bout de temps, cette opposition manioc à la fois antipatriotique et antidémocratique s'est engagé à lutter contre toutes les initiatives du Gouvernement à sortir le Gabon de l'immobilisme et du statu quo.

Les stratégies de ce gang sont bien connues. Combattre les initiatives, dénigrer , vilipender les réalisations les plus louables et salutaires du Gouvernement puis annihiler tout élan de progrès socio économique du pays.

Et curieusement, cette nébuleuse qui n'a pas honte de n'avoir rien contribué dans la transformation du Gabon par les Gabonais eux-mêmes semblait avoir réussi à embourber , un court instant , une infime partie de la gauche française dans la confusion et dans le refus.

C'est ainsi que nous avons eu il y a quelques temps des déclarations ubuesques de quelques égarés politiciens de gauche qui reprenait pratiquement toutes les revendications malhonnêtes et perverses de la société politico-civile Gabonaise. Justement parce que nos amis francais de gauche, par manque d'information, gardent la même révérence aux organisations de la société politico civile de chez nous comme à celles de chez eux.

Les organisations politico civiles se sont carrément substituées aux partis politiques aux lendemains de l'échec de certains gangs politiques lors de l'élection Présidentiellle de 2009.

Poussées par la déception, le mensonge et la perfidie, elles se sont transformées en véritables oppositions politiques. La suite de leur comportement a mis à nu la mutation subie et la profondeur de leur propre trahison.

Le gang ci-haut cité a changé de langage après la raclée : les résultats des élections de 2009 qui avaient été obtenus dans un environnement juste et transparent et à travers une compétition loyale qualifiée de politiquement mure et démocratique a viré à 180 degrés dans ses nouvelles considérations pour les qualifier de truqués, volés en ignorant les déclarations qu'elles avaient faites de concert avec le Clergé, les Observateurs nationaux et internationaux, les différents Représentants de la Société Civile, etc… L'arrogance a commencé à s'afficher dans leur condamnation du Gouvernement jusqu'à même renier la légitimité de celui-ci.


S'enfonçant de jour en jour dans le mensonge et la calomnie, la pseudo société civile masqué a joué trop bien le rôle qui était dévolu aux partis politiques qui étaient en débandade. Les déclarations entendues par les voies de leur médias haineux n'ont rien épargné pour diaboliser le Gouvernement issu des élections de 2009 allant jusqu'à le menacer de recourir à la force militaire pour le contraindre de quitter.


Voilà la véritable face des anti-patriotes et anti-démocrates qui se revêtent la peau des démocrates alors qu'ils sont les véritables fossoyeurs de la volonté populaire s'exprimant à travers les urnes. Elles ont trahi la population qui avait été mobilisée pour aller voter en faveur des ingrats qui par la suite ont jeté à la pâture leur électorat. Et pour leur prouver qu'elles avaient marre de les regarder en face, elles ont traversé les frontières à son insu pour entendre en retour des menaces de lui faire la guerre.


Si nos amis francais de gauche savait que la société civile et les perdants des élections viennent de passer plus de deux ans à chanter l'incivisme , à défendre des bandits avérés et pris la main dans le sac en les baptisant des militants des gang de l'opposition , s'ils savaient qu'il y a des membres des organisations de la pseudo société civile cagoulé qui, aux moments où l'écrasante majorité du peuple Gabonais était occupé à se construire de nombreuses infrastructures sociales, ont choisi de corrompre des étudiants pour sacager la ville, elle se serait d'abord tournée vers cette opposition sorcières aux intentions destructives et maléfiques avant de critiquer notre Président.


Logiquement, une opposition irresponsable qui passe tout le temps à semer la peur au sein de la population,  à étouffer les initiatives de développement des Gabonais en annonçant des catastrophes,  et qui, de surcroît, ignorent presque tout de ces milliers de chantiers à quoi les Gabonais sont occupés, que ce soit dans la construction des milliers d'infrastructures scolaires, sanitaires ; des stades modernes, des villas modernes qui vont finalement révolutionner la vie des Gabonais, les routes communautaires et autres, etc., voilà les gens qu'il fallait plutôt corriger.


Après avoir échoué à convaincre l'opinion nationale sur la nécessité du soulèvement populaire, les regressistes Gabonais réussissent de temps en temps à manipuler une certaine opinion de la gauche française .


Les organisations considérées par le monde extérieur comme constituant la société civile Gabonaise ont perdues définitivement toutes crédibilités aussi bien que la soi-disant opposition, à partir du moment où elles poursuivent des intérêts qui n'ont rien à avoir avec les aspirations premières du peuple , celles de la paix et l'émergence au premier plan.


Les unes sont à la chasse de l'argent au nom de la défense des droits de l'homme ; les autres veulent le pouvoir par tous les moyens, y compris les plus malhonnêtes et les plus inciviques.


D'aucuns sont convaincus que les moyens colossaux utilisés par les organisations les plus bavardes de la pseudo société civile dans des initiatives de diabolisation du pouvoir et dans les montages pourraient servir à développer de grands projets communautaires qui permettraient plutôt à des milliers de jeunes Gabonais d'accéder à l'emploi et préparer leur avenir.


Et s'il faut parler des corrompus dans notre pays, il faut au premier abord viser certains politiciens retraités de l'opposition Régab de nkembo, ainsi que les chefs de certaines organisations rebelles de la pseudo société civile. Il n'est plus question de passer sous silence ce mécanisme déguisé de détournement et de malversations économiques.


A considérer les pertes que l'Etat Gabonais enregistre chaque jour dues à la mauvaise langue de quelques retraités pseudos opposants malhonnêtes, on pourrait trouver facilement qui est en train de ronger notre pays, qui est le véritable ennemi de l'économie Gabonaise.


Ce sont eux qui empêchent les investisseurs de venir au Gabon par des déclarations folles de dictatures, de naissance de rébellions fantômes et j'en passe. Ce sont des anti-émergents.


Qui sème le vent récoltera la tempête ! Et qui sème la tempête récolte le tempo, disait un sage !!!!!

 

MICHEL OGANDAGA  https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

09/03/2012

Jeudi 8 mars 2012 - Journée internationale de la Femme : Pour Sylvia Bongo Ondimba l'égalité hommes femmes devient une nécessité

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En cette nouvelle Journée internationale de la Femme, dédiée cette année à « L'autonomisation des femmes rurales et leur rôle dans l'éradication de la pauvreté et de la faim, le développement et les défis actuels », j'ai le plaisir de vous réitérer mon engagement le plus sincère auprès de toutes les femmes à travers le monde et de mes sœurs gabonaises en particulier.

Chaque année, cette journée nous rappelle l'importance et la nécessité de promouvoir l'égalité entre les hommes et les femmes. Elle est l'occasion de dresser un bilan des progrès accomplis et de réaffirmer nos engagements.

Mais ce vibrant hommage ne saurait se limiter à la seule journée du 8 mars.
C'est la raison pour laquelle ma Fondation s'est investie dans le Dialogue for Action Africa qui se tiendra à Libreville le 11 juin prochain.

Ce forum réunira des experts internationaux de haut niveau et permettra de proposer des solutions innovantes visant à replacer les femmes au cœur du développement durable de l'Afrique.

A travers ma Fondation, j'œuvre pour renforcer au quotidien le potentiel de développement inestimable existant en chacune de nos sœurs.

A leur contact, j'ai compris que rendre les femmes plus autonomes financièrement était le gage d'une communauté socialement saine. C'est pourquoi ma Fondation a créé le fonds de microcrédit Akassi, exclusivement réservé aux femmes. En une année d'existence, Akassi a permis à 1600 gabonaises de devenir des entrepreneuses, comme Thérèse, qui a pu acheter et développer sa propre plantation de bananes ; ou encore Alice, qui possède désormais un stand de vente de poissons. A travers Akassi, leur vie, comme celle de centaines d'autres Gabonaises a changé et gagné en indépendance. C'est une grande victoire à mes yeux.

