13/11/2012

Gabon: 5ème Conseil d`Orientation de l`Agence Nationale des Grands Travaux (ANGT)

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Libreville - 13 Novembre 2012 . La 5eme séance du Conseil d`Orientation de l`ANGT s`est tenue ce 13 novembre 2012 sous la présidence du Chef de l`Etat, Ali Bongo Ondimba en présence du Premier Ministre Raymond Ndong Sima et de plusieurs Ministres, de Membres du Cabinet Présidentiel  et des Directeurs généraux des départements budgétaires et financiers.

 

Le Président Ali Bongo Ondimba a exprimé sa satisfaction pour le travail abattu en deux ans depuis la création de cet outil indispensable à la mise en œuvre du Gabon Emergent et félicité le Directeur General Henri OHAYON et toute son équipe.

 

La Réunion de bilan et d`orientation a été également l`occasion de mesurer l`impact et la méthodologie structurante bâtie par l`ANGT, maitre d`ouvrage délégué pour les grands travaux par leurs montants et leur complicité pour tous les ministères concernés.

 

Le Conseil a permis a travers le rapport détaillé qui lui a été présenté d`apprécier l`importance de cet outil pour pouvoir mener à bien les chantiers au meilleur coût et selon les règles de l`art avec une prise en compte dès le départ de toutes les dimensions transversales

 

A ce titre l`ANGT a aidé à la réalisation d`une série d`études nécessaires à bâtir les cahiers des charges et à lancer les études, contribuant par une telle démarche et de tels investissements a la baisse des coûts.

 

L`expérience accumulée en deux ans a démontré la nécessite d`une plus grande Mobilité administrative avec possibilité d`un va et vient entre l`ANGT et les Administrations pour davantage de fluidité, de cohérence, d`efficacité et de résultats avec un ensemble de projets majeurs dans des secteurs clés de développement :

 

-          logement et habitat,

-          santé,

-          éducation : 11750 places de plus, nouvelles constructions, rénovation

-          routes

-          eau et assainissement

 

Apres l`énorme défi  tenu de l`organisation de la CAN avec ses effets induits sur plusieurs secteurs, 2012 aura été une année tremplin avec un accent sur la démarche qualité et la sécurité. L`instauration d`une boite à outils se généralise et les procédures (contractualisation, bons de commande,  suivi, contrôle et réception des travaux) s`adaptent et s`enrichissent du constat et du diagnostic à partir des réalités du terrain.

 

Les bureaux de contrôle et laboratoires agréés jouent leur rôle plus et mieux avec une présence permanente sur les sites des projets.

 

Au niveau de l`impact des petits projets, conformément a la vision du Chef de l`Etat de promotion de l`entreprenariat,  les PME locales sont favorisées. Aujourd`hui 149 d`entre elles sont utilisées par l`ANGT, grandissent, poussent et s`améliorent fortement avec plus de 6000 ouvriers en œuvre sur les chantiers.

 

Le Conseil a noté la nécessité d`accélérer le processus de paiement  tout en respectant les procédures en vigueur avec le support déjà réel et la synergie de la Direction Générale du Budget, de la Direction Générale des Marchés Publics et de la Trésorerie Payeur General.

 

Le Conseil a fait le point sur les divers projets sectoriels et sur les projets transversaux comme le Champ triomphal (Port Mole), tous prioritaires car de grande utilité publique.

 

Au moment où Mr Jim DUTTON prend le relais d`Henri OHAYON, les perspectives sont rassurantes et encourageantes car l`ANGT devrait atteindre sa vitesse de croisière en 2013 notamment en matière de logements, des routes et de nouvelles sources de croissance.

 

La finalité restera, comme le Président Ali Bongo Ondimba l`a rappelé fort opportunément l`efficacité au delà des intérêts particuliers, avec davantage de coopération et de partenariat, de croissance et de création d`emplois.

 

Le Premier Ministre Raymond Ndong Sima a exprimé son engagement et sa grande disponibilité à travailler avec l`ANGT et ses dirigeants en plus grande synergie pour un travail dans l`intérêt collectif. Cela passera par des réunions formelles et régulières pour capitaliser sur les résultats et les amplifier.

 

 

Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

 

·le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme;

 

·le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

 

·le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

A PROPOS DE L`ANGT

Instituée par l’Ordonnance 004/PR/2010 du 15 Février 2010, l’Agence sera au cœur de la programmation, de l’identification et de la maitrise d’ouvrage des grands projets et travaux publics classés prioritaires par le Chef de l’Etat.

 

L`objectif est d`amorcer une nouvelle phase s’amorce à divers niveaux pour accélérer le processus d’aménagement global du territoire, de conception, suivi, exécution et

 

Le Gabon s’est attaché récemment le partenariat et l’expertise de Bechtel avec La signature  d’un important accord d’assistance le 2 septembre 2010.