En les écoutant, j'ai aussi été confortée dans l'idée que les femmes sont le socle des sociétés africaines et qu'il est indispensable de les protéger. Soigner une mère, c'est préserver toute sa famille et l'ensemble de la communauté. C'est l'objectif de mon programme « Tous unis pour la santé de la mère et de l'enfant » qui a permis de sensibiliser des milliers de mères sur les risques liés au VIH/sida ou au paludisme et de former 240 professionnels de santé dans 34 maternités du Gabon. Plus généralement, ce programme a diffusé les bons comportements à adopter en matière d'hygiène et de prévention auprès de milliers de mères et donc de leurs familles.

Enfin, j'ai l'intime conviction qu'il est crucial de protéger les droits des femmes et de les soutenir dans les différentes épreuves de la vie. Une société qui n'est pas en mesure de répondre à la détresse de ses femmes est une société en péril. Aussi, ai-je décidé de m'engager auprès des veuves, de me faire la voix des sans voix. Grâce à nos efforts et au travail diplomatique du Gabon, les Nations Unies ont adopté la Journée internationale des Veuves, célébrée le 23 juin de chaque année. Il s'agit d'une immense avancée pour toutes les femmes, au Gabon, et à travers le monde.

En 2011, nous avons mené et accompli de nombreuses actions mais j'ai conscience que nous devons aller encore plus loin pour l'amélioration des conditions de vie des femmes et la reconnaissance de leur rôle au sein de la société et du développement.

C'est pourquoi je m'engage à poursuivre mes efforts sur le terrain pour le développement durable des familles et communautés rurales grâce à l'organisation des femmes en coopératives agricoles. En 2012, le programme de développement durable de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille va tisser des liens encore plus forts entre le projet central d'accompagnement des familles rurales dans leur développement économique et de nouveaux programmes portant sur l'amélioration des connaissances de la terre.

Enfin, soyez assurés que je porterai toujours plus haut le message du Secrétaire général des Nations Unies, M. Ban Ki-moon, pour qu'il résonne dans toutes les campagnes gabonaises :

«
Investissons dans les femmes rurales, éliminons les discriminations dont elles sont victimes en droit et en pratique, veillons à ce que les politiques répondent à leurs besoins, garantissons- leur le même accès aux ressources qu'aux hommes et accordons-leur un rôle à jouer dans la prise de décisions. » Au travers des actions de ma Fondation, je souhaite redonner aux femmes gabonaises leur fierté et consacrer la place qu'elles méritent au sein de la société. Ma profonde aspiration est que notre pays devienne un modèle pour l'ensemble du continent, en matière de promotion des droits et d'autonomisation des femmes.

Nous sommes ensemble. Très bonne journée internationale de la femme à toutes et à tous !


S
ylvia Bongo Ondimba , Première Dame du Gabon

 

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

04/03/2012

BIEN DIT MAL ACQUIS : RACISME PRIMAIRE DE LA FRANCE A L'ÉGARD DES AFRICAINS

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Le journal " Le Parisien " à travers deux pigistes pseudos journalistes de caniveaux nous ressort des égouts , le dossier dit des biens mals acquis , jetant en pâtures sans vergogne des honorables Présidents Africains et leurs épouses.

Une volonté qui n'est assurément pas celle des autorités françaises, fort gênées dans cette affaire, mais de façon très évidente celle des forces obscures qui, par personnes interposées et en jetant continument de l'huile sur le feu des rivalités ethniques, sèment la mort depuis près de vingt ans en Afrique, tout particulièrement en République démocratique du Congo et au Rwanda.

Cette pseudo enquête , n'apporte aucune information ou désinformation que l'on ne sache déjà. Elle ne fait que reprendre, en les reproduisant presque mot pour mot, les accusations portées depuis des années contre trois dirigeants africains par le pseudo avocat français
william bourdon au nom des associations Survie, Sherpa et Transparency International. Avec, toutefois, des insinuations pour le moins hasardeuses qui donnent une bonne idée de l'objectivité de ces journalistes dits « d'investigation », avec aussi, des erreurs graves.

Pourquoi, compte-tenu de ce qui précède, parler ici de « Racisme primaire de la France à l'égard des Africains » ?

Parce que, du début à la fin de cette diatribe infâme , on s'efforce d'accréditer l'idée que cette partie de l'Afrique est pillée par ses dirigeants, que la corruption y règne en maître, que seule l'action conjuguée des ONG, des médias et des juges français pourra mettre fin à ce scandale.

Cela nous ramène, en effet, un bon siècle en arrière lorsque les intellectuels français soutenaient les gouvernements européens dans leur opération de partage du continent africain afin, disaient ils, d'inculquer les principes de la « civilisation » européenne à des peuples réputés barbares, incultes, sans âme mais dans l'intention très criminelle de les asservir pour mieux les dépouiller.

Parce que la charge délivrée par cet article ordurier est tellement violente, excessive, soigneusement ciblée qu'elle se détruit elle-même en confirmant qu'une fois de plus la défense des droits de l'Homme invoquée par ses auteurs dissimule mal un but politique peu avouable.

Mais également parce qu'elle évite soigneusement d'aborder le fond du débat qui est de savoir pour qui roulent william bourdon et les institutions qu'il défend ou représente. Question que nous ne cessons nous-mêmes de poser sans jamais recevoir de réponse.

Reprocher à trois chefs d'État africains et à leurs familles de détenir des biens immobiliers et des comptes bancaires sur le sol français alors que la plupart des dirigeants de la planète, dirigeants de l'Hexagone compris, se trouvent dans le même cas ne peut avoir qu'un seul but :
imposer à leurs peuples, comme autrefois, un mode de pensée, de vie, de gouvernance politique, de gestion économique et financière dont la crise actuelle que traversent les sociétés occidentales démontre l'irréalisme, la nocivité.

C'est effectivement une ultime tentative de revenir en arrière pour réimposer l'ordre colonial disparu.

Qu'il nous soit permis de dire une fois encore à ceux qui conduisent cette offensive que non seulement elle ne changera pas le cours de l'Histoire, mais qu'elle détournera encore un peu plus les peuples africains d'un système présenté comme un « modèle » alors qu'il est le simple reflet de la terrible décadence dont les pays occidentaux sont aujourd'hui menacés.

Mardi 24 janvier 2012 , le journal " Libération " nous apprenait que l'avocat william bourdon, est « chargé des droits de l'Homme dans l'équipe de François Hollande ». Ce qui laisse entendre, même si ce n'est écrit nulle part, que le candidat du Parti socialiste à la présidence de la République Française pourrait bien épouser le douteux combat de ce conseiller très particulier.

On peut donc à juste titre se poser la question suivante : François Hollande, dont chacun sait qu'il ne connaît guère l'Afrique et les Africains, a-t-il conscience du danger potentiel qu'il fait courir à son pays en confiant un dossier aussi sensible que celui de la défense des droits de l'homme à un personnage peu respectueux de la vérité, enclin à une forme de recolonisation qui ne dit pas son nom, vraisemblablement soumis à des puissances que l'on a du mal à cerner tant elles s'entourent de mystère ?

Si la réponse est « oui » et que le candidat du Parti socialiste s'installe dans deux mois au Palais de l'Élysée, alors on peut s'attendre à ce que le fossé existant entre la France et ses anciennes colonies se creuse davantage dans les années à venir.

Pour en revenir à cet article moribond et a ses deux journalistes véreux , on s'étonne de l'absence de toute enquete sur le couple Présidentiel Francais , nous aimerions aussi savoir à combien reviennent leurs emplettes par an .

Nous croyons savoir que le couple Présidentiel Français s'habille également auprès des grands couturiers , s'achètent des parfums de luxe , habitent dans de beaux quartiers . Sarkosy et Carla ne font pas leurs emplettes à " Barbes " ou à " château rouge " à ce que l'on sache.