Bechtel est en effet la première entreprise américaine de travaux publics. Fondée  depuis 112 ans, elle emploie plus de 40 000 personnes dans près de cinquante pays et s’est distinguée dans la construction de plusieurs autres grandes réalisations comme le tunnel sous la Manche, la ville de Jubail  ou le Kingdom Center en Arabie saoudite, l'aéroport international de Hong Kong ou encore la reconstruction de l'infrastructure civile de l'Irak financée par l'agence des États-Unis pour le développement international (USAID).

Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


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05/11/2012

Gabon: Les chantiers de l’émergence ont tués l'opposition

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Depuis quelque temps, pour masquer leur honte de n’avoir pas pu faire oeuvre utile au profit du développement du pays et face aux efforts que ne cesse de déployer le président Ali Bongo Ondimba pour réaliser les grands projets destinés à moderniser et à aménager harmonieusement le territoire national, les leaders de l’opposition font plutôt grise mine.

Cela, en marmonnant que ces projets ont été programmés par lesdits opposants lors qu’ils étaient au gouvernement ou à de hauts postes de responsabilité publique.

Une hérésie lorsqu’on se souviendra toujours que ces leaders mentent grossièrement et tentent de tromper le peuple gabonais qui n’est nullement dupe.

Car comme l’affirment certains observateurs de la scène politique nationale, « non seulement certains de ces grands chantiers en cours ont été conçus et projeté, à l’époque, par feu le président Omar Bongo Ondimba, mais en plus ce sont ces actuels leaders de l’opposition qui se sont avérés incapables de les réaliser. »

A cet égard ce ne sont pas des gens de l’acabit de MM. Zacharie Myboto, André Mba Obame, Jean Eyéghé Ndong, Casimir Oyé Mba, Pierre Claver Maganga Moussavou, Jules Aristide Bourdès Ogouliguendé et bien d’autres de leurs compères de l’Union des forces du changement (UFC) qui nous démentiront.

Du fait que, pour la plupart d’entre eux, ils ont été aux avant-postes des départements ministériels juteux tels que les Travaux publics, l’intérieur, la Planification, la Fonction publique ou l’Education nationale.

Et cela, pendant que MM. Oyé Mba et Eyéghé Ndong étaient même arrivés jusqu’au rang de Premier ministre du défunt président Omar Bongo Ondimba et chef du gouvernement.

Aussi, en ces temps où ils étaient si puissamment installés aux commandes des affaires de l’Etat, c’est à se demander « pourquoi n’ont-ils pas pu mettre en oeuvre et mener à terme la réalisation des actuels chantiers repris efficacement par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. »

De plus, étant, à l’époque et pour la plupart. Tout-puissants ministres d’Etat pour les uns, Premiers ministres pour d’autres et même beaux-parents du défunt président pour certains, l’opinion ne cesse de se poser des questions sur « ce que ces supposés néo-leaders de l’opposition et ex-hiérarques de l’Etat ont pu faire des fonds publics dégagés jadis pour la réalisation de toutes les infrastructures sanitaires, scolaires, sportives, routières, aéroportuaires, portuaires, ferroviaires, énergétiques, hydrauliques, de communication et des télécommunications programmées pour la modernisation du pays. »

Sans oublier que, dans ce faux débat que veulent entretenir ces néo-opposants, l’on comprend mal pourquoi ceux-ci n’édifient pas les citoyens gabonais sur la destination prise par les différents fonds qu’allouait annuellement l’Etat pour la réalisation des diverses infrastructures de développement inscrites dans le cadre de la célébration des « fêtes tournantes de l’Indépendance ».

Lesquelles infrastructures devaient, selon feu le président Omar Bongo Ondimba l’initiateur de ces fêtes tournantes du « 17 août », « promouvoir les meilleures conditions d’embellissement et de modernisation de tous les centres urbains du pays ainsi que d’aménagement harmonieux global de l’ensemble du territoire national. »

Le tout assorti de la consolidation des bases d’un développement intégral, équilibré et durable de la totalité des provinces, départements et communes que compte le Gabon.

Aussi, c’est donc toute honte bue que les néo-opposants Myboto, Mba Obame, Eyéghé Ndong, Oyé Mba, Bourdès Ogouliguendé, Maganga Moussavou et consorts assistent à la reprise effective desdits projets par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Lequel les met efficacement en oeuvre, fait avancer les travaux sur les chantiers et les réalise au fil des temps.

L’actuel président de la République parvenant ainsi à réussir brillamment là où les Myboto et autres ex-hiérarques de l’Etat avaient visiblement et lamentablement échoué. Alors, que ceux-ci sont sans vouloir tricher avec la vérité des faits que le peuple gabonais connaît très bien.