Quand c'est un blanc qui jouit du luxe , on trouve cela normal , mais alors quand c'est un noir la suspicion est de rigueur , il est tout de suite accusé de l'avoir mal acquis comme si le noir ne devait pas jouir lui aussi du luxe , c'est un truc réservé au blanc.

La colère qui gagne les Africains devant les campagnes conduites contre eux sur le Vieux continent , venant après celles qu'un autre avocat, william bourdon, mène depuis plusieurs mois contre nos pays, fait déborder une coupe déjà bien pleine et ne peut que provoquer une cascade d'effets négatifs sur les relations entre ces deux parties du monde.

Que l'Europe en général, la France en particulier, ne comprenne rien à l'évolution de notre continent n'a rien qui puisse vraiment surprendre. Incapables de suivre les mutations d'un continent en pleine émergence qu'ils jugent à travers le prisme déformant de leur vision du monde, les pays dits « riches » de l'hémisphère nord sont enfermés dans un carcan idéologique issu de la colonisation qu'ils ne peuvent briser.

Ils accumulent les erreurs politiques, se laissent distancer par les autres puissances de la planète, perdent l'une après l'autre les positions qu'un siècle de domination leur avait permis d'acquérir. Et comme leurs médias s'avèrent tout aussi incapables que leurs dirigeants politiques de suivre l'évolution de ce monde aussi divers que dynamique, ils commettent erreurs de jugements sur erreurs de jugements.

Peu importe à la vérité ce que pensent les Occidentaux de l'Afrique et des Africains. Le monde, c'est aujourd'hui très évident, tourne fort bien sans eux. Il suffit pour s'en convaincre de considérer la vitalité dont font preuve les nations jeunes et l'ampleur de la crise que traversent simultanément les vieilles nations.

Condamnées par l'évolution, les secondes se verront tôt ou tard contraintes de faire aux premières la place qu'elles leur ont jusqu'à présent refusée au sein de la communauté internationale. Mieux encore, elles devront battre leur coulpe en admettant que si l'Afrique a mis si longtemps à émerger, c'est pour une large part à cause de l'exploitation éhontée de ses richesses naturelles à laquelle elles se sont livrées et qui leur a permis de s'enrichir sur son dos.

Lorsque les Africains dénoncent avec force « les relents néocolonialistes et paternalistes » que recèle l'affaire dit des bien mals aquis, elles traduisent un rejet que tous les peuples africains, sans exception, partagent aujourd'hui. Et si elles le font avec autant de vigueur, c'est bien parce que la coupe est pleine.

 


MICHEL OGANDAGA  
https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA


03/03/2012

MESSAGE DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE AUX DÉPUTÉS DE LA 12ème LÉGISLATURE.

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Monsieur le Président de l'Assemblée nationale,
Honorables Députés,


A l'aube de cette législature, je tiens d'abord à féliciter les uns et les autres , toutes obédiences politiques confondues , d'avoir été choisis comme représentants du peuple dans circonscriptions électorales respectives.

Comme toute élection , celle du 17 décembre dernier a eu son lot d'heureux mais également de malheureux . Rien n'est jamais gagné d'avance . Vous en avez fait l'expérience : les uns pour la première fois et les autres comme un fait renouvelé et vécu différemment.

Vous avez déployez des efforts , surmonté des épreuves et stress , mobilisé du monde autour de vous ; de telle sorte que vos idées aient pu obtenir l'assentiment des Gabonaises et des Gabonais de vos différents sièges.

Ce qui , à n'en point douter , justifie votre présence au sein de cet hémicycle .

Bien qu'il soit élu sous la bannière d'un parti politique , le député est le porteur des préoccupations de nos populations, sans exclusive.

Par ailleurs, l'effort du Député ne s'achève pas dans l'énergie déployée pour son élection. Au contraire , c'est avec cette élection que commencent la tâche et l'ardeur .

Cette tâche n'est toujours pas facile . Ni à expliquer aux populations , ni à pouvoir les convaincre de l'intérêt qu'elle revêt dans la transformation de leur vie quotidienne.

Tant les populations sont exigeantes , tant elles formulent parfois auprès des Députés des demandes qui vont au-delà de leur strict champ de compétence.

Chers élus ,

Votre mandat sera différent des législatures antérieures . Il se déroulera sous l'ère du désir d'émergence . Celle-ci exige l'exemplarité , rectitude et responsabilité dans le devoir que le peuple vient de vous confier .

Aussi , le contrôle de l'action gouvernementale devrait-il s'exercer suivant toutes ces valeurs .

Vous devez travailler sans arrières pensées . De telle sorte que cette Assemblée soit capable de démentir le préjugé qui redoute qu'elle puisse désormais évoluer comme une chambre d'enregistrement. Dans un contexte où elle est dominée par les élus d'un Parti et ses alliés .

Nul sectarisme , pas d'anéantissement de la minorité . L'esprit démocratique qui caractérise ce lieu devrait prévaloir.

De même , je tiens à l'apport du Parlement dans le renforcement de la démocratie à travers les moyens de contrôle qui lui sont reconnus par la constitution.

Le Parlement doit être un véritable aiguillon du Gouvernement , un laboratoire d'idées , un garant du bon sens .

Puis-je alors compter sur les femmes et les hommes que le peuple a envoyés à l'Assemblée nationale pour remplir leur mission de façon à aider efficacement le gouvernement et préparer les Gabonaises et les Gabonais à entrer sereinement dans cette grande espérance : faire du Gabon un pays émergent à l'horizon 2025 .

Bonne législature à toutes et à tous .

Dieu bénisse le Gabon



Le Président de la République , Chef de l'Etat, Ali BONGO ONDIMBA .


 

MICHEL OGANDAGA   https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA 

13/11/2011

Gabon: COMMUNIQUÉ FINAL DU CONSEIL DES MINISTRES DU JEUDI 10 NOVEMBRE 2011 + NOMINATIONS ...

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A l'entame des travaux, le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a informé le Conseil des Ministres, de la décision prise pour répondre à l'appel de fonds sollicité par Madame IRINA BOKOVA, Directrice Générale de l'UNESCO. En effet, le Gabon va apporter une contribution exceptionnelle au fonds extra-budgétaires à hauteur de deux (2) millions de dollars Américains démontrant ainsi son attachement à cet organisme scientifique et culturel.

Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres se félicite de l'excellence des axes de coopération qui existent entre la Chine et le Gabon. Aussi, en prélude à l'organisation de la Coupe Africaine des Nations (CAN 2012), l'inauguration solennelle du Stade de l'Amitié Sino-Gabonais aura lieu le 27 Novembre 2011. La cérémonie inaugurale sera marquée, entre autres, par le match amical qui opposera l'équipe junior de Chine à celle du Gabon.

Par ailleurs, le Conseil des Ministres s'est réjoui de la sollicitude du Président de la République, Chef de l'Etat à l'endroit de la jeunesse gabonaise, voire internationale, par l'organisation du match amical test entre le Gabon et le Brésil ce 10 Novembre 2011 au Stade de l'Amitié Sino-Gabonais sise à Angondjé.



AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES

MINISTERE DU TRAVAIL, DE L'EMPLOI ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

Madame le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l'a adopté, le projet de décret portant attributions et réorganisation du Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Prévoyance Sociale.

Pris en application des dispositions de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006, le présent texte comporte deux (2) titres, à savoir, les Attributions et l'Organisation, qui se déclinent en six (6) Chapitres.