En tout état de cause, leurs grossiers mensonges et vaines tentatives de s’approprier de manière éhontée une supposée paternité des anciens projets, initiés par feu Omar Bongo Ondimba et réalisés actuellement par l'actuel présiden t Ali Bongo Ondimba ne les épargneront nullement du mépris des Gabonais.

De même qu’avec l’issue que prendront la fin et la publication des résultats des différents audits commis sur la gestion antérieure des grands chantiers du Gabon, les sieurs Myboto, Eyéghé Ndong, Mba Obame, Oyé Mba et bien d’autres qui étaient aux affaires, ne manqueront pas de répondre de leurs actes peu élogieux et posés à l’époque.

Toujours est-il qu’ils ne perdent rien pour attendre le moment où les conclusions de tous ces audits vont mettre à découvert tous ceux et celles qui, de près ou de loin se sont rendus coupables de malversation dans la gestion ancienne des avoirs financiers, des biens matériels, du patrimoine immobilier ou des projets de l’Etat.


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Gabon: Insalubrité urbaine , rompre avec le laxisme d’antan

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Actuellement et plus que par le passé, plusieurs grands centres urbains de notre pays croulent sous le poids de l’insalubrité et ce, particulièrement Libreville la capitale gabonaise.

Principal responsable de cette triste situation et selon plusieurs observateurs: « le patent laxisme dont font preuve certaines administrations publiques face à l’incivisme des citadins et aux défaillances des prestataires de services commis à la tâche de collecter, traiter et valoriser les ordures.»

Et à l’évidence, il aura fallu la récente descente sur le terrain effectuée inopinément par le président Ali Bongo Ondimba, à travers certaines rues de Libreville et au marché Mont-Bouet, pour que des dispositions soient prises en vue de faire changer les choses.

Au demeurant, c’est à faveur d’une interpellation du ministre délégué à l’Intérieur, M. Aimé Popa Nzoutsi Mouyama, à l’Assemblée nationale, que l’on a appris que, « sur instruction du président de la République, le gouvernement va mettre en oeuvre un plan d’urgence destiné à débarrasser Libreville de ses tas d’immondices enlaidissant la capitale nationale. »

Un plan d’urgence dit de 3ème génération, financé par l’Etat et mettant à contribution plusieurs opérateurs économiques, Organisations non gouvernementales ainsi que les forces de défense et de sécurité.

Ce dans la mesure où, pour certains, « la mairie de Libreville et la Société de valorisation des ordures ménagères du Gabon (SOVOG) ont largement étalé leurs limites dans la jugulation de l’insalubrité et l’embellissement d’une ville qui ne fait que s’étendre davantage. »

Aussi, un tel plan d’urgence ne peut prospérer durablement que si les différents acteurs impliqués réussissent à rompre réellement avec les attitudes laxistes d’antan.

Lesquelles se traduisaient par le fait que les autorités municipales n’arrivaient pas à rappeler à l’ordre ou à sanctionner tous ceux qui enlaidissent la ville.

Notamment, les populations qui jettent leurs ordures ménagères hors des bacs et ne nettoient pas les abords de leurs habitations. Idem des commerçants et marchandes qui vendent sur les trottoirs et n’entretiennent pas ceux-ci.

Tout comme les garagistes, menuisiers, frigoristes et autres artisans déversant leurs ordures solides sur les bascôtés des voies publiques ou dans les caniveaux et canaux d’évacuation des eaux.

Autre acteur important dans la mise en oeuvre de ce plan d’urgence: l’Etat gabonais qui doit revoir de fond en comble l’ancienne convention signée avec la SOVOG et diversifier ses partenaires dans la gestion des ordures au niveau des communes voisines de Librevi l le et d’Owendo.

Car, au stade actuel et sans matériel qualitativement et quantitativement conséquent, la seule SOVOG ne peut plus donner entière satisfaction.

De même que, la décharge de Mindoubé étant actuellement saturée, l’Etat et la municipalité doivent tout faire pour octroyer aux sociétés concernées des terrains où elles pourront déverser, traiter ou valoriser l’ensemble des ordures ménagères et déchets solides collectés.

Encore que dans ce cadre précis, un accent particulier doit être mis désormais sur le volet lié à la valorisation des ordures et ce, en vue de transformer celles-ci en engrais et autres produits marchands propices à la diversification économique.

Autant dire que les instructions du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba doivent être respectées à la lettre, étendues à toutes les villes gabonaises et traduites dans les faits le plus rapidement possible.

Ce afin que nos centres urbains retrouvent leurs lustres d’antan, se développent harmonieusement et préservent les populations locales de tous risques de fléaux sanitaires suscités par l’insalubrité publique.

Reste en fin à ce que l’Etat et les autorités municipales mettent de plus en plus la pression sur les entreprises commises à la réalisation des travaux d’aménagement des divers bassins versants et autres canaux destinés à faciliter l’écoulement des eaux et à éviter les inondations.


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