Novateurs en plusieurs points, le décret susvisé crée les Directions Générales suivantes:

• la Direction Générale du Travail, autrefois dénommée Direction Générale du Travail, de la Main d'œuvre et de l'Emploi. Celle-ci se bornera à la conception de la politique du Gouvernement en matière de travail ;

• l'érection de la Direction Générale des Ressources Humaines en Direction Générale de l'Emploi. Les questions de l'emploi étant désormais au cœur des préoccupations gouvernementales, il est apparu nécessaire de former une telle Direction dont le but serait d'étudier et de proposer des politiques d'emploi ;

• la Direction Générale de la Prévoyance Sociale auparavant dénommée Direction Générale de la Protection Sociale ;

• la Direction Générale de la Sécurité et de la Santé au Travail, autrefois intitulée Inspection Générale de l'Hygiène et de la Santé au Travail ;

• enfin, une Inspection Générale du Travail, de l'Emploi, de la Prévoyance Sociale, de la Santé et de la Sécurité au Travail assurera la coordination des services provinciaux et départementaux dans les domaines y relatifs.

MINISTERE DE L'ECONOMIE, DU COMMERCE, DE L'INDUSTRIE ET DU TOURISME

Le Ministre a fait approuver par le Conseil des Ministres, le projet de décret déterminant les critères et la procédure de classement des hôtels, restaurants et établissements assimilés.

Pris en application de l'ordonnance n° 2/2000/PR du 12 Février 2000, portant régime applicable aux investissements touristiques, ce texte traite entre autres, des critères de classement, des effets du classement, des contrôles et des sanctions.

La Commission pour le classement des hôtels, restaurants et établissements assimilés comprend :

- le Ministre chargé du Tourisme ou son représentant, Président ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Administration du Territoire, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Industrie, membre ;
- un représentant du Ministère chargé des Travaux Publics et de la Construction, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Aménagement du Territoire, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Economie, membre ;
- un représentant du Ministère chargé du Commerce, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de la Consommation et de la Concurrence, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de l'Urbanisme, membre ;
- un représentant du Ministère chargé de la Santé Publique, membre ;
- un représentant du Ministère chargé des Petites et Moyennes Entreprises, membre ;
- le Président de la Chambre de Commerce ou son représentant, membre ;
- un représentant de la Petite et Moyenne Hôtellerie, membre ;
- un représentant de la Grande Hôtellerie, membre ;
- un représentant des professionnels de la Restauration, membre.

MINISTERE DE LA SANTE, DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SOLIDARITE ET DE LA FAMILLE

Le Ministre a fait adopter par le Conseil des Ministres, le projet de décret portant réorganisation de l'Officie Pharmaceutique Nationale (OPN).

Pris en application de la loi n° 020/2005, la réorganisation consacrée par le texte suscité porte sur la redéfinition des attributions et de l'organisation de l'Office Pharmaceutique National, établissement public à caractère industriel et commercial, doté de la personnalité juridique et jouissant de l'autonomie de gestion administrative et financière.

Placé sous la tutelle du Ministère de la Santé, l'Office Pharmaceutique National (OPN) est une centrale d'achat dont l'objet principal est la distribution de médicaments et de dispositifs médicaux essentiels nécessaires au fonctionnement des formations publiques et privées.

L'Office National Pharmaceutique comprend :

- le Conseil d'Administration ;
- la Direction Générale ;
- l'Agence Comptable.

Le Conseil d'Administration, outre le Président, est constitué des membres ci-après :

• le Secrétaire Général du Ministère de la Santé ;
• le Secrétaire Général du Ministère du Budget ;
• le Directeur Général du Service de Santé Militaire ou son adjoint ;
• le Directeur Général de la CNAMGS ou son adjoint ;
• un Directeur de Centre Hospitalier Universitaire ;
• un Directeur de Centres Hospitaliers Régionaux ;
• le Président de l'Ordre National des Pharmaciens ;
• un représentant des partenaires au développement.



MINISTERE DES TRANSPORTS

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l'a adopté, le projet de décret portant attributions et organisation de la Direction Générale de la Sécurité Routière.

Pris en application des dispositions de la loi n° 010/2005 du 03 Janvier 2006, le présent texte définit le cadre général dans lequel la Direction Générale de la Sécurité Routière (DGSR) doit assurer ses missions.

Aussi, le décret référencé dispose que la Direction Générale de la Sécurité Routière est dotée, pour son fonctionnement, de :

- Services d'appui ;
- Directions Centrales ;
- Directions Provinciales.

Le Directeur Général est assisté de deux (2) adjoints et de chargés d'études.

MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE, CHARGE DE LA REFORME ADMINISTRATIVE

Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté la loi de finances rectificative pour l'exercice 2011, qui se justifie essentiellement par :

• La nécessité de finaliser dans les délais les chantiers de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2012);
• Le renforcement des crédits alloués à l'organisation des élections législatives ;
• La prise en compte des mesures annoncées lors des séances des Conseils des Ministres délocalisés.

Aussi, en l'absence des ressources additionnelles, il s'agit de redéployer les crédits alloués initialement au Fonds Souverain qui serviront à :

- Maintenir la politique d'investissement initiée depuis 2010 ;
- Poursuivre le programme d'aménagement routier ;
- Elargir les mesures à caractère social visant l'amélioration des conditions de vie des populations ;
- Réaménager le plan d'urgence dans le secteur de l'éducation.

A ce titre, la présente loi dispose que l'ensemble des charges reste à son niveau initial de deux mille trois cent soixante dix milliards huit cent millions (2.370,8 milliards) de FCFA, qui se répartissent ainsi qu'il suit :


- charges de la dette publique : trois cent quatre vingt seize milliards deux cent millions (396,2 milliards) de FCFA ;
- dépenses de fonctionnement : mille quarante trois milliards neuf cent millions (1.043,9 milliards) de FCFA ;
- dépenses d'investissement : huit cent cinquante sept milliards (857 milliards) de FCFA ;
- prêts et avances : soixante treize milliards six cent millions (73,6 milliards) de FCFA.

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE

MINISTERE DE L'HABITAT, DE L'URBANISME, DE L'ECOLOGIE ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

Le Ministre a sollicité et obtenu l'accord du Conseil des Ministres, pour l'organisation de l'Atelier National de lancement de la Stratégie Nationale de Développement Durable, à Libreville, les 19 et 20 Décembre 2011.

AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX

Madame le Ministre a sollicité et obtenu du Conseil des Ministres, l'autorisation pour l'organisation, en partenariat avec l'Ambassade de France, d'une session de formation en Droit de l'Environnement, du 15 au 18 Novembre 2011, à Libreville.

MINISTERE DE L'ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES

Le Conseil des Ministres a marqué son accord avec la tenue, du 20 au 23 Novembre 2011, à Libreville, de la 4ème réunion annuelle du Comité Régional de Coordination du projet de Facilité Energie CEMAC.



Le Conseil a autorisé un certain nombre de missions à l'étranger des membres du Gouvernement.

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

MINISTERE DES TRANSPORTS

CABINET DU MINISTRE

Conseillers du Ministre

- Conseiller chargé du suivi des Projets d'Equipements et d'Infrastructures de Transport : M. Henry Marcel DAGUINO WORA, en remplacement de M. AVOUYA John Peter appelé à d'autres fonctions.

- Conseiller chargé de l'Organisation du Transport Terrestre, Ferroviaire et de la Sécurité Routière : M. OKOUMBA MBOUROU Jonas, en remplacement de M. MBOUMBA Etienne appelé à d'autres fonctions.

- Chargé de Missions du Ministre : M. ABOGHE EYA Jean Jacques, en remplacement de M. ENZEMA OYONE Félix Serges.

INSPECTION GENERALE DES SERVICES

- Inspecteur général : M. Cyprien NDONG, confirmé.

- Inspecteur général adjoint 1 : M. MIKOUANDZA TONDA Justin.

- Inspecteur général adjoint 2 : M. MBOUMBA Étienne.

SECRETARIAT GENERAL

Centre National d'Edition et Délivrance des Documents de Transports (CNEDDT)
- Directeur : M. BIBOUNDZA PANGO Jean Bernard.
- Directeur adjoint : M. ONANGA Jean de Dieu.

Chefs de services

- Chef de Service du Permis de Conduire : M. Didier BOUKA MBANDZA.

- Chef de Service de la Carte Grise et de l'Immatriculation : Mme Marcelle NYINGONE NZE.

- Chef de Service Technique et Informatique : M. OWANGA TCHOUKUE Ulrich Armand.

- Chef de Service du Personnel et des Moyens : Mme Pulchérie MANGAYI, épouse DEAN, administrateur des services économiques et financier.

- Chef de Service des Archives et des Statistiques : M. MENGOME NZUE Jean Serge.

Centre National de l'Examen du Permis de Conduire des Véhicules Terrestres à Moteur (CNEPC)
- Directeur : M. OBOUNOU NTOMA Florent, précédemment Directeur général adjoint 1 à la direction générale des transports terrestres.

- Directeur adjoint : Mme BITOUDI Corine Anna.

Chefs de services

- Chef de Service des Examens et de la Validation : M. NDEMBI Jean Pierre.

- Chef de Service Technique, Informatique, Archives et Statistiques : M. NTOUTOUME Marc Landry, précédemment chef de service informatique à la Direction Générale des transports terrestres.

- Chef de Service Administratif et Financier : Mme Véronique Anushka MBOUMBA NZAMBA.

ADMINISTRATION CENTRALE

Direction Générale des Transports Terrestres

- Directeur général : M. AVOUYA John Peter, en remplacement de M. OKOUMBA MBOUROU Jonas appelé à d'autres fonctions.

- Directeur général adjoint 1, chargé de l'informatique et des examens de permis de conduire : Mme LOUPDY MATIGA Clémence.

- Directeur général adjoint 2, chargé de la réglementation et des inspections provinciales : Mme Nadine Murielle OBIANG née OGOULA.

Chefs de services

- Chef de service Equipement et Matériel : M. Alain NKOGHE.

- Chef de service Administratif et Financier : Mme Valérie ONDO SHOSHANA.

- Chef de service informatique : M. François NDJIEBANDA.

Direction de la circulation routière et des contrôles techniques

- Directeur : Mme Hortense MBA, en remplacement de M. BIBOUNDZA PANGO Jean Bernard, appelé à d'autres fonctions.

Chefs de services

- Chef de service Circulation Routière : M. MOUELE NZEBI Patrick.

- Chef de service Contrôle Technique : M. Jérôme OBAME MEVIE

Direction des Transports Routiers

- Directeur : M. Martin NTOUTOUME NDONG.

Chefs de services

- Chef de service Transport voyageurs : Mme Isabel MOUNGOMO.
- Chef de service Transport Marchandises : Mme Catherine MADOLA ANGUILET.

Direction des Liaisons Intermodales et de la Statistique

- Directeur : M. Gervais MIHINDOU MAMBOUNDOU, confirmé.
Chefs de services

- Chef de service Liaisons Intermodales : M. Franck OYINI NZAMBA.

- Chef de service Statistiques : M. MVE MENIE Michel.

INSPECTEURS PROVINCIAUX

- Inspecteur de l'Estuaire : Madame Hélène MOUSTINGA.

- Inspecteur du Haut-Ogooué : M. André JOUMAS.

- Inspecteur du Moyen-Ogooué : M. Pierre NGUEMA NDONG.

- Inspecteur de la Ngounié : M. Alain Francis MANGHADY PENDI.

- Inspecteur de la Nyanga : M. Félicien TIYINOT.

- Inspecteur de l'Ogooué-Ivindo : M. Ange Gabriel MOUBELE.

- Inspecteur de l'Ogooué-Lolo : M. Jeannot BIYEGHE-BIOVALE.

- Inspecteur de l'Ogooué-Maritime : M. Jean Louis NZAMBA.

- Inspecteur du Woleu-Ntem : M. Alain OYINO OKOMBA.

DIRECTION GENERALE DE LA MARINE MARCHANDE

Direction des Affaires Portuaires et des Activités Connexes aux Transports Maritimes

Directeur : M. NKOULOU MEZUI Claver, Administrateur des Affaires Maritimes.

Chefs de services

Chef de service des Affaires Portuaires : Mme AVOME ANGUE Frédérique, administrateur des Affaires Maritimes.

Chef de service des Activités Connexes : M. NZIENGUI NZIENGUI, Attaché d'Administration des Affaires Maritimes.

Chargée d'Etudes : Mme NGUEMA MBANG Annie Carole.

Direction de la Flotte de Commerce et de l'Équipement Naval

Directeur : M. TCHIBINDA IPANDI Ladislas, Officier Mécanicien 1ère classe confirmé.

Chefs de services

Chef de Service de la Flotte de Commerce : Mme DOUCKAGA née MADZINZA YANGOU.

Chefs de Service de l'Équipement Naval : M. ZUE EDZANG Emmanuel.

Chargés d'Etudes

Mme OBOULOU Stella ép. MOUMBANGOU ;
M. NZAMBA ILOUMA Guy.

Direction des Gens de Mer, de la Navigation et de la Sécurité Maritimes

Directeur : M. AUBAME Gérard Philippe, Administrateur des Affaires Maritimes, confirmé.

Chefs de services

Chef de Service des Gens de Mer : Mme NZIENGUI Ernestine, Juriste Maritime.

Chef de Service de la Navigation Maritime : M. ONDZAGHA MINKO Benjamin, Officier Naviguant.

Chef de Service de la Sécurité Maritime : M. BOUROBOU Clovis Augustin, Officier Naviguant.

Chargés d'Etudes :
Mmes

-NTSELE Solange.
-MANOMBA Marie ;
-MBATCHI Mature Scholastique.

Direction de la Réglementation et de la Coopération

-Directeur : M. NZIBE RUBEN, Administrateur des Affaires Maritimes.

Chefs de services

-Chef de service de la Coopération : Mme IGOUE ODOUKA ANTCHOUE Line.

-Chef de service de la Réglementation : Monsieur NONEWA ASSOUMOU Bonaventure.

Chargés d'Etudes

-Mme KOUNA Roseline ;
-M. OSSINGA Etienne ;
-M. ZUE NGUEMA Bertrand.

Centre d'Etudes, de Documentation et de Recherches Maritimes

-Directeur : M. NTAWANGA William André, Administrateur des Affaires Maritimes.

Chefs de services

-Chef de service de la Documentation : M. NZIGOU Wilfried, confirmé.

-Chef de service Statistiques : M. MOSSE KOUNOU Bernard Bertin.

Chargés d'Etudes :

Mmes

-MASSALA NKOROUNA Lucienne Patricia, confirmée.
-BOUYOU Rose Carine.

Délégations Maritimes

- Délégué maritime de la province de l'Estuaire : M. SOUNDA Patrick, Administrateur des Affaires Maritimes, en remplacement de Mr IGAMBA AWORET Etienne.

- Délégué maritime de la province de l'Ogooué maritime : M. MIVINGA Paul, Inspecteur des Affaires Maritimes en remplacement de M. MOMBO TSOUNGOU Maurice.
- Délégué maritime de la province du Moyen Ogooué : M. OBAME NZE Wilfried, Administrateur des Affaires Maritimes, en remplacement de M. NTAMBI Gabriel.

- Délégué maritime de la province de la Nyanga : M.ITOUMBA Landry, Inspecteur des Affaires Maritimes en remplacement de M. SOUNDA Patrick.

Direction Générale de la Météorologie (DGM)

- Chargés d'études :

Mmes

• Mathilde ASSENGONE NDONG, ingénieur adjoint météo Monsieur Pierre ZUE EYA, ingénieur adjoint météo.

• Rosalie NDOUNA née BATHALAT.


SERVICES RATTACHES

- Chef de Service des Ressources Humaines et de la Formation : M. Gilbert ONDO NDONG, précédemment chef de service climatologie.

- Chef de Service Financier et du Patrimoine : Mme. AVOMO OBIANG Ghislaine.

- Chef de Service des Archives et du courrier : M. Ferdinand MOUNGUENGUI, précédemment chef de service des Relations Extérieures.

DIRECTION DE L'EXPLOITATION

- Directeur d'Exploitation: M. Lambert ELLA ASSEKO, ingénieur météo, précédemment Inspecteur des services météorologique.

- Chef de service Prévision météo : M. Ghislain Claude NKOMBE, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service Climatologie : M. Lambert EKANG, ingénieur adjoint météo, précédemment chef de service informatique.

- Chef de service Publication : M. Joseph IGUENGA NGORI, ingénieur météo.

DIRECTIONS DES APPLICATIONS

- Directeur des Application : Mme MBOUMBA Joséphine, ingénieur météo, précédemment Inspecteur des services météorologiques.

Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie : M. Pierre MVE AKWE, ingénieur adjoint agrométéorologique.

- Chef de service Hydrométéorologie : Mme Félicienne Nathalie MAPENDZA.

- Chef de service météo Aéronautique : M. David Claude NGUEMA, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service météo Marine: Mme Hélène KENGUE, ingénieur adjoint météo.

Direction de la Recherche et du Contentieux

- Directeur : M. Fernand NZE MINKO.

Chefs de services

- Chef de service des Litiges et du Contentieux : Mme Isabelle BADJINA.

- Chef de service des Etudes et de la Recherche: Mr. Guy Roger SOUNDA, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service des Satellites et Télécommunication: M. Emmanuel NDZENG OKOUE, ingénieur adjoint météo.

Direction du Réseau Météorologique

- Directeur du Réseau météorologique : Mme OYE NTO Jacqueline, ingénieur adjoint météo.

Chefs de services

- Chef de service d'Installation et de Maintenance : Mme Mathilde ASSENGONE NDONG, ingénieur adjoint météo précédemment chef de service des réseaux météo.

- Chef de service de Normalisation des Codes et Méthodes d'Observations : M. Luc MVE NDONG, ingénieur adjoint météo.

DIRECTIONS DE ZONES

Direction Territoriale Zone Nord (Woleu-Ntem-Ogooué Ivindo)

- Directeur : M. Michel KOMBILA, ingénieur météo, précédemment chef de service provincial de la Ngounié.

Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie: M. Serge OKOUROU NGUEMA, ingénieur adjoint agrométéorologique.

- Chef de service Climatologie: Mme Marie Hélène MBOUMBA, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service des Réseaux Météo: M. Roger MENGUE.

Direction Territoriale Zone Ouest (Estuaire-Ogooué-Maritime)

- Directeur : M. Alain NDZIE MEVIANE, ingénieur météo.



Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie : Mme Jeannette MOUNGUENGUI, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service Climatologie: M. Noël Parfait OBAME MINKO.
- Chef de service des Réseaux Météo: Mme Albertine BENDOME.

Directeur Territoriale Zone Centre (Ngounié, Moyen Ogooué, Nyanga)

- Directeur : M. MBA NKOGHE Toussaint, ingénieur météo, précédemment chef de service provincial du Moyen- Ogooué.

Chefs de services

- Chef de service Agrométéorologie : M. Jean MBA NZE, ingénieur adjoint météo, précédemment chef de service provincial de l'Estuaire.

- Chef de service Climatologie: M. Jacques NGUEMA, ingénieur adjoint météo, précédemment chef de service provincial du Woleu-Ntem.

- Chef de service des Réseaux Météo: Mme Catherine MAKANGA Epouse SOUNGANI POSSO, précédemment chef de service provincial par intérim de la Nyanga.


Directeur Territoriale Zone Est (Ogooué-Lolo, Haut- Ogooué)

- Directeur : M. MEFFOUET MENDONG Joseph, Ingénieur des Techniques météorologiques.

Chefs de services
- Chef de service Agrométéorologie : M. Guy Franly DIZAMBOU, ingénieur adjoint météo.

- Chef de service Climatologie: M. Samuel NGUEMA, ingénieur adjoint de la météorologie.

- Chef de service des Réseaux Météo: M. MBELE Pierre.

AGENCE DE REGULATION DES TRANSPORTS FERROVIAIRES (ARTF)

- Conseillers du Président du Conseil de Régulation :

MM.

• EBOUMI ANDJARA Fidèle, Administrateur Civil, en remplacement de M. KAKOUNDJA Damas, appelé à d'autres fonctions ;
• Jean de Dieu MELOLE, Administrateur Civil.

MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DE L'INNOVATION ET DE LA CULTURE

D
IRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
- Chargé d'Etudes : M. MBA ESSOGHO Léonard, Master en didactique H/G

DIRECTION DES AFFAIRES SOCIALES
Service des Congés
- Chef de service : M. AFOURAGA Denis Jacques, Attaché d'Administration Générale

INSTITUT PEDAGOGIQUE NATIONAL
Service Appliqué à l'Enseignement Normal
- Chef de service : M. BIBANA Jean de la Croix, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. ANGOUE Georges Edgard, appelé à d'autres fonctions.

DIRECTION GENERALE DE L'ENSEIGNEMENT SCOLAIRE ET NORMAL
Chargés d'Etudes :
- Mme MOUSSOUMBI MBOUGA Annie, Attachée d'Administration Scolaire et Universitaire.

MM.

• MOUANDZA Alphonse, Inspecteur Pédagogique ;

• BOUDZANGA Anatole, Attachée d'Administration Scolaire et Universitaire ;

• LEPOUKOU Prosper, Professeur du Secondaire, précédemment Principal de collège.

ECOLE NORMALE DES INSTITUTEURS DE LIBREVILLE
- Surveillant Général Adjoint : Mme NKENE NDONG Lucie Clara, Institutrice principale.

DIRECTION GENERALE DES STATISTIQUES DE LA PLANIFICATION ET DE LA PROSPECTIVE
DIRECTION DE LA PLANIFICATION
- Directeur : Mme OBONO Anastasie, Enseignante à l'ENS, en remplacement de M. YOUMBA Elie, appelé à d'autres fonctions.

- Directeur Adjoint : Mme ROLENGA ZIZA Ep. MPIRA Solange Eliane, Conseiller de Planification de l'Education, en remplacement de Mme OBONO Anastasie, appelée à d'autres fonctions.

DIRECTION GENERALE DU CENTRE NATIONAL DES ŒUVRES UNIVERSITAIRES (CNOU)
- Directeur Général : M. Aubert Aimé NDJILA, en remplacement de M. Michel MBOU KIKI, appelé à d'autres fonctions.

DIRECTION DU COU-UOB
Service Restauration
- Chef de service : M. MIPETO Justin, Administrateur scolaire et universitaire, en remplacement de M. NGOMA Ruffin, remis à la disposition de son administration d'origine.

- Econome : Mme MONDOUBE Gisèle EP. MAGNANGA : Attachée d'Administration Scolaire et Universitaire, en remplacement de M. NYAMA IKAPI Arnaud, appelé à d'autres fonctions.

DIRECTIONS D'ACADEMIES PROVINCIALES
DIRECTION D'ACADEMIE PROVINCIALE DU MOYEN-OGOOUE
- Chargé d'Etudes : M. NGOMA MICKOLO Alpin, Inspecteur du Primaire, précédemment chef de service Pré-primaire et Primaire.

Service Pré-primaire et Primaire
- Chef de service : Mme WILSON AKAGAH Stéphanie Brazza, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. NGOMA MICKOLO Alpin, muté.

DIRECTION D'ACADEMIE PROVINCIALE DE LA NYANGA
- Chargé d'Etudes : M. LATISSI MAKOSSO René, Professeur du secondaire, promu

DIRECTION D'ACADEMIE PROVINCIALE DE L'OGOOUE-MARITIME
Service Provincial de la Carte Scolaire
- Chef de service : Mme NTOKOME ONDO Aimée, Attachée de planification, promue.

Service Provincial des Œuvres Scolaires et Universitaires
- Chef de service : M. OGOULA Moïse, Professeur du secondaire, promu.

BASE PEDAGOGIQUE
NYANGA
- Chef de Base Pédagogique de Mabanda : M. NZE André Martial, Conseiller Pédagogique, en remplacement de M. BOUSSOUGOU KOMBILA Yves Michel, admis en stage.

EQUIPES DIRIGEANTES DES ETABLISSEMENTS SECONDAIRES PUBLICS
(Additif)
PROVINCE DE L'ESTUAIRE
LYCEES
LYCEE NATIONAL LEON MBA (LIBREVILLE)
- Surveillant Général : M. MINKO MI BINE Jean Charles, Professeur Adjoint d'Enseignement normal, en remplacement de Mme ONDO née ALLOUMBA Mireille.

- Surveillant Général Adjoint : M. INDANGA Gabriel, Chargé de l'internat, promu

LYCEE DE BIKELE

- Censeur II vie Scolaire : Mme DEDJIE AWORET Jacqueline Huguette, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. POUNDOU Edouard, démissionnaire.

LYCEE GEORGES MABIGNATH (LIBREVILLE)

- Surveillant Général Adjoint : Mme GNINGONE OBIANG ép. TOVIGNON, Institutrice, promue.

LYCEE NDONG BYE (KANGO)

- Censeur I Pédagogique : M. BILIMA Cévérin Melvil, Professeur du Secondaire, précédemment Censeur I Pédagogique au Lycée Lubin Martial NTOUTOUME de Ntoum, poste vacant.

- Censeur II vie scolaire : M. AUBAME ONDZAGA Franck, Professeur du Secondaire poste vacant, promue.

LYCEE Lubin Martial NTOUTOUME OBAME (Ntoum)

- Censeur II vie scolaire : M. MABOKO Dieudonné, Professeur du Secondaire poste vacant, promu.
CES AVORBAM (Agondjé)

- Directeur des Etudes vie scolaire : M. BE NDONG Albert, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MISSIE POUHO, promu Principal.

CES BA OUMAR (Bas de Gué-Gué)
- Directeur des Etudes pédagogiques : M. ZINGA Pierre Louis Bather, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. ATOMO MENGUE Pierre Claver, remis à la disposition de la DAP-Estuaire.

PROVINCE DU HAUT-OGOOUE
LYCEE Eugène Marcel AMOGHO (Franceville)

- Censeur I Vie scolaire : M. LANGOUORI Martin, Professeur Adjoint du Secondaire, en remplacement de M. AKOUMA Albert, admis en stage.

LYCEE D'EXCELLENCE (Franceville)
- Intendant : Mme ODINA Solange, précédemment intendant au CES Mamadou LEWO, en remplacement de M. ODOUNA Raymond, décédé.

LYCEE Rigobert LANDJI (Moanda)
- Censeur I Vie scolaire : M. MABEDOU POUSSOU Saturnin, Professeur du Secondaire, poste vacant, promu.

- Surveillant Général : Mme TSONO Pauline, Institutrice, en remplacement de M. NZALOUYA Vivien, muté.

- Surveillant Général Adjoint : M. YAMBA Jean, Instituteur, promu.

CES Pierre OUTOU BOUKOUYA (Boumango)
- Directeur des Etudes vie scolaire : M. ONGOUYALT Georges Martin, Professeur du Secondaire, en remplacement de Mme MEZENE NDONG Carole, remis à la disposition de la DAP Haut-Ogooué.

CES Zacharie MAIKA (Bakoumba)
- Surveillant Général : M. NDOMBA Christophe, Instituteur, promu, en remplacement de M. OKAPA Placide, remis à la disposition de la DAP Haut-Ogooué.

CES KAKOGHO (Léconi)
- Principal : M. NZIENGUI Christian, précédemment Principal au CES Lucien KOUNA de Bongoville, en remplacement de M. KABELE Julien, ancien Principal.

CES Lucien KOUNA (Bongoville)
- Principal : M. NDZIAMI Jacques, précédemment Principal au CES KAKOGHO de Leconi, en remplacement de M. NZIENGUI Christian, muté.

PROVINCE DU MOYEN-OGOOUE

LYCEE François MEYE (Ndjolé)

- Censeur II Pédagogique : M. EWOURE Francis Désiré, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MELINDANGA Billy Joachim, appelé à d'autres fonctions.

PROVINCE DE LA NGOUNIE
CES DE MALINGA
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MOUKAGNI NZAMBE, Professeur du secondaire, poste vacant, promu.

CES Amiar NGAHANG (Mbigou)

- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. NDINGA MAYOMBO Maurice Ulrich, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MANGOURA Patrice, appelé à d'autres fonctions.

- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MASSOUKOU Benjamin : Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NDINGA MAYOMBO Maurice Ulrich, appelé à d'autres fonctions.

CES Alexandre MADOUNGOU MBARI (Mimongo)
- Intendant : M. CHASSA MIKOLO Damas, Attaché d'Administration Scolaire, en remplacement de M. LETEMBET BICKOTO Rigobert, appelé à d'autres fonctions.

CES Albert Martin SAMBAT (Mouila)
- Intendant : M. LETEMBET BICKOTO Rigobert, Attaché d'Administration Scolaire, en remplacement de M. MBOMBET Jean Honoré, admis en stage à l'ENI.

PROVINCE DE LA NYANGA
LYCEE Jean Baptiste MOANDAT (Mayumba)
- Censeur I Vie scolaire : M. MBOUROUTOU Brice Pierre, Professeur du secondaire, poste vacant, promu.

- Censeur II Vie scolaire : Mme NGOMA Léonie, Professeur du Secondaire, poste vacant, promue.

LYCEE Edouard MOSSOT(Moabi)
- Censeur II Pédagogique : M. MOUNDOU Guy Serge, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. OVONO ELLA Jean Louis.

- Censeur II Vie Scolaire : M. AMADI OSSAVOU Guy Léopold, Professeur du secondaire, poste vacant, promu.

LYCEE Général Nazaire BOULINGUI
- Censeur I Pédagogique : M. METOUGHE Yvon, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. EYI MESSA Constant, démissionnaire.

- Surveillant Général : M. MAMBOUNDOU MAMBOUNDOU Elie, Instituteur, en remplacement de M. MICKALA MBINA Jean de Dieu, décédé.

- Intendant : M. BOUSSOUGOU Jean Louis Ousmane, précédemment en service à Moulengui-Binza, en remplacement de M. MOUSSAVOU MOMBO Guy, remis à la disposition de la DAP.

- Econome : Mme BOUNDA Amélie, Administrateur Scolaire et Universitaire, en remplacement de M. BOUASSA Gérard, décédé.

CES KOUMBA NZIENGUI (Tchibanga)
- Directeur des Etudes Vie scolaire : M. KASSA Ange Corneille, en remplacement de M. MOGOULI Cyprien, admis en stage à l'ENS.

CES DE MABANDA (Mabanda)
- Directeur des Etudes Vie scolaire : M. BOUKEGHET FOUECHI Séverin, Professeur du Secondaire, poste vacant, promu.

- Surveillant Général Adjoint : M. MASSALA Jean Pierre, Instituteur, promu.

PROVINCE DE L'OGOOUE-IVINDO
LYCEE Alexandre SAMBAT (Makokou)

- Censeur I vie scolaire : M. OUMARE BOUCKAL BAKOT, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NDJEMBI ILAGOU, muté.

LYCEE Daniel KOSSE (Booué)
- Surveillant Général : M. MBAMI Philippe, Instituteur, poste vacant, promu.

CES DE MAKOKOU (Makokou)
- Principal : M. MALELA MBELOU Samuel, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. PAZOCK MAYELE Jérémie, muté.

- Surveillant Général Adjoint : M. MENDOUME ABOGHE Nasser, Instituteur, en remplacement de M. MELONG Patrice, admis en stage.

PROVINCE DE L'OGOOUE-LOLO
LYCEE Jean Arsène BOUNGUENDZA
- Censeur II Pédagogique : M. IKOUYOU Chrysanthème, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NGUEMA Jérôme, remis à la disposition de la DAP Ogooue-lolo.

- Surveillant Général Adjoint : M. LINDZONDZO Jean Jérôme, Instituteur, promu.

PROVINCE DE L'OGOOUE-MARITIME

LYCEE AMBOUROUET AVARO (Port-Gentil)

- Censeur I vie scolaire : Mme ESSOMEYO NKOGHO Clarisse, Professeur du secondaire, poste vacant, promue.

LYCEE Thuriaf BANTSANTSA (Port-Gentil)
- Proviseur : M. NEYER OLOURI Guylain, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. MIHINDOU MOUSSAVOU, muté.

- Intendant : M. ESSONO OKEMVELE Maxime, Attaché d'Administration Scolaire et Universitaire, en remplacement de M. MESSI Arthur, remis à la disposition de la DAP.

CES Julien MBOUROU (Omboué)

- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. GOMEZ RAPONTCHOMBO YOMBEYENI Denis, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NGUEDI Denis, démissionnaire.

CES BAC AVIATION (Port-Gentil)

- Principal : M. MIHINDOU MOUSSAVOU, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NEYER OLOURI Guylain, muté.

- Intendant : M. NGANDA Eric, Attaché d'Administration Scolaire et Universitaire, poste vacant, promu.

PROVINCE DU WOLEU-NTEM

LYCEE Ambroise OBAME NDONG (Medouneu)
- Econome : M. MINTSA ZOLO Jean Pierre, Attaché d'Administration Scolaire et Universitaire, poste vacant, promu.

LYCEE Richard NGUEMA BEKALE (Oyem)

- Censeur II vie scolaire : M. NDEAUX Constant Confort, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. LOUBANGOYE Fidèle Gontran, remis à son administration d'origine.

LYCEE ASSOGHO EYEME DE MINVOUL

- Censeur II vie scolaire : M. NDONG EBONA Simon Pierre, Professeur du Secondaire, en remplacement de M. NGAMA ESSALA Camille, admis en stage à l'ENS.

- Surveillant Général Adjoint : Mme NTOUTOUME ME NNANG Yvonne ép. MBO'O, Institutrice, en remplacement de M. AMENGLE AKONO Jean Pierre.


MINISTERE DES RELATIONS AVEC LE PARLEMENT, LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, DE L'INTEGRATION REGIONALE CHARGE DES DROITS DE L'HOMME ET DU NEPAD

COMMISSION NATIONALE DE LUTTE CONTRE L'ENRICHISSEMENT ILLICITE
CABINET DU PRESIDENT
- Chef de Cabinet : M. ASSAPI Michel.
- Secrétaire Particulière : Mme EPOGO Audrey.
- Conseiller en Communication : M. ASSEYI MAMADOU Rodrigue.
- Conseiller Technique : M. MOUNDOUNGOU Michel.
- Secrétaire de Cabinet : Mme MOUSSIROU MOUKAGNI Ginette Christelle.
- Chargé d'Etudes : M. DJIMBI MAKOSSO Prosper.
- Chargé du Protocole : M. OKASSA Rodrigue.
- Aide de Camp : M. MBANGANGOYE Franck.
- Agents de Sécurité : MM.

• MBENABI TABA Christophe.
• BOUCAH Marc Thierry.

- Chauffeur Particulier : M. OMBANGO Sabin.
CABINET DU COMMISSAIRE MEMBRE
- Chargé d'Etudes : M. NDONG MBA Christian Noël.
- Agent de Sécurité : M. ANGOUE EBOUANG Stéphane Olivier.
- Chauffeur Particulier : M. IGALLA NGOMA Judicaël.
CABINET DU COMMISSAIRE DU GOUVERNEMENT
- Secrétaire Particulière : Mme BOUYON Marie Louise.
SECRETARIAT GENERAL
- Chef de Service Courrier : M. EKOMI Jean Claude.
- Chef de Service Archive : M. MANGAKA TONDA Samson.
- Chef de Service Documentation : Mme OTOUNGA Cochita.
MINISTERE DE L'AGRICULTURE, DE L'ELEVAGE, DE LA PECHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

CHEFS DE PROVINCE AGRICOLE

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Estuaire : M. BANGA Paul, Ingénieur Agronome.
- Chef de Service Provincial de l'Agriculture du Haut-Ogooué : M. MOUSSAVOU MOUSSAVOU Jean-Baptiste, Ingénieur des Techniques Agricoles.
- Chef de Service Provincial de l'Agriculture du Moyen-Ogooué : M. NZAOU Marius Trésor, Ingénieur Agronome.

- Chef de Service Provincial de l'Elevage de la Ngounié : Mme KOMBA Suzanne, Ingénieur des Techniques d'Elevage.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de la Nyanga : M. BIBANG Severin Arnaud, Ingénieur Agronome.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Ogooué-Ivindo : M. IFADA Anaclé, Ingénieur des Techniques Agricoles.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Ogooué-Lolo : M. LOLA MEHOULA Gabriel, Ingénieur des Techniques Agricoles.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture de l'Ogooué-Maritime : M. MEDZA ABESSOLO Magloire, Ingénieur Agronome.

- Chef de Service Provincial de l'Agriculture du Woleu-Ntem : M. NGOUNGA PAMBOU Louis Clotaire, Ingénieur des Techniques Agricoles.

CHEFS D'INSPECTION PROVINCIALE DES PECHES ET DE L'AQUACULTURE
- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Estuaire : M. IBOUANGA YEMBI Joseph, Ingénieur des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture du Haut-Ogooué : M. MICKOMBA Pierre Claver, Ingénieur Halieute.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture du Moyen-Ogooué : Mme NTSAME BIYOGHE Gwladys, Ingénieur des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de la Ngounié : M. MOUNDOUNGA Gustave, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de la Nyanga : M. OBAME MEBIAME Jean Fulbert, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Ogooué-Ivindo : M. OMPIBA Jean Patrice, Ingénieur des Techniques des Eaux et Forêts.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Ogooué-Lolo : M. MOUELE Fabrice Nicodème, Ingénieur des Techniques d'Elevage.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture de l'Ogooué-Maritime : M. ELLA ABOGHE Ghislain Mermoz, Docteur Vétérinaire.

- Chef d'Inspection Provinciale des Pêches et de l'Aquaculture du Woleu-Ntem : M. NGAMBA NDIANGOU Jean Médard, Ingénieur Halieute.

CENTRE DE MULTIPLICATION DU CACAO D'ELITE (CMCE)

- Directeur : M. ZOGO ONDO Claude Corneille, Ingénieur des Techniques Agricoles.

MINISTERE DE LA COMMUNICATION, DE LA POSTE ET DE L'ECONOMIE NUMERIQUE
SECRETARIAT GENERAL


D
IRECTION GENERALE DE LA POSTE
- Directeur Général Adjoint : M. Léonard NZAOU, précédemment Secrétaire Exécutif Adjoint de l'Agence de Régulation des Communications Electroniques et de la Poste.

AGENCE DE REGULATION DES COMMUNICATIONS ELECTRONIQUES ET DE LA POSTE (ARCEP)
- Secrétaire Exécutif Adjoint : M. Dosithée MICKALA, précédemment Conseiller du Président de la République.

 

 

MICHEL OGANDAGA  http://michelogandaga.blog.fr/  http://sylviabongondimba.blog.fr/

https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA http://www.presidentalibongo.com/

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/